(c)young folk.

Il était tard, ou alors très tôt le matin. J’avais néanmoins réussis à éviter les préfets jusqu’à maintenant. C’était assez facile, il m’avait juste fallut éviter les endroits sensible d’être tout le temps fréquenter par les idiot qui faisait le mur. Après cela ce fut très simple de vagabonder dans le château comme il me le sembla. Pourtant cette nuit l’envie de marcher ne me tenta pas. J’en restais donc au sous-sol. De toute manière ici peu de préfets serraient présent pour me faire la moral si vraiment je tombais sur l’un d’entre eux. Je n’étais pas fatigué, la journée avait été calme et donc je n’avais pas réussis à perdre toute l’énergie acquise la nuit passée. Pour une fois en effet j’avais pus me coucher tôt et donc ainsi jouir d’un sommeil réparateur. Seul problème maintenant que j’avais fais mon stocke de sommeil, il n’était plus question pour mon corps de dormir. Et je me retrouvais donc à tourner en rond sans savoir que faire. Faire mes devoirs était une perceptive inimaginable, je n’étais pas rendu à ce point là d’ennuis, donc je ne m’attardais point dans la salle commune. Je n’avais pas pris le soin de me mettre en pyjama, juste d’ôter mon uniforme que je détestais tant pour enfiler un jeans, un tee-shirt et un cardigan. Dans le château il ne faisait pas froid; mais néanmoins juste en gilet je n’avais pas réellement chaud. Soupirant je cherchais un endroit pour fuir les couloirs désert et frais. Je vis alors l’escalier pour mener aux cachots. Un sourire amusé fendit mes lèvres tandis que je jetais un coup d’œil en arrière. Il n’y avait pas de bruit et je m’engageais dans le dédale de couloirs que nous, serpentard, connaissions si bien. Ma baguette coincée dans un passant de mon pantalon, j’avais les mains enfoncées dans les poches, mes chaussure foulant le sol sans bruit. Il n’était pas question que je me fasse remarquer. Même si ici seul les préfet de serpentard iraient sans doute se risquer à venir, et donc que je ne risquais qu’une remarque orale, je n’avais pas envie de me faire dire de retourner dans mon dortoir. Il en était hors de question. J’avais surtout bel et bien horreur de voir un morveux plus jeune que moi se croire dans la possibilité de me dire quoi faire. J’avais depuis longtemps passé le règlement des heures de couché, pourtant il n’en restait pas moins qu’à une heure tel que celle-ci même ma neuvième année ne m’apportait aucune supériorité. Je détestais cela. Mais les préfets plus jeune et même ceux de mon âge avaient vite comprit qu’il ne fallait pas m’embêter. En même temps je n’avais pas lésiné sur les moyens dès le début de l’année, pour montrer que je restais fidèle à moi-même et que règlement de compte, humiliation et méchanceté faisait toujours bel et bien partit de mon fonctionnement.

J’enfonçais doucement la porte des cachots et me glissais dedans tel une ombre au passage de quelqu’un. Je la refermais et le silence reprit possession des lieux. Soupirant je regardais les torche éteinte. Un tour de baguette plus tard, une lumière nouvelle illuminait la pièce, les torche crépitant doucement autour de moi. Rangeant ma baguette je m’avançais dans la pièce; il y avait quelque vieux meuble et un bureau; mais sinon elle était dépourvut de toute chose; laissant son usage premier ressortir avec importance. Les cachots n’ayant jamais été là pour être un lei accueillant. Passant derrière le bureau, je me posais sur la chaise mettant mes pied sur les bureau, bien à mon aise, supérieur même seul.




601 mots

(c) Fox

Seul le bruit de ses talons aiguilles se faisait entendre, il était tard, elle n'avait pas le droit d'être là, mais elle se foutait royalement de faire attraper par un professeur ou par un préfet. Une heure de plus ou de moins en colle, ça n'avait pas d'importance. Jules Bennett, la petite poupée blonde de Serpentard se promener dans les cachots. Certes, un dimanche soir, il aurait été préférable de la trouver dans son dortoir, mais la belle n'en voyait guère l'intérêt. Elle n'avait pas envie d'entendre ses soit-disant « camarades » de chambre se plaindre de tel ou tel professeur ou parler du dernier mec sexy ayant rejoint l'équipe de Quidditch. C'était d'un tel ennuis !
Alors, elle avait cherché Aristide, ce dernier était introuvable, Jules en déduit qu'il était parti faire un tour. Loin de s'être avouée vaincue, la jeune femme avait attrapé ses cliques et ses claques pour partir à la recherche du beau brun. Vêtue d'un simple pull en cachemire émeraude et d'un pantalon où n'importe quelle autre élève se serait sentie trop serrer, elle avançait lentement au bruit de ses talons. Cependant, cela n'avait rien de provoquant, n'allait pas croire que Miss Bennett se sape comme la première bitch venue !
Elle savait où trouver Aristide, elle le connaissait trop bien pour le perdre. Tout était calme autour d'elle, lorsqu'elle arriva enfin devant une porte en chêne situé dans les fins fonds des cachots, Jules eut un petit sourire et sans la moindre hésitation, s'engouffra dans la pièce. Les cachots, pour les Serpentards, ont ce côté pratique, ils sont trop flippant, pour les plus jeunes et trop immenses pour les plus vieux, qui n'aimeraient pas se perdre dans le repère des fantômes du château et des verts et argents.
Son instinct, ne l'avait pas trompé, à une dizaine de mètre d'elle, le visage d'Aristide lui apparu, assit à son aise, les pieds sur le bureau. Certains trouveraient cela, provocateur et malpoli, mais c'était fait avec tellement de classe...

Le sourire de la jeune blonde s'élargit laissant apparaître ses dents d'un blanc éclatant, s'approchant aussi rapidement de ses talons lui permettaient, elle arriva à la hauteur du jeune homme et s'assit sur le bureau près des pieds de son frère, lui faisant face. Plongeant ses yeux dans les siens, elle ouvrit la bouche :

« Tu es si prévisible ... »

Sa voix était semblable à un murmure doux et glacial à la fois, cependant sa remarque n'avait rien d'un reproche c'était juste un constat. A cette heure là, il n'y avait pas trente-six mille endroits ou le chercher. Mais, si leurs rôles avaient été inversés, le constat aurait certainement était le même.

Ramenant, pendant quelques instants, une mèche blonde, derrière son oreille, elle rapporta toute son attention vers son frère, s'il était venu cherche de la solitude, il allait être déçu, Jules n'avait pas du tout l'intention de le laisser seul dans cette pièce. Elle était tout à fait capable de rester planter là devant lui sans prononcer un seul mot pour le restant de la soirée, de toute façon Jules n'a jamais été une bavarde, les longs monologues en général, elle ne les emploie pas.

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Balançant ses jambes, la verte et argent regardait toujours sans ciller son frère. Elle aurait pu le contempler pendant des heures. Elle connaissait son visage par coeur, de ses cheveux d'un noir si ténébreux à ses yeux d'un bleu si magnifique, jusqu'à sa bouche, tout était perfection et même s'il y avait eu le moindre défaut, cela n'aurait rien changé à sa vision d'Aristide. En le regardant elle ne voyait que son idéal. Elle avait connu, que lui et n'avait pas envie de connaître d'autres hommes aussi bien que lui. Le destin avait décidé de les réunir pour le meilleur, mais surtout pour le pire. Vous n'avez pas idée de la douleur ressentie quand on sait qu'on n'a pas le droit d'aimer la personne avec laquelle on est le plus en phase. Au final, cela vous bouffe de l'intérieur, et quoique vous fassiez la tentation vous pousse finalement à commettre un pêché, si minime soit-il.
Il remit si délicatement sa mèche de cheveux derrière l'oreille de la Serpentarde, que celle-ci eut un petit sourire, ce geste de douceur, Jules était heureuse d'être la seule à en bénéficier et si par mégarde une autre aurait à subir le même traitement de savoir, elle irait, vite fait, bien fait à St-Mangouste, quant à Aristide, même si Jules était incapable de lui faire du mal, elle trouverait certainement quelque chose pour lui faire comprendre son mécontentement.

« Je te retourne le compliment... ainsi c'est plus facile pour pouvoir se retrouver. »

La jeune fiemme ne lui répondit pas. A quoi bon ? C'était tellement vrai, depuis qu'ils avaient cinq ans, ils avaient appris à tout connaitre de l'autre. Certaines personnes qui les rencontraient pour la première fois étaient même étonnées d'apprendre qu'ils n'étaient pas jumeaux, mais qu'ils étaient juste, unis par le mariage de leurs parents respectifs. Jules ne se souvient pas, comment cette histoire a commencé, elle sait juste qu'ils se sont liés d'amitié très vite et probablement trop vite vu la tournure qu'à prise leur relation à l'âge de l'adolescence.
Jules soupira et s'attarda encore sur son visage, elle se doutait de la raison de sa venue dans un tel lieu, mais elle voulait en être certaine :

« Tu fuis ta nouvelle copine ou tu joues, le dépressif insomniaque ? »

Bien qu'il y ait une pointe d'humour dans sa voix, la « nouvelle copine » avait eu du mal à passer pour un léger détail. Non, la colère et la haine auraient, être pu ressenties par n'importe quelle personne extérieure à leur conversation. Elle lui faisait à nouveau face, son regard transperçant à nouveau le sien. Elle n'avait jamais aimé voir Aristide avec une autre et elle se doutait bien que lui aussi il n'aimait pas la voir avec un mec, pourtant il arrivait à se montrer si indifférent, chose que Jules n'arrivait pas toujours à faire.

522 mots (désolé c'est pas terrible -_-"