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I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)

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Ulysse Meriadec Lestrange
Ulysse Meriadec Lestrange


Futés, rusés, tous les qualificatifs sont bons. Nous sommes les héritiers de Salazar.

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MessageSujet: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyJeu 29 Déc - 4:03


    I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) Tumblr_lwxg387mT51qbu577o4_r1_250



    I don’t wanna lie,
    I’m gonna take what you’re giving


    Samwell avait l'air d'un vrai gamin alors qu'il tentait d'expliquer à toutes les personnes présentes dans la pièce que c'était sa seule chance. Samwell gesticulait, parlait fort, bref, tentait de se faire comprendre et surtout respecté par cette bande surexcité.

    « Je vais être au grenier avec elle. Si je vois quelqu'un tenter de venir nous déranger ou nous écouter, je lui coupe sa sale petite langue. Faites comme si tout était normal et surtout... Fichez-nous la paix ! »

    Tous s'étaient tut pour ce petite discours. Les regards de ses cousines et de sa soeur sur lui alors qu'elle s'élançaient sur lui en scandant des « Sam est amoureux ! Sam est amoureux ! Sam est amoureux ! » La bataille ne fut pas très longue. Le fier Gryffondor arriva à les faire fuir toutes les trois à forces de chatouillis. Elles plaisantaient, mais elles avaient compris le message. Dans la tanière, si l'une des valeurs était sacré, c'était le respect des autres. Ainsi, Samwell savait que tous le monde étaient silencieux, dans la pièce d'à côté alors qu'il attendait la belle. Elle aurait même pu croire qu'ils étaient seuls. Pas du tout, ils écoutaient pour capter chaque mots qu'ils pourraient échanger. Le jeune homme s'était réellement mis chic pour se repas en tête à tête que la femme qui faisait battre son coeur avait accepté. Le jeune loup préparait cette soirée depuis maintenant trois jours. Absolument tout devait être parfait. Il portait un pantalon noir et un chemise blanche, qu'il avait pris le soin de mettre dans son pantalon. Une cravate noire parfaitement nouée et des chaussures cirées. Par contre, ses cheveux étaient en bataille. Sa mère lui avait replacé, mais sous les rires de ses cousines, Sam avait défait son boulot. C'était sa marque de commerce, on ne pouvait changer une formule gagnante.

    Il entendit enfin cogner à la porte. Son coeur rata un bond. Il resserra sa cravate et pris tout son courage dans une inspiration. Il lui ouvrit la porte avec le plus magnifique des sourires. Il la fit entrer sans attendre. Déposant deux baiser sur ses joues tout en lui disant qu'elle était magnifique, comme ça son habitude. Il prit son manteau alors que la parterre magique s'avançait pour la prendre. Il lui dit alors qu'il avait une surprise pour elle et qu'elle devait fermer les yeux et qu'ils allaient transplaner. Ils n'allèrent pas bien loin. Au cinquième étage de la tanière. Ils y arrivèrent en un seul morceau. Il lâcha la taille de la jeune femme et se posta devant elle. Tenant l'une de ses main tandis que l'autre alla doucement lever le menton de la belle enfant.

    « Tu peux ouvrir les yeux » Lui dit-il. Des bougies sur une table bien dressée. De la musique douce qui commençait doucement et qui sortait de nul part. Le reste de la pièce était plongée dans la pénombre. Au dessus d'eux, une immense baie vitrée en guise de plafond. Les étoiles brillant de milles feux dans la nuit avec la lune toute mince et absolument pas menaçante pour Samwell. De plus, il avait pris sa potion tue-loup exactement tous les jours. Il portait sa petite fiole sur lui pour éviter les incidents qui seraient un désastre dans la tanière. Les yeux d'Ysölde étaient magnifique alors qu'ils étaient traversés par tant de lumière nocturne. Elle ne disait pas un mot, mais Sam lui souriait.

    « Qu'est-ce que t'en pense ? » Il aurait eut envie de l'embrasser, juste ici, sous la lumière nocturne alors qu'elle ne disait pas un mot. Il avait le souvenir agréable de ses lèvres. Même si ce moment avait été publique et que c'était une mise en scène, s'avait été magique pour lui. Comme si le contact de ses lèvres avait été un portoloin. Il s'était envolé en centre de la galaxie avec elle. Dans le noir il n'y avaient qu'eux et elle était la plus ravissante des étoiles. Il n'était que l'astéroïde qui gravitait autour d'elle. Sa mouvements suivaient les siens, il ne décidait pas de leurs trajectoire. Il était prêt à parier qu'à eux seuls, ils pouvaient illuminer le ciel entier.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyJeu 29 Déc - 18:02

Les rendez-vous galant ce n’était pas le fort de la jeune femme, pour qu’elle accepte ne serait-ce qu’un simple rendez-vous sans même que celui soit galant il fallait prier ou bien user de ruse pour obtenir un oui de sa part. dans le centre commerciale où elle avait rencontrer Samwell Potter l’autre jour, elle avait dû décliner une première invitation à cause d’une bonne raison, mais elle n’avait pas pu refuser la seconde, et puis, elle n’avait pas envie de refuser son invitation, « en toute amitié ». en toute amitié, oui. Ysolde appréciait beaucoup Samwell, mais avant qu’elle se décide à laisser rentrer un homme dans son monde, il allait lui falloir du temps, après son histoire avec Graeme la jeune femme en était sortie plus fragile que jamais. Avec le temps, elle finissait par moins penser à celui-ci, les vacances y étaient sans doute pour quelques choses, le temps permet de panser les blessures, l’éloignement était la meilleure des choses. La jeune femme se changeait les idées durant ces vacances, c’était la meilleure des choses à faire, penser à autre chose, s’occuper l’esprit, se donner une chance de passer à autre chose. Ysolde était sur cette voix là « passer à autre chose », mais c’est parfois plus difficile qu’on pourrait le penser. Elle avait d’abord accepté l’invitation de Sam Potter pour se changer les idées, mais aussi parce qu’elle l’appréciait, peut être même un peu trop au goût de la jeune femme.

La jeune femme avait rendez-vous chez Mr Potter – voilà un élément qui avait tendance à la mettre un peu mal à l’aise. Il en fallait peu à cette belle blonde pour être mal à l’aise, un regard, une mise en situation, bref n’importe quoi. Aller directement chez lui ne mettait pas la jeune femme en confiance, surtout après ce qui s’était passer dans le centre commercial, même si le baiser avait été un baiser de cinéma, elle se disait qu’on n’embrassait quelqu’un pour faire genre de cette manière. La jeune femme avait donc été conviée au manoir des Potter qui n’habitaient pas à Godric Hollow mais à Gorsemoor, loin de la demeure des Wilkes : tant mieux. Elle frappa alors, attendant qu’on lui ouvre. Mr Samwell Potter ne tarda pas à venir ouvrir la porte à la jeune femme. Quand il ouvrit la porte, la jeune femme pu constater qu’il était très élégant. Elle avait misé sur la simplicité, une robe beige chair, des cheveux bouclés lâché sur ses épaules, un collier, et une veste. Bien sur, Ysolde était toujours habillé simplement, elle préférait cent fois cela, plutôt que les gens à l’apparence facilement reconnaissable. Le jeune adressa à la blonde un sourire magnifique, et la fit rentrer, la jeune femme le salua tandis que le jeune homme déposa deux baiser sur ses joues, et s’occupa par la suite du manteau de la jeune femme, tel un vrai gentleman. Ensuite, il lui dit qu’il avait une surprise pour elle, et qu’elle allait devoir fermer les yeux et transplaner, sincèrement ce n’était pas pour rassurer la jeune femme cette histoire. Elle acquiesça avec un sourire un peu… crispé, la jeune femme n’avait pas le courage d’une griffonne, elle était plutôt lâche et avait peur de l’inconnu. Ils transplanèrent alors, il lâcha la taille de la jeune femme – qui dés l’instant où il l’avait saisi avait vu sa respiration devenir plus dur. Il ne lâcha cependant pas une des mains de la jeune femme, et manqua de sursauter quand l’autre main du jeune homme vient alors lever le menton de la jeune femme, quand celui-ci dit alors : Tu peux ouvrir les yeux. La jeune femme ouvrit alors doucement les yeux. Elle n’avait pas l’habitude qu’on lui fasse des surprises ou des cachoteries dans le genre, pourtant n’importe quelle fille aime ce genre de mise en scène. La pièce était magnifique, vraiment. Une piège semi-plongée dans la pénombre, une belle table des bougies, elle leva une seconde les yeux pour observer cette magnifique baie vitré ouverte sur le ciel. Par Merlin, c’était beau. Le jeune homme s’enquit alors de lui demander : Qu'est-ce que t'en pense ? Ce qu’elle en pensait ? Elle posa alors son regard sur le jeune homme. Ysolde avait le sourire avec lui, il avait le don de la pousser à sourire de nouveau, tout comme Graeme l’avait eut quand elle avait tout perdu (Sa famille, Ulysse, etc.). la jeune femme était de bonne humeur ce soir, elle dit alors : C'est vraiment magnifique ! La jeune femme leva les yeux vers la baie vitré, un sourire rayonnant et ajouta alors : et ça, c'est juste parfait. Elle reposa alors ses yeux sur le jeune homme qui avait fait un sacré effort ce soir, la table, tout, il était élégant, même séduisant. La jeune femme se disait qu’elle aurait peut être dû faire un autre effort vestimentaire, elle était élégante mais sans plus, enfin d’après elle. La jeune femme dit alors : Fallait pas te donner tant de mal Sam, mais c'est adorable. La voix de la jeune femme était calme, agréable, cela contrastait beaucoup avec l’Ysolde de Poudlard, celle qui était toujours un peu sur la défensive, parce qu’au détour d’un couloir elle s’était faite traitée de bâtarde, là, il n’y avait rien pour l’embêter.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyVen 30 Déc - 21:40


    « C'est vraiment magnifique ! » C'était exprimée la demoiselle en fixant le plafond étoilé et assez impressionnant. C'était l'endroit de prédilection pour le père de Samwell, le grenier. Il était un mordu d'astronomie et avait même nommée une étoile au nom de la mère de Sam, c'était quelque chose d'assez romantique. Le sourire de la demoiselle faisait de la compétition au rayonnement des astres, ses beautés de la nature. Samwell n'y connaissait trop rien en étoiles et planètes, mais il trouvait cela impressionnant à regarder. On se sentait minuscule contre l'immensité du monde qui nous entourait. Tant d'espace, tant de grandeur. Autant sur terre que dans d'autres galaxies. Samwell voulait voyager, c'était certain. Un jour il irait en Égypte et en Espagne et en Antartique et en Italie et partout autjour du monde. C'était un rêve qu'il chérissait et qu'il espérait réaliser à traver son boulot. « Et ça, c'est juste parfait. » Avait-elle ajouté en posant ensuite son regard sur lui. Samwell était aux anges. Il n'arrivait pas à croire que l'instant qu'il vivait était réel. Il ne cessait de se répéter qu'elle n'avait accepté son invitation que parce qu'elle était gentille et que lui faisait pitié tellement il espérait. Cette fille, Ysölde Wilkes, le rendait fou. Elle était la raison pour laquelle son couple avait flanché. Avant ou après, Samwell n'avait jamais lâché le morceau. Enchaînant drague sur drague. Il l'avait embrassé, même si cela avait ensuite été douloureux. Maintenant il faisait carrément des pieds et des mains pour lui prouver qu'il était fou d'elle et qu'à défaut d'aller lui voler la lune, il lui offrait juste au dessus de leur table. « Fallait pas te donner tant de mal Sam, mais c'est adorable. » Légèrement intimidé par la remarque d'Ys, il passa une main sur sa nuque avant de ne laisser échapper un petit rire nerveux. Oui, il en avait peut-être fait des tonnes, mais il voulait simplement qu'elle ait le sourire aux lèvres toute la soirée. Il lui donnerait son cadeau plus tard, mais les fleurs ne pouvaient pas vraiment être cachées, elles étaient sur la table.

    « Oh tu sais, on est simplement dans mon grenier... Et c'est pas moi qui ait posé une baie vitrée au plafond. » Plaisanta-t-il pour reprendre le contrôle, mais ça déraillait déjà. Il était affreusement intimidé. Il perdait tous ses moyens lorsqu'elle lui faisait des sourires dans le genre. Si Samwell était un gryffondor courageux contre les bestioles agressives, il était une vraie mauviette devant le jolies filles. Ses jambes devenaient aussi molles que sa cervelle et ses lèvres ne lui obéissaient plus. Elle ne faisaient que dire des conneries pour détendre l'atmosphère. Tant qu'à en faire des tonnes, mieux valait l'assumer plutôt que de tenter de jouer les mecs humbles et relax. Il était loin d'être relax. Il était affreusement nerveux. Il avait peur que les choses se cassent, qu'il se casse la gueule au détour de cette histoire. Il se tourna doucement pour prendre le bouquet de roses rouges sur la table pour lui tendre. Il sentit le besoin de se justifier en voyant les yeux d'Ysölde. Peut-être qu'elle n'aimait pas les fleurs.

    « C'est ma maman... Elle... Elle m'as dis que les filles aimaient les fleurs et donc... Ba j'suis allé les cueillir dans notre serre. Ce sont des roses enchantées. Elles ne meurent jamais. Elle n'ont pas besoin d'eau, ni de soleil, ni de quoi que ce soit. Elles vivent l'hiver et l'été ... »

    Il lui adressa un petit sourire timide alors qu'il allait doucement tirer la chaise en lui demandant toujours timidement : « Tu veux t'asseoir ? » Il lui fit un sourire angélique. Même si son niveau de stress avait monté en flèche, il était heureux. Être avec la demoiselle le comblait d'un bonheur indescriptible et il espérait sincèrement qu'elle se sentait de la même façon que lui. La fin de cette histoire n'était pas certaine, mais il ne voulait pas se mentir à lui-même. Il allait prendre ce qu'elle voudrait bien lui donner. Si ce n'était que de l'amitié, c'était mieux que rien du tout.

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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptySam 31 Déc - 17:46

La jeune femme était facilement impressionnable. Il suffisait de lui montrer quelques choses de beau, de lui dire quelques choses de très gentil, et le tour était joué. Il ne lui en fallait pas beaucoup pour être heureuse, pas beaucoup non. Par le passé, ysolde avait été très très matérialiste, mais cette attitude appartenait au passé. On a beau posséder un tas de chose, cela ne fait pas de nous une meilleure personne, c’était ce que la jeune femme avait finie par comprendre. Oh tu sais, on est simplement dans mon grenier... Et c'est pas moi qui ait posé une baie vitrée au plafond. Simplement un grenier ? C’était le grenier le plus cool que la jeune femme avait vu. Il était le plus cool, vraiment. Cette baie vitrée y était pour beaucoup, elle aimait énormément, énormément. C’était peut être simple, mais la jeune femme trouvait que c’était vraiment beau, que cela donnait du charme à la pièce et que c’était un endroit formidable, surtout les nuits où le ciel était dégagé, comme ce soit. La journée, cela devait aussi être magique, regarder les nuages, et même entendre tomber la pluie, parce que la jeune femme aimait la pluie, l’odeur de la pluie, le bruit de la pluie. La jeune femme aimait tout dans la pluie, tout. elle dit alors : J'aime beaucoup ton grenier il est nettement moins lugubre que le mien ! Le grenier des Wilkes était lugubre, vraiment, vraiment, des tas de vieille malles entreposé, de poussière, de vieux accessoires de magie noir, pire de vieux tableau encore animé de traitre à leur sang qui ont été lâchement abandonné dans ce foutu grenier. Il n’y avait aucune lumière, et là, chez les Potter, leur grenier était presque accueillant. La jeune femme lui adressa alors un sourire. Elle perdit le regard du jeune homme, quand celui-ci se tourna pour attraper quelques choses. Des fleures. Et merde. Et merde pour plusieurs raisons. Premièrement parce que la jeune femme était allergique aux fleures, oui, c’était pour ça qu’elle n’aimait pas aller en cours de botanique, parce que des fois elle éternuait sans cesse et finissait à l’infirmerie. Deuxièmement parce que les fleures sont le symbole ultime du romantisme. La jeune n’eut rien le temps de dire : C'est ma maman... Elle... Elle m'as dis que les filles aimaient les fleurs et donc... Ba j'suis allé les cueillir dans notre serre. Ce sont des roses enchantées. Elles ne meurent jamais. Elle n'ont pas besoin d'eau, ni de soleil, ni de quoi que ce soit. Elles vivent l'hiver et l'été ... Sa mère avait raison : les filles aimaient les fleurs. Ysolde les aimait mais, elle y était allergique, elle les trouvait particulièrement belle, mais si seulement elle n’avait ni odeur, no pollen, cela se passerait tellement mieux. Elle hésitait à lui dire qu’elle y était allergique, il se donnait tant de peine pour l’impressionner, leur faire plaisir… c’était sans compter sur ses allergie. La jeune femme éternua, une fois, deux fois, trois fois. Coup sur coup. Elle regarda le jeune homme et articula un peu gênée : Je suis désolé. je suis allergique aux fleurs. mais... mais... elle lui adressa un sourire très très sincère, et ajouta : Mais, elles sont vraiment, vraiment magnifique. J'aurais adoré pouvoir les tenir mais... C’était sincère, elle aurait aimé pouvoir les tenir, les regarder, les sentir, sauf que… elle risquait de finir a st Mangouste si elle s’en approchait trop. Elle n’avait pas forcément envie de finir la soirée là bas, ni même de la commencer. La soirée commençait plutôt bien et Ysolde s’en voudrait de gâcher cela, même ses allergies risquaient de plomber l’ambiance, elle venait de détruire le cadeau du jeune homme. Le jeune homme tira la chaise pour la jeune femme en disant : Tu veux t'asseoir ? Elle hocha la tête et répondit alors : Avec plaisir ! Elle lui adressa un grand sourire, et s’installa alors sur la chaise qu’il avait tiré pour elle, c’était un vrai gentleman, vraiment. Ysolde était tombé sur des gougeats, mais elle était également tombé sur des gentleman, c’était soit l’un soit l’autre. graeme au début était un gentleman, à la fin un sale con, mais ça c’était une autre, une toute autre histoire !
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyDim 1 Jan - 22:09



Samwell était un sorcier qui avait souvent l'air en contrôle. Souriant et parfaitement calme, il avait l'air du mec qui gère parfaitement toutes les situations. Pourtant, il y avait un petit hamster à l'intérieur de lui qui explosait chaque fois que la pression montait. C'était le cas depuis qu'il avait inviter Ys. Cela n'arrivait pas lorsque c'était pour des trucs auxquels il ne tenait pas. Pas comme Ys. Il tenait énormément à cette fille et l'idée de ne plus avoir son aura apaisante dans son entourage le terrifiait. Il se sentait bien lorsqu'il était en sa présence et qu'il arrêtait de paniquer parce qu'il voulait que tout soit parfait. L'expression changeante de la demoiselle lorsqu'il lui tendit les fleurs ne fut pas rassurante. « Je suis désolé. je suis allergique aux fleurs. mais... mais... » Elle lui avait adresser un sourire très sincère qui lui fit chaud au coeur. Il avait tout de même gaffé. Il était heureux de lui avoir acheté un autre présent, il n'aurait pas l'air totalement idiot. Ce n'était pas une escapade amoureuse à Paris, c'était un petit présent simple. Ce n'était pas un bijoux dispendieux, mais plutôt un petit présent qui lui rappellerait Samwell et le temps agréable qu'ils avaient passés ensemble depuis leurs rencontre officielle dans la bibliothèque de l'école. Officielle, oui, car il l'avait remarqué bien avant. « Mais, elles sont vraiment, vraiment magnifique. J'aurais adoré pouvoir les tenir mais... » Samwell avait tenter de faire diversion en lui proposant de s'asseoir pendant qu'il se dépêcherait à faire disparaître les fleurs. Il ne voulait pas la rendre gravement malade. Si c'était le cas, il s'en voudrait et passerait ses journées à côté de son lit à Sainte-Mangouste à lui raconter des blagues nulles. « Avec plaisir ! » Avait-elle répondut. Il avait posé les fleurs sur une petite table dans l'obscurité le temps de lui tirer sa chaise puis de la pousser pour qu'elle s’assoie. Sam disparut dans le noir le temps de prendre les fleurs, d'ouvrir la porte et des les lancer dans le grand escalier. Il fut soulager de ne trouver personne dehors à écouter ce qui se tramait dans le grenier. Il réapparut en s'asseyant face à Ysölde. La table était petite et simple. Une nappe violette, de petites bougies qui flottaient gracieusement à quelques centimètres de la table. Des couverts bien mis et des serviettes. Il ne pouvait simplement cesser de lui sourire.

« T'as des allergies ou dégoûts alimentaires ? Juste pour être certain... J'suis le roi des gaffeurs. Plus j'essaie que tout soit parfait et plus je me met les pattes dans les plats. »

Il eut un petit sourire de gêne. Le mot patte était juste. Samwell faisait souvent allusion à sa condition de loup-garou avec ses amis et sa famille. Il était un peu la mascotte et le bouc-émissaires des blagues sur les bêtes. Il le prenait bien, tellement bien qu'il en faisait aussi. Ce n'était pas toujours drôle, mais il avait appris à vivre avec cette particularité magique. Il souhaiter en parler à la demoiselle ce soir, si l'occasion se présentait. Il ne voulait pas amener le sujet maladroitement, mais cela lui tenait réellement à coeur de lui en parler. La nuit où il avait bien faillit la bouffer ne se produisait pas souvent. Il avait eut un oublie dans la prise de sa potion et avait donc du aller se cacher à la cabane hurlante. Il était rare que Sam oubliait. Ce soir par exemple, il faudrait qu'il la prenne. Une chaîne était sous sa chemise et au bout de cette chaîne, le flacon de potion qu'il traînait toujours sur lui.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyDim 1 Jan - 23:08

La jeune femme avait des allergies, ça n’était pas de sa faute. Elle aurait aimé pouvoir sentir les fleures, le regarder près, étudier leur détail. Mais elle ne pouvait pas la jeune femme était rapidement mal à l’aise dans ce genre de cas. Il ne fallait pas lui offrir des fleurs, même si elle les trouvait belle. Mais, ce n’était pas de la faute de Samwell, il ne pouvait pas connaitre le dossier médical de la jeune femme, personne ne pouvait. Graeme avait découvert cette particularité de la blonde à ses dépends, lors d’un devoir de botanique. Alors, elle n’était pas étonné que Sam ne sache pas, il n’avait aucun moyen de le savoir, aucun ; mais la jeune femme ne lui en voulait pas du tout. Le jeune homme fut galant pour que la jeune femme puisse s’asseoir, après lui avoir tiré la chaise, il la repoussa pour qu’elle puisse s’installer. Le temps qu’elle veuille se retourner pour le remercier, il avait disparu, et s’occupait visiblement de faire disparaitre les fleurs, elle s’en voulait, elles étaient si belle, et le jeune homme s’était donné tant de mal pour elle… Ysolde se sentait toujours coupable quand on se donnait du mal pour elle. Il embla les jeter dans le grand escalier, quel gâchis, quand même. Le jeune homme réapparu alors, la jeune femme lui adressa alors un sourire. Ce même charmant jeune homme s’installa alors à la table, en face de la jeune femme. En parlant de table, celle-ci était splendide, vraiment. La jeune femme adorait le violet, et puis les bougies c’était si…. Romantique ? Oui, c’était romantique. T'as des allergies ou dégoûts alimentaires ? Juste pour être certain... J'suis le roi des gaffeurs. Plus j'essaie que tout soit parfait et plus je me met les pattes dans les plats. La jeune femme sourit alors. Oui, elle était allergique, elle savait mais, non, visiblement elle n’avait aucune allergie à signaler, quant aux goûts alimentaire, rien de paticulier. Elle sourit quand il dit qu’il était le roi des gaffeur, mais là, il n’avait commis qu’une seule erreur, une seule ; il dit aussi qu’il voulait que tout soit parfait… mais pourquoi rechercher la perfection, là c’était déjà magique. La jeune femme dit alors en souriant au jeune homme d’un vrai sourire sincère : « Rassure-toi, je n’ai pas d’autre allergie, ni d dégoût alimentaire particulier ! » La jeune femme rit presque. Non, elle n’avait vraiment aucune dégout alimentaire, la jeune femme mangeait absolument de tout, elle n’aimait pas faire « sa fine gueule » comme on dit, non, non, elle était polie, et mangeait de tout. « Pas la peine de chercher la perfection, il suffit que ça soit... » La jeune femme sourit encore et ajouta après un léger silence : « Magique. » Ysolde était rayonnante ce soir, oui, elle avait le sourire, elle avait bonne mine, c’était rare qu’elle soit aussi radieuse, c’était peu être Sam qui lui faisait cet effet là. Oui, après tout. elle avait besoin de bonne humeur dans sa vie, vraiment, elle avait besoin de ça, elle avait besoin de quelqu’un comme Sam pour commettre des gaffes, pour la faire rire, sourire. « Arrête de mettre des pattes dans les plats, tu va finir par t’en mordre la queue. » Oui, s’il continuait à mettre les pattes dans le plat, ça allait finir par tourner mal, et il allait finir non pas par s’en mordre les doigts, mais il allait finir par s’en mordre la queue, un pauvre jeu de mot signé Ysolde Wilkes, mi-na-ble. Vraiment, minable. Elle osait à peine rire, ça ne se faisait peut être pas, mais le jeune homme lui avait tendu une perche énorme. La jeune femme était au courant de sa lycantropie, elle en avait même fait les frais, elle avait même faillit passer à la casserole, arf, encore un fichu jeu de mot, ce soir Ysolde était en forme.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyMer 4 Jan - 0:51

« Rassure-toi, je n’ai pas d’autre allergie, ni d dégoût alimentaire particulier ! » Avait-elle répondit en rigolant. Elle était si belle lorsque sa bouche s'ouvrait pour laisser voir ses dents parfaitement droites et parfaitement blanches. Heureusement qu'il était assied et que ses jambes ne pouvaient pas le lâcher, car elles l'auraient fait. Samw lui avait expliqué que plus il tentait de rendre les choses parfaites, pires elles étaient. Ce à quoi la jolie blonde avait répondu : « Pas la peine de chercher la perfection, il suffit que ça soit... » Elle fit une pause. Elle cherchait le mot parfait, le mot magique : « Magique. » Samwell avait doucement hocher de la tête pour acquiescer. Le moment était magique. Il ne savait pas si c'était réciproque, il l'espérait réellement. Elle avait des étoiles dans les yeux et ça faisait un bien immense au jeune griffon. Elle lui lanca également à la blague : « Arrête de mettre des pattes dans les plats, tu va finir par t’en mordre la queue. » Samwell éclata d'un rire franc. . Il la trouvait marrant, il la trouvait parfaite. Oui, il ne lui voyait aucuns défauts et n'en serait pas refroidis s'il en trouvait. Une attirance énorme l'unissait lui et cette demoiselle. Surtout depuis qu'ils s'étaient embrassés dans un supermarché. Samwell avait crut goûter à ses lèvres avant, mais il avait été berné par une petite amie follement possessive et parnoïaque. Sam était heureux de ne plus l'avoir dans sa vie. De plus, la vraie Ysölde embrassait tellement bien. Il était normal que tous les mecs veulent lui mettre le grappin dessus. Elle était non seulement belle et gentille. Elle était également amusante, intelligente, intéressante, même fascinante. Sam n'avait encore rien vu, peut-être qu'il l'avait senti, mais il n'était pas encore au courant de la particularité magique de la serpentard. Cela ne ferait surement que les rapprocher plus l'un de l'autre. Parlant de rapprochement. Il aurait eut envie qu'il y en ait, mais il ne voulait pas non plus la brusquer. Ils avaient tout leur temps. Samwell avait sa main posé sur le table pas très loin de celle d'Ys. Il ne prendrait pas la sienne, mais il aurait aimé qu'elle le fasse.

« Arrête avec tes blagues de nulles, sinon ce sera toi mon repas ! » Lui dit-il en montrant ses dents d'un faux air féroce. Passant sa langue sur ses dents pointues en conservant son air pendant un moment. Il ne pu s'empêcher d'éclater de rire. Il était ridicule, voir, très con. Il avait faillit réellement un faire son dîner une nuit. Que voulez-vous ? Ce n'était pas sa faute à lui si la jeune blonde était tout à fait appétissante. S'il l'a trouvait jolie lorsqu'il était sorcier, son odeur avait du lui mettre l'eau à la bouche en loup-garou. Il n'en savait trop rien, ses nuits de monstruosités étaient floues.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyMer 4 Jan - 12:28

Il avait l’air de s’être donné tant de mal pour elle. Ysolde était une fille qui ne comprenait pas qu’on puisse se donner tant de mal pour elle, elle n’était qu’une fille qui parfois était une vraie garce et parfois, elle avait l’impression de ne pas mériter tant d’attention. Elle ne réalisait pas non plus qu’on veuille lui mettre le grappin dessus, elle réalisait ce genre de chose au dernier moment, parce que pour elle être en couple était une chose qui se faisait naturellement, elle n’était pas en quête d’un petit ami, parce qu’elle n’avait pas peur d’être seule. Sortir, et être fiancé à ulysse lui avait rappelé qu’il vallait mieux être seule que mal accompagnée. Ysolde ne réalisait pas qu’elle pouvait avoir les hommes qu’elle voulait, tout simplement parce qu’elle s’en foutait, elle savait que ce qui devait arriver, arriverait. Avec ses visions, elle avait appris à connaitre le destin, que les choses pouvaient changer, évoluer. Avec Sam, elle ne savait pas ce qui allait se passer, et elle espérait qu’aucune vision ne viendrait gâcher cela, avoir la surprise de l’évolution et de la tournure des choses est bien mieux que des « spoilers ». elle appréciait énormément Sam, n’étant pas vraiment capable de dire en quelle mesure, elle pouvait seulement dire que leur « baiser de cinéma » avait eut l’air tellement vrai aux yeux de la jeune femme, tellement qu’elle en avait été retourné sur le coup, et maintenant, cela lui avait parut tellement agréable, tellement. Elle l’appréciait, c’était rare que la jeune femme veuille connaitre d’avantage les gens, pire qu’elle veuille se rapprocher d’eux, elle appréciait assez Sam pour vouloir ça, peut être qu’elle avait des sentiments pour lui, mais rien n’était jamais très claire dans sa tête, elle était très compliquée dans le fond. Le jeune homme éclaté d’un rire fort et sincère, au pauvre jeu de mot de la jeune femme. Sur le coup, elle avait eut peur qu’il le prenne mal, après tout elle savait que ce n’était pas forcément facile de s’accepter tel que l’on est. Mise à part le fait qu’il avait faillit faire d’elle son encas de minuit l’autre soir, elle n’avait pas peur de lui ; il était comme il était, pas un monstre, une victime d’une malédiction. « Arrête avec tes blagues de nulles, sinon ce sera toi mon repas ! » Elle le regarda tandis que celui-ci essayait d’esquisser un sourire féroce, comme s’il pouvait être méchant. Des méchants elle en connaissait, elle avait faillit en être une. Elle le regarda commençant d’abord par le gratifier d’un faux regard noir, et dit alors avec la voix d’une enfant : « Oh, que vous avez de grandes dents. » Ce n’était pas un jeu de mot cette fois, mais il était tellement occupé à essayer de sourire avec toutes ses dents d’un sourire carnassier, que la jeune femme ne pu s’empêcher de sortir cette réplique du conte « Le Petite Chaperon Rouge », il lui tendait des perches énormes, énorme, et ce n’était pas méchant de la part de la jeune femme, c’était affectueux. Avec la blonde le dicton « qui aime bien châtie bien », prend toute sa dimension. Quand elle apprécie vraiment quelqu’un elle le taquine, comme une enfant.« Tu me mangerais ?» demanda alors la jeune femme en faisant une moue boudeuse, digne d’une enfant à qui on viendrait de confisquer son doudou, et qui faisait des yeux de chien battu à son papa pour parvenir à ses fins. Ysolde savait faire ses yeux là, elle adorait les faire. La seconde d’après, elle délaissa son mine d’enfant pour un sourire presque un rire radieux. Elle baissa une seconde les yeux, constatant alors que la main du jeune homme était posé sur la table, juste à côté de la sienne, comme s’il attendait qu’elle la saisisse. Elle aurait voulu, mais ce n’était pas encore le moment. Elle reporta son attention, et son regard sur le jeune loup, c’était un beau loup quand même.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyMer 4 Jan - 22:08

Samwell n'était absolument pas un être méchant. Il détestait voir les gens souffrir, il faisait tout pour éviter les drames et faire sourire de nouveau les personnes, même celles qu'ils aimaient plus ou moins. Rancunier, il avait même appris à donner une seconde chance à un pote de longue date. Faire le mal n'était vraiment pas fait pour lui. Il aimait mieux se faire mal lui-même plutôt que de faire du mal aux autres. Pas qu'il se sous-estimait, au contraire. Il croyait simplement être assez fort pour supporter ce que les autres sorciers ne pouvaient peut-être pas. « Oh, que vous avez de grandes dents. » Avait-elle dit en se mettant dans la peau du petit chaperon rouge, un conte moldu. Sam était un loup, mais il n'était pas en tous temps le grand méchant loup. Il était un homme gentil qui se transformait en bête, c'était tout. « Tu me mangerais ? » Demanda-t-elle alors avec un air de gamine si convainquant, que oui, il l'aurait volontairement dévorée. Il le faisait déjà, il la bouffait des yeux. Elle avait un effet sur lui pire qu'avait su l'avoir Katniss. Ysölde était la seule fille qui l'intéressait depuis déjà un moment. Bonnie hors de l'équation. Bonnie était sa soeurette et même s'ils étaient près l'un de l'autre, ce n'était pas comparable avec ce qu'il ressentait lorsqu'il était avec la blonde. Elle avait l'air si innocente quant elle le voulait. Ses yeux d'enfants et ses petits sourires. Elle avait du caractère et pourtant elle arrivait à avoir l'air inoffensive. La belle et la bête, voilà ce qu'ils étaient. Sauf que dans leur histoire à eux, c'était la bête qui avait du apprivoiser la belle. C'était la bête qui avait du s'armer de patience pour en arriver à un dîner aux chandelles aux côtés de la belle. Et à l'inversement, la bête étant déjà un prince, se transformait un monstre sanguinaire à la fin du conte, lorsque la lune touchait sa peau.

« Avec de yeux comme ça, c'est clair que je ne fais qu'une bouchée de toi ! »

Samwell décida alors de tenter un peu les rapprochements. Pourtant la méthode Sam était bien particulière. Il ne pouvait pas prendre la main d'Ysölde comme ça, sans raisons, il fallait que ça s'accompagne d'une blague quelconque, d'une histoire, rien n'était gratuit. Sam jouait donc le méchant loup qui se retenait à la table pour ne pas bouffer la gamine aux boucles blondes. Il fit mine de bondir pour attraper la main de la blonde comme s'il allait la mordre. Il se contentait de grogner en passant ses lèvres sur la main de la demoiselle. Un dernier grondement, puis il déposa un baiser sur la main de la belle avant de poser leurs mains jointes sur la table.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyJeu 5 Jan - 21:16

Elle se sentait tellement bien avec Samwell, il ne la considérait pas comme une moins que rien, il ne la traitait pas d’erreur, elle avait toutes les raisons pour se sentir bien avec lui. Ysolde avait vécu pas mal de chose négative cette année, oui, elle avait tout perdu, sa popularité, son influence, la peur qu’elle communiquait. La jeune femme avait apprécié faire peur, au moins on ne venait pas lui faire du mal, parce qu’elle avait été intouchable, aujourd’hui : elle était vulnérable, très très vulnérable. Oui, elle avait un côté vulnérable, chose qu’elle n’avait jamais vraiment montré avant. Pourtant elle était humaine, très très humaine, elle était une fille, fragile avec un passé assez douloureux quand même, alors avec Sam, elle pouvait être elle-même. Il était parfois aussi enfantin qu’elle, c’était une bonne chose, elle n’avait pas à se forcer à être quelqu’un d’autre, elle l’appréciait, elle espérait que c’était la même chose pour lui. Le jeune homme dit alors, tandis que la jeune femme avait fait de l’humour en citant le petit chaperon rouge en compagnie d’un loup garou… étrange, mais il répondit alors : « Avec de yeux comme ça, c'est clair que je ne fais qu'une bouchée de toi ! » Cela fit sourire la jeune femme. Mais, il ne s’arrêta pas là, pas à ses regards. La jeune femme vit sa main se faire capturer par le jeune homme quand celui-ci fit mine de l’attaquer, mais il fit mine de grogner tandis que ses lèvres effleuraient sa peau. Ysolde rit alors, et dit alors en riant : « Tu avais l'air cent fois plus terrifiant l'autre soir ! Là on dirait un petit loup en peluche ! » La jeune femme rit alors, tandis que Sam déposa un baiser sur sa main, grognant une dernière fois, et il posa alors leur main jointe sur la table. Ses mains dans les siennes, c’était une approche orginal pour qu’elle lui prenne la main après tout… ingénieux, et pas mal comme technique, si la jeune femme n’était pas sous le charme avant, maintenant c’était le cas – bien sûr avant elle l’était déjà.

Elle était souriante, radieuse, un sourire resplendissante, quand soudain ses muscles zygomatique se relâchèrent, elle fixait un point devant elle. C’était toujours comme ça que ça commençait, elle semblait se déconnecter petit à petit du monde, perdant la vision – la capacité de fixer du moins – puis elle semblait perdre le contrôle de son corps, les muscles de son visage se relâchaient, et elle semblait doucement partir. C’était le cas, ses muscles du visage s’était relâché, et tout à coup, Ysolde bascula de la chaise sur le côté, sans se retenir. C’était une vision. Elle ne savait pas pourquoi cela lui faisait ça, elle ne comprenait pas pourquoi c’était aussi violent. Mais elle avait des visions très claire, très nettes, très précise, alors qu’elle avait lu que généralement les voyantes avaient plutôt de vague flash. La vision était… floue, mais pas parce qu’elle n’était pas précise, parce que c’était comme ça que les choses se passaient de manière floue. Une pièce aussi sombre que celle où elle s’était trouvé, et Samwell était là, il avait délaisser ses mains, et enlaçait la jeune femme. Pire, elle aussi l’enlaçait avec tendresse, et la vision changea, laissant apercevoir à la jeune femme les deux échanger un baiser, et… la suite était plus difficile à raconter. Ils s’enlaçaient, quand soudain Ysolde rouvrit les yeux, allongé sur le sol.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptySam 7 Jan - 3:46


« Tu avais l'air cent fois plus terrifiant l'autre soir ! Là on dirait un petit loup en peluche ! » Étaient les dernières paroles prononcées par Ysölde Wilkes avant que la vie ne quitte son corps. Elle sembla quitter Samwell par le même instant. La vie avait sembler quitter son visage alors que son regard se perdait dans le vide et qu'elle semblait totalement ailleurs. Peut-être était-elle tombée dans la lune. Pourtant, depuis qu'il traînait avec elle, il ne l'avait jamais vu agir de la sorte. Arquant un sourcil et ne la quittant pas des yeux, il se doutait que quelque chose n'allait pas. Effectivement, elle entama une chute vers le sol. Samwell se précipita vers elle.

« YSÖLDE ! »

Hurla-t-il. Il avait attraper la belle juste avant qu'elle ne se frappe le sol. Il passait nerveusement une main sur son visage. Elle sentit son souffle, c'était au moins ça. Elle c'était évanouie. Il ne savait absolument pas quoi faire.

« PAUL ! MOLLY ! JUDY ! »

Il alertait les membres de la famille sans savoir s'ils allaient venir. Sans réellement mettre des efforts énormes, il la prise dans ses bras et la tourna sur le côté. Vers lui, c'était la position la plus sécuritaire si elle venait à en vomir ou quoi que ce soit. Agenouillé à côté d'elle, il répétait son prénom, encore et encore. Il les comptaient comme des secondes. Après trente, si elle ne se réveillait pas, il allait transplaner à Sainte-Mangouste. Aux forces obscures leurs repas romantique. La santé d'Ys comptait beaucoup plus pour lui que quoi que ce soit. Elle respirait, mais le fait qu'elle n'ouvre pas les yeux le rendait très inquiet. Si le souffle le manquait, c'est sans hésiter qu'il commencerait les manœuvres de respiration artificielles. Les larmes montaient doucement à ses yeux de gros dur alors que les mots dépassaient sa pensée à l'idée qu'il était peut-être en train de la perdre définitivement.

« Ys tu m'entend ? Ys, ouvre les yeux. Ys, sert ma main si tu m'entend. Ys ? Ysölde ? Je t'aime. Ys, reviens, s'il te plait, reviens. »
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptySam 7 Jan - 19:56

Les visions d’Ysolde étaient puissantes. Même très puissante. Les choses étaient claires, et lipides, contrairement aux visions classique qui étaient évoquée dans les livres et les ouvrages de divination et de science occultes qui étaient plus des flashes, des impressions. Pour la jeune femme, c’était comme si elle était le témoin d’une scène futur, parfois même passer. C’était un don de prophétie, des visions très développée. Elle savait que ce don était forcément génétique, seulement, ni sa mère, ni Sofia, personne du côté de sa mère n’avait pu lui transmettre ce don, et c’était encore moins possible du côté de son père, il aurait été trop fier. Elle ne savait pas d’où ce fichu don venait, même si elle avait plutôt tendance à le considérer comme une malédiction, car il lui gâchait la vie. La jeune femme avait vu la mort d’Ulysse avant même que celle-ci arrive, elle avait vu des choses horribles qu’elle était incapable de situer dans le temps, elle avait assisté à la mort de sa mère. Elle se souvenait avoir eut une seule vision optimiste : sa première vraie vision dans la cabane hurlante où elle s’était vu mère de deux adorables enfant, avec Ulysse, cette vision ne serait jamais puisqu’il était mort. les choses peuvent changer, le temps peut être réécrit. La vision qu’elle venait d’avoir n’avait rien de dramatique pour une fois, mais cela restait perturbant. Il fallait croire qu’Ysolde ne supportait pas ses visions, c’était peut être une simple question d’entrainement, après tout. elle était tombé de sa chaise, et n’avait pas vraiment vu ce qui c’était passé, elle était dans un autre monde, elle entendit vaguement une voix dire : Ys tu m'entend ? Ys, ouvre les yeux. Ys, sert ma main si tu m'entend. Ys ? Ysölde ? Je t'aime. Ys, reviens, s'il te plait, reviens. Cependant, elle ne comprit pas le sens de la phrase, elle était incapable de le déchiffrer, elle sortait peu à peu de son isolement. Elle ouvrit progressivement les yeux, elle remarqua qu’elle n’était pas sur le sol, mais dans les bras de Sam, merde. Elle détestait quand ce genre de choses arrivaient en public, elle n’aimait pas avoir à s’expliquer, elle avait dû tout expliquer à Graeme, mais ça lui avait fait bizarre qu’on sache, elle n’aimait pas son don. Elle passa doucement sa main sur ses yeux et dit alors à mi-voix : Tu quoi ? Elle n’avait pas comprit qu’il avait dit qu’il l’aimait, heureusement sinon, elle aurait peut être eut peur, ou elle l’aurait prit de façon étrange, la jeune femme n’était pas prête pour ce genre de mot, elle ne l’avait jamais vraiment été, même avec Graeme. Elle passa une main dans ses cheveux blonds, et dit alors : Ne t'inquiète pas, je vais... je vais bien, c'est rien. c'est rien. Maintenant elle allait bien, c’était passé, elle avait totalement retrouvé ses esprits, elle n’arrivait pas à se sortir de la tête la vision qu’elle venait d’avoir, c’était… surréaliste, elle et Sam… quoi que. L’idée ne lui déplaisait pas mais savoir ce qui peut arrivé avant que cela n’arrive réellement, cela gâche l’effet de surprise. Elle le regarda, elle allait forcément avoir à expliquer ce qu’il venait de se passer, en le regardant, elle aurait juré qu’il avait vraiment eut peur, elle aurait juré qu’il tenait à elle, vraiment. Elle aurait même juré qu’il avait les yeux rouges, c’était dire.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyDim 8 Jan - 19:28

Le soulagement fut total lorsqu'elle sembla sortir de sa transe pour revenir à la réalité. Passant sa main sur ses yeux alors que ses lèvres s'ouvraient pour lui demander : « Tu quoi ? » Il était confus. Il ne le savait pas lui-même. Les mots avaient dépassés sa pensée lorsque la peur de la perdre avait envahit son être tout entier. Était-il réellement amoureux d'elle ? Il ne détenait pas encore la réponse à sa question. Il aimait être en sa compagnie. Son sourire provoquait chez-lui un manque d'air au cerveau le rendant particulièrement imbécile. L'embrasser lui avait donné l'impression d'avoir un insectarium au complet dans le ventre. Être avec elle était à la fois stressant et apaisant. Réel et pourtant impossible. Il avait besoin de temps pour réellement connaître la belle enfant. Samwell ne se jetait pas dans les relations sans réellement croire que cette femme pouvait être la femme de sa vie. Il aurait aimé que Ys le soit, mais il devait la connaître d'avantage. Dans le meilleur comme dans le pire. Il devait devenir son confident, son ami, son amant avant de pouvoir être l'homme de sa vie. Il y avait toujours de l'inquiétude dans ses yeux. Passant une mais dans sa chevelure, elle tenta de le rassurer : « Ne t'inquiète pas, je vais... je vais bien, c'est rien. c'est rien. » Samwell la regardait fixement. Elle se foutait de lui la ? On ne tombait pas dans les pommes comme ça sans raisons. Et puis merde pour le rendez-vous, au diable leur soirée romantique, il voulait qu'elle aille mieux. Il voulait qu'elle se repose. Il la raccompagnerait chez-elle s'il le fallait.

« Ys, j'suis pas un idiot. T'as perdu la carte sans prévenir. Soit je t'amène à Ste-Mangouste ou je te ramène chez-toi. Quoi que Ste-Magouste est l'option que je préfère. Je ne veux pas te laisser seule chez-toi sans surveillance et que ça se reproduise. C'est peut-être parce que t'as faim... WINNY ! »

Appela-t-il. L'elf de maison de la famille apparu dans la pièce avec des assiettes qu'il posa sur la table avec un sourire. Il avait également une pomme qu'il vient donner à la demoiselle. Winny n'était pas un elf comme les autres. Il était un elf libre, qui pourtant, adorait aider Molly dans la maison. Il était un membre de la famille. Il fit un sourire à la demoiselle puis disparu. Samwell se concentra de nouveau sur elle. La faisant doucement s'asseoir en refusant qu'elle quitte ses bras. Il allait être très protecteur avec elle pour un bon moment. Elle lui avait foutu la plus énorme peur de sa vie.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyDim 8 Jan - 21:09

la jeune femme avait des visions souvent, mais des visions qui lui faisaient perdre momentanément connaissance étaient quand même plus rare, c’est quand elles étaient claire comme de l’eau de roche, elle avait lu que plus les visions étaient claire, plus elles avaient de chance de se réaliser, Ysolde le savait. Elle avait rarement des visions très claire, mais elle en avait eut quelques unes qui s’était produite, et le fait que celle-ci soit claire la mettait un peu mal à l’aise. C’était une chose normale d’être mal alaise, pour ce genre de chose, elle s’était vu dans les bras de Sam –entre nous, elle aimait beaucoup Sam, si ça se passait bien entre eux, ce qu’elle avait vu était la suite normale des choses…. Mais… mais c’était quand même destabilisant. Ys, j'suis pas un idiot. T'as perdu la carte sans prévenir. Soit je t'amène à Ste-Mangouste ou je te ramène chez-toi. Quoi que Ste-Magouste est l'option que je préfère. Je ne veux pas te laisser seule chez-toi sans surveillance et que ça se reproduise. C'est peut-être parce que t'as faim... WINNY ! A peine il eut fini sa phrase que l’elfe de maison apparu pour apporter à manger. Elle n’avait pas de problème de sucre dans le sang, loin de là, au contraire, elle allait très très très bien. oh non, il était hors de question qu’elle aille à Ste Mangouste, et si elle devait retourner chez elle, c’était seule, vivre de façon provisoire au chaudron baveur n’avait rien de… convenable. Elle préférait que personne ne sache, c’était mieux quand on ne sait pas ce genre de chose. Ce n’était pas qu’elle n’avait pas les moyens, c’était qu’elle ne voulait embêter personne. Elle ne savait pas comment elle allait lui expliquer sa perte de connaissance, elle détestait devoir expliquer ce genre de chose. Le jeune homme la fit alors se rasseoir tout en ne le lâchant plus, comme s’il n’avait pas envie de la laisser partir, et comme s’il était prêt à transplaner aussitôt si jamais quelque chose se passait mal. Je… je vais bien, ça ne vas pas se reproduire, la chance statistique que cela se reproduise est… infime. Oui, la chance d’avoir une vision si réaliste deux fois de suite était irréelle. Déjà la chance d’avoir deux visions coup sur coup était infime, alors deux visions réaliste, je n’en parle même pas. La jeune femme regarda alors Sam, elle détestait avoir des visions, elle avait tellement peur d’être influencé par celle-ci, mais soyons réaliste avant cette vision elle avait déjà le béguin pour lui, c’était comme ça. S’il te plait, ne m’emmène pas à Ste Mangouste ou je ne sais où, je te promets que ça va aller, c’est… ça m’arrive quelques fois, c’est… effrayant à première vue mais c’est rien, je te jure. Oui, ça lui arrivait, mais ce n’était rien. Elle tourna les yeux, elle ne savait pas comment lui expliquer, elle n’allait pas dire de but en blanc : « j’ai des visions voilà, et ça me file l’envie de gerber et de tomber dans les pommes quand elles sont puissantes ». Ce n’était pas le genre de chose qui se dit. Je… par où commencer… ça m’arrive, de temps en temps, mais ce n’est pas grave dans le sens où ce n’est pas que je suis malade ou quelques choses du genre, ces malaises font partie de moi, autant que le sang d’une vélane chez une demi-vélane, que le gêne permettant de parler au serpent chez un fourchelangue, que le fait de muter à chaque pleine lune pour toi. C’est.. ça fait partie de moi mais c’est plutôt… un… effet secondaire de ma « nature ». Elle marqua une pause, elle détestait parler de sa nature, elle posa son regard sur Samwell et dit alors : J’ai… j’ai un don de voyance. Je tombe dans les pommes parfois quand j’ai des visions, c’est je crois que c’est parce qu’elles sont fortes, et dur à supporter, ce n’est rien… rien de gra.. de grave.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyMar 10 Jan - 22:02


Samwell s'inquiétait sérieusement pour la demoiselle. Ses derniers temps, chaque personnes auxquelles il tenaient semblaient disparaître subitement de sa vie. Katniss qui ne donnait plus de nouvelles ni par hiboux ni comment que ce soit. Bonnie qui jouait la fille boudeuse et qui l'évitait pour une raison qu'il ne connaissait pas. Judicaëlle qui l'évitait, comme d'habitude, pour ne pas se faire suprotéger. Puis Ysölde qui tombait dans les pommes sans prévenir pour ensuite lui dire que ce n'était rien. Le cœur du jeune homme battait encore la chamade et ses yeux étaient encore humides. Même s'il était soulagé de revoir la vie dans ses yeux, il était également très inquiet. Son cœur se serrait alors que la jeune femme ne semblait pas avoir reprises toutes ses forces. «Je… je vais bien, ça ne vas pas se reproduire, la chance statistique que cela se reproduise est… infime. » Samwell arqua un sourcil interrogateur. Elle était dans les vapes ou quoi ? Lorsqu'on s'évanouissait et que notre état n'était pas stabilisé, il y avaient de bonnes chances que cela se proproduise dans les instants qui suivaient. Il allait ouvrir la bouche pour argumenter, mais elle le prit d'avance : « S’il te plait, ne m’emmène pas à Ste Mangouste ou je ne sais où, je te promets que ça va aller, c’est… ça m’arrive quelques fois, c’est… effrayant à première vue mais c’est rien, je te jure. » Ce n'était rien pour le convaincre. Lui dire qu'elle perdait souvent connaissance et qu'elle ne faisait rien pour cela. Ce n'était pas normal. Il voulait d'avantage l'emmener à l'institut de médecine sorcier et se battre pour qu'ils trouvent ce qu'elle avait. Il voulut prendre la parole, mais il sentit que ce n'était pas le moment. C'était comme si la demoiselle avait des aveux à lui faire : « Je… par où commencer… ça m’arrive, de temps en temps, mais ce n’est pas grave dans le sens où ce n’est pas que je suis malade ou quelques choses du genre, ces malaises font partie de moi, autant que le sang d’une vélane chez une demi-vélane, que le gêne permettant de parler au serpent chez un fourchelangue, que le fait de muter à chaque pleine lune pour toi. C’est.. ça fait partie de moi mais c’est plutôt… un… effet secondaire de ma « nature » »Les idées étaient vagues dans sa tête. Il ne voyait pas où elle voulait en venir. Ni les loup-garous ni les vélanes ni les fourchelangues ne perdaient la carte à n'importe quel moment. Enfin, les loups-garous, oui, mais pas de la même façon. Elle continua donc après une courte pause. « J’ai… j’ai un don de voyance. Je tombe dans les pommes parfois quand j’ai des visions, c’est je crois que c’est parce qu’elles sont fortes, et dur à supporter, ce n’est rien… rien de gra.. de grave. ». Samwell fut quelque peu secoué par la nouvelle. Ça n'avait rien de dangereux comme d'être une bête qui dévore sans remords les pauvres victimes. Pourtant, ça lui faisait un peu peur. Oui, dans la famille de Samwell, il y avait eut une voyante également qui avait prédit de très mauvaises choses. Des maladies, des blessures, des feux, des attaques, des morts tragiques de nouveau-nés et d'autres tragédies inévitables. Samwell avait toujours été un peu effrayé. Il n'avait jamais osé aller vers une voyante pour savoir son avenir. Il avait peur qu'elle le voit mourir. Il avait peur de savoir que la mort le suivait et était prête à lui arracher la vie à tous les détours. S'il avait bien compris, Ysölde venait d'avoir une vision à cet instant. La question lui brulait les lèvres, mais il ne savait pas s'il était descend de la poser.

« Oh... » S'exclama-t-il légèrement malaisé pour la question qu'il allait poser par la suite. Elle marqua une pose ou il cherchait déjà la réponse dans les yeux de la blonde. « Est-ce que je peux savoir ce que t'as vu ou ?... »

Il ne savait même pas s'il voulait réellement le savoir. Il était tiraillé par l'envie et à la fois la peur. L'envie et la curiosité de savoir, pour voir si la vision allait se réaliser et se surprendre à ce qu'elle soit réellement une voyante. La peur également qu'elle ait vu sa mort ou celle d'un des membres de sa famille ou de ses amis. Après tout, c'était tout de même un peu difficile à croire. Si elle ne l'avait jamais vu en loup, ce n'était pas évident de savoir à quel point il pouvait être dangereux et effrayant. Pourtant, Ysölde le savait. Ils n'en avaient jamais réellement parlé, mais le moment n'avait jamais été plus propice. Ils étaient tous les deux des sorciers à part. Ils auraient des gamins mi-loups, mi-voyants. Des gamins exceptionnels et merveilleux. Enfin, il rêvait, c'était trop tôt, mais comment lui en vouloir ?
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyVen 13 Jan - 22:05

Etre différent ce n’est vraiment pas facile. Des fois, on est blond et l’on voudrait être brun parce que tout le monde dans notre entourage l’est. Parfois on voudrait être grand parce qu’on est la seule petite personne d’un groupe. La différence c’est ce qui fait ce que nous sommes. En effet, si tout le monde ressemblait à tout le monde alors comment pourrait-on aimer une personne plus qu’une autre ? C’est ces différences, ces petites choses qui caractérisent une personne qui font qu’on l’adore, qu’on l’aime ou qu’on la déteste. Les différences sont une part de nous même, il ne faut pas le rejeter, vouloir ressembler à quelqu’un n’a jamais aidé quelqu’un. Copier, c’est se mentir à soi-même, et Ysolde n’aimait pas le mensonge, non. Le mensonge lui donnait envie de vomir, ça lui fichait la nausée. Elle avait été la victime d’un odieux mensonge pendant onze longues années… aujourd’hui, elle méprisait le mensonge, elle était différente, pourquoi se mentir et se chercher des excuse ? Ca ne servait à rien, strictement à rien. Elle venait de lui avouer la vérité. Elle ne savait pas comment il allait réagir, après tout, il pouvait avoir peur, même s’il était un loup garou, il avait le droit d’avoir peur. La peur est humaine, ce n’était parce qu’il avait une part de lui qui était…. Bestiale, qu’il n’était pas humain. L’humanité est importante. Ysolde se sentait humaine, c'est-à-dire, forte et fragile à la fois.

Oh... Dit alors le jeune homme visiblement mal à l’aise. Ce n’est pas facile d’entendre ce genre de chose, Ysolde elle-même avait beaucoup de mal à évoquer cela. Oui, elle en avait parlé à une seule personne : Graeme, et maintenant Sam était au courant, en même temps les deux avaient été témoins d’une vision de la jeune femme, pour ne pas les inquiéter elle avait dû leur dire la vérité, elle n’était pas malade, elle allait bien. Est-ce que je peux savoir ce que t'as vu ou ?... Hum, ça elle ne tenait pas franchement à le dire. Après tout, elle n’allait pas lui dire qu’elle s’était vue dans ses bras, entrain de s’embrasser, et plus si affinité. Elle n’avait pas le courage de dire ça, elle avait peur de passer pour une folle, pour une garce en manque d’affection. Mais ysolde n’était pas le genre de fille à être « en manque », même quand elle était en couple elle était frigide… ça la perturbait cette vision d’eux deux, elle le regarda alors, et esquissa un mince sourire, mais c’était un sourire sincère. Il la faisait sourire, il pouvait en être fier. Elle dit alors, avec ce même mince sourire sincère : je...je... Elle bafouilla et passa une main dans ses cheveux, nerveusement et reporta alors son regard sur ce charmant jeune homme avant de dire : je préfère pas, c'est pas le genre de chose que j'aime raconter et puis... ce genre de chose gâche parfois les surprises, à Noel j'ai vu le cadeau qu'on m'a offert, c'était nul. Elle lui sourit alors. Elle ne lui dirait pas que dans sa vision, ils s’embrassaient à pleine bouche, cela pouvait risquer de changer le cours des choses, et étrangement cette perspective ne la dérangeait pas vraiment, presque pas. Elle regarda alors Sam et dit alors avec un sourire : Si ça peut te rassurer je n'ai rien vu de dramatique, ou de grave dans ma vision, du tout. Oui, en soi ça n’avait rien de dramatique, mais entre nous les relations ont tendance à devenir dramatique avec le temps, la jeune femme n’était pas douée pour rester en couple, elle avait trop peur de souffrir pour s’investir totalement dans une relation comme celle-ci. Peut être qu’il fallait qu’elle change d’attitude, et qu’elle prenne sur elle-même, ça l’aiderait peut être à avancer, et à aimer.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptySam 14 Jan - 3:59


Ils étaient encore sur le sol. Samwell agenouillée et la magnifique blonde assise sur ses genoux. Les bras du jeune homme étaient autours de la demoiselle et n'osaient plus la quitter. Il n'avait tout simplement pas envie de se lever, il était bien sur le sol avec elle. De plus, elle devait avoir besoin d'un peu de temps pour reprendre ses esprits et ses forces. Il la couvait du regard. S'il n'était pas encore amoureux d'elle, il était sur la bonne voie pour y arriver. Il admirait chacune de ses respirations et de ses expressions faciales. « je...je... » Bafouilla-elle et passant une main dans sa magnifique chevelure blonde. Elle posa de nouveau son regard sur le jeune homme affreusement souriant. En continua ensuite sa réponse au questionnement de Samwell : « Je préfère pas, c'est pas le genre de chose que j'aime raconter et puis... ce genre de chose gâche parfois les surprises, à Noël j'ai vu le cadeau qu'on m'a offert, c'était nul. » Sam était quelque peu déçu. Il aurait aimé savoir, rien que pour voir si cela se réaliserait réellement. Lorsque ça se produirait, elle pourrait dire qu'elle l'avait vu, mais si elle ne l'avait dit à personne, comment pouvait-ils réellement la croire ? Samwell la croirait sans doutes, mais peut-être pas tous le monde. Sam avait confiance en cette magnifique jeune femme. Il aurait mis sa vie entre ses mains tellement il avait une confiance aveugle envers elle. « Si ça peut te rassurer je n'ai rien vu de dramatique, ou de grave dans ma vision, du tout. » Il lui adresse un doux sourire. Sa curiosité était présentement à son comble. Il aurait aimé savoir, même s'il aurait gâché une quelconque surprise. Pourtant, le choix lui revenait. Si elle n'était pas très à l'aise d'en parler, il respecterait son choix. Cette mésaventure avait malgré tout ouvert une voie pour parler de sa particularité magique à lui. Elle était au courant, mais ils n'en avaient jamais vraiment parlé. Il ne savait pas si elle savait tout sur la nature des loups-garous, mais il comptait bien lui parler de sa situation délicate.

« N'empêche, parfois ça doit être effrayant. Quoi que pas autant qu'un loup-garou incontrôlable. »

Il lui fit un sourire en coin. Il ne comprenait toujours pas pourquoi elle lui adressait encore la parole. S'il ne se souvenait pas de la nuit qu'il avait passé avec elle dans la cabane hurlante, la demoiselle ne l'avait certainement pas oubliée. Il était allé se réfugier loin de Poudlard étant donné que le professeur qui se chargeait de faire sa potion tue-loup avait été malade et dans l'incapacité de lui fournir son précieux liquide. Heureusement, il c'était assuré d'en avoir suffisamment pour les vacances. Justement, il était temps qu'il la prenne. Le jeune homme glissa l'une de ses mains dans son t-shirt pour en sortir une fiole attachée à une chaîne en bronze. Il l'ouvrit et en but une gorgée avant de regard les yeux interrogateur d'Ysölde. Il fit une grimace lorsque le liquide passa dans sa gorge, puis il adressa un sourire à la demoiselle.

« Je ne sais pas si tu connais un peu ma condition, mais je tenais à t'en parlé. Je ne suis pas toujours sanguinaire et dangereux. Quand je le suis, je m'enferme justement très loin. Par exemple, dans la cabane hurlante. Je prend régulièrement la potion tue-loup que je conserve dans cette fiole. Lorsque j'oublie, j'ai plus de risques de me transforme. Si j'oublie une fois, ce n'est pas très très grave. Il faut seulement que j'évite de me trouver sous la pleine lune. »

Il lui sourit doucement. Ce n'était pas difficile de parler de cela, ce n'était pas le plus dur de la situation. Ce dont il avait le plus de mal à parler, c'était la fameuse nuit où sa vie avait basculé. Ysölde ne lui poserait probablement pas de questions sur cela. Il devait encore la connaître un peu mieux avant de se sentir capable de lui parler de cela. Il n'en avait jamais parlé à qui que ce soit. Sa sœur était là lors du terrible incident. C'était elle qui avait tout raconté à leurs parents dans ses larmes. Samwell n'avait pas dit un mot pendant près d'un mois après ce terrible événement. Il avait eut véritablement du mal à s'adapter à la situation. La première pleine lune avait été affreuse. Il avait insisté pour qu'on l'enferme dans une cage ensorcelée et qu'on l'attache pour sa première pleine lui. Cela avait été pénible de se faire attacher par son père qui l'enfermait dans le noir juste avant la tombée de la nuit. Le jeune Samwell de l'époque s'était mis à pleurer. Cette nuit la, le loup avait pleurniché toute la nuit. Des plaintes douloureuses plutôt que des grognements enragés.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptySam 14 Jan - 23:07

C’est bizarre de se confier à quelqu’un. Finalement, elle le connaissait à peine. Quand elle avait avoué son don à Graeme ils avaient passé des heures à parler, avant ils s’étaient engueuler comme jamais, et elle lui en avait parlé. Le fait qu’il sache avait peut être aidé la jeune femme à être elle-même, à ne jouer aucun rôle. Elle n’était pas parfaite, pas du tout. Elle était têtue, impulsive, manipulatrice, sarcastique. Elle avait de très gros défaut. Oui, et elle en avait même conscience. Mais, si avouer ce genre de chose pouvait aider la jeune femme à être plus elle-même, à rire plus facilement, à ne pas cacher ses visions alors peut être que sa vision avait des chances de se produire, même si elle ne se voyait pas forcément dans ses bras tout de suite. Non, c’était peut être… prématuré. Avoir ce genre de vision perturbait la jeune femme… c’était déstabilisant, vraiment. N'empêche, parfois ça doit être effrayant. Quoi que pas autant qu'un loup-garou incontrôlable. Ce n’était pas vraiment comparable, voyant/loup garou, ce n’est pas vraiment comparable, pas du tout. Bien sur, elle avait peur de ce dont elle était capable, elle avait peur de ce qu’elle pouvait voir. Elle n’avait jamais eut de mauvaise vision concernant ses proches, et tant mieux, en même temps… la jeune femme n’avait pas tellement de personne qui lui étaient proche, vu qu’elle était de nature assez… indépendante, et solitaire. La jeune femme le vit glisser une main dans son t-shirt, et sortir une petite fiole ; la jeune femme était assez brillante pour déterminer ce dont il s’agissait. De la potion tue-loup. Oui, de la potion tue loup, cette fois il fallait qu’il en boive puisque visiblement leur de leur rencontre sous la pleine lune, il avait l’air enrager et il ne semblait pas avoir prit cette potion. Elle le vit esquisser une grimace quand il bu alors, ça n’avait pas l’air très agréable, puis il lui adressa un sourire qu’elle lui rendit volontiers. Le jeune homme dit alors : Je ne sais pas si tu connais un peu ma condition, mais je tenais à t'en parlé. Je ne suis pas toujours sanguinaire et dangereux. Quand je le suis, je m'enferme justement très loin. Par exemple, dans la cabane hurlante. Je prend régulièrement la potion tue-loup que je conserve dans cette fiole. Lorsque j'oublie, j'ai plus de risques de me transforme. Si j'oublie une fois, ce n'est pas très très grave. Il faut seulement que j'évite de me trouver sous la pleine lune. Sa condition à lui semblait tellement plus effrayante que la sienne. Tellement. Il ne lui faisait pas de la peine, elle n’aimait pas avoir de la peine pour les gens. La jeune femme s’inquiétait plus pour lui, oui, elle avait le don de s’inquiéter pour les gens. Une fois, il avait faillit ne faire qu’une bouchée de la jeune femme, mais elle ne lui en tenait pas rigueur, s’il avait cherché à la mangé, c’était parce qu’il la trouvait appétissante, peut être. Elle ne savait pas comment il était devenu un loup, mais elle savait qu’ils n’étaient pas encore assez proche pour évoquer cela. Elle se disait que quand une fille devait savoir qu’il était un loup, elle devait fuir, parfois. Mais, la jeune fille s’en moquait, elle appréciait les gens « différent » au moins ils pouvaient se comprendre. Elle lui adressa alors un sourire, et dit alors : Tu n'essaie pas de dévorer le jeune fille à chaque fois ? Tu me rassure alors ! Une petite phrase pour détendre l’atmosphère, c’était une bonne chose. Elle était souriante, autant que possible, elle ne lui en tenait pas rigueur. Comment pouvait-elle lui en tenir rigueur ? Ce soir là, il n’avait été responsable de rien, absolument de rien. D’ailleurs la jeune femme lui adressait un sourire, elle était là, elle faisait de l’humour et elle était au sol dans ses bras sans avoir l’envie de fuir, c’était une preuve de confiance, et de respect. C’est sûr que c’est effrayant mais ce n’est pas la même peur. Moi j’ai peur de voir des choses horribles arriver à des gens que j’aime, heureusement ça ne m’est jamais arrivé, la seule mort que j’ai vu ne m’a fait ni chaud, ni froid. J’ai tellement peur des fois… Elle parlait de la mort d’Ulysse après ce qu’il lui avait fait… c’était normal que ça ne lui fasse ni chaud, ni froid, mais elle ne s’en réjouissait pas, elle n’était pas inhumaine, au contraire, elle était humaine. La jeune femme tourna alors la tête vers Samwell, il était beau, très beau. C’était un beau garçon, n’importe qu’elle jeune fille apprécierait un beau garçon, mais en plus quand le garçon en question est quelqu’un de bien, de gentil, de drôle, et qui semble vous apprécier alors tout va bien dans le meilleur des mondes. La jeune femme remarqua alors qu’il la tenait encore, contre lui, comme à l’instant où il s’était inquiété pour elle. Elle était encore un peu secouée par sa vision, ça perturbait le corps de la jeune femme, comme si elle était en manque de sucre, mais elle était beaucoup trop proche de Samwell pour son propre bien. Elle le regarda alors, restant muette. Son regard plongé dans le sien, sans réfléchir la jeune femme s’approcha à peine de lui et l’embrassa alors.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyVen 20 Jan - 5:16


Samwell était affreusement soulagé après toute cette adrénaline qui avait envahie son corps. Il n'avait plus qu'une envie et c'était de se coucher sur le sol avec la belle dans les bras. Il n'était pas loin de l'état second. Une espèce de transe du moment suite à ses hormones qui avaient envahies son corps. Les mots flottaient dans les airs sans qu'ils n'en comprenne trop le sens. Le moment était doux et c'était la seule chose qui comptait : « Tu n'essaie pas de dévorer le jeune fille à chaque fois ? Tu me rassure alors ! » Non, il était un loup-garou gentil, ce qui n'était pas toujours le cas. Samwell avait rencontré un autre homme loup un jours et il était loin d'être sympathique. Certains se plaisaient à jouer les victimes, par exemple son ex petite-amie, Katniss. Elle avait causé son propre malheur pour ensuite à le crier et le pleurer partout dans Poudlard. Rien n'arrivait pour rien. Il s'était donc promis de ne plus jamais se lancé la tête première dans une relation encore toute nouvelle. Pourtant, en cette instant alors qu'il fixait ses yeux de déesse, il n'avait qu'envie de saisir ses lèvres avec tendresse. Elle continua de parler de son don alors que Samwell était un peu plus attentif : « C’est sûr que c’est effrayant mais ce n’est pas la même peur. Moi j’ai peur de voir des choses horribles arriver à des gens que j’aime, heureusement ça ne m’est jamais arrivé, la seule mort que j’ai vu ne m’a fait ni chaud, ni froid. J’ai tellement peur des fois… ». Elle avait raison, c'était effrayant de savoir ce qui se produirait, surtout la mort. Il ne comprenait pas très bien pourquoi la mort qu'elle avait vue ne l'avait pas inquiétée, mais il n'osait pas poser des questions. Samwell avait pourtant la conviction que son don à lui était plus effrayant que celui d'Ys, surtout qu'on l'appelait malédiction plutôt que don. Samwell ne pensait pas avoir déjà mordu ou tué un être humain. Il n'en avait pas conscience, mais il en aurait entendu parlé. Mort retrouvé avec des morsures à Gorseemor, ça lui donnait de frissons dans le dos. Pourtant, ses frissons n'était pas une façon de parler. Quelque chose se passait réellement à l'intérieur de lui alors qu'il fixait la jeune femme, souriant. Quelque chose de magique flottait dans l'air alors qu'ils se regardaient en silence dans cette ambiance beaucoup romantique. L'obscurité, la lumière de la lune et les étoiles. Le silence uniquement perturbé par leurs deux souffles. Samwell ne se souvenait pas avoir été aussi bien un jour dans sa vie. Même avec Bonnie. Avec la serdaigle, c'était enfantin, un jeux, rien d'aussi électrique qu'avec la serpentard. Son pote Greame était bien loin présentement, presque mort. Surtout alors qu'Ysolde s'approchait de lui et venait l'embrasser sans prévenir. Sam ferma les yeux et se laissa emporter dans cet élan de douceur. L'une de ses mains alla se poser sur sa joue alors qu'il prolongeait se baiser. Ses joues s'empourpraient alors qu'en se moment précis, il venait de perdre le peu d'intelligence et de lucidité qui lui restait. Impossible de placer des mots sensées après cela. Ça n'avait rien à voir avec leurs baisers précédents. Ce n'était pas le baiser d'une fausse Ysolde sous les traits desquels se cachait son ex maladivement jalouse. Ce n'était pas non plus un baiser forcé pour se sauver d'une mauvaise impasse qui se concluait par une gifle monumentale. C'était elle qui l'avait embrassé, c'était irréel et pourtant, c'était naturel. Leur premier véritable baiser. Même s'il ne la connaissait pas beaucoup, il savait à cet instant qu'il ressentait un truc vraiment fort pour elle. Il était amoureux de ce qu'il connaissait d'elle, amoureux de ce qu'elle faisait de lui, amoureux de ce qu'ils étaient ensemble. Ce ''nous'' qui venait de naître, lui plaisait déjà. Samwell rompit le baiser avec un sourire pour coller son front au sien.

« Tu ne me giflera pas hein ? »

Petite blague qu'il se permettra de rire doucement alors que sa main sur sa joie se glissa pour se rendre dans ses cheveux. Il n'avait pas peur, il savait que la situation n'était pas glissante. Si elle l'avait embrassée cette fois ce n'était pas par erreur. C'était parce qu'elle en avait envie tout autant que lui. Ce baiser n'avait rien eut à voir avec celui de Katniss. Si c'était les même lèvres en apparences, elles n'avaient rien en commun. Ni le même goût, ni la même technique. Plus jamais il ne se ferait avoir par un imposteur se faisant passé pour sa douce. Oui, SA douce à lui et personne d'autre. Il voulait réellement la faire sienne, éventuellement. Samwell n'aimait pas aller trop vite, mais si elle voulait bien de lui immédiatement, il ferait d'elle sa petite amie sans une seconde de plus. Il avait envie de l'embrasser de nouveau, rien que pour la sentir répondre à son baiser. Pourtant fixer ses prunelles étaient tout aussi bien. Sa main caressait doucement son cou alors qu'il profitait du moment, de leur moment.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyVen 27 Jan - 22:23

Ysolde Claudia Morgana Fayburn-Wilkes, ou la fille qui était assez peu expressive sur ses émotions, si vous voyez ce que je veux dire. Oui, elle n’avait pas été élevée dans l’optique « aimons-nous, montrons nos sentiments et faisons nous un gros câlin tous ensemble. » non, pas du tout. sa mère lui avait donné beaucoup d’amour et d’affection, mais après la mort de celle-ci, ysolde n’avait plus rien reçu comme amour, strictement rien. Pourtant, Ysolde avait été une gosse comme les autres, elle avait eut besoin d’amour, d’affection, de reconnaissance, et tout ce qu’elle avait reçu s’était la sévérité, la rigueur et un terrible mensonge sur son sang. Ysolde était donc une bille pour ce qui était de l’expression des sentiments, alors, il était rare qu’elle soit la fille qui embrasse un mec, comme ça. Bien sûr avec samwell, il n’était pas le premier venu, ils avaient une histoire commune, ils avaient parlé, ils partageaient certaines choses. Elle tenait vraiment, vraiment, vraiment à lui. elle ne pouvait pas dire si elle l’aimait, ou si elle ne l’aimait pas, mais c’était certain qu’elle ressentait quelque chose de fort pour lui, et la vision qu’elle avait eut n’arrangeait pas la jeune femme pour y voir au clair dans son esprit. Elle l’avait embrassé, sans vraiment prendre le temps de réfléchir. C’était le véritable « premier baiser », même s’ils s’étaient embrassés dans le magasin, c’était une diversion, cette fois, c’était réel. La réalité était belle, elle avait bon goût également. C’était tellement nouveau pour elle d’embrasser la première, généralement elle se laissait désirer, mais là, non. elle se sentait bien avec lui, tellement bien.
Le jeune homme rompit alors le baiser avec délicatesse. Par Merlin, heureusement qu’il ne l’avait pas repoussé sinon, les joues de la jeune femme se seraient empourprée et elle ne s’en serait pas remise tout de suite. Le jeune homme colla son front contre celui de la jeune femme, et il dit alors : Tu ne me giflera pas hein ? Il avait un sens de l’humour, c’était cela qui plaisait aussi à la jeune femme. Elle avait tellement vécu dans un monde dépourvu d’humour, que les gens qui avaient de l’humour lui plaisaient beaucoup. Une main du jeune homme se glissa alors dans la chevelure blonde de la jeune femme. Elle était contente d’être là avec lui, elle était contente qu’ils soient là, ensemble, eux deux. La jeune femme aimait que les choses aillent lentement, elle n’était pas de ces filles qui couche dés le premier soir, ou qui se sont faites sauter par plus de la moitié de Poudlard. La jeune femme esquissa un sourire. Elle le regarda alors, quand le jeune homme caressa le cou de la jeune femme, c’était agréable, tellement agréable. Elle répondit alors à sa saute d’humeur : Je ne gifle que les inconnus… Répondit alors la jeune femme avec malice. Oui, elle ne giflait que les inconnus. Elle ne considérait plus Sam comme un inconnu, il était au courant de ses visions ce qui était une chose qui faisait qu’il en savait plus sur elle que la majorité des gens. Elle lui adressa un sourire malicieux. Ysolde n’était pas une fille facile, loin de là, d’ailleurs on la caractérisait comme frigide, et de nature réticente au contact physique. Mais bizarrement, elle ne tressaillit presque pas à la main dans son cou du jeune homme, c’était agréable. Alors tu n'as rien a craindre. Elle était souriante, même rayonnante. Le fait qu’elle se soit évanouie s’effaçait peu à peu derrière elle. Elle ressentait encore un peu l’effet de la vision, mais celle-ci s’estompait. Enfin… elle venait de l’embrasser, alors, c’était comme si une petite partie –toute petite partie- de sa vision était entrain de se réaliser.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyDim 5 Fév - 16:06


« Je ne gifle que les inconnus… » Avait-elle déclaré provoquant alors le sourire de Sam. Il n'avait pourtant pas considéré qu'ils étaient des inconnus lorsqu'il s'était emparé de ses lèvres dans la boutique moldu. Il y avait déjà un bon moment qu'ils se connaissaient et surtout que le gryffondor bavait devant la magnifique serpentard. Il était vrai qu'avant de savoir son secret, ils ne savaient pas grand chose l'un de l'autre. Ils se découvraient de jour en jours. Pourtant, Samwell savait qu'il en savait plus sur elle que qui que ce soit. Même Greame, son ancien petit ami et le meilleur ami de Sam, ne connaissait pas Ysölde comme lui la connaissait. Les deux jeunes sorciers partageaient quelque chose qu'ils n'avaient pas le droit de nommer ni même d'en parler. Ils connaissaient leurs secrets mutuels. Sam ne connaissait pas vraiment ses goûts, mais ça viendrait. Il avait envie de continuer, d'aller plus loin, plus haut avec celle qu'il voulait pour princesse. Il avait envie d’avancer avec elle dans l'avenir incertain et sinueux. Ce serait probablement plus facile s'ils étaient deux plutôt que de faire chacun leurs bout de chemins seuls. Ils se soutiendraient, ils se comprendraient, ils se réconforteraient. Risquer de croquer des gens à chaque pleine lune et voir des gens mourir dans le futur n'étaient pas des épreuves faciles et agréables. Pourtant ses choses faisaient partie de leurs réalité à tous les deux. Ils partageaient un moment très tendre alors que Ysölde lui faisait oublier tout le reste du monde. Il n'y avait plus de passé ni de futur, il n'y avait que l'instant présent. Ses secondes où l'amour se déversait des yeux de Sam jusqu'au coeur de la reine de glace. « Alors tu n'as rien a craindre. » Peut-être ne risquait-il pas une baffe phénoménal, pourtant il n'avait pas rien à craindre. Il craignait que leur histoire ne tombe à l'eau. Il en serait profondément blessé si du jours au lendemain, elle décidait de retourner vers Greame. Il aurait une peine que même Bonnie n'arriverait pas à consoler par ses sourires. Une question brûlait les lèvres du jeune sorcier alors qu'il caressait la chevelure de blé de sa déesse. Sa voix c'était alors élevée avec hésitation.

« Et puis il... Se passe quoi avec nous ? Je veux dire... On ? Enfin... Est-ce que ... ? »

Devant l'incohérence de ses propos, les joues de Potter c'étaient empourprées. Il voulait savoir si ce baiser rendait leur union officielle ou si elle préférait attendre encore un peu. Il avait envie de crier son amour sur tout les toits depuis déjà trop longtemps. Il avait envie de saisir ses lèvres sous les yeux de qui voulait bien le voir. Il avait envie d'être à elle. Point final. Il avait envie de la rendre heureuse et le simple fait de la rendre heureuse le rendrait heureux lui aussi.
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MessageSujet: Re: I bet we could light up the sky. (wilkes&potter)   I bet we could light up the sky. (wilkes&potter) EmptyDim 5 Fév - 21:52

Les relations de la jeune femme avaient toujours tendance à mal finir. Elle n’avait jamais rompu avec quelqu’un avec la lassitude du temps, il n’y avait jamais eut cette usure inévitable, ni cette exaspération qui marque la fin de tout. Jamais. Elle n’avait jamais eut une relation qui avait finit de manière normale, jamais. Sa première relation, c’était Duncan Pevensie, son premier amour tout était si parfait à cette époque, l’époque où elle était encore crainte, aimé, détestée, et adulée. Une époque révolue qui avait finit dans les larmes. Il avait fallut qu’il aille a Azkaban, du jour au lendemain, elle était passé de la phase où elle le voyait tout les jours, à l’absence totale. Elle l’avait haït pour l’avoir abandonné de la sorte. S’il n’avait pas été à Azkaban, sa vie aurait été différente, peut être que leur relation serait encore d’actualité, peut être qu’elle aurait cessé grâce à l’usure. Suite à ce fiasco total, il y avait eut Ulysse Lestrange, peut être ce qui lui était arrivé de pire dans sa vie. Ils avaient été forcé à être ensemble. Amour, ou pure création ? Elle n’avait jamais vraiment su. Le destin l’avait affublé d’un crétin de sang pur, complètement cinglé qui avait ravagé une partie de l’âme de la jeune femme. Il avait causé plus de chez elle, que de bien, c’était certain. Il avait réveillé la sang pur qui était en elle, et elle ne s’en était jamais vraiment remise. Entre grandeur, folie, et décadence, cela avait finit dans un bain de larmes, et de sang. Puis, il y avait eut Graeme, ce crétin de blond. Au début c’était parfait, jusqu’à ce qu’il reluque les fesses et la poitrine siliconé de Goyle la pute. Une relation en laquelle elle croyait avait pris fin, elle qui lui avait fait confiance, elle avait tellement été déçu. Et le pire, c’était que c’était lui qui l’avait largué, et non le contraire, et ça croyez moi, cela ne faisait que la blesser d’avantage. Après tout ça, vous pourrie facilement comprendre qu’elle ne croyait ni en l’amour, ni en ses relations. Elle n’avait plus grand-chose en quoi croire. A chacun de ses relations, elle avait perdu une partie d’elle-même. Elle avait été abandonné, battue, mais le fait d’être trahie faisait plus mal que tout, c’était comme si on l’avait poignardé dans le dos, en plein cœur. Elle était tellement fragile, une poupée de porcelaine.

Ysölde avait apprit à ses dépends que la vie n’était pas un conte de fée. Elle avait appris qu’elle n’était pas une princesse qui attendait un prince charmant, elle avait appris que le prince charmant n’existait pas, que l’homme parfait n’existait pas. Pour autant, elle n’avait pas choisis de devenir une de ces pétasses qui couchent avec la moitié du château. Elle n’était pas comme ça, au contraire, pour se vanter d’avoir couché avec elle, il fallait s’appeler Ulysse Lestrange, et il était six pieds sous terre. Au moins, elle n’avait pas hérité d’une certaine réputation, puisque visiblement, Ulysse n’avait jamais rien dit sur elle, peut être qu’au fond, il avait été sincère quand il lui avait dit qu’il l’aimait. La jeune femme regardait Samwell Potter, il était en apparence trop parfait pour être honnête. Hic, numéro un, c’était un loup garou, hic numéro deux, comme Ysolde il baignait dans une histoire assez sanglante. Comme quoi, il ne faut jamais vous fier aux apparences, elles sont trompeuses. Elle ne savait pas où ils allaient ensemble, et cela faisait peur à Ysölde, il pouvait toujours arriver pire. Le secret qu’il partageait n’aidait pas la jeune femme à y voir plus clair, elle connaissait des choses sombres, ce n’était peut être pas la meilleure chose pour commencer quelques choses… non ? Le jeune homme dit alors : Et puis il... Se passe quoi avec nous ? Je veux dire... On ? Enfin... Est-ce que ... ? Il était niais parfois. C’était le mot, il était aussi maladroit qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Mais, elle avait compris ce qu’il voulait dire : est ce qu’ils étaient ensemble ? Ysölde ne pouvait pas répondre à cette question. Elle n’aimait pas se remettre trop vite avec un mec après une rupture, comme si elle voulait avoir le temps de se reconstruire, de tourner la page complètement. Il faut savoir se défaire du passé pour avancer, Ysölde le savait bien, mais c’était dur. Elle était fragile, et s’attachait tellement vite aux gens, elle leur laissait une chance de la détruire tellement facilement. Goyle avait saisi cette chance, et ne pouvait même pas estimer le mal qu’elle avait fait à la blonde. Je sais pas. La jeune femme passa nerveusement une main dans ses cheveux, et tourna légèrement la tête, comme pour reprendre son souffle. Dans ce genre de situation, la jeune femme avait parfois la gorge serrée, que sais-je. Elle l’appréciait tellement, mais n’avait pas envie de passer pour une fille désespéré se jetant dans les bras du premier mec qui se passait après une rupture, même si ce n’était pas le cas, c’est ce que les gens diraient. Pour sortir avec Ysölde il fallait avoir le cœur bien accroché, et il fallait un décodeur pour comprendre cette énigme qui était à un croisement dans sa vie. Je… ce n’est pas toi, c’est moi. Je ne sais pas si je suis prête pour ce genre de chose. Ca n’a rien à voir avec toi, ou avec qui que ce soit, c’est juste qu’il m’arrive tellement de chose en ce moment que je ne sais plus quoi faire, ni comment. Ysölde avait doucement perdu son sourire. C’était vrai : elle ne savait plus quoi faire de sa vie. Elle se demandait ce qui l’avait poussé à rester à Poudlard, alors que cet été elle avait voulu changé d’école, Beaubâtons, l’école de sa mère l’aurait accueillit à bras ouvert. Elle se demandait pourquoi elle en était arrivé à vivre au chaudron baveur, pourquoi elle n’avait plus tellement d’amis, pourquoi des personnes cherchaient à lui faire tant de mal. Ysölde se demandait pourquoi elle n’avait pas eut la force de quitté Poudlard, et tout ce qui lui faisait du mal. Ysölde était blessée, au fond, elle ne s’était jamais remise de la vérité concernant sa famille, sa mère, son sang mêlé, son amnésie, le possible meurtre de sa mère, et Ysölde n’était pas au bout de sa surprise, si elle savait que son père lui en réservait une de taille avec sa tante, elle aurait sitôt pris ses jambes à son cou et ne serait jamais revenu. Elle ne voulait pas que Sam lui en veuille, elle était tellement vulnérable, s’il lui en voulait, elle aurait du mal à s’en remettre. La jeune femme tourna la tête vers Samwell, cherchant une réponse au fond de ses yeux. C’était indéniable, elle ressentait quelque chose pour lui, seulement en ce moment elle ne savait pas démêler ses émotions, ses sentiments, elle avait peur d’être d’avantage vulnérable, chaque jour un peu plus. Cette vision ne l’aidait pas, elle c’était vu dans ses bras, elle ne pouvait pas lutter, quand elle dit alors : mais, je tiens à toi tu sais.. je suis juste un peu.. perdu en ce moment. J'aimerais beaucoup, être avec toi. Dit la jeune femme dans un souffle.
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