L'année dernière, pendant que le jeune Reinhaart rencontrait Ysolde Wilkes, il s'était mit ses propres amis qu'il avait considérer comme des frères pendants des années dos à lui. Simplement parce qu'il avait su écouter que lui même mais également parce que la guerre des sang n'était pas pour lui. Il avait raison, c'était ça le pire. Pendant toute une année il avait eu raison alors que ses propres amis ne l'avait pas écouter. Cela avait coûter une amitié fraternel de perdu. Mais en dehors d'Atlance, De Perceval et de Maxens, il y avait eu Samwell, un ami très proche du jeune Reinhaart. Quand il s'était retrouver seul, Graeme n'avait pas hésité à se tourner vers le jeune Potter. Potter et Reinhaart, c'était obliger que cela tourne bien et que cela tombe en étant de bon potes. Seulement, c'est un jour que le blond et le brun, fit alors un pacte entre pote, étant donner qu'ils étaient intéresser tous les deux par la blonde, Ysolde Wilkes. Ni le jeune Reinhaart, ni le jeune Potter n'avait envie de mettre fin à l'amitiéqu'était entre eux, seulement Graeme n'avait de yeux que par la serpentarde sans réellement sans rendre compte. Et ce qui devait arriver, arriva, Graeme s’aperçut de l'importance qu'avait la blonde à ses yeux mais il s’aperçut également qu'il était tomber amoureux de celle-ci. Chose qui arrêta ce qu'avait de plus précieux les deux jeunes hommes. L'amitié. Samwell prit ses distances envers Graeme qui quant à lui décida d'être également distant mais d'être froid avec lui. Avec celui qui l'avait recueillit bras ouvert comme un propre frère. Pendant le reste de l'année dernière, ni le jeune Potter, ni le jeune Reinhaart s'adressa un mot pourtant le rouge et or blond n'était toujours pas en couple avec la serpentarde mais il était très proche avec, simplement pour les devoirs étant donner qu'il était son binôme mais également parce qu'il avait su pour les visions de la blonde. Ce qui au passage avait rapprocher la serpentarde et le gryffondor. Seulement le jeune homme passa plus de temps avec la blonde qu'il n'aurait fallut. Le reste de l'année se passa tranquillement tout en étant mouvementer. Après le drame que Poudlard ait connut, que le prince des Serpentards ait disparu à son tour et qu'Ysolde est passé par la fenêtre afin d'arrêter le feu tout était redevenu à sa norme. Sauf l'amitié des deux hommes. Si il y avait bien une chose à savoir, c'est que le rouge et or n'avait pas eu peur d'Ulysse Lestrange, à présent décédé mais également ancien prince des serpentards qui pétait plus haut qu'il n'avait de courage. Aujourd'hui, il restait quelque jours avant les vacances de noël, un moment que le jeune Reinhaart attendait impatiemment. Revoir ses parents, c'était un moment qu'il attendait depuis le mois de septembre. Parfois, il se demandait si ce n'était pas mieux d'arrêter les études et d'aider ses parents dans la vie active. Seulement son instinct lui disait de continuer les études, que la vie des sorciers deviendrait de plus en plus dur avec toutes les tournures qu'elle prenait en ce moment. Le rouge et or avait vécu une période assez dur, la séparation avec Ysolde avait été assez dur étant donner qu'il ne s'était pas attendu du tout. Et tout ça pourquoi ? Pour une serpentarde qui était toujours à la poursuite de Graeme alors que celui-ci n'avait rien à faire d'elle. Évidement, cela avait certainement donner le doute de la sincérité du rouge et or envers la serpentarde. Seulement le jeune homme s'était toujours trouver différent de tous les ex qu'avait pu avoir Ysolde. Premièrement, il ne s'était pas retrouver à Azkaban comme ce Pevensie, deuxièmement, il n'avait pas osé levé la main sur Ysolde comme ce Lestrange qui ne voyait que fortune et pouvoir. Aucun respect sans doute pour la gente féminine. Non Graeme était bien différent de tout cela, encore fallait-il que la blonde le sache. Mais il avait bien l’impression qu'elle savait seulement il fallait que celui-ci démontre ce dont il était différent et qu'il n'était pas comme ses enflures. Ce soir, le jeune Reinhaart rentra tard de la bibliothèque, il s'était renseigner sur les visions de la blonde. Même si cela ne l'avait pas vraiment avancer, il aimait savoir un peu plus de chose sur ce que la blonde avait. En passant le tableau de l'entrée, il d’aperçu qu'il n'y avait personne dans les parages sauf quelqu'un de dos assis sur le fauteuil rouge près du feu de la cheminée qui éclairait la pièce grâce à ses flammes. Il fallait être idiot pour savoir qui cela était assis sur le fauteuil en silence. Ce soir, c'était sans doute le seul moment où il fallait mettre les choses au clair. Le jeune Reinhaart s'approcha alors et s'installa sur le fauteuil dans face et regarda le feu de cheminée. « Je fais comme chez moi hein, après tout, on est tous chez nous. » Tous chez nous. C'était sur, chaque étudiant ici à Poudlard était chez soit par la simple et bonne raison que Poudlard était la maison de tous. Pour deux anciens camarades, c'était vraiment très calme. Peut être que la tempête allait faire surface. « Tu comptes faire le muet longtemps ou bien rester sourd à vie ?. » Graeme ne se sentait pas aussi bien qu'avant, aujourd'hui c'était comme si une distance, un mur était né entre les deux hommes de Gryffondor. Le jeune homme se mit alors à regarder le rouge et or dans face. Il attendait une réponse.

« Les trois quarts des traîtres sont des martyrs manqués. »

Les traîtres étaient l'une de chose que Samwell ne supportait. La lâcheté et la bassesse étaient des comportement qui lui donner envie de mettre le feu aux poudres. Pas qu'il soit un garçon véritablement violent, mais ce genre de chose le mettait en colère. C'est pour le jeune Potter avait appris à cerner les gens facilement et ne faire confiance qu'aux gens purement sincères. Si on ne peut plus compter sur ses amis, sur qui peut on compter ? Ainsi Samwell n'avait jamais vécut la traîtrise d'une quelconque façons. Même l'infidélité lui était inconnue, ses copines avaient étés de filles honnête qui ne s'abaissaient pas à ce niveau. C'était donc la dernière chose à laquelle il s'attendait. Pourtant, personne n'est à l'abris d'un mauvais choix. Un choix qui avait eut un plus gros impact que quelques larmes. L'eau de la tristesse avait refusé de coulé sur ses joues. Pourtant la rage et la rancune coulait dans ses veines et dans ses jours. Chaque fois qu'il le voyait rire, sourire et se prendre pour un mec bien, il avait envie de lui en coller une. Chaque fois qu'il le voyait s'approcher d'elle, la prendre par la taille puis l'embrasser, il avait peur. Samwell craignait que ce traître fasse du mal à sa princesse. S'il avait été capable de le trahir, il pourrait très bien en faire de même avec cette perle rare. Cet idiot n'était pas conscient de la chance qu'il avait. Il ne s'était pas rendu compte qu'il avait un ami hors-pair et l'avait perdu, il pouvait en faire de même avec sa petite amie.

Justement, parlant du traître, il venait de faire apparition dans la salle commune alors que Samwell pensait à monter jusqu'à son dortoir. Vous savez, quand vous connaissez tellement une personne que vous pouvez la reconnaître simplement en entendant le bruit que ses chaussures font sur le sol. C'était le cas de Sam et Greame. Ils se connaissaient depuis la première année du blond, le petit brun étant de un an son cadet. Ils avaient fait les quatre-cents coups ensemble et ne s'étaient pas préoccupé des filles pendant plusieurs années. Puis, ce temps arriva. Les hormones les travaillaient et les filles n'étaient plus que de bêtes sorcières qui gloussent, mais de bêtes sorcière qui gloussent, qui son jolies et qu'ils aimeraient bien embrasser. Heureusement, leurs premiers béguins n'avaient rien en commun. Ils n'avaient pas du tout les mêmes goûts du côté de filles. Cela dura, jusqu’à il n'y a pas très longtemps. Alors qu'il bavaient tous les deux devant une jolie serpentard et qu'ils s'en étaient aperçus, ils avaient fait un pacte. Personne ne l'aurait. Ils ne se battraient pas pour une fille et ne laisserait certainement une donzelle venir briser la belle amitié qu'ils partageaient et entretenait depuis si longtemps. Sam avait donc respecté sa partie du contrat et c'était éloigné de la jolie blonde de serpentard. Greame avait profité de ce revirement de situation pour se rapprocher de la belle. Se rapprocher jusqu'à ce qu'il sorte définitivement avec elle et que Sam s'en rende compte de lui-même en le voyant ensemble se tenir la main. Alors que les deux garçons plaisantaient le matin même dans la salle commune, en cet instant, ils étaient comme des inconnus l'un pour l'autre. Le couteau dans son dos lui fit affreusement mal et le fit tomber à la renverse tellement il n'avait rien vu venir. Cette fois, il l'avait vu venir, ou plutôt entendu. Sam n'avait pas bougé d'un poil, fixant le feu alors que le blondinet prenait place à ses côtés. Il n'avait pas bronché et son expression était restée vide, même s'il bouillait de l'intérieur. Il entendit sa voix résonner dans le silence : « Je fais comme chez moi hein, après tout, on est tous chez nous. » Qu'il aille au diable, il était loin d'être chez-lui. C'est chez les serpentard qu'il aurait du être, la maison de gens fourbes, comme lui. Il n'avait plus sa place chez les lions et le roi de la jungle allait certainement le lui faire savoir. On entendait le feu crépiter sous le regard fixe de Potter. Greame était comme un fantôme qui le hantait, il était mort aux yeux de Sam. Il ne lui pardonnerait jamais cet acte, ne pourrait plus jamais lui faire confiance. L'ambiance était tendue, le silence poussait au malaise alors que la rage s’emparait doucement du gryffondor qui tentait de ne pas réagir à l'insulte qu'il lui faisait en venant lui parler. « Tu comptes faire le muet longtemps ou bien rester sourd à vie ?. » Cette fois il allait avoir une réponse, l'idiot. Samwell tourna lentement son visage vers son ancien compagnon. Ses yeux noisettes se posèrent avec fureur sur son opposant. Il aurait pu le tuer tellement son regard était haineux.

Je n'adresse habituellement pas la parole aux traîtres dans ton genre. Répondit-il en tentant de garder son calme. Il avait envie de partir avant que les choses ne s'aggrave et qu'il lui en colle une. Samwell n'aimait pas particulièrement la violence, surtout que toute cette histoire était à cause d'une fille. S'il avaient laissé le choix à Ysölde entre les deux, s'aurait été juste et Sam n'aurait pas pu lui en vouloir. Dans la situation présente, le geste avait été fourbe et il ne s'en était toujours pas relevé. Tu peux disposer. Ajouta-il, espérant qu'il aurait au moins la descense de partir et de ne pas venir gâcher d'avantage sa soirée. Eux, c'était terminé. Ils n'étaient plus amis et ne le seraient jamais.

Il aurait fallut une fille, une seule demoiselle du château pour gâcher une amitié fraternel. Évidemment, cela était la faute de Graeme mais il n'avait pas pu repoussé Ysolde. Le rouge et or avait été tellement intéresser par la blonde, par ses visions, par son caractère qui cachait une demoiselle totalement différente de ce que les gens pensait, qu'il sait laissé lui même attiré par elle. Seulement, il avait mit le pacte de coté. Pour lui, il fallait laisser son cœur parler et c'est ce qu'il avait fait, même en se retenant l'année dernière à cause du prince des serpentards. Il n'avait pas pensé aux conséquences qui aurait pu arriver en peu de temps. Perdre Samwell, c'était comme perdre un frère et c'est ce qui s'était passé. Samwell et Graeme était à présent, deux grands ennemis, c'était comme si ils étaient prêt à s'affronter pour avoir la femme de leurs rêves. Oui, le jeune Reinhaart savait que le jeune Potter était attirer par la blonde, mais il avait également vu les regards qu'il lui donnait et même la façon dont il les regardait quand ils étaient dans les couloirs. Ysolde était désirante aux yeux de tous, c'était bien connu. En étant sur le fauteuil, le jeune Reinhaart remarqua que tous les autres élèves était déjà dans les dortoirs. Ils étaient donc seuls. C'était bon signe pour pouvoir mettre les choses au clair. Mais il n'y aurait sans doute pas de violence, juste les mots suffisait. D'ailleurs l'autre rouge et or se mit à répondre au jeune Reinhaart : « Je n'adresse habituellement pas la parole aux traîtres dans ton genre. » Un traître. Alors voilà ce qu'était Graeme aux yeux de son ancien camarade. Un simple traître. Il n'était pas un traître, il avait seulement su apprécier la compagnie de la blonde, il avait simplement su écouter son cœur et donc au passage, faire savoir à la blonde ce qu'il ressentait. Puis tout ça c'était dérouler que cette année le Ysolde-Graeme en couple. L'année dernière il n'y avait rien eu de tout ça. Il était passé de binôme à camarade et de camarade à petit ami. Tout en laissant le temps s'écouler. Seulement, cela avait été mal vu de la part du jeune Potter. Chose qui sans doute devait être compréhensible non ? Enfin non. Le rouge et or avait fait un pacte avec celui-ci, mais jamais il n'avait dit qu'il ne laisserait pas son cœur parler. Ça c'était une chose. Deuxièmement le rouge et or avait laisser le temps, jamais il n'aurait pu dire si il y aurait eu un quelqu'onc truc, une quelqu'onc histoire. « A parce que je suis un traître à présent ? Finalement tes pas mieux que Perceval et Atlance. Tu ne veux jamais savoir la vérité. » Le jeune Reinhaart regarda pendant trois secondes le feu de la cheminée, cela lui rappellait le moment délicat qu'il avait eu avec Ysolde dans la salle sur demande. Seulement l'autre rouge et or cessa alors les pensées de celui-ci en parlant : « Tu peux disposer. » Et bien, le jeune Potter n'avait pas changer ses habitudes pour autant, seulement le jeune Reinhaart n'était pas prêt de partir et n'avait pas même l'envie de partir sans avoir été clair auprès de son ancien camarade qui à présent devenait comme son ennemi numéro un. « Je ne tant ferais pas cette honneur ni même ce plaisir . Pas tant qu'on aura mit les choses aux clairs. » Graeme était sérieux, il voulait mettre les choses aux clairs. Quand il voyait Samwell regarder Ysolde, c'était comme si il voulait l'obtenir, seulement Ysolde n'était pas une chose, elle n'était pas comme toute ses gonzesses du château. Non, Ysolde était bien mieux que ça. Graeme le savait. Le rouge et or blond se mit alors à regarder le rouge et or brun dans face. Et dire qu'avant, ils étaient tous les deux comme de bon frères. Aujourd'hui ils étaient de bon vieux ennemis. « Le pacte, je l'ai suivis mais j'étais son binôme, obligatoirement on passait plus de temps ensembles pour nos devoirs. Ensuite, ça c'est suivit simplement. Je n'ai pas eu besoin de poussé le temps. Et ça t'arrive pas à le pigé. » Le jeune homme fit une pause pour ensuite reprendre : « Et arrête de la regarder comme un simple bout de viande désirable. Tu me répugnes à faire ça. » Graeme n'était pas beaucoup les regards de celui-ci sur Ysolde. C'était tellement dégueulasse la façon dont il la regardait que cela l'énervait lui-même.

L'ambiance présentement était comme un élastique. Un élastique qu'on étirait aux fils des minutes qui coulaient et qui allait finir par se briser cruellement et plus rien ne tiendrait bien sagement. Rien que le fait d'entendre sa voix le mettait hors de lui. Greame était véritablement un martyr manqué. Ce n'était jamais sa faute, c'était toujours l'incompréhension des autres qui était en tord. Samwell n'était pas parfait, il n'était pas un ange, mais il savait tout de même reconnaître ses erreurs. « A parce que je suis un traître à présent ? Finalement tes pas mieux que Perceval et Atlance. Tu ne veux jamais savoir la vérité. » Aucune vérité ne pouvait excuser ce qu'il avait fait. Quelle vérité lui manquait-il de toutes façons ? C'était Ysölde qui lui avait sauter dessus alors qu'il tentait de l'éviter pour respecter leur pacte ? Pauvre imbécile. Il était un traître et il le resterait. Même si un jours ils venaient à se parler de nouveau, plus jamais Samwell ne pourrait lui faire confiance. Déjà lassé de sa présence et sentant qu'il allait craquer et hausser le ton, il lui avait dit qu'il pouvait disposer. Greame lui répondit, toujours aussi arrogant : « Je ne tant ferais pas cette honneur ni même ce plaisir . Pas tant qu'on aura mit les choses aux clairs. » Samwell le fixait toujours avec le regard haineux. Il était persuadé qu'il n'y avait rien à mettre au clair. Il n'arriverait certainement pas à une entente ce soir. Samwell n'avait aucune revendication, sa confiance avait été bafouée et c'était irréversible. Même si Greame avait quitté Ys rien que pour lui, la confiance est une chose qui prend des années à bâtir et quelques secondes à détruire brutalement. « Le pacte, je l'ai suivis mais j'étais son binôme, obligatoirement on passait plus de temps ensembles pour nos devoirs. Ensuite, ça c'est suivit simplement. Je n'ai pas eu besoin de poussé le temps. Et ça t'arrive pas à le pigé. » Et voilà l'excuse suprême. Il avait été obligé de faire ses devoirs avec elle et ainsi avait été obligé de rester avec elle après ses devoirs et tout mettre en oeuvre pour la faire tomber dans ses bras. Il jouait encore les victimes du destin et cela puait au nez de Sam. Il fit une pause pour reprendre ensuite : « Et arrête de la regarder comme un simple bout de viande désirable. Tu me répugnes à faire ça. » Samwell fronça ses sourcils devant l'incompréhension. Il ne la regardait pas comme un bout de viande, absolument pas. Il la regardait avec admiration, il avait un respect énorme pour elle et pour les femmes en général. Il la trouvait éblouissante et perdait tous ses moyens devant elle. C'était chimique, un truc qui se passait à l'intérieur de sa poitrine et de son ventre et que sa petite amie lui reprochait également.

« Habituellement devant un bout de viande, on salive. On ne perd pas l'usage de la parole et de son cerveau. On ne se sent pas complètement idiot devant l'intelligence d'un morceau de viande. Nos jambes ne deviennent pas molles alors que nos organes menacent de nous lâcher si on ne fait pas quelque chose pour avoir l'air moins con. »

S'emporta-il avec passion dans son discourt où ses tripes parlaient. Il se reprit pas la suite. Il n'était pas amoureux d'elle. Il lui fallait beaucoup plus de temps et de fréquentation avant d'éprouver des sentiments profonds. C'était l'effet qu'Ysölde lui faisait avant et qu'il tentait de combattre. Ce n'était pas juste qu'il soit autant attiré vers elle alors qu'il avait une petite amie. Kat aussi avait cet effet sur lui, elle le rendait imbécile, mais quand Ys passait, c'était elle qui avait le champ d'attraction le plus fort. Et lui pauvre pantin, devait se plier aux désirs des autres. Samwell était si généreux qu'il ne pensait rarement à lui en premier. Pas comme l'avait fait Greame en se jetant sur la serpentard.

« Et puis, la question n'est pas la. Je ne suis pas amoureux d'Ys, elle me plaisait, mais j'ai fait une croix dessus pour respecter ma part du contrat. Tu crois qu'il me serait pas arrivé la même chose si j'avais passé tout mon temps avec elle ? C'était justement pour ça le pacte, idiot. C'était pour éviter une guerre, pour qu'on reste ami.» Il prit une pause, hochant de la tête devant la déception à laquelle il faisait toujours face. Ils avaient étés amis pendant si longtemps. Il avait mis tant de confiance en lui que ça le brisait littéralement de vivre dans la situation présente. « Mais ça veux rien dire pour toi. J'allais m'en remettre, j'allais passer à autre chose. C'est ce que j'ai fais. J'ai une copine, elle est merveilleuse, je ne suis pas jaloux de toi, mais je n'approuve pas ce que tu a fait. Ce n'est pas une question de filles, c'est une question d'honneur, de justice. Tu avait fais une promesse et tu t'en es foutu. Comment tu veux que je te fasse confiance après ? Si quelqu'un voulait ma peau et que je me cachais, tu lui dévoilerait et tu me livrais rien que parce que c'est ce que tes ''tripes '' te disent de faire ? » La fureur c'était littéralement emparée de lui alors qu'il s'était mit bien droit dans son fauteuil et qu'il gesticulait de colère et d'incompréhension. Il se leva ensuite brutalement et engageait une sorte fracassante où une porte claquerait et où tout basculerait sur son passage. Une sortie pas vers les dortoirs, mais bien vers l'extérieur de la salle commune. Il ne pouvait tout bonnement pas aller dormir avec une rare au coeur comme la sienne. Se tournant vers la sortie, il lui laissa en guise de derniers mots : « On n'as plus rien à ce dire. Je ne te pardonnerais jamais. T'as tout gâché. »

Le jeune Reinhaart n'appréciait pas la façon dont il regardait la serpentarde. En faite, Graeme détestait les regards des autres étudiants sur elle, en faite, Ysolde dégageait tellement quelque chose rien quand la regardant, que tout le monde était bouche bée. « Habituellement devant un bout de viande, on salive. On ne perd pas l'usage de la parole et de son cerveau. On ne se sent pas complètement idiot devant l'intelligence d'un morceau de viande. Nos jambes ne deviennent pas molles alors que nos organes menacent de nous lâcher si on ne fait pas quelque chose pour avoir l'air moins con. » Le jeune homme savait ce que cela faisait quand il regardait Ysolde, il savait quelle sensation il ressentait quand il était près d'elle, il le savait tout ça, il n'avait pas besoin de monsieur pour le savoir. Si le jeune Potter croyait que le jeune homme ne savait pas toute les sensations que cela faisait, il se mettait le doigt dans l'oeil. « Pas besoin de savoir qu'elle sensation elle te fait ressentir. J'ai déjà ressentis tout ça et je ressens tout ça quand je suis auprès d'elle. Tes un peu en retard des événements vois-tu. Elle me rend quelqu'un de meilleur, sauf que ça tu le vois pas. Tes tellement prit et acharner contre la haine et la rancœur que tu me portes que tu n'as pas vu une seconde qu'elle me rendait quelqu'un de meilleur et que quand je revenais le soir, de la bibliothèque avec le sourire, c'était parce que j'avais passé la soirée avec elle. » Le jeune homme était froid, il savait quand si peu de temps il pouvait s'énerver et sans prendre au jeune Potter même si celui-ci avait un an de plus, donc un an de pratique et de connaissance en plus. Mais il ne fallait pas douter de l'importance qu'avait Graeme sur ses connaissances, de peu il avait faillit atterrir dans la maison des aigles, des intelligents et des studieux. Seulement son courage était bien plus fort que tout, et dépassait tout les autres caractéristiques. « Et puis, la question n'est pas la. Je ne suis pas amoureux d'Ys, elle me plaisait, mais j'ai fait une croix dessus pour respecter ma part du contrat. Tu crois qu'il me serait pas arrivé la même chose si j'avais passé tout mon temps avec elle ? C'était justement pour ça le pacte, idiot. C'était pour éviter une guerre, pour qu'on reste ami.» Une guerre, il parlait de guerre et Graeme n'aimait pas perdre. Il avait perdu une fois contre Ysolde, il était tomber dans la boue mais perdre contre le jeune Potter, non c'était impossible. Il ne pouvait pas perdre contre son ennemi ancien camarade mais aujourd'hui ennemi. Evidemment qu'il sans voulait mais en aucun cas il avait voulut tomber amoureux d'Ysolde. Tout ça c'était fait naturellement, le jeune Reinhaart n'avait pas pu contrôler ce qu'il ressentait pour la blonde, c'était trop fort. « Tu n'es pas amoureux d'elle mais elle te plaît. Encore aujourd'hui même. J'ai pas voulu brisé le pacte qu'on avait fait mais ce que je ressentais pour elle, la simple relation amical à évolué en quelque chose de bien plus fort. Je suis tomber amoureux d'elle sans m'en apercevoir ! Et cet été, c'est en remarquant que sa présence me manquais que je m'en suis aperçu. Tout c'est fait naturellement ! Je n'ai rien poussé pour être avec elle et te faire du mal ! Oui j'ai apprécié passé du temps avec elle, j'ai apprécié l'écouter, tu sais comme moi qu'elle a une voix qui se laisse écouter pendant des heures et qu'on ne sans lasse pas. Tu sais comme moi que son regard est captivant. Tu le sais. Et quand je suis avec elle, je ne vois qu'elle et moi.» Le jeune homme fit une pause afin de reprendre sa respiration. Sa voix était bien plus froide que tout à l'heure et le rouge et or s'énervait. A présent c'était au tour du brun de prendre la parole : « Mais ça veux rien dire pour toi. J'allais m'en remettre, j'allais passer à autre chose. C'est ce que j'ai fais. J'ai une copine, elle est merveilleuse, je ne suis pas jaloux de toi, mais je n'approuve pas ce que tu a fait. Ce n'est pas une question de filles, c'est une question d'honneur, de justice. Tu avait fais une promesse et tu t'en es foutu. Comment tu veux que je te fasse confiance après ? Si quelqu'un voulait ma peau et que je me cachais, tu lui dévoilerait et tu me livrais rien que parce que c'est ce que tes ''tripes '' te disent de faire ? » Il parlait de livrer Samwelle. Non jamais il ne l'aurait livré, il aurait préféré crevé même d'un simple sort les plus impardonnables qui existe. Il l'écoutait, c'était l'une des qualités du jeune homme. Écouter. Parfois cela était utile, ce soir encore même. « Je ne t'aurais pas livré, à qui que ce soit ! T'était comme un frère ! Mais je suis tomber amoureux d'elle, elle, tout comme toi c'était elle que je désirais. Quand je la voyais avec le prince des serpentards, ça me rendait malade. Quand il la frapper encore plus. T'était où quand il a lever la main sur elle?! Hein ! T'était où quand je l'ai retrouver en sang ! T'était pas là ! Pendant un an, j'ai été le binôme, le camarade puis ensuite son petit ami ! Elle ma donner sa confiance et je lui ai donner la mienne. Ce que je vis avec Ysolde, c'est sans doute ce que tu ressens avec ta copine. J'ai envie de la rendre heureuse, j'ai besoin d'elle, j'ai besoin de sa voix, j'ai besoin de ses mots et j'ai le besoin de lui transmettre tout ce que je sais, tout ce que je ressens pour elle. Quand on est ensembles, c'est comme si... On était connecter, une connexion qu'on a besoin sans cesse. Le toucher, l’odorat, l’ouïs.» Le rouge et or regarda le jeune Potter se lever, il reconnut alors cette effet-là. Samwell était énerver. Tous les deux avait parfois le même comportement, c'était comme ça qu'ils s'étaient comporter comme des frères. Le jeune Reinhaart se leva à son tour et marcha rapidement en direction du brun avant que celui-ci ne dise : « On n'as plus rien à ce dire. Je ne te pardonnerais jamais. T'as tout gâché. » Plus rien à ce dire. C'était faux. Parfois Graeme avait envie de lui parler, parfois il avait envie de refaire ses blagues comme au bon vieux temps. Parfois il voulait lui reparler, être de nouveau son frère fraternel. Seulement cela était impossible, à cause du blond. Le rouge et or posa sa main sur l'épaule du brun afin de le retourner tout en appuyant sur son épaule. « Tes pas obliger de me pardonner. Mais on a encore des choses à ce dire. Tu prends la fuite. Tes lâches. Aucun courage. Comme les autres étudiants. Je te pensais plus courageux que ça. » Le regard froid, la main sur l'épaule qui tenait le brun. Graeme pouvait être impulsif et devenir dangereux en si peu de temps. Un grand défaut.

Il allait partir pour ne pas que les choses dégénère et qu'il dise ou fasse des trucs qu'il allait regretter. Il ne manquait pas de courage, bien au contraire, il lui fallait un courage fou pour partir et le laisser l'insulter. Pourtant, la dernière insulte qui lui lança le mis hors de lui et en plus, il le toucha. Il l'agressa physiquement en prenant son épaule et le forçant à se retourner. Il se contrôlait, il se contrôla jusqu'à la fin de sa phrase« Tes pas obliger de me pardonner. Mais on a encore des choses à ce dire. Tu prends la fuite. Tes lâches. Aucun courage. Comme les autres étudiants. Je te pensais plus courageux que ça. » Dès que le dernier mot fût lancé, son poing alla s'écraser sur la mâchoire du petit blond. Un direct, violent. Il n'aurait même pas étonné qu'il se mette à saigner à se mordre la langue dans ses bêtises. Il fut satisfait pendant quelques secondes, puis il se sentit mal. Il avait frappé l'un de ses meilleurs amis. Cette fille avait réellement détruit leurs amitié sans s'en rendre compte. Il prit sa tête en ses mains en regardant son ancien compagnon. Il ne savait plus quoi faire, quoi dire. Il ne savait pas s'il allait répliquer et lui en foutre également une. Il trouvait idiot de se battre, surtout pour une fille qui ne voulait probablement pas de lui. Ysölde n'était pas celle à qui il en voulait présentement. C'était Greame l'idiot. Il aurait du lui en parler, et même s'il lui en avait parlé, ils se l'étaient juré. Une promesse était une promesse et contre ça, il n'avait certainement aucunes excuses. Être une minette, il aurait surement pleuré. Il avait le coeur gros, le coeur énorme face à la fin de leur amitié.

« Si jamais tu ose me parler encore de courage, je t'explose le nez et pas avec mon poing. Si l'un de nous manque de courage, c'est toi. Tu m'avais jamais dit que tu fréquentais Ys. Du jours au lendemain je vous vois vous embrassant dans les couloirs. Tu crois que je me suis sentis comment hein ? » Il n'était plus calme du tout. Il avait hausser le ton et si ça continuait ils allaient alerter tous les gryffondor. C'était probablement déjà fait et deux trois curieux écoutaient se qu'ils se disaient. Au lendemain tous le château parleraient de la bagarre entre Greame et Samwell pour la fille de serpentard.

« Tu me laisse partir maintenant ? On réglera rien ce soir, ni jamais. T'as perdu ma confiance pour l'éternité. » Il ne croissait pas ses bras, attendant patiemment une riposte verbale ou physique. Pour sa part, les coups avaient étés donnés, les derniers mots étaient tombés, il était prêt à faire une croix sur Greame comme il avait eut l'idiotie de faire une croix sur Ysölde, la belle, la magnifique Ysölde.

Un coup. Le jeune Reinhaart venait de prendre le poing du rouge et or dans la mâchoire, ce qui l'avait fait mordre sa propre langue. Sensation pas vraiment agréable étant donner que c'était un pincement et que la langue était un muscle très sensible. Il venait se faire frapper par un ancien camarade qu'il avait considéré comme un membre de sa famille. Les nerfs du jeune homme commença à en avoir marre, à chauffer, ce qui au passage eu le dont de faire serrer les poings du jeune homme pour ne pas être aussi faible que le jeune Potter et de frapper. Frapper, cela voulait dire que dans les paroles on était faible pour faire du mal mais frapper cela pouvait en même temps montrer sa force physique. Cette fois-ci, le jeune Reinhaart ne frappera pas, ne redonnera aucun coup étant donner qu'il était sous le choc de voir où cela les menait aujourd'hui. De ses propres yeux, il avait vu venir le point du rouge et or à sa mâchoire. Jusqu'à ce que celui-ci prenne enfin la parole après son geste effectué : « Si jamais tu ose me parler encore de courage, je t'explose le nez et pas avec mon poing. Si l'un de nous manque de courage, c'est toi. Tu m'avais jamais dit que tu fréquentais Ys. Du jours au lendemain je vous vois vous embrassant dans les couloirs. Tu crois que je me suis sentis comment hein ? » Il parlait du jour au lendemain, seulement le premier baiser qu'avait eu Graeme avec la serpentarde était dans la salle des puits des vœux. Jamais les deux jeunes n'avait osé s'embrasser devant un quelqu'onc public, jusqu'à ce qu'un serpentarde les surprennes quand ils rentraient de leur bataille de boue. Il avait fallut un bon temps pour que les deux jeunes s'exposent aux yeux des autres étudiants. Et cela n'avait pas déplut le jeune homme, bien au contraire. Mais avant qu'il y est une histoire entre eux, il avait fallut un an, une année scolaire. Aujourd'hui, les deux jeunes était distant, sur le point de se perdre et le jeune Reinhaart avait perdu tout ses camarades, tous sans exception. Le jeune Reinhaart sortit sa baguette et la pointa sur le rouge et or afin d'articuler tout en gardant sa voix froide : « Ne relève plus jamais ton poing sur moi ou je pourrais me faire dangereux. Frapper c'est bien beau, encore faudrait-il savoir pourquoi. » Le rouge et or passa sa main alors sur sa mâchoire puis reprit la parole : « Je ne regrette rien. Juste le fait de ne pas t'avoir parler de ma relation amical avec Ysolde et puis est devenu une autre relation avec le temps. » Le rouge et or garda alors son regard noir, froid, tandis que sa voix gardait le même son. C'est à dire glacial. Le fait que le jeune Potter le frappe à la mâchoire montrait bien aujourd'hui qu'ils n'étaient plus rien l'un pour l'autre. Plus de frères. Plus de potes. En ce moment, Graeme perdait tout, mais il restait fort, il avait l’instinct de combattant, ce n'était pas son genre de baisser les bras si rapidement. Soudain des pas se fit entendre, deux voir trois élèves de Gryffondor était venu voir ce qui se passait ici. Le jeune Reinhaart pointa sa propre baguette sur eux et gueula froidement : « Dégagez de là ! Ou bien vous passerez la nuit la tête en bas ! » Les trois élèves partirent en direction des lits, laissant les deux hommes de la maison de Godryc Gryffondor seul dans la pièce commune. Le jeune Reinhaart était prévenant mais ce soir, il aurait pu commêtre le crime de sa vie s'il ne savait pas se contrôler. Il était comme son père, impulsif et parfois, il avait besoin de courir pour évacuer tout sa. Seulement ce soir, le couvre feu était dépassé, il n'avait plus le droit de sortir. Déjà que les gryffondor dormait dans une cabane à cause de l'incendie de l'année dernière, ce n'était pas le moment de faire perdre des points à leur maison respective. Quand son père était énerver, il soufflait, il soufflait violemment, comme s'il avait du mal à respirer, c'est ce que fit Graeme mais plus en douceur, en tranquillité pour ne pas explosé comme Ombrage qui atteignait sans doute son centième kilos. « Tu me laisse partir maintenant ? On réglera rien ce soir, ni jamais. T'as perdu ma confiance pour l'éternité. » Perdre une confiance d'un vieux frère, c'était sans doute la chose la plus terrible. D'après le grand père de Graeme, une histoire d'amour n'était pas obligatoirement faite pour durée mais une amitié aussi franche que celle qu'avait eu Samwell et Graeme si. Peut être que finalement, Graeme avait fait une erreur en ne respectant pas le pacte. Peut être. Mais Ysolde n'était pas l'erreur. C'était lui l'erreur. Il avait fait un pacte, il ne l'avait pas respecté pour un sous, se laissant totalement emporté par les raisons de son cœur. « Ta raison. Prend encore la fuite. De toute façon tu ne sais faire que ça. A croire que tes bon que pour prendre la fuite. Et l'éternité n'est pas assez grande pour toute la rancœur que je te porte Potter. Des que ta levé ton poing sur ma gueule. » Le jeune Reinhaart regarda son ancien pote puis tourna la tête en direction du feu de cheminée qui brûlait le bois à l'intérieur. « Tu peux disposer. » Le regard alla du feu à celui de la tête du brun. Et dire qu'avant, ils étaient comme deux gamins ne voulant faire que des farces et ne pas prendre la vie au sérieux. Comme quoi en grandissant, les choses changeait réellement.

Et voilà qui marquait la fin de leur relation. Samwell le fixait. Sa chevelure blonde en bataille lui était plus que familière. Les souvenirs de leur enfance ensemble lui revenaient. Leurs fous rires en classe, leurs pratiques illégales de sortilèges. L'un de ses meilleurs potes, définitivement. Il avait le coeur gros alors que ce soir, tout se terminait d'une façon irréversible. Il traverserait la porte et plus jamais ils ne se parleraient. « Ta raison. Prend encore la fuite. De toute façon tu ne sais faire que ça. A croire que tes bon que pour prendre la fuite. Et l'éternité n'est pas assez grande pour toute la rancœur que je te porte Potter. Des que ta levé ton poing sur ma gueule. » Sam le foudroya du regard. Il avait raison sur ce point. Samwell était courageux lorsqu'il s'agissait de dragons, d'elfs, de combats dangereux, mais pas lorsqu'il était question de relations. Il fuyait les disputes, les affrontements verbaux avec ceux qu'il aimait. Il tentait d'éviter des mots mals placés, des coups, des malaises. Il aurait préféré s'être barré avant de n'avoir cédé à la colère. Maintenant il regrettait de l'avoir frapper. Il le regrettait amèrement. Cela le faisait même se questionner sur la signification réelle de ce coup. « Tu peux disposer. » Et lui faire ce plaisir ? Et lui prouver qu'il était lâche. Il croisa ses bras sur sa poitrine avant de soupirer longuement. Au fond, Greame lui manquait terriblement et il était déçu.

« Je ne suis pas lâche. Je ne me sauverais pas si c'est la seule chose qu'il faut pour te prouver le contraire. »

Il le fixa sans rien dire, sans expression. Puis il le contourna et alla reprendre sa place dans la fauteuil près du feu. Prenant son poing dans sa main. Greame devait avoir mal, car il c'était lui-même fait mal au poing en le frappant, mais il ne le montrerait certainement pas.

« Reste que toi, tu n'as pas d'honneur. Tu m'as trahis et en aucune façon tu ne pourras me prouver que je peux te donner une deuxième chance. »

Il aurait aimé que tout redevienne comme avant. Que Greame lui prouve qu'il pouvait sincèrement lui faire confiance et qu'ils redeviennent camarade. Que Ys soit une fille comme les autres, la copine son de pote et qu'ils rigole de cette soirée de dispute où la tête de Greame avait presque fait un tour complet tellement il l'avait frappé fort. Qu'ils redeviennent de bon vieux frères, que la haine cesse. La haine n'est pas la fin d'un relation. L'indifférence l'est. Lorsqu'on se fiche de la vie ou de la mort d'une personne, c'est réellement la fin. Lorsqu'on entretient la haine, c'est qu'on entretient encore un lien, une relation, aussi malsaine soit-elle. Même s'il le détestait, l’enviait, ils avaient passés de bons moments ensemble. Samwell espérait sincèrement qu'ils se rabibocheraient et qu'ils ne se détesteraient pas jusqu'à ce qu'ils soient dans leurs tombes respectives.

Au fond, c'était sa propre fierté à lui même qui l'empêchait de dire au jeune Potter que son humour lui manquait, que leurs conneries et leurs farces lui manquait. Le jeune Reinhaart avait cette fierté qui parfois, l'empêchait de beaucoup mais c'était également sa propre fierté qui faisait de lui l'homme qu'il était aujourd'hui. Peut être que dans dix ans, le rouge et or sans voudrait d'avoir lâcher son meilleur pote pour une femme, peut être même cette année étant donner que plus rien n'allait entre Ysolde et lui mais en aucun cas il regrettait. Il ne le regrettait pas car Ysolde avait fait de lui quelqu'un de bien et même si pour ça, il avait du sans s'apercevoir des choses briser leur pacte, il ne regrettait rien. Il sans voulait juste d'avoir gâché une amitié des plus sincère qu'il y avait à Poudlard. Dans les parages, si un jour quelqu'un prononçait le nom de Potter, il y avait toujours le nom de Reinhaart après ou bien l'inverse. Ils avaient été lié comme les cinq doigts de la main alors qu'ils n'étaient que deux. Pendant de nombreuse années, le rouge et or avait compté sur son meilleur ami pour le remettre sur le droit chemin, il l'avait même prit pour un autre modèle bien différent de son père. Aux yeux de Graeme, ce mec là était un frère et il le serait toujours même après tant de rancœur ce soir. C'est dans un vieux bouquin moldu, que le jeune homme avait lut que seul les vrai frères, restait même après la haine et la colère. « Je ne suis pas lâche. Je ne me sauverais pas si c'est la seule chose qu'il faut pour te prouver le contraire. » Le jeune Reinhaart savait avoir les mots parfois pour forcer les gens à rester, mais cette fois-ci, c'était surtout parce qu'il le connaissait par cœur, il avait grandit avec lui, il lui avait partager sa chambre quand il passait chez la famille Reinhaart, il savait comment était le jeune Potter. Après tant d'année, qui n'aurait pas pu comprendre un mec comme lui. « Tant mieux, je suis fier de toi. » Le son de sa voix avait changer mais il restait tout de même assez froid et distant. Mais il était sincère. Quand le jeune Reinhaart avait connut le jeune Potter, jamais celui-ci n'aurait pu faire face à une violence de relation amical comme celle-ci. Personne n'aimait ça, ni même Graeme. Au contraire, avant il se foutait bien de ceux qui se prenait la tête sans arrêt dans les couloirs du château seulement ce soir, dans la cabane au fond du jardin, c'était les deux hommes de Gryffondor qui se prenait la tête comme deux gamins pour une femme. Seulement même aux yeux des deux gars, cette femme n'était pas n'importe qui, bien au contraire. « Reste que toi, tu n'as pas d'honneur. Tu m'as trahis et en aucune façon tu ne pourras me prouver que je peux te donner une deuxième chance. » Trahir, ce mot-là, le jeune Reinhaart le détestait, pire, il ne faisait pas partit de son dictionnaire du cerveau. Il ne voulait pas regagner une confiance impossible, mais il re-voulait son pote et refaire des conneries comme au bon vieux. Faire régner le silence dans la salle commune et dans les dortoirs quand cela était le bordel. Le rouge et or regarda le jeune Potter se remettre sur le fauteuil d'avant tandis que le blond alla en face de la fenêtre. Le silence pendant quelque secondes. Le coup de poing dans la gueule avait bien calmé le jeune Reinhaart qui d'ailleurs passa sa main sur sa propre mâchoire. « Ta prit du bon poing droit, tu ne frappas plus comme une fillette. Je suis fier de toi sur ce coup. » Même en tant qu'ennemi et ancien pote, le jeune Reinhaart ne pouvait pas s'empêcher de dire des conneries. Le jeune homme se tourna alors en direction du rouge et or puis dit alors : « J'ai fais une erreur, celui de brisé notre pacte. Mais j'assume entièrement. » Son erreur, c'était de ne pas avoir respecté le pacte mais pire, de l'avoir brisé tout simplement en écoutant son cœur. Mais c'était déjà beaucoup dans une situation comme celle-ci qui finissait mal. « On fait tous des erreurs un jour où l'autre et on vie de sa. » Il disait vrai. Dans la vie, tout n'était pas simple, ni même dur, on avait différente étapes à passé. Tous même Graeme. Et cette fois-ci, sans était une.

Assied dans son fauteuil, il restait impassible. Son regard ne quittait pas le feu une seule seconde. Cela l’apaisait. Il se sentait un peu mieux. Il avait entendu les pas de Greame qui c'était dirigé vers la fenêtre. Lorsque sa voix brisa le silence, cela n'eut pas l'effet auquel SAm s'attendait. « Ta prit du bon poing droit, tu ne frappas plus comme une fillette. Je suis fier de toi sur ce coup. » Samwell eut un sourire en relevant ses yeux vers le petit blonde. Une lueur d'espoir venait de faire surface dans le fond de cette cabane sombre dans ce parc perdu. Ce petit instant de magie avait rallumé une étincelle. C'est souvent grâce à des étincelles qu'on rallume des brasiers.

« C'est grâce à toi ça, vieux, t'as une tête à claque. Je te l'ai toujours dit. »

Un sourire était à ses lèvres et ne voulait plus partir. Même lorsque le petit ami d'Ysölde se tourna vers lui pour lui faire face, il avait encore ce sourire en coin. « J'ai fais une erreur, celui de brisé notre pacte. Mais j'assume entièrement. » Voilà un pas de fait. Il ne lui restait pas grand chose à faire pour que le tout se règle. Les deux jeunes hommes étaient loin de se douter qu'ils allaient avoir du fils à retordre encore dans le futur, mais c'est une histoire bien différente. Une histoire qui n'était pas encore écrite. « On fait tous des erreurs un jour où l'autre et on vie de sa. » Il avait toujours ce petit sourire en coin. Le genre qu'on n'adresse qu'aux camarades du jardin d'enfance.

« Est-ce que t'es en train de me demander une deuxième chance ? » Lui demanda-t-il. Samwell ne le quittait pas des yeux alors qu'auparavant il avait peine à le regarder. Il allait lui donner sa deuxième chance s'il lui demandait. Sa deuxième chance, mais pas sa total confiance. Il allait le tester. Tester le niveau de confiance qu'il pouvait espérer du jeune homme. Après tout, il ne savait pas comment il aurait réagit si s'avait été l'inverse. Si Ys c'était intéressée à lui. Il était tellement idiot quand elle était là qu'il aurait surement fait la même gaffe. Après tous, ils étaient sorciers, mais avant tout des humains. Des êtres imparfaits.

L'avenir, Graeme n'aimait pas y pensé, simplement parce qu'il avait peur de grandir et de devoir s'aventurer dans le monde des plus grands sorciers ou du moins dans le monde des adultes. Le jeune Reinhaart était un grand gamin, voilà pourquoi il s'entendait bien avec le jeune Potter. Tous les deux, c'était les quatre cent coups ensembles, ils étaient comme les rois des conneries au château mais également les rois des Gryffondors. Ils faisaient régner l'ordre tous les deux dans les dortoirs même si cela partait parfois en bataille d'oreiller la plupart du temps. Graeme était le genre d'homme qui avait peur de grandir voilà pourquoi il n'aimait pas la divination car dans une simple tasse, la plupart des étudiants voyait leurs avenirs alors que lui, ne voulait rien voir de tout ça. Il flippait, il flippait même à mort, grandir voulait dire qu'il ne ferait plus partit de Poudlard, dans cette maison où il passait la plupart de son temps. Rien que de savoir déjà qu'il partirait en vacances chez ses parents dans quelques jours, il flippait. Le retour à la réalité parfois était dangereux, on s’apercevait de beaucoup de chose. En ce moment tout basculait pour le jeune Reinhaart, entre Ysolde et lui, rien n'était bien partie, c'était plutôt des moments de silence et puis il y avait Reagan qui lui courrait après encore, alors que lui sans fichait, seulement cette gonzesse était totalement non catholique à vouloir sans cesse faire des galipettes dans la cabane hurlante. Graeme ne pouvait pas la voir, même en peinture. Il détestait ce genre de demoiselle et pourtant à Poudlard, il y en avait des tas. Le jeune Reinhaart ne pu s'empêcher de faire une sorte de compliment à son vieux pote. Auparavant, c'était Graeme qui avait un bon poing droit étant donner que dans la vie moldu il pratiquait de la boxe mais en tant que sorcier, c'était plutôt la baguette qu'il utilisait. Le rouge et or en face de lui dit alors : « C'est grâce à toi ça, vieux, t'as une tête à claque. Je te l'ai toujours dit. » Une tête à claque. Un compliment. Le jeune Reinhaart ne pu s'empêcher d'avoir un sourire aux coins de ses lèvres. Entre eux, cela avait toujours bien fonctionner, leur amitié avait toujours dépassé de celle qu'on voyait au château. Si on voyait Graeme, on le voyait toujours avec Samwell, si on voyait Samwell c'était comme un fait que Graeme n'était pas loin. Sauf que tout ça, c'était de la vieille époque depuis l'année dernière. Mais tout pouvait bien repartir, rien n'était fini, c'était obliger. Le jeune Reinhaart parlait d'erreur, il en avait fait des belles depuis quelque temps. C'était comme si les erreurs qu'il faisait devait le faire grandir et finalement, cela le rendait encore plus idiot qu'il ne fallait. Ou du moins, cela lui faisait posé bien plus de question qu'il ne le faisait avant. « Est-ce que t'es en train de me demander une deuxième chance ? » Une deuxième chance, oui c'était ce qu'il demandait. Il n'avait plus son repère au château, il ne pouvait parler à personne et les conneries du bon vieux temps lui manquait. Après tout, on a tous besoin d'un frère a qui se confier, à qui parler, à qui donner des conseils. Il fallait que les deux mecs soit au top de leur amitié même si la confiance était très peu. Le jeune Reinhaart s'aperçu alors que son bon vieux pote souriait, un sourire qu'il connaissait par cœur. « Disons que tes blagues de merde comme le fait de savoir combien de vif d'or je pourrais mettre dans ma bouche me manque. » Oui, il y avait un temps, le jeune Potter avait demander à Graeme combien de vif d'or il aurait pu mettre dans sa bouche et la seule chose que le rouge et or avait pu répondre était qu'il n'avait jamais essayé. Le jeune homme s'approcha alors du feu de cheminée, au moins les gryffondors ne manquait pas de cheminée dans leur vieille cabane en bois. Le jeune Reinhaart regarda alors les flammes, les flammes, beaucoup de souvenir, surtout un moment qu'il avait partager avec la serpentarde. Puis il tourna la tête alors et dit alors : « Non plus sérieusement, je ne demande que ça. Je sais que pour la confiance, ça sera dur, je t'ai trahis et trahir un frère c'est la pire connerie qu'on peu faire. » Trahir un frère, c'était sans doute l'une des pires choses que l'on peu effectuer dans la vie. Puis il dit alors avec humour : « Et tu sais aussi bien que moi, que le père Reinhaart se serait bien foutu de nous s'il nous avait vu se battre ce soir. » Le père de Graeme n'avait jamais comprit pourquoi deux hommes voir trois se battait pour la même et unique femme alors qu'il y en avait des centaines et des millions d'autre. Seulement l'amour ne s'explique pas, pas vrai ? Le jeune homme se leva et présenta alors sa main droite au rouge et or et dit alors : « Reinhaart sans Potter, ce n'est plus Poudlard. » Un petit sourire s'adressa au rouge et or de la part du blond. L'amitié était-elle plus forte qu'elle en avait l'air ?

Il fixait Greame, alors qu'il ne pouvait pas lui rendre la chose plus facile. Il lui offrait carrément sa deuxième chance sur un plateau d'argent. Parce qu'il avait raison dans son raisonnement. Même Samwell faisait des erreurs impardonnables et n'était pas constamment le plus droit des hommes. Il tentait fort de l'être. Pourtant parfois il se disait que c'était peut-être contre sa nature qu'il luttait. Peut-être qu'au fond il était un enfoiré de première qui ne serait pas fidèle pour deux sous s'il se laissait aller. Après tout, il était un homme. Il avait des pulsions et, oh que oui, il trouvait parfois d'autres filles vachement jolies alors qu'il était en couple « Disons que tes blagues de merde comme le fait de savoir combien de vif d'or je pourrais mettre dans ma bouche me manque. » Samwell ne pu s'empêcher d'éclater de rire alors que les bons souvenirs reprenaient vie après la tempête de glace. Ils étaient littéralement des imbéciles. Et oui, ils avaient tenté de se foutre des vifs d'or dans la bouche comme des idiots. Trois avait été le maximum. Avec un quatrième, ils en auraient probablement avalé un. « Non plus sérieusement, je ne demande que ça. Je sais que pour la confiance, ça sera dur, je t'ai trahis et trahir un frère c'est la pire connerie qu'on peu faire. » Bon. Voilà enfin qu'il comprenait le fond de sa pensée. Ils avaient bien faillit se perdre à vouloir conserver leur amitié. Parfois il se demandait si ce n'aurait pas été mieux qu'ils ne fassent pas de pacte du tout. Peut-être que s'aurait été bien pire et que l'un d'eux aurait littéralement détruit l'autre. Ou peut-être qu'ils auraient tout simplement vu de qui d'eux deux elle préférait. Peut-être que l'autre aurait tout simplement accepté en rendant les armes. « Et tu sais aussi bien que moi, que le père Reinhaart se serait bien foutu de nous s'il nous avait vu se battre ce soir. » Il avait encore raison, ce qui fit sourire Sam. Il entendait sa voix les traiter d'idiots. Leurs dire que les femmes ne valaient pas la peine qu'on brise une amitié comme la leurs. « Reinhaart sans Potter, ce n'est plus Poudlard. » Dit-il finalement. en lui présentant sa main. Potter la prit en souriant. Se levant pour lui donner une accolade comme deux vieux bons camarade. Une tape virile dans le dos avant de se reculer. Pour s'asseoir de nouveau, espérant que Greame ferait de même et qu'ils pourraient discuter un peu. Comme des adultes.

« Et avec la princesse des Serpentard, ca va comment ? Moi, je commençe sérieusement à croire que les femelles sont folles. Ma copine me reproche d'être trop souvent avec Bonnie. Un peu plus et elle me reproche d'être trop gentil avec Judi. Nan mais franchement. »

Il soupira longuement en regardant le feu. Et voilà qu'en un éclair tout était rentré dans l'ordre. Ils passeraient les vacances de Noël ensemble, probablement. Pas le soir même de la fête, car ils étaient dans leurs familles respectives, mais tous les jours autour.




HS : Pardon, c'est nul et court, je sèche.

« Et avec la princesse des Serpentard, ca va comment ? Moi, je commençe sérieusement à croire que les femelles sont folles. Ma copine me reproche d'être trop souvent avec Bonnie. Un peu plus et elle me reproche d'être trop gentil avec Judi. Nan mais franchement. » La phrase qui pouvait bousiller toute une soirée. Comment cela allait avec la serpentarde. Le jeune homme s'installa sur un fauteuil et se mit alors à regarder le feu de la cheminée, ses flammes qui dansait, joyeuse, tout le contraire du jeune Reinhaart quoi. En ce moment plus rien n'allait dans les couples, c'était le gros bordel. A croire que réellement les histoires d'amour finissait mal. Le jeune Potter avait toujours été proche de Bonnie Pevensie, petite sœur de Duncan Pevensie, un des ex de la serpentarde. Entre le jeune Potter et la Bonne, cela avait toujours fonctionner, personne ne pouvait les séparés, pas même une simple gonzesse. Tout le monde croyait que l'amitié pouvait survivre à tout, même à des attirances physique et chimique. Seulement les deux hommes en avait la preuve, parfois, cela ne suffisait pas, surtout quand les deux était attiré par la même femme, mais ça, c'était encore une autre histoire. Bonnie et Samwell, c 'était comme Bonni e and Clyde, personne ne pouvait les séparés, c'était un fait et ceux qui essayait, il se mettait le doigt dans l’œil profond. C'était sa l'amitié. Le feu crépitait, pendant que le jeune homme était repartit dans ses pensées tout en oubliant la question que le bon vieux Potter lui avait demander. Il regarda le feu pendant quelques secondes supplémentaires et répondit : « En ce moment c'est plus vraiment sa. Je parle pas de ce que l'on ressent, je parle du fait que la conversation vient pas comme avant. Elle est distante, elle sourit plus vraiment et ça m'énerve assez. » Le jeune homme fit un petit sourire qui voulait dire ne t'inquiète pas. Un sourire qui, pour savoir ce qu'il représentait, il fallait connaître le jeune Reinhaart par cœur. Sauf quand ce moment, lui même ne se reconnaissait plus réellement. Il était devenu sans pire cauchemar, son pire ennemi et cela n'était pas bon, rien de positif, que du négatif. Le rouge et or tourna la tête en direction de la fenêtre puis en direction des flammes qui dansait la danse joyeuse d'une retrouvailles. Une retrouvailles, cela le rassurait, rien n'était finalement perdu, rien n'était vraiment terminer. Du moins c'est ce qu'il espérait. « Mais j'ai pas spécialement envie dans parler. Si ça te gêne pas mec. » Le moral, il l'avait dans ses chaussettes noirs. Il n'avait pas spécialement le moral, il lui aurait fallut un bon whisky pur feu, là, maintenant pour se remettre sur pieds. Chose difficile quand on sens que la fin est proche. C'était dur, dur de pensé à un whisky pur feu alors que cela était impossible à possédé, à avoir. Le jeune homme tourna alors la tête vers le jeune Potter et dit alors : « Et toi vieux, ta copine, je la connais ? Elle est brune ? Blonde ? Rousse ?! Qu'elle maison ? . » Des questions, cela lui changerait sûrement les idées dans savoir plus sur la fameuse petite amie qui partageait la vie de son meilleur pote. D'après ce qu'il avait comprit, la femme qui partageait la vie du rouge et or, reprochait des choses que personne n'avait reprocher au jeune Potter. Judi était la sœur du bon vieux Potter, il s'entendait plutôt bien avec, sa compagnie étai t toujours agréable même si depuis qu'il était avec la serpentarde, il avait évité d'être avec la gente féminine car il n'en n'avait pas ressentit le besoin. Même pas une seule fois. La serpentarde avait une présence vraiment très agréable alors et jamais il ne sans était plein. « Comment va ta sœur ? C'est bizarre que je ne l'ai pas aperçu dans les couloirs depuis un bon moment. J'ai du oublier à quel point j'ai été aveugle pendant un certain temps. » Le jeune homme tourna la tête de nouveau vers le feu de cheminée puis sur le rouge et or : « Aveugle dans le sens où je n'ai pas vu que tu souffrais dans ton coin . » Vrai, il disait vrai même si le jeune Potter ne voulait pas l'avouer et surtout pas devant le jeune Reinhaart. Mais toute vérité se savait un jour.

Maintenant qu'ils avaient renoués, il se devaient de se dire la vérité. Plus de mensonges ou de cachoteries de gamines. Ils devaient être honnête sans craintes l'un envers l'autre. Samwell se devait donc de l'informer sur ce qui se passait avec sa petite amie et Greame devait lui rendre la pareille. Cela pouvait sembler un peu malsain étant donné les sentiments qu'il avait eut pour la petite amie de son meilleur ami. Ce ne l'était pas. Il devait savoir pour ne plus avoir de surprise. Si jamais il voyait Greame embrasser une autre fille sans savoir qu'ils n'étaient plus ensemble, Greame aurait droit à la raclée de sa vie. Pire encore que le petit coup qui gardait sa joue rouge de sang aggloméré sous sa peau. Son compagnon lion lui répondit enfin, fixant le feu alors que ses paroles tombaient lourdement dans le silence de leur salle commune : « En ce moment c'est plus vraiment sa. Je parle pas de ce que l'on ressent, je parle du fait que la conversation vient pas comme avant. Elle est distante, elle sourit plus vraiment et ça m'énerve assez. » Sam comprenait très bien ce qui se passait. La même chose arrivait en ce moment dans son couple à lui. Avec sa copine, c'était dut à la jalousie. Il ne savait pas pourquoi Ysölde était distante, mais c'était peut-être la même raison. Greame lui fit un sourire. Son sourire de vainqueur, de mec en contrôle. Il savait que les choses allaient se réglées. Tant mieux alors. Si Ysölde et Greame étaient heureux, il était heureux également. « Mais j'ai pas spécialement envie d'en parler. Si ça te gêne pas mec. » Ajouta-t-il alors que Potter s'apprêtait à déballer ses théories sur l'attitude de leur amie. Samwell se contenta d'acquiescer. Greame avait l'air d'avoir le moral très bas et Sam n'appréciait pas particulièrement cette situation. Il tentait d'être gentil avec lui, mais c'était une situation délicate. « Et toi vieux, ta copine, je la connais ? Elle est brune ? Blonde ? Rousse ?! Qu'elle maison ? . » C'était bien vrai. Samwell ne lui en avait jamais parlé. Ils n'avaient jamais été en public à s'avaler les lèvres non plus. Katniss était forte sur les démonstrations publiques, mais Sam aimait bien la discrétion. Il n'avait pas besoin de marquer son territoire à ce point. Il trouvait que, parfois, les démonstrations d'affection en public rendaient les gens malaisés.

« Elle est blonde. Elle est chez les Poufsouffles. Ivory-Katniss Whitaker. Elle est adorable. Dès que je l'ai rencontré, j'ai été attiré par elle. Tu sais autant que moi que je ne suis pas de ceux qui se lancent dans des histoire trop rapidement. Avec Bonnie, ça m'as pris environ 6 ans. Avec Kat, c'était presque instantané. Une semaine après l'avoir rencontrée, on sortait ensemble. »

Il soupira alors qu'un long silence s'en suivait. Le jeune homme continua ensuite la conversation en lui parlant de sa petite sœur, sa vraie petite Potter : « Comment va ta sœur ? C'est bizarre que je ne l'ai pas aperçu dans les couloirs depuis un bon moment. J'ai du oublier à quel point j'ai été aveugle pendant un certain temps. » Avait-il dit alors qu'il tournait sa tête vers la cheminée pour continuer. « Aveugle dans le sens où je n'ai pas vu que tu souffrais dans ton coin . » Samwell s'avança un peu pour lui donner une tape amicale sur le bras tout en lui lançant un :

« C'est du passé vieux. On ne referas plus les mêmes bêtises. » Un sourire complice alors qu'il réfléchissait à la dernière fois qu'il avait vu mademoiselle Potter. À vrai dire, il avait plus de nouvelle d'elle par Bonnie qu'autre chose. Judicaëlle se plaisait à l'éviter. Bien sûre, chaque fois qu'elle était dans son champ de vision, son petit copain de poufsouffle n'était pas loin. À la tanière ils étaient surnommés ''les amoureux'' et ce surnom affectif leur allait très bien. Samwell préférait que ce soit lui que sa sœurette ait en tête plutôt que n'importe quel autre imbécile.

« Je ne la vois pas souvent, mais Bonnie m'as dit qu'elle allait bien. Qu'elle avait hâte de vacances. Ça ne m'étonne pas du tout. Une vraie petite princesse gâtée cette gamine. La première semaine qu'elle a passée à Poudlard de sa vie, elle est venue me pleurnicher dans les bras que maman lui manquait et qu'elle aurait voulu être à Gryffondor avec moi. Maintenant, elle m'évite cette petite peste ! »

Il avait la voix du grand frère protecteur don son discours. Il n'était pas méchant lorsqu'il la traite de petite princesse gâtée ou de petite peste. On sentait l'amour fraternel et inconditionnel qu'il avait envers on unique petite sœur. On sentait également qu'elle lui manquait et que les vacances lui ferait du bien à lui aussi.

« Elle est blonde. Elle est chez les Poufsouffles. Ivory-Katniss Whitaker. Elle est adorable. Dès que je l'ai rencontré, j'ai été attiré par elle. Tu sais autant que moi que je ne suis pas de ceux qui se lancent dans des histoires trop rapidement. Avec Bonnie, ça m'as pris environ 6 ans. Avec Kat, c'était presque instantané. Une semaine après l'avoir rencontrée, on sortait ensemble. » Bizarrement, cela n’étonnait guère le jeune Reinhaart que Samwell sorte avec une blonde. Tous les deux avaient pratiquement les mêmes goûts dans la gente féminine, peut être un peu trop d’ailleurs, ce qui au passage, les avaient donné du même regard la princesse des serpentards. Le jeune homme savait que le gryffondor aimait prendre son temps avec les femmes, d’ailleurs avec la jeune Pevensie, il lui avait fallut beaucoup beaucoup de temps mais le temps avait bien fait les choses pour eux. Parfois, le jeune homme se demandait si laisser le temps faire les choses n’était pas mieux, si ce n’était pas préférable d’ailleurs. Ce que Graeme ne comprenait pas, c’était les gens qui sortait avec quelqu’un une semaine après, bon d’accord il y avait ce truc qu’on appel le coup de foudre mais une semaine, était-ce vraiment suffisant pour avoir un avis sur une personne ou bien même pour croire qu’on connait cette personne bien comme il faut ? Même Graeme il lui avait fallut plus d’un an pour avoir une petite histoire avec sa serpentarde. En faite, Graeme n’aimait pas non plus aller trop vite mais même aujourd’hui, il se pourrait qu’il ne connaisse pas autant la blonde qu’il pensait le croire. Mais il aimait sa, plus il en savait, plus il était attiré par elle et plus il s’accrochait. Il fallait savoir qu’auparavant, jamais le jeune Reinhaart n’avait été vu avec une étudiante au château, comme quoi, il lui avait fallut un bon temps à lui également. Une semaine, pour lui, s’était trop juste, trop… Compliquer. Dans une relation, il y avait tant de mystère dans une relation, que même la passion ne pouvait pas venir au bout d’une semaine, de quelques jours. « Une semaine après… Chaud votre histoire quand même. J’ai déjà entendu le nom de cette fille, à ce qui parait, elle a une facilité suprême pour avoir un mec. Après c’est une rumeur que j’ai entendu. Mais tu devrais faire gaffe. On ne sait jamais sur quoi tomber. Comme les dragées surprises. » Les dragées surprise de Bertie crochu était une référence à prendre. Jamais on ne savait sur quoi tomber, jamais, on avait les couleurs mais on ne savait pas quel goût on aurait. Sur lequel on tomberait et parfois, on était bien surpris. Comme tomber sur une Bertie crochu à la crotte de nez. Berk ! Graeme eut un petit sourire quand son vieux pote lui fit une tape amicale sur son bras. La bonne époque était sans doute de retour mais pour combien de temps. « C'est du passé vieux. On ne referas plus les mêmes bêtises. » C’est en faisant des erreurs qu’on apprend et qu’on s’améliore, pire qu’on évolue. En bien ou alors en mal. Puis le sujet qui ne pouvait que faire du bien à Graeme. Savoir comment allait la jeune Potter. Il appréciait la sœur du jeune Potter même s’il n’avait jamais réellement tenu une conversation avec elle de plus de trois phrases. Premièrement parce qu’il ne savait jamais quoi lui dire. Deuxièmement parce qu’il ne savait pas de quel sujet parler. Et troisièmement parce que c’était une demoiselle mais la sœur de son meilleur pote également. « Je ne la vois pas souvent, mais Bonnie m'as dit qu'elle allait bien. Qu'elle avait hâte de vacances. Ça ne m'étonne pas du tout. Une vraie petite princesse gâtée cette gamine. La première semaine qu'elle a passée à Poudlard de sa vie, elle est venue me pleurnicher dans les bras que maman lui manquait et qu'elle aurait voulu être à Gryffondor avec moi. Maintenant, elle m'évite cette petite peste ! » Le jeune homme retrouvât le sourire à nouveau. Il appréciait la relation fraternelle que les deux jeunes avaient. La famille Potter était une bonne famille, très agréable à écouter mais également très sympathique à connaitre. Ce que le jeune Potter ne savait pas, c’était que la jeune Potter était amoureuse de lui, sauf que cela n’était pas réciproque du coté de Graeme. Evidement, il préférait se taire et ne rien dire. C’était toujours bon parfois de ne rien dire. « Ta sœur n’a pas changer, elle ta toujours évité, du moins des qu’elle est eu des premiers potes au château. Mais finalement, elle sentir pas trop mal. Elle grandit. Voilà pourquoi elle t’évite. Tu devrais encore plus la surveiller, ça va devenir une femme.» Le rouge et or fit une accolade à son tour au Gryffondor.

Les deux rouges et or s’étaient toujours considérés comme deux frères, deux frangins qui pour rien au monde ne laisserait quelqu’un les séparés ou mettre leur amitié en histoire de haine et de combat voir même de sang. Sauf que tout avait été gâché par le jeune Reinhaart mais il voulait vraiment mettre cette histoire au clair et ne plus y pensé, même si, le fait qu’il n’aurait pas totalement la confiance de l’autre rouge et or le rendait perplexe. Il savait bien qu’il avait des erreurs, des conneries même mais il avait bien l’intention de se rattraper, même la bonne intention de se rattraper pour tenir cette amitié qui tenait cas un fil. Oui cas un seul fil, une amitié, même si elle était sincère, pouvait être détruite en si peu de temps, cela était prouvé par le fil du temps. Mais il y avait des histoires qui finissait bien alors pourquoi pas une amitié comme personne n’en avait vu pendant des années ne tiendrait-elle pas ? Soudain, la tête du jeune Reinhaart se retrouva la tête sous le bras de son camarade des lions quand il sentit la main du jeune Potter lui mettre les cheveux en bataille, chose qu’il détestait en passage mais également le geste. C’était le geste qu’il trouvait désagréable, surtout à une heure tardive comme celle-ci où l’envie d’aller se coucher lui prenait soudainement. « Si tu t'approche de ma soeur, je te castre sale petit blond ! » A cette remarque le rouge et or ne pu s’empêcher de sourire fièrement. Mais il n’avait pas spécialement envie d’être castré ! Sa devait bien faire ! Rien que dit pensé il aurait pu finir pâle cette soirée. Comme si il avait vu un fantôme. Castré quoi ! Brouhaha, ça ne pouvait que lui foutre des frissons. Mais c’est une chose qui ne se produirait jamais et cela rassurait le jeune Reinhaart qui tenait tout de même à ses bijoux de famille. Mais il était déjà rassuré d’avance, jamais il n’y aurait une quelqu’onc histoire avec la jeune Potter, c’était impossible, même s’il savait à l’avance que la brune ne dirait pas non. Mais pour lui c’était impossible, premièrement parce qu’il ne sortait pas avec une gonzesse comme ça au pur hasard, il ne voulait pas se forcer à faire plaisir à la jeune Potter, il l’appréciait et c’était déjà amplement suffisant. Sortir avec elle, cela serait comme sortir avec sa propre sœur, cela serait impossible, c’était vicieux et dégueulasse en même temps. Le jeune Reinhaart avait toujours vu les Potter comme sa propre famille alors imaginer une seconde de sortir avec la jeune Potter. Berk ! Horrible ! Ce qu’il fallait savoir, c’est que le jeune homme n’était pas le genre de gars à dire ce qu’il ressent, surtout quand c’était de l’amour qu’il ressentait, il avait un mal qui l’empêchait d’aller plus loin. Quand il était avec Ysolde, c’était différent, son regard était bien plus parlant que sa propre bouche, c’était d’ailleurs sa qui avait mis les autres en doute sur leur relation. Le jeune homme s’enleva du bras du rouge et or afin de dire en ayant le sourire : « Les bijoux de famille c’est précieux ! Tu le sais aussi bien que moi ! » Le jeune Reinhaart avait dit cela avec humour mais également avec prévenance. Ne sachant jamais ce qui pourrait très bien se passé plus tard dans le futur et dans les jours à venir. C’était toujours bon de sympathisé mais de mettre de la prévenance. Il ne savait pas comment cela se passerait les jours suivant mais il espérait que tout cela se termine comme il le souhaitait. C'est-à-dire bien. Il se mit alors debout et regarda le rouge et or dans face : « Rassure toi vieux, je ne sortirais pas avec ta frangine. C’est une chose qui m’est jamais venu à l’idée et ce n’est pas maintenant que sa viendra. Je ne sors pas avec les membres de ma famille. C’est… Dégueulasse. » Un sourire sincère adressa le jeune homme à son bon vieux. Soudain, le jeune Reinhaart se mit alors à bailler. Pas par l’ennui mais plutôt parce que la fatigue le prenait pour aller dormir. Il fit une tape à l’épaule du gryffondor afin de dire : « Je vais aller me couché, demain j’ai deux devoirs à finir, j’ai pris du retard. » Le rouge et or se mit alors à mettre les cheveux du jeune Potter en bataille, signe de vengeance pour le geste de tout à l’heure.

« Les bijoux de famille c’est précieux ! Tu le sais aussi bien que moi ! » Avait-il pleurniché sous les rires calme de Samwell. Il s'était séparé de sa prise du sommeil juste à temps pour dire sa phrase. Samwell ne serait pas réellement offusquer qu'il fréquente sa soeurette. Il trouverait simplement ça très étrange. Judicaëlle était justement l'un de ses bijoux de famille, dans l'un des sens du terme du moins. Et habituellement entre mecs, toujours aux bijoux de famille de ses potes c'était pas bien du tout. Dans tous les sens possible. Greame c'était levé pour ensuite lui rassurer sur la situation : « Rassure toi vieux, je ne sortirais pas avec ta frangine. C’est une chose qui m’est jamais venu à l’idée et ce n’est pas maintenant que sa viendra. Je ne sors pas avec les membres de ma famille. C’est… Dégueulasse. » Il avait raison et pourtant, le doute planait encore dans l'esprit de Sam. Il connaissait Judicaëlle comme le fond de sa poche. Le loup-garou se doutait donc que cette dernière n'était pas indifférente au charme du petit blond. Pourtant, Sam se mêlait de ce qui le regardait. Un membre de la famille, oui, c'était une excuse courante, le gryffondor l'avait déjà utilisé. Il ne cessait de répéter que Bonnie était comme une soeur pour lui et pourtant... Il était sortit avec elle et, croyez-moi, ils avaient faits de trucs qu'il n'aurait jamais fait avec un membre de sa famille. C'était une excuse facile lorsqu'on est réellement près de quelqu'un. Une façon de se protéger et se rassurer sur l'amour qu'on portait à quelqu'un. Qu'importe. Si sa soeur devait sortir avec Greame, ce ne serait pas demain la veille. Il était encore avec Ysölde et en semblait fou amoureux. Étrangement, Sam était heureux pour lui, pour eux. Cette fille méritait le ciel et même plus. « Je vais aller me couché, demain j’ai deux devoirs à finir, j’ai pris du retard. » Continua-t-il tout en tendant sa main pour mettre les cheveux de Potter en bataille. Se dernier sourit et ne replaça même pas ses cheveux. C'était sa marque de commerce les cheveux en bataille. Le jeune homme se leva donc également en tapotant le dos de son copain. Cognant son poing au sien pour faire leurs poignée de main secrète avant de lui dire :

« Allez file. Moi je reste encore un peu. Y'as des trucs auxquels il faut que je songe sinon, je ne dormirais pas de la nuit. Repose-toi bien. »

Oui, Sam avait ses petits problèmes, comme tout le monde. C'est ainsi qu'il donna congé au blondinet et se laissa de nouveau tomber lourdement dans le canapé. Ses pensées tournaient déjà dans sa tête encore et encore tandis que le feux brûlait dans ses yeux. Il y a de ses moments dans la vie où l'ont a simplement besoin de réfléchir. Voilà ce que Samwell voulait. Un peu de solitude avec lui-même pour faire du ménage dans sa tête et remettre ses idées en place. Il n'arriverait certainement pas à régler tous ses problèmes ce soir, mais ce serait un pas de plus vers la bonne voix.