William - NON ! J'AI DIT NON ! M'EN FICHE J'IRAI PAS !
Thomas - Oh que si tu va y aller. Et avec mon pied au cul oui !
Willara - Aya William il va avoir une fessé ! La honte !
Ariane - William, si tu continue tes caprices nous allons partir sans toi, et tu va rester ici seul et abandonné de tous . Thomas reste calme, tu va froisser ton costume. Willara chérie « Aya » n'est pas un mot . Surveille ton langage s'il te plait.

William déglutit regardant son père qui semblait des plus sérieux et il savait qu'il en était capable. Thomas était un mari aimant, un père modèle et un homme avec un grand cœur que beaucoup respecté mais une chose était certaine il ne fallait pas l'emmerder. Et là son petit garçon à peine âgé de 6 ans commencer sérieusement à lui briser avec ses caprices à la con.

Voyez vous Monsieur avait décidé de faire chier son monde en décidant de ne pas au musée avec toute la famille. Soit disant que l'art s'était beaucoup trop gnangnan et pas adapté pour les homme . Bon Thomas n'était pas non plus enchanté d'y aller mais il faisait son devoir d'époux en suivant Ariane qui travailler dans cette galerie. Puis c'était aussi une excuse pour lui de montrer au gens sa petite famille dont il était fier, sa plus belle réussite comme il se plaisait à le dire. Mais le petit William semblait en avoir décidé autrement et cela faisait cinq minute qu'il chouiner, rouspeter, piétiner des pieds en hurlant a la mort qu'il n'irait pas. Pendant ce temps là, Sawyers veillaient d'un œil discret sur ses petites sœur qui se trouvait a côté de lui, attendant patiemment comme l'enfant sage qu'il était que son frère arrête ses conneries.

Orphée - Saw pourquoi Will y pleure ?

Sawyer s'accroupit regarda la petite fille à peine agé trois ans . Il lui adressa un sourire rassurant.

Sawyer - Il ne pleure pas vraiment. Il fait juste le vilain et papa le gronde . Mais ne t'inquiète pas pour ça. Ce n'est rien .
Melusine - Je peut être aller lui parler moi...
Sawyer - Non Lucie ça servirait à rien. Will est presque autant buté que Lara.
Nymphadora - On va quand même pas rester ici à attendre ?
Sawyer - Non j'suis sûr que dans deux minute il finit sa crise.

Et en effet, Sawyer avait raison ! Agacé et n'en pouvant plus Thomas s'était rapprocher de son fils, il attrapa le bras de William et a l'aide d'un sort le ligota à lui. Bien sûr le petit garçon avait protester, chouiner, brailler, hurlant autant qu'il le pouvait, criant qu'il souffrait le martyre et qu'il aurait une trace énorme tant il avait mal mais ça n'avait pas empêcher Thomas de le trainer jusqu’à la voiture ensorceler. En effet, le père et le fils a présent ainsi attacher, William aurait eut du mal à ne pas le suivre. Une fois dans le véhicule, le père de famille l'attacha à la portière et il s'installa au volant de la voiture tandis que le reste des Slayers entré à leurs tours dans le véhicule. Ceci étant fait, il se retourna vers son fils un sourire fier, arrogant et jubilatoire sur le visage.

Thomas - William Attache ta ceinture dit-il avec un large sourire pour en rajouter une couche.

William avait au moins compris quelque chose : il n'était pas bon de contrarié Thomas William Slayer ! Son fils affichait un air bougon, dégouter, il bouder et ne voulait plus parler mais il s'exécuta sans protesté et il était calme. Tant mieux pensa Willara. Sawyer et Nymphadora quand à eux se lançèrent un regard complice amusé du comportement de leurs frère, tandis qu' Orphée avait la tête appuyé contre son grand frère Will, prête à s'endormir. La journée au musée s'annonçait excellente pour tous. Enfin... presque tous.... !

Willara – « Williaaaaaaam rend moi çaaaaaaaaa »
William – « Viens le chercher »

Le petit garçon à peine âgé de sept ans adressait un regard provocateur à sa sœur du même âge, agitant devant la petite brunette un petit carnet qui semblait être un journal intime avant de décamper en courant vers le jardin. Willara semblait furax et William riait au éclats. Se dirigeant vers le jardin, il coinça le carnet dans la poche arrière de son jean et grimpa a l’arbre le plus proche, un air espiègle sur le visage. Une fois en haut de l’arbuste, il se cramponna aux branches et afficha un air triomphant. C’était lui le roi. C’était lui le plus fort et qui dominer tout le monde et en vrai petit diable il afficher un sourire malicieux tandis qu’au pied de l’arbre pester et trépinier des pieds en superficielle qu’elle était. Elle était capricieuse et avait horreur qu’on lui cherche des embrouille surtout quand la personne qui chercher à la mettre hors d’elle était son crétin de frère. Il pouvait pas mourir une fois pour toute celui-là.

Willara – « Williaaaaaaaam Desceeeeend »
William – « Plutôt crever »
Willara – « Fait gaffe ça peut toujours s’arrangeais !»
William – « Même pas peur ! Si tu veux ton journal viens le chercher. Trouillarde »

Sur ce il lui tira la langue. Un vrai petit monstre. Ouvrant le petit carnet et plus diabolique que jamais il commença a lire.

William – « Tom est un garçon merveilleux. Il a de beau cheveux blond comme l’or et je suis sûr qu’il sont tout doux . Dans ses yeux il y a comme des étoiles et quand il me regarde tout est merveilleux » Il l’avait dit de manière efféminé et en levant les yeux au ciel d’un air faussement admiratif, puis il ferma brutalement le journal et regarda sa sœur avec mépris « Beurk c’est dégoutant »

Mais cette fois-ci s’en était vraiment trop, William était allait trop loin et sa jumelle était furax. Bien droite et fierté, elle sortit sa baguette.

Willara – « J’vais te faire bouffer des limaces ça t’apprendra à respecter les femmes »
William – « T’es pas une femme t'es qu'une fille »

Willara sa leva sa baguette mais au même moment, un peu garçon qui ressemblait comme deux goutte d’eau a William mit sa main à plat sur le bout de bois et rabaissa la baguette. La jeune fille se tourna vers Sawyer et poussa un soupir de soulagement en se rendant compte que ce n’est que lui.

Sawyer – « Ce n’est pas une bonne idée »

Simple net et direct. Le petit garçon était loin de ressembler a William et malgré son jeune âge il imposer le respect et une certaine présence émaner de lui, une tranquilité hors pair et un mystère fascinant.

Willara – Oui mais il est aller dans ma chambre et il a volé mon journal et puis après il a courut dans le jardin alors que je lui ai dit de me le rendre il a monté dans l’arbre il a lu un extrais a haute voix et…

La petite fille avait parlé d’une traite et sans s’arrêter emporter par la colère mais voyant le regard apaisant de son frère sur elle, elle se tût et sautant dans ses bras et se mit a chouiner. William leva les yeux aux ciel. Quel bébé ! Sawyer consolé doucement sa sœur avant de lever le regard vers son jumeau qui était toujours dans l’arbre.

Sawyer – « Descend »

Sa voix était déterminer et imposer malgré ses huit ans déjà le respect et William Tout les enfants Slayers savait qu’il ne fallait pas rigoler avec Sawyer et qu’on absence de leurs père s’était lui qui veiller sur les autres malgré ce que William pensait. Mais c’était un véritable inconscient, et le véritable bout en train de la famille afficher toujours son air espiègle si agaçant.

William – « Non »
Sawyer – « Descend »
William – « Non » répéta-t-il insolent en insistant bien sur le mots.
Sawyer restait toujours calme tandis que Willara rageait a côté de lui et trépignait du pied.
Sawyer – « Tu va le regretter » lui dit-il tout simplement.

William se mit alors à rire. Très drôle. N’empêche que quelque seconde après il riait beaucoup moins . En effet Sawyer s’était diriger vers l’arbre et loin d’être peureux et habitué a se qu’on le respecte a rejoindre William. Se dernier soudainement face à son rire semblait beaucoup plus tendu et angoissé. Sawyer lui arracha le journal des mains sans qu’il ne proteste et donna un léger coup sur la tête de son frère avec, qui laissa échapper un léger « aie »

Sawyer – « C’est à Willara » fit-il le plus calmement du monde
William – « Je sais . J’allais lui rendre » fit-il en levant fièrement le menton.

Sawyer afficha un air légèrement blazé. Il s’apprêtait alors à redescendre quand il pris soudainement conscience de la hauteur a laquelle il se trouvait. L’arbre ne devait pas être plus haut que deux mètre mais ayant poser son regard vers le bas, la distance qui le séparé du sol lui semblait interminable. Son cœur était accéléré et il avait les mains moites. De la peur ? Il n’aurait sût le dire, ça lui arrivait rarement. Quoiqu’il à présent ses mains tremblait et il voyait quelque peu flou. William regarda Sawyer qui avait regarder fixer vers le sol et était blanc comme un linge et semblait légèrement malade, inquiet.

William – « Sawyer sa va ? » fit-il sérieusement, son espièglerie ayant disparut.

Pour seul réponse, Sawyer acquiesça de la tête avant d’entreprendre de descendre mais son estomac faisait des nœud et son cœur battait à un rythme incroyable. Mais était têtue et fier et ne renoncer jamais alors il continua de descendre doucement . Seulement à cause de la peur, et du fait qu’il avait sans contexte le vertige il glissa sur un branche qui se rompu et tomba au sol, sur le dos.

William – « Saaaaaaawyer »

William s’était pencher vers l’avant tout en restant dans l’arbre pour apercevoir son frère qui était étendu par terre et qui venait juste de tomber sous ses yeux. Les yeux du petit William était écarquillé par l’horreur. Tout ça c’était de sa faute.

William se chamailler avec Willara, refusant de prendre le thé avec elle sous prétexte que c’était un jeu de fille quand il aperçut sa mère dans la cuisine. Il la rejoignit pour chercher appuis auprès d’elle alors qu’elle tenait dans ses mains une lettre et semblait triste.

William – « Maman ? »

Willara continua de le pincée avant d’observer leurs mère à son tour et qu’elle leurs explique pourquoi elle avait l’air si triste. William l’écouta sans rien dire lui annoncer que leurs père était mort et quand elle eut finit, il sortit dans le jardin pour attendre Thomas. Il ne pleurait pas et n’avait pas l’air triste. Sa mère avait mentit ou mal compris et il finirait par arrivait. Il le savait. Son père arriverait. Il le savait. Il arriverait. En entendant il s’était tranquillement assis sur les marches devant le manoir et lui qui était d’ordinaire impatient et ne tenez jamais en place resta là plusieurs heure, silencieux. Le soleil commença à se coucher et bientôt la nuit pointa le bout de son nez sans qu’on ne puisse apercevoir l’ombre de Thomas Slayers… Le ventre de William s’était même mis à gargouillait mais il restait dehors à attendre. La porte d’entrée finit par s’ouvrit et le regard du petit garçon de huit ans tomba sur sa mère qui portait un plateau repas et lui adressait un sourire rassurant. Elle posa le plateau à côté de lui.

Ariane – « J’ai penser que tu pourrais avoir faim. »

Il lui adressa un sourire, toucher par son geste avant de lui demander avec des larmes dans les yeux « Il est vraiment mort n’est-ce pas ? ». Il aurait voulut de tout son cœur qu’elle lui réponde « non il va arriver » bien qu’il aurait sut que c’était un mensonge. Mais il avait temps envie qu’elle lui mente. Tellement envie… Mais ce n’est qu’elle fit… « Oh mon poussin je … » A ses mots il sut que plus jamais il ne reverrait son père. Il avait mal et envie de pleuré mais il se rappela alors la dernière fois qu’il l’avait vu. C’était la veille et il en fondu en larme après s’être pris un sortilège rater de Willara. Résultats Thomas l’avait baffé, lui répétant qu’un homme un vrai ne ressent rien. Un homme un vrai ne pleure pas. Se rappelant de cela, il ravala ses larmes…

William – « Alleeeeeeez »
Sophia – « J’ai dit NON ! »
William – « Steeee plaiiiiiiiit »lui demanda-t-il avec un large sourire et en battant des cils.

Sophia poussa un soupir. La Serdaigle et accessoirement meilleur amie de William bien qu’elle criait haut et fort ne pas détenir ce titre ce trouvait dans le jardin des Slayers se jour là, elle avait était invité pour les vacances. Les deux adolescents de quatorze ans environs profiter donc de leurs temps libres pour vaguer a leurs occupation. La jeune fille lisait un gros livre ennuyeux tandis que William avait trouver une manière bien à lui de s’occuper. D’abord en embêtant Sophia mais pas seulement. Il avait dans l’idée d’aller apprendre à patiner sur le lac qui se trouvait pas loin du manoir Slayers mais il n’avait pas envie d’y aller seule. Bien sûr, Ariane sa mère le lui avait vivement déconseillé, protestant que la glace était trop fragile et voilà pourquoi il mourrait encore plus d’envie d’y aller. Puis son père n’était pas encore rentré et Kivar lui avait dit que les filles trouvaient le patinage romantique. Hors, Sophia semblait plus intéressant par son bouquin que par lui ce qui agaçait grandement le jeune homme.

William – « Alors on y va ! »
Sophia – « Non »
William – « On y va ? »
Sophia – « Non »
William – « On y va ? »
Sophia – « Non »
William –« Alors on y va ?
Sophia –« NON NON NON ET NON !!! » ragea-t-elle avant de fermer brusquement son livre et de regarder William avec un regard noir tandis que ce dernier afficher toujours un sourire, insouciant.

Sophia – « Quand est-ce que tu va cesser de me harceler sur ce sujet ? »
William – « Euh laisse moi deviner.... Jamais ?! dit-il avec un large sourire hypocrite découvrant ses dents.

La jeune Serdaigle dont la beauté était délicatement cacher par ses airs trop sage et aussi ses nattes qui lui donner plus un air que de petite fille que de femme fusilla encore plus son meilleur ami du regard . Ce dernier ne semblait pas du tout perturbé par une telle réaction, habituée.

Sophia – « ça peut-être dangereux William »
William – « J’te protégerai » dit-il en accentuant son sourire et l’exaspération de la jeune fille.
Sophia - « Je sais me débrouiller tout seule » pesta-t-elle, hautaine. « Quand je parler de danger je pensais plutôt à toi. Tu as toujours le chic pour te mettre dans des situation pas possible. »
William-« Bin justement viens avec moi. Tu sais qu’de toute façon j’irai . Alors si j’suis avec toi tant mieux, je risque moins de mourir. Bien que, tu t’inquiète pour rien. J’suis invincible » dit-il avec arrogance.

Elle poussa de nouveau un soupir et leva les yeux au ciel. Regardant William elle attrapa les patins à glace qui se trouvait a côté d’une jeune homme, en attrapa une paire et se leva, décidé a le suivre. William était au ange et s’est silencieusement qu’il se dirigea vers le lac avec elle.

Le lac était geler et une épaisse de glace le recouvrait mais certain endroit était plus fragile que d’autre. Enthousiaste William enfila ses patins et Sophia fit de même mais à peine fût debout qu’il perdit l’équilibre et qu’il tomba lourdement sur les fesses. Sa meilleure éclata alors de rire alors qu’il afficher une mine blaser. Elle lui tendit la main pour qu’il se releva et il lui adressa un léger sourire avant de se remettre debout. Cette fois il tenait mieux en place. Mains dans la mains, les deux amis firent plusieurs pas et William s’en sortait de mieux en mieux. Sophia le regardait de temps en temps pour s’assuré qu’il allait bien et le jeune Slayers semblait sembler . D’ailleurs il ne tarda pas a lâcher la jeune fille et aller patiner plus loin.

William –« Regarde comme j’suis le meilleurs »
Sophia –« Fait attention » s’inquièta-t-il tandis qu’il essayait quelque saut.

Bien sûr il ne pouvait pas seulement se contenter de patiner. Non bien sûr. Il fallait qu’il en fasse des tonnes et qu’il veuille se faire remarquer. Il avait afficher un air fier et se prenait déjà pour un pro. Sophia avait l’habitude mais qu’est-ce qu’il était agaçant.

Sophia – « William pas par là, la glace est fragile »
William –« T’inquiète »

N’écoutant pas les recommandations de la brunette, il continua de patiner et de faire ses petit sauts. Seulement il se loupera un moment et il dérapa sur le coté tomber sur le côté, sa cheville faisant un mauvais angle. William grimaça malgré le fait qu’il essayait de cacher sa douleur. Sophia a l’autre bout du lac ; là où la glace était bien épaisse et où elle ne craignez rien contrairement au jeune homme. D’ailleurs la glace c’était légèrement fissuré. La Serdaigle était inquiète et William inquiète de se relever.

Sophia – « Ça va ? »
William – « Woé woé à merveille » fit-il d’un ton léger pour la rassuré bien qu’il mentait et qu’il avait affreusement mal . « Mais… j’crois que j’me suis foulé la cheville… »
Sophia – « Ah bin bravo !Super ! Je t’avais dit de faire attention et de ne pas aller là bas »
William –« Oui oui sa va sa va. C’est pas le moment de me faire la morale. Tu viens m’aider à me lever ou tu attend que mon père, rentre, me voie et me tue pour lui avoir ENCORE désobéit ?

Sophia – « Honnêtement ? J’hésite » Il eut une mine déconfite. Elle en était bien capable. « Bouge pas. J’arrive »
William – « J’aurai dût mal à faire autrement » bougonna-t-il avant de grimacer légèrement en sentant sa cheville lui lancer.

Légèrement angoisser, elle patina vers William et soupirant légèrement pour se donner du courage. Il était a l’opposé d’elle et elle avait peur car la glace fragile. Elle patiner donc prudemment et tout semblait se passer sans embuche quand soudain la glace s’effondra sous la jeune fille et elle tomba dans l’eau glacer.

William – « Sophiaaaaaaaaaaaaaaaaaa »

William était incapable de bouger a cause de sa cheville et la jeune fille allait peut-être se noyer. Ses yeux d’adolescent était écarquillé par l’horreur. Tout ça c’était de sa faute.

Lara - T''ES UN CRETIN !!!
Don Juan - Aaaaaaah mais arrête de crier !
Lara - Pourquoi ça te fait du mal de voir que tu m'énerve ?
Don Juan - « Non . Bien sûr que non . Quelle question con » dit-il en grimaçant et en levant les yeux aux ciel tellement c'était évident . « Mais c'est agaçant . Et tu risque de te t'abimer les cordes vocales. »
Lara - Rhaaaaa tu m'énerve .

La jeune Willara Slayers, dite Lara, poussa William d'un grand coup en mettant ses main à plat sur le haut du torse de son frère. Celui-ci eut bascula légèrement vers l'arrière sous le pois du coup sans tomber avant d'éclater de rire. Voir sa très chère sœur aussi en pétard le faisait jubiler. Entre jumeaux ils n'arrêtaient pas de chamailler et ils étaient rare qu'ils passent un journée sans se disputer. La raison d'aujourd'hui venait du fait que William avait raconter que la belle brune avait la syphilis .

Pourquoi faire courir une rumeur sur elle ? Tout simplement parce que c'était sa sœur ! Pas seulement pour l'énerver comme elle penser que c'était le cas mais pour la protéger de ses pervers de garçons qui courraient dans les recoins de Poudlard. Parce qu'il était hors de question que quelqu'un la touche ou même ne l'approche. Sa famille c'était de quelque chose de très important pour lui et c'était à peine si Willara avait l'droit d'adresser la parole a un garçon sans que son frère vienne illico lui coller son poing dans la gueule. William avait d'ailleurs démolie un certain nombre de garçon à cause de ça. Nymphadora et Mélusine, s'y étaient faite mais Lara était beaucoup plus têtue et son tempérament l'obliger a tenir sans cesse tête à son frère. Elle n'allait tout de même le laisser faire !

Don Juan - Allez arrête de pester va. C'est pas la fin du monde. C'est rien.
Lara - Tu dit a tout le monde que j'ai la Syphilis et tu trouve que c'est « rien » ???

Willara le fixer d'un regard noir, près à le fusiller sur place. Certes elle ne râler plus mais elle n'était pas calmer pour autant. La Syphilis !!!! Elle !!! Alors qu'elle était encore vierge, bien que son frère l'ignorait !!! Comment avait oser-t-il !!!!

Don Juan - Bin oui . Tu sais ça se soigne. Puis ça aurait pût être pire. J'aurais pût leurs dire que t'étais lesbienne rajouta-t-il avec un large sourire en haussant les épaules.

L'art et la manière de s'enfoncer façon William. Il avait dit d'un air décontracte tandis que sa sœur enrager silencieusement encore plus.

Lara - Et tu trouve ça drôle ? lui dit-elle en mettant ses poing sur ses hanches avec un air sévère .

Ainsi elle lui faisait penser à un maman entrain de disputer un gosse qui aurait fait une bêtise. En bref pas de quoi effrayait un chat il ne put s'empêcher d'étouffer un petit rire qui eut pour effet de faire plisser méchamment les yeux de Willara . A cet instant il était certain qu'elle l' imaginer secrètement entrain de brûler ou quelque chose comme ça. Comme si elle pouvait le brûler ou lui faire exploser sa tête rien qu'avec le regard . Ce rendant légèrement compte qu'il avait abusé il rajouta alors.

Don Juan - Désolé affirma-t-il avec un peu sourire qui montrait qu'il ne l'était pas tant que ça. Mais avoue que ça l'est.

Pour toute réponse Willara s'approcha de lui, leva la jambe et geste vifs lui écrasa lourdement le pied droit à l'aide du talons de sa botte. William poussa un cri avant de relever plier sa jambe et de poser un main sur sa genou et l'autre sur son pied se tordant de douleur. Elle y était pas aller de main forte.

Lara - Sa, ça l'est encore plus !

Sur ce elle fit volte face et retourna faire le château furax laissant son frère derrière elle.

Don Juan - Lara.... Lara...... Lara.... Willara tu va ou ?
Lara - Coucher avec le premier abruti venu ! Si j'ai la Syphilis c'est que j'suis une fille facile !

En entendant celà, William commença légèrement à paniquer. Il savait que comme lui elle était capable de tout, et encore plus quand elle était en rogne.

Don Juan - Reviens ici. Willara.... Willara ....

La jeune fille continuer de marcher sans prêter attention a son frère qui ne pouvait pas marcher pour l'instant, ne l'écoutant pas le moins du monde .

Don Juan - WILLARA !!!!!!!!

Plusieurs jour était passé depuis le retour inattendus de Sawyer, le frère de William qui contrairement à ce que tout le monde pensait n’était pas mort à Saint Mangouste. Comme il leurs avait expliqué, c’était une des infirmières de Saint Mangouste qui l’avait enlever à la suite de son accident. Il n’était jamais mort. L’aîné Slayers n’avait pas chercher à s’enfuir car il avait subit un sort d’oubliette. Sawyer leurs avait également que leurs père était vivant et qu’il était en fait partit sa recherche. Depuis le retour de son frère, William trouvait n’importe quelle excuse à la con pour s'éclipser mais cette fois-ci l'ainé Slayers semblait bien déterminer à ne pas le laisser filer. Il l'avait coincé dans une ruelle sombre et si ça avait était une fille William aurait était plus que ravie. Mais là il s'agissait pas d'une jolie blonde à forte poitrine mais d'un inconnu qui ne faisait plus partit de sa vie. Sawyer ne voulait pas s'en prendre à William, il voulait juste mettre les choses au clair.
Saywer - « Pourquoi tu m'déteste ? »
William – « J'te déteste pas »
Sawyer – « Woé c'est ça. Prend moi pour un con. »
William - « Non sérieux. J'te déteste pas . J'taime pas c'est tout » [/color] répondit-il comme si c'était normal .
Sawyer – « Merci »
William - « De rien » [/color]dit-il avec un large sourire hypocrite .
Méchant, puérile stupide et cruel le William ? Peut-être. Et alors ? Il en avait rien à foutre. Sawyer ne se souvenait même pas de leurs enfances, ce n’était pas lui qui croyait avoir perdu son père à l'âge de huit ans et qui se retrouvé avec un « cadeau » surprise empoisonné sur les bras. Alors peu importe s'il pensait qu'il était le pire des Con, William était bien décidé à lui mené la vie dure. Mais contrairement à d'habitude, il ne bougea pas. Ne prenant pas la fuite. Sawyer en était agréablement surpris. Pourquoi ce minimum d'effort tout à coup ? L'ainé Slayers en avait aucune idée mais il allait pas cracher sur cette opportunité d'échanger deux trois mots avec son frère. Même si ça signifier en prendre plein la tronche.
Sawyer – « Bon j'peut au moins savoir pourquoi " tu m'aime pas " ? C'est parce que tu n’ai plus le seul homme de la famille ? »
William - « Non ! »
Sawyer - « C'est parce que j’t’ai oublié ? ? »
William - « Non ! Non ! Pas du tout ! » Dit-il en insistant bien sur chaque mot et sur la défensive. On voyait bien que la question de Sawyer l'avait énervé.
Sawyer – « Woé si tu le dit. » dit-il peu convaincu. « C'est parce que j'ai vécu avec papa ? »
William – « Pff ! N'importe quoi ! Pourquoi j'te détesterai pour ça ? »
Sawyer –« Ok ! Donc c'est ça ! »

En effet, c'était pour ça. Sawyer avait vu juste. S'il le détester autant s'était parce que Sawyer avait eut ce que lui avait toujours désiré. Il avait passé de longue journée avec Thomas, il connaissait ses gouts et ses passes temps favoris alors que lui.... Woé c'était pour ça qu’il ne l’aimait pas. Il était jaloux. Une pure et banale jalousie. Sawyer ne lui en voulait pas. Dans son regard aucune trace de reproche, en fait il comprenait la réaction de William. A sa place il aurait peut-être réagit pareil enfin peut-être. En tout cas, ils avaient beau ne pas avoir grandit ensemble ils semblaient bien se comprendre. Etonnant quand on connait William et qu'on sait à quel point il est compliqué. Quoi qu'il en soit jaloux ou pas, William avait un frère et Sawyer était bien déterminé à lui faire comprendre et accepté cette idée. Il chercher à présent un moyen pour que son petit frère soit plus proche de lui, un truc pour apaiser sa rancœur.
Sawyer – « J'ai une idée passe moi tes mains. »
Il tendit ses mains face à lui, paume vers le ciel et attendit que son frère pose ses main sur les siennes. William le regarda d'un air des plus surpris. Genre « il est bizarre lui ». Un peu comme si Sawyer lui avait demandé de se foutre à poil maintenant tout de suite ou s'il lui avait demandé quelque chose de dégoutant.
William – « Euh non merci. Très peu pour moi. »
[color=forestgreen] Sawyer – « Aller soit sympa pour une fois. Passe-moi tes mains. J'te promets qu'tu sera pas déçue. »
William – « Ok ok ! Mais j'te préviens si tu succombe à mon charme et qu'tu me fait des avances j'me met à crier . »
Sawyer eut un petit sourire tandis que son frère afficher un air arrogant, genre personne ne me résiste j'suis irrésistible . Qu'est-ce qu'il pouvait être con parfois, mais c'était aussi pour ça que les gens l'apprécier. William sans sa petite dose de conneries ce n'est pas William . Face à face, les deux frères se retrouvèrent donc les deux mains posait l'une sur l'autre. Sawyers ferma les yeux, près à exécuter ce qu'il avait en tête.....
William rouvrir un œil perplexe. Regardant Sawyer comme s'il avait un grain.
William – « On va rester comme ça encore longtemps parce que... »
Sawyer – « Chuuuuuuuuut. »

Il leva les yeux au ciel tandis que sa copie conforme murmurait des mots incompréhensibles. William commençait vraiment à se dire qu'il perdait son temps et qu'ils auraient mieux fait de se barré au plus vite. Mais à cet instant là ils eurent tous les deux des flashes. Chacun voyant la vie de l'autre comme s'ils l'avaient vécut, ressentant ce que l'autre avait ressentis. . Sawyer avaient l'impression d'être William, et William avait l'impression d'être Sawyer. En bref, ils s'échangeaient des souvenirs, mais ils ne voyaient pas les mêmes images. Sawyers vit Thomas lui donner une baffe alors qu'il n'avait que six ans. Ariane s'avançant vers lui, lui annonçant la mort de son père. Lui dans une cour de récrée, les autre se moquant de sa taille. Une jeune fille brune le foutant à la porte de sa chambre en caleçon. Lui en train de crier dans un arbre alors que le corps d’un garçon se trouvait au sol… La même jeune fille en train de tomber dans l’eau glacé....

William pendant se temps ressentait les souvenirs et voyaient les souvenirs de Sawyers. Lui en train de se bagarré dans une cour de récré car un garçon avait dit qu'il était un bâtard sans père. Lui à huit ans courant dans les bras de Thomas lorsqu'il le vit pour la première fois. Lui embrassant une jeune fille brune. Lui dans le parc de Dumstrang avec énormément de gens . Lui voyant sa mère partir chasser par Thomas qui venait d’apprendre la vérité....
Puis d'un seul coup il y eut comme une décharge, et de l'électricité fusèrent autour des mains des jumeaux qui les forcèrent à lâcher, tombant chacun de leurs côté a cause de la puissance de l'électrochoc. S'étaient intense comme expériences et William était visiblement surexcité, voir choqué ne comprenant pas trop ce qui venait de se passer.
William – « WAW ! C'était quoi ?!? »
Sawyer – « C'était... »
William – « J'voyais des choses, j'ressentais des chose j'me voyait mais en fait c'était pas moi ! C'était TOI ?!? N'est-ce pas ??? Ce que j'ai vu, ce que j'ai ressentis c'était TES émotions ??? Tes souvenirs? Ta façon d'être ??? »
Sawyer – « Woé »
William – « Wowowo attend attend là.... Deux seconde.... On vient de faire un truc super flippant et toi tous ce que tu arrive à dire c'est « Woé » ? »
Visiblement William était plus que secoué. Sawyer lui garder son air « je-m'en-foustiste » et ne semblait pas plus perturbé que ça. Peut-être parce que lui il savait à quoi s'attendre. Ce sort il l'avait appris il y a moins de deux mois et pratiquer que deux fois auparavant mais Sawyers savait plutôt bien le maitriser. Certes intense et perturbant de se retrouver dans l’état moral d'un autre mais il montrait aucun signe d'excitation, de surprise ou d'inquiétude. Il restait cool et relax comme à son habitude.
William – « C'était d'la magie noire n'est-ce pas ? »
Sawyer – « Woé »
William – « Et Thomas il en pense quoi qu'tu fais d'la magie noire ? »
Sawyer – « Ce que papa ne sait pas ne peut pas lui faire de mal. J"crois qu'il est préférable qu'il ignore certaine chose pour pas qu'il s'inquiète trop pour moi. »
William - Tu sais que je pourrais très bien aller le voir et tout lui dire juste pour le plaisir de le voir te disputer ? » dit-il d’un ton espiègle et insolent.
Sawyer – « Je sais. Mais tu ne le feras pas. .. » Répondit-il d’un air sûr de lui avec un ton neutre.
William – « Et qu'est-ce qui te rend si sûr de toi ? » dit-il avec dédain.
Sawyer- « La confiance que j'ai en toi » conclut-il posément avec calme.
Cette fois-ci William ne savait plus quoi dire et il n'avait plus vraiment envie d'emmerder Sawyer. D'après lui, tout le monde le voyait comme un bouffon et peu savez qu'on pouvait compter sur lui, qu'on pouvait lui faire confiance. Mais Sawyer le connaissait à peine et pourtant il avait déjà confiance en lui, cela toucha William qui voyait déjà le jeune homme différemment.

William – « Tu t'énerve jamais ? »
Sawyer – « Pourquoi ? »
William – « Parce que c'est énervant ! Non sérieux. T'as l'air toujours calme et serein et on pas l'impression que quoi qui se passe ça te perturbera pas. »
Sawyer – « C'est faux » dit-il comme s'il avait dit bonjours.
William – « Woé si tu le dit. »
Essayant de retrouver ses esprit et de l'ordre dans ses idées, William se posait plein de question sur ce qu'il avait vu et surtout sur les émotions de son frère. Celle qu'il avait ressentie à sa place dans son souvenir. Jamais il n'aurait soupçonné que Sawyer avait autant souffert de l'absence de Thomas quand l’année où il était avec lui.
Sawyer - La jeune fille un peu agaçante c’était qui ? »
William - Quoi ? »
Sawyer – J’l’ai vu tombé dans l’eau. J'ai vu à quel point tu étais paniqué. C'était qui ? »
William - Qu'est-ce que ça te foutre de savoir qui c'était ?

William s'était renfrogné, parler de l’accident de Sophia le culpabiliser toujours énormément, même si la jeune fille avait survécu. Cette histoire était devenue comme un sujet tabou pour lui mais Sawyer n'avait pas envie d'être triste, compatissant ou d'avoir pitié. Il disait les choses simplement. Sawyer ne fit aucun commentaire à sa remarque car les souvenirs échangé il comprenait davantage les réactions de son frère.
William – « Une jeune fille brune ça te dit quelque chose ? » dit-il avec arrogance.

Sawyers comprit de tout se suite, qu'il parlait de Florence, son seul amour. Lorsque son père avait repris ses esprit et il l’avait obliger de rompre avec elle pour la protéger. Depuis il s'était interdis de penser à elle, mais c'était évident que William parlait d'elle. D'ailleurs ce derniers se mordit la lèvre inférieur avec envie.
William - « Parce que hum elle embrasse carrément bien bave J'la regouterait bien de nouveau ».

Ni une ni deux, le sang de Sawyers ne fit qu'un tour et il attrapa violemment son frère et le plaqua contre le mur, le regardant d'un œil mauvais. William eut un petit rire et si ça n'avait pas était lui il se serait sûrement pris un coup de poing. Sawyer lâcha alors son frère réalisant qu'il avait stupidement perdu ses moyens. Son jumeau lui semblait jubiler.
Sawyer – « Qu'est-ce qui te fait rire ? »
William – « Toi. Tu vois qu'tu t'énerve ! »
Sawyer eut un petit rire à son tours et l'ambiance ce détendit d'avantage. Quand Sawyers était arrivé William l'avait détesté d'office, ne se trouvant aucun point commun avec lui et ne voulant surtout pas en trouver. Mais là en fin de compte il venait de réaliser qu'ils étaient identiques. Ils ne montraient pas ce qu'ils étaient réellement et réalisant cela il se sentit plus proche de son frère. Car oui, étrangement il le voyait à présent comme son frère, un membre de la famille. Sans avoir besoin de lui dire, Sawyer le comprit dans le regard de William. Ils venaient de partager des souvenirs douloureux et un lien venait de s'être fait. Un lien beaucoup plus fort que le lien du sang, un lien du cœur.....

Proffesseur Morling - Pour la énième fois Mr William Slayers veuillez avoir la gentillesse de vous taire avant que je perde le peu de patience qu'il me reste.
William - Alex
Mr Morling - Pardon ?
William - William ALEX Slayers.
Mr Morling - Non mais je me trompe où vous êtes entrain de vous foutre de moi ?

Le professeur d'histoire afficher de grand yeux rond, surpris d'un tel culot.

William - Non bien sûr que non. C'est juste que c'est important le « Alex » . Vous voyait mon père m'a appeler William Alex Slayers et pas « William Slayers ». Alors je vous faisait juste remarquer que vous l'avez oublier mais celà ne signifie pas qu...
Mr Morling - SA SUFFIT ! Stop ! Je ne veut plus vous entendre Mr Slayers !

Ce dernier se tourna vers Kivar qui se trouvait à côté de lui.

William - Tu crois que je l'ai énervé ?

Une légère grimace et il releva un regard plein de curiosité vers son professeur

William - J'vous ai énervé ?

Monsieur Morling viré presque au rouge et s'éfforcer de ne pas explosé.

Mr Morling - Je ne suis pas énervé
William - Vous êtes sur ?
Mr Morling - Je ne suis pas énervé
William - Vraiment ? Parce que vous avez l'air énervé...

Il semblait avoir de la sollicitude pour ce pauvre professeur mais tout cela était dit de façon très théâtrale et trahisait l'hypocrisie du jeune homme.

Mr Morling - Je suis PAS énervé
William - J'vous ai énervé !

Il soupira, faisant semblant d'avoir était peiné d'avoir énervé Mr Morling. Puis regardant de nouveau son pote,il eut un air désolé.

William - Je l'ai énervé hein ?

Kivar acquiesça d'la tête rentrant dans le jeu de son pote pour mettre le prof encore plus en pétard. Ils s'amusaient comme des petits fou. Des éclats de rire se avaient éclater dans la classe et tout le monde avait les yeux rivé sur Will.

William - Voilà j'le savais je l'ai énerver !
Mr Morling - WILLIAM !
William - Oui ?

Il tourna innocemment la tête vers son professeur d'histoire de la magie et afficha un large sourire tandis que les autres élèves riaient toujours..

Mr Morling - DEHORS !
William - Quoi ????????

Cette fois William semblait réellement surpris, comme si on l'accuser d'un crime qu'il n'avait pas commis.

Mais qu'est-ce que j'ai fait ???
Mr Morling - DEHORS ! FOUTER MOI LE CAMPS
William - Vous savez vous ne devriez pas crier autant . C'est pas bon pour la voie un jour vous allez...
Mr Morling - DEHOOOOOOOOORS !
William - Sa va sa va. Vous exister pas j'y vais.

Un clin d'oeil à Kivar pour montrait qu'il était fier de sa connerie et il partait en direction du parc et sa liberté.....

Sawyer – William debout ! On as cour !

L'ainé Slayers venait de débarquer dans la chambre de son jumeau sans son autorisation et d'ouvrir grand les stores. Il venait rappeler à l'ordre son frère et lui rappeler qu'il ferait mieux de ramener ses fesses en cour s'il ne voulait pas rater son année. En tout et pour tout cette semaine William avait dût sécher une dizaine de cour. Ce dernier dormait paisiblement sur le ventre et il grimaça quelque seconde en sentant les rayon du soleil sur son visage. Sawyer tira le drap qui le couvrait et s'aperçut avec horreur qu'il était nu comme un ver.

Sawyer – Depuis quand tu dort à poil toi ?

C'est à se moment là, que la porte de la salle de bain s'ouvrit et que le visage d'une jeune fille apparut derrière celle-ci . Sawyer se retourna avec observa la nouvelle venue qui était seulement vêtue d'une serviette de bain. Il leva légèrement les yeux au ciel, agaçait. Il aurait dût s'en douter tiens ! William quand à lui s'était redressé et il était à présent assis dans le lit entrain d'adresser un sourire espiègle a sa conquête d'une nuit.

Sawyer – Oh putain ! J'aurais dût m'en douter tiens !
Fille – Salut . Tu... tu es son frère ?
Sawyer – Salut. Woé. Puis se tournant vers son double. William je t'attend dans le couloirs. T'as intérêt d'y être dans dix minute sinon j'viens te chercher par la peau du cul .
William – Woé woé .

Sawyer lui envoya un regard noir qui voulait dire qu'il était sérieux avant de se rendre à côté. « Tu es son frère » . Pff ! Et en plus de ça elle était stupide. Sawyer et William se ressemblait comme deux goutte d'eau c'était évident qu'ils étaient frère. Au bout de dix minute exactement, à croire de Will savait qu'a la moindre de retard ça aller chauffer pour lui, les jeunes amants arrivèrent dans le couloirs près de Sawyer, mais habiller cette fois. William posa les mains sur les hanches de sa belle et l'embrassa a pleine bouche tandis que son jumeau regardait ailleurs par respect pour leur intimité. Leurs lèvres se délièrent alors et ils s'adressèrent un petit regard complise et un sourire amusé. La fille semblait totalement folle de lui.

Fille – Tu m'apelle ?
William – Bien sûr

Un dernier smack et elle était déjà partit. Sawyer se tourna alors vers Will avec un air de reproche.

Sawyer – Pourquoi lui dire qu'tu va la rappeler alors qu'tu sais pertinemment qu'tu va pas le faire ?
William – Pourquoi briser ces rêves ?
Sawyer – Pourquoi lui faire de faux espoir ?

Sawyer répondait toujours à une question par une autre question lorsqu'il était stressé ou qu'il ne voulait pas répondre. William le savait et il prenait un malin plaisir à reprendre ce tic pour l'agaçait. Il leva alors les yeux au ciel tandis que Sawyer afficher une légère grimace.

Ensemble : ON AS PAS LA MEME CONCEPTION D'L'VIE !

Ils éclatèrent de rire ensemble, amusé qu'ils aient parlé en même temps et qu'ils pensent là même chose sur ce point au moins. C'étaient si rare...