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OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec

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MessageSujet: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyDim 25 Mar - 21:18


ϟ CARTE MAGIQUE DU SORCIER
ϟ PRENOM, indiquez les mentions nécessaires
ϟ NOM, indiquez les mentions nécessaires
ϟ AGE ET INFORMATIONS SUR LA NAISSANCE, indiquez les mentions nécessaires
ϟ ANNEE ET CURSUS, Pour les personnages de la première à la septième année, vous complétez ici en mettant ‘Cursus normal’, et pour les années suivante référez vous à la liste ici !
ϟ NATURE DU SANG,Pour être de sang pur, il faut en faire la demande, et choisir de façon cohérente une famille parmi une liste donnée, qui se trouve ici. Nous limitons les sangs purs pour être cohérent. Pour être de sang mêlé ou né moldus, il n’y a pas de contraintes.

ϟ MA PREMIERE IMPRESSION VIS-A-VIS DE POUDLARD
Il s’agit de raconter ici, à la première ou à la troisième personne ce qui est arrivé à votre personnage la première fois qu’il a vu Poudlard. Si vous êtes à Poudlard depuis toujours, il s’agit de votre arrivée en barque, etc. cela ne doit pas être très long, juste votre première impression.

ϟ JE SUIS LE CHOIXPEAU ET JE SAIS TOUT !
Bonjour à toi, nouvel arrivant à Poudlard, je souhaite de poser des questions auxquels tu répondras franchement, et si tu mens, je le saurai. Cela restera entre toi, et moi, cela m’aidera à trouver quelle maison est faite pour toi mon enfant !
ϟ Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant,
Mon enfant. Ai-je encore l’air d’avoir moins de douze ans ? Qui plus est, je ne suis pas le vôtre. Je suis né du ventre de ma mère grossi par le sperme de mon père et non pas par la pointe de votre calotte. Mon enfant… Même le prêtre de ma commune ne m’appelle pas ainsi. Ni même mes parents. J’ai un prénom. Othello. Un prénom que j’affectionne. Un prénom qu’on dit représenter la richesse, malgré l’ombre que dessus a posé Shakespeare. Une richesse souillée d’impuretés. Voilà comment peut-on définir mon nom, et, à son travers, moi-même. Je suis le roi des misérables, le prince des hors-castes. Ne pensez point que cela n’est que figures poétiques qui n’ont pour but que de rendre plaisante notre discussion. Mes mains sont emplies de l’or de ma lignée, dans mes veines coulent l’hémoglobine des plus grands et ma tête est plus docte que quinze de vos pur-sang réunis. Ce n’est pas parce que ma mère et mon père n’avaient aucun pouvoir magique qu’ils ne m’ont transmis aucune valeur. Il existe en ce monde quelque chose de bien plus onéreux, de bien plus rare et recherché qu’un sang soi-disant sacré. Cette chose qui fait que je suis parfois craint, parfois moqué. L’intelligence. Mon bien le plus précieux. J’en jouis, je jubile. Il y a d’ailleurs plus souvent des livres entre mes draps que les jambes d’une quelconque séduisante créature. Des taches d’encres sur mes couvertures plutôt que de la liqueur séminale, des nuits blanches passées penché sur un bouquin et non pas sur le corps d’une femme. Des poignets meurtris par l’écriture et non pas par la masturbation. Et quand enfin je m’endors, c’est le visage entre deux pages et non pas entre deux seins. Puis le lendemain, je me réveille avec une migraine à faire pleurer un héros nordique. Si toutefois je me réveille et arrive à accumuler suffisamment de courage pour me détacher de ma couche. Il m’est déjà arrivé de ne pas quitter mon matelas pour trois jours d’affilée. Pas même pour me sustenter ou aller démouler un cake. Mes seuls mouvements étaient ceux de mes doigts sur les parchemins. Le monde de dehors m’intéresse si peu. Les deux tiers de la bibliothèque me sont interdits du fait de mon sang. Ou dois-je dire, de mon absence de sang ? Je ne possède non plus d’amitiés suffisamment fortes qui font que je ne peux point survivre sans voir quelques visages familiers chaque jour.

Il est d’ailleurs reconnu que je parle peu et me désintéresse d’autrui. Si un jour j’ai une petite amie, j’aimerais qu’elle soit muette. Qu’elle me montre son affection par des caresses, par des attentions. Par sa présence silencieuse. En plus de, selon mon avis, suffisamment parler pour deux, je trouve que cela est un acte si souvent mal utilisé. L’être humain discute, communique trop. J’aimerais qu’on puisse être comme les cerfs, les chevaux. Les renards. Qu’on puisse se côtoyer, rester en groupes sans pour autant être obligés de se noyer les uns les autres sous des paroles insensées. Se câliner, jouer à la bagarre. Rire un peu. Montrer du doigt sans dire ce que l’on voit, se sourire et se regarder. Simplement. Pleurer. Se faire réconforter. Il est étrange, presque paradoxal disent certains que j’aime autant lire mais abhorre sans limites les mots oraux. C’est que j’ai tendance à penser qu’on réfléchit plus longtemps ce qu’on écrit que ce qu’on dit. Les livres, ce sont des pensées qu’on a travaillées si longuement, qu’il y a un moment, on ne peut plus simplement les retenir en notre boite crânienne. On doit les coucher par écrit. Choisir les bons verbes, adjectifs, pour garder les sentiments qu’on sent dedans. Cela étant, j’aime chanter. J’ai, plus jeune, fait partie de la chorale de mon village bien que je ne sois pas croyant. Mais c’était la seule façon, pour moi, de rassembler deux faits que j’apprécie. Etre entouré et chanter.

J’ai dit que je pouvais me passer de compagnie et que mes quidams me font rarement sentir tout chose à leurs égards, mais cela ne veut pas pour autant dire que je suis asocial. Je suis ce genre de personnes qui, pendant les fêtes, sont assises sur une chaise et observent les autres, sans tenter de s’immiscer dans leurs discussions. Qui semblent (et sont) ennuyées. Mais qui, quand on leur demande si elles désirent quelque chose, se contentent de dire que tout va pour le mieux. Qui, quand on leur demande comment trouvent-elles la soirée, disent qu’il est plaisant d’y être. Ces individus qui semblent être perdus dans les tréfonds de leurs cœurs et n’en ressortent que lorsqu’on les appelle. Je ne suis pas contre les interactions sociales. Je suis juste, non pas timide, mais flottant. Ce qu’on peut penser de ma personne ne m’intéresse pas. J’aime faire ce que je désire faire, qu’importe si cela déplait. Qui m’aime me suive, qui me hait passe son chemin. Et à ceux qui restent, qu’ils n’attendent pas de grandes déclarations d’affection de ma part. Celles-là sont réservées à ceux que, moi-même, je suis. A ceux que j’aime. Ces filles dont je défais les tresses en cours, ces garçons avec lesquels j’échange des regards complices. Beaucoup sont déconcertés par ma façon d’être. Pour la majorité, je suis cet énergumène qui prend les mains de ses amies pour les embrasser quand il est heureux qu’elles se soient assises près de lui. Cet étranger qui répond à la question d’un professeur par une grimace. Cet incompris aux réflexions aussi douteuses que son noir humour. Pour ceux qui couchent dans le même dortoir que moi, je suis juste la limace désordonnée qui siffle du nez la nuit. Pour mes cousines, il semble que je suis un esprit dérangé qui aime jouer avec les araignées, lancer des pierres aux gros chiens du voisin et marcher le long des voies ferrées. J’ai beau leur dire que plus aucun train n’y passe, elles refusent de me croire.

Peut-être ont-elles tellement l’habitude de me voir prendre des risques qu’elles n’arrivent pas à penser une de mes actions libre de tout danger. Je ne suis pas bagarreur, ni même insensé. J’ai juste une passion pour ma liberté d’agir. De bouger. Sans craindre la mort. De toute façon, on meurt tous un jour. Depuis longtemps mes parents ont cessés de s’alarmer quand je disparais pour quelques jours, dans la cambrousse qui entoure notre immense demeure familiale. Juste ma mère qui, quand elle me voit grimer le long du noyer qui trône près du lac de notre parc, me dit de faire attention quand je redescendrai ; que je ne me brise pas une jambe pour la troisième fois de ma courte vie. Ou mon père qui me rappelle, quand il m’apperçoit partir avec mon vélo, que ma petite tête de moineau serait bien plus jolie parée d’un casque. L’infirmière me connaît d’ailleurs très bien, depuis que je suis venu la voir pour m’être intoxiqué avec l’ingrédient d’une potion ou retourné le poignet suite à une cabriole sur balai. Je suis pourtant quelqu’un de très prudent, qui réfléchit toujours deux fois avant d’agir. Or, certainement quelque chose fonctionne mal dans ma façon de raisonner. Peut-être que le fait que je ne considère pas la douleur comme un obstacle. Certains disent que je cherche à me faire mal. Je suis toujours le premier à bien vouloir me battre avec un animal magique, une plante aux propriétés urticantes ou une malle ensorcelée. Il m’est déjà arrivé de lutter avec d’autres humains mais je fais mon possible pour que cela soit rare, puisque cela ne semble pas pouvoir être inexistant. Je ne me vante pas de mettre quiconque par terre. Ni aime cela, bien que j’en arrive plus facilement aux mains qu’aux insultes. Et que, malgré la minceur de mon corps, je me défends plutôt bien. De même avec une baguette magique. J’ai toutefois la chance d’avoir un caractère apathique, ce qui fait que je me mets rarement en colère. Il m’arrive d’être énervé, mais cela se traduit souvent par un simple soupir. Une simple œillade et un long silence. Je n’aime pas faire valoir mes arguments au-dessus de ceux d’un autre. Cela est, souvent inutile. N’ayant pas la science infuse, il se peut que mon propre point de vue soit aussi faux que celui de l’être me faisant face. Qui plus est, certains sont tellement obtus que même s’ils ont de façon visible tort, ils refusent de l’avouer et s’aveuglent eux-mêmes.

Oui, ma vision du caractère humain est pessimiste. Ma vision de moi-même l’est aussi. Je ne sers pas à grand-chose, finalement. Je suis trop souvent un simple cul sur une chaise au fond d’une classe, un livre sur les genoux, n’écoutant pas un traitre mot de ce que peut bien raconter mon professeur. Et cela les énerve. Cela énerve mes camarades que j’ose tirer sur leurs vêtements. Enerve ceux qui veulent me connaître, quand simplement je détourne mon mignon minois du leur. L’administration n’en peut plus de mes absences. Pour maladie, pour flemmardise. Ma famille aimerait que je sorte de ma coquille pour aller plus en avant de mon avenir. Que je cesse de regarder les trains passer, sans monter dans aucun. Oui. Je suis énervant. Même pour moi-même. Alors je lis, pour m’oublier moi et mes pensées. Je ne prête attention qu’à ces mots qui construisent des phrases, des existences qui ne sont pas les miennes. Et si cela se trouve, les livres aussi me trouvent énervant. J’adorerais être une coquille vide. Au moins, je ne ressentirai pas le fait que je suis inutile. Une coquille ne pense, ne ressent pas. Une coquille ne se sentirait pas obligée de s’excuser. Oui, je m’excuse. De quoi ? Je ne sais point. D’exister, possiblement. On me le reproche tant. J’en suis désolé. Sincèrement.


ϟ Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang de tes camarades,
Je ne sais trop quoi en penser. Au fond de moi, je suis heureux qu’ait été créée une maison pour les seuls nés moldus. Dans les dortoirs, personne ne se moque de moi si j’utilise un ordinateur ou un téléphone portable. Tous savent ce qu’est un grille-pain ou une marelle. Cela rend nos interactions plus faciles, car nous partageons ensemble plus que ce que nous pourrons jamais avec d’autres élèves ayant toujours connus le monde magique. Je me suis souvent senti mal à l’aise alors que certaines de mes connaissances parlaient de jeux et sports magiques desquels j’étais totalement ignorant. Et pas un, la plupart du temps, ne pensait à se retourner vers moi pour m’expliquer quoi que ce soit. Comme si tout était acquis, compréhensible. Je ne me suis jamais véritablement intégré à la communauté sorcière, même quand cette dernière cherchait à m’assimiler. Il y a trop de différences d’éducation, trop de différences de milieu ! Même nos groupes de musique ou nos goûts culinaires sont différents. Ainsi, me retrouver entourés simplement de sang-de-bourbes comme certains disent, me plaît et me sied.

Néanmoins, l’impression d’être traité comme un sorcier de troisième classe par la faute de mon sang et de l’erreur de quelques-uns m’est un os au travers de la gorge. Cela m’a privé de nombreux droits au sein de Poudlard. Des droits que j’affectionnais. Il n’est pas faible que dire ce qui se propage au sein de l’école est un pouvoir autoritaire, qui supprime nos libertés sous prétexte de tous nous protéger. Cela ne touche pas, en mon sens, que les GrindleMonks. Et si peu semblent réagir ! L’idée de démocratie, d’égalité, n’existe-t-elle donc point chez les sorciers ? Cela n’arrange pas ma vision de ce monde qui, je trouve, devient de plus en plus déplaisant. La magie d’autrefois s’est envolée, ne laissant sur place qu’une amère déception. J’aurais mieux fait d’étudier l’astrophysique dans une université moldue. Au moins, là-bas, chacun est traité comme il se doit. Quant au sang, il a pour moi une seule valeur : celle d’être un composant de la vie.


ϟ Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espères-tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir,
Qu’importe ce que je ferais ou ce qu’il m’arrivera, toujours je m’en sortirai. Du fait du bonheur de ma naissance au sein d’une famille aisée et de mon cerveau instruit. Cela me suffit. Et, je n’aime pas faire des plans. C’est ennuyeux, de faire des plans. Cela surtout nous empêche de vivre pleinement, de nous engouffrer sur le moindre chemin qui nous apparaît. On refuse d’aller par là car on craint que cela nous éloigne d’ici. Ou de là. Je ne me donne pas de buts. Tout ce que je peux dire, c’est que je souhaite apprendre toute ma vie durant. Cela me plairait de rester étudiant jusqu’à mes soixante-dix ans… faire tous les cursus possibles et tomber malade. Une maladie qui me ferait perdre la mémoire, pour que je puisse apprendre de nouveau. Encore. Toujours. Bref. On verra bien ce que je serai devenu, dans dix ans. Ou dans quarante. J’espère que je n’aurai rien d’un vieux aigri qui ne sait penser que comme tout le monde. Je peux vous sembler dissipé, mais ce côté hyperactif et débauché est un atout dans la filière que j’ai choisie. Les grandes découvertes sont bien souvent le fruit de hasardeuses expériences, seulement motivées par la curiosité et l’ennui. L’envie de faire exploser, l’envie de tout faire bouger.

ϟ Un de tes camarades se fait rouer de coups dans un couloir, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu, ou simplement parce que vous êtes en cours avec elle. Que faites-vous ?
Si l’agresseur est quelqu’un que je connais et que je sais pouvoir maîtriser sans trop me fâcher avec ce dernier ni faire trop de remous, pourquoi n’interviendrai-je pas. Qu’importe la victime. Toutefois, si la brute est un être qui m’est inconnu et qui plus est fait deux fois mon gabarit, n’espérez pas grand-chose de ma part. Avant, il me plaisait d’aider en lançant un minime sort (et de m’enfuir par la suite pour éviter qu’on sache que cela était mon méfait, craignant les représailles), mais cela m’est à présent interdit. L’interdit me freine à présent, à croire que je deviens adulte. Et hors de questions que j’aille me frotter à une brute qui d’une claque m’arracherait la mâchoire ; un blessé suffit, que je n’en rajoute pas un second. Je me jette rarement dans la gueule du loup sans réfléchir. Au mieux, je donnerai un coup d’épaule à quelqu’un en lui disant d’intervenir. Je suis plutôt bon quand il s’agit de responsabiliser autrui. Il suffit, dans le cas d’une agression, de choisir quelqu’un qui ne baisse pas son regard devant la scène se déroulant et qui, maintenant, n’est pas un né moldu. Il se peut aussi que j’attende que l’éclat cesse pour intervenir ensuite, guidant pour délier les sortilèges ou pour accompagner le malheureux à l’infirmerie. J’aime conserver un rôle peu visible, limite passif. Tout comme j’ai horreur de m’impliquer dans une situation où, je le sais, je ne serai pas le dominant. C’est pour cela qu’il m’arrive de passer mon chemin comme tant d’autres. Surtout si la victime est une personne que je ne porte pas en mon cœur. Je suis quelque peu rancunier, je vous l’accorde. Mais, eh. Je ne suis pas Jésus et n’ai aucune prétention à l’être.

ϟ Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir: es-tu un bon élève, ou le fauteur de troubles de la classe ?
Je suis le genre d’élèves qui a les capacités mais qui est trop fainéant pour les exploiter. Ce n’est pas parce que je passe ma vie le nez plongé dans un livre ou dans une marmite que mes notes sont celles d’un champion olympique des encyclopédies et savoirs. Les interrogations se résument trop souvent à apprendre par cœur ce que le professeur dit pour tout recracher sur un parchemin. Le problème est, qu’en cours, j’écoute à peine ce qui se dit. Tout ce que je sais vient d’ailleurs que de la bouche de mes enseignants. Je n’ai pas les techniques qu’ils voudraient, les pensées qu’ils voudraient. Et cela, incroyablement, nuit à ma moyenne générale. Néanmoins, dès qu’il s’agit de penser par soi-même, d’aller au travers des sentiers battus et des champs en friches, j’excelle. Malgré mes notes tournant dangereusement autour de la moyenne demandée, je suis celui vers qui on se tourne quand la classe entière est muette – et rarement mes interventions sont inutiles. Comme quoi, un carnet de notes ne reflète en rien les capacités d’un élève.

ϟ Si c'était à vous de choisi votre maison, quelle serait-elle ? Et surtout, pourquoi penseriez vous êtes digne d'être membre de cette maison ? J'aime avoir les avis de tout le monde.
J’aimerais être un Serdaigle, j’apprécie leur calme et érudition. Néanmoins, selon les dires de ceux qui me côtoient, ce n’est pas la maison qui m’est le plus appropriée. Certes, je partage leur goût pour la lecture, mais je n’ai pas cette efficacité studieuse et cette droite morale qui les caractérisent tant. Je n’ai jamais été dérangé par le fait de tricher pour augmenter ma moyenne de quelques points, m’évitant de ainsi de passer sous la moyenne. Ne me rangez toutefois pas du côté des Serpentards, bien que je possède avec eux quelques points communs. On me dit souvent hautain du fait que je n’aime pas côtoyer mes comparses que je trouve trop souvent immatures, et la force oratoire (que je possède) est souvent traduite comme une qualité de cette maison de sinople et d’argent. Qui plus est, la nature de ma baguette magique peut laisser penser que je peux parfaitement être l’un des leurs. Malgré tout, me connaissant, je sais qu’il me manque deux choses essentielles pour faire partie des Serpentards : le goût du triomphe et la vanité. Je ne cherche pas à être meilleur qu’autrui en rabaissant tout ce qui risque de m’arriver à la cheville. Je suis toutefois orgueilleux et fier, comme un lion roi. Un lion… l’emblème des Gryffondors. Bien que je ne sois pas spécialement bagarreur, on dénote chez moi un certain courage – quand on sait comment regarder en moi. J’ai le courage de m’exprimer. Le courage d’accomplir mes envies et le courage de rester droit, tout comme celui d’accepter mes faiblesses et mes torts. J’ai aussi une grande propension à me retrouver dans des situations difficiles. Un défaut qui est presque une qualité des Gryffondors. J’ai toujours été, bien que quelque peu solitaire, populaire. Je possède un fort magnétisme qui fait souvent de moi, sans que je ne le veuille véritablement, celui vers qui les têtes se tournent. J’ai l’habitude des responsabilités et, plus encore, de prendre sur moi les fautes d’autrui. Cela ne me dérange que peu. Je manque toutefois de l’instinct de meute qui entoure la maison d’or et de gueules ; si on ne vient pas me chercher, je ne me manifeste pas. J’aime ouvrir ma bouche, mais seulement quand on me le demande ou quand cela me concerne de façon profonde. Il ne reste qu’une maison, qui ne m’intéresse guère. Les Poufsouffles. Je n’ai aucun point commun avec eux, à part peut-être leur discrétion qui tend parfois à de la transparence… mais je n’ai pas leur loyauté ou leur désir de justice. Qui plus est, je n’aime pas le jaune.

ϟ Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ?
Une baguette insensée à maître insensé… Si Ollivander était en possession de la baguette qui aujourd’hui m’appartient, il n’en est pas le créateur. Ou alors, ce dernier connaît les secrets de la réincarnation… Je me souviens l’avoir entendu marmonner que cette baguette était au moins cinq fois plus vieille que lui. Il est légitime de penser ses paroles vraies quand on sait de quoi est composé cet artefact magique. Non, les ingrédients le composant ne sont pas de toute fraîcheur ! Le vieillissant Ollivander me signifia tout d’abord que le bois clair décoré de rainures bleues utilisé est celui d’un pin surnommé Mathusalem du fait de son grand âge (environ quatre-mille sept-cent ans) et que, vu les protections existantes autour de son vieux tronc, j’étais certainement le seul à en posséder un fragment. Et pour rajouter à l’idée de longévité, il faut savoir que le pin est le symbole de l’immortalité par le fait de la persistance de son feuillage. C’est un symbole de puissance vitale qui s’accorde mal avec mon caractère apathique, tous en conviennent. On lui confère aussi une idée de force inébranlable, forgée tout au long d’une vie faite de combats ; ce qui me fait craindre pour mon avenir. Quoique mon présent est déjà difficile, surtout depuis l’attentat de l’ASDENEMO.

C’est toutefois son principal composant qui me fait redouter la puissance de cette baguette, car il s’agit d’un poil de barbe de Salazar Serpentard. Quand vous êtes un né moldu, cela a de quoi vous laisser pantois. Ce dernier n’était pas connu pour son amour des sangs impropres, si je me permets l’expression. Quant au fait que ce soit un poil de barbe, cela traduit la virilité, le courage et la sagesse. Le premier de ces termes me fait bien rire – certains me donnent à peine seize ans et je serais probablement imberbe toute ma vie. Le second ingrédient est un morceau de langue de Chaporouge. Oui, je parle bien de cette affreuse créature à l’apparence vaguement humanoïde qui se plaît à baigner son couvre-chef dans l’hémoglobine encore chaude des moldus qu’il a piégés et massacrés à coup de gourdins. Je suis le possesseur d’une baguette réunissant deux prédateurs qui ont pour cible de choix l’humain dénué de magie… quand je pense que j’aurais, s’il n’y avait eu miracle, fait partie de ces derniers ! J’ai l’impression d’être l’assassin de mes propres parents rien qu’en possédant cette baguette.

Néanmoins, Ollivander me fit remarquer que le bois et son contenu étaient imprégnés de sel. Un élément simple, mais puissant – la traduction de la loi des transmutations ; qu’elles soient physiques, morales, spirituelles. Aussi me conseilla-t-il, pour conserver l’équilibre fragile de cette nouvelle partie de moi-même, d’en frotter le pin de sel de façon régulière. Cela aussi permettrait, d’après lui, de créer un lien puissant entre ma personne et cet objet étrange, car l’alliance du sel est une alliance que nul ne peut briser. D’après les suppositions d’Ollivander cette baguette certainement appartenait à un sang-pur avant d’être capturée et soumise de force par un né-moldu, qui aurait eu l’intelligence de la mater en l’alternant grâce à du sel. Mais le pourquoi de son choix de ma personne le laissait méfiant ; il ne voyait là que deux possibilités. Soit je rappelai à la baguette celui qui l’avait arrachée à son premier propriétaire, soit elle voyait en moi un être suffisamment faible pour être battu par un sang-pur et enfin, retourner dans son camp légitime. Hélas, les deux cas sont possibles et peut-être coexistent.

Ollivander me proposa d’autres baguettes, redoutant que cette dernière ne m’amène à quelques catastrophes – le manque de souplesse de son bois fait qu’il est difficile de doser la force des sortilèges que je lance avec, bien que je tente de moduler au plus ma voix et mes gestes. C’est bien trop souvent soit tout, soit rien. Je refusais toutefois, bien inconscient à l’époque. Et inconscient, je le suis encore aujourd’hui… je l’adore, cette baguette. Le lien que j’ai établi avec cette dernière est si fort que je n’ai plus besoin de prononcer tout haut « accio baguette » pour qu’elle arrive entre mes mains. Il est déjà imposant de ne pas avoir besoin de baguette pour faire un sort, alors en plus ne pas avoir à le formuler… Le seul point que je pourrais lui reprocher est sa longueur. Elle ne fait que vingt-quatre centimètres et sa poignée est peu adaptée à la taille de ma main – certainement a-t-elle été créée en premier lieu pour une femme.

ϟ L'HISTOIRE FORGE LE CARACTERE
Tout le monde rêve de savoir de quoi un sorcier est fait, de quoi es-tu fait petit sorciers ? Je vais fouillé dans ta tête et regarder ton histoire, peut être qu’il s’agira de brides, mais les souvenirs marquants forgent le caractère et font de nous ce que nous sommes.
Merci de faire un RP de minium 20 lignes pour présenter votre personnage. Il faut donc parlez de plusieurs choses, sa famille, son histoire, son attitude, son physique etc. Vous pouvez le faire sous forme de journal intime, de témoignages d'une tiers personnages, de petite anecdote, de façon classique, ou bien un simple rp.

ϟ REPELLO MOLDUM
ϟ PSEUDO/PRENOM, indiquez les mentions nécessaires
ϟ AVATAR CHOISI, indiquez les mentions nécessaires
ϟ UN COMMENTAIRE, indiquez les mentions nécessaires
ϟ PRESENCE, indiquez les mentions nécessaires
ϟ PARRAINAGE,Souhaites-tu un parrain pour t'aider à t'intégrer ? Oui [...] / Non [...]
ϟ LE MOT MAGIQUE, indiquez les mentions nécessaires


Dernière édition par Othello K. Leatherborrow le Lun 26 Mar - 18:07, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyDim 25 Mar - 21:18

+ 1.
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyDim 25 Mar - 22:13

Bienvenue sur le forum (si tu as besoin de plus de place dit le moi je vais suprimmer mon poste)
bonne chance pour t'as fiche et si tu as la moindre question sur le forum n'hésite pas.
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyLun 26 Mar - 0:44

Merci pour ton message de bienvenue ! o/ Je pense que j'aurais suffisamment d'un post en plus, donc il n'y aura pas besoin de supprimer ton mot (à moins que je sois super-inspiré tout à coup ou que forumactif décide de réduire le nombre de caractères par messages). Quant aux demandes, je n'hésiterai bien évidemment pas à harceler un des membres de l'administration. Même si, vu le nombre de sujets explicatifs, je doute avoir des questions à poser un jour ou l'autre. :)
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyLun 26 Mar - 7:53

    welcome OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec 469549
    wow ton avatar OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec 81441 OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec 445148
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyLun 26 Mar - 10:48

Bienvenue ! I love you
j'adore le prénom de ton personnage OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec 221247
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyLun 26 Mar - 11:12

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyLun 26 Mar - 11:34

Bonnie ; merci pour ton salut et ton engouement pour mon avatar, cela fait toujours plaisir. xD J'ai longtemps hésité à prendre Callum Wilson pour incarner Othello, mais ta remarque me fait dire que j'ai bien choisi malgré mes doutes. 'u'

Georgie ; moi aussi j'aime le prénom de mon personnage (certes, cela est évident). Toutefois, à chaque fois que je l'écris je pense au jeu de société qui ainsi s'intitule et non pas aux beaux textes de Shakespeare... /facepalm/ Merci pour ton message de bienvenue. :) ~

Théodore ; merci pour ton encouragement ! Mais plus que de chance, je vais avoir besoin d'inspiration et de temps pour pouvoir vite boucler ma fiche ! On y croit ! OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec 2260615139

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Evander A-M. Snape
Evander A-M. Snape


Je suis le préfet en chef, le roi des rois

first Log-in : 11/03/2012
parchemins : 1536

OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec Vide
MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptySam 7 Avr - 8:52

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec 395712
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Luce Finley Matlin
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OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec Grin10

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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec EmptyDim 6 Mai - 22:27

La date limite pour terminer cette fiche est passer depuis belle lurette sans qu’elle n’est été avancer. Cette fiche est des lors archiver dans les fiche en danger, pour la reprendre et la terminer vous n’avez qu’a aviser un admin ou poster ici.
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MessageSujet: Re: OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec   OTHELLO 〉〉 see, i told you i was worthless. /ec Empty

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