SUJET COMMUN : UNE MANIFESTATION CONTRE LA VIOLENCE

first Log-in : 24/07/2010 parchemins : 467

SUJET COMMUN : UNE MANIFESTATION CONTRE LA VIOLENCE

Le monde est en guerre, depuis le gala du ministère, les membres du Cercle sont traqués par les mangemorts et même Voldemort n’arrive pas à garder la main mise sur le ministère. Les rafles de nés moldus sont de plus en plus nombreuse, les attaques surprise sur le ministère, des bombardements et finalement des attaques publique. Plus personne n’est en sécurité. Les familles des nés moldus font l’objet de surveillance, et tous les nés moldus du ministère sont soigneusement remercié, et leur baguette ôtée. Chez les révolutionnaire la frustration de toujours trainer de l’arrière commence à se faire sentir, seraient-ils désespéré qui sais? Les sang pur son la proie de discours haineux et doivent à nouveau réassoir leur supériorité. Visiblement plus personne n’est à l’abri et cela ne semble plaire à personne non plus. Dumbledore a donc convoqué tout le monde dans la grande salle, comme une sorte de Meeting appelant au Calme, surtout à Poudlard. Se fut à la demande de Lucian Bones que cette rencontre à été annoncer pour le 10 mai. Les raisons de cette rencontre sont encore incertaine mais tout le monde y a été convier et personne ne peu refuser d’y participer malheureusement. Vous êtes donc tous assis dans la grande salle, plutôt nerveux au vu de tout se qui se passe depuis le dernier mois. Vous avez bien remarqué que des petits groupes d’étudiant et professeurs s’éclipse de la grande salle. La curiosité vous prend malheureusement vous êtes prié à plusieurs reprise de rester à vos places. Il se passe quoi? Pourquoi vous devez restez la et pas eux? Est-ce que le directeurs à remarquer se qui se passait ou pas? Une chose est certaine c’est que vous savez qu’aujourd’hui il y aura une manifestation pacifique, un appel au retour un calme et vous êtes contraint d’y participer et pourtant certain sorte de la salle. Étrange!

NOTE: - 400 mots par réponse merci de ne pas dépasser se montant de mots
- Suivez à la lettre les directives donner par les PNJs qui sais se qui peu se produire. La décision du PNJ est finale.

« Luz, lâche tes plantes on doit tous se rendre dans la Grande Salle » me dit Maya en ouvrant la porte de la serre numéro 1. La nuit était tombée et j'étais venue m'occuper de mes iris du Congo qui avait besoin d'un bain de jus de prunes dirigeables pour arriver à maturité. Ignorant totalement la remarque de ma meilleure amie, je continuais mon travail. « C'est un ordre du Professeur Dumbledore » ajouta-t-elle d'un ton insistant. Je posais alors brusquement mon arrosoir sur la paillasse. « Pfff, j'en ai marre ! On peut rester tranquille une heure dans ce château ! J'arrive ! » pestais-je allant me laver les mains et en remettant ma cape de sorcier. Même après les cours et le repas, il fallait encore qu'ils nous embêtent, Rrrrr ! Je jurais en portugais et rejoignais Maya à l'entrée de la serre. Elle m'attrapa le bras et déposa un baiser sur ma joue en guise de victoire sur moi. Je ne l'accompagnais que pour lui faire plaisir. Je n'aimais pas les règlements, je détestais les respecter, alors aller à une soirée improvisée, ça m'énervait. Je traversais le parc en courant avec Maya pour que nous nous réfugiâmes à l'abri. Un orage commençait et des éclairs zébraient le ciel noir. « J'espère que ça ne va pas durer longtemps » dis-je à Maya en enlevant ma capuche. Je prenais son bras et me faufilais avec elle dans la Grande Salle à la table des Gryffondors. Il y avait un bruit d'enfer, encore plus que durant les repas. Les gens se regardaient en chiens de faïence, sans oser bouger. M'essayant devant Maya, je posais ma tête dans mes mains. Je pensais à mes plantes en train d'attendre et au temps que je perdais à être ici. Maya m'interpela. Parler ? Mais pourquoi parler ? De quoi ? Poudlard était une école de dingue ou il se passait des tas de trucs bizarres même pour des sorciers. Les trucs bizarres de Poudlard, je m'y étais fait et moi je voulais simplement m'occuper de mes petites affaires. Alors que je voyais un élève se lever discrètement pour sortir de la salle, je fronçais les sourcils. Je me retournais alors et balayais la Grande Salle du regard. « Tu vois Rory ? » demandais-je à Maya d'un ton inquiet. Je me levais légèrement pour essayer de le chercher des yeux dans la salle, mais je ne voyais rien. Ni lui, ni sa copine, ni même son boursoufflet.

Allistair avait entendu la nouvelle d’une rencontre dans la grande salle. Oh bien sur il avait entendu parler de cette histoire de manifestation pacifique et il avait blagué dans la salle commune avec ces potes déclarant haut et fort que cette rencontre serait un échec tout simplement. Un appel au calme à l’arrêt d’effusion de sang. Mais quelle blague oui. Il c’était donc rendu à cette rencontre plutôt a reculons et maintenant qu’il y était il s’ennuyait ferme. Karone était déjà partie prétextant qu’elle devait allez à la salle de bain mais depuis quelque minute déjà il avait remarquer que certain commençais à s’éclipser, d’autre avait tous simplement disparue de la salle. Il soupirât en arrivant à une réalisation sur le départ de Karone. Elle était une mangemort après tout. « Tout simplement parfais. » et comme toujours tout le monde allait manger la claque pour peut importe quel plan fou qui se préparait en se moment. Il s’attendait déjà à se que cette rencontre se transforme en catastrophe. Il se préparait mentalement à une attaque, à se que le toit leur tombe tous sur la tête. Traiter le de défaitiste si vous le voulez mais les fait était la, chaque rencontre ou se retrouvait un grand nombre de gens avait le don de se transformer en catastrophe sans oublier bien sur l’attaque de la fin de l’an dernier bien entendu. Mais tout datait du bal de noël l’an dernier qui c’était clôturé en une attaque surprise et la mort d’un étudiant de sang pur. Ensuite il y avait eux justement les attaque de l’an dernier, le jour des fondateurs ou il y avait eu un moment de panique et finalement le bal. Non visiblement quand ont retrouvait trop de gens ensemble ça ne pouvait pas bien se terminer. Et le sorcier s’attendait déjà au pire et c’était justement se qui le rendait complètement nerveux. Il posât son regard sur la foule à la recherche d’ami et d’allier au cas ou ça se transformerait en catastrophe justement. Il n’avait pas dans l’envi ou l’intérêt de se retrouver complètement seul et isoler si ça devait se transformer en une guerre dans la grande salle. Surtout qu’il ne faisait pas confiance à quiconque de serpentard qui cherchait à demander la paix.

Calixte se redressa doucement dans sa chaise, observant avec autant de calme possible la foule rassemblée dans la grande salle. Elle était pareille à une fourmilière, des petits groupes sortant pendant que d'autre rentraient avec brouhaha, toutes les petites fourmis étaient agitées. Et lui aussi. Il avait les mains moites et sa baguette froide collé à sa peau, caché dans sa manche, prête à être dégainé. Un rassemblement pour appeler à la paix, au retour au calme. Il déglutit tout en laissant passer ses yeux sur les élèves présent, Dumbledore pensait vraiment pouvoir ramener le calme avec un discours ? Après l'incident du ministère ? Frénétiquement, il se gratta les cheveux avant de croiser ses bras, ainsi que ses jambes, toujours en alerte. Pourquoi était-il encore ici ? Il avait prévu de partir. Mais, à chaque incident, il trouvait une raison de rester, trouvant un incident trop mineur ou par peur d'éveiller des soupçons. Et la France, au vu des évènements que lui avait raconté Sofia, ne semblait pas vraiment être très accueillante. Et maintenant il se retrouvait là. Il n'y avait pas lieu de s'inquiéter si on oubliait le fait que la plupart de la salle était rempli de jeunes prêt à brandir leur baguette et à se battre pour leur camp, où plutôt pour leur sang. Et lui n'avait plus vraiment toute sa jeunesse, bien sûr, réagir n'était pas un problème, le problème, c'était que si quelque chose se passait, il faudrait réfléchir et se retenir. Faire revenir le calme et punir les impotents plutôt que de brandir sa baguette et de lancer des éclairs-ci et là. Protéger les élèves et les empêcher de faire ce qu'il savait le mieux : s'autodétruire.

Durant tout le chemin de la Tour des Serdaigles à la Grande Salle, je ne levais pas mon regard des pages de mon livre. Je ne comprenais pas comment l'on pouvait imposer autant de distractions aux élèves alors que les examens approchaient à grand pas! Le Gala du Ministère de la Magie, auquel je ne m'étais pas rendue bien qu'ayant l'âge de voter, et maintenant cette réunion organisée par le directeur. Mes amis me disaient qu'il restait encore plus de deux mois avant les premiers examens, mais ils avaient vite changé de sujet voyant sous quelle tension cela me mettait. Si j'en avais eut le courage, je serais restée dans la Salle Commune pour continuer à lire Les Grands Sorciers du XXième Siècle, mais je ne pouvais pas décemment manquer une réunion à laquelle le directeur lui-même nous avait conviés. Je descendais donc les grands escaliers, un élève gigantesque de Gryffondor me rattrapant de justesse par le col de mon uniforme alors que j'allais tombé de l'escalier mouvant. Le teint vif, je le remerciait, refermant mon livre l'air coupable, maintenant discrètement mon petit doigt sur la page où j'avais arrêté ma lecture. A l'étage suivant, je ne teint plus et replongea dans mon livre, certaine que le Gryffondor n'était plus en vue pour me rabrouer...

Arrivée dans la Grande Salle, je m'assis sur un banc sans prêter attention à côté de qui je prenais place. J'entendais quelques mots des conversations autour de moi mais ne cherchait pas à les écouter. Après de longues minutes, alors que je tournais une page, j'arrivais au bout de mon chapitre et me demanda seulement alors pourquoi la réunion n'avait toujours pas commencé. Etirant mon cou au-dessus des élèves (j'étais presque en dernière année, mais n'étais haute que comme une élève de troisième année), je regardais en direction des professeurs pour voir ce que faisait le Pr. Dumbledore. Regardant autour de moi et commençant à prêter plus d'attention à ce qui se disait, je me rendais compte que la Grande Salle était inhabituellement agitée, avec beaucoup d'allée et venue autour de nous. J'étais scandalisée par un tel manque de respect. Le directeur lui-même nous avais conviés et pourtant il y avait des absents. Jamais moi ou mon frère nous ne... "Tu as vu? Le Pr. Sweetlove s'en va aussi!" En entendant notre nom, je tournais ma tête en direction de la table des professeurs avec une telle violence que je me fis mal à la nuque. Il s'agissait de Sofia, à coup sûre. Elle était italienne et impulsive, tandis que mon frère ne pourrait jamais... Alors je le vis, se dirigeant vers la porte des professeurs. J'ouvris grand les yeux et la bouche, sourcils froncés, laissant échapper une exclamation scandalisée. Mais qu'est-ce qui lui prenait ?!! L'idée de lui lancer mon livre sur la tête me traversa l'esprit. C'était un pavé. Mais j'étais ridicule, je n'étais pas suffisament forte, et de toute façon, il avait déjà disparu derrière la porte, suivi de près par l'Infirmière...

first Log-in : 30/03/2012 parchemins : 860

pourquoi il n’est pas là ?

Tu n’aurais pas vu le professeur Phineus Harlington ?

J'avais encore les yeux fixés sur la porte par laquelle mon grand-frère était parti. Mes doigts serraient avec force le livre que j'avais toujours en main. J'étais furieuse et scandalisée par son comportement et cherchait à l'expliquer. Peut-être l'Infirmière lui avait indiqué de la suivre pour voir un élève malade, mais dans ce cas, elle l'aurait précédé, pas suivi. Peut-être s'agissait-il de Sofia. Je commençais à la chercher des yeux, lorsqu'on nous incita à rester à nos places. Plusieurs regards se tournèrent vers moi. Je me rendis alors compte que je m'étais levée dans ma colère. Rougissante de honte, je me rasseyait rapidement, espérant pouvoir passer à travers le banc et e sol et disparaître complètement, mais je ne connaissais pas de sort le permettant... Et je n'avais pas de cape d'invisibilité dans ma poche. « Tu n’aurais pas vu le professeur Phineus Harlington ? » Je tournais la tête vers l'élève qui me parlait. Je le reconnaissais, il était dans ma maison, encore dans le Cursus normal... et il passait beaucoup de temps à embêter les filles de son année... Pourtant aujourd'hui, il ne paraissait pas du tout d'humeur à en faire de même avec moi. Au contraire, il avait l'air très anxieux. Je fronçais les sourcils et regardait à la table des professeurs. « Non je ne crois pas... » répondis-je en étendant mon regard au reste de la Grande Salle. Tout le monde partait de tous les côtés. Je reportais mon regard sur l'élève. Il était parfaitement effrayé. Son inquiétude était contagieuse et je n'étais déjà plus en colère contre mon frère mais également anxieuse de ce qui se tramait... Cela faisait longtemps que les rassemblements à Poudlard ne se passait plus sans drames. « Où est-ce qu'ils vont tous? » lui demandai-je à mon tour, à présent également éffrayée. « Tu crois qu'on devrait sortir nous aussi? » Je n'aurai jamais, ô grand jamais proposer cela moi-même en temps normal. Sortir d'une réunion donnée par le Directeur avant qu'elle ne soit terminée. Mais même Timothy était sortit. Peut-être son poste de professeur lui donnait-il ce privilège, mais quelque chose n'allait visiblement pas et les antécédents de Poudlard n'étaient pas brillants. Je n'étais pas sûre de vouloir prendre le risque...