STORY OF MY LIFE ft Percy

Cette année était infernale, en fait les deux dernières années avaient été infernales et elles n’étaient pas sur le point de s’arrêter quoi. Il avait cru que caché la vérité était la meilleure façon ce qui n’était définitivement pas le cas. Il avait toujours été trop fier et sa fierté en prenait tout un coup quoi. Et la en se moment alors qu’il tentait de trouver un endroit tranquille ou il ne serait pas attaquer, ou encore il pourrait être tranquille. Malheureusement dans cette école et pour cet étudiant là avait autant de chance de trouver cet havre de paix et de tranquillité que de trouver la vierge Marie. Il avait fouillé tous les coins du château et il avait trouvé absolument rien. Aujourd’hui il tentait la volière il c’était dit que peut-être que si il pouvait la trouver complètement vide il aurait quelque heure de paix pour faire se qu’il voulait. Lire, écrire une lettre, ou non tient faire une sieste. Il avait donc à la sortie de ces cours pris le chemin de la volière, son sac à l’épaule. Il avait évité de peu une horde de serpentard et il avait commencé à monter les escaliers qui le mèneraient au haut de la tour. De toute façon ces dernier temps ce n’était pas comme si il avait mieux à faire, en dehors d’évité les sien et a peu près le reste de l’école. Une fois arriver à la fin des escaliers il avait espérer qu’il n’y aurait personne, mais il n’avait pas cette chance, du moment qu’il était entrer dans la volière il savait qu’il n’était absolument pas seul. Il avait quand même décider d’avancer quand même avec espoir que peut-être il se retrouverait face à un visage pacifique ou un allier. Les deux ferait l’affaire enfin plus que l’alternative. Il avait avancé et ça ne lui avait pas pris de temps pour reconnaître la personne dans la pièce. Une personne qu’il ne pouvait pas dire qu’il connaissait. En dehors de par sa réputation, et d’une simple altercation qui n’avait étrangement pas été réellement des plus amicale. Et pourtant il n’avait pas l’impression que cette personne était un ennemi, mais encore moins un ami. Et leur avenir était encore moins connu, parce que sincèrement le sorcier n’avais pas l’impression que la personne dans la volière l’appréciait dans ce sens la. Mais déjà Mister Ozera n’était pas parti, sauf qu’il ne parlait pas, il n’avait pas encore fait connaître sa présence se qui voulait dire qu’il avait encore l’option de décider de partir juste pas qu’il le pouvait. Ou encore faire comme si il n’avait pas vu le sorcier et partir. Et pourtant il avait décider de faire connaître ça présence. « Oh désoler je ne savais pas qu’il y avait quelqu’un ici. Je peu m’en allez si vous voulez? » Oh il n’avait pas réellement envi de s’en allez mais si on l’obligeait il n’aurait pas réellement le choix non. Mais une chose était certaine c’était que jamais il ne quitterait cette école.

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La solitude ressemblait davantage à un mythe qu’à une réelle possibilité ces derniers temps. La salle commune des Serdaigle était constamment achalandé et ce, depuis la nuit des temps. Le dortoir? Il ne faut même pas y penser. Mes compagnons y avaient élus domicile afin de réviser les examens de manière plutôt inusitée. Un espèce de jeu de révision qui comprenait une montagne de friandises ainsi qu’un chaudron à l’odeur des plus suspectes. Je ne sais absolument ce qu’ils comptent en faire, mais s’il s’agit d’une quelconque punition pour ne pas avoir répondu correctement à la question, je préfère ne pas être là pour les voir gerber à tour de rôle. Qui avait dit que les serdaigles étaient des élèves calmes et pas allumés pour le moins du monde? Honnêtement j’ignore qui a collé une telle étiquette à la maison des bleus et bronzes, mais cette personne se mettait le doigt dans l’œil. Les dix dans le même œil. Je peux vous assurer qu’ils ne sont pas des modèles de calme. Il y aurait bien eu la bibliothèque, mais avec la fin des cours et les examens, elle était devenue le repaire de bien des gens. Fallait pas penser à aller à l’extérieur avec le froid qu’il y régnait et le jardin perdu ne faisait plus partie de mes endroits fétiches depuis que j’y avais croisé un être indésirable nommé Blackmoon. Disons que la solitude et le calme n’étaient pas réellement synonymes de coup bas et crétin arrogant. C’est ainsi que j’avais fini par jeter mon dévolu sur la volière. Bien que pas très chaud, ça restait un endroit calme et agréable. La vue y était magnifique. Les oiseaux et l’odeur de fientes ne me dérangeaient pas plus qu’il ne le faut. Disons que j’y étais habitué avec le nombre d’heures que je passais moi-même sous cette forme volatile. J’avais besoin de réfléchir, j’avais besoin d’un tant soit peu de calme. Il s’était passé tellement de choses ces derniers temps que je ressentais le besoin de mettre les pendules à l’heure. Mon père et son secret. Amadeus et son amour sans oublier mes sentiments pour lui et notre récente rencontre. Il y avait également Lana avec que venais tout juste de me remettre à discuter. Nous avions eu beaucoup de choses à nous dire malgré le sentiment d’étrangeté qui nous avait semblé vouloir persister. Elle avait vécu énormément de chose en mon absence. Ce n’est qu’après avoir passé de nombreuses heures en sa compagnie que je pris pleinement conscience de tout ce que j’avais put manquer pour des choix très peu judicieux que j’avais fait. J’avais plongé mes écouteurs au creux de mes oreilles, du coup, je n’entendis pas les pas dans l’escalier. Ce ne fut que lorsque la chanson termina que je m’aperçu de la personne qui se tenait devant moi. Il s’adressa à moi, mais je n’entendis que vaguement ce qu’il avait à dire. La musique avait repris et une chanson d’un groupe moldu plutôt bruyant me criait dans les oreilles. Je retirai donc mes écouteurs, relevai la tête vers le jeune homme que je reconnu étant l’une des personnes que je n’appréciais pas particulièrement et ce, malgré que je ne le connaissais que très peu. Je décidai toutefois de l’aborder, étant civilisé. « Excuse moi, je n’ai absolument pas entendu ce que tu as dit. J’avais de la musique… » dis-je en lui montrant mes écouteurs.

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