“BETWEEND DOUBT AND LOVE”

Cela faisait depuis quelque jours que Graeme était officiellement en couple avec Ysolde. Évidement il avait encore du mal à y croire car il avait toujours rêver de ce moment depuis le jour ou il s'était rendu compte qu'il était tomber amoureux de la blonde. Mais depuis quelque jours, le jeune homme avait une autre demoiselle qui lui tournait autour, bien évidement, il sans fichait complètement mais il en avait surtout marre car il avait remarquer une certaine tension entre Ysolde et lui. Cette femme, n'était autre que Goyle, du moins son nom de famille, elle provenait d'une famille de sang pur, quelque chose qui montrait que Graeme détestait déjà la demoiselle. Pas parce qu'elle était de sang pur, non, sinon il aurait eu du mal avec Ysolde, enfin Ysolde était bien unique en son genre et c'est ce qui plaisait au blond. Non, la demoiselle portait le prénom de Reagan, aujourd'hui elle était populaire, elle marchait la tête haute, elle avait tout ce qu'Ysolde avait auparavant mais aujourd'hui la blonde du rouge et or n'avait plus rien et Graeme voulait que sa blonde est tout ce qu'elle désirait de son passé. Du moins qu'elle retrouve tout ce qu'elle avait eu auparavant car il savait que cela lui manquait même si Graeme et elle avait passé une étape supérieur de leur relation. Mais ce qu'il y avait de bizarre, c'était que la demoiselle brune n'avait jamais tourner autour de Graeme auparavant, même quand il était qu'un simple binôme ou bien un simple camarade pour Ysolde. Aujourd'hui, c'était sans doute le fait de s'afficher en couple dans les couloirs qui avait amener à la brune de se rapprocher mais également de vouloir le jeune homme pour faire mal à Ysolde, du moins de prendre ce qu'Ysolde avait. Ce qui serait bien dur car Graeme était totalement amoureux de sa blonde. En faite, il n'était toujours pas aussi démonstratif envers ses sentiments, mais il essayait de faire de son mieux, ce n'était jamais simple pour lui, ni pour elle d'ailleurs. Aujourd'hui, le jeune Reinhaart détestait d'aller en cours, simplement parce qu'il devait faire preuve de bien être habiller, de ne pas avoir sa cravate défaite, de ne pas avoir sa chemise en dehors du pantalon mais il devait également faire face à cette brune qui était son binôme. Cela changeait totalement d'Ysolde. En faite, il en avait déjà tellement marre de ne pas pouvoir être au coter de sa blonde pendant les cours, simplement parce Ombrage avait décidé qu'il serait mieux de le mettre devant pour qu'il apprenne plus, soit disant parce qu'il n'avait pas les qualités nécessaires pour continuer son année. Graeme ne voulait même plus se lever du lit, il en avait marre de devoir sans cesse retirer la main de cette brune appartenant à la maison de Salazard Serpentard qui se croyait pouvoir tout faire. Seulement, quand Graeme voulait bouger de sa place, il se faisait engueuler par les professeurs parce qu’il devait rester à sa place, comme tout bon élève. Sauf que ce matin, le jeune homme en avait plus que marre et partit du cours en prenant son sac, se fichant totalement des regards, se fichant totalement d'être en retenue plus tard. Ce qu'il voulait, c'était la paix. Qu'on lui foute la paix et qu'on le laisse tranquille. Il avait toujours été ce gamin, sympathique, pas arrogant, intelligent qui faisait preuve de courage sans cesse mais aujourd'hui, il en avait plus que marre, voilà pourquoi il avait franchit les portes de la classe devant tout les regards des autres et le sourire vainqueur de la brune. Il se mit alors à attendre, essayant de ne pas se faire surprendre par un professeur ou bien le concierge ou pire un des étudiants du groupe qu'avait créé Ombrage. Graeme en avait marre d'être suivit ou d'être regarder plutôt, encore le regard d'Ysolde ne le gênait pas bien au contraire mais il sentait un autre regard sur lui, un regard qu'il détestait. Graeme avait prit la décision d'attendre Ysolde dans le couloir près du hall d'entrée du château. Mais ce n'est pas la main de sa blonde qu'il sentit sur son épaule et il le comprit bien vite en entendant cette voix qui lui faisait mal à l'oreille :  « Toujours pas partant pour ma proposition ? Tu m'en ferais presque pitié Reinhaart! » Pitié ? Parce que le Reinhaart refusait les avances ? Non, Graeme ne faisait pas pitié mais lui, avait pitié de la situation dans laquelle la brune vivait. C'est vrai, se prendre pour quelqu'un d'autre, en partit Ysolde, que gagnait-elle à faire sa ? Le gloire ? Le pouvoir ? L'argent ? Graeme se mit alors à sourire, un sourire qui en disait long. Il savait bien que c'était elle qui le suivait, qui le regardait et il détestait sa, pire, il pouvait totalement devenir méchant, même maintenant. Envoyer tout bouler, partir, fuir et je ne jamais revenir. Soudain la brune murmura doucement à l'oreille en frollant la joue du jeune homme qui recula la tête :  « Dit moi, ça ne serait pas ta bâtarde derrière toi qui te regarde du mauvais œil. » Graeme se tourna alors complétement vers l'arrière et il vit que la brune avait raison. Ysolde était là. A les regarders. Mais lui n'avait à rien cacher. En faite, il en pouvait plus. Entre Ysolde qui prenait une sorte distance et la brune qui le collait sans cesse pour vouloir coucher avec lui. Il repoussait tout le monde au final.

La jeune femme sortait officiellement avec Graeme Reinhaart depuis quelques temps. Elle avait cru que pour une fois entre eux, tout allait bien se passer. En fait, non. Ysolde suivait les cours placer à la place qu’Ombrage avait décidé et… cela faisait royalement chier la jeune femme. Elle se retrouvait à côté d’un type qu’elle ne connaissait pas, et elle était au premier rang et ne pouvait pas se retourner pour jeter des regards à graeme, et le peut de fois où elle l’avait fait, la joie de le regarder et une vision d’horreur c’était entremêlé. Cette vision d’horreur avait conduit à rendre Ysolde moins loquace qu’à l’habitude, moins souriante, et plus froide. Il fallait être aveugle dans un couple pour ne pas remarquer une certaine tension entre eux. Quand ça commence directement par un froid, et une certaine tension, on a déjà du mal à se dire que cela peut durer, vraiment. Ysolde allait finir par perdre patience, et surtout espoir. A en regarder la situation actuelle, elle était incapable de développer une histoire de cœur normale, sans histoires. Là, y avait une tension, une tension nommé Reagan Goyle, cette satanée garce de serpentard. Cette garce – il n’y avait pas d’autre mots pour Ysolde – était une fille facile, méchante, cruelle, et usurpatrice. Oui, cette fille voulait toujours avoir ce que les autres avaient. Elle était un peu comme sa sœur Bella au fond : jalouse. Cette garce et Graeme, ensemble, côte à côté. Elle lui murmurait à l’oreille comme s’ils étaient ultra proche, voir intime. Pire, elle frola la joue du jeune homme – bien sûr ysolde le vit à peine bouger la tête – alors, là, s’en était trop. Elle s’était figée dans le couloir, quand tout à coup, elle vit le regard de la brune se poser sur elle, et elle la vit encore une fois murmurer quelques choses qui eut pour effet sur Graeme de le faire se retourner instantanément. Ysolde restait immobile, le visage assez… fermé tout à coup. La jeune femme prit sa respiration calmement pour se forcer à sa calmer et s’approcha d’eux, la jeune femme était passablement énervée. La brune commença alors à dire : « Wilkes, tiens justement j'étais...» La brune n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’Ysolde la coupa froidement en lui adressant le sourire le plus glacial qu’elle pouvait accorder : « Probablement sur le départ, n'est ce pas ? » Ysolde était horrible parfois. La jeune femme croisa ses bras sur sa poitrine et gratifia la jeune femme d’un sourire faux, froid, méchant. Elle la toisait même. Goyle la toisa à son tour et fit voler une mèche de cheveux en tournant les talons, gratifiant Graeme d’un sourire assez… provoquant. Ysolde avait réellement envie de l’étriper, vraiment. Mais, pas aujourd’hui, pas maintenant. Elle la laissa s’en aller, lui laissa le temps de vivre encore un peu. La jeune femme daigna enfin adresser un regard à Graeme, enfin. Il était froid au même titre que leur relation actuelle. Ysolde avait un sacré caractère, et elle était surtout très rancunière. Ce n’était pas la première qu’elle voyait Goyle et Graeme aussi proche l’un de l’autre, et franchement ça ne lui plaisait pas du tout. elle avait déjà du mal à ne pas tourner les talons sans dire un mot, rester était une épreuve, elle aimait Graeme, mais il avait l’air bien trop proche de cette fille. S’il n’était pas attiré par elle, il pourrait être ferme et la repousser mais en cours ce n’était pas l’impression qu’il donnait, il se laissait murmurer à l’oreille par cette fille. C’était comme si Ysolde se laissait murmure à l’oreille par Ulysse s’il était vivant, ou par Duncan, ou par n’importe quel autre mec, sans même songer à le repousser.

Depuis quelque jours déjà, il y a cette tension, ce froid entre le rouge et or et sa blonde. Oui, depuis que Reagan Goyle tournait autour de lui en cours, il voyait bien qu'Ysolde n'appréciait pas sa, mais il ne pouvait rien faire à part attendre la fin des cours à chaque fois. Évidement cas chaque fois il enlevait la main de la brune qui la mettait toujours sur sa cuisse. Il détestait sa étant donner que ce n'était pas la main de sa blonde mais il ne pouvait rien faire. Graeme avait plusieurs fois parler froidement à Reagan mais jamais elle ne changeait ou n'abandonnait, il fallait juste trouver ses points faibles moralement. Aujourd'hui, ce n'était pas Reagan qu'il attendait à la fin des cours, non, c'était Ysolde, sa blonde mais la serpentarde brune avait trouver le blond et en remettait une couche sur la proposition. Seulement lui, sans foutait bien de sa proposition, pour lui il fallait aller au aller des embrumes pour voir si quelqu'un ne voulait pas d'elle gratuitement voir en être payer. Soudain, la brune murmura à l'oreille du blond en disant si ce n'était pas Ysolde derrière eux. Puré. Graeme allait passé un sale quart d'heure et c'est ce qu'il comprit en voyant le regard d'Ysolde. La brune commença à faire un sourire de vainqueur à la serpentarde. Chose qui fit écarter le jeune Reinhaart en se mettant entre les deux sans l'être réellement, juste par précaution.  « Wilkes, tiens justement j'étais... » La voix de la brune signifiait qu'elle avait comme réussit un coup, son coup mais Ysolde n'était pas le genre de femme à se laisser faire, loin de là, il fallait même mieux se méfier. Mais c'était bien la première fois que le rouge et or regarda sa blonde avec un sourire comme celui-ci, signe qu'il fallait mieux se barrer au plus vite, d'ailleurs celle-ci coupa la parole sèchement à Reagan :« Probablement sur le départ, n'est ce pas ? » Le jeune homme regarda alors Ysolde croiser les bras en ne lâchant pas la serpentarde des yeux. Bordel on se serait cru au temps du Western, ou celui qui gagnerait serait celui qui à tirer le premier dans l'autre. Les deux jeunes femmes était totalement entrain de s'affronter dans leurs sourires et leurs regards, pendant ce temps, le blond avait le regard sur Ysolde. Pourquoi une réaction soudaine comme celle-ci. Il n'y avait pourtant rien entre lui et l'autre serpentarde. Bien au contraire, ce n'était que de la haine. Graeme n'avait rien dit au sujet de ce qui c'était passé l'autre soir dans les toilettes ou Reagan était venu se pointer après l'avoir suivit. Pourquoi ne lui avait-il rien dit ? Simplement parce qu'il n'y avait rien à dire à ce sujet. Il s'était tiré aussi vite qu'une fusée ou bien quand il était sur son balais. Mais la brune avait eu le temps de posé sa main là ou c'était assez réserver. La serpentarde brune décida de prendre la décision de fuir à Ysolde qui lui laissait pour une fois, cinq secondes de survit. Mais la blonde avait un regard froid sur le rouge et or. Il savait bien pourquoi, il allait passé un sale quart d'heure. Et tout ça pourquoi ? Pour une nana qui lui tournait autour sans arrêt ! Elle devrait être contente ! Cela voulait dire qu'il n'était pas aussi moche que sa ! Lui aussi pourrait très bien dire quelque chose à propos de Pevensie le taré ! Graeme regarda alors dans les yeux, cela ne sentait pas vraiment bon pour eux. Pire que sa même.  « Quoi? » Il n'était pas aussi dupe, il savait bien que quelque chose n'allait pas et c'était sans doute le bon moment pour mettre carte sur table. Depuis quelque jours, Ysolde était encore plus distante que le moment ou ils avaient passé dans la salle sur demande, à croire qu'il y avait vraiment quelque chose. Évidement que cela laissait de marbre Graeme qui lui essayait de fuir au plus à la brune à chaque fois. Graeme ne fit aucun pas vers l'avant, ni même de geste pour la blonde. Bien au contraire, il resta cloué sur place et la seule chose qui pu lui dire fut :  « Il n'y a rien avec elle. » Chose qui était bien vrai d'ailleurs au passage. Mais il pensait bien qu'Ysolde se doutait de quelque chose. Voir même de lui. Si c'était sa, leur relation commençait plutôt mal.

Une fille rancunière, vous savez ce que c’est ? C’est une fille comme Ysolde. La jeune femme avait la rancune très très facile, plus que facile même. Ysolde n’oubliait pas vraiment, elle se souvenait et vous ressortait sur un plateau la connerie que vous aviez faite à son égard alors que parfois même vous aviez oublié. Elle était rancunière, et avait un esprit de vengeance assez développé. Alors, cette garce à forte poitrine qui trainait autours de Graeme, elle ne l’aimait pas du tout. okay, Graeme ne lui sautait pas dessus, mais Ysolde était certaine qu’il pouvait être plus convainquant et plus ferme dans sa façon de la repousser. Elle aurait pu être heureuse qu’on essaie de lui voler le mec avec qui elle sortait, mais non, elle n’avait pas besoin d’une garce comme Goyle prête à lui voler pour réaliser qu’il était beau, attention, doux, drôle, et irrésistible. Mais, partager, jamais. Ysolde ne laissait pas les garçons lui tourner autours, elle était assez sèche pour les envoyer valser. Il y avait certes Duncan, mais elle pensait s’être montrer assez… froide et sèche dans le parc pour mettre les choses au claire. Elle ne se laissait pas murmurer des mots à l’oreille, s’il s’approchait à moins d’un mètre d’elle, elle était parfaitement capable de le gifler et de pointer sa baguette sur lui. Ysolde était une violente, soit très chaleureuse, soit glaciale, même très glaciale. Le surnom « princesse des glaces » lui avait été attribué à de nombreuses reprises, à de très nombreuses reprises, mais elle le vivait bien, cela prouvait qu’elle n’avait rien d’une fille facile comme cette Goyle, ou comme sa propre sœur, tant mieux. Ysolde était comme la fourmi, elle n’était pas prêteuse.
« Quoi? » Tient, c’était la première fois de la journée qu’il la regardait et surtout qu’il lui adressait la parole. Mais le « quoi » eut le don d’énerver peut être Ysolde encore plus. Ils étaient sur la mauvaise pente depuis trop longtemps ces deux là. Ils avaient commencé à sortir ensemble il y a peu, et il y avait déjà de l’eau dans le gaz. Cela n’avait pas bien commencé, avant même qu’ils soient ensemble, tout était déjà bien trop compliqué. Elle ne répondit rien au quoi, et tourna alors les yeux, fatiguée de soutenir le regard. La jeune femme avait les deux mains accroché à la lanière de son sac, il fallait qu’elle tienne quelques choses, cela la calmait, un peu. « Il n'y a rien avec elle. » Encore heureux, pensa alors la jeune femme. « J'espère bien. » Répondit Ysolde, assez… froide. Elle n’avait jamais vraiment été froide avec Graeme, jamais vraiment, même quand ils avaient été « en froid », elle ne lui avait pas parlé sur ce ton. Ce n’était pas « méchant » mais c’était froid comme réponse. Elle ne lui en voulait pas personnellement à lui (enfin, si un peu), mais cette garce la mettait hors d’elle. La jeune femme daigna enfin reposer ses yeux sur lui et dit alors : « Je dois aller à la bibliothèque. » Elle n’avait pas spécialement besoin d’y aller, mais… mais elle n’avait pas envie de rester debout dans ce couloir avec un silence aussi froid que cela. Non, et quand il s’agissait de régler un vrai problème, Ysolde était la dernière à bien vouloir aborder les sujets qui fâchent. Elle n’avait pas envie de se prendre la tête encore une fois avec Graeme, le coup du chaudron baveur lui avait bien suffit.

Évidement que dans un couple il y avait des limites, mais le jeune homme n'avait rien dépassé à ces limites. Bien au contraire, il n'avait pas été infidèle, il n'avait pas été intéressé par une autre, il n'avait pas été aller voir ailleurs clairement. Il n'avait de yeux que pour Ysolde, elle aurait tout de même pu le savoir . Depuis le temps qu'il l'attendait, depuis le temps qu'il avait rêver d'elle sans qu'elle le sache car même aujourd'hui, elle ne savait pas qu'il avait rêver d'elle pendant des nuits. A l 'époque ou Graeme était un simple binôme et qu'Ysolde était en couple avec le prince de Serpentard, il en avait bavé de la voir avec lui, même si il ne savait pas ce qu'il ressentait encore pour elle. Il avait juste été comme jaloux ouais c'était le cas de le dire mais aujourd'hui, c'était lui qui était à ses cotés, il ne fallait pas qu'il gâche tout pour une brune qui n'en valait pas la peine. Mais lui ne voulait pas pas d'elle, il voulait simplement être en paix avec Ysolde sauf que la brune n'avait pas décidé sa. Ce qui m'était en tension le couple Graeme et Ysolde. Tout ça pourquoi ? Pour une gonzesse qui ne voulait qu'obtenir ce qu'avait encore Ysolde car à présent, la blonde n'avait plus rien. Le regard des deux jeunes étaient froid car cela énervait le rouge et or de devoir toujours être en froid avec sa blonde. Il ne laisserait pas l'affaire passé cette fois-ci. « J'espère bien. » Le jeune homme regarda alors Ysolde, la voix de la blonde était froide, froide mais le regard de la bonde également surtout que celle-ci évitait de regarder le blond. Il se demandait si la serpentarde ne doutait pas de lui. Ce qui serait mal venu de la blonde étant donner qu'il n'avait rien fait, qu'il n'avait draguer aucune gonzesse du château. En faite, il n'avait rien à se reprocher, du moins c'était sa version et le fait qu'Ysolde était froide avec lui, il ne comprenait pas cette réaction. C'est vrai quoi, il comprenait le fait qu'elle n'apprécie pas que quelqu'un tourne trop autour de lui mais ce n'était pas comme si il avait dépassé la limite de sous la ceinture avec elle.  « Douterais-tu de moi Ysolde? » C'était minable, vraiment minable. Douter de Graeme qui était réellement amoureux d'elle, qui n'avait jamais démontré quoi que ce soit avant elle, qui la protégeait quand les situations dérapait, qui devenait jaloux quand il voyait Duncan s'approcher trop près d'elle. La jeune femme avait la tête baisser, regardant sans doute les pieds du jeune homme ou bien ses propre pieds, pendant que le jeune Reinhaart regarda celle-ci. La situation que vivait le jeune homme à cet instant l'énervait mais cela l'énerva encore plus quand la blonde leva les yeux vers lui afin de lui adresser enfin la parole : « Je dois aller à la bibliothèque. » A la bibliothèque ? A l'heure-ci ? C'était quelque chose de doutable. Elle essayait sans doute de fuir le jeune homme qui voulait mettre carte sur table. C'est vrai, il valait mieux de mettre la situation au clair plutôt que de fuir sans cesse. Enfin fuir, c'était plutôt le fait de trouver une excuse à chaque fois pour ne pas avoir à se parler, sans doute pas calmement mais au moins clairement. Il ne fallait pas éviter cette discussion sinon la prochaine serait bien plus forte en action mais également en haussement de ton de la voix.  « Ysolde Wilkes .Tu es entrain de fuir.  » Graeme avait prit le même ton de la voix que la blonde, c'est à dire parler froidement mais il l'avait également appeler par son nom de famille après. Chose qu'il ne faisait jamais d'habitude. Peut être que tout ça finirait mal finalement et que le couple Graeme-Ysolde ne durera que quelque jours.

HJ: Excuse, ma réponse est à chier

Elle était rancunière, et très méfiante. Ysolde avait trop de fois accordé confiance à des gens et avait découvert les supercheries par le biais de ses visions. Ysolde se protégeait, et… en même temps, à force de se protèger comme ça, elle se faisait du mal, plus que de bien. Goyle et Ysolde ne s’entendaient pas très très bien. Pas du tout même. Ysolde avait longtemps été sous le deux des projecteurs, prefète de sepentard, même prefète en chef, membre de l’équipe de quidditch, alors que Goyle…. Non. elle détestait cette Goyle. Elle la détestait vraiment, elle ne lui avait jamais rien fait, mais cette fille s’obstinait à tout lui prendre, sa popularité, ses titres, et maintenant son petit ami. « Douterais-tu de moi Ysolde? » Douter de lui ? Un peu, elle connaissait les méthodes de Goyle, c’était les mêmes méthodes que la sœur d’Ysolde avait employée pour mettre Ulysse dans son lit, et finir fiancé à lui. Elle avait cru qu’Ulysse ne tenait qu’à elle, qu’il l’aimait, et il avait succombé, elle avait tendance à douter des hommes en général, et de leur capacité à résister aux femmes, elle ne doutait pas de Graeme de façon personnelle, pas du tout elle lui accordait une certaine confiance, mais… la nature humaine garde le contrôle parfois.
Le genre à prendre la fuite, c’était totalement le genre d’Ysolde. Quand ça l’arrangeait, elle était d’un naturel assez franc, peut être même beaucoup trop franc, et des fois, elle était pire qu’une anguille, elle aimait se faufiler entre les mailles du filets et ne pas faire face à la réalité, ni faire face à la confrontation. Alors, vous vous doutez bien que le prétexte d’aller à la bibliothèque était une bien piètre excuse pour ne pas rester là et prendre part à la confrontation. Elle avait toujours un truc à faire à la bibliothèque, elle pouvait y passer tout son temps, il y avait toujours un livre à lire, des recherches à faire sur son don de voyance par exemple. Même si elle avait l’impression d’avoir parcourue tous les ouvrages sur le sujet, il restait certainement un livre qui lui en apprendrait bien plus sur la question. Elle voulait savoir, et ça c’était une bonne excuse, non ? Okay, peut être pas. Bon, en tout cas elle avait réellement envie de fuir, ça ne résoudrait pas leur problème, au contraire. Mais, parler, est ce que cela résoudrait leur problème ? Ysolde ne pensait pas, leur problème s’appelait Goyle, et il y avait d’autre moyen de la faire sortir de leur vie, Ysolde connaissait des moyens peu…. Sympathique, très serpentard. Le jeune homme dit alors : « Ysolde Wilkes .Tu es entrain de fuir. » Graeme avait pris un ton semblable à celui qu’elle avait pris l’instant d’avant. Elle était exaspérée. Mais le « Ysolde Wilkes » faisait plus mal que tout, c’est comme si elle l’avait appelé Reinhaart, c’était… c’était … Ysolde n’avait pas l’habitude. Elle le regarda alors, levant doucement les yeux vers lui. Oui, elle fuyait, parfaitement. « Je ne doute pas de toi personnellement, mais des gars qui en général ne résiste pas bien longtemps à un décolleté comme le sien. » Ysolde était franche. Elle se fichait bien de sa réaction, elle disait ce qu’elle avait sur le cœur, elle se fichait de sa réaction. Il était un homme, les hommes succombent facilement à des filles faciles comme Goyle, surtout quand leur petite amie est comme Ysolde : une fille intouchable dans le sens propre du terme, c'est-à-dire qui est réticente à être dans ses bras, et surtout à finir dans son lit. C’était humain, elle pouvait comprendre, mais ça ne se passerait pas comme ça. Elle leva donc les yeux vers lui, et ajouta : « Je ne suis pas entrain de fuir, Graeme Reinhaart. » Non, elle avait décidé de ne pas partir. La jeune femme avait décroisé les bras, signe peut être qu’elle était plus ouverte à une discussion, mais elle avait l’impression que rien n’allait entre eux, elle ne savait pas à quoi se rattacher. Elle pouvait se rattacher aux sentiments qu’elle éprouvait à son égard, certainement, mais était-ce suffisant ? Ysolde était une fille qui avait sans cesse besoin d’être rassurée, elle se disait que peut être Graeme préférerait une fille comme Goyle plus accessible, plus facile, moins contrariante. Ysolde voulait y mettre du sien, mais devenir une fille facile : non, c’était hors de question.

Reagan Goyle était l'une des demoiselles du château la plus accostée. Pas simplement pour son savoir faire de manipuler les gens, ni même pour son coter malin mais c'était surtout parce qu'elle avait tout, elle détenait tout, tout ce qui était inaccessible pour les autres. Reagan Goyle était la fille, la peste, qui se croyait la bonne de service, prête pour faire des galipettes en dehors du château. Graeme détestait ce genre de femmes, pire, il ne pouvait pas les voir. C'était une femme irrespectable, qui pour de vrai, ne méritait aucun regard, aucun respect car elle n'avait aucune valeur aux yeux des autres, mais la plupart du temps, elle avait tout, tout ce qu'elle désirait et sa, depuis son enfance. Une Goyle quoi. Mais ce qui était le jeune homme, c'était que finalement, elle avait tout prit à Ysolde, qui elle se retrouvait sans rien et comme par hasard, Reagan Goyle c'était retrouver le lendemain avec tout ce que détenait Ysolde sauf Graeme. Voilà pourquoi la brune voulait à tout prit que celui-ci accepte les avances et pire encore. Il fallait s'attendre à tout avec elle. Finalement, qu'est ce qui était le plus dur pour le rouge et or ? De voir sa tendre copine sans avoir le pouvoir, la gloire, la popularité et le respect ? Ou bien de voir cette peste, cette femme sans valeur qui se croyait reine du monde tourner autour de lui ? Et bien, la réponse était la première suggestion. En faite, il aurait voulut qu'Ysolde garde ce qu'elle avait de plus précieux car finalement c'est sa sa vie, c'était ce respect et tout ses regards qui la rendait encore plus femme. Peut être que finalement l'approche qu'avait la brune envers Graeme était un bon plan, un très bon plan, pourquoi ne pas en profiter pour qu'Ysolde reprenne sa place. Seulement cette approche n'était pas apprécier, ni d'Ysolde, ni de lui, pire, sa le détruisait. Pire, sa détruisait son couple qu'il formait avec Ysolde. La blonde décida enfin à regarder le rouge et or dans les yeux, rien que sa, rien qu'un petit regard rendait un peu le jeune homme content, même heureux car depuis quelque temps, c'était carrément un froid, une distance qui les séparait et les bloquait. « Je ne doute de toi personellement, mais des gars qui en général ne résiste pas longtemps à un décolleté comme le sien. » Ysolde avait raison pour certaine chose. Reagan Goyle était une provocatrice et ce n'était pas que le début, elle avait sans doute l'habitude fut ses manies. Reagan était carrément l'une des plus provocatrice du château car oui, il y en avait à Poudlard. Cela n'était pas le début de la nouvelle génération. La serpentarde brune avait la plupart des décolletés, voulant a tout pris les regards sur elle, ce qui la plupart du temps fonctionnait. Sauf que Graeme était bien de trop occuper à regarder sa blonde plutôt que de regarder ailleurs. Mais évidement, les gars sont connut pour être de bon voyeur, voilà ce qui était difficile après de faire changer les intentions. Le jeune Reinhaart appréciait le coter pas facile d'Ysolde, la preuve, elle l'avait recaler sur le canaper et contre toute attente, il avait été content. Content parce qu'il voyait bien qu'Ysolde était différente des autres demoiselles du château, voilà d'ailleurs pourquoi il était tomber amoureux d'elle. « J'ai d'autre chose à faire que de regarder son décolleté. Mais y'a surtout bien mieux à regarder. Genre toi par exemple. » Le jeune homme afficha un petit sourire aux coins de ses lèvres. Il avait du mal à sourire dans un moment comme celui-ci, surtout qu'il essayait de calmé les choses, même si ce qu'il venait de dire était sincère. Et il le pensait vraiment. Seulement la situation d'aujourd'hui ne permettait pas vraiment à Graeme de faire un petit compliment, voir un compliment, sans doute qu'elle le prendrait mal. Il en avait marre de se froid entre eux, pire, la plupart du temps c'était glacial et tout sa de la faute de Goyle. Une brune. Sans valeur aux yeux de Graeme. Pire il sans foutait. « Je ne suis pas entrain de fuir, Graeme Reinhaart. » Chaud. Non froid. Elle l'avait appeler par son nom de famille également. Il n'avait pas vraiment l'habitude à part par ses camarades de la maison ou même pendant les matchs de quidditch quand il y a les commentaires au micro. Mais en ce moment même, Graeme avait la tête ailleurs, en faite, il avait bien envie de faire un plan, ou du moins il avait un plan mais il ne savait pas exactement si Ysolde serait d'accord. Après tout, c'était sa petite amie au jour d'aujourd'hui. « J'ai envie que tu retrouves ta popularité, le respect... Moins les regards mais je suis prêt à beaucoup pour que tu retrouves tout sa. Goyle pourrait bien nous être utile. Je ne pense pas que d'être rejeter en public lui plairait, surtout pas dans la grande salle. » Son sourire s'agrandissa sur ses lèvres. Il avait en ce moment un plan et il avait bien envie de le mettre en œuvre. Tout ça pour faire du mal à Reagan et qu'Ysolde retrouve sa popularité.

Elle n’était pas une garce du tout, pas une garce du genre à déboutonner son chemisier pour attirer les regards et les égards des garçons. Ysolde n’avait jamais vraiment eut besoin de… déboutonner sa chemise, jouer l’ingénue, faire semblant d’avoir besoin d’aide pour une chose stupide en pouffant comme une pauvre fille. Non, Ysolde n’avait eut qu’à ignorer les gens pour devenir intéressante. Le mythe de la fille inaccessible, en quelques sortes. Ysolde était la fille insensible, elle ne daignait accorder de l’attention à un garçon que s’il avait un intérêt pour elle, ou que s’il lui plaisait. La jeune femme avait du mal à s’intéresser à un garçon, alors quand c’était le cas, il fallait mieux que le concerner soit intéressé lui aussi. Mais, elle n’avait jamais vraiment eut de problème avec ça. Tout ça pour dire qu’elle ne ressemblait pas à ces filles désespérer qui ouvre leur chemise jusqu’au nombril pour attirer l’attention de quelqu’un. Plus Ysolde jouait la fille angélique, et non intéressé, plus cela avait attiré de garçon, il en fallait pour tout les goûts. « J'ai d'autre chose à faire que de regarder son décolleté. Mais y'a surtout bien mieux à regarder. Genre toi par exemple. » Autre chose que son décolleté ? Peut être bien, mais en attendant, elle aurait juré l’avoir vu s’y intéresser. Cette fille avec son décolleté, c’était comme si Duncan venait se pavaner devant Ysolde torse nu, et qu’Ysolde regardait ça avec attention. Sauf que Ysolde ne le ferait pas, elle n’avait pas besoin de voir Duncan torse nu pour savoir ce que ça faisait. El fait du pesée lui donna envie de gifler elle-même avec violence. Elle et duncan = passé, c’était juste qu’elle n’avait pas franchement eut l’occasion de voir Graeme torse nu pour penser à lui. Lui en revanche lui assurait qu’il y avait mieux à regarder, comme la jeune femme qu’elle était. Elle avait tendance à le croire, mais elle pouvait toujours avoir le doute, elle en avait déjà eut la preuve. La preuve par Ulysse qui luia avit juré de l’aimé, et qui avait fini dans les bras de sa sœur. Elle avait le droit de douter, plus que quiconque. Douter de Graeme était une mauvaise chose, mais c’était plus fort qu’elle. Elle l’avait vu affiché un petit sourire au coin de ses lèvres. La jeune femme, elle était incapable de sourire, elle était trop sur les nerfs en ce moment, beaucoup trop sur les nerfs. Un sourire lui demanderait un drôle d’effort. Il venait de lui faire un genre de compliment, certes mais Ysolde était énervée, vraiment, alors, il fallait un peu plus qu’un compliment pour la faire sourire, et desserré la mâchoire. Il poursuivit ensuite : « J'ai envie que tu retrouves ta popularité, le respect... Moins les regards mais je suis prêt à beaucoup pour que tu retrouves tout sa. Goyle pourrait bien nous être utile. Je ne pense pas que d'être rejeter en public lui plairait, surtout pas dans la grande salle. » Graeme pensait tout savoir de la popularité, mais il n’en savait rien. Ysolde savait ce que c’était d’être aimée, et crainte à la fois, cette étrange sensation de respect, la foule qui se sépare en deux, telle la mer rouge quand vous descendez le couloir. Elle se souvenait de ces moments là, et savait qu’il serait dur de tout récupérer, mais, Goyle n’était pas le chemin de la réussite, pas pour Ysolde. Pour elle, l’homme à abattre était Amadeus Black, ce stupide crétin de sang pur, homosexuel refoulé – Ysolde n’avait rien contre les homos mais le fait qu’il soit dans le déni le rendait tellement peu crédible. « Arrête ça s’il te plait, comme si tu pouvais jouer avec Goyle. C’est le genre de fille qui maitrise les règles de son propre jeu, elle a une longueur d’avance, elle ait comment réagir si tu tombe dans ses filets, même si tu le rejette publiquement. Ne crois pas que tu peux jouer avec elle. » Elle était sérieuse, on ne jouait pas comme ça avec cette fille. Ysolde connaissait le genre, toujours une longueur d’avance, comme elle, autrefois. « C’est gentil de ta part de vouloir m’aider, mais ça pas comme ça que tu arriveras. » Elle n’avait même pas relevé le compliment, non, elle avait baissé les yeux. Par Merlin qu’est ce qu’elle détestait cette fichue garce, vraiment. Ysolde avait son sac sur l’épaule, et attrapa la lanière avec ses mains, cherchant désespérément à les occupé, elle détestait les laisser juste libre, comme ça. Elle leva les yeux vers Graeme, elle n’avait pas besoin d’aide, du moins c’est ce qu’elle croyait.

Le pouvoir, c'était tout ce qui avait de l'importance pour Graeme. Le sang il sans foutait, la magie noir il sans foutait, l'origine des maisons il sans foutait bien, d'ailleurs il ne faisait pas de différence pour ça, pas comme d'autre qui disait que Serpentard et Gryffondor ne pouvait pas bien s'entendre et pourtant, il n'y avait cas regarder Ysolde et Graeme qui était tout deux l'un des étudiants de ces deux maisons. On ne dirait pas, mais Graeme était intéresser par le pouvoir. Il aimait sa. Un jour, il avait même voulut devenir populaire en devenant joueur de quidditch étant donner qu'il était un bon joueur. En faite, il préférait d'avoir tout les regards quand il était concentré sur quelque chose ou entrain de faire quelque chose plutôt que d'avoir tout les regards sur lui pendant qu'il marche ou qu'il vagabonde dans les couloirs la nuit ou même le jour. Mais ce temps avait bien changer, aujourd'hui, il était encore en admiration envers le pouvoir, il voulait devenir le meilleur sorcier, l'un des meilleurs étudiants que Poudlard n'avait jamais connu encore mais il y avait encore beaucoup de marche à faire . Mais il ne baissait pas les bras, bien au contraire, il essayait de devenir le meilleur de la classe. Il levait la main sans cesse, du moins quand il savait la réponse. Il était comme classé dans les plus intelligents. Il écoutait le cour même quand il regardait Ysolde il était attentif à ce que disait les professeurs. Il n'était pas le perturbateur de classe, non loin de là, il savait que les cours était important afin de pouvoir réaliser son rêve , devenir astrologue. Beaucoup le prenait pour un fou, parce que d'après beaucoup d'étudiant ou la plupart en tout cas, disait que les étoiles ne signifiait rien et pourtant,elles en disaient long. Mais Graeme, avait toujours eu le regard sur les gens, ouais c'était un jeune homme très observateur, il aimait être au courant de tout et quand une baston entre camarades se faisait, il était le premier à se mettre dans la foule afin d'arrêter celle-ci. Disons qu'il était la voix de la sagesse. Non plus précisément, il détestait que quelqu'un le dépasse, il n'aimait pas perdre, voilà ce qui faisait de lui un battant. Toujours fait plus pour gagner plus. Graeme avait parler d'un plan afin de rabaisser Reagan Goyle dans la grande salle et en plus de sa, devant tout le monde, seulement la blonde n'avait pas vraiment l'air d'accord, d'ailleurs elle en fit par au jeune homme : « Arrête ça s’il te plait, comme si tu pouvais jouer avec Goyle. C’est le genre de fille qui maitrise les règles de son propre jeu, elle a une longueur d’avance, elle ait comment réagir si tu tombe dans ses filets, même si tu le rejette publiquement. Ne crois pas que tu peux jouer avec elle. » Pourquoi ne pouvait-il pas jouer avec elle ? Cela devait plutôt être marrant, de pouvoir la rabaisser devant tout le monde, que tout le monde se foute de son visage, jusqu'à ce qu'elle en ai les larmes aux yeux. Ouais, Graeme pouvait faire le mal parfois mais seulement quand il voulait, un peu comme tout le monde. Tout le monde à une part de froid mais surtout de noir chez soit, c'est bien prouver et depuis de nombreuses années d'ailleurs. Graeme avait bien envie de montrer à Reagan qui était les patrons, mais comment faire quand on est bien loin d'être le number one du public, qu'on est bien loin de tout ce qu'avait Reagan. Le rouge et or n'avait pas besoin de respect car il préférait ne pas être apprécier, cela était une bonne chose pour n'avoir que peu de camarade. Mais la popularité, c'était quelque chose qui peut être apprécierait-il encore, enfin, la question n'est pas là car il voulait qu'Ysolde retrouve tout ce qu'elle avait perdue. « C'est gentil de ta part de vouloir m'aider, mais ça pas comme ça que tu arriveras. » Alors comment pouvait-il arriver à avoir Reagan pour lui faire du mal ? Ysolde avait l'air dans savoir bien plus sur le caractère et la façon d'agir de la brune. Tandis que le blond lui, n'en savait rien, il n'avait pas vraiment l'habitude de préparé un plan mais pourtant celui-ci avait l'air d'être pas mal. Il fallait que Reagan souffre, souffre autant qu'elle pouvait souffrir, pleurer autant qu'elle pouvait verser des larmes, de douleur mais également de souffrance. Peut être que Graeme pourrait être son point faible, sa seule faiblesse. Enfin, sa blonde, elle, ne voulait pas d'un plan comme celui-ci. « Alors propose moi un truc. N'importe quoi pour l'anéantir, toi qui connaît si bien ce genre de caractère, ce genre de comportement. » Graeme disait vrai. Ysolde avait l'air de connaître ce genre de comportement débile mais surtout de gamin riche. Après tout, Ysolde avait eu ce genre de comportement pendant un moment. De prendre les gens de haut, de ne pas les regarder, juste apprécier leurs regards. Et de montrer que nous sommes là.

Une jeune femme comme Ysolde était autrefois était une jeune femme assez manipulatrice ; à l’époque, elle ne laissait personne lui dicter qui être, quoi penser, quoi faire, avec qui être, comment agir. La jeune femme était libre d’être une sale garce, et tout le monde le vivait bien, même très bien. Elle avait éliminé pas mal de garce de son chemin, du chemin qu’elle eut tout tracé devant elle. Mais les garces dans le genre de Goyle avaient toujours été des coriaces, des filles… tellement garce qu’elles semblaient être capable de tout. ce genre de fille avait toujours fait « peur » à Ysolde, avec elles, il faut leur faire croire que vous meilleure qu’elle, que vous les battez dans toutes les catégories, leur montrer que vous êtes supérieur, prêt à tous les écraser sans merci, parce que vous n’avez pas de cœur. Ysolde avait réussi pendant longtemps à garder ces harpies loin de sa vie personnelle, mais quand vous montrez un signe de faiblesse, elles sont là, prête à vous poignardez dans le dos pour prendre tous ce que vous possédez. C’était ce qui était arrivé à Ysolde : elle avait commencé à tombé, et ce genre de fille avait précipité sa chute, notamment sa sœur, notamment Goyle. Les combattre, c’était une autre paire de manche. « Alors propose moi un truc. N'importe quoi pour l'anéantir, toi qui connaît si bien ce genre de caractère, ce genre de comportement. » Le soucis était que si ysolde pouvait réellement battre ce genre de personnes, elle ne serait pas encore dans cette merde. Si elle était capable de les abattre, elle ne serait pas dans cette situation, elle marcherait droite dans les couloirs, la tête haute, les gens recommenceraient à se dispercer à son passage, de peur de finir sous le joug de la colère de la jeune femme : comme autrefois. Seulement, elle était encore loin de tout ça, elle n’était plus capable de faire peur, elle n’était plus capable d’être tellement odieuse que la personne qu’elle insultait finissait inévitablement par fondre en larme. Ysolde s’en prenait souvent aux aptitudes intellectuelle dans gens autrefois, elle c’était toujours fichue de leur physique, et n’avait jamais discriminé sur ce point, elle réprimandait d’avantage les gens débiles, elle détestait les gens incapable de se servir d’une baguette de façon correcte. Ysolde était compliquée, forte, mais battre ce genre de garce ne faisait pas parti de ses capacités. Alors quand Graeme lui demandait ce qu’il fallait faire pour l’anéantir, elle n’en savait rien, elle se sentait tellement impuissante, ce genre de fille appliquaient le dicton « ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort », elles étaient fortes, c’était ça le problème, elle se nourrissaient des faiblesses, des échecs. Si Graeme tombait dans son jeu, elle gagnerait, s’il la repoussait, elle essayerait d’avantage, gagnant d’avantage à être une sale garce. « Je ne sais pas. Je ne peux pas, je ne suis plus assez forte pour détruire ce genre de fille. Je ne le serais plus jamais. » Elle avait toujours été une fille forte, même très forte. Elle savait ce qu’elle voulait, et savait la plupart du temps comment l’obtenir, mais, cette fois, elle ne savait pas du tout comment la vaincre, elle bénéficiait du soutien des sangs purs, on ne reverse pas le pouvoir actuel en claquant des doigts. Ysolde savait qu’elle avait perdu cette place, et ne tenterait plus rien pour la retrouver, essayer cela lui faisait plus de mal que d’admettre qu’elle n’aurait plus jamais cette place ; pour avancer il fallait admettre la vérité, c’était le premier pas d’une nouvelle vie. La jeune femme regarda Graeme, ils étaient tellement distant que ça lui faisait mal.

« Je ne sais pas. Je ne peux pas, je ne suis plus assez forte pour détruire ce genre de fille. Je ne le serais plus jamais. » Graeme regardait chaque émotion du visage de la blonde qu'elle pouvait dégager. C'était assez bizarre ce froid entre eux, même l'écart qu'il y avait entre eux. D'habitude, il y avait au moins un seul contact. Cette fois-ci il n'y avait rien. Pas un seul sourire était décrocher de leurs visages, pas un seul moment d'affection, rien , même pas un moment d'intention. En faite, le jeune homme était bien de trop occuper par ses pensées car la situation ne faisait qu'aggraver les choses. Ce n'était plus comme les autres jours, ou il y avait Graeme et Ysolde ensembles, non, aujourd'hui c'était une grande distance qui les tenait l'un écarter de l'autre. Et tout ça pourquoi ? Pour une demoiselle du château, qui savait très bien comment si prendre pour foutre la merde dans les couples mais bien plus encore. Cette fille était connut pour faire le mal, partout ou elle passait, il y avait quelque chose qui se tramait. Le jeune Reinhaart voulait vraiment que cette brune de serpentard perde tout, tout comme ses amis, ses envies, sa popularité, tout ce qu'elle détenait. Mais était-ce vraiment le plus important ? Ne devait-il pas pour le moment se préoccuper de son couple qu'il formait depuis peu avec Ysolde ? Et c'était bien ça l'un des premiers problèmes. Cela faisait très peu de temps qu'il était avec elle et c'était un froid qui était déjà apparut. Le jeune homme avait sans doute eu les pensées sur son plan et en avait oublier sa blonde mais il n'aimait pas vraiment cette situation ou personne ne parlait, laissant un blanc entre eux, ou il n'y avait que les regards pour tromper. Le rouge et or avait écouter attentivement ce que venait de dire la blonde, mais quand il y repensait, il se disait que la blonde n'était pas seule, non puisque lui était présent à ses cotés, même si en ce moment ce n'était pas vraiment ça. En faite, à chaque moment qu'Ysolde faisait son apparition, il y avait toujours eu cette brune près de lui, enfin près de lui, c'était surtout à coter. Reagan ne le lâchait plus et cela l'agaçait, mais il ne disait rien car il pensait vraiment qu'elle était le seul moyen pour qu'Ysolde retrouve tout. Il se doutait bien que tout ça n'était pas arriver par hasard, non, d'un coup, Graeme et Ysolde s'affiche en couple étant donner qu'il lui avait demander d'être sa petite amie ou du moins devenir celle-ci. Et comme par hasard, Reagan Goyle fait son apparition alors qu'auparavant elle n'avait jamais adresser la parole au rouge et or. Mais évidement tout cela n'est que ce que pensait le jeune Reinhaart. Seulement même si le blond n'avait rien dit, sa serpentarde lui manquait. En faite, il détestait ce froid mais il savait qu'il était également l'auteur de cette distance. Si le jeune homme avait repoussé Goyle depuis des jours, il n'aurait pas à affronter sa blonde dans les yeux ou il voyait le mal qu'il faisait.  « Je préfère la repousser avec les mots plutôt qu'avec la violence. Voilà pourquoi tu ne me vois jamais la repoussé physiquement. Elle veut simplement devenir une copie de toi qu'elle ne sera jamais. Parce que tu es unique. » Voilà encore un compliment que faisait Graeme à Ysolde. Le deuxième en une matinée. Mais cela ne changeait rien à la situation et il le savait. Voilà pourquoi il n'adressait aucun sourire. Le jeune Reinhaart avait l’impression que ce froid allait rester pendant un bon petit bout de temps mais il n'aimait pas avoir cette pensée là car être en froid avec elle signifiait de ne plus avoir de passion dans les gestes, dans les yeux. Ysolde était devenue le rayon de soleil du blond, il ressentait comme le besoin d'elle chaque jours, de l'apercevoir en cours, pour savoir qu'elle était en sécurité mais également pour que les journées passent plus vites.  « Et tu ne seras jamais seule pour combattre qui que ce soit. A deux on est toujours plus fort. Du moins toujours plus fort que quand nous sommes seul. » Wouah ! Pour une question de logique c'était du logique ! Graeme Reinhaart venait de toucher au top de son intelligence ! Même si cela n'était pas vraiment spectaculaire comme en cours.

la jeune femme n’aimait pas qu’on lui prenne ce qu’elle avait. Cependant, le temps, la vie lui avait pris beaucoup trop de chose déjà. La vie lui avait pris sa mémoire pendant onze longues années, la privant ainsi des souvenirs de son enfance, des souvenirs de sa mère, des souvenirs de famille, de sa tante. La jeune femme avait beaucoup perdu, nottament une chose terrible : sa mère. C’était la chose la plus terrible que lui avait pris la vie. elle était partie avant même d’avoir vu sa fille dépasser l’âge de sept ans, et dans un dernier instant elle avait préférer sauver sa fille, plutôt qu’elle. Le pire dans tout ça était qu’Ysolde avait vu cet accident en vision quand elle était jeune et quand elle en avait parler à sa mère, celle-ci lui avait dit de ne pas s’inquièter. Après cela, elle n’avait jamais eut de vision, sauf l’année dernière, dans la cabane hurlante. Elles étaient revenue comme pour lui rappeler qu’elle avait perdu quelques choses. Les visions l’avaient guidé versa sa mémoire, mais cela blessait vraiment. Ysolde avait perdu son statu de sang pur, sa popularité, son statu de fille respectée et respectable, il ne lui restait finalement plus grand-chose, et cette garce était sur le point de vouloir lui voler Graeme. « Je préfère la repousser avec les mots plutôt qu'avec la violence. Voilà pourquoi tu ne me vois jamais la repoussé physiquement. Elle veut simplement devenir une copie de toi qu'elle ne sera jamais. Parce que tu es unique. » La repousser avec des mots ? cette fille se fichait des mots, ysolde ne savait même pas si cette fille savait écrire, ou même lire. Enfin c’était un peu trop peut être mais cela montrait l’estime que portait Ysolde à cette fille, autrement dit : aucune. Même si cette fille voulait être une copie d’elle ( et c’était flatteur ) mais… Ysolde ne l’aimait toujours pas, elle la détestait même de plus en plus, elle se souvint alors d’une image où elle était presque complètement collé à Graeme en cours. Les mots, elle allait lui en donner tient ! il avait beau avoir préciser qu’elle était unique – ce qui était vrai – elle s’en fichait bien ! Oui, ysolde était unique, blonde, belle, intelligente, lunatique, manipulatrice, rayonnante, froide, drôle, mesquine, et voyante. Il n’y en avait pas vraiment deux comme elle, et cela lui allait très bien comme ça, très bien même. « Et tu ne seras jamais seule pour combattre qui que ce soit. A deux on est toujours plus fort. Du moins toujours plus fort que quand nous sommes seul. » Sa battre à deux ? était-il sourd, ou stupide ? On ne peut pas battre une fille comme ça. C’est le genre de fille qui ne tient à rien, sauf à elle-même, elle n’était pas facile à atteindre, on ne pouvait lui voler personne. Ysolde poussa un léger soupire. Elle aimait Graeme, bien sur mais en ce moment, tout devenait de plus en plus compliquée.« Bien sûr, c’est tellement plus drôle de la laisser se coller outrageusement à toi. » Ysolde esquissa un faux sourie l’espace de deux secondes, et retrouva une mine beaucoup moins radieuse. Tellement moins. Elle ajouta ensuite : « La repousser avec des mots, c’est comme demander à un analphabète de lire un livre… Oh, j’oubliais cette fille est analphabète. » De la réplique cinglante à la Ysolde. Oui, Ysolde avait une sacrée répartie, oui c’était une de se grandes qualités qui faisait que beaucoup de gens préférait éviter d’affronter la jeune femme. « Je suis fatiguée de combattre, j’ai déjà à faire avec cet abruti de Black qui veut ma peau. » Oui, Black lui faisait assez de mal comme ça, elle en avait assez d’être tout le temps sur le qui vive. Elle en avait marre de devoir se battre, pourquoi ne pouvait-elle pas seulement vivre, comme tout le monde ? Elle voulait être une fille normale, ne pas avoir de soucis grave, d’ennemis sanglant, d’un père psycopathe, une sœur cinglé, une mère morte, un frère mort, bref.

Reagan Goyle était la femme qui détenait tout et quand le jeune homme pensait tout, c'était vrai tout. Il comprenait pourquoi Ysolde avait peur, ou du moins ne pouvait pas se confronter à sa car oui c'était un gros cas comme gonzesse. En cours, elle n'écoutait pas, elle jouait juste à la charmeuse auprès de Graeme qui lui, serrait souvent les dents pour ne pas hurler et crier en plein cours. Reagan Goyle était sans doute la pire des serpentards qu'il est vu, évidement bien après le comportement qu'il avait vu une fois en regardant Ysolde avec son ex petit ami qui à présent était porter disparu. Tant mieux d'ailleurs. Graeme n'avait jamais été confronter à une situation comme celle-ci. Il avait déjà tenu ses distances avec Ysolde quand celle-ci était avec Lestrange, en faite, il s'était rendu compte de beaucoup de chose quand Ysolde était auprès de l'autre mais aujourd'hui qu'il avait la chance car oui c'était une chance qui lui était donner par elle, une femme venait se mettre entre eux pour foutre la zizanie. Chose qui réussissait pour le moment. A la perfection mais il fallait que cela s'arrête, la situation ne pouvait plus durée, c'était déjà trop d'avoir une brune sur son dos, ou avoir la main de celle-ci sur son genou. Non, lui préférait totalement ce qu'il vivait avec la blonde, il n'était pas le genre de jeune homme à aller voir ailleurs, même si c'était l'étiquette que toute les gonzesse posait sur le front des mecs à présent. « Bien sûr, c'est tellement plus drôle de la laisser se coller outrageusement à toi . » Ah les femmes, toujours aussi jalouse, cela ne changeait pas depuis des générations. Graeme avait vu des femmes jalouses avec leurs gars pour rien mais également pour tout. Parfois, il ne comprenait pas le fait de toujours avoir quelqu'un si son dos mais parfois, c'était pas plus mal quand on voyait le nombre de connerie que beaucoup peuvent faire. Mais cela était également une phrase pour les hommes comme pour les femmes car personne n'est parfait. C'était une base même, c'était grâce à cela que la plupart des couples se complétait. Il n'y avait cas voir Graeme qui quand il s'énervait, il n'y avait qu'une personne qui pouvait l’apaisé, le calmé. Ysolde. Il n'y avait qu'une personne pour le faire sourire au jour d'aujourd'hui et c'était elle. Quand il était avec elle, c'était comme si le monde se mettait contre eux et qu'ils étaient seuls à se battre contre tous. Quand il était près d'elle, il ne voyait qu'elle et c'était ça qui faisait la différence de tout les autres. Eux, les autres étudiants, n'avait vu Ysolde que par sa popularité, ils ne l'avaient vu que parce qu'elle avait été bien placer pendant des années. Lui, Graeme, ne voyait Ysolde que parce qu'il était amoureux, très amoureux seulement il était incapable de dire ce qu'il ressentait exactement ou le lui faire ressentir. Pourtant depuis leur début de relation, il avait fait des efforts afin d'être démonstratif.  « En aucun cas c'est moi qui le lui demande ! J'ai bien mieux à faire! » Le jeune homme savait bien qu'elle n'appréciait pas qu'on s'approche trop de lui, il le savait, mais il ne disait rien à Reagan. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que le Reinhaart pouvait très bien être manipulateur quand il le voulait mais également quand il le pouvait. Ce n'était pas facile de manipuler les gens quand nous avons jamais manipuler auparavant, mais il y avait un début à tout pas vrai ? Graeme remarqua un sourire pas comme les autres sur le visage de sa blonde. C'est à dire un faux sourire. Il laissa alors la blond prendre la parole après avoir adresser un faux sourire à celui-ci : « La repousser avec des mots, c'est comme demander à un analphabète de lire un livre... Oh,j'oubliais cette fille est analphabète. » Cette phrase ou plutôt cette remarque fit sourire le rouge et or. Un vrai sourire. Comme il en avait pas fait depuis le grand froid qui était apparu entre lui et sa blonde. Il voyait bien que sa Ysolde était en face de lui mais que c'était la brune la cause dans l'histoire. Voilà pourquoi Graeme voulait à tout prit se venger et faire payer la brune de tout ce qu'elle pouvait faire au château. Elle ne faisait que le mal et lui ne faisait que le bien. Enfin il pouvait très bien faire le mal quand on sans prenait à Ysolde ou bien a lui. Il était simplement prévenant. Depuis qu'il avait promit à Ysolde de ne plus se battre, il s'était vraiment calmé. Comme quoi il était attentif. « Je suis fatiguée de combattre, j'ai déjà à faire avec cet abrutit de Black qui veut ma peau. » Black. Il avait entendu parler de lui. Exactement ! Il se souvenait d'une discussion entre mec qui avait fini avec ce nom dans la bouche Elias. D'ailleurs Graeme n'avait jamais comprit pourquoi Elias se battait contre les sang pur alors que le mec avec qui il sortait était de sang pur. Roméo et Juliette version Gusto était fini. Cela n'existait pas. Il fallait ouvrir les yeux parfois. La réalité prenait toujours place un beau jour ou on si attend le moins. Le jeune homme s'approcha alors de sa blonde et remit la mèche de celle-ci en place doucement. Cela faisait longtemps quelque jours qu'il n'avait pas osé. Finalement peut être que se rendre compte que Reagan Goyle était bien de trop supérieur à eux pouvait les rapprocher. Les rendre plus forts. Du moins c'est ce qu'il espérait.  « Alors ne te bat pas. La situation ne nous rendra que plus fort face à elle. Après tout, elle est bien de ressentir ce que nous ressentons l'un pour l'autre. Pas vrai? » Le rouge et or se rapprocha encore plus de la blonde en ne la lâchant pas du regard afin de posé une de ses mains sur sa taille.

« En aucun cas c'est moi qui le lui demande ! J'ai bien mieux à faire! » C’est pas moi, c’est sa faute à elle. Digne d’un gamin de première année, et encore. Il avait mieux à faire, comme quoi par exemple ? Matter la fameux décoleté de la trainé qui était assise à côté de lui ; en cours, elle – Ysolde – bossait tandis que monsieur était collée à cette garce, elle avait sincèrement de quoi être hors d’elle, non ? La réponse est oui, qu’il le veuille ou pas, c‘était indéniable, elle le collait, tout le monde le voyait, et Ysolde passait presque pour une fille trompée, c’était dire. « Repousse- là alors ! Fais quelque chose ! » Ysolde était profondément exaspéré par ce genre ce réaction. Il ne demandait rien mais la laissait se coller à lui sans rien dire, quelle belle attitude ! Les hommes en profite, que ça soit conscient ou pas, Ysolde savait que ça devait quand même bien lui plaire de voir cette trainée collée à lui. Elle palliait peut être au manque physique du jeune homme qui avait hérité d’une petite amie assez peu confiante et distante vis-à-vis des contacts physiques. Qu’il veuille l’admettre ou pas, il en profitait. Il allait peut falloir qu’elle cesse d’être si distante physiquement de lui si elle comptait le garder comme petit ami, avant que tôt ou tard – même s’il l’aimait – il décide d’aller voir une fille beaucoup plus réceptive. Ysolde n’était pas du genre à se vendre physiquement, mais s’il fallait ça pour garder Graeme, elle ferait bien une exception.
Elle détestait Black, vraiment. Et dire qu’il l’avait apprécié pendant des années, juste à cause de son sang, et qu’aujourd’hui, il menait la vie impossible à Ysolde. Et lui, il couchait avec un sang mêlé : cherchez l’erreur. Elle ne avait marre de lui, c’était peut la première fois qu’elle en parlait à Graeme, elle n’était pas du genre à se plaindre, mais cela devenait les truc de trop dans sa vie. le jeune homme fit un pas en avant pour remettre en place un mèche rebelle de la jeune femme. Elle apprécait ce geste, cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas été aussi proche l’un de l’autre. Elle aimait être proche de lui, ça lui manquait depuis quelques temps, elle aurait aimé être dans ses bras le soir dans la salle commune, mais ils n’étaient pas dans la même maison, cela n’était pas possible. Et puis, en cours, ils étaient séparé l’un de l’autre, alors, ça n’aidait à être proche l’un de l’autre. il dit alors : « Alors ne te bat pas. La situation ne nous rendra que plus fort face à elle. Après tout, elle est bien de ressentir ce que nous ressentons l'un pour l'autre. Pas vrai? » Ce qui ne nous tue pas, nous rend plus fort ? Ysolde avait tendance à ne pas trop croire à se dicton, elle croyait plutôt que ce qui ne nous tuait pas nous rendait un peu plus faible à chaque fois, détruisant de façon progressive notre nous intérieur. Il ne la lâchait pas des yeux, et s’aventura même à poser ses mains sur la taille de la jeune femme, c’était peut être risquée quand elle était énervée. Elle voulu pousser un soupire mais se retint alors, quand elle articula : « Ouais… » Un simple mot suffisait. Elle ne pouvait certainement pas aimé Graeme comme Ysolde l’aimait, elle doutait même des capacités de cette fille à aimé, alors… elle n’avait pas de soucis à se faire sur ce point, elle avait Graeme pour elle, au moins pour un certain temps, on ne peut jamais être sûr que cela va durer. La jeune femme regarda alors le jeune homme et se laissa esquisser un sourire fin qui dura à peine une seconde. Elle ne l’avait pas repoussé avec ses mains sur ses hanches. Ysolde se mordit alors la lèvre inférieur avec douceur, et laissa échapper un fin soupire entre ses lèvres. Elle regardait Grae, non, elle le fixait. La jeune femme lâcha alors son sac sur le sol, et passa ses mains autours du cou de Graeme, contre toute attente, elle l’embrassa d’abord tendrement, puis avec passion, si Goyle passait dans le couloir, qu’elle voit ça, cette garce. Etre plus « physique » était un bon moyen de garder l’attention de Graeme avant que celui-ci ne songe à aller voir le décolleté de cette garce de plus près.

Le jeune homme n'avait jamais vu Ysolde aussi prévenante, aussi froide envers lui quand c'était sur un sujet comme celui-ci. Bon évidement il y avait eu le moment ou Graeme avait complètement été distant envers elle quand il avait sut pour elle et Pevensie. Il avait mal prit le fait qu'un jour avant leur rendez-vous, celui-ci est vu sa serpentarde avec ce rouge et or au parc. Mais il était vraiment tomber par hasard. Aujourd'hui, c'était Ysolde qui réagissait drôlement, c'était à la fois froid mais également comme une part de jalousie qui naissait. Ce qui était normal dans un couple non ? Le jeune homme avait été une fois jaloux dans sa vie, c'était quand il avait vu la blonde avec le serpentard. D'ailleurs il avait eu beaucoup de mal à la voir avec lui mais aujourd'hui, c'était lui qui avait cette chance, la chance de pouvoir la regarder, voir mieux que ça, l'admiré. Mais dans les habitudes d'Ysolde, quelque chose clochait. C'était sans doute le fait qu'aucune autre demoiselle du château auparavant avait coller Graeme ou avait été attiré par lui. Pourtant il y avait de quoi faire avec lui. Mais non, premièrement il n'avait jamais trouver de demoiselle qui lui plaisait et pourtant au château, il y en avait des pas mal, des bien foutues et tout ce qui va avec. Mais non, jamais quelqu'un l'avait vu en couple ou en relation sauf au jour d'aujourd'hui car il s'affichait depuis peu avec Ysolde. Avant, il faisait attention à tout ses gestes envers elle pour ne pas que quelqu'un ne les grilles, mais aujourd'hui non, a part évidement le froid qu'il y avait entre eux. Malheureusement car celui-ci détestait être en froid avec elle. La dernière fois, il l'avait évité et cela avait mise la blonde en colère, pire que ça, elle l'avait carrément prit par l'épaule afin de le stopper net sur place. Ce qui d'ailleurs avait étonner le rouge et or qui ne pensait pas capable la blonde d'avoir une force comme celle-ci en étant énerver. Evidement en étant énerver tout changeait, il fallait mieux parfois se méfier des gens. Mais Graeme n'avait pas peur d'Ysolde comme les autres, bien au contraire, il trouvait son coter froid et manipulatrice très intéressant. Parfois prévenante dans ses paroles et c'était intéressant de la voir dans différente situation. « Repousse-là alors ! Fais quelque chose ! » Ceci était le signal qu'il était grand temps de repousser la brune, cela ne le dérangeait pas car c'était devenu lourd de devoir supporter le brune mais cette femme était complètement dingue. Il n'y avait cas voir l'autre soir quand elle était venue dans les toilettes des mecs alors qu'elle savait très bien que Graeme était à l'intérieur car celui-ci avait fuit étant donner qu'il croyait que c'était la grosse dame ou bien un de ses esclaves. Sauf que cela, Ysolde n'en savait rien car il savait qu'elle s'occuperait de son cas. Pas celui du rouge et or mais de la brune. Ce qui ne le dérangeait guère mais tout de même. Ysolde par énervement était capable de beaucoup mais peut être que c'était le moment de le lui dire. Être sérieux et sincère dans une relation, c'était la base non ? « Cette gonzesse est tarée ! La dernière fois elle est carrément venue dans nos toilettes ! Tu veux faire quoi avec une gonzesse comme ça. » Chose qui était vrai. Que pouvait-il faire ? Étant donner que la gonzesse brune de serpentard se croyait tout permis, pire que ça, elle se prenait pour une reine étant donner que tout le monde lui faisait de la place quand elle arrivait. Voilà pourquoi Graeme avait eu l'envie de la blessé qu'avec les mots car c'était ce qui faisait le plus de mal. Graeme s'était rapprocher d'Ysolde, un contact qui lui avait manquer depuis quelque jours. En faite, les situations comme celle d'aujourd'hui n'était jamais facile car il avait toujours envie d'avoir au moins un seul contact avec sa blonde. Si ce n'était pas fait avec le contact, cela était forcément fait par le biais du regard. Il fallait toujours qu'il y est quelque chose. Le jeune homme ne lâcha pas la blonde des yeux quand elle prononça : « Ouais... » Cela voulait dire tellement de chose. Ne croyait-elle pas à ce que disait le blond qui avait été sincère depuis le début avec elle. Qui lui avait seulement cacher le fait que la brune était rentrer dans les toilettes des garçons un soir après qu'il l'est ramener. Évidement que cacher quelque chose dans un couple était mal mais il espérait qu'elle comprenne. Graeme s'était encore plus rapprocher de sa blonde, jusqu'à remettre en place une des mèches de cheveux à la blonde. C'était un geste qu'il faisait souvent, un geste qui apaisait. Il savait si prendre avec elle, c'était totalement naturel. Soudain, la blonde regarda le blond à son tour. Il ne savait pas exactement ce qu'elle comptait faire mais ce qui arriva n'était pas plus mal vraiment. Il regarda la verte et argent posé son sac par terre et passé ses bras autour du coup du Reinhaart qui en profita pour l'admiré au complet. Comme il aimait tant faire. Puis la blonde embrassa le rouge et or, d'abord en l'embrassant tendrement puis d'une autre façon différente. C'est un baiser totalement passionnel qui fit son apparition au couloir entre les deux jeunes. Graeme sans fichait pas mal qui puisse avoir du monde qui passe et qui les regardes. Après tout, c'était pas plus mal comme ça, tout le monde pouvait voir qu'Ysolde était avec Graeme Reinhaart et qu'elle n'était plus seule ! C'était sans doute une façon pour que les autres types du château voit qu'Ysolde était la copine du rouge et or. Que c'était la sienne. Et non celle-ci d'un autre. En particulier il aurait apprécié que Pevensie passe par ici. Cela lui aurait bien plus de voir la sale tête de ce mec entrain de voir Ysolde embrasser le rouge et or blond. Ysolde embrassait souvent de cette manière Graeme mais seulement quand ils étaient seuls pas quand il y avait du monde dans les parages. D'ailleurs il trouvait cela bizarre mais il appréciait. Cela lui avait vraiment manquer d'ailleurs le blond en profita pour tirer doucement sur la lèvre inférieur de la serpentarde puis de relâcher celle-ci. Et bien, nous dirons que les retrouvailles était très bien fêter. Mais cela ne l'empêcha pas de murmuré doucement à la blonde :« J'ai l'habitude que tu m'embrasses de cette façon seulement quand nous sommes seuls. Tu n'aurais pas par pur hasard une idée derrière la tête ? » Un sourire s'afficha sur les lèvres du jeune homme qui garda ses mains sur la taille de la blonde.

Les filles comme Goyle : toutes des trainées. Des trainées qui retirent leur vêtement avant même que vous ayez eut le temps de dire quidditch, des experte en effeuillages outranciers. Ysolde n’était pas une reine de l’effeuillage, pour la voir dévêtue, il fallait se lever tôt, même très tôt. Oui, en tout on pouvait dire que seulement deux personnes avaient vu ysolde peut vêtue, et pour elle c’était déjà bien, alors que des filles comme Goyle avaient été vue nue plus d’une fois par la moitié de Poudlard. Alors, les filles dans ce genre dégoutait Ysolde, les filles faciles, qui sont prête à tout pour coucher. Ce genre de fille c’était tout, sauf Ysolde. « Cette gonzesse est tarée ! La dernière fois elle est carrément venue dans nos toilettes ! Tu veux faire quoi avec une gonzesse comme ça. » Pardon ? Pardon ? Pardon ? Graeme, et cette fille…. Dans les toilettes ? Ca c’était le bouquet. Le bouquet. Ysolde fulminait d’avantage, non mais, qu’elle salope pensa-t-elle alors. Elle s’était payé le culot d’aller dans les toilettes des mecs, juste pour le voir. Ysolde aurait préféré ne pas savoir ce genre de chose. Oui, si elle n’avait pas su, elle n’aurait pas eut de doute sur Graeme. Il lui disait bien ce qu’il voulait, peut être que lui et elle… elle ne préférait pas y penser, elle ne préférait vraiment pas passer à ce qui avait pu se passer, ou à ce qui aurait pu se passer. La jeune femme se contenta d’articuler froidement : « Quelle salope ! » Oui, Ysolde avait un « putain » de franc parler. Oui, elle pensait que c’était une salope, donc elle le disait, c’était aussi simple que cela. Quand elle avait dit ce mots, elle presque instantanément hausser le ton, visiblement très très très énervée. Rien que d’imaginer.. mon dieu, elle avait envie de l’étripé, elle cette garce !
La jeune femme avait embrassé le jeune homme avec une certaine fougue. Elle avait envie d’être avec lui, totalement. Si elle l’embrassait de la sorte c’était pour lui montrer qu’elle tenait à lui, si elle s’éloignait trop, cela lui donnerait une bonne raison d’aller dans les bras d’une autre, pire, dans le lit d’une autre, comme cette fichue Goyle. Ysolde n’était pas une sainte ni touche mais… elle n’aimait pas les contacts physiques sans qu’elle le veuille, elle était pudique, et n’aimait pas qu’on l’approche trop, mais un jour, elle acceptait, sans crier gare. Si elle se montrait plus… démonstrative, elle avait une chance supplémentaire de garder toute son attention. « J'ai l'habitude que tu m'embrasses de cette façon seulement quand nous sommes seuls. Tu n'aurais pas par pur hasard une idée derrière la tête ? » Ce n’était pas faux : elle ne l’embrassait ainsi que si… que s’ils étaient seuls, dans un lieu, juste tout les deux à l’abri des regards. Elle n’était pas fan des démonstrations en public, mais croyez moi, elle serait ravi de voir Goyle passer dans le couloir. Oui, elle serait ravie d’embrasser langoureusement le jeune homme sous le regard de cette garce, Ysolde se sentirait tellement triomphante. Quand le jeune homme dit qu’elle avait une idée dans la tête… ce n’est pas faux. « J’en avais juste envie… est ce un mal ? » La jeune femme esquissa un sourire totalement innocent. Bien sûr qu’elle avait une idée derrière la tête, que Goyle les voit, qu’elle voit que Graeme et elle ce n’était pas fini, et qu’elle pouvait toujours courir pour l’avoir. La jeune femme lâcha alors le cou de Graeme, alors que lui gardait ses mains sur ses hanches. Hum, elle s’extirpa doucement ses bras du jeune homme, et ramassa son sac en disant : « Puisque tu n'en a pas l'habitude, on va remettre ça à plus tard ! » Là, elle se jouait un peu de lui, c’était presque du chantage. La jeune femme lui en voulait quand même, au fond d’être près de cette fille, de ne pas la repousser comme il le fallait, pire d’avoir été dans les toilettes en sa compagnie.

« Qu'elle salope ! » Le jeune homme se demandait si cela avait été vraiment bon d'être franc avec elle. De lui dire que la brune n'avait pas été freiné pour aller dans les toilettes des gars. Ce qui d'ailleurs, avait étonné Graeme car c'était un principe de ne pas aller dans les toilettes de l'autre catégorie d'humain. Mais cela n'était pas du goût de tout le monde en voyant Reagan. Graeme n'avait pas vraiment pensé qu'Ysolde dise ses mots et pourtant, elle avait dit ça d'une façon assez... Coléreuse. Si la brune passait par là, elle ne finirait quand patté pour dragon. La sincérité dans un couple était la base avec la confiance bien sur, mais pendant plusieurs jours il ne lui avait rien dit car il ne pensait pas vraiment que cela était important de dire que la serpentarde avait osé venir dans les toilettes des gars, la nuit ou il avait ramener sa blonde. Au moins, il n 'aura pas de remord plus tard, c'était préférable de le lui avoir dit. Même si cela n'avait fait qu'énerver la blonde. Il l'avait bien comprit, premièrement quand Ysolde est arriver et que la brune était près du blond, elle avait parler froidement laissant de marbre la brune qui avait préféré partir, heureusement d'ailleurs car il ne pouvait plus la supporter une seule seconde supplémentaire. Deuxièmement, il voyait en Ysolde une part de jalousie alors qu'elle ne devait pas l'être car il n'y avait rien entre la brune et lui, ni même eu quelque chose. Ce n'était pas comme si c'était une histoire du passé comme Ysolde et Pevensie. Non bien au contraire, le rouge et or ne ressentait rien pour la brune, seulement de la haine car il détestait qu'elle soit collante envers lui alors qu'il préférait largement la compagnie de sa blonde. Mais non, c'était souvent la brune qui passait à l'attaque alors que lui était sur la défensive. La prochaine fois il sortirait sa baguette et la préviendrait. Soudain, la blonde avait posé son sac par terre sur le carrelage froid du château et venait à embrasser le jeune homme d'une façon plutôt passionnel devant les autres étudiants qui passaient. Ce qui d'ailleurs était vraiment bizarre, ceci était la première chose que Graeme retenu. Même s'il profita du baiser autant qu'il pouvait car les lèvres de sa blonde lui avait manquer depuis quelque jours qui lui avait paru long. Il connaissait bien sa blonde, du moins pour les contacts physiques. Il savait très bien qu'elle n'aimait pas montrer ce genre de chose en public devant les autres, voilà pourquoi à chaque fois quand ils étaient seuls, ils profitaient. Quand je dis seul, c'est dans une pièce comme la salle sur demande ou aucun regard ne peu les déranger. Car même Graeme n'aimait pas vraiment les regards des autres, pourtant un moment, il avait apprécié sa quand il faisait du quidditch et que les étudiants de Gryffondor avait crier son nom. Mais ça, c'était à une époque bien différente de celle-ci. « J'en avais juste envie... est ce un mal ? » Un mal ? Alors un mal pour un bien sans doute. Il y avait tout de même quelque chose qui clochait et qui sonnait faux au final. Ysolde qui embrassait d'une certaine façon le jeune homme, une façon qu'il retrouvait souvent quand ils étaient seuls et là, bizarrement, c'était face aux yeux des étudiants. Mais cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire, d'une certaine façon il aurait voulut que Pevensie passe par ici et voit qu'Ysolde était la blonde du Reinhaart pas celle du passé du brun. Non. Graeme se demandait comment aurait pu être la situation si la serpentarde aurait finie de nouveau dans les bras de Pevensie. Y'aurait-il eu des tensions entre eux ? Ou bien se serait-il effacer l'un de l'autre ? Graeme avait déjà vécu une situation en voyant Ysolde dans les bras du prince des serpentards, tandis que lui, laissant toujours un espace entre eux. Sauf que cette fois-ci, c'était eu le couple dans l'histoire et c'était Reagan Goyle qui venait perturbé cela. « Un mal pour un bien alors. » Un petit sourire s'afficha sur les lèvres du jeune homme qui essaya de voir dans les parages si Pevensie ne passait pas par là, ne sait-on jamais étant donner qu'il avait bien dit qu'il serait là pour Ysolde. D'un moins d'une certaine façon que le blond n'avait pas apprécier. Il ne pouvait pas voir Pevensie. C'était comme Ysolde qui ne pouvait pas voir Reagan. La blonde relâcha alors ses bras qui était au cou du blond et s'écarta des mains du blond qui était posé sur sa taille. Puis elle ramassa son sac tout en parlant : « Puisque tu n'en a pas l'habitude, on va remettre ça à plus tard ! » A plus tard ? Remettre ça ?! Non ! Le rouge et or regarda alors sa blonde, il pensait bien que cela ne lui avait pas plus de savoir qu'il avait été dans les toilettes quand la brune avait fait son apparition, mais il ne savait pas vraiment qui était-là et ne pensait pas que si c'était une demoiselle, elle serait rentrée. Le jeune homme se rapprocha de sa blonde, il avait bien envie de mettre les choses au clair. Mais peut être que ce n'était pas vraiment le bon moment. Le jeune homme regarda derrière Ysolde quand il vit Reagan Goyle et sa bande de demoiselle qui se croit aussi chaude que la braise. Graeme approcha ses lèvres à l'oreille de sa blonde afin de lui murmuré doucement : « Dans moins de cinq secondes, à ta droite, la salope. » Il se disait bien que la blonde ne l'avait pas embrasser de cette façon parce qu'elle en avait envie. Il était sur que c'était la même chose que lui. Que Pevensie ou Goyle les voit en passant et soit dégoûter sur place jusqu'à en être taper sur leurs consciences.

Elle était jalouse. Oui, Ysolde était une femme incroyablement jalouse. En fait, elle avait horreur qu’on marche sur ses plates bandes, que l’on lui prenne ce qui lui appartenait, qu’on convoite ce qu’elle-même convoitait, qu’on aime d’un eu trop près les mêmes choses qu’elle. Alors, autant vous dire que lorsqu’on essayait de lui prendre Graeme… elle allait vraiment mordre cette fois, vraiment. Oui, elle était jalouse, incroyablement jalouse, incroyablement jalouse. Si cette Goyle continuait comme ça, elle allait finir défigurée dans le meilleur des cas. Oui, Ysolde savait se battre, lui sauter dessus ne lui poserait aucun soucis de moral, absolument aucun. Oui, elle ne faisait pas grand cas de sa moral. Oui, elle était une serpentarde, alors elle n’avait aucun soucis de moral si elle se comportait de manière violente ou odieuse avec une fille comme celle là. « Un mal pour un bien alors. » Dit-il avec un petit sourire. Pourquoi est ce qu’il souriait ? Depuis tout à l’heure leur situation n’avait rien de drôle, vraiment rien. Ysolde avait peine à sourire, même avec lui. Oui, la situation n’a rien de drôle, absolument rien de drôle. Il y avait cette fille, cette garce, qui s’immisçait dans leur couple sans scrupules, et qui visiblement s’était invité dans les toilettes avec le jeune homme. Ysolde ne savait pas ce qu’il s’était passé dans ses toilettes, et cela la mettait hors d’elle, tellement hors d’elle. Entre temps, la jeune femme s’était extirpé de son étreinte. Ils n’avaient cas remettre ça à plus tard quand ils seraient seul, sauf si peut être Monsieur Reinhaart préférait se retrouver de nouveau seul dans les toilette avec cette odieuse garce. Peut être qu’après tout, il avait envie d’une fille facile, une fille comme cette Goyle qui se laisse facilement aller dans le lit de n’importe qui. Tout le contraire de Ysolde, qu’il fallait charmer, apprivoiser et que sais-je encore pour l’avoir dans son lit, et avant de l’attirer dans son lit, il fallait lui prouver que vous l’aimiez, sinon, vous n’en tireriez rien de rien. De toute façon, elle avait mieux à faire que de se prendre la tête avec lui, elle avait des devoirs à faire, et elle n’avait pas besoin de lui pour avoir des bonnes notes, elle était assez brillante pour s’en sortir toute seule. Elle avait déjà récupéré son sac, elle l’avait remis sur son épaule, prête à prendre la sortie, elle en avait assez de se prendre la tête avec lui, à cause de cette garce. Elle le vit alors se rapprocher d’elle, elle le regarda alors quand elle eut fini de ramasser son sac, et il se pencha doucement pour venir murmurer à son oreille : « Dans moins de cinq secondes, à ta droite, la salope. » Elle se recula, et le regarda alors. Cette garce, toujours cette garce, il ne faisait que parler d’elle, et elle était au centre de leur conversation ! celle mettait Ysolde hors d’elle. Elle tourna à peine la tête, que cette garce passait à côté d’eux, ignorant royalement ysolde, et adressa un sourire plus que provoquant, plus que lourd de sens. Déjà sa jupe était plus courte que la moyenne, Ysolde avait réellement envie de la gifler, de lui faire bouffer sa jupe. La serpentarde lâcha alors d’une voix mielleuse : « On se voit demain en cours Grae. » Grae ?!! Pardon ? depuis quand cette fille l’appelait comme ça ? Depuis quand ! Alors, là, c’était le pompom, vraiment. Elle s’en alla, suivit de toute sa bande, s’engouffrant dans les escaliers qui conduisaient aux cachots. La jeune femme fixa alors Graeme, et dit alors : « Je crois que je vais te laisser. » Elle était froide. Graeme n’aurait jamais, jamais, jamais, jamais, dû lui parler de cette histoire de toilette. Elle poussa un long soupire, et se décolla de lui, reculant alors, elle se retourna et partie dans l’autre direction.

« On se voit demain en cours Grae.» On connaît tous ce genre de provocation qui met bien les nerfs mais surtout le doute sur vous à la personne qui a prit place dans votre vie depuis peu de temps. Tout le monde connaît le genre de gonzesse comme Goyle, qui essai de tout faire même le pire pour être observer et foutre le bordel quand elle passe près de vous. Tout le monde le savait mais cette fois-ci, la provocation était bien plus grande et pas que pour Graeme, non c'était également une énorme vague de provocation à Ysolde. Qui d'ailleurs au passage n'avait rien demander mais le rouge et or également. En faite, tout avait commencer le premier jour ou Graeme et sa blonde avait commencer à s'afficher en couple, un matin, il avait aperçu Goyle s'approcher de lui mais c'était bizarre car finalement, elle ne lui avait adresser qu'un sourire, tandis que le blond, trouvait la brune trop... Menaçante. Il aurait sans doute du écouter le sens de sa raison qu'il avait souvent. Sauf que cette fois-ci, il avait réellement pensé que Goyle ne lui aurait rien causer, d'ailleurs il ne savait même pas pourquoi elle était venue lui parler car jamais auparavant ils ne s'étaient adresser la parole. Et jamais également le rouge et or n'avait remarquer la présence de la brune, il avait simplement entendu parler d'elle comme il avait entendu parler d'Ysolde un an avant. C'était évidement en passant dans les couloirs ou bien en étant dans la salle commune de sa propre maison c'est à dire Godryc Gryffondor qu'il avait entendu des étudiants plus jeunes que lui se plaindre de cette brune. Tout le monde savait très bien que Goyle n'était pas une gonzesse à qui il fallait faire confiance voir même avec qui jouer d'après Ysolde. Comme quoi, il ne fallait pas trop si frotter au chaud quand la bataille est promise non victoire. Sauf que pour l'instant, c'était la vipère qui gagnait le jeu qu'elle faisait tandis que le lion, se laissait abattre et laissait son couple dans la misère car ouais, c'était le cas de le dire, entre Ysolde et lui, rien n'allait. Il se prenait la tête avec elle, il était distant avec elle et du coter de la blonde, c'était la même chose. Pire que ça, elle parlait froidement au blond. Chose qu'il détestait car il n'avait rien fait pour avoir ça. Pour avoir une brune qui le colle sans arrêt jusqu'à en venir au toilette. C'était comme si, il était sans cesse suivit, il n'avait pas vraiment besoin de sa en plus, surtout en ce moment. Depuis quelque jours, rien n'allait entre eux et ce n'était pas pour dire merde. Loin de là. Tout ça était à cause de la brune. Goyle. Graeme était prêt à faire payer à cette brune ce qu'elle faisait, d'ailleurs il savait qu'il irait lui adresser deux trois mots bien placer. Le rouge et or savait être blessant quand il le voulait. Soudain, le regard d'Ysolde se planta dans les yeux du blond. Cela était mauvais signe, c'était bien la première fois qu'elle le regardait comme ça. Rien n'était bon en ce moment. « Je crois que je vais te laisser. » Froide et distante. Voilà ce que venait de gagner le jeune homme qui n'avait rien demander en échange. Il regarda alors la blonde reculer tout en s'éloignant de lui. Il ne comprenait vraiment pas sa réaction, pourquoi était-elle distante ? Pourquoi était-elle devenue froide d'un coup. ? L'histoire des toilettes sans doute ? Il n'en savait rien mais il voyait bien que cela ne plaisait pas à sa blonde. Il ne savait pas exactement comment réagir. Lui courir après ? La laisser partir comme une voleuse  qui était bien loin d'être une voleuse ? Ou plutôt de prendre la fuite comme une femme qui ne voulait pas voir la vérité en face tellement elle était prise par la haine et la jalousie ? La troisième et la première solution étaient les bonnes. Du moins c'est ce qu'il pensait. Mais que devait-il faire exactement pour lui faire comprendre qu'il n'y avait rien avec Goyle et qu'il y aurait jamais rien entre eux. Le jeune homme mit alors cinq secondes à réfléchir et se mit à courir dans le couloir pour rattraper sa blonde, poussant les autres étudiants pour se faire un passage parmi la foule. Une fois arriver près de sa blonde, il la dépassa et se mit en face d'elle en posant sa main sur l'épaule de la serpentarde afin de la regarder dans les yeux et lui dire simplement : « Entre elle et moi il n'y a rien et il n'y aura jamais rien. Si tu ne peux pas comprendre ça, je ne peu définitivement rien pour toi.» C'était une façon froide de parler mais surtout une façon étonnante de voir Graeme Reinhaart parler aussi froidement. Mais il lui parlait comme elle lui avait parler quelque secondes avant de le quitter le laissant sur place, face aux autres étudiants qui le regardait bizarrement.

Elle avait tourné le dos, juste tourné le dos et était parti dans l’autre sens, sans réfléchir. Elle n’avait pas envie de parler à quelqu’un comme lui, borné, et certain qu’il faisait tout pour repousser cette fille alors que non. non, il ne lui avait jamais dit non, jamais. Il se contentait de ne pas agir à l’encontre de cette fichue brune, il ne l’avait pas repousser à l’instant avec son regard, elle l’avait appelle « Grae », et cela ne lui avait rien dit. La jeune femme fut dépassé, puis interrompu par Graeme, elle leva les yeux vers lui, elle n’avait pas envie de lui parler, elle avait autre chose à faire, elle risquait de regretter ce qu’elle pouvait dire. il posa une main sur son épaule pour l’interrompre dans sa course. Il la força à le regarder dans les yeux, quand il dit alors : « Entre elle et moi il n'y a rien et il n'y aura jamais rien. Si tu ne peux pas comprendre ça, je ne peu définitivement rien pour toi.» Si elle ne pouvait pas comprendre ça, il ne pouvait en définitive rien pour elle. Ces mots raisonnaient dans la tête de la jeune femme. C’était la fin ? Peut être bien, sans confiance, il ne peut pas y avoir de relations. Elle était complètement amoureuse de lui, mais cette garce fichait tout en l’air, absolument tout. elle avait reussi, elle avait brisé leur couple, ils étaient à bout, avec ce genre de phrase, Graeme poussait la jeune femme à bout dans son retranchement personnel. Elle leva alors les yeux vers lui, elle était triste vraiment, elle n’allait pas pleurer, mais elle avait sincèrement de la peine, mais les larmes aux yeux, mais une vraie boule dans la gorge.« Je suis censée te croire ?! » S’exclama presque ysolde, et se retournant et en faisant alors voler ses cheveux blonds. « Tu crois que je peux te croire alors qu’elle vient de passer et de t’appeler avec un surnom personnel, qu’elle va dans les toilettes pendant que tu y es ? Tu ne la repousse pas, comment je peux avoir confiance en toi ?! Donne-moi une raison de te faire confiance. » Elle le fixa, et poussa un long soupire, et elle avait une mine triste. « Mais si d’après toi je suis pas capable de comprendre, alors je crois que j’ai plus rien a te dire, et qu’on a plus rien a faire ensemble. » Et ça avait claqué dans l’air, comme ça, d’un coup. Dans l’air, comme ça, tout à coup. ysolde était quelqu’un de colérique, de très colérique même, mais là, elle n’arrivait pas a voir comment lui faire confiance, il la repoussait à peine. Elle avait eut le cœur brisé par deux fois, c’était hors de question qu’elle laisse quelqu’un – même si c’était quelqu’un qu’elle aimait – lui briser le cœur, qu’elle laisse même ne serait-ce que l’occasion de lui briser le cœur. Elle avait trop souffert, elle avait été abandonné, battue, il ne manquerait plus qu’elle soit trompée. « Maintenant laisse-moi, mais j’ai un devoir de divination à rendre pour demain. » Ysolde le fixa alors. Elle le regarda une dernière fois, et tourna les talons. Non, elle n’irait pas à la bibliothèque. Ysolde avait une boule dans la gorge qui d’une seconde à l’autre pouvait se transformer en larmes, elle était sensible. Elle ne voulait pas qu’on lui brise leur cœur, simplement, et mettait donc un terme à tout ça. Elle n’aurait jamais dû laisser quelqu’un s’approcher si près de son cœur, cette fois, Goyle venait de porter atteinte au cœur d’Ysolde Fayburn-Wilkes, et le lui avait brisé, ça y est, elle avait détruit Ysolde.

« Je suis censée te croire ?!» Que devait-il comprendre dans ce que venait de dire la blonde. Qu'il n'avait pas été sincère avec elle ? Alors qu'il venait tout juste de lui dire que Goyle avait finie par venir dans les toilettes des hommes. Graeme n'avait jamais menti à Ysolde, loin de là, bon d'accord il n'était pas très démonstratif vis à vis de ce qu'il ressentait pour elle, mais c'était pas plus mal parfois non ? Plutôt que d'avoir un mec qui dit sans cesse je t'aime, qui est sans cesse entrain de chercher de l'affection ect... Non Graeme lui laissait souvent son cœur parler mais il le lui faisait comprendre, dans ses mots, dans ses gestes. Il ne se conduisait pas comme tout les autres étudiants du château avec leurs petite amie. Ce que venait de dire la serpentarde ne faisait qu'énerver le blond qui ne comprenait pas une telle réaction comme celle-ci venant de sa part. Graeme n'avait jamais eu les yeux braquer sur une autre demoiselle, non, il avait toujours eu le regard porter sur Ysolde. Le rouge et or n'avait jamais été voir ailleurs, non, il avait toujours eu Ysolde et il l'avait toujours vu comme celle qui pouvait lui apporter ce dont les autres ne pouvait pas apporter. Ni même lui faire ressentir. D'après le père Reinhaart, le premier amour reste toujours celui qui est le plus fort. D'un coter, cela n'était pas plus mal pour Graeme, mais pour Ysolde, c'était Pevensie son premier amour, sa première histoire. Voilà qui changeait tout. Il avait la colère qui lui rongeait les réactions, il ne voulait pas sans prendre à elle mais ce qu'elle venait de dire était comme si c'était lui seul le coupable alors que non. Il avait simplement pas eu le besoin de repousser la brune car elle ne lui avait rien à part le coller. « Ouais ! Tu es censée me croire ! Et tu sais pourquoi ?! Parce que j'ai toujours été sincère envers toi ! Je ne t'ai rien caché ! Mais je vois à présent que finalement, tu doutes bien de moi. Ou alors tu ne me connais pas encore assez finalement voir pas du tout.» Bam ! Les paroles qui font mal venait dans le son de la voix du jeune homme. Il ne fallait jamais énerver et foutre les nerfs à un jeune homme énerver, surtout quand c'était la première fois que celui-ci est amoureux. Mais visiblement, l'amour que portait le jeune homme pour la blonde n'était pas suffisant et plus le ton montait, plus la situation devenait négative. Et donc mauvais pour le couple, d'ailleurs la blonde continua à parler :« Tu crois que je peux te croire alors qu'elle vient de passer et de t'apeller avec un surnom personnel, qu'elle va dans les toilettes pendant que tu y es ? Tu ne la repousse pas, comment je peux avoir confiance en toi ?! Donne-moi une raison de te faire confiance.» Une raison de lui faire confiance ? Ce n'était pas lui le problème dans tout ça, c'était bien loin d'être lui. Lui, continuait à étudier à la bibliothèque, lui continuait d'aller courir pendant ses temps libres sans oublier de passé du temps avec elle après les cours voir même pendant les pauses. Il y avait bien une raison de lui faire confiance, la raison était simplement qu'il était amoureux d'elle mais cela ne suffisait pas, il le voyait bien, voilà pourquoi il ne répondit pas à la question posé. A l'évidence, il n'eu même pas le temps de répondre que la blonde poursuivit ce qu'elle disait, mais quelque chose qu'il ne s'attendait pas du tout : « Mais si d’après toi je suis pas capable de comprendre, alors je crois que j’ai plus rien a te dire, et qu’on a plus rien a faire ensemble. » Bam ! Voilà que le jeune homme tombait de haut mais vraiment de très haut. C'était quelque chose, du moins une phrase qu'il ne voulait pas entendre et une situation dont il ne s'était pas réellement préparé. Mais toute les bonnes choses avait une fin, pas vrai ? Non c'était pas possible ! Pas maintenant ! En si peu de temps ! Le jeune homme ne prononça aucun son de sa bouche. Pas un seul mot, pas un seul signe. Il restait sans mot, sans voix, de marbre, planter sur le sol. C'était comme si on lui avait enlever les ails d'un coup pour ne plus pouvoir voler. « Maintenant laisse-moi, mais j’ai un devoir de divination à rendre pour demain. » Le rouge et or n'y croyait pas ses oreilles. Le devoir de divination de la blonde était bien plus important que leur situation dans laquelle ils étaient tous les deux. C'était la fin de la relation de Graeme et Ysolde. Le jeune homme ne prononça pas un seul mot, il laissa les secondes s'écoulés. Ce qu'il ressentait, c'était un mélange de colère et de blessure. Il regarda alors le fond du couloir quand la blonde le regarda puis quand elle partit, le jeune homme ne bougea pas d'un poil. Il resta sur place en la regardant s'éloigner petit à petit.

TERMINER