barnabas machabé goyle
feat. Xavier Samuel ou Iwan Rheon
LIBRE RÉSERVÉ PRIS

20 ANS Ϟ 9E ANNÉE Ϟ PRÉFÉRABLEMENT SERPENTARD Ϟ JUSTICE MAGIQUE SUGGÉRÉE COMME CURSUS Ϟ SANG PUR Ϟ

Caractère : Barnabas est véritablement sauvage et méfiant. C'est une brute impulsive qui bondit tel une bête sans crier garde. Il est imprévisible, parfois très calme alors qu'il devrait exploser, parfois fracassant des murs pour des riens. Il reste pour très mystérieux et cela est amplifié par le fait qu'il est taciturne. Loin d'être très expressif, il est plutôt morne et sérieux. C'est un loup indomptable et solitaire qui n'as pas froid aux yeux étant donné sa témérité le rendant légèrement autodesctruteur. Lorsqu'il ouvre la bouche, comme un miracle, on le découvre pessimiste, direct, impatient et dur. Il a pourtant des qualités ; il est très débrouillard et c'est un observateur hors du commun.

Histoire de la famille Goyle {Tiré de Salvio Hexia} : Citation : Goyle, ce nom est forcément celui d’un mangemort. Cette famille est pourrait-on dire de seconde zone, souvent à l’écart des projecteurs, mais bel et bien là pendant l’action. Ils sont voué corps et âmé (enfin ce qu’il reste de leur âme) au seigneur des ténèbres. Parfois considéré comme des sangs purs de bas étages, ils sont imbus d’eux même et nombreux son ceux qui ont tué des moldus à travers les siècles dans cette famille ! sur les trois frère et sœur Goyle, le frère aîné, et la sœur cadette sont à Azkaban.

”A PUZZLE WITH JAGGED PIECES.”

(lien avec Merveille Parkinson) – Tout cela remonte à il y a trop longtemps pour que les souvenirs soient exactes, pourtant les émotions et certains gestes restent marqués à jamais. J'ai connu Barnabas bien avant Poudlard, on s'est connu alors que nous étions des gamins aux dents manquantes. Nos parents discutaient de grandes choses pendant qu'on jouait à faire comme eux. Dans la cours du grand manoir, on se faisait la guerre à savoir qui était le meilleur. « Mon papa fait de la magie noire. » Déclarais-je à l'adresse du bambin qui ne disait mot à aucuns des trois enfants depuis qu'il était arrivé. La fillette aux yeux trop bleus que j'étais avait été intriguée par cet être taciturne et était donc allée vers lui. Il avait bondit avant de lever ses yeux profonds vers moi. « Et alors ? Le mien aussi. Mon père est plus puissant que le tiens. » Avait-il répondu, mettant le feu aux poudres. Les couteaux jaillirent des yeux de l'enfant aux cheveux trop longs et à la jolie petite robe que j'étais alors que ma sixième année de vie approchait. « Les Parkinson sont plus riches que ta famille, nous avons de plus beaux vêtements. » Avait-je déclaré avec un sourire de conquérante tandis que le garçon sauvage restait étonnement calme. « Mais les Goyle sont des Sang-purs. » Ce à quoi je m'empressais de rétorquer ce que mes parents m'avaient plusieurs fois répété. « L'argent est plus puissant que le sang. » À peine avais-je terminé ma phrase, je me sentis basculer. Le taré m'avais jeté contre le sol boueux alors que j'hurlais de rage et que nous nous battions sur le sol. Mon grand frère ne tarda pas à arriver pour nous séparer, mais nous avions tout de même eut le temps de nous amocher un peu. Alors que je me relevais enfin et que j'étais éloignée de lui, je lui crachais haineusement « Espèce de sauvage ! » Puis je rentrais pour me changer, ne supportant pas d'être vêtue de vêtements souillés. C'était notre première rencontre, mais c'était loin d'être la dernière. Je ne le revis pas avant un long moment, mais cette haine restait profonde envers ce jeune homme dont je ne connaissait que le nom de famille. Une rage brûlait dans mes veines longtemps après. Si un jour je recroisais ce Goyle, je lui ferais payé très cher cette histoire de gamin que ma fierté ne pouvait effacer.

(...)

Depuis le début de mes études à Poudlard, il y avait ce mystérieux jeune homme qui avait capté mon regard du sien. Personne ne savait qui il était, ce qu'il faisait. Je n'avais pas vraiment porté attention durant la cérémonie de répartition lors de ma première année et je ne savais donc pas son nom. Il m'intriguais, mais je mis un temps fou avant d'aller vers lui. C'est vers ma quatrième année que nous entrèrent en contact pour la première fois et ce fut un agréable moment. Il était assied à une table dans la tanière des serpents et semblait occupé à faire des devoirs. J'écrivais une lettre à mes parents non loin de lui. Il attira mon attention lorsqu'il commença à faire du bruit avec les feuilles qu'il retournaient sans cesse. Légèrement agacée, je posait mon regard sur lui. Il semblait chercher une page encore vierge étant donnée toutes celles remplies autour de lui. Je lui tendis alors silencieusement un morceaux de parchemin en le fixant. Sont regard familier se posait sur moi alors qu'il saisissait le bout de papier avec méfiance. C'est ainsi que j'ai commencé à apprivoiser ce garçon qui me semble fort intéressant malgré son silence. Je le trouve mystérieux et j'ai envie de découvrir le mystère qu'il est. Je veux allez où personne n'est allé avant ou même pire. Je veux le provoquer. Je veux le faire réagir et voir autre chose que ce visage morne aux yeux profonds.

Barnabas M. Goyle a écrit:

Il y a cette fille qui m’obsède depuis trop longtemps. Je connais miraculeusement son prénom et je trouve qu'elle le porte bien. Elle se nomme Merveille. Je me souviens qu'elle m'a lancé un regard à mon entrée dans la salle commune des serpentards, puis elle a sourit et est partie. Elle a surement oublié ce moment, mais pas moi. J'ai été affreusement surpris lorsqu'à ma quatrième année, j'ai levé les yeux sur elle qui me tendait un parchemin. Cette fille qui m'attirait silencieusement depuis l'instant où je l'ai remarquée me tendait une feuille en souriant. Mon coeur battait la chamade, mais pourtant mon visage n'exprimait rien. On s'est revus ensuite à la bibliothèque. Elle est venue s'asseoir avec moi sans que je ne sache trop pourquoi. Elle m'as fait un autre sourire auquel je suis resté de glace, même si j'en fondais. Nous sommes restés longtemps ainsi à lire, même si je ne lisais pas vraiment. Je la regardais plus souvent. J'ai remarqué qu'elle a la manie de passer sa main dans ses cheveux lorsqu'elle est concentrée, son odeur s'est ainsi déversée sur moi à plusieurs merveilleuse reprises. Ses regards profonds m'ont également intimidés plusieurs fois pendant notre lecture paisible. J'ai apprécié ce moment, même si sa voix ne s'est jamais élevée pour me parler. Lorsque nous sommes ensembles, c'est dans le silence le plus complet. Je me sens bien en sa présence, calme et complice. Je sais pourtant que c'est mauvais pour moi, elle n'as pas une très bonne réputation, mais j'aime comment je me sens en sa présence. J'ai pourtant l'impression qu'il n'y a pas de destin romantique entre nous, mais plutôt sombre.