Les jours se suive et se ressemblais étrangement. Et ce peut importe se que vous tentiez de dire. Il est vrai que vous ne vous trouviez pas dans les botte d’un certain sorcier prénommer Sebastian Ozera. Parce que dans ça vie la routine était tellement bien implanter qu’il s’ennuyait des jours ou tout se qu’il vivait ne se ressemblait pas. Il manquait les jours où le futur n’était que rempli de surprise. Sa dernière surprise datait d’il y a une semaine quand Azalea avait enfin accepter de venir lui parler à nouveau. Disons que deux fois en si peu de temps était des plus surprenant mais il n’en avait pas eu beaucoup des comme ça. Il évitait de rencontrer des gens de manières général parce que ça se terminait plutôt mal et c’était pour lui que ça se terminait plutôt mal. Mais se soir la bibliothèque l’étouffait, il n’avait pas envi de retourner au dortoir des Grindelmonk et subir les regard noirs de ces compatriote, et finalement bah la soirée était encore plutôt belle alors pourquoi ne pas en profiter pour tenter de trainer loin des regard de tous. Et c’était exactement se qu’il avait fait, il avait trainer dans les couloir pendant une bonne heure jusqu'à se que finalement il décide de prendre le pas de la sortit c’était pratiquement un pur hasard qu’il c’était retrouver sur le pont du parc mais voilà exactement ou il s’était retrouver. C’était le moment du coucher du soleil, un moment tout autant merveilleux qu’annonciateur de la nuit à venir quoi. Se soir il était particulièrement appréciable par le jeune sorcier. Les quelques nuages qui se trouvait ici et la était éclairé par les derniers rayons de soleil et s’allumait dans des teintes oranger. Un des rare moment ou le sorciers regrettait que sa caméra moldu ne fonctionne pas parce que là vu d’ici était inimaginable. Il avait finit par s’arrêter pour s’accoter à la rambarde et réfléchir au événement passer, à toute les stupidité qu’il avait fait depuis le jours ou il avait reçus cette lettre de Poudlard. Vous ne voulez très certainement pas un résumer de toute ça vie n’est-ce pas? Parce que pour être franc cette histoire la est encore plus ennuyante que la dernière ou il se retrouvait à Grindelmonk, qu’il était un pariât et que la femme de sa vie venait de rentrer à nouveau dans ça vie. Non en fait ce n’était pas qu’elle était ennuyante plus qu’il ne voulait pas dévoiler tout se que cela lui faisait. Il était habituer d’être au top et son père ne semblait fier que quand son fils était au top de l’échelle social. Une des raisons pourquoi il n’avait pas dévoiler à son père comment ça vie ici était infernal depuis l’an dernier, mais la deuxième raison était parce que les chance qu’il puisse avoir cette femme dont il rêvait réellement était tellement mince qu’il avait depuis longtemps cesser d’espérer. Il était seulement heureux qu’elle lui parle à nouveau. Et ça c’était nouveau parce que le fier Ozera ne serait jamais satisfait de simplement cela. Il avait secouer la tête décider à ne pas laisser les penser sombres le faire entrer dans un états plutôt encore plus ennuyant quoi. C’est d’ailleurs à se moment qu’il c’était aperçue qu’il n’était plus seul. Une autre personne avançait vers lui. Il avait tourner la tête pour voir qui c’était et avait rouler les yeux. Amadeus Black, aussi surnommer Black junior par nul autre que Sebastian. Mais qu’est-ce qu’il lui voulait celui-là. Ah tient faisons comme si ont avait pas vu le serpentard avancer. Sebastian avait tout simplement retourner son regard vers le ciel et attendu que le serpentard continue de se rapprocher, un espèce de sourire en coins qui aurait pu être vu comme étant malveillant. Il l’avait laissé s’approcher un peu plus avant d’ouvrir la bouche. C’est à croire que l’ancien serpentard avait des tendances suicidaires, parce que le Black en question était celui qui prenait le plus de plaisir à le torturer, en dehors d’une certaine blonde du nom de Greyback. Et voilà que lui qui habituellement aurait laisser passer le sorcier sans rien dire voulait pour une fois briser le silence. NON, il ne faut pas qu’il parle. Quelqu’un mettez lui quelque chose dans la cervelle, il ne doit absolument pas parler. « Intéresser par les coucher de soleil aussi BLACK! » BAH voilà c’est comme si notre jolie suédois voulais absolument allez trouver son lit attitré à l’infirmerie. Ce n’étais pas assez que très surement il se serait pris un sortilège dans la tronche mais il fallait qu’il choisisse aujourd’hui, et cette endroit du château pour décider de parler.

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Vous voulez connaitre un secret? Je donnerais tout, vous entendez tout pour retrouver ma vie d'avant. Je donnerais tout pour ne plus être Black, le mangemort, black l'époux. Mais juste Black, l'étudiant. Lorsque j'avais fait le choix d'être un mangemort je pensais avoir fait le bon choix.Enfin si on peut parler de choix, car avais-je vraiment eu le choix? Après tout le choix était simple, ou j'acceptais d'être un mangemort, ou je mettait en danger toute ma famille et risquait le déshonneur. Mais si j'avais accepté d'être un mangemort c'était surtout par conviction. Premièrement, par conviction politique. Deuxièmement par conviction personnelle. Je voulais venger la mort de mon meilleur ami. Venger Ramsey. Je pensais qu'en étant mangemort on était invincible mais j'avais tort. La preuve: Ulysse lui aussi était mort. Ulysse celui qui avait longtemps été mon rival avant d'être l'un de mes plus proches amis. Je l'avais perdu lui aussi comme j'avais perdu Ramsey. Mais surtout j'avais perdu Perceval. Pourquoi est-ce que mon lâche coeur s'intéressait il à lui? Pourquoi fallait il que j'aime un garçon? Et qui plus est au sang impur? Qui plus est un défenseur des né moldus? J'avais beau essayé de le nier, je ne pouvais pas forcer mon coeur à mentir. j'aimais perceval. Je l'aimais comme on ne pouvait aimer personne. Je décida d'aller faire un tour dans le parc, je m'y aventurais des heures entières ne pensant à rien. Juste je profitais de la beauté du parc, de la beauté de la vie. Pour une fois j'avais juste l'impression d'être à Poudlard, loin des soucis que j'avais à présent. Alors que le soleil commençait à tombé, je m'apprêtait à regagner le château, traversant le pont du cloître lorsque je vis Bass sur le pont. Ou plutôt devrais-je dire Ozera car il ne méritait pas mieux qu'un nom de famille à présent.

Bass, il avait été mon ami. Je lui faisais confiance. S'il y'a une chose que je n'aime pas, c'est qu'on trahisse ma confiance. Il c'était joué de moi, il c'était joué de nous. Il c'était fait passé pour ce qu'il n'était pas: Un des nôtres? Comment ce sale sang de bourbes avait pu nous faire croire que son sang était pur? Un vrai manipulateur celui la... c'est bien pour cela qu'il a du atterrir à Serpentard. Une chose était sur, aujourd'hui c'était le vilain petit canard, le mouton noir. Les sangs de bourbes comme les sangs purs le détestait pour sa trahison. C'était devenu l'ennemi public numéro 1 à Poudlard, l'homme à abatte. Si l'on devait décerné un prix à celui ou celle qui l'humiliait le plus, qui le torturait le plus, Karone et moi aurions la couronne. Je prenais un malin plaisir à le faire souffrir.

Pourtant hier soir, Azaela était venu me parler. Elle m'avait imploré de le laisser en paix. Pourquoi donc? En était elle amoureuse? Il semblait bien que oui même si elle le niait. Mais toujours est il que je voulais qu'une chose le bonheur de ma famille. Puis de toute façon, je lui en doit une pour Percy. Elle protège mon amour pour lui, elle protège mon secret. Je peux l'aider. C'est comme ça qu'hier j'ai promis d'arrêter de l'embêter et surtout j'ai promis de demander le drapeau blanc chez les serpentards.

C'est ainsi que je m'avança vers lui; un sourire hypocrite au visage car au fond, je n'avais qu'une envie, le suspendre au dessus du ponts et lui jeter quelques maléfices « Intéresser par les coucher de soleil aussi BLACK! » Je me contenta de sourire et d'effectué un rapide mouvement de baguette, à l'instant suivant des mains invisibles claquaient fortement le jeune homme avant de lui bander les yeux A vrai dire je préfère l'obscurité.... le noir je le libéra du sortilège... Et a vrai dire j'aurais envie de te faire passer le reste de ta vie dans le noir... mais considère toi heureux... ces petites tapes étaient un gage d'amitié... la guerre est fini Bass... lui dis-je d'un ton qui n'en était pas moins froid.