DANI ♦ do it like a dude !

ϟ CARTE MAGIQUE DU SORCIER

ϟ PRENOM, je vous l'accord : Daenerys c’est un peu compliqué, vous ne trouvez pas ? Pour ma part je trouve ce nom assez lourd à porter notamment on apprend à écrire dés son plus jeune âge, je ne vous explique même pas comme j’ai eut du mal à écrire ce fichu « y ». J’aurais sens fois préférer porter mon second prénom en pôle position : Ceres est tellement plus passe partout, quant aux troisième je l’affectionne : Hestia. A croire que mes parents avaient fumé de la poudre de cheminette à ma naissance. à part ça, tout le monde m’ appelle Dani, et je préfère cela, et de loin ! ϟ NOM, Je suis une Inglebee, rien de transcendant dans ce nom, juste un nom de sorcier parmi tant d’autre, notre sang est tacheté de déshonneur depuis pas mal de temps, et nous le vivons mal, mais c’est la vie. Ma stupide grand-mère maternelle est une fichue née moldu, qu’elle n’a pas été la tête de ma mère quand nous avons appris la mort de celle-ci. Je ne me considère pas comme d’origine moldue, ce n’est qu’une tâche, c’est tout. Je porte ce nom depuis assez longtemps pour en être fière, nous ne sommes pas des familles illustre, mais qu’importe. ϟ AGE ET INFORMATIONS SUR LA NAISSANCE, J’ai vingt six ans, et des poussières. Je ne suis pas vieille, je me considère en pleine possession de ma jeunesse. Ma naissance remonte au 20 août, et c’était à Ste Mangouste, comme la plupart des gens qui peuvent prétendre au titre de sorcier – pas comme des nés moldus. J’étais la dernière enfant de la famille, la petite dernière, née comme une cerise sur le gâteau, si vous voulez. ϟ VOTRE METIER, Je suis une assistante de professeur – vous savez le genre à corriger les copies quand le professeur en a marre. L’enseignement m’a toujours assez plu, mais parfois il m’arrive de manquer d’autorité, vraie changeante dans mon humeur, je me laisse marcher dessus, et la seconde d’après je suis prête à coller tout le monde avec autorité. Assistante de quel professeur ? Et bien d’Histoire de la magie, tout simplement. J’ai grandi la tête dans un livre d’histoire, et celle-ci me passionne depuis ma plus tendre enfance, à onze ans avant d’entrer à Poudlard j’avais déjà dévoré l’histoire de Poudlard ! ϟ NATURE DU SANG, Mêlé, et croyez-moi bien que je regrette ce mélange. Enfin, mon père le regrette tellement qu’il s’est toujours écrasé devant les sangs purs du ministère. Pour ma part, je ne me considère pas comme une quelconque sous marque d’un quelconque produit, je suis une sorcière –certes dont le sang est mêlé – mais je le vis, je le subi, cela ne fait pas de moi une moindre sorcière, au contraire, je pense être assez brillante, plus brillante que certains sang pur même. Mais ne mélangez pas sang mêlé, et nés moldus, s’il vous plait, ne mélangez pas les torchons et les serviettes, ni les chats et les chiens.

ϟ MA PREMIERE IMPRESSION VIS-A-VIS DE POUDLARD

Une petite tête brune. Une chevelure noir comme l’ébène, et lisses. Une frange droite, et un sert-tête bleu dans les cheveux. A son bras un parapluie, cette année là l’entré à Poudlard se faisait sous la pluie. Elle était dans le Hall de la demeure de Inglebee, et sa grande sœur, Serena la poussa pour passer la première, elle fut ensuite bousculé par Arthur. Térrfié à l’idée d’aller à Poudlard, sa mère s’accroupie face à elle, et lui adressa un sourire rassurant, lui mettant en main la cage de transport de Katya – sa chatte rousse qui ne la quittait plus depuis son achat au chemin de travers. « Tout va bien se passer ma petite sorcière, tu es brillante, tu seras plus brillante que n’importe quel moldu, ne l’oublie pas, et met ton manteau, ou nous allons manquer le train ! » sa mère la pressa, et d’une voix frêle la petite demanda alors : « Et si je suis à griffondor, papa va me tuer, il dit que c’est la maison des moldus. » elle regarda sa fille et dit alors : « Cela voudra dire que tu es plus courageuse que lui, et ça lui donnera une leçon, qu’importe ta maison Dani, ce sera la tienne. Allez dépêche-toi Serena et Arthur sont déjà partis ! » son frère et sa sœur étaient plus âgés qu’elle d’au moins six ans, et ils étaient en quasi dernière année alors que Dani elle entrait à peine. Une toute petite fille, plus petite que la moyenne. (…) c’était la cohue sur le quai 9 ¾ une vraie cohue. « maman, maman ! » elle était totalement perdu, et une main rattrapa la sienne. Sa mère était là, celle-ci la conduit alors à la porte d’un wagon et l’embrassa alors sur les deux joues, en lui tendant son billet et lui rappelant alors qu’il ne fallait pas qu’elle le perde. C’était le signal du départ, haute comme trois pommes en comparaison des autres étudiants, elle eut du mal à se frayer un passage dans les couloirs, et trouva finalement un compartiment inoccupé au bout du train. Elle n’était pas très douée pour se faire des amis, timides, et naïve, et puis… elle ne voulait croiser son frère ou sa sœur sous aucun prétexte, trop d’année de différence, trop de différence, trop d’écart : ils n’avaient que le nom en commun, ils ne partageaient rien. Seule, elle sorti un livre de sortilège, elle en était déjà au chapitre quatre des sortilèges de première année. Elle avait passé le voyage seule, puis des septièmes années étaient venue envahir son compartiment, et elle s’était un peu plus enfoncé dans sa lecture, se coupant doucement du monde extérieur… (…) Trempé jusqu’à l’os, les premières années étaient tous dans le même cas. Une pluie torrentielle s’abattait sur le château, mais cela n’enlevait rien à la beauté du lieu. Un château magique éclairé de toute part, et les torche ne semblaient pas craindre la pluie, peut-être étaient-elles magique ? Certainement. Les barques avançaient de façon magique, et entre temps, Dani avait sympathisé avec quelques premières années à la descente du train, la jeune fille c’était alors perdu. Fragile et un peu naïve. Elle discutait avec ses camarades de barque, précisant qu’elle avait hâte de voir la grande salle et le plafond magique. Elle ajouta même que le ciel de la salle n’était pas réel, et qu’elle l’avait lu dans l’histoire de Poudlard. Quand les barques se stoppèrent, il fallu monter plusieurs dizaines de marche, et s’en était presque trop pour ses petites jambes. Un coup de stress avant d’entrer et sous le regard des aînés, ils entrèrent dans la salle. Un nœud au ventre, elle resta muette jusqu’à ce que retentisse son nom. Elle fit quelques pas, et trébucha sur l’estrade, et elle se releva couverte de ridicule, rouge jusqu’aux oreilles avant que le choixpeau ne déclare d’une voix forte : « SERDAIGLE ! » Toute guillerette elle se dirigea cette fois ci d’un pas décidé vers la table de serdaigle. Elle était heureuse d’être dans la maison de cette chère Rowena, ses parents allaient être fiers. Elle échangea un regard avec son frère à la table de serpentard, et sa sœur à la table de serdaigle lui adressa le premier sourire depuis longtemps.

ϟ JE SUIS LE CHOIXPEAU ET JE SAIS TOUT !

Bonjour à toi, je souhaite de poser des questions auxquels tu répondras franchement, et si tu mens, je le saurai. Cela restera entre toi, et moi, cela m’aidera à trouver quelle maison est faite pour toi mon enfant !

ϟ Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant,
Enfant chétive, enfant fragile, enfant naïve. Tous ces mots ont été utilisés pour me qualifier dans mon enfance. Pendant un temps, j’ai même entendu mon père dire « cette gamine est trop chétive pour aller à poudlard cette année, elle est pire qu’une née moldu, j’ai honte ». Autant vous dire que cela m’avait refroidi sur le coup. Ainsi, j’ai failli ne pas aller à Poudlard à mes onze ans, mais à mes douze. Mais je me suis « défoncée » comme on dit, j’ai pris sur moi, et j’ai fait le premier caprice de ma vie pour aller à Poudlard, le premier et pas le dernier. Un caprice m’avait fait gagner en assurance aussi curieux que cela puisse paraitre. En arrivant là bas, j’étais toujours aussi chétive, fragile, et naïve, mais j’étais surtout brillante, patiente, et réfléchie. Toutes les qualités de la maison serdaigle en quelques sortes. Mais avouez que lire l’histoire de Poudlard avant même de recevoir sa lettre, et attaquer tout de suite la lecture du livre de sortilège après son achat, c’était une preuve d’assiduité au travail, j’avais envie de prouver au monde que je n’étais pas cette gamine que mon père aurait voulu garder à la maison encore un an. Je suis devenu une des meilleurs élèves de mon année, peut être la meilleure, et j’ai gagné en assurance, levant la main en cours, faisant des remarques, ayant des amis, riant avec des gens, sortant avec des garçons. Poudlard a été mon école de la vie, et la petite que j’étais s’est soudainement effacée derrière moi, doucement. J’étais une femme nouvelle, intelligente, forte, et je n’avais plus rien d’une enfant chétive, rien du tout. Mais, je n’ai pas que des qualités, je conserve toujours cette certaines naïveté au fond de moi, notamment avec les hommes, je me fais souvent avoir, et je récidive à chaque fois. Mais en tant qu’assistante de professeur, je suis du genre à me laisser marcher dessus par les élèves, et une seconde après, je vais être très autoritaire, et renverser la balance, je suis comme une sorte de bombe à retardement, douce, gentille, trop bonne trop conne, jusqu’à un point de non retour.

Après, j’ai des qualités, je suis quelqu’un qui ne supporte pas le désordre. Pour moi une salle de classe doit être bien rangé, quand on part, les chaises sont bien rangé, parce qu’un professeur n’est pas une femme de ménage, et puis, cela va de même pour tout les autres lieux. Ma chambre est… ordonnée de façon très précise, idem pour mes vêtements, toujours rangé de la même façon, par couleur, et ce même couleur par ordre d’apparence dans le spectre des longueurs d’onde, du violet, ou rouge, ce n’est quand même pas très compliqué ! si, il y a un problème avec le blanc qui est une addition de toute ces couleurs… et bien je le place de façon arbitraire avant le violet. A part mon attitude maniaque d’apparence, je suis quelqu’un d’assez chaleureux, même si je ne vous prendrais pas tout de suite dans mes bras, cela ne signifie pas que je vous déteste. Je suis une fille comme ça, je salue les gens avec respect, tout le temps, même mes parents, chez nous nous ne sommes pas des expressifs des sentiments, c’est pour ça qu’en matière d’amour je suis un peu réservé, même si comme je l’ai précisé avant : je suis de nature à me faire avoir.

ϟ Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang,
Je ne m’exprime pas forcément sur la nature du sang, mais cela ne veut certainement pas dire que je suis sans avis sur la question au contraire. Je suis absolument pour la création de cette maison, mais je ne crierais pas sur tous les toits que je trouve ça bien. Il y a une différence entre penser et agir. Moi je suis plus dans l’acte de pensé, je n’irais pas jusqu’à assumer totalement le fait que pour moi le sang à une certaine importance, puisque je côtoyais tout les jours des sangs mêlés, et des nés moldus. Il y a des gens biens partout, et des mauvais chez d’autre, je respect les nés moldus que j’ai appris à connaitre, mais il faut reconnaitre que certains ne sont pas forcément très doué, comme chez les sangs mêlé, et pur d’ailleurs, mais c’est ainsi. J’ai été élevée comme ça, et je pense comme cela, mais je n’irais pas jusqu’au débat, personne dans mon entourage ne sait réellement ce que je pense de cette question et cela me convient. Quand j’assiste à un repas chez mes parents c’est l’apologie du sorcier pur, et mêlé… quant à cette maison c’est… c’est ainsi, je n’irais pas jusqu’à dire que c’est bien, mais je pense que ce n’est pas plus mal. Mais je tairais publiquement mon avis sur la question.

ϟ Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espère tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir,
Je suis pas très axée sur le futur. J’ai eut quelques épreuves dans ma vie qui font que j’ai surtout envie de vivre l’instant présent, vraiment. L’année dernière j’étais libraire sur le chemin de travers et lorsque ma vie a basculé j’ai fait le choix de revenir à mes premières amours : l’enseignement de l’histoire de la magie. Mais cela n’était pas prévu, alors vous voyez, l’avenir, je n’en ai que faire. Certains veulent de l’amour, des enfants…pourquoi pas… à terme. Peut être qu’un jour je serais mère, mais ce jour n’est pas prêt d’arriver, pour plusieurs raisons évidentes : la première est que je suis encore jeune, la seconde est que je n’ai pas trouvé de père à cet enfant, le seul père potentiel à disparu l’an dernier, et je ne suis pas encore prête à vivre quelques choses. Comme vous le voyez mon avenir est assez nébuleux, mais je me vois bien continuer dans l’enseignement quitte à changer d’école au gré des besoins et de mes envies, je ne suis pas attaché à un endroit en particulier vous savez.

ϟ Quelqu'un se fait rouer de coups dans la rue, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu. Que faites-vous ?
Ai-je franchement l’air de savoir me défendre avec mes bras ? Non, je suis frêle, et encore le mot est faible, on peut dire que j’ai la force d’une… mouche ? oui, peut être. Après, avec ma baguette, et la panoplie de sortilège que je connais, je peux vous garantir qu’une personne non expérimenté ou prise par surprise à peu de chance de s’en sortir donc pour répondre à votre question, je viendrais au secours de la dite personne si son agresseur est une seule personne, et surtout s’il ne m’a pas vu arrivé, ainsi, je pourrais le prendre par surprise et peut être le faire fuir. Dans si cet agresseur me voit alors, je vais courir aussi loin que je peux en espérant ne pas être sa prochaine victime, et si j’y arrive j’irais prévenir les secours. Même si moi-même je ne peux rien faire, je ferais toujours en sorte de prévenir les secours pour une simple et unique raison : j’aimerais qu’on le fasse pour moi si ce genre de mésaventures venait à arriver. Après, je ne me promène pas dans les ruelles sombres, je ne cherche pas les ennuis, dans la probabilité que cela m’arrive à moi reste assez faible tout de même, vous ne trouvez pas ?

ϟ Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir : étais-tu un bon élève, ou le fauteur de trouble de la classe ?
Brillante, tout simplement. J’étais le genre d’élève souriante, et au premier rang. Mais, n’allez pas croire que j’étais le genre lèche botte, non j’étais assez timide, le genre d’élève sage qui reste dans son coin, et qui lève poliment la main pour répondre à une question. Je peux me vanter d’avoir eut optimal à toute mes B.U.S.E.S, et que des optimal sauf un fichu effort exceptionnel en divination aux A.SP.I.C.S, oui, je n’ai jamais aimé les disciplines dites nébuleuses qui pour moi n’ont aucun sens rationnel. Mais je suis une bonne élève, même encore aujourd’hui puisque j’estime que le rôle d’assistant de professeur est une sorte d’école du métier de professeur bien que j’ai suivi un cursus d’enseignement à Poudlard il y a quelques années. On a toujours à apprendre de quelqu’un qui a plus d’expérience, dans quelques années nous auront peut être la chance d’être nous même professeur, pas forcément à Poudlard mais dans d’autres écoles comme Beaubâtons et Durmstrang par exemple.

ϟ Quelle était ta maison à Poudlard, et pourquoi ?
Ma maison était serdaigle, simplement serdaigle. C’était ma fierté, et mes parents étaient fiers de moi, leur petit ange dans la maison de cette illustre Rowena, j’étais le fierté. J’avais toutes les qualités requises pour rentrer dans cette maison. J’étais sage, douce, patiente, intelligente, réfléchie, et brillante. Je n’irais pas jusqu’à m’en vanter mais c’est ce que mes professeurs mon toujours dit, je suis de nature humble je n’irais pas le crier sur tous les toits. Après, je ne vois pas dans quelle maison j’aurais pu aller. Je suis trop frêle et trop gentille pour serpentard, pas assez extravagante et courageuse pour gryffindor, et quant à poufsouffle, et bien… je n’ai aucun des critères de sélection. Serdaigle est définitivement ma maison : sage et calme, un havre de paix pour les travailleurs.

ϟ Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ?
Je me souviens très bien de ce jour, je venais d’avoir un petit chat Katya, qui en fait après s’était avéré être une petite chatte – à l’époque c’était Chuck le chat – et il pleuvait à saut dehors. Ma mère m’avait rapidement pris la main pour traverser le chemin de travers sous la pluie, et j’étais tombée par terre. Elle m’avait tira jusqu’à la boutique d’Olivander, et j’avais le genou en sang après être tombé sur les pavés, et des larmes coulaient sur mes joues. Je me souviendrais toujours de ce vieil homme qui avait salué ma mère en lui rappelant le jour où elle-même était venu chercher sa baguette, puis il avait posé son regard sur cette enfant pleurnicharde que j’étais et s’est était allé chercher quelques choses dans ses rayons. Quelques instant plus tard, il était à côté de moi, me tendant une baguette, dés que je l’ai brandi, j’ai su que c’était la mienne. Vingt six centimètres, crin de licorne, bois de hêtre, une baguette faite pour les enchantements d’après lui. Aujourd’hui, j’ai toujours cette même baguette, et elle ne me quitte plus, plus jamais. Parfois, j’ai si peur de la casser, alors j’en prend grand soin. Quand on était à poudlard j’avais pour habitude de la mettre dans ma poche et ne jamais courir avec, des fois que je tombe avec et qu’elle se casse… maniaque ? Non, je prends des précautions, c’est tout !

ϟ L'HISTOIRE FORGE LE CARACTERE

Tout le monde rêve de savoir de quoi un sorcier est fait, de quoi es-tu fait petit sorciers ? Je vais fouillé dans ta tête et regarder ton histoire, peut être qu’il s’agira de brides, mais les souvenirs marquants forgent le caractère et font de nous ce que nous sommes.

Merci de faire un RP de minium 20 lignes pour présenter votre personnage. Il faut donc parlez de plusieurs choses, sa famille, son histoire, son attitude, son physique etc. Vous pouvez le faire sous forme de journal intime, de témoignages d'une tiers personnages, de petite anecdote, de façon classique, ou bien un simple rp.

ϟ REPELLO MOLDUM

ϟ PSEUDO/PRENOM, Louna
ϟ AVATAR CHOISI,the amazing felicity jones ϟ UN COMMENTAIRE, /
ϟ PRESENCE, bonne sauf en exam qui arrivent
ϟ PARRAINAGE,Souhaites-tu un parrain pour t'aider à t'intégrer ? Oui [...] / Non [x]
ϟ LE MOT MAGIQUE,oudre de perlimpinpin, poudre d’escampette et poudre à cheminette

Dernière édition par Daenerys Inglebee le Jeu 26 Avr - 18:28, édité 18 fois

CE QUI COMMENCE DANS LE SANG

Inglebee, ce n’est qu’un nom parmi tant d’autre, en soi cela ne confère pas une histoire. Un nom qu’est nom, qu’est ce que cela changerait si je m’appelais MacArthur par exemple ? Et bien cela changerait des choses. Ma famille a une histoire une histoire tachetée de sang. Une histoire de sang mêlé à celui de moldu. L’ascendance de mes parents n’est pas pur, mais du côté de mon père, on privilégie le mélange de sang mêlé, mais du côté de ma mère… mon grand père maternel est un sang mêlé, et sa femme une née moldue, l’histoire de ma famille s’écrie dans le sang : le frère de ma mère a assassinée sa mère sous le coup de la folie il y a douze ans. Elle est morte parce qu’elle était de sang mêlé et qu’elle avait entaché d’avantage le sang d’une famille déjà bien déshonorée. Le sang est courant dans ma famille, aussi souvent que mon père a frappé mon frère, et aussi souvent que mon frère a frappé sa femme. Le sang, qu’est ce que le sang ? le sang, c’est l’histoire d’une famille, c’est mon histoire. Des larmes, de la joie, et du sang. L’histoire de mes parents dit qu’ils se sont rencontrés à Poudlard et que ça a été le coup de foudre. J’ai appris à ne jamais croire aux contes de fée, en réalité mon père était plus vieux, et surtout marié à une autre femme quand il a rencontré ma mère, une femme qui lui avait été soigneusement suggéré par ses parents. Puis, il était tombé sous le charme de Lucrecia Bott, une sorcière de sang mêlé sans histoire. Alors qu’il était encore marié, celle-ci est tombé enceinte de mon frère aîné : Arthur, et mon père – Lucian – a du faire un choix de conséquence. Je dirais qu’heureusement pour les miens, il a choisi l’amour de ma mère, et non la raison choisi par ses parents. Après une galère d’un an pour prononcer un divorce, mon frère était né, tout simplement. L’aîné d’une famille, le monstre qu’on ne voudrait jamais avoir connu. Un mariage, un second enfant, c’était ce que l’on appelait le bonheur, tout simplement. Dix années de bonheur sans tâches, la famille modèle, deux enfants parfaits, enfin ça c’est la version officielle. Ma mère et mon mère ne se sont plus vraiment entendues vers leur huitième année de mariage et cela à cause de beaucoup de chose mais surtout à cause de mon frère. Arthur, un monstre en liberté, il était inhumain, immoral, il avait tué le chat de ma mère, l’hibou de ma sœur, il a aussi loin que je me le rappelle ce sourire carnassier sur son visage, même les photos en témoigne. Aujourd’hui, il est le genre de personne que l’on qualifierait de pervers narcissique. Il frappait ma mère, mon père, et même ma sœur. Je n’étais pas là à l’époque, je n’étais pas née. Sur le point de divorcé j’ai pointé le bout de mon nez, telle une erreur. Je suis une erreur, mais une erreur qui a sauvé ma mère, mine de rien.

* * *

« Bouge de là sale gosse. » la voix d’Arthur était sans appelle, cette mine maléfique sur le visage, il l’avait toujours eut. Moi dans tous cela j’étais haute comme trois pommes, et je me tenais debout dans la cuisine, et j’étais entrain d’aider maman à faire de la pâtisserie mais hélas je me tenais devant l’objectif de mon frère soit le placard qui contenait un peu d’alcool. Pas que mon frère soit alcoolique, cela avait été sa lubie du moment : boire pour faire chier les parents. La boisson l’avait rendu encore plus désagréable que d’habitude, et à vingt ans, il était encore à la maison, tel un boulet qui ne laisserait jamais mes parents en paix. J’étais frêle, une vraie poupée. Lui et moi avons les yeux en commun, c’était indéniable. Je le fixais, et prenais mon courage à deux main en rétorquant : « Mais maman m’a demandé de finir ça, je peux bouger ! » je n’avais pas pour habitude de lui tenir tête, il m’avait toujours fait peur, mais en me demandant de rester là, on pouvait dire que maman m’avait demandé de l’empêcher de boire, quelle glorieuse tâche. « Sale gosse, putain ! » il avait craché cela, et je retenais mes larmes, j’avais toujours été très émotive. S’il s’était arrêter aux mots je me serais retenue de verser une larme jusqu’à ce que maman revienne, et j’aurais été pleuré contre elle, en disant la rengaine habituelle « Arthur m’a traité de sale gosse », sauf que je n’aurais pas le temps cette fois ci d’attendre maman pour pleurer. Il me saisi le bras et me le tordit, avant de me soulever et de me jeter par terre à un mètre de là, tombant par terre avec violence sur le carrelage glacé de la cuisine. Il y eut comme un « crack » dans mon bras, et je pleurais à chaude larme. Les yeux embrumé par les larmes, je vis mon frère sortir une bouteille de Whisky pur feu du placard, buvant au goulot, et m’adressant un regard méprisant. Bouteille à la main il s’approcha de moi, et me toucha de pied, et disant d’un air moqueur : « Pauvre gosse, toujours entrain de chialer. » je pleurais, quasi en silence, je n’aimais pas attirer l’attention, et surtout pas celle de mon frère. Il s’accroupie : « Heureusement que j’ai trafiqué les potions de maman pour qu’elle puisse t’avoir, sinon la vie serait moins drôle. » trafiqué les potions de contraception de maman ? Il n’avait quand même pas fait ça. Je lui jeta un regard noir, et en sanglot, je lui dit alors : « C’est pas vrai, maman elle a dit qu’elle me voulait ! » Il rit d’un rire quasi diabolique avant de me dire « Je crois pas, mais grâce à toi, j’ai mon nouveau jouet… » il ne finit pas sa phrase, et reprit une gorgée de whisky, et il articula alors avec une haleine qui empestait l’alcool : « Toi ma chère petite sœur. » J’avais le souffle coupé. Je n’avais pas envie de jouer avec lui, même à dix ans j’avais l’esprit très clair pour enfant, ces jeux étaient dangereux, je ne voulais pas être son jouet, mais qui pourrait l’en empêcher ? Certainement pas papa qui se réfugiait dans son travail au ministère pour rester le plus éloigné possible de la maison, comme si du travail de bureau pouvait être intéressant. Maman n’avait aucune autorité, mais réalisé qu’ils n’avaient jamais voulu de moi ne m’aidait pas, déjà qu’à cet âge là j’étais une enfant chétive et effacée… Il avait toujours ce sourire aux lèvrex, et mon bras me faisait de plus en plus mal, j’étais persuadé que c’était cassé. Il allait rétorquer quelques choses quand ma mère entra dans la cuisine en s’écriant : « Mon dieu Dani ! Arthur éloigne-toi de ta sœur, tout de suite ! » Mon frère lui rit au nez, et ma mère sorti sa baguette, et la pointa sur lui et d’une voix forte, une voix que je n’avais jamais entendu chez elle : « Sort de cette maison tout de suite. » je les observais à se prendre à une sorte de duel de regard, je n’avais jamais vu ma mère faire preuve d’une telle autorité sur mon frère, celui-ci tourna les talons, bouteille à la main en lâchant à l’attention de ma mère un « salope » à mi-voix, et il m’adressa ce clin d’œil malsain. Ma mère venait de se libérer de son emprise, parce qu’il n’avait jamais remis les pieds à la maison, sauf que pour moi c’était une autre galère qui commençait : il avait décidé que j’allais subir ses colères, et ses jeux débiles, même s’il ne vivait pas sous mon toit, il n’allait jamais me lâcher.

* * *

Avec les années Arthur a été diplômé de Poudlard, mais nous avons tout de même vécu trois ans en cohabitation à Poudlard, il me faisait tellement peur que je ne trainais jamais seule, et quand je le croisais je faisais mine d’aller poser une question à un professeur même si j’en connaissais déjà la réponse pour ne pas avoir à lui parler. A treize ans je savais qu’il ne me restait que quelques jours à tenir, sauf qu’une fois de plus, il s’en est pris à moi, sans raison. Je n’ai pas forcément envie de raconter ce qui a amorcé une sorte de descente aux enfers, mais j’ai fini à l’infirmerie, et je m’étais juré de ne jamais dire qui m’avait fait ça. Un œil au beurre noir, une lèvre ouvert, et des bleus un peu partout, j’avais beau dire que je m’étais prise les pieds dans les lacets et que j’étais tombé dans les escaliers, on ne me croyait pas. Avouer que c’est assez étrange d’avoir un cocard unilatéral en tombant. Je n’avais jamais lâché le morceau. A la fin de ma troisième année, mon frère quittait Poudlard. Vous remarquez que je ne parle jamais de ma sœur, mais à part notre maison, nous n’avons jamais rien eut en commun, jamais. Enfin, elle était heureuse qu’Arthur m’ai choisi en souffre douleur, quelle sœur. Mes années poudlard se sont plutôt bien passé, et les attaques de mon frère m’ont aidé à me forgé une sorte de capacité de défense qui m’a plusieurs fois été utile, une serdaigle qui sait se défendre ça ne court pas les couloirs. J’ai grandi, loin de mon frère, finissant même par l’oublier, heureuse de vivre. J’avais amis, petit ami, c’était parfait. Nathanaël était mon petit depuis la sixième année, et à la sortie de Poudlard, soit en treizième année, nous étions toujours ensemble, et c’était ce que j’appelais la perfection. Je ne me doutais pas que cela puisse virer au cauchemar de la sorte, pourtant…

* * *

Mon frère fit irruption dans notre vie – celle de Nate et moi – après Poudlard, et après sept ans de relation, il était évident que nous allions vivre ensemble. Notre appartement était petit mais, il nous suffisait amplement, je travaillais dans une boutique du chemin de travers en tant que libraire, et cela ne me dérangeait pas, je n’étais pas prête à enseigner, je n’étais pas prête de laisser Nate de sitôt. Un soir nous étions entrain de dîner et de rire au éclats quand on a soudainement frappé à la porte, c’est Nate qui a été ouvrir. Arthur était tout guilleret derrière la porte avec un bouquet à la main, et je ne l’avais jamais vu aussi poli de toute ma vie avec quelqu’un. Nate l’avait salué de façon chaleureuse, et le pire c’est qu’il avait fait de même. J’avais cette réserve qui me faisait un nœud dans le ventre, mais Arthur me tendit les fleures, et dit alors d’une voix que je n’avais jamais entendu : « Tiens petite sœur, c’est un peu des fleures d’excuse, maintenant on est adultes. » je le regardais dubtatif, et j’articulais un maigre « Euhh… mhhm… merci Arthur. » j’étais sur le cul, et encore le mot est faible, il se pencha vers moi – qui était encore assise sur ma chaise pour ma serrer dans ses bras, doucement. Nate lui proposa alors « Tu veux rester dîner avec nous ? On pourrait apprendre à se connaitre ! » Nate était plein d’entrain comme d’habitude, et j’étais naïve de croire que mon frère avait changé. Je me levais alors, et mon frère serra ma main de Nate en disant : « Une autre fois peut être, là j’ai promis d’aider une amie à déménager, de toute façon, on va se voir souvent, j’habite juste en face ! » Mon monde s’écroulait, il avait beau être « gentil » je ne voulais pas de lui en face de chez moi. Les deux garçons s’échangèrent une sorte de regard complice, et Arthur s’approcha de moi pour ma serrer dans ses bras, et me déposer un baiser sur la joue, dans son étreinte il me glissa à l’oreille : « Heureusement que je t’ai retrouvé petite sœur, je commençais à m’ennuyer sec. » je restais interdite quand il passa la porte. Toute la soirée Nate me demanda de lui parler de mon frère, et il me dit qu’il avait l’air sympathique, à chaque fois que j’essayais de dire quelques choses de négatif à son sujet, Nate disait qu’il était venu s’excuser et qu’il ne servait à rien de ressasser le passé. Moi je n’avais rien mangé ce soir là, j’étais impuissante face à lui, et il semblait avoir envoûté Nate, j’étais prise au piège.

Les semaines qui s’en suivirent, Arthur était adorable, et lui et Nate devenaient proche, beaucoup trop proche à mon goût, bien trop proche. Et puis c’est aller de mal en pire. Nate et moi on se disputait à son sujet, et je passais pour la sœur indigne, ils finissaient par partager des bières ensembles au bar, à chaque fois Nate me faisait un reproche, et il était désagréable avec moi. Je n’en revenais pas comment mon frère était entrain de détruire mon couple et surtout ma vie. Quand je le croisais seul, il avait ce même sourire carnassier que lorsque j’étais enfant. Aujourd’hui, j’avais eut la confirmation qu’il était cinglé, dérangé, mais qu’est ce que je pouvais y faire, aux yeux de Nate tous ce qu’il disait était comme parole d’évangile. C’était de pire en pire. Après le travail je rentrais chez moi exténué, le pire était que le soir je ne trouvais pas le repos. En ouvrant la porte de chez moi je me retrouvais face à mon frère, qui attendait sagement sur le canapé. Je me glaçais sur place, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas retrouvé seule face à lui. Toujours ce même sourire sur ces lèvres, je n’avais pas envie de faire un pas de plus, je lâchais un : « Qu’est ce que tu fou là Arthur ? » j’étais froide et essayait de mon convaincre que j’avais confiance en moi. Je posais mon sac dans l’entré et retirais mon manteau nerveuse. Il se leva et dit alors : « J’en ai marre de jouer avec Nate, j’ai envie de finir cette partie ». il était cinglé, pour lui tous ça n’était qu’un jeu, il s’en fichait de mon bonheur de tout, il était à interner, tout simplement. « Arrête Arthur, arrête ça, va faire chier quelqu’un d’autre. » Ce même sourire, il attrapa une mèche de mes cheveux avec délicatesse et dit alors : « Non, jamais. » il tira violemment sur ma mèche et me poussa. Je tombais sur le sol, abasourdie, je me penchais sur mon sac pour chercher ma baguette dans la hâte je trouvais rien, je me préparais à de la violence, mais quand je leva les yeux, il se tapait la tête contre un mur, dans un bruit assourdissant, il était cinglé, je me leva et pointait ma baguette sur lui en lui sommant d’arrêter : « Arrête ! Arrête ! » Derrière moi j’entendis la porte s’ourvrir. Arthur était en sang, et moi je le menaçais. Soudain Nate se jeta sur moi pour me retirer ma baguette des mains avec violence, et Arthur gémit alors : « Je t’avais dis qu’elle était folle… c’est une cinglée ! » je restais incrédule, pire j’avais les larmes aux yeux. J’éclatai en sanglots quand Nate me traina dehors de chez moi en me disant simplement : « Passe prendre tes affaires demain, je ne veux pas d’une cinglé pour femme. » s’en était trop, si bien que je n’opposais aucune résistance. Je n’ai même pas revu Nate le lendemain, il avait demandé à la voisine de m’ouvrir. Le lendemain mon frère avait aussi déménagé. Et c’est ainsi qu’Arthur a brisé ma première vraie relation, et le pire c’est qu’il s’immisce dans chacune de mes relations et trouve toujours le moyen de se mettre entre moi et l’homme que j’aime, il arrive toujours à nous briser. Impuissante, j’ai compris que Poudlard et l’enseignement même en solitaire était le seul moyen de me débarrasser de ce fou, un jour je suis sûre qu’il payera, en attendant j’ai accepter une poste d’assistante à Poudlard, un retour à mes premières amours.

F I N

Dernière édition par Daenerys Inglebee le Jeu 26 Avr - 18:25, édité 10 fois