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Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit

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Arielle L. Keynes
Arielle L. Keynes


Patience et justice sont nos atoux. Et nous respectons la mémoire de notre chère Helga.

first Log-in : 25/04/2012
parchemins : 1483

Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit Vide
MessageSujet: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyMer 25 Avr - 3:18


ϟ CARTE MAGIQUE DU SORCIER
ϟ PRENOM, Arielle Lucy.
ϟ NOM, Keynes
ϟ AGE ET INFORMATIONS SUR LA NAISSANCE, 19 ans, née le 1er octobre 1993
ϟ ANNEE ET CURSUS, Deuxième année, en recherche. Son plus grand désir est de reprendre l'entreprise de son père.
ϟ NATURE DU SANG, La famille a déjà été pure. Pourtant, il y a eu des mélanges entre les deux « races ». Les Keynes sont désormais les plus mêlés des mêlés. Cela ne pose aucun problème chez Arielle qui n’a jamais vraiment considéré cela comme une priorité la pureté du sang.

ϟ MA PREMIERE IMPRESSION VIS-A-VIS DE POUDLARD

Je me souviens de ma première fois que j’ai aperçu le château. J’ai eu cette vague impression que je vivais l’un de mes plus beaux rêves : J’étais une princesse qui découvrait le monde de la royauté dans un vrai château. J’étais la princesse Arielle dans le plus beau conte de fée. C’était dans ce château que je trouverai le bonheur, l’amour et l’amitié. J’avais tant de plan dans mon immense imagination. J’avais tant d’espérance. Je pourrais écrire un livre sur ce que je rêvais d’accomplir dans ce grand château qui m’émerveillait. Il me venait en tête des scénarios dont j’espérais vivre depuis que j’étais toute petite : vivre le grand amour avec le plus beau prince. Il serait mien. Je me voyais passer les plus beaux moments dans cette école qui avaient conquis mon cœur en un seul regard. Mon frère Appolinaire était certains que je craquerais pour le château. Il me disait que les apparences étaient trompeuses. C’était une école. Hélas, c’était aussi une école. Dans mes rêves, je n’étais pas dans une école quand je vivais mon conte de fée. Je ne voyais qu’à cette première fois la beauté du château. L’école me passait par-dessus tête à l’instant même. J’étais Arielle la petite sirène dans mon royaume terrestre. Pourtant, mon frère avait oublié de mentionner la traverser du lac. J’ai eu le saut en montant à bord d’une de ses barques qui se balançaient au fil des vagues. Je regardais mon frère jumeau au loin qui ne semblait même pas se soucier de quoique ce soit. Je peux vous dire avec assurance que je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie. J’avais l’impression que mon cœur s’arrêterait à chaque fois que le bateau tanguait. J’aimais le château. Je détestais pourtant le périple que j’ai du traverser avec les autres élèves sur le lac.

ϟ JE SUIS LE CHOIXPEAU ET JE SAIS TOUT !
Bonjour à toi, nouvel arrivant à Poudlard, je souhaite de poser des questions auxquels tu répondras franchement, et si tu mens, je le saurai. Cela restera entre toi, et moi, cela m’aidera à trouver quelle maison est faite pour toi mon enfant !
ϟ Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant,
Je ne suis pas une très bonne jeune femme, monsieur le choixpeau. Je me laisse marcher sur les pieds. Je me laisse prendre dans les filets des personnes qui ne veulent aucunement de mon bien. Je suis très naïve. Peut-être trop. Je dirais que ma naïveté est maladive. Alors, je ne suis pas une très bonne personne. Je suis incapable de dire non. Je suis incapable de me défendre. Je suis incapable de faire de la peine à quiconque. Je reste là à me laisser battre sans lever le regard vers mes agresseurs. Je préfère ne pas me souvenir d’eux. Je crois malgré tout en eux. Il m’en faut beaucoup, choixpeau, pour détester un être. Je sens les situations de danger quand je me retrouve face à elles. Pourtant, je ne bouge pas. J’attends. J’attends de voir si ma raison avait vu juste, parce que mon cœur cri de croire en chacun. Choixpeau, j’ai un très grand cœur. Je ne pourrais laisser des gens dans le besoin. J’ai envie de donner à ceux que je côtoie. Le partage a toujours été très important pour moi. Ma famille m’a bien enseignée les bonnes valeurs. Je n’ai jamais oublié les enseignements de ma jeunesse, mais aussi celles que je tirais dans les contes de fée. Ma vie démontre mon grand amour pour la royauté. Je dois avouer que je suis un drôle d’oiseau. Choixpeau, il faut aussi savoir que je n’aime pas parler de moi. Je ne veux pas dénoncer. J’ai une peur folle que ceux qui m’aiment – même s’ils ne sont pas nombreux - décident de devenir violent. Je vis dans la peur constante entre agresseur et mes amours. Il m’est très difficile en ce moment de me décrire. Je ne suis pas toujours certaine de ce que je dis. Je doute beaucoup de moi. Les autres ont semé des doutes qui me suivent à jamais. Je ne vais pas toujours bien. J’ai peur de la mort, de la méchanceté et de ne jamais connaître l’amour. La plus grande peur, c’est de décevoir ce que j’aime… Il m’est difficile de me sentir bien à l’aise. Bref, j’ai aussi des bonnes qualités : Je suis travaillante, généreuse, souriante, amicale et d’une gentillesse infinie. Je ressens parfois comme tout le monde des sentiments inexplicables qui me dégoutent. J’ai déjà ressenti de la jalousie envers certaines. Elles ont tout. Moi, je n’ai rien. Je me trouve ignoble, mais on m’a dit que je ressentais des choses tout à fait normales. Choixpeau, suis-je un monstre ?

ϟ Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang de tes camarades,
C’est cruel ! C’est une abomination ! Comment des gens peuvent-ils classer d’autres dans des maisons dites inférieurs aux autres selon le sang ? Je ne crois aucunement qu’elle devrait exister. Je suis contre. Mon cœur me dit que ses gens valent beaucoup mieux que ceux qui ont décidé de nous classer selon notre sang. Ils méritent d’être dans les mêmes maisons que nous. Je ne crois pas en la supériorité du sang. Je crois qu’il faut savoir que le sang ne veut rien dire. C’est un liquide qui coule dans nos veines. Oui, les dites femmes nobles de sorciers sont en disparitions… mais il y a d’autres familles qui naissent avec autant de richesse, dont celle du cœur. La différence est beaucoup plus belle à mes yeux qu’un cercle fermé de sang-pur qui n’aime que se vanter de ce qu’ils ont et que les autres n’ont pas. Moi, Arielle Lucy Keynes, déteste la maison des Grindlemonk, car elle brime les droits et la liberté des élèves. Je la hais de tout cœur. Je suis prête à lutter pour eux, avec eux, malgré ma naïveté maladive.

ϟ Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espère tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir,
J’ai choisi la recherche. Pourtant, j’ai d’autres projets pour moi. Appolinaire ne veut pas reprendre la pâtisserie de mon père. J’aimerais tant reprendre l’entreprise de mon père. Durant l’été, je travaille pour mon père à la création des merveilleux délices. Mon père ne me l’a toujours pas proposée, car il espère sur son fils Appolinaire. J’ai donc choisi la recherche, car cela me semblait le mieux pour moi. Il y a plusieurs cours où je démontre des aptitudes sans toutefois être convaincu que je serai heureuse dans cette voie. L’avenir me semble peu paisible pour moi. Je verrai. Je tenterai. J’essayerai d’en parler à mon père. J’ai peur de ce que l’avenir me réserve. J’ai peur de perdre les membres de ma famille. Tous sont chers à mes yeux : mère, père, Appolinaire et Gordon. Je serais prête à mourir pour eux, même si je suis terrifiée face à la mort. Je suis une peureuse de nature. J’ai peur de ne jamais trouver quelqu’un de bien d’ailleurs. J’ai peur de tout et de rien. J’ai peur de me retrouver seule à jamais. J’ai besoin de l’affection. J’ai besoin qu’on arrête la violence envers moi. J’ai besoin d’un certain repos affectif.

ϟ Un de tes camarades se fait rouer de coups dans un couloir, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu, ou simplement parce que vous êtes en cours avec elle. Que faites-vous ?
Je subis la plupart du temps les folies de mes compagnons de Poudlard. Je sais ce que l’élève ressent. Il se sent perdu, trahi. Personne ne vient à son aide. Ils sont là à le regarder. Certains ris. Certains ont des expressions d’horreur. Personne ne vient tout de même. La douleur physique et mentale, occasionnée par de tels démonstrations de violence sont inoubliable. Personne n’ose parler. Ils ont tous peur d’être le prochain, comme moi… Je suis ce genre de personne horrifiée par la scène. Je veux venir à son aide, mais j’ai peur que la violence revienne contre moi. C’est égoïste. Totalement égoïste. J’ai déjà dénoncé à haute voix de cesser ses gestes. La violence m’est revenue en plein visage. Bref, je viendrais en aide d’une autre façon. J’irais chercher une aide professorale pour cesser cette violence, même si ce n’est pas bien courageux à priori. Je viendrais en aide, même si je suis terrifiée…


ϟ Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir :es-tu un bon élève, ou le fauteur de trouble de la classe ?
Je suis loin d’être une élève cancre, même si j’ai l’air. Ma naïveté fait en sorte que j’ai l’air stupide. Je ne suis pas la meilleure élève non plus. Mes réactions sont parfois irréfléchies. Je sursautais en cours d’histoire de la magie lorsqu’on me parlait d’acte violent. Cela m’effrayait. Je suis dérangeante en ce sens. Sinon, je me considère comme une élève modèle qui remet toujours tout à temps. Je suis l’élève qui met du temps sur ses devoirs. Je suis travaillante. Mes efforts sont souvent récompensés par des bonnes notes. N’ayez cher professeur, je ne suis pas têtue, je ne suis pas dérangeante… juste à l’écoute des moindres mots qui sort de votre bouche.

ϟ Si c'était à vous de choisi votre maison, quelle serait-elle ? Et surtout, pourquoi penseriez vous êtes digne d'être membre de cette maison ? J'aime avoir les avis de tout le monde.
Je n’ai rien contre les maisons. Je connais les stéréotypes. Je ne représente en aucun cas la maison des serpentard. Je suis loin de vouloir en faire partie d’ailleurs. Je n’ai rien eux, mais je ne suis pas à l’image de mon frère jumeau. Je n’ai pas cette force de caractère et cette ambition. Je ne me considérerais jamais comme l’un d’eux. Je ne me vois pas chez les gryffondors, puisqu’ils ont du courage. Moi je n’en ai pas. J’ai peur à la moindre chose. Je demande de la compagnie à la suite d’une terreur nocturne encore à mon âge. Les serdaigles ne voudraient pas de moi pour mon manque de sagesse et d’intelligence en apparence. Je crois que je conviendrais au poufsouffle. Cette maison me semble la plus attirante pour moi. Je suis une travaillante. J’aime les gens. J’adore le travail d’équipe. Je crois que Poufsouffle est ma prochaine maison.

ϟ Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ?
J’ai été achetée ma baguette magique en compagnie de mon frère jumeau Gordon et du restant de la famille. Je me souviens d’être entrée chez monsieur Ollivander avec un sourire accroché aux lèvres. J’avais hâte d’avoir ma baguette. C’était un bon moment pour moi. Ma baguette est fait de bois de noyer avec comme élément magique une plume de phénix d’une longueur de 26,5 centimètres. C’est une baguette assez souple.

ϟ L'HISTOIRE FORGE LE CARACTERE
« Je suis née dans une belle famille unie. J’avais un frère jumeau, Gordon, né quelques secondes avant moi. Ma mère et mon père avaient chacun leur entreprise. Les revenues étaient extraordinairement bons. Ils ont eu des rêves de jeunesse qu’ils ont réussi avec brio avec maintes efforts. Je n’ai jamais manqué quoique ce soit. Pour tout dire, mes frères et moi avons été plutôt des enfants gâtés. Pourtant mes parents nous ont toujours appris les bonnes valeurs : le partage, l’amitié, l’amour, le travail… Bref, les plus belles choses qu’on puisse donner comme bagage à de jeunes enfants. Je me souviendrai toujours ce que j’ai vécu en garderie. C’était la première fois de ma vie que je mettais les pieds en garderie. Bien que mon grand frère, Appolinaire, avait bien eu du plaisir à y aller quand maman ne pouvait nous garder, j’avais hâte de connaître ma première expérience en garderie en compagnie de mes frères. J’étais assise dans le bac à sable. Je faisais une citée avec les sauts et les petites pelles qui étaient à ma portée. Ma mère ne m’avait pas mise une de mes nombreuses robes, puisqu’elle disait que je les salirais pour sure. J’étais déçue de ne pas porter de robe, mais j’avais compris plus tard que ma mère avait toujours raison. Je portais des vêtements communs à tous les enfants : un short et un t-shirt. Bref, je jouais dans le carrée de sable. J’étais seule, mais heureuse. Je voyais du coin de l’œil mes frères jouant au ballon. Je n’étais pas faite pour jouer avec des ballons. J’étais plus petite que les autres. Je n’avais décidément de talent pour jouer avec eux. Pourtant, je m’amusais à lever la tête pour les regarder avec un sourire accrocher à mes lèvres. Je baissais la tête à nouveau me concentrant sur ma cité de château de sable. J’avais quelques figurines que je plaçais à travers la cité. Je souriais en imaginant une belle princesse du haut de son balcon regardant l’horizon attendant son prince charmant qui viendrait d’une contrée inconnue. C’était si beau à mon esprit. Pendant que je me faisais mes scénarios romantiques dans mon esprit d’enfant de trois ans, une ombre vint couvrir mon petit coin de paradis sous le soleil cuisant du mois d’août. Je levai les yeux vers l’ombre, trois garçons se tenaient devant moi. Ils souriaient. Je leur fis un grand sourire niais. L’un des garçons commença à me faire une vilaine grimace. Je fronçai légèrement les sourcils. Je ne savais pas ce qu’il lui prenait, mais je ne me posai aucune question. J’étais un enfant qui n’avait jamais connu réellement la discorde et la violence. Mes frères se tiraillaient par moment, mais jamais n’étaient réellement violent l’un envers l’autre. Pourtant, Appolinaire, mon frère ainé, est un battant depuis sa naissance. Il était si malade à la naissance que mes parents ont cru devoir enterrer bien vite mon frère. Il est un peu une inspiration à suivre. Bref, je ne connaissais aucunement la violence et l’intimidation des autres. L’un des garçons commença à détruire ma citée, mon royaume, ma création. Il donnait des coups pieds sur ce que j’avais bâti. Je le regardais avec des grands yeux remplis d’eau. Les larmes étaient bien présentes. Je me retenais de ne pas pleurer. « Comme ça on zouait sans nous. » dit le garçon qui massacrait mon royaume. « C’est notre bac à sable » rajouta-t-il en écrasant les petites figurines cassant parfois quelques morceaux de ses dernières. Le troisième garçon donna un coup de pied dans le sable qui vola dans mon visage. J’avais reçu du sable dans mes pauvres yeux. Je lâchai un petit cri de frayeur. J’avais mal. Je pleurais en frottant mes yeux à l’aide de mes poings fermés. « Appolinaire !! Gordon !! » J’appelais mes frères pour m’aider. Ils étaient les seuls à pouvoir bien m’aider, j’en étais certaine. Les éducatrices vinrent plus vite que tout. Mes frères me regardaient tout près, mais je ne les voyais pas. Ils avaient été alerté par mes cris, puisque je les avais demandé auprès de moi Appolinaire passa ma main dans mes cheveux. « Arielle… » dit-il seulement. Je continuais à pleurer tout en lui répondant : « Apo, ça fait mal. » C’était la première fois que je connaissais cette douleur. C’était la première fois que je rencontrais cette violence. Je n’étais pas habituée à cela. Pour la première fois de ma vie, je vivais ce que je venais de vivre. Je souhaitais de tout cœur que rien n’y personne ne me fera le coup peu importe la technique.

Je n’aurais jamais cru que la liste des intimidations s’allongerait. J’avais décidé de taire tout ce qui se passait dans ma vie. Je ne voulais pas voir mes frères autrement que ce que je connaissais. Gordon avait commencé à sortir les poings quand on m’enquiquinait devant lui. C’était mon jumeau, mais il était d’être moi. Il était si fort déjà jeune. Il était le fort lion et j’étais la petite biche. Je n’avais jamais fait de mal à quiconque. J’évitais toutes actes pouvant blesser les gens. Je n’aimais pas la violence. Je détestais voir mes frères agir violemment. J’étais pourtant certaine que mon père avait exigé à mes frères. J’avais décidé de cacher mes pleures, mes tristesses et mes peurs. J’avais pensé à me confier tout simplement dans un journal intime où j’étais certaine de pouvoir écrire tout ce que je voulais sans perdre ce que je voyais de mes frères. Ma perception ne changeait pas envers eux. Je vivais ma peine en la partageant par écrit ce que je vivais depuis déjà la tendre enfance depuis que je côtoyais d’autres enfants. J’étais à poudlard avec Gordon. Je savais que je pouvais toujours compter sur mon grand- frère de quelques minutes. Il passait parfois un peu de temps avec moi. Je savais qu’il avait besoin de temps sans moi. J’étais comment dire… dérangeante dans mon comportement niais. Je n’ai jamais ignoré mon soi-disant problème de naïveté maladive. J’avais compris que j’étais différente en analysant après mûre réflexion toutes les fois où je m’étais retrouvée dans des situations qui paraissaient bien douteuses à la première vue. J’étais une âme qui aimait croire à la bonté des choses et du cœur. Selon ma perception, les gens portaient tous un cœur au fond de leur cage thoracique. Je n’ai jamais cru malgré toutes les horreurs que l’humain pouvait accomplir n’étaient du fait que l’Homme était mal, horrible et sans cœur. Bref, je faisais fuir Gordon par moment. Je savais pourtant que dans son non-dit, il m’aimait. Personne n’agissait comme cela avec moi. Personne n’avait eu le droit au même traitement que j’avais avec mon frère. Il était un prince-pas-charmant. Je l’aimais quand même plus que tout. Toute l’innocence que je possédais, Gordon ne l’avait pas. Il était mon opposé malgré que nous étions des jumeaux. J’étais assise à ses côtés. Il passait du temps avec moi, mais je le sentais tendu. « Qu’est-ce qu’il y a ? » dis-je en le regardant droit dans les yeux. Il me regarda à son tour. Il fronça les sourcils. « Tu me prends pour un diot, Arielle ? » Je fus surprise. Qu’est-ce qui se passait que j’ignorais ? Je n’avais jamais cru que mon frère était un idiot. J’étais la cruche de la famille selon les dires des gens. Je commençais à sérieusement le croire. « Tous ses gens, Arielle ! Pourquoi te laisses-tu faire ? » je baissai la tête honteuse. Je compris qu’il avait peut-être lu durant les vacances le contenu de mon journal intime que j’avais oublié sur la table du salon. Je l’avais retrouvé déplacer dans le coin de la table du salon. Bref, je ne m’étais pas posée de question. Je m’étais dite que peut-être l’avait-on déplacé sans le lire ? « Je préfère ne pas en parler… » dis-je d’une voix hésitante voyant la mâchoire de mon frère se crisper sous le coup de la colère. Gordon avait toujours eu des tendances colériques. Je savais qu’il m’aimait. Il s’en faisait pour moi. Il aimait la famille, même s’il n’était pas l’image de la famille Keynes. Nous étions plus pacifique et bisounours, mais il nous aimait. C’était la chose la plus important à mes yeux. « Arielle !! » dit-il en prenait mon visage dans ses mains tandis que mon regard fuyait le sien. Je ne voulais pas en parler. Je ne voulais pas dénoncer tous ses gens qui me faisaient du mal. Je ne voulais pas voir quiconque souffrir. Je n’acceptais décidément pas la violence, même si j’étais la première à en subir. J’étais mère Theresa de la nouvelle époque et différente. J’endurais sans chercher à me venger. J’étais extrêmement pacifique. « Dis-moi les noms, Arielle !! Ça doit cesser » J’hochai la tête négativement. « Je refuse. Je ne peux pas. Je ne veux pas. Je sais ce que tu ferais. Je t’aime, mais je ne peux pas. » Gordon me regardait. Il était en colère. Je ne l’avais jamais vu dans cet état. Il était plutôt le garçon inexpressif qui n’agissait que pour son compte. Il était à Serpentard, même mes parents ne s’attendaient décidément pas avoir un enfant dans cette maison. Ils étaient tout de même fiers de leur propre fils, mon jumeau. « Je les trouverai… je te jure qu’ils le payeront. » Il partit. J’avais naïvement pensé encore une fois que je pourrai passer un agréablement moment avec Gordon. J’avais tant de choses à lui dire qui n’avaient en aucun cas rapport à mes malheurs. J’étais là en plein milieu d’un couloir, les larmes aux yeux. J’étais décidément seule à comprendre le pourquoi que j’agissais ainsi. Je me sentais si seule. Moi, je ne voulais aucun mal. Pourtant, ceux qui m’aimaient voulaient se venger de tout ce mal à ma place.

Je subissais. Mon moral était à zéro depuis quelques temps. Je voyais pourtant une lumière au bout de ce tunnel sombre. Il y avait un petit prince qui me faisait sourire. Je commençais à craquer pour lui. C’était mon petit secret. Mes écrits dans mon journal étaient beaucoup plus joyeux que sombre quand je passais quelques temps avec ce dernier. J’y croyais sérieusement pour tout dire à ce début d’histoire. Peut-être trouverais-je enfin la force d’arrêter tous ses gens qui me faisaient du mal ? Peut-être aurais-je plus confiance en moi ? Le petit prince de mon cœur répondait au doux prénom de Gabriel. Cela sonnait bien à mes oreilles. J’étais heureuse qu’enfin quelques choses de bien m’arrivent. J’étais toute contente qu’il m’ait invité à le rejoindre ce soir en douce au septième étage. Je ne savais pas pourquoi, mais une partie de moi me disait de ne pas y aller… mon cœur hurlait le contraire. Je croyais en lui. Je croyais à un possible avenir sans toutefois vivre toute une vie avec lui. J’avais appris à ne pas trop me faire des fausses croyances pour être ensuite déçue de ne rien avoir. Je ne voulais plus avoir mal déjà que j’avais bien souffert. Gabriel me semblait être une porte de sortie bien que je me respectais dans cette histoire. Je prendrais le temps qu’il faudra pour franchir les étapes. J’avais certaine espérance inavouée en ce moment, mais je ne devais pas y penser. Je serais peut-être déçue. Bref, ce soir je devais sortir. J’étais une hors la loi. J’étais habituellement à cheval sur les règlements étant terrifiés de me retrouver en retenu. Je ne savais pas ce qui pouvait m’attendre en retenu, mais cette fois-ci j’avais une bonne raison de ne pas respecter les règles. Je m’étais faite jolie. J’avais pris soin de placer mes cheveux. Pourtant, au final, je les avais laissé tomber en cascade sur mes épaules. Je m’étais maquillée. J’avais mis l’une de mes belles robes blanches que je portais lors des chaudes journées d’été. J’avais toujours ce penchant pour les robes depuis que j’étais petite. J’avais quitté la salle commune pour me diriger vers le septième étage. J’avais le cœur qui battait si vite dans ma cage thoracique. Je pensais que mon cœur me lâchait peu à peu. J’étais impatiente de le retrouver. J’étais amoureuse. Je le crois maintenant. J’avais atteint rapidement l’étage où mon futur homme m’attendait. Mon petit cœur battait la chamade, mais il s’arrêta une fraction de seconde en voyant Tobias. Ce n’était pas mon Gabriel qui m’attendait. Au lieu de cela, c’était un garçon qui adorait me faire du mal à la moindre chance. Je reculai pensant qu’il ne m’avait pas vu pour me cacher au détour d’un couloir. J’avais l’intention d’entendre Gabriel loin de ce garçon que je détestais me trouver en compagnie. Tobias m’avait aperçu. J’étais dans un pétrin. Je me sentais déjà prise au piège. « Voilà, ma petite Arielle favorite. Celle que j’attendais ! » Je ne comprenais pas. Je ne voyais pas pourquoi il m’attendait. Je me reculais vers le couloir pour prendre la fuite. J’avais l’intention d’expliquer à mon Gabriel pourquoi je n’y étais pas. Pourtant, je sentis des présences derrière moi. Je fis volteface pour tomber face à face avec mon Gabriel et deux acolytes de Tobias. Mon cœur cessa de battre. Je ressentais cette pointe traversée mon cœur. J’avais l’impression de comprendre ce qui se passait. J’avais été naïve de croire en Gabriel. Il était ce genre de garçon qui ne convenait pas aux genres de fille que j’étais. J’aurais du comprendre que le vil Serpentard ne pouvait connaître l’amour pour une fille comme moi. « Gabriel… » laissai-je échapper. J’avais la voix qui chevrotait. J’avais du mal à accepter ce qui se passait. J’avais cru en quelques choses encore une fois impossible. Je manquais décidément de chances. Malgré la détresse de mon cœur, j’étais consciente du potentiel danger. Je devais fuir avant de faire blesser. J’étais consciente que les quatre garçons ne voulaient décidément pas mon bien, puisqu’ils avaient refermé leur cercle autour de moi. Je regardais les larmes aux yeux Gabriel. « Pourquoi ? Je ne comprend pas… pourquoi ? » dis-je d’une voix suppliante. Il sourit en me regardant. « Je ne veux que ton bien, ma belle. » me dit-il que pour rajouter un peu plus à ma peine. Il m’avait déjà dit ses magnifiques mots à mes oreilles. Je l’avais cru. Je l’avais tellement cru. Je m’en mordais décidément les doigts. Quelle bêtise ! Il rajouta : « Tu m’as cru quand je ne disais ce que tu voulais entendre. Tu croyais vraiment que moi, je pouvais avoir une parcelle d’amour pour toi. Arielle, tu rêves les yeux ouverts. » Je laissais échapper un sanglot. Il avait gagné cette bagarre. « ce n’est pas fini ! Bordel, j’ai juste envie de l’entendre crier » conclut Tobias au côté de celui en qui j’avais cru. Une brèche s’ouvrir dans le cercle. Tobias me poussa contre le mur. J’étais effrayée. « Je vous en supplie, laissez-moi partir. Je vous en supplie. » J’avais perdu toute espoir de m’en sortir. J’étais cuite. J’étais la prochaine victime d’une autre prochaine malheureuse histoire. Je pleurais me laissant secouer de tout côté. J’entendis des pas au loin. « AIDEZ-MOI, AIDEZ-MOI !!!! » J’ai eu le droit à coup de poing dans le ventre qui me fit plier en deux. J’avais du mal à respirer. J’avais mal au ventre. J’avais fermé les yeux. J’entendis : « euuuuuuuuh… » puis on me laissa tomber. J’étais au pied du mur en position fœtale. J’ai ouvert les yeux pour voir mon frère jumeau, Gordon, leur foutre une raclée. Je n’appréciais vraiment pas la violence, mais je n’avais pas la force de lui dire que ce n’était pas bien. Le quatuor se sauva. Je me levai tant bien que mal pour m’approcher de mon frère. Je déposai une main sur son épaule avant de lui faire un long câlin en le serrant fort. « Merci, merci… je ne ferai aucun commentaire sur ta méthode, je ne fais que te remercier. Merci, merci, merci Gordon. » Je n’avais rien d’autres à lui dire. J’étais épuisée. J’avais mal à mon ventre. J’avais mal à mon cœur. J’avais besoin de repos. Une bonne nuit à me calmer, à me consoler…

Je broyais du noir. Peu après l’évènement avec Gabriel, je vivais dans une sombre période. J’étais triste. Je, Arielle, broyais du noir. Je me disais que peut-être je n’étais pas la bienvenue ici. J’étais tellement malheureuse. J’avais mal. Je souffrais. J’étais assise à côté de mon frère, Gordon. Je le regardais de côté. « Gordon… » dis-je en attente d’une réponse de sa part. Il leva la tête dans ma direction. « Hum ? » dit-il tout simplement. Je savais qu’il était à l’écoute. « Gordon, je t’aime » dis-je en étant incapable de dire ce que j’avais dans mes sombres pensées. Je voulais lui dire. Je ne trouvais pas la force. « Je sais que tu m’aimes Arielle… tu me le dis chaque jour. » Je baissai la tête. J’étais triste. Je tentai d’étouffer un sanglot pour ne pas l’alerter. J’étais une mauvaise actrice. Je n’avais pas cette capacité à cacher ce que je ressentais facilement. « Je n’aurais jamais du naître… » Je sentis Gordon lever la tête rapidement. Il était en colère. Je sentais ses muscles se serrer. Il se retenait de ne pas me frapper pour me secouer. Gordon n’avait jamais été violent envers moi. Il ne m’avait jamais secouée. Il ne faisait aucun mal. « Qu’est-ce que tu dis ? » Je pleurais à ses côtés. « Je dis que je n’aurais jamais du naître. J’aurais du être ta jumelle mort-né. » Gordon me prit par les épaules. « Cesse de dire des conneries… » Je laissai un long sanglot me parcourir. « Je n’arrête pas de semer le mal à mon passage. Les gens deviennent violents après mon passage… » Gordon me regardait droit dans les yeux tandis qu’il m’avait prise par les épaules. « Foutaise Arielle ! FOUTAISE ! Ils t’ont eu. Ils t’ont fait du mal, mais ne dis JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS que tu n’aurais du jamais naître… Tu les crois maintenant ? Pourquoi tu crois en eux ? Arielle ! T’es quelqu’un de bien… mais tu as besoin de leur prouver des choses… tu es mieux qu’eux. Tu vaux mieux qu’eux. Ne te laisse pas manger la laine sur le dos… » Je pleurais. Mon frère avait raison, mais comment pouvais-je croire sa parole contre toute la leur ? Pourquoi devais-je subir tout ce mal ? Je provoquais toute cette violence. Pourquoi j’étais tant détestée ? J’étais toujours à cette malheureuse conclusion que j’étais le mouton noir de cette société sorcière… je n’aurais du jamais naître. J’étais dans une sombre passe où je baissais les bras face à l’adversité. « Je ne crois pas que tu aies raison… je t’aime, mais j’inspire que la violence. »


ϟ REPELLO MOLDUM
ϟ PSEUDO/PRENOM, Mawie
ϟ AVATAR CHOISI, Anna Maria Jagodzynska
ϟ UN COMMENTAIRE, gif (c) Miss V
ϟ PRESENCE, 4 sur 7 avec ce personnage
ϟ PARRAINAGE,Souhaites-tu un parrain pour t'aider à t'intégrer ? Oui [...] / Non [x]
ϟ LE MOT MAGIQUE, Poudre de perlimpinpin, poudre d’escampette et poudre à cheminette


Dernière édition par Arielle L. Keynes le Lun 28 Mai - 18:28, édité 29 fois
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Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit Vide
MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyMer 25 Avr - 11:19

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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyMer 25 Avr - 13:36

Rebienvenue sur le forum miss.
bonne chance pour t'as fiche!
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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyMer 25 Avr - 15:02

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Ysölde M. Wilkes McFays
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fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyJeu 26 Avr - 9:31

RE BIENVENUE MAWIE Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit 429689
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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptySam 28 Avr - 9:18

Re-Bienvenue I love you Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit 819337
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Tessa D. Blacktorns
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Qui suis-je ? Je ne sais pas encore si je serais élève, professeur, ou adulte.

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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptySam 28 Avr - 11:53

Re-Bienvenue mam'zelle ! Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit 3817709046
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Arielle L. Keynes
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Patience et justice sont nos atoux. Et nous respectons la mémoire de notre chère Helga.

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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptySam 28 Avr - 21:59

Merci tout le monde. vous Méritez une tonne de chocolat et de bisoux papillons ;D
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Arielle L. Keynes
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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyLun 28 Mai - 18:29

Désolée du double post.
J'ai terminé muahah.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyLun 28 Mai - 18:57

VALIDÉE A POUFFY MA MAWIEE Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit 81441
n'oublie pas d'aller réserver ton avatar et faire recenser ton cursus et ton camp si tu en as un Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit 469549 Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit 445148
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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit EmptyMar 29 Mai - 17:10

T'ES À POUFFYYYYYYYYYYYY Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit 469549
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MessageSujet: Re: Arielle Lucy Keynes : - Ma maman m'a dit   Arielle Lucy Keynes  : - Ma maman m'a dit Empty

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