Le Deal du moment : -23%
(Adhérents Fnac) Kit de démarrage 3 ...
Voir le deal
99.99 €

Partagez | 
 

TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptySam 6 Aoû - 3:17

« EN tant que t’as petite amie tu vient de me mettre en colère, en tant que t’as FIANCÉ tu vient de m’insulter et en tant que personne avec une cervelle qui fonctionne tu me fais me demander si tu n’aurais pas perdu toute jugeote! » C’est parole résonnait encore dans ma tête. Il y a quelque jours moi et Faye on avait eu notre première vrai chicane de couple, étrange non, nous étions un couple officielle depuis un ans et non officiel depuis presque toujours et pour la première fois de notre vie on venait de se chamailler et ce n’était pas une petite chicane ou tout se corrige après. Non! Au contraire elle me faisait la gueule depuis se moment et je ne peu pas dire que je ne la comprenne pas. J’avais réellement agis en idiot, et j’avais dépassé les bornes. Je savais parfaitement bien le regard que bien des mecs posaient sur ma petite amie et ça faisait longtemps que je le savais. Elle avait un corps de déesse, ce n’était pas pour rien que je l’avais choisis après tout. Elle était magnifique, elle avait un petit rire à la fois enfantin mais qui en même temps savait vous faire sourire et rire vous aussi, elle avait un regard qui pouvait vous frigorifier tout comme il pouvait vous réchauffer. Faye Macnair avait perfecter l’art du regard de la mord et personne ne voulais le recevoir encore moins moi. La dernière fois que je me souvienne qu’elle me l’avais lancer elle étant en troisième année quand je l’avais traité d’halluciner pour m’avoir avouer que pendant trois ans elle avait fait semblant d’être une révolutionnaire mais que maintenant elle voulait vraiment l’être. Mais bon continuons sur se que je voulais dire.

Il y a trois jours j’avais entendu un imbécile faire le commentaire qu’il aimerait bien m la voler, se la faire et puis la changer complètement. Ça m’avait mit hors de moi et bien sur elle avait entendu le commentaire sauf que mademoiselle était une indépendante! Elle ne voulait pas que personne la protège, elle était capable de se défendre elle même et croyez moi ça je le sais. Moi Morgead Zoltan Drache j’ai manger assez de coups de la part de Faye Janae MacNair pour savoir que cette femme sais frapper. Mais bon moi j’avais réagis, je ne l’avais pas laisser se défendre et bien évidemment j’étais sauter au visage de cette imbécile de sang pur. Parce que bien sur ça devait tomber sur le fils d’un ancien ami de Markus. Je vous dit pas les emmerdes que ça à provoquer hein! Bref j’étais en colère et j’avais décidé de donner une leçon à cette imbécile et après c’était à Faye que j’avais eu affaire. Elle n’avait pas tellement apprécié et par accident j’avais laisser échapper que tout se que je voulais faire c’était la protéger prouver à ces imbécile qu’elle valait mieux. Laisser moi vous dire ça n’avait absolument pas fonctionné. Elle m’avait gifler, elle m’avait crier dessus et ça ne s’arrête pas la elle avait cesser de me parler depuis. J’avais tenter de faire cracher le morceau à Natasha pour savoir si elle m’en voulait réellement et tout se que j’avais eu comme réponse c’était « demande lui imbécile! » En voilà une autre qui avait perfecter l’art de vous envoyer chier en beauté.

Alors depuis trois jours je ruminais dans mon coins même si la plupart du temps Cayden me tenais à l’extérieur de la salle commune avec ces plan de fou, ces histoire de quidditch et tout autre connerie. Il n’était pas devenu mon meilleur ami pour rien, il était réellement une personne sur qui je pouvais compter. Et je l’adorais pour cette raison. Bref j’avais passer beaucoup de temps dans la tour et quand je devais passer du temps dans la tour je tentait de trouver d’autre personne pour m’entourer pour ne pas avoir à me tapper les regard meurtrier de Faye. Mais bon se matin mon meilleur ami m’avais fait remarquer le ridicule de mon attitude envers la situation, voilà comment il l’avait dit : « Mon cher Morgy,… » « Ne m’appelle pas comme ça…» « bon d’accord monsieurs le futur chasseur de dragon ou de loulou! Tu veux chasser des loup-garou mais tu as peur d’une simple gonzesse, t’es un mec ou une gamine pleurnicharde! » « Euh depuis quand tu es aussi con? » « Depuis que je me suis fait t’as mère! » Il était bien le seul qui pouvais faire des commentaire sur cette dernière sans que je ne l’étrangle! Mais Cayden avait bien raison sur un truc alors j’étais monté à la volière, j’avais trouvé mon oiseau et du papier pour envoyer une missive à petite amie. Je voulais qu’elle me rencontre dans les serre tropical vers dix-neuf heures, on devais parler cette situation avait bien assez durer.

C’est pour cette raison que j’était dans la serres à cette heure en train de m’ennuyer ferme et me demander si elle n’allait pas me poser un lapin juste pour se venger. J’en était la dans mes penser quand j’avais entendu la porte de la serre s’ouvrir et se refermer et quelque instant plus tard la jolie silhouette de Faye c’était dessiner. Toujours aussi magnifique, toujours aussi radieuse, définitivement elle ne savait pas changer. Et c’était très bien comme ça, la seule chose qui clochait c’était le sourire en coins qu’elle avait au bord des lèvres comme si elle avait fait un mauvais coup et qu’elle en était fière. « Faye qu’a tu fais cette fois? »

931 mots

Revenir en haut Aller en bas
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptyDim 14 Aoû - 4:05

TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Moraye


Je l’avais bien assez fait langur vous ne trouviez pas? Oui au départ j’était complètement hors de moi, il m’avait insulter et dans un sens c’était plutôt normal, j’était miss indépendant, je savais parfaitement bien me défendre seul et ça il le savait. Mais au bout de quelque heure j’avais rapidement défrustrer mais je n’étais pas allez lui parler depuis. Je le faisais langur dans sa propre torpeur. Parce qu’il était parfaitement mignon quand il était déstabilisant, parce que j’étais d’une pure cruauté quand je voulais vraiment l’être et finalement parce que ça lui servirait bien de leçon une bonne fois pour toute. Ce n’est pas parce que je n’étais pas une serpentard que je n’était pas capable de lui foutre une bonne leçon digne de ces imbéciles heureux quoi. Non je ne mâchait pas mes mots, je ne les avaien jamais mâcher par ailleurs, disons que j’était reconnue pour dire se que j’avais dans la tête et pas le contraire. J’étais pas de celles qui tremblotait pour rien, qui criait pour leur mère dans la nuit et mes leçons était toujours un trucs don vous vous souveniez pour le restant de vos jours. Mais se matins en me levant il m’avais manquer.

Ça c’était facile à prédire, ont était toujours fourrée ensemble depuis si longtemps que quelque jours l’un sans l’autre et voilà qu’il me manquait. Se sentiment était pire depuis que j’avais finalement remarquer à quel point ma vie sans lui serait un non sens. Je serais incapable de vivre sans lui, il était mon oxygène et je m’en étais aperçue l’an dernier. Sans lui ma rebellions contre mon père et ces petits potes à la con ne servirait plus à rien, elle ne voudrait plus rien dire. Je l’aimais lui et il n’y avait rien que je puisse y faire contre, même quand j’étais fâché contre lui je ne le restais pas tellement longtemps. Parfois je me demandais se que je ferais sans lui et quelque instant plus tard je n’osais même plus y penser parce que cette simple penser me donnait des cauchemars, me faisait entrer dans des crise de panique du tonnerre. J’en avais des nuits blanches juste à y penser. Et ça vous étonnait ? Comment réagiriez vous en vous apercevant que votre meilleur ami, et l’amour de votre vie était parti hein? Et bien moi j’avais bien l’intention à ce que cela n’arrive jamais, il allait rester miens et même si je lui foutait une petite frousse ici et la je savais qu’il me pardonnerais. Alors quand j’avais reçus le message de son hibou j’avais eu un sourire, il était temps de mettre fin à ma charade une bonne fois pour toute et de sauter dans les bras de mon fiancé.

Donc c’est pour ça qu’a se moment même j’étais devant lui, un sourire espiègle. C’était le sourire de celle qui avait fait un mauvais coup et qui en était fière. Et oui j’étais fière, je savais qu’il avait eu la frousse de ça vie et dans un sens j’était heureuse de voir qu’il tenait encore tout autant à moi que je tenais à lui. Oui parfois j’avais peur qu’il ne m’aime plus autant. C’était une peur qui savait me paralyser par moment mais l’instant ou je croisais son regard comme en se moment je me sentait rassurer et ça me permettait de pouvoirs continuer à jouer le jeux. Mais son regard profond me foutait des frissons et je devais me retenir de lui sauter dessus. Sauf qu’au moment ou sa voix grave avait tout simplement dit : « Faye qu’a tu fais cette fois? » et je ne pouvais m’empêcher de me percher sur la pointes des orteils, de passer mes bras autours de son cou et de l’embrasser. C’est qu’il m’avais manquer se gros singe et toute ces singerie. Il en avait pas l’air mais cette petite vengeance avait été tellement difficile même pour moi, j’avais été obliger de littéralement fuir la salle commune, me réfugiant sous les draps de mon lit, dans les cachots loin pour ne pas craquer. En me retirant rapidement du baiser j’avais eu un rire. « Rien pour le moment du moins. Mais te revoir me rend heureuse. » Il n’avais pas besoin de savoir que je lui avait pardonner tout se qu’il avait fait quelque heure après notre chicane. J’avais bien droit de le faire languir un peu. Et puis tout ça ruinerait nos retrouvailles. « Morgead promet moi qu’on ne restera plus dans un froids aussi longtemps. » J’avais repris mon sérieux, marquant mentalement à quel point il m’était impossible de vivre sans lui. Et bien ça c’était surprenant, à tout ceux qui croyait que j’avais un cœur aussi froid que la pierre et bien THE JOKES ON YOU! J’étais une véritable petite fleur bleu, je le savais depuis longtemps, je rêvais encore de ces conte de fée que je lisais toute petite, je rêvais encore au prince charmant et j’était chanceuse je l’avais trouver et il était tout simplement parfais.

837 mots

Revenir en haut Aller en bas
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptyMar 23 Aoû - 2:21

Je regardais cette incroyable déesse, avec surprise me demandant si ce petit bout de femme n’avait pas jouer avec lui aussi un peu. Bon d’accord les chance était forte elle était autant mesquine qu’un renard et pourtant son animagus lui était un panthère… pas du tout étrange quand vous y penser quoi. Mais bon il y avait un truc qui clochait quoi. Mais bon dans le fond même si elle avait un peu joué de moi je devais avouer que j’étais fou de cette femme quoi. Mais la voir sourire comme ça ne me rassurait pas le moins du monde, elle était réellement … bon je l’avais déjà dit elle était extrêmement mesquine. Et mignonne avec se sourire. Mais aussitôt que j’avais parlé pour lui demander pourquoi elle avait se sourire de fou quoi. Et bien voilà elle c’était perché sur la pointe des orteils et boum elle m’avait embrassé. Okey je savais que j’était tout pardonner quoi. Surtout que ouf quand elle m’embrassait comme ça, je ne vous laisse pas dire que une chance qu’il n’y avait personne dans la serre. Si ce n’était pas le fait que ont était dans la serre tropicale et que la plupart des plantes ici pouvait être vachement dangereuse quoi donc je ne pouvais pas réellement me laisser allez à toute les idées parfaitement pas catholique sans garder un œil sur les plantes. Mais ça ne m’avais pas empêcher de glisser mes mains sous son chandail histoire de peut-être de lui donner quelque frisson quoi. Elle c’était pourtant séparer de moi, c’était assez étrange mais bon j’avoue que c’était préférable quoi.

« Rien pour le moment du moins. Mais te revoir me rend heureuse. » Cette fille était une vrai tentation de la mort, incroyable quoi. Je rigolait en l’entendant me dire qu’elle n’avait encore rien fait mais tout présageait qu’elle avait en tête un plan foireux auquel j’allais tout probablement donner mon approbation quoi. Je devais avouer que ces idées était habituellement assez intelligent, purement rigollot ou bien tout simplement sneaky. Mais pour être franc j’étais heureux d’entendre que je la rendais encore heureuse juste à me voir. C’était un truc qui était bon à savoir, très mauvais pour mon égo surdimensionné certes mais très bon à savoir. « Tu sais qu’en général quand on me dit se genre de truc tu dois toujours me désenfler la tête. Tu veux vraiment être la cause de mon ego surdimensionné? Parce que tu sais que je vais te rappeler se que tu as fait le jours ou tu va chigner quoi. » Je lui avait donner mon sourire radieux. Sachant parfaitement que j’avais raison quoi. Mais j’adorais le lui rappeler parce qu’au moins sa mettait un peu de piment. Je passais mes bras autour de ça taille en soupirant. « Mais tu sais je suis aussi heureux de te revoir mia bella. » je me rappelle pas ou j’avais entendue se mots mais sa sonnait tellement bien quoi. Et puis il est vrai qu’elle était ma belle à moi et le premier qui tentait de mette la mains dessus je l’étranglais compris.

« Morgead promet moi qu’on ne restera plus dans un froids aussi longtemps. » Je lui faisais un sourire. Elle était folle je ne la laissait plus échapper mon regard quoi. Plus jamais, il n’était pas question qu’on est un froid de la sorte à nouveau et oui Cayden avait raison sur un truc elle était surement la seul nana capable de me faire frissonner de terreur quoi. « Ma chère tu ne réussiras plus jamais à m’échapper… tu es miennes. » J’avais eu un sourire avant de poser délicatement mes lèvres sur les siennes. Il y avait longtemps que j’avais réaliser à quel point j’étais amoureux d’elle, même si je savais depuis tout ce temps qu’un de ces jours je devrais l’épouser, Markus m’avais prévenu il y a longtemps de l’arrangement fait. Mais ce n’était pas le fait que je savais qui m’avais fait tomber amoureux au contraire c’était son caractère acerbes et ne rigoler pas, elle ne prenait pas de merde de personne, elle était de ce types quoi. « De toute façon ton père n’à pas encore briser nos fiançailles. Tu es prises avec moi jusqu’au dernière nouvelle. » Je lui faisais un de mes sourire sur confiant quoi. « De toute façon je sais que j’ai percé la carcasse de ton mur de pierre. Et je suis le seul à savoir que dans le fond tu es une romantique alors je crois pas que ni l’un ni l’autre de nous deux ne va se plaindre. » Ma logique était à tuer quoi, mais je savais que j’avais raison. Mais ça ne m’empêchait pas de lui donner un rapide baiser histoire de me faire pardonner complètement. « Mais vient suit moi je veux te montrer un truc. »

809 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptySam 27 Aoû - 23:01

TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Moraye


Je le regardais dans les yeux, il est vrai que j’avais surement exagéré ma crise contre lui quoi. Sincèrement j’avais pousser un peu trop loin mais j’étais une personne extrêmement fier quoi. Alors que j’avais mes lèvres poser sur lui j’étais frissonnante quoi, ces mains poser sur mon dos me donnais des chaleurs quoi. Bref il me faisait facilement frissonner et il me faisait fondre comme neige au soleil. Et alors que je lui avait enfin répondu à ça question j’avais le regard pétillant et une seule envi en tête malheureusement mon idées n’était pas des plus sécuritaires en se moment quoi. Cette serres était tropicale remplis de plante tropicale aussi dangereuse les unes que les autres et autant Morgead détestais ces cours de botanique autant il allait mette fin à toute choses avant que ça devienne dangereux. Je le connaissais assez pour ça alors j’avais accepté avec une moue boudeuse quand il c’était séparer de moi quoi. « Tu sais qu’en général quand on me dit se genre de truc tu dois toujours me désenfler la tête. Tu veux vraiment être la cause de mon ego surdimensionné? Parce que tu sais que je vais te rappeler se que tu as fait le jours ou tu va chigner quoi. » J’avais observer l’homme devant moi avec un énorme sourire. Oh il allait me le rappeler hein? J’avais eu un regard pétillant de malice et je le savais quoi. « Crois moi je vais te désenfler la tête à se moment la… et tu sais comment je vais le faire? » Oui c’était une douce menace comme celle que j’avais le don de lui faire. Se genre de menace savait le faire taire immédiatement. Autant sang peur et sans reproche qu’il pouvait être les menaces de le priver de sexe ou encore de mes doux et long baiser passionner était la meilleure façon de le terroriser surtout que je gardait toujours mes promesse.

« Mais tu sais je suis aussi heureux de te revoir mia bella. » Je le regardais avec un sourire franchement dangereux. Etait-il aurait adicter à ma présence que moi à la sienne hein? Il semblerait que si. Assez étrange quoi. Et puis d’ou est-ce qu’il avait sortit ce mia bella. Je n’avais pas la moindre idée quel langue c’était sauf que je savait que ce n’était pas du français ou de l’anglais. Je me glissais dans ces bras en souriant. « Contente de savoir que je ne suis pas la seul à me sentir de cette façon. » Il comprendrait où je voulais en venir quoi. Ont se connaissait depuis assez longtemps pour pouvoir lire entre les lignes ou dans le cas présent entre les mots, il pouvait me comprendre plus rapidement que n’importe quel autre de mes proches, ni les Black, ni les Malfoy ou encore aucun autre de ces gens que je connaissais depuis les couches culotte ne me connaissait autant. Même Allistair ne me connaissait pas autant que Morgead, parce que ce dernier m’avais vu changer, il avait vu la femme que j’étais devenu, les autres m’avait tous abandonner comme des lâches surtout que la plupart d’entre eux était tout probablement des hypocrite de premières. Et c’était pour cette simple raison que je savais qu’il comprendrait ou je voulais en venir. C’était pour cette raison qu’il pourrait lire entre mes paroles, comprendre le sens sous chacun de mes mots, même ceux qui était codé en public ou ceux qui ne l’était pas en privés. Une véritable amitié qui était devenu depuis plus une amitié et un amour qui était fait pour être plus tout simplement parce que moi et lui on se comprenait.

« Ma chère tu ne réussiras plus jamais à m’échapper… tu es miennes. » Il venait d’exprimer exactement se que je pensait, seulement il l’avais exprimer d’une toute autre façon. Il l’avait avait exprimer avec une certaine possessivité que je lui connaissait depuis des lustres. Et avant de pouvoir lui dire comment se qu’il venait de dire était incroyablement imbécile de ça part quoi il m’avait embrasser. C’était surement imbécile de sa part de dire cela mais il savait facilement se faire pardonner quoi. En me séparant de lui j’avais regarder ce dernier avec un regard qui voulait dire qu’il allait être décourager de moi. « Je ne suis celle de personne mais bonne façon de te faire pardonner pour dire un truc aussi stupide. Et je t’aime! » Oui je l’aimait malgré toute les stupidité qu’il pouvait dire quoi. Il en était ainsi entre moi et lui, malgré toute se qu’on pouvait se dire au final on savait se pardonner l’un l’autre malgré toute les stupidité quoi. « De toute façon ton père n’à pas encore briser nos fiançailles. Tu es prises avec moi jusqu’au dernière nouvelle. » J’eu un sourire en l’entendant parler de mon père. Mon raciste et mangemort de père avec qui je ne partageais pas du tout les croyances. Je n’étais tout simplement pas capable de supporter ces croyances mais il était vrai que mon père n’avait pas briser nos fiançailles encore, surement le fait que mon père ne savait pas que le père de Morgead était en fait monsieur Dragomir. Ça ou mon père n’était pas autant raciste qu’il le laissait croire. Mais même si mon père osait rompre les fiançailles il ne réussirait jamais. « Même si il le voulait il n’oserait jamais, je te fais peut-être peur mais je suis capable de terroriser encore plus mon père. Crois moi il n’oserait pas. » J’avais une sourire de terreur. Un sourire qui prouvait immédiatement le point que je tentais de mettre en place. Mon père pouvais faire se qu’il voulait malheureusement au contraire de la plupart des sang pur mon père ne me faisait pas peur. Il pouvait me lancer tout les sort de doloris qu’il désirait je n’avais pas peur de lui. Je n’étais pas une gamine terrifier par mon père. Il me lancerait un doloris je lui en lancerait un directement quoi. Et ça il le savait j’avais échapper à son contrôle. Un enfant de mangemort stupide et capricieux avait échappé au contrôle de son père. Toute une honte vous ne trouvez pas. « Et tu oublie une chose… il ne peu plus me contrôler! Et c’est pour cette raison que jamais il n’oserait. » Je le regardais droit dans les yeux un sourire fier.

« De toute façon je sais que j’ai percé la carcasse de ton mur de pierre. Et je suis le seul à savoir que dans le fond tu es une romantique alors je crois pas que ni l’un ni l’autre de nous deux ne va se plaindre. » Je levais les yeux vers lui, il avait bien raison, autant que je pouvais faire ma dure à cuir même devant lui, il avait parfaitement raison. J’étais une véritable petite fleur bleu ou une poupée de porcelaine. J’avais beau jouer entre le coté noir de la forcer et la blancheur des choses. Mes amis avait beau parfois regarder mes décision et mes actions d’un regard étranges je le faisais toujours pour une bonne raison. Si je me battais en public, si j’utilisais des sortilèges impardonnable sur les autres ce n’était pas pour prouver ma supériorité mais pour prouver que je n’avais pas peur, pour prouver que pour vaincre il ne fallait pas avoir peur d’utiliser les armes de l’ennemie. Aucun des mangemort n’aurait peur d’utiliser un Evada Kadavra sur qui que se soit. Malheureusement si ont voulait les battre il ne fallait pas avoir peur d’utiliser les même méthode. Et c’était pour ce raisonnement qu’on me prenait pour une dure à cuir, pour une personne qui oscillait entre le bien et le mal. Morgead lui voyait parfaitement claire derrière tout ça, il comprenait ma logique mieux que personne. Je n’avais pas besoin de lui confirmer qu’il avait raison il le savait. Un simple hochement de la tête, un sourire lui confirmerait et pourtant j’avais approcher ma bouche de son oreille pour finalement lui dire « Et tu amèneras se secret à t’as tombe que tu le veulent ou non. Qui te croirait de toute façon. » Et je lui donnais un bisous sur la joue un sourire malsain au lèvre. Ce n’était pas une menace mais un fait, il ne pourrait jamais convaincre Cayden ou encore Celeste de ce fait. Pour eux j’étais une dure à cuir même si ont tentait de les convaincre du contraires. Mais au moins Morgead lui savait la vérité.

Soudainement il m’embrassait, me prenait la main pour me diriger vers un autre endroit. Je le regardais curieuse. Ou est-ce que mon idiot de petit ami m’entrainait hein? Je n’en avais pas la moindre idée et malheureusement ça me rendait réellement curieuse. Et non ce n’était pas un mystère j’étais curieuse de natures. « Mais vient suit moi je veux te montrer un truc. » Oui ça j’avais deviner, je n’étais pas complètement stupide quoi. Et la j’étais réellement curieuse, je gardais ma mains dans la sienne en sautillant pour me placer devant lui et l’arrêter de marcher. « Stop it cowboy, se truc va me rendre heureuse ? Et puis je déteste les surprises et tu le sais. » J’avais une moue de gamine. Je tentais de lui faire dire se qu’il voulait me montrer. Je voulais m’amuser à le pousser un peu quoi ça rendrais le jeux un peu plus amusant et puis je savais que quand j’agissais en gamine il adorait ça. Et puis sachant qu’il ne me dirait jamais se qu’il voulait me montrer avant qu’on y arrive ça ne pimenterait que plus ça surprise.

1604 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptyMar 27 Sep - 1:09

J’était plutôt amuser de voir à quel point Faye était de bonne humeur, mais aussi joueuse à se point, j’étais surement une des seul personne qui connaissait cette partie de sa personnalité. La plupart des gens même de serdaigle ou de notre groupe connaissait son coté acerbique, son coté serpentard. Elle avait il y a longtemps accepter qu’elle n’était pas un ange mais elle n’était pas non plus le diable en personne. Et c’était toute ces facette de ça personne que j’adorais, j’adorait le fait que parfois je ne savait pas sur quel pied marcher. Mais quand elle avait se regard remplis de malice je ne savais jamais à quoi m’attendre. C’est vrai quoi, elle me préparait quoi cette fois? « Crois moi je vais te désenfler la tête à se moment la… et tu sais comment je vais le faire? » Quelque chose dans le ton qu’elle utilisait je savais qu’elle tiendrais ces promesses, oh que oui si j’avais besoin de me faire désenfler la tête elle n’aurait pas peur de le faire, je pouvait compter sur elle quoi. « Dire que j’ai peur de demander me ferait hériter du titre de trouillard alors je vais juste dire que je préfère être surpris. » J’avais accompagné ma réponse d’un rire amuser. De toute façon je préférais être surpris avec elle, c’était toujours plus palpitant. Parce que avec Faye MacNair les surprises étaient assurées. « Contente de savoir que je ne suis pas la seul à me sentir de cette façon. » je l’embrassais à nouveau juste histoire de lui faire comprendre que je lui appartenais autant qu’elle m’appartenait. Tout le monde nous disait qu’on était le couple le plus cliché qui existe mais en même temps personne ne nous avait vu venir. Des plus surprenant non. En terminant je passais ma mains sous son chemisier avec un sourire. « Même en me piquant des crise à toute les jours tu ne pourrait pas changer cela…» je la regardais amuser avant de rajouter « mais ne va pas t’imaginer que tu peu me piquer des crise pour rien. »

Je ne lui avais fait qu’un simple sourire quand elle répondait que à ma réplique au sujet qu’elle était mienne. Parce que dans le font on le savais tout les deux aucun mec n’oserais l’approcher en sachant que j’étais avec elle, et aucune fille ne m’approchait tant que je serait avec elle. Elle était possessive et moi aussi je l’étais donc c’était une bonne chose qu’on était ensemble parce que vous nous auriez imaginez avec d’autre. Ça aurait été la catastrophe quoi. « Même si il le voulait il n’oserait jamais, je te fais peut-être peur mais je suis capable de terroriser encore plus mon père. Crois moi il n’oserait pas. Et tu oublie une chose… il ne peu plus me contrôler! Et c’est pour cette raison que jamais il n’oserait. » Cette fois je me mettais à rire, incapable de m’en empêcher monsieur MacNair incapable de contrôler sa propre progéniture, je n’y avait jamais penser à celle-là. Markus et lui avait tellement tenter de contrôler nos vie que se qu’il voulait avait finit par arriver maintenant que peut-être qu’ils allaient changer leurs avis quoi. « Heureux de vois que malgré le fait qu’on se soit entêter à faire le contraire de se qu’ils nous demandaient, même si on a fait exactement se qu’ils demandaient, que papi MacNair ne pourra plus nous contrôler. » Je lui faisais un sourire franc. C’était la pure vérité, si elle ne le laissait pas la contrôler alors pourquoi moi je le ferais hein?

Je la regardais franchement en voyant à quel point moi et elle ont avait changer avec les années, elle était devenue un brin fleur bleu, une incroyable romantique. Moi aussi je l’étais devenue à son toucher. Enfin romantique était une longue histoire mais je savais qu’elle m’avait changé. Et elle c’était adoucit, elle était devenus plus combattante pour pouvoir exprimer son opinion. Mais après le lui avoir fait remarquer elle c’était empresser de faire en sorte que je n’en parle jamais de cela ou de me rappeler que c’était un truc que moi j’avais le droit de savoir mais pas les autres. « Et tu amèneras se secret à t’as tombe que tu le veulent ou non. Qui te croirait de toute façon. » J’avais un sourire amuser, il est vrai que je n’était pas certaine qu’une personne me croirait même si je le disais à voix haute. Tous savaient qu’elle était une toute autre personne avec moi mais personne ne savait que réellement cette personne qui était avec moi était la véritable Faye, celle qui faisait disparaître sa dure carapace devant moi. « Et tu sais très bien que Tash viendrait m’approuver, puis Cayden, puis Celeste, Malkom et tout probablement le reste de la bande, ils savent très certainement que la personne que tu es avec moi c’est la véritable Faye, non pas celle dont parfois on peu douter des motifs ou des motivations. » Je lui faisais un sourire, je ne doutais plus des motifs ou des motivations qu’elle pouvait avoir. Même si parfois ces mêmes motivations étaient des plus étrange. Et si elle croyait qu’ils en doutaient elle était vraiment dans le tord. C’était le truc qui était bien d’être associer au leadership de notre groupe quoi.

Je la dirigeais à travers la serre tropicale en souriant. Je la trainais vers un coins de la serre que j’avais trouver plus tôt cette semaine, il y avait cette magnifique plante qui je trouvais était à l’image de Faye, elle était magnifique mais au apparence dangereuse. Au finalement c’était surement l’une des plante ici qui était les moins dangereuse, mais c’était la seul réellement qui en classe avait réussit à moindrement m’intéresser. Il fallait dire que les cours de botanique n’étaient réellement pas mon fort. « Stop it cowboy, se truc va me rendre heureuse ? Et puis je déteste les surprises et tu le sais. » Je la regardais en soupirant, elle était la fille la plus incroyablement têtu quoi. « C’est une plante d’accord, un plante que tu es certaine d’adorer d’accord… maintenant arrête de chigner et suis moi chérie. » Je lui donnais un rapide bisous sur le front avant de reprendre le chemin de se coins dans la serre que j’appréciais tant quoi, en peu de temps on y était et je prenais sa mains pour l’approcher de la plante. « Je ne sais pas quel est le nom de cette plante mais elle me rappelle toi. » Je regardais la couleur bleue intense de la plante, je n’avais aucune idée d’ou elle venait ou encore moins son nom mais tout chez elle me rappelait Faye.


1119 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptyJeu 6 Oct - 2:33

TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Tumblr_ls2v7oHgOm1r38hwfo1_500


Je souriais comme une gamine en se moment. Juste le voir me sourire était un truc qui me rendais encore toute chose quoi. Même après deux ans il était incapable de me faire sentir autrement quand j’était autant heureuse quoi. Et ça voix masculine elle me donnait des frisson, étrange qu’après deux ans il me faisait encore sentir comme ça quoi. « Dire que j’ai peur de demander me ferait hériter du titre de trouillard alors je vais juste dire que je préfère être surpris. » je lui rendais un sourire tout autant amuser, il avait plus que raison que je l’aurait traiter de trouillard si il avait dit qu’il ne voulait pas entendre parce qu’il avait peur de se qu’il allait entendre. J’étais tyrannique quand je le voulais et c’était encore pire avec les gens que j’appréciais. Et tout ça parce que je pouvais me permettre d’être un brin excentrique avec ces dernier et dans mes façon de les torturer. Je sentais ces mains se glisser sous mon chemisier et avec un sourire taquin je m’éloignais de lui. « Tu ne t’attendais pas à se que je sois aussi facile quand même mon chou. » Je souriais à pleine dent juste pour le taquiner mais ça voix avait à nouveau percer le silence et j’avais sentis mon sourire s’agrandir, est-ce que ça c’était possible? « Même en me piquant des crise à toute les jours tu ne pourrait pas changer cela…» Oui c’était possible de continuer de sourire toujours plus. Ce devais être un miracle je ne souriais jamais autant. Habituellement j’aurais eu un sourire moqueur voir sarcastique mais la il était parfaitement capable de voir à quel point j’était réellement heureuse. Ce sourire la était vrai, pas se sourire sarcastique que je me placardait au lèvres devant les autres. Mais cette fois j’avais le sourire d’une petite fille qui avait été prise la mains dans la boite a biscuit quoi. Et j’allais surement dire la chose la plus clichée que je n’avais jamais dite. « Oh vraiment? » on aurait dire une petite fille peu sure d’elle même. « Oh t’as vue comment tu me rend? J’ai l’air de la gamin qui à besoin d’être rassurer maintenant. » Je tirais sur son bras pour l’obliger à se pencher juste assez pour que je puisse l’embrasser. Tous ça pour prouver que je ne lui en voulais pas vraiment quoi.

« Heureux de vois que malgré le fait qu’on se soit entêter à faire le contraire de se qu’ils nous demandaient, même si on a fait exactement se qu’ils demandaient, que papi MacNair ne pourra plus nous contrôler. » Je me mettais à rire, pas le choix il n’avais pas idée sur comment mon père était incapable de me contrôler. Habituellement dans les familles comme la mienne le père était le maitre de la famille, mais alors que chez moi il n’y avait que moi et lui, il était incapable de me contrôler et peu importe se que je faisait je restais la petite fille à mon père. Même si dernièrement il devait réellement contempler peut-être me renier. Mais il lui serait bien difficile de le faire quand j’étais ça petite fille. « C’est vrai qu’on a fait exactement se qu’ils s’attendais de nous… mais que veux tu c’est la vie, j’était damner de faire au moins une chose que mon père désirais tellement. » Je lui faisais un sourire, la vie avait été drôlement faite, mon père avait tellement poussé pour que j’apprécie Morgead quand j’étais plus jeune que j’avais fait tout pour qu’il me déteste. Mais ont avait finit par s’apprécier. Ensuite j’avais appris que j’étais fiancé à lui alors que j’étais tombé amoureuse de lui. J’avais tous fait pour le nier mais c’était inévitable on avait aboutit ensemble. Donc à chaque fois qu’on s’entêtait contre se genre de truc un autre truc tout nouveau arrivait. « Il trouvera toujours un moyen de le faire Morgead sauf qu’on trouveras un moyen de le faire à notre façon à nous. »

Je l’observais attentivement alors que le sujet de qui j’était réellement même devant les autres avait finit par se présenter sur la tables. Je voulais réellement croire que seul Morgead me connaissait réellement mais pour être Franche les autres devais surement se douter que je faisais juste la dure à cuir. Quoique non j’étais réellement une dur à cuire, hyper protectrice des gens qui l’entourait. J’étais littéralement différente de cette images que je pouvais projeter mais bon c’était ça qui me rendais si forte quoi. « Et tu sais très bien que Tash viendrait m’approuver, puis Cayden, puis Celeste, Malkom et tout probablement le reste de la bande, ils savent très certainement que la personne que tu es avec moi c’est la véritable Faye, non pas celle dont parfois on peu douter des motifs ou des motivations. » Je grimaçais à l’entendre parler. Etrangement il avait raison, je savais qu’il avait raison mais je ne voulais pas toujours l’avouer. J’étais un brin entêter. « je sais, mais en même temps ça m’énerve, je veux être cette dur à cuir qu’on crois de moi. » Je me mettais à rire bon j’exagérais c’est vrai, je l’avouais je ne tentais réellement qu’avec les gens qui m’énervait réellement, disons Allistair quoi, ou toute la flopé de serpentard condescendant et puriste.

Mais je n’avais pas eu le temps de continuer sur le sujet qu’il m’entrainait dans la serre vers un truc que je ne connaissait pas. Rayer se que je venais de dire je ne connaissait rien à propos de cette serre point. C’était la serre tropicale, toute sorte de plante non connu se trouvait ici. Et des plants dangereuses aussi. « C’est une plante d’accord, un plante que tu es certaine d’adorer d’accord… maintenant arrête de chigner et suis moi chérie. » je le tapais sur le bras mais j’acceptait de le suivre. « C’est bon je te suis, mais attentions je ne chigne pas compris… sinon plus de bisous pour toi! » je lui faisait un sourire diabolique alors que je le laissait m’entrainer ou il le voulait. J’avais même apprécié son petit bisou sur le front mais je détestais les surprises. Mais finalement on c’étais arrêter devant la plante en question que j’avais observer avec attention jusqu'à se que j’entende ça voix. « Je ne sais pas quel est le nom de cette plante mais elle me rappelle toi. » Je me retournais vers lui intrigué. Elle était magnifique, son bleu était tellement intense mais sincèrement je n’étais pas certaine de comprendre ou il voulait en venir. « Si je m’en fit à cet endroit je suis magnifique et dangereuse. Depuis quand est tu un romantique Morgead. » J’étais surement la dernière personne à croire que c’était romantique mais dans un sens ça l’était réellement. Selon moi encore une fois.

1141 mots.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptyMar 18 Oct - 23:47

TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Tumblr_lstlcuOi8u1qbmw3bo1_500
Je regardais cette petite serdaigle avec un sourire, dire que je l’adorais était le dire gentiment, j’étais fou de cette fille et elle me le rendais plutôt bien. Mais en se moment la notre discutions me rendais fou. Premièrement je tentais de comprendre ou est-ce que cette discutions allais et je ne voyais absolument pas ou ça allait. Premièrement elle parlait qu’elle avait l’intention de me désenfler disons que ça c’était notre moyen de communication habituelle mais pour une fois elle m’avais de complètement perdu. Mais en plus je sentait sa mains se glisser sous ma chemise et je savais que quand elle faisait ça elle était encore plus dangereuse quoi. « Tu ne t’attendais pas à se que je sois aussi facile quand même mon chou. » j’étais encore déboussoler quand j’avais entendu ces paroles. Elle c’étais séparer de moi, aussi rapidement que cela elle c’étais éloigner avec se sourire de reine quoi. J’avais soupiré en la regardant. J’avais eu un sourire en coins promettant que cela ne resterait pas impuni quoi. Elle allait payer. Mais pour le moment je n’avais pas pris la peine de répondre, non tout viendrais en temps et lieux quoi. Mais finalement mon insécure petite amie était de retour. Celle-la je la voyait de plus en plus rarement, elle avait toujours eu une certaine insécurité qu’elle savait très bien caché, mais cette petite partie d’elle avait peu a peu disparue avec les années alors qu’elle avait pris de l’assurance. Et alors qu’elle me regardais en me demandant : « Oh vraiment? » j’avais eu un sourire bien simple en hochant la tête. Cette fille était plus que mignonne. Elle m’avais tirer sur le bras après m’avoir dit : « Oh t’as vue comment tu me rend? J’ai l’air de la gamin qui à besoin d’être rassurer maintenant. » Je riait alors qu’elle m’entrainait dans un baiser. Une fois séparer d’elle je lui murmurait à l’oreille. « Arrête tu es parfaite. Et puis qu’est-ce que ça fait si tu as besoin d’être rassurer une fois de temps en temps hein? » J’avais eu un sourire bien simple quoi.

« C’est vrai qu’on a fait exactement se qu’ils s’attendais de nous… mais que veux tu c’est la vie, j’était damner de faire au moins une chose que mon père désirais tellement. Il trouvera toujours un moyen de le faire Morgead sauf qu’on trouvera un moyen de le faire à notre façon à nous. » Je plongeais les mains dans les poches de mon pantalon en soupirant elle avait tout simplement raison. Premièrement c’était vrai qu’on avait fait exactement se que l’on s’attendais qu’on face. Laissant croire qu’on était tout simplement des pions dans un jeu d’échec. Mais bon les fait était la et j’étais fou de la MacNair, absolument pas près à la laisser allez juste pour faire le contraire de se qu’on nous demandais quoi. Je n’étais absolument pas capable de le faire parce que j’avais trop peur de la perdre quoi. Alors bah voilà je la laissais comploter contre son père elle était bien la seul à comprendre comment ils fonctionnait. Comment leurs sociétés fonctionnaient réellement. Moi de mon coté ma mère, bien qu’elle avait échouer jusqu'à un certain point, avait tout fait pour me tenir éloigner de cet petite politique ennuyante. Mais une chose était certain c’était Faye serait capable d’empêcher toute répercussion, j’avais complètement confiance en elle quoi. J’avais poser mes mains sur les épaules frêle de la sorcière : « Faye peu importe se que ton père lance de notre coté on réussira à le vaincre d’accord. Et en plus tu es capable de parler son langage quoi. Et puis une fois qu’on sera sortit de se Hell Hole qui nous sert d’école on pourra faire tout se qu’on veux… » Oui j’avais surnommer l’école comme ça parce que sincèrement qui pouvais m’en vouloir avec tout se qui se passait, la vie infernale des moldu, les sangs purs qui croyais qu’il pouvait tout faire, bref cette école était devenu le trou de l’enfer quoi.

« Je sais, mais en même temps ça m’énerve, je veux être cette dur à cuir qu’on crois de moi. » Je riais en l’entendent dire ça. C’était plutôt impressionnant quoi. Cette jeune sorcière qui ne montrait ces faiblesses qu’a très peu, qui attaquait avec ces griffes sortit en tout temps. Elle portait sa vulnérabilité comme manteau quoi. Ceux qui se faisait attaquer par elle en général ne me croirait jamais si je leurs disais que c’était un moyen de défense quand elle se sentait attaquer. Parce que quand elle vous criait dessus, vous insultait elle avait l’air plus que sérieuse et même parfois elle avait l’air de prendre un malin plaisir à vous détruire. Bien sur si vous méritiez qu’elle vous insulte elle prenait un malin plaisir. Je l’avais vu sourire après avoir descendu de la tête au pieds un serpentard, elle avait toujours se sourire victorieux. Mais quand elle devait le faire à une personne qui lui était proche c’était une autre histoire. « Faye toute la bande sait parfaitement qui tu es et ceux qui ne le savent pas alors la c’est une autre choses quoi. Tu sais qui tu es, tu n’es ni cette dure à cuir ni une petite fleur bleu toute fragile. Tu es entre les deux et je le sais, tu le sais et toute a bande le sais. Tu n’as pas à prétendre avec nous et quand tu insultes ceux qui le mérites aussi… alors pourquoi tu dis que tu as besoin d’acter hein? » C’étais là la partit que je ne comprenais pas parce que je ne voyais pas pour qui elle devais jouer le rôles. Elle n’avait pas besoin d’être une dure à cuire pourquoi croyait-elle qu’elle l’avait besoin. « Pour se que j’en sais tu n’as pas besoin de l’être tu l’es seulement avec ceux qui le mérite quoi. » je lui faisais un sourire.

J’avais été assez chanceux de pouvoir l’entrainer à cette plante je devais le reconnaître. Mais elle valait la peine. Une fois qu’elle la verrait elle comprendrait pourquoi. Parce que cette plante était tout se que Faye était, un danger insoupçonné. Le type de personne qu’on avait tendance à croire qu’elle était petite et frêle, peut-être la raison pourquoi elle voulait absolument qu’on la perçoive comme une dure à cuir. Mais cette plante était un danger insoupçonné tout comme Faye parce que ni l’une ni l’autre était prédictible. « C’est bon je te suis, mais attentions je ne chigne pas compris… sinon plus de bisous pour toi! » Je me mettais à rire quoi. Elle était tout un numéro quoi quand elle le voulait. Mais elle avait trouvé le moyen de se moquer de moi en deux trois petits mouvements. « Si je m’en fit à cet endroit je suis magnifique et dangereuse. Depuis quand est tu un romantique Morgead. » J’avais secouer la tête mais je ne pouvais pas m’empêcher de sourire, elle avait raison quoi. « Arrête de te moquer tu sais parfaitement que c’est oui au deux… »

1179 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) EmptyLun 7 Nov - 0:58

TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Moraye


Morgead me rendais comme une petite fille, littéralement peut-être que c’était mon coté un peu fleur bleu et tout mais avec lui j’étais réellement vulnérable. Je me laissait réellement montrer mes véritable émotion quoi. Je me laissais allez avec lui et par moment je me demandais si c’était plus dangereux que je ne le croyais mon affaire. « Arrête tu es parfaite. Et puis qu’est-ce que ça fait si tu as besoin d’être rassurer une fois de temps en temps hein? » Je le regardais avec un air faussement vexer, juste histoire de m’amuser un peu avec lui. J’ai poser mes deux point sur mes hanche alors que j’ouvrais la bouche pour dire une connerie monumentale digne de hum… disons tout les autre imbécile de sang pur. « Tu oublie que je suis une Macnair… je n’ai pas besoin d’être rasure et tu sais pourquoi? » J’avais lever les yeux vers lui et mon sourire était apparus bien que j’avais la tête haute pleine de fierté je savais que de dire que parce que j’étais une sang pur j’étais supérieur à tous parce que c’était faux personne ni même les serpentard n’étais supérieur à personne. En fait les sang pur était un peu arriéré si ont y pensait, combien d’entre nous était devenu cracmol hein? C’était une espèce qui selon moi n’était pas réellement rare chez les sangs purs. Trop d’une chose tue une chose et bien je crois que notre cosanguinité commençait à tuer notre magie et la plupart des miens étaient trop stupide pour le réaliser. Ils était en colère contre les née moldu mais c’était cette différence de sang qui allait nous rendre plus fort. Alors non je n’étais pas complètement stupide mais j’aimait bien lui rappeler que je savais me tenir la tête haute sinon il allait vouloir me sur protégé vingt-quatre heure sur vingt quatre. Et ça non merci je n’avais besoin de la protection de personne. « Tu sais que je te taquine hein? » J’avais eu un sourire diabolique.

« Faye peu importe se que ton père lance de notre coté on réussira à le vaincre d’accord. Et en plus tu es capable de parler son langage quoi. Et puis une fois qu’on sera sortit de se Hell Hole qui nous sert d’école on pourra faire tout se qu’on veux… » Et le voilà qui retentait de me rassurer à nouveau mais il avait raison, une fois qu’on serait sortit d’ici plus rien ne pourrait nous arrêter. Pas mes paire, pas tout ces imbéciles et surtout pas le ministère parce qu’on pourrait allez vivre ou on le voulait. J’avais accompagné se qu’il avait d’un hochement de la tête et un sourire, il n’avait pas besoin que je parle pour savoir que j’étais parfaitement en accord avec lui. Il me connaissait et je le connaissais assez pour que les messages ne se passe entre nous que par un regard, un sourire ou un simple geste. C’était se qui était le plus parfais dans notre amitié quoi. Et maintenant qu’elle était devenu plus c’était encore mieux quoi. « Faye toute la bande sait parfaitement qui tu es et ceux qui ne le savent pas alors la c’est une autre choses quoi. Tu sais qui tu es, tu n’es ni cette dure à cuir ni une petite fleur bleu toute fragile. Tu es entre les deux et je le sais, tu le sais et toute a bande le sais. Tu n’as pas à prétendre avec nous et quand tu insultes ceux qui le mérites aussi… alors pourquoi tu dis que tu as besoin d’acter hein? » Hum c’était difficile pour moi même à l’expliquer mais j’avais toujours l’impression que je me devais toujours être forte pour les autres, peu importe la situation. L’an dernier alors que je confrontais Allistair avec la vérité j’avais opté pour ne pas montrer à personne comment je m’étais réellement sentit. En fait la vérité m’avait détruite pendant un moment mais ça jamais je n’aurais laisser personne le savoir, je crois que jusqu'à se jours aucun d’entre eux ne savait réellement à quel point j’étais encore blesser quoi. Parce que justement devant eux j’étais toujours la femme forte, celle qui avait toujours la tête haute même quand J’aurais voulu me trouver dans un trou toute seul je ne le faisait pas. C’était un de mes traits à moi, cette conviction, cette fierté constante. « Pour se que j’en sais tu n’as pas besoin de l’être tu l’es seulement avec ceux qui le mérite quoi. » J’avais eu un sourire au moins avant de me mettre sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Quoi j’étais peut-être un peu plus grande que la normal mais j’étais encore assez petite devant la carrure d’homme. Et je ne portais pas des talons hauts aujourd’hui alors j’étais définitivement trop petite. Mais je m’en foutais assez bien merci. Je m’étais séparer de lui un instant avant de dire. « Merci… » Tout cours tout simple mais tellement vrai.

Il m’avait entrainer devant cette plante sans plus d’explication et maintenant j’étais curieux mais avant je devais faire une chose. La première chose avait été de me moquer d’à quel point il pouvait réellement un gros romantique quand il s’y mettait. Il était un vrai bad ass, il n’avait pas peur de se servir de ça baguette et il n’avait pas peur de se servir de ces poings non plus. Si moi j’étais une menace avec une baguette et quand je me transformais en animagus mais bon c’était tout à fait autre chose quoi. Lui il était une menace tout cours, c’était aussi simple que cela. « Arrête de te moquer tu sais parfaitement que c’est oui au deux… » Je le regardais en riant au moins il n’avait absolument pas perdu son sens de l’humour lui. Que vouliez vous que je réponde hein, il m’avait enlever tout argument quoi. Je ne pouvais pas trouver une réplique qui puisse le surprendre, pas après une telle connerie de ça part quoi. Pour une fois je le frappais sur le torse avant d’au moins dire. « OH non tu n’as pas le droit de me casser de la sorte. Maintenant tu veux que je te réponde quoi. » J’avais sourit en reportant mon attention sur la plante en question je me demandais si elle était dangereuse ou si elle avait seulement le potentiel d’être dangereuse, mais aussi rapidement que cela mon attention avait été porter sur autre chose. Enfin c’était encore sur la plante mais sur un autre aspect de la plante. « Morgy? Je me demandais, si cette plante est aussi dangereuse que tu le dis je me demande quoi d’autre est-ce qu’elle peu faire. » La c’était mon esprit de chercheur qui parlait mais un de mes domaine de recherche était potion en plus de sortilège et métamorphose. Et je me demandais tout se qu’il était possible de faire avec cette plante.

1152 mots
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Vide
MessageSujet: Re: TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)   TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

TROUBLE TROUBLE HOW MUCH DO I LOVE YOU (faye&morgead)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 2 - Archivage-