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But Parkinson you ain't got nothing to lose.

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MessageSujet: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptySam 7 Jan - 1:24

But Parkinson you ain't got nothing to lose. Tumblr_lvzv7zHu8a1r23tzz

There's something coming over you, come over me.

La fin du cours de défense contre les forces du mal. C'était sa classe, son cours. Le cours auquel il n'avait plus droit. La matière qu'il préférait, c'était trop, beaucoup trop. Il savait pertinemment pourquoi ils mettaient les nés-moldus de côtés et il était bien décidé à ne pas se laisser faire. Salvador ne voulait aucunement se retrouver à la porte de l'école de sorcellerie, pourtant, il refusait de se voir contraint à être retardé d'une année en défense contre les forces du mal en plus de ne plus avoir accès à la totalité des livres de la bibliothèque simplement à cause de son sang. Oui, les grindelmonk prouveraient éventuellement qu'ils étaient beaucoup plus puissant que les sangs purs au sang épuisés. Salvador ne se laissait pas marcher sur les pieds comme on marchait sur des pitiponks. Il avait déjà usé de son charme pour détourné les lois strictement établies et sévèrement punies. Trafic de livre, s'il vous plait. Salvy charmait des demoiselles pour qu'elle aille lui chercher des livres à la bibliothèque. Bien entendu, ils ne lisaient pas ceux-ci à la vue de tous. Il prenait soin de se cacher pour ne pas être pris sur le fait et être foutu dehors. Il comptait bien faire la même chose avec le cours de défense contre les forces du mal.

C'était justement la raison de son errance près de la salle de classe, au premier étage. Son cours était terminé depuis un moment. Le prof était sortit en premier et tous les élèves de sa classe, sauf une. Salvador se camoufla dans sa cape et entra dans la pièce comme un clair, armé de sa baguette. Il éteignit les chandeliers et verrouilla la porte en quelques secondes. Il entendit la jeune femme sursauter et se demander ce qu'il se passait. Il ne voyait pas dans le noir, mais il avançait à l'aveuglette. Se fiant à la respiration de la jeune femme ainsi qu'à son odeur sucrée. Il arriva derrière elle et l'attrape en plaquant sa main contre sa bouche. Faisant pencher le corps de la demoiselle légèrement vers l'arrière alors que ses lèvres souriante caressaient l'oreille droite de la demoiselle.

« C'est toujours agréable de se retrouver dans le noir avec toi, Parkinson. »

Avant qu'il ne lui adressa la parole, il aurait cru la retrouver plus combative. Avalon aurait été du genre à lancer des sorts n'importe ou, à mordre sa main ou lui foutre un coup quelconque. Maintenant, elle l'avait certainement reconnu. Ce n'était pas la première fois qu'ils se retrouvaient dans la pénombre totale ensemble. C'était arrivé plusieurs fois pendant leurs trois mois en tant que couple officiel. Quelque fois mêmes, ils n'avaient pas échangé un seul mot durant leurs moments du côté sombre. Salvador n'était pas du genre à faire la conversation à qui que ce soit. Il plaçait ses propos au bon endroit et au bon moment. Il arrivait à faire ce qu'il voulait, rien qu'avec quelques belles paroles accompagnées de gestes convainquant.
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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptySam 7 Jan - 13:19




Soudainement, la porte de la classe se ferma et le noir se fit, faisant ainsi sursauter la jeune Parkinson. Il n’était pourtant pas évident de la surprendre ainsi, elle, toujours à l’affut de la moindre chose anormale. D’un bruit suspect, d’un silence trop lourd… De n’importe quoi pouvant attirer son attention. Elle tendit alors l’oreille, tentant de capter le moindre, le moindre pas. Parce qu’elle le savait, quelqu’un était entrée. Ce château avait beau être magique, cette porte ne s’était pas fermée toute seule, autant que les chandeliers ne s’étaient pas éteints de leur propre chef. Les pas se rapprochaient, tout comme le parfum que portait cette personne. Elle le connaissait, mais impossible de remettre un nom dessus. Elle l’avait au bout de la langue mais… Brusquement, cette mystérieuse personne l’attrapa et colla sa main contre sa bouche. Son corps se pencha légèrement en arrière, tandis qu’elle sentit la bouche du mystérieux inconnu se caller contre son oreille droite. Il était étonnant qu’Avalon soit restée aussi calme durant tout ce temps. Elle n’était pas du genre à l’être en temps normal, et encore moins dans un moment comme celui-ci. Elle était plus du genre à lancer des sortilèges à tout va –à défaut de lancer un simple Lumos, ou bien de se débattre lorsqu’elle sentit l’inconnu l’attraper. Elle n’en fit rien, et la raison demeurait un véritable mystère. « C'est toujours agréable de se retrouver dans le noir avec toi, Parkinson. »

Salvadore Davy. A l’instant même où elle reconnut sa voix –et par la même occasion, elle se souvint finalement que c’était bel et bien son parfum qu’elle avait senti- elle tenta de remuer pour se dégager de son étreinte.
Agréable ? Ce n’était peut-être pas le mot qu’elle aurait employé. Du moins, plus maintenant. A une certaine époque, sans aucun doute. L’époque où ils avaient été désignés comme étant un véritable couple aux yeux de tous. Trois mois. C’est le temps que ça avait duré. Officiellement du moins. Parce que c’était sans compter sur la période qui avait précédé cette relation officielle. Après quelques secondes à se débattre, elle réussit à dégager sa main de sa bouche. « Tu m’excuseras mais actuellement… J’suis plus tellement de cet avis. » Lachâ-t-elle visiblement énervée de l’entrée qu’il venait de faire mais surtout, énervée parce qu’il avait réussi à la surprendre. Elle se tourna de manière à être face à lui, bien qu’elle ne le voyait pas. Levant sa baguette, elle murmura « Lumos » Une légère lumière émanait désormais de sa baguette, les éclairant tous deux. Avalon posa son regard sur son ex copain tentant de deviner ce qu’il avait en tête. Impossible de savoir avec lui, il était aussi imprévisible que la jeune Serpentarde. C’était étrange de se tenir aussi près lui, et difficile de se calmer. Elle avait autant envie de le frapper que de l’embrasser. C’était sans doute cette complexité et ce paradoxe qui avait rythmée leur courte histoire. Sa main tenait fermement sa baguette, prête à tout moment à envoyer valser cette gueule d’ange. Il l’avait fait souffrir –qu’elle l’avoue ou non, c’était un fait- et l’envoyer dans le décor ne lui poserait aucun problème. Ca pourrait même l’amuser un peu. « Qu’est ce que tu veux Salvador ? Qu’est ce que tu ME veux ? »
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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyDim 8 Jan - 3:41

But Parkinson you ain't got nothing to lose. Tumblr_lxglziqtjr1r36zdmo1_500

There's nothing wrong with just a taste of what you've paid for.

Dès qu'elle découvrit son identité, Parkinson réagit. C'était peut-être la peur, l'inconnu, qui l'avait paralysée. C'était un moyen de défense des gens qui ressentaient beaucoup de choses. Ils devenaient vides, comme lui. Ces instants étaient courts. Quelques fractions de seconde ou l'ont comprenait comment Salvador se sentait, ou plutôt, ne se sentait pas. La jeune femme se trémoussa et parvient à se libéré de son étreinte dans l'obscurité. Elle arriva même à enlever la main qu'il avait plaquer sur sa bouche pour ne pas entendre ses cris de petite peste. Des hurlements auraient attiré l'attention et c'était la dernière chose qu'il souhaitait. « Tu m’excuseras mais actuellement… J’suis plus tellement de cet avis. » Et puis quoi encore ? Le serdaigle savait qu'elle lui mentait. Elle avait laissé bien des signes dans le passé prouvant qu'elle tenait toujours à lui, comme lui ne pouvait pas le faire. S'il était venu la revoir, c'était par pur intérêt. C'était parce qu'il pouvait en tirer avantage d'une quelconque façon. S'il était venu la voir, c'était parce qu'il avait besoin d'elle. Pas spécialement d'elle, n'importe qui aurait fait l'affaire. Pourtant, quand on est Salvador Davy, on ne choisi pas n'importe qui dans la foule. Elle était énervée selon son ton, mais il saurait très vite la calmer. D'un sortilège, elle illumina la pièce. Elle pouvait allumer la lumière pour voir son visage d'ange et rendre le tout plus facile, mais il lui interdirait formellement de déverrouiller la porte. Les deux jeunes gens se fixaient. Pourtant leurs regards étaient bien différent. Celui d'Avalon était suspicieux tandis que celui de Salvador semblait d'une infinie douceur ressentie face à la demoiselle à la peau de porcelaine. Sa baguette bien en main, Salvador savait qu'elle ne l'utiliserait pas. Et même si elle le faisait, ça n'aurait aucuns effets autre que la douleur physique. Il pourrait revenir vers elle tout aussi doucement et avec la même tendresse. « Qu’est ce que tu veux Salvador ? Qu’est ce que tu ME veux ? » Lui demanda-t-elle. Les lèvres du jeune homme se retroussèrent en un sourire en coin qui cachait ses dents. Lorsqu'il souriait, ce n'était pas parce qu'il était heureux ou amusé. Il souriait pour convaincre. Convaincre la jeune femme qu'il était réellement comblé de la retrouver dans cette salle de classe vide. Ce n'était pas le cas. Il y était indifférent. Salvador était déconnecté de tout, déconnecté du monde. Il ne tenait pas à elle et cela ne la rendait pas spéciale. Il ne tenait à absolument personne. Il était le centre du monde et encore la. Même s'il avait de l'importance pour lui, il était indifférent au bien ou au mal qu'on lui faisait. Il ne savait même qu'à peine différencier les deux. Un baiser était-il réellement plus agréable qu'une baffe ? C'était simplement ce que la société avait décidée pour eux. Salvador n'y voyait pas vraiment de différence. Coup de bassin ou coup de poing étaient au même niveau pour lui, une sensation physique, point final.

« Justement... Je TE veux... »

Lui confiait-il avec un sourire adorable scotché au visage. Le genre de sourire qui provoquait les gloussements de dinde des filles. Il reprit un air très sérieux alors qu'il fit un pas pour se rapprocher de nouveau d'elle. Son regard tomba sur le vers le sol. Il fixait la main libre de la demoiselle. Ses doigts se joignirent aux siens dans un doux entrelacement. Les mains de Parkinson étaient toujours froides. Le froid était mordant sur sa peau contrairement aux caresses trop chaudes des autres femmes. Il releva ses yeux vers son visage de princesse alors qu'il avait réellement l'air triste. Ses grands yeux semblaient presque mouillés par les larmes alors que son autre main se glissait avec prudence sur la taille de la serpentard. Sa voix, comme ses lèvres, tremblaient alors que ses mots se fracassaient de la même façon que le faisait son coeur inexistant.

« J'ai été idiot Avy... Vraiment con. Depuis qu'on a rompu, je le regrette. Chaque jours où j'ouvre mes yeux me semblent lourds sans toi. J'ai besoin de toi dans ma vie Avalon Lilith Parkinson. Je serais prêt à faire n'importe quoi pour que tu me donne une deuxième chance... »

Il réduisait alors un peu plus l'espace les séparant. Collant avec délicatesse leurs corps l'un à l'autre. Ses deux mains remontèrent ensuite jusqu'au visage de la belle qu'il vient saisir entre ses mains. Il l'obligeait ainsi à lever un peu plus le menton vers lui. Il était incroyablement grand et ce serait donc plus facile de lui voler un baiser si son menton était relevé. C'était d'ailleurs ce qu'il comptait faire éventuellement.

« Je t'aime... » Murmura-t-il doucement pour resserrer un peu plus l'emprise qu'il avait sur elle. Son numéro de charme allait probablement fonctionner. Peut-être pas dans l'immédiat, mais il allait finir par avoir ce qu'il voulait. Il n'échouait jamais. Il arrivait toujours d'une façon ou d'une autre à obtenir ce qu'il voulait. Si elle ne lui donnait pas, il allait la faire souffrir comme jamais elle n'avait pu souffrir dans sa vie.

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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyDim 8 Jan - 21:50


Le visage de Salvador n’était visible que grâce à la faible lumière qui émanait de la baguette de la jeune sorcière. Son regard était doux contrairement au sien. Elle se demandait ce qu’il faisait là, dans cette classe de DCFM qui s’était vidée beaucoup trop vide. Avalon avait peur de peu de choses, mais rester seule en compagnie de son ex copain n’était pas une chose très recommandée. C’est pourquoi elle décida de ne pas tourner autour du pot, préférant écourter cette entrevue au plus vite, elle lui demanda ce qu’il attendait. « Justement... Je TE veux... » avoua-t-il avec un sourire sincère sur le visage. Enfin, sincère, c’était à voir. Avalon connaissait Salvador… Lui, sa réputation. Tout était vrai. Un briseur de cœur, elle n’avait pas fait exception à la règle… Et il lui avait par la même occasion démontrée qu’elle n’était pas dénuée de sentiment. Cependant, ils avaient bel et bien une chose en commun. Ils agissaient tous deux par intérêt, et ils étaient prêt à beaucoup de chose –si ce n’est à tout- pour arriver à leurs fins. Alors non, elle ne doutait pas un seul instant qu’il la voulait, la question était juste : à quel fin ?
Alors qu’il fixait la main libre de la jeune, elle sentit ses doigts s’entremêler avec les siens. Elle avait presque oublié la douceur de ses mains. Mais elle resserra l’étreinte qu’elle avait sur sa baguette. « J'ai été idiot Avy... Vraiment con. Depuis qu'on a rompu, je le regrette. Chaque jours où j'ouvre mes yeux me semblent lourds sans toi. J'ai besoin de toi dans ma vie Avalon Lilith Parkinson. Je serais prêt à faire n'importe quoi pour que tu me donne une deuxième chance... » Il réduisit un peu plus l’espace qu’il y avait entre eux, collant par la même occasion leurs corps l’un à l’autre. Sans réellement s’en rendre compte, Avalon frémit à ce contact, ayant presque oublié ce que lui faisait la proximité de Salvador. Mais elle ne le croyait pas. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle lui manquait. Du moins, pas autrement que physiquement… Et même là, elle avait un doute. Salvador claquait des doigts et n’importe quelle fille était à ses pieds. Mais de là à lui manquer à ce point-là, elle n’y croyait pas. Même si… Au fond d’elle, c’est ce qu’elle espérait. Elle se demandait si Salvador connaissait vraiment le regret, ou un quelconque sentiment.

Les deux mains du jeune homme remontèrent jusqu’au visage de la jolie blonde qu’il prit entre ses mains, l’obligeant ainsi à relever la tête. Ils se fixèrent pendant quelques instants. « T’es un sacré menteur Salvador. Mais j’ai presque envie de te croire pour voir jusqu’où tu serais prêt à aller pour cette… deuxième chance » avoua-t-elle dans un sourire malicieux avant de rapidement le perdre. « Je t'aime... » Elle fut comme paralysée lorsqu’il prononça ces quelques mots. Il ne lui avait jamais dit, et il les sortait maintenant, juste comme ça ? Etait-elle censée lui sauter dans les bras ou ne serait-ce que le croire ? Oh oui elle avait voulu les entendre ces pauvres petits mots à l’époque où ils étaient ensemble, mais maintenant ? « Evite de me pousser à bout » siffla-t-elle « Tu n’aimes personne à part toi. Et même ça j’en suis pas sûre. Sais-tu même ce que ça signifie ? » Un simple je t’aime lui faisait peur. Encore plus prononcé par Salvador. Elle avait voulu les entendre, mais il ne les pensait pas. Et ça pouvait causer de sacrés damages. Avalon était une jeune femme résistante… Physiquement parlant. Avec une famille comme la sienne, on apprenait à résister, aux coups, aux maléfices… On apprenait à se fermer, à ne plus rien ressentir, à faire abstraction du monde extérieur pour ne se focaliser que sur notre but. Mais il y avait une chose à laquelle on ne l’avait pas préparé… Aux dégâts que pouvaient causer la gente masculine. Elle avait toujours pensé qu’il lui suffirait de faire comme avec le reste, redevenir une carapace, un être vide. Seulement c’était un peu plus complexe que ça. Elle tentait de faire bonne figure, de rester calme autant que possible, de ne rien montrer et de l’envoyer balader, mais tout avait toujours été plus dur avec lui.

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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyDim 8 Jan - 23:14

But Parkinson you ain't got nothing to lose. Tumblr_ltc6mlOfkD1r4ueono1_500

Do you believe all those lies that he told you?
Late at night, when he told you he loved you, he lied.

Salvador était un monstre et plusieurs étaient au courant. Comme un bruit qui courait dans l'école. On disait qu'il brisait le coeur des filles et que rien ne semblait l'affecter. Plusieurs avaient tenter le coup. Des filles avaient tenté de le faire tombé sous leurs charme dans l'unique but de lui briser le coeur, ça n'avait pas fonctionné. Des mecs avaient tentés de le mettre en rogne. De lui dire les pires bêtises sur les nés-moldus, rien ne fonctionnaient. On en avait donc conclut qu'il jouait les insensibles. La réalité était bien pire. « T’es un sacré menteur Salvador. Mais j’ai presque envie de te croire pour voir jusqu’où tu serais prêt à aller pour cette… deuxième chance » Lui avait-elle avouer juste avant qu'il ne lui dise qu'il l'aime. Des mots pour lesquels beaucoup se brisaient le crane et le coeur. C'était d'un pathétisme. Ce n'était que des mots et pour lui, ça n'avait aucuns sens. Il aurait pu lui dire qu'elle était la pire idiote de la terre et il n'aurait rien ressentit de différent en disant ses mots. Elle n'était pas idiote, pourtant, elle fut secouée par sa déclaration d'amour. Jamais au cours de leurs relation il n'avait dit qu'il l'aimait. Jamais il ne l'avait prouvé non plus. Pourtant, si ses trois mots étaient tout ce qu'il fallait pour l'ébranler, il n'en avait rien à foutre de le faire. « Evite de me pousser à bout » Avait sifflé la couleuvre menaçante avant de continuer son argumentation. « Tu n’aimes personne à part toi. Et même ça j’en suis pas sûre. Sais-tu même ce que ça signifie ? » Il savait ce que c'était dans la théorie, mais pas dans la pratique. Il avait lu de nombreuses histoires d'amour. Il avait également lu sur le corps humain. Comment les gens se sentaient et pourquoi. Il avait surement quelque chose de cassé dans les neurones pour être aussi vide. Pourtant, il faisait croire le contraire avec une facilité étonnante. Il savait ce qu'il voulait et il savait surtout comment l'obtenir. La preuve était la. Il était toujours contre elle et tenait son visage entre ses mains alors qu'il allait lui sortir de nouveaux mensonges.

« C'est ce qui cause comment je me sens quand je te vois au loin. Comme un pincement. Mon coeur se serre. La présentement, j'ai des papillons pleins l'estomac. J'ai peur aussi. Mo coeur bat plus vite, mon souffle est court. J'ai peur que tu ne veuille plus de moi. J'suis un idiot Avalon, si tu savais... »

Si seulement elle savait le bateau qu'il lui montait présentement. Il avait lu des trucs et ne faisait qu'utiliser les mêmes mots pour faire croire qu'il ressentait cela. Salvador ne comprendrait jamais le reste des sorciers. Il était si facile de mentir, pourquoi les gens continuaient-ils à se croire mutuellement ? Il était persuadé qu'aux fonds, tous les humains mentaient et n'agissaient que par pur intérêt, tout comme lui. C'était sa vision de l'homme, égoïste. La femme était moins égoïste, car elle était née pour servir l'homme. C'était réellement ce que pensait Salvador. Il voyait la femme comme inférieure à l'homme. C'était une façon de penser réellement arriérée qui était arrivée en même temps que la hiérarchie. Même si aujourd'hui, après des batailles, la femme avait fait sa place à soleil, Salvador ne la considérait toujours pas. C'était probablement la raison pour laquelle il les traitaient aussi médiocrement. Peut-être parce qu'il avait manqué d'amour maternel à sa naissance. Peut-être qu'au fond de cette histoire affreuse, il n'était qu'une pauvre victime.
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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyLun 9 Jan - 21:20


Avalon était du genre à toujours avoir ce qu’elle voulait. Elle voulait, elle prenait. Elle arrivait toujours à ses fins… Ou disons dans 95% du temps. Mais lorsque l’on trouvait un joueur à sa taille, tout s’avérait beaucoup plus compliqué. Au début, c’était loin de l’avoir effrayé. Elle savait qu’à jouer avec le feu, elle pouvait se brûler, mais elle était aussi persuadée que c’est comme ça qu’elle se forgeait, qu’elle apprenait. Seulement, elle était loin de se savoir à quel point elle y laisserait des plumes. « C'est ce qui cause comment je me sens quand je te vois au loin. Comme un pincement. Mon coeur se serre. La présentement, j'ai des papillons pleins l'estomac. J'ai peur aussi. Mo coeur bat plus vite, mon souffle est court. J'ai peur que tu ne veuille plus de moi. J'suis un idiot Avalon, si tu savais... » Elle ne savait plus ce qu’elle ressentait. Tout était toujours flou avec lui. Elle n’était plus sûre de rien. Elle ne savait plus si elle le croyait, mais qu’au fond elle savait qu’elle devait se méfier. Ou si au contraire, elle n’en croyait pas un mot mais souhaitait pourtant tout le contraire. Tout s’emmêlait, elle avait du mal à faire la différence. Pourquoi tout devenait si compliqué avec lui ? Ca ne devrait pas l’être. Ils se ressemblaient sur bien des points. Elle se servait des gens pour arriver à ses fins, elle était capable sans le moindre effort de redevenir qu’une coquille vide avec le premier idiot qui se présentait, alors pourquoi ne pouvait-elle simplement penser qu’il se foutait royalement de sa gueule ? Sans doute parce que ça faisait trop mal de se l’avouer. Profondément mal en plus de blesser son ego en s’avouant que sa petite personne ne l’intéressait pas vraiment, du moins elle ne l’intéressait pas comme elle l’aurait souhaité.

Pendant qu’il parlait, Avalon avait resserré son étreinte. Non pas sur sa baguette, mais sur la main de Salvador cette fois ci. Elle avait été à la limite de lui enfoncer ses ongles dans la peau. Une réaction incontrôlée suite aux mots qui sortaient de sa bouche. Ca faisait mal. Il maniait les mots sans problème, ils leur faisaient prendre la tournure souhaité pour arriver à ses fins en un temps record. Cependant, il y avait une chose qu’il ne devait pas oublié. C’est qu’il n’avait pas n’importe qui face à lui. Avalon avait beau avoir craqué pour sa gueule d’ange et elle avait beau faiblir devant lui, elle n’en restait pas moins… elle. Une petite conne qui lui donnerait tout de même du fil à retordre. Et même s’il se pouvait qu’elle cède bientôt, elle ne lâcherait rien facilement. Parce qu’elle ne le voulait pas, -parce qu’elle savait malgré tout que tout ceci n’était qu’illusion. Une belle et putain d’illusion qui la laisserait en morceaux parce qu’il se foutait de la bousiller. Il jouait avec elle comme il aurait pu jouer avec une poupée. En s’attachant à lui, elle lui avait donné le pouvoir. Peut-être pas de la détruire, il s’agissait quand même d’Avalon Parkinson, mais de bien l’amocher quand même. Et il avait l’air d’en tirer un certain plaisir.

Finalement, elle se hissa sur la pointe des pieds, son regard toujours fixé sur le sien, alors que son regard était brillant, comme s’il avait les larmes aux bords des yeux. Elle ne voulait même pas y faire attention. Et si c’était vrai ? Et s’il le pensait vraiment ? Rien qu’oser se poser ces questions la feraient passer pour une véritable idiote.
Elle lâcha sa main pour finalement la glisser derrière son cou, l’obligeant à se rapprocher, et elle l’embrassa. Pas tendrement. Brusquement, presque violemment. Elle n’était pas toujours fan de la tendresse. Elle aimait les choses passionnées. Au bout de quelques secondes, leurs lèvres se détachèrent, mais elle laissa son front collé au sien, son regard dans celui de son ex copain. « T’as raison… T’es vraiment un idiot. Autant que je l’ai été… » dit-elle à voix basse avant de se concentrer sur ce qu’elle allait faire. Soudainement, Salvador fut projeté en arrière. Sans doute ne s’y attendait-il pas. Les sortilèges imprononcés étaient un de ses atouts. Elle excellait. Il n’avait pas atterrit bien loin, mais assez pour remettre un bel écart entre eux. D’un revers de main, elle essuya son œil gauche, au coin duquel une larme avait commencé à perler. Il était bien l’un des rares à pouvoir se vanter de toucher –au sens émotionnel- la jeune femme. « Tu me fais souffrir comme une chienne, et tu te repointes juste comme ça. Et j’suis censée te croire avec tes belles paroles ? T’as toujours eu ce que tu voulais avec ton sourire enjôleur, tes jolis mots et ton regard qui fait fondre… Putain mais je suis pas aussi naïve Davy ! Des fois j’aimerais l’être… Mais sincèrement, j’arrive pas à te croire. Ou j’veux pas te croire… Franchement, je sais plus. Tu me rends barge. » Elle lui avouait qu’il l’avait fait souffrir. Au fond, elle savait que ça ne lui ferait ni chaud ni froid, c’était juste sorti comme ça.

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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyMar 10 Jan - 17:52

But Parkinson you ain't got nothing to lose. Tumblr_lwcuyoHQwh1r2ggdyo1_500

You keep saying that I'm crazy
There's just rumours going round.

Il jouait avec elle comme un chat jouait avec sa souris. Elle tentait de s'enfuir, mais elle savait qu'elle était prise au piège. Elle était déjà dans sa gueule et il ne lui restait plus qu'à la croquer puis l'avaler. Il préférait la garder entre ses dents et la faire paniquer. Les sentiments, quel connerie. Pourtant, c'était ce qui semblait tirailler la blonde. Parce qu'il ne lui avait jamais dit qu'il l'aimait et qu'il sortait ses mots en derniers recours. Il semblait l'avoir profondément bouleversé, mais il ne comprenait pas. Jamais il n'avait ressentit ce qu'il avait décrit. Ce n'était pas de sa faute, il n'était qu'une victime dans cette histoire. C'était son corps qui n'était pas prédisposé à ressentir quoi que ce soit. Salvador n'avait donc jamais été amoureux. Il n'avait jamais ressentit quoi que ce soit pour une fille. Ce qui s'en rapprochait le plus était Charlotte, sa demie-soeur. Il était vide pour elle aussi, pas de miracle intérieur. Pourtant, son corps semblait vibrer aux côtés du sien. Elle se disait donc que son corps était amoureux, pas lui. Peut-être qu'après une nuit, ça passerait. Son corps ressentait également cette attirance envers Avalon, mais c'était moins violent qu'avec la naïve gamine. Peut-être, justement, parce qu'il voyait moins Parkinson comme un ange intouchable. Comme il avait prévu et compris dans les yeux de la belle, l'attirance était mutuelle. Sa main serra un peu plus la sienne alors que son regard était intensément plongé dans le sien. La passion se voyait dans leurs yeux, mais qui allait céder le premier. Ce fut Avalon. Se hissant sur la pointe des pieds, lâchant sa main pour la poser dans son cou. Le visage de Salvador était allé vers le sien alors qu'elle l'embrassait avec une ardeur carnassière. Ses mains allaient se posées dans le dos de son ex petite amie. Sa baguette toujours en main, exactement comme elle. Elle freina leur élan de passion, laissant son front contre le sien, leurs lèvres toutes près. Un murmure s'éleva des siennes : « T’as raison… T’es vraiment un idiot. Autant que je l’ai été… » Il eut un léger sourire. Il n'aurait pas crut que les choses seraient si faciles. Il avait prévu devoir argumenter d'avantage et qu'un simple baiser ne résoudrait pas toute l'équation. Il cherchait la faille dans ses yeux alors qu'il fut projeté vers l'arrière par le sortilège de la jeune femme. Il se tient entre deux bureau pour rester sur ses jambes et éviter de tomber à la renverse. La sorcière colérique s'élança donc dans un discours larmoyant : « Tu me fais souffrir comme une chienne, et tu te repointes juste comme ça. Et j’suis censée te croire avec tes belles paroles ? T’as toujours eu ce que tu voulais avec ton sourire enjôleur, tes jolis mots et ton regard qui fait fondre… Putain mais je suis pas aussi naïve Davy ! Des fois j’aimerais l’être… Mais sincèrement, j’arrive pas à te croire. Ou j’veux pas te croire… Franchement, je sais plus. Tu me rends barge. » Salvador restait très sérieux pour qu'elle croit encore à sa mascarade. Il avança de nouveau vers elle. Tant pis si elle le repoussait encore avec un sortilège. Maintenant que ses lèvres se souvenaient du goûts des siennes, elles en voulaient encore.

« T'aurais voulu que je fasse quoi d'autres ? Que j'attende un an ou deux avant de revenir ? Alors que tu serais probablement fiancée à un imbécile comme ta sœur ? J'ai fait une connerie quand je t'ai laissé. J'étais bouleversé par tout ce qui se passait dans ma vie, j'aurais pas du... »

Il s'approcha un peu plus d'elle. Allant prendre ses deux mains dans les siennes alors que son regard perçant tentait de nouveau de trouer l'âme de la serpentard. Si c'était réellement le pouvoir que la belle cherchait, elle allait être servie avec Salvador. Du moins, le temps que ça durait. Le temps qu'il aurait besoin d'elle. Leurs liaison serait peut-être longue, parce que quand il la laisserait de nouveau, il n'aurait pas de troisième chance.
« J'suis prêt à tout pour te prouver à quel point mes sentiments pour toi son vrai. N'importe quoi, ce que tu voudras. Tu n'as qu'à le dire et je le ferais. »

Et c'était vrai. Salvador n'avait peur de rien. Si elle voulait une déclaration d'amour en public, soit, il le ferait. Si elle voulait une promesse de fiançailles, soit il s'y plierait. Salvador n'avait pas froid aux yeux et préférait les défis plutôt que la voie facile. Il aurait pu charmer n'importe quel gamine de sécurité magique pour qu'elle lui donne des cours. Pourtant il préférait Avalon, parce qu'elle avait du talent et qu'elle lui donnerait certainement la chance de lui briser le cœur une autre fois.

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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyDim 15 Jan - 12:58


Le sortilège que venait de lui lancer la jeune Parkinson ne semblait pas l'avoir énervé ou même l'avoir découragé puisqu'il revint vers elle. « T'aurais voulu que je fasse quoi d'autres ? Que j'attende un an ou deux avant de revenir ? Alors que tu serais probablement fiancée à un imbécile comme ta sœur ? J'ai fait une connerie quand je t'ai laissé. J'étais bouleversé par tout ce qui se passait dans ma vie, j'aurais pas du... » Salvador se rapprocha d’elle, glissant ses mains dans les siennes par la même occasion, cherchant à capter son regard. Mais Avalon l’évitait. Le regard de son ex copain l’avait toujours fait craquer. Pour tout et n’importe quoi. Il avait ce truc dans le regard qui la rendait dingue. Sans doute de la folie.
A vrai dire, elle ne savait pas quoi lui répondre, elle ne savait pas quoi lui dire. Quoiqu’elle dise il aurait toujours quelque chose à lui répondre. Elle était paumée. S’il pensait réellement ce qu’il disait, alors effectivement, qu’aurait-elle voulu qu’il fasse ? S’il avait attendu, elle lui en aurait voulu, elle le savait, elle se connaissait. Mais se ramener, là, comme ça. Non, elle ne s’y attendait pas. Tellement pas qu’elle n’arrivait pas à le croire. Après tout, Salvador n’était-il pas le briseur de cœur de Poudlard ? N’était-il pas ce connard dont se plaignaient toutes les filles mais qui ne pouvaient s’empêcher de le laisser revenir un peu plus à chaque fois ? Elle qui se disait si différente, et elle l’était, n’arrivait pas à s’imaginer faire la même connerie. Parce que oui, elle était prête à parier que le laisser revenir dans sa vie de cette manière-là serait bel et bien une grosse connerie.

« J'suis prêt à tout pour te prouver à quel point mes sentiments pour toi son vrai. N'importe quoi, ce que tu voudras. Tu n'as qu'à le dire et je le ferais. » Un sourire se dessinait sur le visage de la jeune femme. Mais il était impossible de savoir si c’est parce qu’elle était ravie qu’il lui dise qu’il était prêt à tout ou si c’est parce qu’elle avait une idée derrière la tête. Sans doute un peu des deux. Au fond, elle voulait vraiment d’une histoire qui fonctionne, mais avec Salvador ? En était-il même capable ? Il était aussi doué pour faire semblant que la jolie blonde. Peut-être même plus en fait. Et d’un autre côté… elle se disait qu’elle pourrait tirer avantage de cette relation, et qui sait, le faire perdre à son propre jeu. Mais ça, c’était franchement risqué. Il ne s’agissait pas de n’importe quel mec. Il s’agissait de Salvador. « A n’importe quoi ? A me le prouver chaque jour ? A être fidèle ? Et à supporter mes caprices et mes humeurs les uns après les autres ? » Et pour ça, il fallait énormément de patience et de courage. Avalon pouvait être surprenant, dans le bon comme dans le mauvais sens. Elle pouvait être adorable et à l’écoute. Mais elle pouvait être la pire des garces et affreusement cruelle quand l’envie lui en prenait. Et même si elle laissait Salvador revenir, ça ne serait pas simple. De un parce qu’il allait devoir apprendre à regagner sa confiance, et ça ne se ferait pas en un mois, et de deux parce qu’elle allait réellement le provoquer jusqu’à voir s’il pouvait réellement la supporter… par amour comme il semblait le dire. Elle s’était attachée bien trop vite la dernière fois, et même si c’était quelque chose qu’elle ne contrôlait pas vraiment, elle s’était promis d’être nettement plus méfiante dans l’avenir.
Cependant, elle se demandait vraiment ce que Salvador avait derrière la tête. Pourquoi maintenant ? Elle n’arrivait à s’enlever de la tête qu’il était de manière intéressée et pas seulement parce qu’il avait des sentiments pour elle comme il semblait le dire. Mais là, elle ne voyait pas ce qu’elle pouvait lui apporter. Etre associé au nom des Parkinson ? Peut-être mais à l’heure actuelle ça ne lui apporterait pas grand-chose. Etre vu avec Avalon ? Hum elle n’y croyait pas vraiment. Et puis, il n’était pas bête, il savait que si elle lui redonnait une chance, il ne fallait pas qu’il se plante. Ca serait la dernière, alors mieux valait qu’il soit sûr de son coup.
Avalon lacha l’une des mains de son ex copain pour la glisser jusqu’à sa nuque, ainsi elle l’approcha un peu plus d’elle. Leurs visages, et leurs lèvres, n’était qu’à quelques centimètres à peine. « A la moindre erreur… Je te ferais regretter d’être né Davy. » Si on ne connaissait pas Avalon, on aurait pu croire qu’il ne s’agissait que d’une blondinette grande gueule, lançant des menaces en l’air pour se donner un peu de contenance. A tort. Elle le pensait bel et bien. S’il commettait une erreur, oui peut-être qu’elle aurait du mal à s’en remettre, qu’elle serait brisée, ou déprimée. Mais elle s’en remettrait. Avec le temps. Le temps était toujours la clé. Mais il y avait une chose dont elle était sure, c’est qu’elle le lui ferait regretter d’une manière ou d’une autre.


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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyMar 17 Jan - 4:53

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A lonely speaker in a conversation
Her words are swimming through his ears again


Salvador n'était pas quelqu'un qu'on pouvait considérer comme étant normal. Il n'accordait pas d'importance aux mêmes choses que le reste de la planète. Amour, argent, pouvoir, il s'en fichait un peu. Il voulait réussir, c'était certain. Il se fichait bien de ne pas être affreusement riche plus tard ou amoureux. Il ne voulait pas non plus être ministre de la magie, il serait probablement bien mieux. Il se foutait du bien-être des autres. Il était le nombril du monde un point c'est tout. Il manipulait les autres, oui, mais de façon tellement subtile et tordue que l'on ne s'en rendait pas compte. Il arrivait à jouer dans la cervelle des gens s'en qu'ils ne s'en rendent compte. Tout ça était du à sa grande intelligence et sa soif de connaissance. Il y avait très peu de sujets actuels, moldus ou sorciers lui étant inconnus. Lorsqu'il apprenait quelque chose de nouveau, c'était plus fort que lui, il devait tout savoir sur cette chose. Si certains passaient leurs temps à draguer les filles, pas lui. Les filles venaient à Salvador sans qu'il n'ait grand effort à faire. Pourtant, cette fois, les choses allaient être légèrement différentes. Il connaissait Avalon pour avoir déjà joué avec elle dans tous les sens du terme. C'était une femme de caractère qui pouvait être capable du meilleur, mais également le pire. Quoi que pour le pire, elle était meilleure. Pourtant, elle ne le battrait jamais. Si Avalon était capable de grandes colères, ce n'était rien à côté de la violence dont était capable Salvador. La cruauté aveugle était sa marque de commerce. S'il était venu simplement pour s'amuser, il aurait pu la faire pleurer à l'instant en lui disant qu'elle était idiote de le croire. Qu'elle était une battarde sans avenir et qu'elle était faible. Pourtant, Salvador avait d'autres plans pour l'instant. Si elle comptait faire de sa vie un enfer, alors ce serait le jeux de qui pourrirait d'avantage la vie de l'autre. Il la regardait pourtant tendrement. Personne ne pouvait se douter de se qui se tramait réellement dans sa tête. Ses mains serrant celles de la demoiselle. Il avait l'air amoureux, désespéré, faible et repentit. Il avait l'air d'un homme soumis qui ne ferait pas de mal à une mouche. Pourtant, il aurait pu l'étrangler à la seconde sans le regretter. « A n’importe quoi ? A me le prouver chaque jour ? A être fidèle ? Et à supporter mes caprices et mes humeurs les uns après les autres ? » Il avait hocher la tête en signe positif. Si quelqu'un au monde était capable de supporter Avalon, c'était Salvador. Il n'avait pas l'orgueil incroyable de homme. Il n'hésiterait pas à lui faire une déclaration publique, à subir ses gifles, à entendre ses crises, à être son toutou, sembler soumis à elle. Peut-être même que de le voir aussi amoureux redorait son image. Les filles ne le verraient plus comme le méchant, mais comme un pauvre fou amoureux d'une dominatrice sans cœur. L'inversement publique des rôles seraient parfait. Salvador ne détestait pas avoir l'air du gentil, de l'être inoffensif et faible. Les gens se fiaient souvent aux apparences et le jeune homme s'en jouait. Charlotte le croyait lorsqu'il lui faisait les yeux doux et avaient l'air piteux, mais il l'attaquait au moment le moins probable. Ainsi était-il, une bête cruelle. Un chat qui torturait ses souris et les dévoraient au moment opportun. La jeune femme lâche sa main pour agripper sa nuque. Ses yeux de charmeur se plongeaient dans les siens pour l'hypnotiser. Ses lèvres attendant sagement près des siennes. Il n'osait pas l'embrasser, il ne voulait pas la brusquer. Il devait se faire doux comme elle ne l'avait jamais connu. Une toute autre facette de lui. Il était pendu au bout de ses lèvres de la demoiselle alors qu'il sentait que sa deuxième chance allait bientôt définitivement lui être donnée. « A la moindre erreur… Je te ferais regretter d’être né Davy. » Il lui fit un sourire tendre. Ses menaces ne lui faisaient pas peur. Il n'avait pas véritablement prévu tout. Il ne savait pas exactement s'il allait la laissée un jour ou pas. Il verrait bien. Le temps et les évènements décideraient de leurs sorts. Pour l'instant, elle était réellement ce qu'il voulait. Bon, peut-être qu'elle n'était pas la seule femme qu'il désirait, mais elle était celle qui lui serait le plus utile pour récupérer ce qu'il avait perdu.

« Oui je le veux. »

Murmura-t-il avec un sourire tout à fait adorable. Passant sa langue sur ses lèvres en regardant sa bouche délicieuse. Les mains du jeune homme se glissaient sur elle d'une façon différente. Il n'était plus bestial comme il avait su l'être. Il ne la soulèverait pas pour la jeter sur le bureau du prof et l'embrasser comme un sauvage. La passion c'était bien, c'était ce que son corps voulait naturellement, mais il étai prêt à tenter autre chose. Ses doigts se posaient sagement dans le bas du dos de celle qui était redevenue sa petite amie. Il rapprocha leurs corps pour qu'elle soit collée contre lui avec une lenteur déconcertante. C'est dans la même ambiance qu'il décida de l'embrasser. Leurs visage s'approchaient comme si le temps n'avait plus d'importance. Comme si les secondes ne coulaient plus et ne les tuaient pas un peu plus à chaque instant. Ses lèvres cueillirent doucement les siennes d'un baiser chaste et lent. Elles reculèrent de quelques millimètres par la suite pour profiter du moment si doux. Il la regarda un moment puis ferma ses yeux de nouveau et se laissa allé en les enveloppant dans un ruban de douceur romantique que le couple n'avait jamais connu. Ses lèvres bougeaient doucement contre les siennes. C'était de douces retrouvailles pour les deux jeunes sorciers.
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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyJeu 19 Jan - 18:52


Avalon ne cherchait pas vraiment à faire peur à Salvador. En règle générale, lorsqu’elle voulait effrayer quelqu’un, elle agissait plus qu’elle ne parlait. Là, elle le mentait simplement en garde, elle le prévenait. Mieux valait pour lui qu’il ne parle pas à la légère et qu’il pense réellement ce qu’il disait, parce qu’il n’aurait pas d’autre chance. Avalon était rancunière et franchement cruelle lorsque l’on dépassait les bornes. Ces bornes en question n’étaient pas fixes, elle dépendait des personnes, et de la confiance accordée Mais visiblement, il semblait sûr de lui. Il avait hoché la tête en signe de confirmation lorsqu’elle lui demanda s’il était prêt à être fidèle, parce que jamais elle ne lui pardonnerait le contraire, il confirma pouvoir la supporter, elle et ses caprices. Et il était bien placé pour savoir qu’ils étaient nombreux. « Oui je le veux. » murmura-t-il avec un sourire auquel elle ne pouvait résister. A vrai dire, elle ne pouvait pas résister bien longtemps avec Salvadore. Ses mimiques, son sourire, son regard. Au fond d’elle, elle le savait vide, autant qu’elle pouvait l’être parfois, qu'à l'intérieur d’elle, de lui d’eux il y avait quelque chose qui faisait défaut, un fil inversé, une pièce défectueuse, une erreur de fabrication, non pas quelque chose en plus, mais quelque chose qui manque. Et pourtant, elle voyait au fond de son regard une flamme, une petite flamme qui dansait et qui ne cessait de la rendre dingue. C’était ça qui la faisait craquer. Ce petit truc au fond de lui, que personne d’autre n’avait.

Ses mains se posèrent délicatement sur les hanches de la jeune Parkinson. Si délicatement qu’elle ne reconnaissait pas les gestes de Davy. Il n’avait jamais été délicat ou tendre. Encore moins romantique. Il n’était pas brutal pour autant. Il était seulement… Passionnel et bestial. Et elle ne lui avait jamais demandé de changer, ça lui allait parfaitement puisqu’elle n’était pas si différente. Bien que pourvue d’un cœur, Avalon était différente des autres filles. Elle ne supportait les histoires à l’eau de rose, les couples trop parfaits et les tableaux dégoulinant d’amour. Elle ne supportait pas les niaiseries et ne rêvait en rien au Prince Charmant. Elle préférait de loin un mec qui lui tenait tête et qui lui faisait en voir de toutes les couleurs avant de l’embrasser sauvagement. Elle préférait ça à une histoire parfaite accompagnée de dîner aux chandelles en tout genre.
Il rapprocha le corps de la jolie blonde jusque lui avec une lenteur qui l’étonna autant que sa délicatesse. Il l’embrassa délicatement, avant de la regarder quelques secondes. Le regard d’Avalon exprimait une surprise totale, et de l’incompréhension. Elle ne l’avait jamais, ô grand jamais, connu ainsi. Et c’était pour le moins déconcertant. Finalement, il ferma les yeux et l’embrassa de nouveau. Peut-être que la douceur n’avait rien de désagréable en fin de compte. Peut-être qu’elle pourrait s’y habituer. Enfin… A voir, il s’agissait tout de même d’Avalon Parkinson.
Elle glissa ses bras derrière la nuque du Grindelmonk, l’enlaçant, tandis que son rythme cardiaque c’était quelque peu accéléré. Elle en avait rêvé pendant des mois. Puis elle avait fini par se résigne, se disant que finalement, ce n’était sans doute pas plus mal. Et le voilà qui était revenu. Elle ne savait plus quoi en penser. Tant pis, pour une fois elle se poserait les questions plus tard. Et elle le savait, maintenant elle serait plus méfiante. Oui ils venaient de se remettre ensemble, mais non sa confiance n’était pas acquise. Cependant, son corps réagissait nettement plus vite que toute le reste, son corps se rappelait du manque, il se rappelait de celui de Salvador, et il l’appelait de nouveau.
Elle finit par décoller ses lèvres des siennes mais son regard toujours ancré dans le sien. Il était impossible de savoir ce à quoi il pensait et pourtant, c’est sans doute l’une des choses qu’elle désirait le plus, savoir ce qu’il avait en tête. « Peut-être qu’un jour je finirais par te comprendre. » dit-elle plus pour elle-même qu’à lui, comme s’il était une énigme à résoudre.



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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyVen 20 Jan - 6:36

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But I came to love you anyway
So you tore my heart out
And I don't mind bleeding.


Salvador avait bien placé ses pions et il était sur le point de bouffer la reine. Le roi n'allait faire qu'une bouchée de la reine noire. Le roi, lui, était tout sauf blanc. Si seulement elle savait le plan tordu que Salvador avait en tête, elle lui casserait probablement le cou sur le champ. Du moins, elle tenterait de le faire. Toute cette mascarade rien que pour qu'elle lui donne des cours de rattrapage en défense contre les forces du mal. Il comptait rester avec elle, lui être fidèle et supporter ses caprices. Il comptait agir de la même façon qu'un type follement amoureux. Pourtant, lorsqu'elle s'y en attendrait le moins, il la plaquerait férocement. Il ne la plaquerait pas dans un mur ou dans un lit. Il la plaquerait pour de bon, après avoir tiré d'elle tout ce qu'il pouvait. Leurs lèvres se firent l'amour pendant un bon moment. Heureusement qu'ils étaient la dernière classe de la journée et qu'ils ne faisaient pas trop de bruits. Ce fut la jolie blonde qui sépara leurs lèvres en le fixant. Elle avait l'air surprise et confuse. Salvador savait qu'il avait un effet assez puissant sur elle, mais pas à ce point. Il pouvait la faire changer d'humeur en une caresse, un sourire ou un baiser. « Peut-être qu’un jour je finirais par te comprendre. » Il eut un sourire complice alors qu'elle disait ses mots. Elle ne pouvait pas le comprendre et personne ne le pouvait. Lui-même n'arrivait pas à se comprendre. Ce n'était pas à défauts de ne pas avoir essayé. Il avait lu ouvrages de psychologie sur ouvrages de psychologie pour savoir de quoi pouvait-il être gravement atteint pour souffrir ainsi d'une insensibilité émotionnelle. Il n'avait rien trouvé et n'en avait même pas été étonné. Rien ne l'étonnait.

« Si t'y arrive, tu m'apprendras ? »

Lui demanda-t-il alors qu'une de ses mains se faisait moins sage et se glissait contre la peau du dos de la demoiselle. Il la regardait et il devait avouer qu'elle était joli. Il préférait les filles aux cheveux blonds et aux allures angéliques. Avalon était dans les normes de beauté que la société avait émise. Son visage était symétrique, ses yeux étaient perçants, ses lèvres savaient l'embrasser pour lui donner des frissons, son corps était bien proportionné et toujours chaud, même brûlant. Sa main dans son cou tiède ne pouvait que provoqué des chocs électriques dans sa colonne vertébrale. Son cœur à lui ne s'était pas accéléré alors qu'elle l'avait embrassé. Il avait continuer à battre normalement même si son souffle était plus profond pour récupéré l'air qu'il avait manqué dans leur échange amoureux. Leurs corps collés ne l'aidait pas à rester sage comme il le voulait pour ne pas la perdre aussi rapidement qu'il l'avait retrouvée. Il tenait absolument à la garder comme sa petite-amie. Pas question qu'elle le plaque. Il s'en remettrait et n'aurait pas mal, mais ce serait son premier échec. Lorsque Salvador en avait marre d'une relation, c'était lui qui plaquait la gonzesse. Le contraire n'était jamais arrivé. Salvy savait ce qu'il voulait et étrangement, le reste du monde s'y pliait. Il fallait dire que sa confiance en lui était exceptionnelle et souvent déroutante. Salvador n'était pas le genre de mec avec qui la routine s'installait. Il était beaucoup trop changeant pour permettre cela. L'ourson tout doux sembla se transformer en bête alors que les mains du né-moldu se posaient sur les cuisses de la demoiselle. Il la souleva pour la poser sur le bureau le plus près. Ses jambes autours de lui, c'était le retour du Salvador passionné qu'elle avait connue. Pourtant, il la surpris encore. Salvador semblait s'être emporté dans un élan de passion alors qu'il agrippait les lèvres de sa douce. Pourtant, ce fut avec une tendresse amoureuse qu'il embrassa de nouveau Avalon. Un baiser plutôt court, mais qui ne manquait pas d'affection. Il était un monstre de se jouer d'elle de la sorte. Pourtant, il ne pouvait en faire autrement. Qu'il prétende l'aimer pour la rendre heureuse ou se servir d'elle, cela revenait au même résultat fatidique. Parkinson sortirait de leur relation le cœur en miettes une nouvelle fois.

« Ce soir, je te prend en otage. Toi, moi, du whisky pur feu et la salle sur demande. »

Il lui adressait un magnifique sourire. Ce n'était pas pour la convaincre, il savait qu'elle était déjà convaincue. Comment pourrait-elle refuser de célébrer la continuité de leurs union dans les règles. Les devoirs et tout le reste attendraient. Salvador voulait fêter leur descente en enfer. Cette relation allait être tumultueuse même s'il n'en avait encore aucunes idées.
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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptySam 21 Jan - 0:40


Lorsqu’ils étaient ensemble, Salvador n’avait jamais été romantique, ou tendre, sans pour autant être violent. Il n’avait jamais montré un quelconque comportement amoureux. Et le voilà qu’il se mettait à l’embrasser d’une douceur qu’elle ne lui soupçonnait même pas. Comme s’il était un autre. Il l’embrassait tendrement, presque amoureusement. Lui aurait-il dit la vérité il y a quelques minutes, était-il possible qu’il l’aime réellement ? Elle en doutait, mais elle n’arrivait à expliquer cette… anomalie. Finalement, elle avoua qu’elle espérait un jour réussir à le comprendre, ce qui, il fallait l’avouer, ne serait pas demain la veille. « Si t'y arrive, tu m'apprendras ? » Un sourire amusé se dessina sur les lèvres de la jeune femme. Visiblement, il était conscient qu’il était loin d’être simple à cerner, voire totalement impossible. Avait-il sans doute essayé lui-même de savoir et comprendre ce qui clochait chez lui… Savoir pourquoi il avait tant besoin de briser les cœurs, ou comprendre pourquoi il semblait ressentir si peu de choses. Avalon elle-même avait tenté une introspection pour essayer de comprendre son propre comportement. Pourquoi était-elle si lunatique, tantôt cruelle et la fois d’après, presque aussi angélique que le laissait présager son apparence. « Hum je verrais ce que je peux faire… » répondit-elle amusée alors que l’une des mains de Salvador se glissait sous le haut de la jeune sorcière. Instantanément, elle sourit, ayant l’impression de retrouver le Salvador qu’elle connaissait un peu plus. Celui qui n’agissait pas comme un étudiant sage, mais plutôt celui qui faufilait ses mains sous ses vêtements, celui qui la plaquait contre les murs au détour d’un couloir à l’abri des regards, celui qui passait pour le connard de service –à juste titre- mais qui se foutait tout autant de ce que les autres pensaient. Elle retrouvait le Salvador passionné et sauvage qui suivait ses pulsions et envies. Et c’est sans doute ce qui lui avait le plus plu chez lui, en dehors de son physique irréprochable et de sa manie à vouloir manipuler les gens. Parce que, croyez-le ou non, ceux sont aussi ses défauts qui ont attiré la brunette vers le beau né-moldu.
Une fois de plus, Salvador captura les lèvres de la jolie blonde et l’embrassa tout aussi tendrement qu’il y a quelques minutes, avant de glisser ses mains sur ses cuisses pour la porter. Naturellement, elle enroula ses jambes autour de sa taille pendant qu’il la portait jusqu’au bureau le plus proche. « Ce soir, je te prend en otage. Toi, moi, du whisky pur feu et la salle sur demande. » Elle se mordit la lèvre inférieure avant d’attraper le t-shirt de Salvador pour l’attirer plus elle. Elle l’embrassa, mais cette fois ci, finit la tendresse, c’était un baiser passionné, limite bestial. Puis finalement, elle le repoussa et descendit du bureau pour se diriger vers la sortie. Elle attrapa ses bouquins posés sur l’une des tables et se retourna vers celui qui était de nouveau son copain. « A ce soir alors, j’imagine… » dit-elle sans plus s’étendre avant de quitter leur salle de cours.




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MessageSujet: Re: But Parkinson you ain't got nothing to lose.   But Parkinson you ain't got nothing to lose. EmptyDim 22 Jan - 16:16

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So yeah, we're going down.


« Hum je verrais ce que je peux faire… » Avait-elle répondu alors qu'il lui disait que si un jour elle le comprenait, elle devrait lui apprendre. Et voilà, en un éclair, le couple Avalon/Salvador avait refait surface. Un couple qui, malgré les apparences, avait beaucoup d'histoire. Il ne s'étaient pas rencontrés banalement à Poudlard puis s'étaient dragués et étaient finalement ensemble dans une relation tumultueuse. C'était bien pire, il s'étaient connu il y avait peut-être trois, voir quatre ans. Une histoire de drague, c'était certain, mais plus encore. Après une nuit tumultueuse et mouvementée où leurs idées étaient plus que floues, il s'étaient réveillés enlacés dans un lit sans trop comprendre. Leurs quinze ans au bout du nez et les mains de Salvador sur le ventre de la jeune femme. Salvador savait comment manipuler cette femme et ça lui plaisait parce que c'était un jeux dangereux. À tout moment, elle pouvait exploser sans crier gare. Il aimait ce genre de femmes. Il aimait aussi les gamines naïves dans le genre de Chuck. En fait, il n'y avait pas beaucoup de femmes que Salvador n'aimait pas. Il aimait toutes les femmes. Les femmes étaient le kryptonite de son pauvre corps d'homme mortel. Elle c'était mordillé la lèvre alors qu'il lui proposait de la séquestrée dans la salle sur demande. Agrippant son t-shirt, elle l'attira contre elle pour les entrainer des un échange assez carnassier. Salvador se laissait emporté par l'instant de passion jusqu'à ce qu'elle le repousse en le laissant sur son appétit pour descendre du bureau et se diriger vers la sortie. Elle était veinarde qu'ils n'étaient pas revenus ensemble une semaine plus tôt. Salvador aurait été du genre à la retenir contre son gré. Foncer sur elle alors qu'elle tentait de s'enfuir de la salle de classe et la plaquer contre le mur. Elle n'aurait plus aucunes marges de manœuvres. Tant pis si elle voulait partir, elle devrait subir ce que lui désirait. « A ce soir alors, j’imagine… » Puis elle se déroba, laissant Salvador souriant dans le noir. Cette fille allait le rendre dingue alors qu'il était convaincu du contraire. Il patienta, dans le noir, puis se glissa discrètement hors de la salle de défense contre les forces du mal. Une allure princière collée à la peau alors qu'il songeait déjà à ce qui se passerait ce soir.


Sujet terminé.

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