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"SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)

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Ysölde M. Wilkes McFays
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fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyMer 26 Oct - 21:22

"SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) 111026110334877736

YSOLDE FAYBURN-WILKES & SOFIA SWEETLOVE
SAINTE MANGOUSTE - SERVICE CONSULTATIONS
DANS LA FIN DE JOURNÉE VERS DIX HUIT HEURES.
Personne n’aime les hopitaux, et ce n’était pas Ysolde qui allait dire le contraire. Il y avait une doeur étrange une odeur qu’Ysolde n’appréciait pas du tout. pourtant, Ysolde n’avait aucun souvenir traumatisant liée à l’hopital. Elle n’y avait pas perdu de parent proche, rien. mais, à l’hopital, Ysolde ne s’y sentait pas bien du tout, peut être parce que les gens autours d’elle ne se sentaient pas très bien. Les gens malades faisaient vraiment peur à la jeune femme. Elle y avait passé pas mal de temps depuis cet été ; après le désastre de Poudlard elle y avait été admise. La jeune femme était passé à travers la grande vitre de la grande salle, et avait dû se retenir à cette même fenêtre en mille morceau, les mains en sang. Les médicomages l’avaient osculté des jours cherchant à comprendre pourquoi elle ne s’était pas brûlée en passant à travers alors que les autres oui, une chose qu’elle ne saurait expliqué. Puis, elle avait été prise en charge par un psycomage, il avait cerné le problème de son père la gamine qui avait voulu ressembler à sa monstrueuse sœur sans résultat pendant des années, et une chose avait éveillé les soupçons : elle n’évoquait jamais son enfance, et ne semblait pas en avoir le souvenir. De fil en aiguille, et après une thérapie de choc, la jeune femme avait retrouvé tous ses souvenirs, et sa santé. Sauf qu’après un choc pareil, on vous surveille dés que vous sortez de Poudlard. La jeune femme avait esquivé tout ses rendez vous avec l’infirmière de Poudlard, même si elle avait passé une grande partie de son temps à l’infirmerie cette année – nottament après avoir fini dans le lac, et avoir eut une vision qui l’avait poussé jusqu’à l’évanouissement. Le médicomage qui la prenait en charge était quelqu’un en qui elle avait confiance, elle était prête à lui évoquer ses visions, même si en soit cela n’avait rien de médicale, cela faisait du bien d’en parler. Jusqu’ici, seul Graeme savait, il avait été témoin de deux visions, mais ils n’en avaient jamais vraiment parlé. Elle avait hâte de pouvoir en parler à celui qui était devenue son médicomage préféré.

Elle était assise dans la salle d’attente, se plaignant depuis quelques temps de maux de tête, c’était ses visions qui lui détraquaient le cerveau, plus elle en avait, plus elle avait mal à la tête, c’était peut être à force de vouloir les contenir. Bref, elle feuilletait le sorcier hebdo du jour, et était plongé dans les absurdités d’un article vantant les mérites des filtre d’amour, pathétique, une fille ne devrait pas avoir besoin de cela, enfin. Elle était seule dans la salle d’attente, et elle était à l’heure. Ysolde arrivait toujours en avance. Enfant, si elle était arrivée en retard elle se serait faite giflée par son père, alors ce genre de chose vous marquent, et vous finissez par arriver en avance tout le temps. Elle ne leva pas les yeux quand la porte s’ouvrit, et que le patient précèdant sorti. Elle ne reconnu pas le voix de son médicomage préféré, par Merlin, c’était un remplaçant. Elle n’aimait pas les remplaçants, les médicomages ne devraient avoir le droit de prendre des vacances pensa alors Ysolde. Quand une voix féminine appela alors : « Ysölde Fayburn-Wilkes. » La jeune femme ferma son magasine, et leva les yeux. Sofia Sweetlove, la professeur d’anatomie, ou plus précisément sa tante (demi tante, certes mais ne rentrons pas dans les détails.), c’était bien la dernière personne qu’elle voulait voir ces temps ci, surtout en tant que médicomage. La jeune femme regarda autour d’elle, la salle était vide, merde. Elle se leva, lui adressa un bien maigre regard, et pris son sac sur l’épaule, et pris la direction totalement opposé à celle de la salle de consultation. Vous a-t-on déjà dit que mademoiselle Ysolde était quelqu’un d’assez capricieux, et d’assez… têtue ? Et bien, maintenant, vous le savez.
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyLun 7 Nov - 17:37

J'avais repris à mi-temps mon poste de médicomage. A la demande du directeur de l'hôpital Sainte Mangouste j'avais repris mon poste de chirurmage et de médicomage. Aujourd'hui je n'étais pas dans le bloc d'opération mais plutôt aux consultations externes. Au tout début de l'après midi, j'avais eu une bonne surprise. Une jeune femme se tenait devant moi. C'était une de mes patientes de Paris. Je lui avais fait un double pontage coronarien alors qu'elle n'avait que dix ans. Maintenant elle en avait quinze et elle venait pour une consultation. Bonjour Mélodie. Comment vas-tu depuis notre dernière visite ? Elle me souriait et je l'invitais à entrer dans mon bureau. Je lui fis faire plusieurs examens. C'était une de mes plus grandes réussites. J'avais redonner une vie à cette jeune fille. C'était pour cela que j'aimais être une médicomage. J'adorais soigner les gens. Si Madame Maxime n'était pas venue me voir à Paris je ne serais jamais devenue professeur et ma vie serait certainement différente. Vous savez nous sommes obliger d'aller à Durmstrang maintenant... Et elle me raconta son année scolaire combien il faisait froid en Bulgarie et surtout combien les garçons étaient mignon là bas. Cette dernière réflexion me fit sourire. Il était vrai qu'il n'y avait que très peu de garçon à Beaubâton. Madame Maxime avait toujours mis un point d'honneur pour qu'il n'y ait que des filles dans son école. Je continuais de lui faire passer les examens et je me rendais compte qu'elle allait parfaitement bien. Je discutais encore un long moment avec les parents de Mélodie et bien entendu ils ne voulaient que moi pour suivre leur fille. Depuis toujours j'avais fait un exception pour voir leur fille et pour suivre son cas. Je discutais encore et encore quand une infirmière vint me voir. Docteur Mancinni ! Sweetlove Mary... Oui pardon Docteur ! Le Docteur Feelfer ne peut pas assurer ses consultations vous pourriez prendre la relève juste avant de partir ? Bien sur Mary pas de problème. Je finissais mon compte rendu et je raccompagnais Mélodie et ses parents jusqu'à l'entrée de l'Hôpital. Je me dirigeais ensuite vers le bureau de mon collègue. Je prenais les dossiers. Ce n'étaient pas des cas que j’affectionnais beaucoup. Je préférais plutôt les cas complexes comme des opérations mais bon tous les cas étaient intéressant donc je devais me mettre au travail. J'allais dans la salle d'attente et je me mis au travail. Tous les patients de mon confrère passaient un à un dans son bureau. Plus la journée avançait et plus j'avais du mal à rester concentrer. Je devais voir plusieurs cas d'opération dans mon après midi et comme j'avais accepté de remplacer le docteur je ne pouvais pas m'occuper de ces dossiers un peu compléter. Je prenais le dossier suivant pensant qu'il serait comme les autres mais le nom m'interpella. Il s'agissait de ma nièce. Je regardais un peu plus son dossier et je me levais pour aller la chercher. Ysolde Fayburn-Wilkes. Je levais mes yeux vers elle attendant qu'elle s'avance pour sa consultation mais elle prit la direction opposée. Oh elle me faisait donc la tête. Très bien j'avais d'autre chat à fouetter. Bien tu veux partir pas de problème ! J'ai d'autres patients qui m'attendent et qui ne s’enfuiront pas eux. Je commençais à tourner les talons. J'avais d'autres patients qui m'attendaient. Elle ne voulait pas me parler tant pis. J'avais un travail et j'avais aussi du stress à éviter comme j'étais enceinte de six mois... enfin là j'allais être servi pour le stress.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyVen 11 Nov - 20:01

Ysolde n’aimait pas changer de médecin, le médicomage qui avait pris en charge la jeune femme avait eut beaucoup de mal à gagner sa confiance, mais au bout d’un certain temps, il y était parvenu. Entrer dans le monde privé d’Ysolde était une tâche très dur à accomplir, c’était à peine si elle laissait son petit ami y entrer au plus profond. Alors, voir sa tante à la place de son médicomage, c’était un choc, elle était là pour parler de son problème de mémoire, et elle tenait à évoquer avec un vrai médicomage ses visions voir s’il n’existait pas un moyen d’avoir un mal de tête. Elle n’avait trouvé dans aucun livre parlant de voyance des symptômes comme des maux de tête, et les voyant avaient généralement des absences, des prophéties, mais ne s’en souvenait pas. Ysolde elle, gardait en mémoire chacune de ses visions. Elle ne voulait pas parler de ses visions à n’importe qui, elle avait parfois peur de passer pour une cinglé, et de finir comme sœur père, complètement folle. Ysolde était très différente de son père, elle était assez joyeuse de nature, et pleine d’entrain, mais dernièrement la joie de vie l’avait un peu quitté. Alors, en ce moment, elle ne voulait pas parler de ses problèmes à n’importe quoi. Pas que Sofia soit n’importe qui, mais elle était sa tante, elle était enceinte, et sa nièce devait être le cadet de ses soucis, après onze à la croire morte, Ysolde se disait qu’elle devait rien avoir à en faire d’elle. Personne n’avait jamais eut grand-chose à faire de la jeune blonde. « Bien tu veux partir pas de problème ! J'ai d'autres patients qui m'attendent et qui ne s’enfuiront pas eux. » La voix de sa tante était bien différente de celle de sa mère dans l’intonation, dans la voix en elle-même. Mais, la voix de sa tante lui rappelait un temps où on lui disait « Ysolde arrête de manger tes cheveux, et arrête de tirer la langue, c’est sale ». bref, le temps, où elle était une gosse. (oui, Ysolde mangeait ses cheveux, enfin, elle l’avait pas de doudou, mais toujours la même fichue mèche de cheveux blonds bouclés.) Ysolde avait bien grandit, mais même en grandissant on a toujours besoin de sa famille. Sofia était sa famille, malgré tout, elle espérait simplement qu’elle n’était pas aussi cinglé que le côté paternel de sa famille. Après tout le don de voyance était peut être hérité par la mère de sa mère, peut être que sofia serait capable de répondre aux interrogations de la jeune femme, peut être même que sa grand-mère était toujours en vie. Quand Ysolde se retourna elle vit sa tante qui commença à tourner les talons. Ysolde était tellement entêtée, et facilement sur les nerfs qu’elle mettait tout en l’air avec une facilité déconcertante, il n’y avait qu’à demandé à Graeme, elle avait fichu leur moment de tendresse en l’air en deux secondes. Sa tante était enceinte, cette fois, cela se voyait franchement. Ysolde dit alors : « J'avais rendez vous avec le Docteur Feelfer, est ce qu'il est dans une autre salle, ou tu le remplace ? » Pour la première fois depuis leur retrouvailles, Ysolde n’était pas hostile, et disait les choses simplement, sans détours, sans rancune, ou je ne sais quoi dans la voix. Elle s’était retournée vers elle, et s’était approché de Sofia. Elle avait baissé les yeux, comme une gamine qui avait fait une connerie.

ps : c'est court, désolé Arrow mais ça va plus vite "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) 194573
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyMar 15 Nov - 19:26

« J'avais rendez vous avec le Docteur Feelfer, est ce qu'il est dans une autre salle, ou tu le remplace ? » Ma nièce n'était pas hostile envers moi. Un bon point pour elle parce que même si j'ai moi même un caractère assez fort, je déteste que l'on me résiste trop longtemps. Il suffit de voir comment je donne un cours d'anatomie pour voir que je ne suis pas commode du tout. D'ailleurs je me demande souvent comment Timothy fait pour me supporter. Je me retournais une nouvelle fois pour elle et je rouvrais son dossier. Elle semblait vouloir quand même sa consultation et j'étais avant tout un médicomage. A Paris, on m'avait toujours dis de ne pas s'occuper des membres de sa famille mais là j'avais vraiment envie de l'aider. en plus d'être ma nièce, son cas était intéressant. Vous allez certainement vous dire que je suis une personne horrible pour dire cela mais je suis comme cela. J'aime les cas compliqués et je m'ennuie quand je n'ai que des cas faciles. Je levais mes yeux de son dossier et je lui donnais enfin une réponse. Le Docteur Feelfer a du s'absenter pour raison personnelle. Je fais donc sa vacation de consultation externe... Je lui fis un sourire en coin. En somme, si tu veux ta consultation tu devras la faire avec moi. Sinon, je peux te donner un autre rendez-vous avec Georges... Oui George c'était le docteur Feelfer. Nous nous étions connus à Paris lors d'une conférence que je donnais à propos de la neurologie. Bien entendu, mon confrère est un excellent docteur mais j'avoue très volontiers que j'aimerais énormément m'occuper du cas de ma nièce. Je n'aime pas savoir qu'elle va voir un autre docteur. Il faut savoir que quand il s'agit de ma famille j'aime avoir l'oeil sur la santé. Je regardais ma nièce qui venait de baisser les yeux comme une enfant et je me disais que dans quelques temps j'aurais droit très souvent à ce genre d'attitude. Je souriais un peu plus et je posais distraitement ma main sur mon ventre. En plus d'avoir une soeur et d'être une tante, j'allais devenir maman. Tous ces changements me donnaient encore parfois le tournis. Moi qui avais toujours cru être seule au monde je me retrouvais avec une famille beaucoup plus importante que dans mes rêves et j'en étais vraiment heureuse. Je posais ma main sous son menton pour lui relever le visage. Allez suit moi nous serrons mieux dans mon bureau. Je lui fis un sourire encourageant avant de lui tourner le dos pour prendre la direction de mon bureau. J'ouvrais la porte et j'y entrais. J'entendais que la porte se refermait derrière et je m'assis à mon bureau de style français. Je lisais les prescriptions médicales de ma nièce et je fronçais les sourcils. Je posais le dossier sur une pile et je prenais une feuille blanche. Alors on reprend tout depuis le début. On va faire comme si je n'avais jamais lu ton dossier. Qu'est-ce qu'il t'arrive ma chérie ? Je n'avais même pas fait attention que je l'avais appeler ma chérie. Pour moi elle faisait partie de ma famille et elle ressemblait tellement à ma soeur. Je prenais ma plume et j'attendais qu'elle m'explique un peu mieux ce qu'elle avait.


T'as vu je te l'avais promis cette réponse Smile
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyMer 16 Nov - 20:41

« Le Docteur Feelfer a du s'absenter pour raison personnelle. Je fais donc sa vacation de consultation externe... » La jeune femme, sa tante laissa apparaitre un sourire sur ses lèvres et ajouta alors : « En somme, si tu veux ta consultation tu devras la faire avec moi. Sinon, je peux te donner un autre rendez-vous avec Georges... » Oh, le docteur Feelfer n’était pas là. Ysolde l’aimait bien, il lui avait fallu un certain pour accepter le regard d’un médecin dans sa vie personnelle, sur ses problèmes personnels. Sofia était de sa famille, elle ne pourrait pas lui parler aussi facilement de ses troubles liés à ses visions, des cauchemars qu’elle faisait, du fait qu’elle se sente assez faible parfois, qu’elle soit angoissé à l’idée de déambulé dans la rue et de tomber sur son père. Elle était tout le temps effrayé par quelques choses, ou quelqu’un. George, cela fit presque rire Ysolde. Sa tante avait l’air de bien connaitre le médicomage qui c’était occupé de sa nièce. Elle ferait la consultation avec elle, si elle fuyait encore une fois, cela finirait par réellement détériorer les relations entre Sofia et Ysolde. Sa tante – elle avait du mal à se faire à cette idée – posa sa main sur le menton de la jeune femme pour lui faire lever le visage, comme le ferait une mère ou une personne de sa famille (ce qu’elle était), et elle dit alors, avec un sourire encourageant : « Allez suit moi nous serrons mieux dans mon bureau. » Elle l’invita ensuite à la suivre, ce que la jeune femme fit alors sans trop rechigner. Elle le faisait pour elle, savoir si ce qui lui arrivait n’était pas trop grave. Ysolde la suivit alors et referma doucement la porte derrière elle. Elle aimait assez ce bureau, c’était jolie. La jeune femme s’installa alors dans la chaise libre en face du bureau de sa tante. Elle déposa son sac au pied de sa chaise. Elle vit Sofia froncer les sourcils, puis elle dit alors : « Alors on reprend tout depuis le début. On va faire comme si je n'avais jamais lu ton dossier. Qu'est-ce qu'il t'arrive ma chérie ? » Ma chérie : personne ne l’avait jamais appelé comme ça. Sa mère l’appelait « Mon Ange », « ma Puce », elle lui donnait des tas de surnoms autrefois, « Ma Chérie » oui, elle l’avait peut être appelée comme ça, mais c’était tellement loin. Ysolde n’avait pas envie de tout raconter, cela lui faisait mal de parler de ça, mais… il fallait au moins qu’elle collabore un peu. « Et bien… L’année dernière lors des attentas de Poudlard, je suis passé par la fenêtre et j’ai été envoyé à Sainte Mangouste, ou le docteur Feelfer m’a fait un examen complet et il a découvert que j’avais des troubles de la mémoire. J’ai donc suivi au début de l’été une… thérapie de choc, avec des électrosort, et j’ai… recouvré la mémoire. Depuis, il me suit pour voir si j’ai totalement recouvré la mémoire, ou s’il y a des complications vis-à-vis de mon « accident ». enfin, voilà quoi. » A la fin, elle avait un peu laissé sa voix se perdre. Elle n’aimait pas parler de ses problèmes, là elle n’avait fait qu’évoquer ce que le docteur avait dû évoquer dans son dossier, elle n’avait pas parler de la raison de sa venue, le docteur n’avait pas dû la marquer, parce qu’elle avait voulu lui en parler de vive voix. Ysolde n’aimait pas parler d’elle, elle décida de changer de sujet en affichant un sourire, et demanda alors avec joie, et bonne humeur : « Sofia, tu es magnifique ! Tu porte vraiment bien ton bébé ! Tu sais si c’est une fille, ou un petit garçon ? » Contrairement à ce que beaucoup de monde pensait : Ysolde n’était pas une faux cul. Non. elle était sincèrement intéressée par Sofia, réellement, elle était sa seule vraiment famille quand on y pensait, elle ne pouvait pas se permettre de la rejeté, sa seule famille normale. Elle ignorait si la mère de sofia, et la mère de sa mère était encore en vie.
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyDim 20 Nov - 21:09

« Et bien… L’année dernière lors des attentas de Poudlard, je suis passé par la fenêtre et j’ai été envoyé à Sainte Mangouste, ou le docteur Feelfer m’a fait un examen complet et il a découvert que j’avais des troubles de la mémoire. J’ai donc suivi au début de l’été une… thérapie de choc, avec des électrosort, et j’ai… recouvré la mémoire. Depuis, il me suit pour voir si j’ai totalement recouvré la mémoire, ou s’il y a des complications vis-à-vis de mon « accident ». enfin, voilà quoi. » C'était vraiment étrange. Je fronçais les sourcils et j'essayais de comprendre un peu plus le cas qui était devant moi. Je m'étais mis dans la tête que ce n'était entre guillemets qu'une patiente mais je n'y arrivais pas. Je voulais absolument aider ma nièce et je savais où cette soudaine envie, ou folie cela dépend d'où on se place, aller se transformer en obsession et je ne pourrais plus fermer l'oeil jusqu'à ce que je trouve une solution. Je tournais quelque peu mon fauteuil et je posais mon regard au loin. Je ne m'étais jamais doutée qu'elle était aussi mal et qu'on avait altérer sa mémoire. Je commençais même à me demander si le crétin de sang pur que ma soeur avait épousé n'avait pas lui même altérer la mémoire de ma magnifique nièce. Je le détestais et je me demandais même si je ne devrais pas aller lui dire deux ou trois mots et même lui dire que j'allais l'attaquer en justice. Je savais que je ne gagnerais sûrement pas mais je ne pouvais pas laisser ma nièce entre les pattes de ce crétin. Je me tournais ensuite vers ma nièce sortant tout à coup de mes pensées. Ton accident ? Qu'entend par là ? Si tu ne me dis pas tout je ne pourrais pas t'aider. Je plongeais mon regard bleu vert dans le sien. Je voulais vraiment qu'elle comprenne qu'elle pouvait tout me dire mais en même temps je savais combien il était difficile de se confier à quelqu'un qu'on ne connaît pas vraiment. Par exemple j'ai toujours eu beaucoup plus de mal à me confier aux hommes parce que je n'ai jamais eu mon père biologique à mes côtés. Alors je me doutais qu'elle ne pourrait certainement jamais se confier à moi comme je le souhaiterai. Je me demandais aussi comment ma mère allait réagir quand je lui dirais que j'avais retrouvé sa petite fille. Je me doutais qu'elle m'en voudrait de mettre mêler d'une histoire qui ne me regarde pas mais personnellement je ne pouvais pas vivre une vie sur Terre sans m'occuper de la seule « chose » qui reste de ma grande soeur. Je voulais m'occuper de sa fille parce que je n'avais pas pu la sauver et je m'en voulais énormément pour cela. J'attendais donc une réponse de sa part pour pouvoir commencer de suite mes recherches mais la réponse qu'elle me donna ne me satisfit pas du tout. « Sofia, tu es magnifique ! Tu porte vraiment bien ton bébé ! Tu sais si c’est une fille, ou un petit garçon ? » Ou comment passer du coq à l'âne. Cependant je ne pus m'empêcher de sourire. Après tout, elle s’intéressait certainement la première fois à moi. Je souris et je posais ma main sur mon ventre. Mon fils allait naître dans peu de temps et ce peu de temps était encore trop long à mon goût. Et bien tu vas avoir un petit cousin... Et il s'appellera Lukas. Rien que de dire le prénom de mon fils je sentais les larmes me monter aux yeux. Je passais mes mains dans mes cheveux et je lui souriais. Timothy est très content d'avoir un enfant. On lui a même préparer sa chambre ! D'ailleurs, ma proposition tient toujours... Une chambre t'attend toujours chez moi si tu le souhaites. Je la regardais puis je détournais les yeux. Je prenais le risque d'essuyer un nouvel échec mais comme on le dit souvent qui ne tente rien n'a rien.
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyDim 20 Nov - 21:57

Ysolde était assez évasive sur ce qui lui arrivait, elle n’aimait pas se plaindre, cela ne lui ressemblait pas. Comme elle le disait, le docteur Feefler avait su gagner sa confiance et avait mis du temps avant de réussir à lui faire dire les mots qu’il fallait avec franchise. Ysolde n’était pas forte, et restait donc très évasive, de peur d’être faible. Elle ne pouvait laisser l’occasion à personne de la blesser, elle était tellement blessée déjà, un peu plus et elle ne serait plus jamais capable de se relever. Le mensonge sur sa vie l’avait achevé, il l’avait mis à genoux, et la faute à qui ? A Ce crétin d’angus wilkes, son père. Enfin, si on pouvait appeler ça un père. « Ton accident ? Qu'entend par là ? Si tu ne me dis pas tout je ne pourrais pas t'aider. » Ysolde avait faillit répondre qu’elle n’avait pas besoin d’aide, mais c’était faux. Si elle répondait cela, elle risquait encore de se mettre sa tante à dos, et se mettre a dos le seul membre de votre famille qui n’est pas cinglé, ce n’est pas franchement une bonne idée, non ? Ysolde lui devait d’être franche, parce qu’elle était sa seule famille. Elle devait lui parler de ses visions, avec un peu de chance, la jeune femme pourrait trouver un moyen d’apaiser ses nuits à l’aide d’une potion, de calmer ses visions avec une potion ou je ne sais quoi qui pourrait l’empêcher de perdre connaissance subitement quand la vision est trop forte. Fallait-il encore qu’elle soit capable de les évoquer, c’était le nœud du problème, ses visions. Elle aurait pu sauver sa mère, elle lui avait dit qu’elle avait fait ce rêve où elle la voyait mourir, et celle-ci lui avait dit de ne pas s’inquièter. Ysolde et ses visions, c’était une longue histoire qui n’était pas prête de se terminer. Ysolde n’avait pas conscience que c’était un don, et même un grand pouvoir. Elle dit alors à l’attention de sa tante : « Je ne cache rien, quand je dis accident, c’est ce qui est arrivé lors des attentats, quand je suis passé à travers la fenêtre et en suis miraculeusement ressortie indemne alors que n’importe qui aurait été brûlée vive. L’accident qui a coûté la vie à maman il y a onze ans. A croire que tout ma vie est accident, que je suis un accident. » C’était ce qu’elle avait tendance à coire, à la fin de sa phrase, elle tourna les yeux, et esquissa un sourire désabusé. Oui, elle avait tendance à croire qu’elle étaitun accident, sinon, pourquoi sa mère serait aller avec un homme comme angus Wilkes ? Il n’avait rien de beau en lui, un homme agréable à regarder, mais terriblement froid, et sans cœur, tout ce qu’il avait pu apporter à sa mère c’était de l’argent et une situation stable, rien d’autre. ysolde ne comprenait pas sa mère, il ne comprenait le choix de sa mère, elle aurait dû choisir un autre homme, n’importe qui, mais pas lui. Ysolde avait la cruelle sensation d’être un accident. La jeune femme aurait aimé avoir une vision montrant sa mère heureuse avec son père, autrefois, mais elle n’arrivait pas à avoir de vision de sa mère, hormis la mort de celle-ci. Quand elle pensait à sa mère, la mine d’Ysolde était tout à coup plus triste, elle fixait un point dans la vide, quand la voix de sa tante la sortie alors de ses pensées : « Et bien tu vas avoir un petit cousin... Et il s'appellera Lukas. » Celle-ci laissa apparaitre une petite larme dans ses yeux, et sourit à la jeune fille avant d’ajouter :« Timothy est très content d'avoir un enfant. On lui a même préparer sa chambre ! D'ailleurs, ma proposition tient toujours... Une chambre t'attend toujours chez moi si tu le souhaites. » C’était un beau prénom. Ysolde n’avait sincèrement jamais pensé aux prénoms que pourraient avoir ses enfants, si elle en avait un jour. L’année dernière, elle avait eut une vision d’avenir avec Ulysse Lestrange, près de vingt ans plus tard, entouré de deux têtes blondes, dans sa vision elle avait entendu le prénom Angus, et le prénom Amelia. Aujourd’hui, elle était certaine que cette vision qui était devenue une vision d’horreur n’arriverait jamais. Jamais elle n’appellerait son fils Angus, comme son infâme père, jamais. Ysolde ne préférait pas y penser, elle aurait peut être des enfants dans des années, avec quelqu’un qu’elle aimait vraiment. Un temps elle avait songé que Duncan aurait pu être le père de ses enfants, tellement elle l’aimait, mais aujourd’hui, elle ne se faisait pas d’illusion, elle n’arrivait à trouver quelqu’un pour l’aimer, elle était trop compliquée, impossible à cerner, dur à comprendre. « C'est un prénom fantastique ! Au moins ton fils pourra être heureux, il aura un père et une mère vivants et complètement normaux, il a beaucoup de chance, il va falloir qu’elle en profite ! » Oui, il avait beaucoup de chance. Ysolde avait dit ça avec le sourire, pourtant sa voix c’était serrée dans sa gorge. Elle n’avait pas eut la chance d’avoir une famille, une mère morte, une partie de son enfance à fuir à père cinglé, qui avait probablement tué sa mère – cependant elle ne l’évoquait pas à Sofia, c’était trop dur d’en parler – puis elle avait perdu la mémoire, et son père l’avait gardé en vie pour je ne sais qu’elle raison, il l’avait élevé comme une fille de sang pur, sans raison, pour lui dire aujourd’hui qu’il ne l’avait jamais aimé. Elle ne comprenait pas. Mais le fils de Sofia aurait beaucoup de chance d’avoir des parents comme ça. Ensuite, au sujet de venir habiter chez Sofia, Ysolde répondit alors : « Merci mais… je suis bien où je suis en ce moment. » Elle ne tenait pas à s’incruster dans le schéma familiale parfait qu’était entrain d construire Sofia. Elle était « bien » où elle était en ce moment, dans une chambre du Chaudron Baveur, ce n’était pas si mal. elle avait quitté la maison de son père cet été, elle avait squatté les maisons d’amis, mais avait trouvé la solution du Chaudron Baveur adapté à ses besoins, au moins là bas, elle n’embêtait personne, c’était précaire, mais ça Sofia n’était pas sensé le savoir.
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyDim 27 Nov - 17:40

« Et bien… L’année dernière lors des attentas de Poudlard, je suis passé par la fenêtre et j’ai été envoyé à Sainte Mangouste, ou le docteur Feelfer m’a fait un examen complet et il a découvert que j’avais des troubles de la mémoire. J’ai donc suivi au début de l’été une… thérapie de choc, avec des électrosort, et j’ai… recouvré la mémoire. Depuis, il me suit pour voir si j’ai totalement recouvré la mémoire, ou s’il y a des complications vis-à-vis de mon « accident ». enfin, voilà quoi. » Donc il y avait vraiment une raison à cette perte de mémoire. Maintenant que je savais cela, je pourrais préparer un traitement pour ma nièce. J'essayerais d'en discuter avec le Docteur Feelfer pour voir comment il voulait procéder avec elle. Je regardais au loin. Je me faisais vraiment beaucoup de soucis pour elle. Perdre la mémoire est la chose la plus terrible que je connaissais. J'avais traité plusieurs cas de perte de mémoire mais ce n'était jamais comme pour Ysolde. En plus j'en faisais un affaire personnelle ! J'irais moi même voir son crétin de père pour lui passer l'avoiner de sa vie ! En même temps je suis italienne alors je n'ai peur de rien sauf de mon mari quand il est en colère et heureusement pour moi cela n'arrive que très peu de fois. Et puis je me fixais tout à coup sur le mot « maman ». Ma soeur était sa mère. Cela réveillait en moi le deuil. Elle était morte quand je n'avais que 22 ans et je ne l'avais pas assez connu étant donné qu'elle était partie après sa dispute avec maman. Je m'en voulais de ne pas l'avoir défendu mais d'un côté j'étais vraiment trop jeune pour me mêler d'une histoire qui ne m'avait jamais vraiment regarder. Les attentats... Je m'en souviens très bien... J'étais bloquée dans le dôme du lac et j'ai failli... Je posais ma main sur mon ventre et je secouais la tête. Il ne fallait plus que je pense à cette histoire. Je regardais alors ma nièce et je lui souriais. Je retrouvais dans ses traits ma soeur. Elle était aussi belle quelle mais Ysolde était plus une beauté froide comme si elle avait fané trop tôt et malheureusement pour elle j'en connaissais la raison. Il n'y avait qu'un Wilkes pour détruire tout ce qu'il y a de beau autour de lui. Je lui souriais toujours en ajoutant : Ne t'inquiète pas pour ton problème de mémoire. Si tu me le permets j'aimerais travailler avec le Docteur Feelfer. Tu m'y autorises ? Je la regardais dans les yeux. Je ne prendrais pas mal un refus même si contrarier une femme enceinte qui plus est italienne n'était pas du tout une bonne idée. Et puis nous sommes venues à changer de sujet. Je me doutais que c'était une sorte d'esquive pour ne pas me parler plus de ses problèmes et pour une fois de consentit à ne pas en demander plus. Elle me parla de ma grossesse et de mon fils et là j'étais bien plus qu'aux anges. « C'est un prénom fantastique ! Au moins ton fils pourra être heureux, il aura un père et une mère vivants et complètement normaux, il a beaucoup de chance, il va falloir qu’elle en profite ! » Je souriais. Elle aimait le prénom que j'avais choisi et j'en étais vraiment contente. Elle était tellement belle quand elle souriait mais je sentais dans sa voix qu'elle n'allait pas bien. Je me levais donc de mon fauteuil et j'allais m'asseoir à côté d'elle avant de la prendre dans mes bras. Ma chérie... Il en profitera et j'aimerai beaucoup que tu sois présente dans sa vie après tout tu es sa cousine et j'aimerais que tu sois même plus pour une lui... Je dois en parler à Timothy bien entendu mais je ne pense pas qu'il soit contre en tout cas tu seras la marraine d'un de mes enfants et même si ce n'est pas de Lukas tu seras la marraine de mon deuxième enfants parce qu'on en veut trois avec Timothy alors tu auras de quoi t'occuper c'est pourquoi... Je lui caressais les cheveux et je la regardais droit dans les yeux avant d'ajouter. C'est pourquoi je veux que tu viennes vivre avec nous. Tu sais notre cottage est très grand, tu auras ta propre chambre et tu pourras inviter tes amis et des garçons aussi, tu seras totalement libre mais je voudrais vraiment que tu viennes vivre chez nous... S'il-te-plait... Je lui souriais. Si elle pensait qu'elle nous embêterait c'était faux. Elle serait plutôt une bénédiction pour nous.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyDim 27 Nov - 20:33

« Les attentats... Je m'en souviens très bien... J'étais bloquée dans le dôme du lac et j'ai failli... » Ysolde était passé par une fenêtre. Oui, par une fenêtre ; elle ne savait pas ce qu’il lui avait pris, pousser d’adrénaline, éclaire de génie, ou pure folie. Elle ne savait pas trop, elle avait eut cette sensation, ce quelques choses inconnu qui l’avait poussé à faire cela. Elle aurait pu bruler vive, pourquoi était-elle passé à travers, elle ne comprenait pas, pas du tout. Les flammes lui avaient fait peur, mais le feu étaient une chose qui l’avait toujours fasciné, comme ce dragon de feu, il l’avait tellement fasciné, elle s’en souvenait encore très clairement. Le dragon, les dragons, elle adorait ça, étrange. Elle aurait préféré être bloqué sous le dôme du lac, là bas elle n’aurait pas eut l’impression de passé pour une folle furieuse en se jetant par la fenêtre. Elle avait été blessée gravement, coupure, les mains en sang, elle avait d’ailleurs été envoyée à Sainte mangouste sans trop tarder. Le docteur Feelfer l’avait prise en charge, elle l’avait apprécié. Elle avait eut rendez vous avec lui avec son père –elle était encore amnésique- et le docteur Feelfer avait dit qu’il préférait poursuivre les visites sans lui. Quand il avait évoqué les possibles problèmes de mémoire de sa fille, Angus Wilkes s’était exclamé que c’était un scandale. Si Ysolde avait poursuivit ses visites, c’était contre l’avi de son père, et dans l’ignorance de celui-ci. « Ne t'inquiète pas pour ton problème de mémoire. Si tu me le permets j'aimerais travailler avec le Docteur Feelfer. Tu m'y autorises ? » Elle ne s’inquiétait pas. Non, c’était solutionné désormais. Elle savait que sa mémoire était revenue, et elle n’était pas prête de la laisser s’en aller de nouveau. A cause d’elle, elle avait oublié sa mère, sa vie d’avant, et son ami d’enfance de qui elle n’aurait jamais eut envie d’être séparé. Elle répondit alors à sa tante : « Bien sûr. » Oui, elle n’y voyait aucun inconvénient. Enfin… elle se sentait plus en confiance avec le docteur Feelfer, mais bon, elle ne pouvait pas refuser cela à sa tante, si ça lui faisait plaisir. Cependant, elle souhaiterait parler seule à seule avec Feelfer, elle ne tenait pas à ce que sa tante soit au courant de certaines choses sur sa vie. Elle avait du évoquer ce qui lui était arrivé avec le Docteur Feelfer, notamment des marques sur les poignets à l’époque de l’attentat qui avaient été causé par Ulysse. Ysolde détestait parler de ça, pas avec sa tante.

Sa tante se leva alors, et s’assit à côté d’elle avant de la prendre dans ses bras. «Ma chérie... Il en profitera et j'aimerai beaucoup que tu sois présente dans sa vie après tout tu es sa cousine et j'aimerais que tu sois même plus pour une lui... Je dois en parler à Timothy bien entendu mais je ne pense pas qu'il soit contre en tout cas tu seras la marraine d'un de mes enfants et même si ce n'est pas de Lukas tu seras la marraine de mon deuxième enfants parce qu'on en veut trois avec Timothy alors tu auras de quoi t'occuper c'est pourquoi... » Elle marqua une pause, et poursuivit : « C'est pourquoi je veux que tu viennes vivre avec nous. Tu sais notre cottage est très grand, tu auras ta propre chambre et tu pourras inviter tes amis et des garçons aussi, tu seras totalement libre mais je voudrais vraiment que tu viennes vivre chez nous... S'il-te-plait... » Ysolde n’avait jamais vraiment eut de famille. En fait, si… elle avait eut une famille tant que sa mère était en vie. Tant que sa mère était là, elle s’était sentie bien. Elle s’était sentie protèger, et aimé. Celle-ci l’emmenait partout avec elle, près de ses amis à elle, c’était là qu’elle avai rencontré Gale, son ami d’enfance, sa moitié en quelques sorte. Cette époque lui manquait tellement. A la mort de a mère, elle n’avait plus jamais eut de famille, plus jamais. Son père l’avait mise à Poudlard et ne lui avait presque plus jamais parlé. Le fils de Sofia allait avoir de la chance, beaucoup de chance, une famille, ce n’est pas rien. « Je… c’est adorable Sofia. Je… je suis touché mais… j’ai pas l’impression de faire partie de la famille. Ca fait onze ans que je n’ai plus l’impression de faire partie d’une famille. » Ysolde passa une main sur sa joue pour essuyer une larme naissante au coin de son œil. Elle n’avait pas envie de pleurer, mais ça la rendait triste de ne pas avoir de famille. Quand elle voyait ses « amis », même s’ils étaient de sang pur, ils avaient tous une famille. Même les Blacks étaient plus famille que son père. Ysolde n’avait pas eut la chance d’avoir une famille, pas depuis la mort de sa mère. Si elle habitait chez eux, elle se sentirait comme une intrus. « Je ne compte pas m’incruster et déranger. Ca ne me ressemble pas. » Elle respira calmement, elle détestait avoir cette voix quasi chevrotante, elle avait l’impression d^’etre à deux doigts de fondre en larmes. Elle passa sa main sur ses yeux. Elle leva les yeux vers sa tante et dit alors : « je crois que je ferais mieux d'y aller... j'ai... » Elle devait arriver à l’heure pour pouvoir commander un repas digne de ce nom au chaudron baveur. Elle adressa un regard à sa tante.

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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyLun 5 Déc - 15:47

« Je… c’est adorable Sofia. Je… je suis touchée mais… j’ai pas l’impression de faire partie de la famille. Ça fait onze ans que je n’ai plus l’impression de faire partie d’une famille. » Je la regardais et ces paroles me firent beaucoup de mal. J'aurais dû intervenir plus tôt. J'aurais dû ne pas écouter ma mère ou du moins ne pas la croire quand elle me disait que ma soeur et ma nièce étaient mortes. Je voyais bien que ça lui avait fait du mal et j'aurai voulu réparer cela ou du moins alléger un peu sa peine mais apparemment elle ne le voulait pas. Cependant je suis une italienne et je suis vraiment têtue alors je n'allais pas abandonner mon idée de famille de si tôt. Tu pourrais faire partie de ma famille si tu le voulais ma chérie. En tout cas tu sais que ma porte t'est ouverte si tu changes d'avis. Je regardais au loin devant moi. J'étais déçue de se refus mais je pouvais très bien le comprendre aussi. Elle ajouta alors. « Je ne compte pas m’incruster et déranger. Ca ne me ressemble pas. » Là je la regardais et je fronçais les sourcils. Il ne fallait pas qu'elle pense cela. Elle n'était pas une charge pour moi et elle ne le sera jamais. Je voulais qu'elle se sente en famille avec moi mais si elle pensait qu'elle s'incrusterait dans ma maison c'était qu'elle ne me connaissait pas du tout – bon c'est vrai que c'était le cas mais je donnais vraiment l'impression d'être une tyran ? Si je te propose de venir c'est que tu ne vas pas t'incruster. Tu n'es pas le genre de fille qui s'incruste chez les gens mais quand on t'invite tu ne t'incrustes pas. Je me mis à rire mais je savais très bien que quoi que je dise elle ne voudrait pas entendre raison alors je m'arrêtais et je la regardais. « je crois que je ferais mieux d'y aller... j'ai... » Elle me regarda et je me levais pour lui ouvrir la porte. Vient au moins manger à la maison ce soir. Je ne te dis pas de rester dormir mais juste manger avec Timothy et moi, s'il-te-plait. Je lui faisais un sourire en espérant enfin une réponse positive de sa part.

désolé c'est pourri
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyJeu 8 Déc - 20:22

Ysolde avait toujours eut une notion assez erronée de la famille, sans doute parce que depuis onze ans, elle ne faisait pas partie d’une famille. Elle avait fait partie d’un groupe de gens cupide, et égocentrique. Son père, Angus Wilkes était tout sauf un père, un tyran, un menteur, un type violent. Ensuite, il y avait sa sœur, Bellatrix, une fille insensible, inhumaine, garce, et peste. Puis, il y avait eut Ramsey, le seul membre normalement constitué de sa famille, et il était mort, chic alors. Ysolde ne faisait pas parti d’une famille, c’était à peine si elle se souvenait de ce que c’était d’avoir une mère. Elle se souvenait souvent d’elle, et elle se souvenait qu’elle était si jeune quand elle était tombé enceinte, aujourd’hui, elle aurait eut 36 ans, triste histoire. « Tu pourrais faire partie de ma famille si tu le voulais ma chérie. En tout cas tu sais que ma porte t'est ouverte si tu changes d'avis. » Faire partie d’une famille, ysolde en rêvait depuis longtemps. Elle aurait tout donné pour avoir une famille, elle aurait tout donné pour avoir une mère. Elle ne savait que si peu de chose à son sujet dans elle y pensait, elle connaissait le caractère de celle-ci avec les yeux d’une enfant, après tout, elle ne connaissait pas sa mère. Cette idée marqua la jeune femme. Elle avait une seule photo de sa mère, une seule, son père n’en avait aucune, tout ce qu’elle avait pour penser à sa mère c’était, le collier de celle-ci, sa baguette qui était désormais la sienne, et ses souvenirs. « Si je te propose de venir c'est que tu ne vas pas t'incruster. Tu n'es pas le genre de fille qui s'incruste chez les gens mais quand on t'invite tu ne t'incrustes pas. » C’était certain, elle n’était pas du tout le genre de fille à s’incruster, elle préférait fuir que de déranger, d’ailleurs… elle vivait au chaudron baveur les week de libre de poudlard, et aussi depuis la fin des vacances d’été, elle n’aimait pas dérange, être un boulet, un fardeau.

Ayant peur d’être un fardeau, la jeune femme dit alors qu’il faudrait mieux qu’elle s’en aille. La consultation avait totalement été inutile, totalement. Elle avait à peine évoqué ses problèmes, enfin… elle n’avait pas du tout évoqué ce qui l’avait amené, elle aurait préféré en parler au docteur feelfer, mais elle ne tenait pas à parler de ses visions à sa tante, elle avait tellement peur d’être prise pour une idiote, vraiment. Pire, pour un monstre, des fois, elle se sentait comme un loup garou, exclue, différente, anormale. Sa tante se leva alors pour aller lui ouvrir la porte. Et celle-ci dit alors : « Vient au moins manger à la maison ce soir. Je ne te dis pas de rester dormir mais juste manger avec Timothy et moi, s'il-te-plait. » Manger, ce soir, chez eux, avec le professeur Sweetlove, sa tante, chez eux. Ça faisait vraiment beaucoup d’un coup. Il avait fallu quelques secondes à Ysolde pour comprendre que timothy faisait référence au professeur sweetlove, son professeur d’histoire de la magie ; elle l’appréciait, ysolde appréciait les professeurs qui n’étaient pas cons, ni méchant, un bon point pour lui. Ysolde lui adressa un sourire, et attrapa son sac avant de le mettre sur son épaule et de se diriger vers sa tante, et par conséquent vers la porte. Elle lui adressa un autre sourire, un « pauvre » sourire, elle dit alors : « Pourquoi pas. » Ysolde était franche, elle ne pouvait pas franchement refuser, et autre chose que la bouffe du chaudron baveur, cela ne lui fera pas de mal. Ysolde regarda sofia, sa tante, sa seule famille encore en vie. Enfin, elle pensait que c’était la seule famille du côté de sa mère encore en vie. Peut être qu’il y avait encore sa grand-mère, mais quand elle se souvenait de sa mère, elle se souvenait également que sa grand-mère et sa mère ne se parlaient plus. Sofia, sa seule famille. Elle ne ressemblait pas tellement à sa mère, celle-ci était aussi blonde qu’Ysolde, alors que Sofia était brune, même très brune. Sofia ne pouvait pas faire office de figure maternelle, c’était sa tante. Ysolde s’approcha de sa tante, et la serra dans ses bras. C’était son premier signe d’affection, un vrai, et elle lui dit alors, la voix un peu serrée : « Merci d'être là pour moi. »
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptySam 10 Déc - 19:00

J'espérais vraiment qu'elle accepte ma proposition de venir dîner avec Timothy et moi à la maison. Après tout cette maison était aussi la sienne en quelque sorte. Nous étions d'accord avec Timothy qu'il ne fallait pas la laisser toute seule et comme c'est ma nièce je ne pouvais pas la laisser dans la rue toute seule sans rien faire. Et puis maintenant en plus d'avoir une tante, elle avait un oncle et aussi bientôt un cousin alors elle allait avoir une vraie famille seulement il fallait qu'elle le veuille aussi et je n'étais pas certaine qu'elle le veuille vraiment. Cependant sa réponse me fit plaisir. Pourquoi pas. Bon au moins elle n'avait pas dit non et c'était même presque un oui. Je lui souriais. Elle ne pouvait pas savoir combien ça pouvait me faire plaisir qu'elle m'ait dit oui. Merci beaucoup à toi d'avoir accepté. Je vais essayer de faire un plat typiquement italien rien que pour toi. Je lui fais un grand sourire tout en commençant à penser à ce que j'allais faire à manger le soir même. Il fallait que je demande à Timothy de faire des courses parce que je finissais tard mes consultations ou du moins même s'il n'y avait personne j'avais encore pas mal de boulot à faire ici. Je souriais aux anges. Je voulais vraiment que cela fonctionne entre nous et je ferais tout pour qu'elle ait l'impression de faire partie de notre famille. Je souriait en me levant pour lui ouvrir la porte. Je la regardais. Elle ressemblait beaucoup à ma sœur j'avais l'impression de l'avoir en face de moi et j'étais contente de l'avoir retrouvé. Puis tout à coup elle me prit dans ses bras et me serra fort. Sur le coup j'étais choquée et puis je commençais à la serrer dans mes bras moi aussi. C'était un peu difficile de la serrer fort contre moi étant donné que j'étais enceinte de huit mois alors j'avais un peu de mal mais voilà je la serrais du mieux que je pouvais. Merci d'être là pour moi. Je sentais dans sa voix qu'elle était émue et pour tout vous dire je l'étais aussi. Je serais toujours là pour toi maintenant. Ne t'inquiète pas je ne te laisserais jamais tomber. Maintenant que je t'ai retrouvé je ne te lâcherais plus. Je la regardais droit dans les yeux avant de le serrait une nouvelle fois contre moi. Tu veux m'attendre ou tu préfères nous rejoindre directement au cottage ? Je lui faisais un large sourire en attendant qu'elle me réponde. Tout ce que je voulais c'était qu'elle se sente à l'aise avec moi et qu'elle commence à prendre conscience qu'elle faisait déjà partie de notre famille. Je la regardais droit dans les yeux en souriant. Après tout, je ne voulais qu'une seule chose c'était qu'elle veuille bien de nous dans sa vie.
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptySam 10 Déc - 20:53

La jeune femme n’avait pas dit oui, ni dit non. Oui, Ysolde parlait souvent sans vraiment savoir quoi répondre, oui, non c’est un choix difficile. On avait beau l’inviter, elle avait toujours l’impression de gêner, et elle ne savait pas comment enlever cette gêne, peut être en apprenant à connaitre mieux Sofia, et son époux. C’était peut être la première chose à faire. Sa tante lui répondit alors : « Merci beaucoup à toi d'avoir accepté. Je vais essayer de faire un plat typiquement italien rien que pour toi. » La cuisine ? Ysolde aimait bien manger de bonne chose. Elle-même était une plutôt bonne cuisinière, elle avait apprit à cause de son père, puisque d’après lui une vraie femme, une bonne épouse sait cuisiner. N’oubliez quand même pas que son crétin de père l’avait fiancé de force, et qu’il comptait bien qu’elle soit marié à l’heure actuelle, manque de chance pour lui, Ysolde était capricieuse. En tout cas, ce n’était certainement pas auprès de sa mère qu’elle aurait pu apprendre à cuisine, dans ses souvenirs, sa mère était une bien piètre cuisinière, elle espérait sincèrement que sa mère était un cas isolé dans cette famille, sinon le repas promettait d’être indigeste. Sa mère faisait bruler les plats, pas assez de sel, trop de sel, et j’en passe. Ysolde esquissa un mince sourire et dit alors avec un léger trait d’humour : « J'espère que tes plats italiens seront plus digeste que ceux que faisaient maman. Elle avait réussi à rendre une pizza immangeable une fois. » Oui, c’était certain, sa mère était une mauvaise cuisinière, très mauvaise cuisinière. C’était des détails dont se souvenait Ysolde, comme la fois où elle avait rendu cette fichue pizza imangeable, pourtant la pizza c’est un plat délicieux, fabuleux, magnifique, et excellent.

Sofia la serra aussi dans ses bras même si son ventre faisait un peu obstacle, Ysolde avait aussi l’impression de serré dans ses bras son petit cousin, d’une certaine manière. Sa tante lui dit alors : « Je serais toujours là pour toi maintenant. Ne t'inquiète pas je ne te laisserais jamais tomber. Maintenant que je t'ai retrouvé je ne te lâcherais plus. » C’était rassurant… d’avoir une famille. Depuis onze ans, Ysolde n’avait pas du tout l’impression d’avoir une famille. Son père l’avait fiancé de force, sa sœur lui avait pris son fiancé, il n’y avait rien de familiale dans cette « famille » Wilkes. Aujourd’hui, Ysolde détestait même se présenter sous ce nom, il faisait froid dans le dos. Mais là, elle avait une tante, une famille, une vraie. D’ailleurs celle-ci la serra de nouveau contre elle, comme pour lui prouver qu’elle ne la lâcherait plus. Puis, elle ajouta alors : « Tu veux m'attendre ou tu préfères nous rejoindre directement au cottage ? » Ysolde n’avait jamais été du genre patiente, jamais. Elle était fougueuse, intrépide, et certainement pas patiente. Si elle se souvenait de sa mère, Ysolde pouvait affirmer qu’il s’agissait d’un trait de caractère familiale, mais comme sa mère et Sofia n’avaient pas le même père, elle ne pouvait juger. Attendre, c’était trop peu pour elle. Elle lui adressa un sourire. Elle avait quelques petites choses à faire, et puis comme il s’agissait d’un week end de libre hors de Poudlard, elle pourrait peut être passé un peu de temps avec son petit ami, faire des courses pour… Noel. Ysolde n’était pas très cadeau, premièrement parce qu’elle n’en recevait pas, ou peu, et puis, Noel était une notion assez abstraite pour elle. Elle dit alors à Sofia : « Je crois que je vais te laisser, j’ai des pers… des choses à voir, à faire, je repasserais quand tu as fini si tu veux. » Elle se corrigea, des choses c’était mieux, elle n’avait pas envie, ni besoin d’étaler sa vie sentimentale devant sa tante. Elle lui adressa un sourire et dit alors : « Si tu as besoin de quelques choses, je sais pas, des courses, je peux m'en charger si tu veux. » Oui, cela lui arrivait d’être gentille, de dire des choses gentille de faire des chose gentille. Surtout que Sofia était une femme enceinte, Ysolde ne connaissait rien à la maternité – et ne comptait pas être mère de sitot – mais savait bien que s’il fallait l’aider elle le ferait. Ysolde avait vu sa mère devenir mère tellement jeune que d’un certain point de vu, ça lui en avait coupé l’envie.
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyMer 14 Déc - 21:16

« Je crois que je vais te laisser, j’ai des pers… des choses à voir, à faire, je repasserais quand tu as fini si tu veux. » Je ne pouvais que la comprendre. On ne pouvait pas remettre à demain ce qu'on avait prévu de faire aujourd'hui. Et même si elle c'était reprise, j'avais dans l'esprit qu'elle devait retrouver son petit ami ou quelqu'un qu'elle aimait vraiment beaucoup. Je souriais en coin tout en la regardant essayer de se dépatouiller avec la situation dans laquelle je la mettais. Bien sur ne t'inquiète pas, de toutes les façons j'ai encore trois ou quatre dossiers à voir donc pas de soucis, tu nous rejoins quand tu as fini ce que tu as à faire. Je souriais tout simplement. J'étais contente que ma nièce soit avec moi maintenant. Je ne voulais plus qu'elle se sente seule. Après tout je ne connaissais que ton bien le sentiment de solitude et je ne voulais pas qu'elle puisse le ressentir de nouveau. Après tout, j'étais sa seule famille. Enfin il y avait aussi ma mère mais elle était loin trop loin de nous pour qu'elle puisse jouer un rôle dans notre histoire. « Si tu as besoin de quelques choses, je sais pas, des courses, je peux m'en charger si tu veux. » Elle était vraiment gentille. Elle proposait de m'aider alors que nous venions juste de nous réconcilier, enfin je ne savais pas si c'était une véritable réconciliation mais je savais qu'il fallait que l'on continue dans cette voie. Après tout nous étions pareil. Nous avions toutes les deux un sale caractère et nous étions trop bornée pour avouer nos fautes. Je n'étais pas une italienne pour rien et elle n'avait pas la moitié de son sang italien pour rien elle aussi. Je lui souriais et je me demandais si j'avais vraiment le droit ou pas de lui demander de l'aide. Après tout elle était mon invité alors elle ne devrait n'avoir rien à faire. Mais bon je pouvais bien lui demander de me prendre une bricole ou deux. Si tu veux bien me prendre des oeufs et de la farine, le reste je me débrouillerais. Je me retournais vers mon sac et je fouillais dans mon sac pour y chercher mon porte-monnaie. Je sortais des pièces de monnaies sorciers et de l'argent moldu que je tendais à ma nièce. Tiens pour les courses. Tu pourras venir dès que tu veux à la maison, même si je n'y suis pas, il y aura Timothy ne t'inquiète pas il ne te mettra pas dehors. Je lui souriais tout en l'accompagnant vers la sortie de l'hôpital. A ce soir Ysolde.
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MessageSujet: Re: "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia)   "SOMETIMES I NEED A DOCTOR" (sofia) EmptyJeu 22 Déc - 17:35

« Bien sur ne t'inquiète pas, de toutes les façons j'ai encore trois ou quatre dossiers à voir donc pas de soucis, tu nous rejoins quand tu as fini ce que tu as à faire.» En effet, Ysolde avait quelques petites choses à faire. Oui, il fallait bien s’occuper avec les vacances de Noel qui arrivaient. La jeune femme n’avait pas beaucoup de cadeau à offrir, mais elle aimait s’offrir elle-même des cadeaux, puisque personne n’était là pour lui en offrir. Oui, dans la famille paternelle d’Ysolde ils n’étaient pas du tout du genre de cadeau, ni encore moins Noel. Oui, chez les Wilkes le repas de Noel avait plutôt l’air d’être un repas qui visait à critiquer les gens, à discriminer par le sang, et surtout à conclure des alliances, et par exemple fiancé son enfant avec celui d’un autre. les Wilkes n’étaient pas très famille, alors Ysolde avait prit l’habitude de se faire elle-même des cadeaux. Après, la jeune femme ne connaissait pas la famille de sa mère, mais ça ne pouvait pas être pire que la famille Wilkes. La Famille Wilkes tenait la palme d’or de la famille possédant le moins l’esprit de famille. Par exemple, Ysolde n’avait jamais décoré un sapin de Noel, premièrement parce que chez les wilkes ce n’était une chose qu’ils ne mettaient jamais. Une famille spéciale, je ne vous le fait pas dire. « Si tu veux bien me prendre des oeufs et de la farine, le reste je me débrouillerais. » Acheter ce genre de chose, c’était dans les cordes de la jeune femme. Elle adressa un sourire à sa tante qui retourna vers son sac pour aller chercher quelques choses. La jeune femme se dit que si c’était de l’argent, elle n’en avait pas besoin, ce n’était pas de la farine, et des œufs qui allaient ruiner la jeune femme, mais si elle y tenait. La jeune femme poussa un léger soupire tout en gardant son sourire et prit l’argent que lui tendit alors sa tante et dit alors : « Tiens pour les courses. Tu pourras venir dès que tu veux à la maison, même si je n'y suis pas, il y aura Timothy ne t'inquiète pas il ne te mettra pas dehors. » Timothy son « oncle », enfin, plutôt son prof. Oui, il était son prof d’histoire de la magie. C’était dur de ce dire qu’elle allait manger avec un prof… mais bon. Elle adressa un sourire à sa tante quand celle-ci lui dit alors : « A ce soir Ysolde. » Elle adressa un sourire et demanda alors : «Je vais aller acheter tout ça mais... tu habites où ? » Ysolde avait juste l’impression d’être stupide parfois. Après tout, elle n’avait jamais été chez sa tante, alors… elle ne savait pas où celle-ci habitait, elle ne savait pas du tout. elle lui adressa un sourire qui se rapprochait assez de celui d’un petit fille parfois. « et est ce que.. il faudrait par exemple que je prenne un dessert ou quelques choses du genre ? » Ysolde était pleine de bonne intention, elle n’était pas seulement une sale garce comme le pensait beaucoup de monde, oui, il lui arrivait d’avoir un cœur, et d’être adorable aussi.
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