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You've cast a spell on me, Charly.

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MessageSujet: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyVen 6 Jan - 23:10

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You hit me like the sky fell on me
And I've decided you look well on me.

Charlotte McFears. Charlette. Charlo. Charly. Charl. Chuck. Blondie. La demie-soeur. La petite peste. La faible. La gamine au village angélique. La fille avec les mains encore plus tendres que le coeur. La femme aux lèvres les plus invitantes ayant vécue sur cette foutue terre. La dame aux courbes les plus alléchantes dans l'histoire des formes géométriques. Ils se donnaient le titre de demi-frère et demie-soeur. Pourtant, ils n'avaient aucuns liens de sang. Ils étaient seulement élevés par les mêmes parents depuis qu'ils étaient tous jeunes. Effectivement, le père de Salvador et la mère de la blonde s'étaient remariés alors que les deux sorciers étaient encore très jeunes. Devy avait, depuis ce merveilleux jours, perturbé l'existence de la demoiselle. Le mot perturbé était très juste dans la déclaration, car c'était ce qu'il s'évertuait à faire. Pourtant Charmoche était, comme toutes les autres femmes dans la vie de Salvy, charmée par ce petit démon. Les insultes les plus blessantes étaient vites oubliés lorsqu'il pansait tendrement les plaies qu'il avait lui-même ouvertes. Pourtant, c'était ce qu'il avait fait ce soir. Encore une fois. L'histoire se répétait, mais il en choisissait la fin, il avait le contrôle, il était le héros.

C'était dans le soir. 21h30, le couvre-feu. Tous les Grindelmonk devaient se rendre dans leurs dortoirs au fond du parc. Et pas en groupe, les groupes étant interdits par Ombrage. Pourtant, cette vieille citrouille ne pouvait pas interdire les regroupements dans les dortoirs. Ce n'était pas très brillant que de mettre leur dortoir aussi loin du château. Ils pouvaient faire toutes les plus belles conneries imaginées. Bien entendu, des membres de la brigade inquisitoriale dormaient dehors. Pourtant, ils n'étaient pas bien difficile de les berner. Un sortilège de confusion et le tour était joué. Pas ce soir, Salvador avait d'autres projets. Sa petite Chat c'était couchée silencieuse et légèrement boudeuse. Effectivement, au cours de la soirée, Salvador lui avait fait une remarque particulièrement blessante sur sa copine ''Ella''. Répéter ce qu'il avait dit ne serait qu'enfoncer le couteaux plus creux qu'il ne l'était déjà. C'était réellement cruel de sa part et il avait cru voir les larmes perlées aux yeux de la demoiselle. Elle ne lui avait pas adressé la parole du reste de la soirée. Pourtant, Salvador comptait bien se faire pardonner cette nuit. Justement, à pas furtifs, il se glissait dans le lit de la belle. Tous étaient profondément endormis, même la belle. Il était face à son dos légèrement couvert par une nuisette en satin aux rebords de dentelles. Elle avait réellement des airs de déesses et c'était ce qu'il pensait depuis qu'il l'avait rencontrée. Pour lui faire comprendre son attirance physique, il avait écrasé un crapaud à pieds joints et lui avait offert. Il était effrayant et Chuck aurait surement la trouille lorsqu'elle ouvrirait les yeux. Un regard de dingue et un sourire de tordu alors qu'il effleurait le bras de sa demie-soeur du bout de ses doigts. Sa respiration s'accélérait alors qu'il entourait sa taille de ses bras. Il plongeait son nez dans les cascades blondes de la demoiselle au même moment. Il humait son parfum enivrant alors qu'il arrivait presque à vivre quelque chose à l'intérieur de lui. C'était tout près, à quelques centimètres, rien qu'un petit effort et ça y était. Il sentait la chaleur du corps de sa soeurette, oui, c'était cruellement malsain.
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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptySam 7 Jan - 19:36

    Le nez fourré dans des livres ? Certainement pas. Chuck n’aimait pas les livres pour apprendre, ni même les livres faisant plus de cent pages, c’était dire. La jeune fille était incapable de lire un livre, quand elle avait dû lire Alice au pays des merveilles quand elle était encore à l’école chez les moldus, cela avait été une véritable épreuve pour elle, lire plusieurs pages, sans images… quel cauchemar ! Les seules choses qu’elle lisait était des magasines, des magasines sorciers, des magasines moldus, elle s’en fichait du moment qu’il y avait des images, des potins, des conseils beauté, bref la vie. Oui, les magasines c’est la vie ! Enfin, pour Chuck. Chuck était une vraie fille, une vraie fille, blonde, toujours prête à faire attention à son apparence. Elle aimait ses cheveux, ses yeux, elle prenait soin de son corps, et tout. La jeune femme était posée, de bonne humeur à longueur de journée, bref une vraie bouffée d’air frais. On n’avait aucune raison à part la nature de son sang pour s’en prendre à Chuck, ah si, katniss s’en était prise à elle, à ses attirances pour être exacte, pourtant Chuck n’avait jamais rien fait à personne pour qu’on puisse la haïr. Elle avait passé une sale soirée, qu’est ce que Davy pouvait la mettre hors d’elle parfois, il pouvait être si méchant. La jeune femme était partie se coucher très fâchée, et n’avait pas redit un mot de la soirée. C’était visiblement énervée, qu’elle s’était laissé tomber dans les bras de Morphée. Chuck avait le sommeil assez lourd, surtout quand elle était fatiguée. Les Grindlemonk étaient plus que jamais parqué comme des animaux dans leur dortoir au fond du parc, ici, il n’y avait rien de magique, sauf la fermeture des portes du dortoir après le couvre feu. Pour sa part, Chuck n’enfreignait pas le règlement, elle n’avait jamais vraiment fait d’escapade nocturne, et le vivait très très bien, mais vraiment très bien.

    Chuck dormait profondément, faisant un rêve qu’au réveil elle serait incapable de raconter. Elle faisait beaucoup de rêve, mais elle ne se souvenait d’aucun de ses rêves, jamais, comme si elle n’avait pas le droit de s’en souvenir, elle avait retenu des cours de divination que l’étude des rêve était une chose importante que les sorciers, pour sa part on ne pouvait même pas étudier les siens. Elle dormait, bizarrement elle ne remarqua même pas la venue de Salvador – son « demi » frère – dans son lit. Oui, Demi parce qu’ils n’ont aucuns parents en commun, ils ont juste grandit ensemble parce que leur parent se sont remarié. Deux nés moldus de père et de mère différent dans la même famille, ils étaient bien tombé. Elle sentis quelque chose entouré sa taille. Elle bougea un peu, mais il en fallait plus pour la sortir de son sommeil, pas mal plus. Il y avait de remous dans les cascades blondes de la jeune femme. Elle se remit à bouger, et se retourna dans son lit, ne se rendant pas compte qu’il y avait quelqu’un, c’est quand son bras se balança vers l’espace normalement vide à côté d’elle qu’elle réalisa qu’il y avait quelqu’un. La jeune femme ouvrit les yeux, et cria. Quand elle ouvrit les yeux, elle poussa de toutes ses forces, donnant un coup dans les côtes du jeune homme. Elle avait peur bordel. Elle ouvrit les yeux et vit Salvador, qui venait de se prendre un coup dans les côtes. Elle dit alors, en se demandant ce qui lui arrivait : qu'est ce que tu fou là Salvy ?!!!!Elle le fixait, et remonta la couette contre elle. Elle détestait quand il faisait ce genre de chose, et le pire dans tout ça, c’était qu’elle subissait, à qu’à la fin, elle pardonnait tout, même les horreurs qu’il avait pu lui faire subir.
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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyDim 8 Jan - 18:11

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I need a hit
Baby, give me it.

Salvador avait peut-être l'air d'un maniaque à s'enivrer de l'odeur délicate de la belle aux bois dormant. C'était peut-être ce qu'il était d'ailleurs. Il aurait pu ne pas la réveiller et passé toute la nuit à l'enlacer sans qu'elle ne s'en rende compte. Pourtant, ce n'était pas ce qu'il voulait. Il voulait entendre ses cris que personne d'autres n'entendraient. La belle se retourna dans son sommeil. Il se retrouvaient face l'un à l'autre tandis que ses pattes étaient toujours sur elle. Une idée absolument malsaine lui passa par la tête alors qu'il sentait le souffle de la blonde contre son visage dut à la proximité. Elle aurait surement été désorientée par un baiser en pleine nuit de sa part. Leur premier baiser. Salvador avait prit sa décision sur cet acte. Pourtant, la demoiselle envoya son bras valser sur lui et le heurtant, elle sortit des limbes. Avant d'ouvrir ses yeux océans, elle lui foutu un coup dans les côtes. Salvador poussa un gémissement du au coup qui lui coupa le souffle, le laissant haletant. Ses mains avaient lâchés la belle et s'étaient portées à son ventre alors que ses paupières s'ouvrirent et qu'elle le reconnu. « Qu'est ce que tu fou là Salvy ?!!!! » Lui avait-elle demandé. Pauvre gamine. Salvador allait lui raconter des conneries. Il ne lui dirait jamais la vraie raison pour laquelle il s'était faufilé dans ses draps en pleine nuit. Elle lui pardonnait les petites conneries qu'ils faisaient ici et là, mais elle ne lui pardonnerait certainement pas ses réelles motivations. Si elle le faisait et l'acceptait, s'aurait été du masochisme pur et Salvador l'aurait demandé en mariage sans attendre une seconde de plus. Il avait toujours rêvé d'une femme née-moldue. Il reprit son air sérieux alors qu'il plongeait son regard dans celui de la poufsouffle. Elle remontait la couette contre elle, cela n'allait pas arrêter Salvador pour autant. Il alla doucement prendre l'une des mains de Chuck alors qu'il collait doucement son front au sien. Son regard la quittait alors que les yeux du jeune homme se fermaient.

« J'ai fait un cauchemar Charlotte... C'était affreux. J'ai vu ma mère. Elle était recouverte de sang, son ventre était ouvert. Ses entrailles étaient partout sur le sol. J'étais la, je la regardais. Puis je regardais mes mains et elles étaient couvertes de sang. J'ai tué ma mère. Je me reculais et je voulais m'enfuir, mais il n'y avais pas d'issus. Puis le cadavre de ma mère s'est levé et à décidé de prendre sa revanche. Elle m'arrachait des morceaux de peaux lentement et j'avais mal. Et je ne pouvais pas m'enfuir. J'ai peur... »

Avait-il confié à la jeune femme. C'étaient de purs mensonges. Il n'avait pas fait de cauchemars, il n'avait pas fermé l'oeil. Il avait simplement trouvé une raison plausible pour se faufiler pour avoir une chance de dormir dans les bras de la belle. Elle savait très bien comment la mère de Salvy était morte. Il l'avait véritablement tué, mais s'avait été un accident. Il l'avait détruit et pourrit de l'intérieur. Il s'acharnait maintenant à faire la même chose avec tous les gens qui l'entouraient. Présentement, il rendait insoutenable la nuit de Charly. Avec ses descriptions et l'imagination fertile de Chcuk, elle ne voudrait certainement pas qu'il fiche le camp dans son lit. S'était elle qui aurait peur. Il ouvrit alors ses yeux et recula son front de celui de la belle pour pouvoir fixer ses prunelles.
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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyDim 8 Jan - 21:33

    Chuck détestait qu’on la dérange dans son sommeil, mais même quand on la dérangeait l’instant d’après et si vous aviez une raison qu’elle soit bonne ou mauvaise, elle vous pardonnait. Elle était tellement gentille, tellement. Elle avait eut un simple reflexe en donnant un coup dans les côtes à Salvy, il ne pouvait s’en prendre qu’à lui il n’avait qu’à pas faire irruption de la sorte dans son lit. Oui, son lit était encore et jusqu’à preuve du contraire une espace personnel où l’on ne faisait pas irruption sans y avoir été invité, non, jamais. La jeune femme se sentait mal à l’aise avec quelqu’un dans son lit, simplement parce qu’elle n’y avait jamais invité personne, et que cela lui convenait comme ça, jusqu’à ce qu’elle en décide le contraire. Salvy ne lui laissa pas le choix quand il décida d’aggriper, de prendre une des mains dans la jeune fille, puis de coller son front contre le sien avant de fermer les yeux en douceur. Elle n’aimait pas le voir comme ça, comme si quelques choses clochait, elle était tellement trop gentille, tellement gentille qu’elle ne se rendait même pas compte qu’il la manipulait, qu’il se jouait d’elle, qu’il camouflait ses attentions. Il ferma doucement les yeux, et dit alors, commençant par l’appeler Charlotte, chose rare, qu’il était le seul à faire : J'ai fait un cauchemar Charlotte... C'était affreux. J'ai vu ma mère. Elle était recouverte de sang, son ventre était ouvert. Ses entrailles étaient partout sur le sol. J'étais la, je la regardais. Puis je regardais mes mains et elles étaient couvertes de sang. J'ai tué ma mère. Je me reculais et je voulais m'enfuir, mais il n'y avais pas d'issus. Puis le cadavre de ma mère s'est levé et à décidé de prendre sa revanche. Elle m'arrachait des morceaux de peaux lentement et j'avais mal. Et je ne pouvais pas m'enfuir. J'ai peur... C’était horrible, de rêver de ce genre de chose, c’était horrible de se dire que quelqu’un pouvait imaginer cela, c’était tellement horrible que la jeune femme réprima un dégoût. Un profond dégoût, vraiment, elle n’aimait pas cela. L’envie de vomir lui prit alors, mais elle ne vomi pas, fort heureusement. Elle le regardait, il lui faisait tant de peine, tellement. Elle ne réalisait même pas qu’il se servait d’elle en lui vendant ses horribles mensonges, pire, elle ne se rendait pas compte qu’il inventait tout à l’aide de sa cervelle sérieusement dérangée. Il était bizarre et la blonde n’y voyait que du feu. Naïve va. Il bougea alors, rouvrant les yeux, et fixant la jeune femme. Elle s’en voulait de lui avoir donné un coup dans les côtes, il ne méritait pas cela, il avait l’air tellement perdu, mais si elle savait… elle s’approcha de lui, et lui déposa affectueusement un baiser sur la joue avant de lui faire un câlin fraternel et de dire : Oh… Salvy, arrête de penser à ça, tu te fais du mal. Elle finit alors sa faible étreinte et lui adressa un sourire qui se voulait réconfortant. Elle était trop gentille, si elle savait qu’il profitait d’elle. Pire, c’était tout juste s’il pouvait abuser d’elle dans tous les sens du terme, elle était tellement gentille, elle ne se méfiait jamais, il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait, ça en faisait même très très peur. Elle le regarda de nouveau et dit alors : Si tu as peur, tu devrais peut être resté, peut être que ma présence chassera les mauvais rêves, qui sait. . Elle était tellement naïve elle venait d’autoriser le lion à rester dans l’étable avec l’agneaux, en fait c’était tellement mieux pour elle de ne pas savoir, se savoir abuser n’est jamais très agréable comme situation.
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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyMar 10 Jan - 6:55

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You've gotten dirty, angel
Aren't you ready to come clean ?

Cette pauvre petite Charlotte. Si inoffensive, si naïve, si faible. La meilleure proie pour un prédateur comme lui. Pourtant, même si le chasseur préférait les défis et les proies inaccessible, Chuck était son jouet quotidien. Facile d'accès et succès garantis à tout coups. La chose n'était pas bien difficile étant donné qu'il avait littéralement grandit avec elle. D'autres devaient tenter de profiter de sa bonté, mais personne ne réussissait aussi bien que lui. Il la connaissait par cœur. Il savait comment l'étouffer en douceur dans son tissus de mensonge. Il connaissait les pas des la danse et l'obligeait à danser avec le diable pour aspirer son âme et en faire sa collation nocturne. Ses yeux couleurs du ciel voulaient croire les yeux verdâtres du serdaigle. Sa naïveté était un sujet d'incompréhension chez Devy. Il savait mieux que personne comment l'homme pouvait être égocentrique. De plus, il était si facile de mentir. Il se demandait encore comment les sorciers faisaient pour se faire encore confiance. Le jeune sorcier avait appris à dépendre de lui. Lorsqu'il avaient besoin des autres pour un service crucial, il avait toujours des plans B,C et W. Sa perfection faisait qu'il ne laissait jamais place à la défaite. Il savait choisir tout soigneusement. Les mots, les fausses émotions décrites par ses subtilités faciales, les personnes, les lieux et surtout les moments. C'était peut-être la raison pour laquelle il n'avait encore jamais posé ses lèvres sur celles de la belle. Il lui fallait une excuse qu'il n'avait pas encore trouvé. Si elle lui pardonnait les paroles blessantes et les intrusions nocturnes, il lui en faudrait un peu plus pour faire passer un baiser. Peut-être une soirée d'ivresse, le temps nous le dirait. Quoi que le but ultime de l'entendre crier ou pleurer serait atteint dans un refus comme dans une acceptation. La gamine c'était approchée de lui et avait déposé un baiser sur sa joue alors qu'il encerclait de nouveau la taille de la jeune femme de ses mains. Ses doigts se glissant sous la couette pour aller se poser sur sa nuisette satinée. Sa douce voix s'éleva alors dans la silence du dortoir : « Oh… Salvy, arrête de penser à ça, tu te fais du mal. » Si seulement elle savait. La blonde était la seule qui se sortirait amochée de cette histoire. Les larmes couleraient sur ses joues, ce soir ou demain, ça n'avait pas d'importance. Sa proie n'allait pas mourir ce soir, mais elle allait s'en sortir drôlement amochée. C'était la chose la plus certaine. Elle l'avait enlacé pour le réconforter et termina son étreinte alors que les mains de Salvy refusaient de quitter les courbes de la douce. L'innocence même semblait avoir pris possession de son corps alors qu'elle le regardait en lui disant : « Si tu as peur, tu devrais peut être resté, peut être que ma présence chassera les mauvais rêves, qui sait. » L'envie de n'en faire qu'une bouchée était immense. Elle venait d'inviter le dangereux prédateur à profiter de sa couette toute la nuit. Il lui adressa un sourire tendre alors que des idées toutes plus tordues les unes que les autres envahissaient son esprit de taré.

« J'ai bien peur que ce ne soit l'unique solution Chuck. Qu'on dorme dans les bras l'un de l'autre, comme lorsqu'on étaient gamins... »

Ajouta-il pour l'attendrir encore un peu. Il entendait déjà les cris de douleurs lorsqu'il croquerait à belles dents dans ce jeune cœur moelleux. Pouvoir ressentir du plaisir intérieur, il aurait probablement été en extase à ce moment. L'une de ses mains remontaient vers le visage de la belle pour se poser sur sa joue. Il vient déposer un baiser empreint de douceur sur son front. Il la regarda ensuite pour captiver son regard dans le sien. Ses yeux étaient hypnotisant, il ne comprenait tout simplement pas pourquoi elle n'avait pas eut plus de petits copains et pourquoi elle n'en avait toujours pas.

« Tu es magnifique... Parfois, je te regarde et ça me fait mal tellement tu es belle... »

Lui dit-il, le visage sérieux, les yeux remplis d'étoiles et de promesses. Sa main avait fait son chemin jusqu'au menton de la née-moldue. Relevant doucement celui-ci pour l'attirer avec lenteur vers la bouche de Salvador. Elle allait probablement freiner sa tentative, mais ça faisait partie du plan. Il s'excuserait ensuite, mais comme il s'était ouvert à elle, le malaise passerait rapidement. Encore, il n'avait rien fait de mal. Heureusement que son corps était couvert sinon ses mains auraient voulus caresses les cuisses de sa demie-soeur qui n'aurait probablement pas été chaude à l'idée. La bête était encore gentille alors qu'elle tenait cette petite choses entre ses griffes et ses crocs. Pour bientôt la morsure fatale.
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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyMar 10 Jan - 20:52

    Ils n’étaient pas vraiment frères et sœurs, ni même demi-frère, demi-sœur. Oui, la mère de Charlie, et le père de Salvy s’étaient mis ensemble après leur mariage respectif, et le divorce de la mère de Charlie, et la mort de la mère de Salvy. Charlie adorait le père de Salvy, il était plus un père pour elle que son véritable père ne l’était, ce dernier était un peu trop occupé à percer dans l’art new Yorkais depuis…. Presque dix neuf ans, en vain. Il n’avait même pas attendu la naissance de sa famille pour larguer sa mère, et aller vivre avec cette fausse blonde tatouée. Après, elle considérait Salvy comme un frère, dans une certaine mesure. Elle était une fille unique de sang, et elle le vivait bien, elle ne connaissait pas le sentiment fraternel, alors elle ne pouvait pas juger sa relation avec Salvy. Mais si avoir un frère c’était le haïr de toutes ses forces quand il était odieux avec vous, et l’adorez à lui sauter dans les bras l’instant d’après alors… oui, elle le considérait comme son frère, mais après… Charlie était un peu trop naïve. Beaucoup trop naïve. Chuck était une fille candide, tellement candide. Candide, c’était le mot. Elle ne se méfiait de personne, et elle n’avait pas beaucoup de relation avec les autres. Elle avait pas mal d’amis, parce qu’elle était adorable, on ne pouvait que s’attacher à elle, mais elle n’avait jamais eut de petit ami, rien. Elle se disait qu’elle aimait bien les filles, au moins autant que les garçons. Charlie était candide, vraiment, une vraie ingénue. Son « demi-frère » lui dit alors : J'ai bien peur que ce ne soit l'unique solution Chuck. Qu'on dorme dans les bras l'un de l'autre, comme lorsqu'on étaient gamins... Oui, elle se souvenait que lorsqu’ils étaient enfants, parfois ils dormaient ensemble. Tout ça était si lointain, mais bien qu’elle soit naïve, cette idée dérangeait un peu Charlie, elle n’avait jamais partager le lit de quelqu’un avec dormir avec « son frère »… c’était bizarre, étrange, et elle trouvait cela assez… malsain. Elle n’était pas assez futée pour se rendre compte de ce qu’il voulait faire mais… mais bon, elle allait lui accorder cela, comme tout le temps, elle ajouta donc avec un petite pointe d’humour pour essayer de le faire penser à autre chose – et dire qu’il la manipulait : Je veux bien faire comme quand on était gamin, mais je ne te laisserais plus jamais voler MA couverture. Une main du jeune homme se posa sur la joue de la jeune femme. Il déposa un baiser sur le front, comment elle pouvait continuer à lui en vouloir avec ce genre d’attitude. Il avait été odieux avec elle ce soir, et là, il lui faisait tellement de peine, tellement. Elle était beaucoup trop gentille, tellement gentille, assez pour croire des conneries pareil. C’était à se demander si elle était naïve, ou si elle le faisait pour être gentille et adorable avec les gens, juste pour leur faire plaisir. Tu es magnifique... Parfois, je te regarde et ça me fait mal tellement tu es belle... Pardon ? Elle avait beau être naïve, c’était étrange. Et ça faisait peur à Charlie, en plus d’être naïve, elle était assez peureuse, elle avait peur de l’inconnu, bref, à cet instant c’était plus de la gêne que de la peur. Elle resta immobile, un peu secouée par ces mots, elle ne réagit pas quand le jeune homme tint alors le menton de la jeune femme. Il l’attira à lui, comme si ses lèvres étaient un aimant. Ça non, certainement pas. Elle ne laisserait pas Salvy faire ça, ce n’était pas le premier baiser de la jeune femme – même si elle n’avait pas eut de vrais petit ami – mais elle n’embrasserait certainement pas Salvy. Elle se recula alors, en le repoussant doucement mais surement : Arrête ça tout de suite Salvy, s'il te plait. Elle l’adorait mais… mais non, non, il ne pouvait pas vouloir l’embrasser. Elle se disait que s’il avait envie de l’embrasser, c’était surement parce qu’elle était une figure féminine de sa vie, et que dans un moment comme celui-ci – son cauchemar, soit disant – il avait besoin d’elle, et il était un peu perdu, non ? Si seulement elle avait. Elle l’aimait beaucoup, elle ne savait pas si ses sentiments à son égard était ceux d’un frère, mais elle espérait, sinon la situation allait rapidement devenir très compliquée.
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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyMer 11 Jan - 0:28

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Little girls
Gotta hold on me
Like glue


Elle le laissait dormir dans son lit avec elle parce qu'il était supposément bouleversé. Le jeune homme ne manquerait pas un instant pour la chambouler elle aussi. La jeune femme tenta de dédramatiser la situation avec une plaisanterie : « Je veux bien faire comme quand on était gamin, mais je ne te laisserais plus jamais voler MA couverture. » Il avait eut un petit sourire. C'était vrai et il était surpris qu'elle s'en souvenait. Lorsqu'ils étaient gamins, il lui volait toujours sa couverture. Ce n'était pas innocent, il était curieux et il n'apprenait rien sur les filles dans ses bouquins. En avoir une à ses côtés était la façon idéal de l'étudier. Le jeune découvrait donc la jeune femme pour pouvoir l'observer un peu. Ce n'était pas pervers ni même malsain, c'était de la curiosité de gamin. Quoi, vous avez jamais joué au docteur ? Il l'avait ensuite complimenté sur sa beauté tout en faisant mine d'être une autre dimension. Ses yeux semblaient perdus et ils étaient effrayants. Oubliant le gamin qu'il avait été, Salvador attirait la bouche de la délicieuse blonde vers la sienne d'un geste naturel. Il vit le regard de la gamine changer. Elle n'était plus si innocente d'un coup et semblait comprendre les intentions du grand méchant loup. Elle se reculait doucement tout en le repoussant gentiment pour lui dire : « Arrête ça tout de suite Salvy, s'il te plait. » Le regard du jeune homme sembla changer alors qu'il enlevait brusquement ses mains de sur le menton et la taille de la jeune femme. Il eut l'air gêné, mais aucune rougeurs ne ravageaient ses joues. Même si le sang lui était monté aux joues, la pénombre l'aurait empêchée de le voir. Il eut un petit rire mal à l'aise alors qu'il passait une main sur sa nuque. Il n'était pas réellement mal à l'aise, mais il savait très bien imiter les gestes que les émotions faisaient faire.

« Pardonne-moi Charly... Je ne comprend pas ce qu'il m'arrive. J'suis un peu perdu. Et j'suis épuisé. »

Il lui adressa un petit sourire avant de passer sa langue sur ses lèvres comme il avait l'habitude de la faire. Pour une fois, il n'avait pas totalement mentit. Son corps était épuisé. Ses bras, ses jambes et sa tête étaient lourdes. Il ne savait plus trop quoi faire de ses mains, il n'osait pas les mettre sur elle de nouveau. Le jeune homme décida de se mettre à son aise et d'enlever son t-shirt. Pas de raisons pour qu'elle fasse une crise. Elle le voyait souvent torse nu et ce depuis qu'ils étaient petits. Il envoya son t-shirt balader aux pieds du lit. Il était assez musclé malgré le fait qu'il passait son temps à lire. Il faisait également attention à son corps d'apollon. Étant donné qu'il était très grand, il ne voulait pas avoir l'air d'un maigrichon non plus. Il avait fait du Quidditch, mais maintenant ils n'avaient plus le droit. Il gardait tout de même les traces de l'entrainement sur son corps. Quelques cicatrices sur ses bras et des abdos d'enfer. Il fallait dire qu'il n'avait plus un corps de gamin comme lorsqu'ils partageaient leurs couette. Charlotte non plus d'ailleurs. Elle était devenue une femme extrêmement belle et attirante. Leurs corps ne réagissaient plus de la même façon l'un à l'autre face à une proximité aussi évidente. Salvador se retenait encore de la reprendre dans ses bras en lui promettant de ne plus faire de conneries.


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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyVen 13 Jan - 21:06

Charlie était une jeune femme encore « innocente », elle n’avait jamais partagé le lit de quelqu’un et elle n’en faisait pas un drame. Non, pas du tout, elle se fichait bien de n’avoir jamais « vous savez quoi » avec quelqu’un à dix huit ans, elle se disait que ce genre de chose arriveraient quand elles devraient arriver, elle n’allait pas forcer le destin pour ce genre de chose, elle ne savait pas de vendre, elle ne voulait pas se vendre. Elle n’avait pas envie d’être une… une garce qui se faisait la moitié de Poudlard, elle laissait cela aux professionnels du genre, elle était une amatrice qui s’était faite embrassé une fois par un garçon, et plusieurs fois par une fille, mais passons. Etre si près de Salvy la dérangeait beaucoup, mais elle était presque trop aimable pour lui en parler de façon honnête, il avait l’air si mal qu’elle ne voulait pas en rajouter une autre couche. Le jeune homme retira alors ses mains de son menton, mais aussi de sa taille. C’était comme si Charlie pouvait respirer de nouveau, elle en avait presque eut le souffle coupé. Il avait l’air tellement gêné, comment en vouloir à ce pauvre petit homme qui semblait si mal en point… ? Si seulement elle savait, si seulement elle savait ce qu’il était entrain de faire, elle le jetterait de son lit comme un vulgaire oreiller. Il avait l’air tellement mal à l’aise quand il passa une main dans sa nuque, laissant échapper un bref petit rire, avant de dire, et de respirer le mensonge : Pardonne-moi Charly... Je ne comprend pas ce qu'il m'arrive. J'suis un peu perdu. Et j'suis épuisé. Il lui faisait de la peine, il avait l’air autant égarer qu’une pauvre brebis, il jouait tellement bien la comédie, il mentait comme il respirait. Charlie accordait facilement sa confiance aux gens, c’était un gros problème chez elle, elle ne se méfiait pas des gens, jamais, elle était aussi influençable qu’une gamine, elle n’avait jamais vraiment changé d’attitude. Elle avait grandit, elle prit de la poitrine, perdu ses pommettes saillantes, elle avait gardé son sourire, ses yeux, ses longs cheveux blonds. Elle n’avait encore rien répondu, mais, le jeune homme retira alors son t-shirt, sans crier gare. Il était beau, elle n’allait pas nier, non elle n’allait pas nier. Mais, elle n’avait pas l’habitude d’être avec des garçons, elle avait faillit sortir avec un gars une fois… mais bon, là, c’était… « son frère », en quelques sorte. Il était musclé, vraiment, vraiment. Elle le regardait, gêné, ses joues s’étaient empourprées. Il lui en fallait peu pour devenir rouge comme une tomate. Tu devrais aller dormir, ça ira mieux demain, tu ne crois pas ? Le « devrait aller dormir » impliquait qu’il retourne dans son lit, mais elle était trop gêné, et trop gentille pour reformuler ça si jamais il ne comprenait pas – ou faisait mine de ne pas comprendre – elle était beaucoup trop gentille pour lui faire d’avantage de peine. S’il voulait passer la nuit ici, elle le laisserait faire, mais elle serait vraiment gênée, vraiment.
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MessageSujet: Re: You've cast a spell on me, Charly.   You've cast a spell on me, Charly. EmptyDim 15 Jan - 8:01

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Let the century pass me by
Standing under night sky
Tomorrow means nothing.


Salvador savait qu'elle allait être mal à l'aise lorsqu'il avait retiré son t-shirt. Il dormait toujours torse-nu, ce n'était pas la fin du monde. Pourtant, il ne dormait pas torse-nu contre Chuck toutes les nuits. Il était attiré par cette belle blonde avec qui il avait été élevé. Ce n'était pas lui, ce n'était pas sa faute. C'était physique voir chimique. Quelque chose dans son cerveau détraqué qui faisait qu'il avait envie de se coller de nouveau contre-elle. Heureusement qu'il se raisonnait, car s'il n'avait fait qu'écouter les pulsions de son corps, il serait déjà par dessus elle à l'embrasser en lui retirant sa nuisette de satin. C'était malsain, mais Salvador n'avait pas cette notion d'inceste en tête. Il n'avait aucuns sentiments, donc ne pouvait pas ressentir le lien fraternel qu'elle ressentait envers lui. Elle avait été à ses côtés depuis plus longtemps que tous le monde, mais pourtant, elle ne le connaissait pas mieux. Elle avait vu toutes ses horreurs et subit toute sa méchanceté et pourtant, elle lui parlait encore. Elle le serrait encore dans ses bras et lui donnait des baiser sur la joue. Salvador n'avait pas la moindre idée de ce que c'était que de ressentir de l'attachement envers quelqu'un. Il ne pouvait donc pas comprendre. Il se disait tout simplement que Chuck, comme Katniss ou Avalon, devait ressentir une pulsion physique envers lui. Il n'y avait pas d'autres solutions. Il pensait également que c'était cette même pulsion qui la rendait mal en lui disant d'une voix timide : « Tu devrais aller dormir, ça ira mieux demain, tu ne crois pas ? » Il était peut-être sans cœur, mais il avait d'autres organes. Des poumons, un foie et surtout un cerveau. Il comprenait qu'elle ne souhaitait pas qu'il dorme avec elle. Salvador avait décidé que cette nuit, il dormirait dans les bras de Charlotte et il en serait ainsi. Pas de plan ''B'', il n'y avait que le plan ''A'' avec Salvy. Il baissa son regard et fixa un point sans rien dire et sans fermer ses yeux. Il sentit bientôt les larmes monter à ses yeux. Pas des larmes dues à l'émotion, des larmes venant lutter contre la sécheresse qu'il opposait à ses yeux. Oui, se tarer avait même appris à pleurer pour faire croire à ses conneries. Si les gens apprenaient un jour à quel point il se fichait de tout et de tout le monde. À quel point il était un idiot manipulateur et égocentrique, on le brûlerait surement. Il releva ses yeux remplis d'eau vers la jeune femme alors que ses lèvres tremblaient.

« Même toi, tu ne veux pas de moi. Faut vraiment être un monstre pour que la fille la plus gentille et douce de Poudlard ne veuille même pas de son frère adoptif dans son lit. C'est pas étonnant. Personne ne veux de moi. Même Avalon, je lui ai jeté mon cœur et elle l'as piétiné. Ma mère n'as pas voulu de moi, elle a préférer crever... »

Un sanglot s'échappa des lèvres du jeune homme alors qu'il s'empressait d'essuyer la larme qui coulait sur sa joue. Il fuyait le regard de la douce en jouant l'orgueilleux. Il se jouait d'elle et faisait comme s'il avait des sentiments, des remords, de la peine. Oui, il était un monstre et il l'assumait. Ce n'était encore que le début de son tissus de mensonge. Il mentait comme il respirait, oui, même plus et ça aussi, il l'assumait.

« Je fais des conneries, je réfléchis pas et ensuite je regrette. J'suis méchant avec toi, mais au fond, je tiens beaucoup trop à toi, tu le sais. J'ai plaqué Avalon parce que j'avais l'impression d'étouffer dans notre relation, mais j'ai été con. Elle me manque. Elle me manque tellement que j'ai essayé d'embrasser ma sœur. J'suis vraiment un taré. »

Il lui disait simplement ce qu'elle voulait entendre. Il lui disait ce qu'au fond, elle pensait. Il lui disait qu'il regrettait, qu'il faisait ça sans y penser et qu'il se détestait. Rien de tout cela n'était vrai. Dès le lendemain, il recommencerait à être odieux avec elle. Dès qu'il en aurait l'occasion, il l'embrasserait pour la rendre mal à l'aise, peut-être lui ferait-il croire qu'il était amoureux d'elle. Dès qu'il aurait terminé de jouer avec Avalon, il la plaquerait. Il n'aurait aucuns regrets et dès qu'il voudrait, il recommencerait et tous lui donneraient de nouvelles chances parce que Salvador jouerait avec leurs esprits. L'esprit humain était si faible et notre né-moldu avait affreusement lu la dessus. Il jouait avec les esprits des gamines comme un chat jouait à torturer sa souris.
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