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When the need met the heat - Ysölde & Jaxson

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MessageSujet: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyMar 26 Oct - 1:05

arf j'ai fait une erreur -___________-
mais à la base c'était un post.


Dernière édition par Jaxson S.Diggory-Panklust le Mer 27 Oct - 1:27, édité 2 fois
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyMar 26 Oct - 17:47

Un sang mêlé comme les autres erre dans les rues sans but, Ysolde, aussi sang pur soit elle faisait de même. Pas qu’il y ait de lèche vitrine à faire, mais pour elle ces rues avaient quelque chose de calme et de reposant. Avec un caractère comme le sien il n’était pas inintéressant de trouver de quoi calmer son esprit. Les sorties à pré Au lard était selon elle trop éloignées. Ce jour là, elle était emmitouflé dans son manteau, une écharpe autours du cou, il n’était pas un secret de savoir que Ysölde Wilkes faisait parti des personnes les plus frileuse du château, tout le temps. Dés le mois de septembre elle sortait son pull d’hiver, et ne le quittait pas avant mai.

Lui, ce « sang de bourbe », il avait le don de la mettre hors d’elle ; sa faculté à s’accrocher même s’il venait de sa faire remballer plus d’une fois l’impressionnait, autant qu’elle lui faisait pitié. Elle ne comprenait pas les gens prêt à souffrir pour… rien ? Vous savez elle ne connaissait pas le fin mot de l’histoire et ne cherchait pas à la connaitre plus que cela, même si un tel entêtement l’intriguait au plus haut point. Que cherchait-il a faire en revenant sans cesse à la charge ? Elle ne comprenait pas, et avant même qu’elle n’ait pu dire quoi que ce soit de méchant et de cynique, la sang de bourbe dit alors :
    - Inutile de venir me dire que je suis le pire abruti que tu n'aies jamais rencontré, je le sais déjà.
    - Abruti ne serais pas le mot que j’aurais employé. Malade mental serait plus approprié, mais cela doit venir du sang, c’est comme avec les chiens, quand la race est mauvaise cela ressort tout le temps. Lâcha-t-elle cassante.
Elle n’était pas une jeune fille aimable, mais vous savez elle n’avait pas toujours été ainsi, seulement, elle ne se souvenait pas avoir été différente. Et comment pouvait-elle essayer d’être aimable si elle n’avait pas ses souvenirs ? Enfant, elle avait été une jeune fille souriante, drôle, franche et aimable, même si son franc parler avait donné du fil retordre à sa perceptrice. Parmi ces vérité ci, ce qu’on s’est contenté de lui dire c’est qu’elle était franche, juste franche et on y avait ajouté un beau mensonge, on lui avait dit : « quand tu étais enfant, tu étais tout ce dont salazar serpentard aurait été fière, mesquine, rusée : une jeune fille de fort caractère. » et voilà comment on opère un lavage de cerveau et un modelage à l’image d’un père sans cœur, sans âme et sans pitié.
Si elle s’était souvenue de certaines choses, jamais elle n’aurait parlé à Jax sur ce ton, ni même avec ces termes. Quand elle le regardait, elle ne conservait aucun souvenir de leur amitié d’enfance, la seule chose dont elle se souvenait c’était qu’il faisait preuve d’un entêtement effrayant. Mais il y avait forcément quelque chose qui subsistait au fond de sans tête, bien au fond, comme toute son enfance. La sorcière avait parfois des doutes à propos de ses souvenirs, car elle avait l’impression que c’était un collage de tout ce qu’on lui avait dit, ‘rappeler’ et que cela était jonché d’incohérences, mais à chaque fois, personne n’était là pour confirmer ses doutes, personnes n’était là pour l’aguiller vers la vérité.


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MessageSujet: Re: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyMer 27 Oct - 1:27

Le pire c'est que je savais, je savais que tout ça allait finir pas m'exaspérer, par me tuer. Et comme un con, un éternel con, je restais là immobile à contempler ce visage qui m'était si familier, et si étranger tout à la fois. Comme si en fais, lui tenir tête allait changer quoique ce soit. Mais bon sang, quand allais-je donc enfin comprendre qu'il n'y aura jamais moyen de lui faire retrouver sa fichue mémoire! Elle était pire qu'une vipère pire que tout et ses opinions arrêtées sur mon sang ou autre ne la faisait en rien augmenter dans mon esprit. Mais il persistait un doute, un doute sur le fond des choses, sur ce que décelait son âme, ou du moins des morceaux de cette dernière, sur la place que j'occupais autrefois dans son coeur devenu infranchissable. Oui, j'étais insistant et oui je savais me faire énervant, mais je croyais qu'à quelque part derrière ce masque de fer, se trouvait la fille enjouée et adorable que j'ai autrefois apprécié à sa juste valeur.
      - Abruti ne serais pas le mot que j’aurais employé. Malade mental serait plus approprié, mais cela doit venir du sang, c’est comme avec les chiens, quand la race est mauvaise cela ressort tout le temps.
      - Ah bravo Ysölde, là tu fais vraiment fort! Me comparer un chien... Tu devrais te regarder dans une glace avant d'affirmer de tels propos, t'es bonne pour l'asile. D'ailleurs si tu veux, je te ramène à Sainte-Mangouste. T'as tellement eu l'air de bien t'y plaire la dernière fois qu'un séjour de plus ne te fera pas de tord.

Avais-je dis, un faux sourire se dessinant sur mes lèvres qui trahissaient un inconfort, une haine palpable.Je ne savais pas si elle avait oublié son séjour dans l'un des seuls hôpitaux magiques, mais pour ma part, c'était le lieu qui me l'avait arraché de mon monde, sauvagement, sans avertissements. Et pour couronner le tout, elle ne m'était jamais revenue. Je ne sais qu'une chose à ce jour : ma vie ne se résume qu'à un échec monstrueux. Ce trou béant que j'ai à la place de l'estomac ne sera plus jamais refermé. Parce que son absence me déchire le coeur. Parce que sa faculté de m'oublier si rapidement sans jamais n'avoir, ne serait-ce qu'un seul , petit souvenir de moi ,me laisse perplexe, vide, inerte. Mais elle s'en foutait. Madame pouvait bien être élue reine du monde, ça ne changerait rien du tout au fait que je suis le seul qui détient les ficelles de notre relation épique. Je pouvais lire dans ses yeux l'interrogation. Je pouvais lire l'incertitude, le doute, la confusion. Je n'avais jamais été aussi loin dans nos courtes conversations, je n'avais jamais dit quelque chose qui pourrait lui laisser croire que je la connais depuis toujours. En réalité, je ne faisais que jouer la carte du parfait idiot collant qui désire échanger avec une demoiselle entêtée et insupportable alors qu'elle ignorait tout. Mais aujourd'hui, alors que nos deux êtres se retrouvent à l'endroit quasi exact où nos esprits se sont rencontrés, j'avais bien envie de tout lui balancer. Pourtant, je savais bien qu'il fallait me garder des réserves, qu'il ne fallait rien dire. Parce que ça gâcherait tout, tout simplement.
      - J'peux savoir ce que je t'ai fait? À part d'être malheureusement né dans une famille moldue? Demandais-je après qu'un certain malaise fut installé, laissant entre nos deux êtres un silence accablant, étouffant. Je me repris tout aussitôt, jugeant que cette question était stupide, puisqu'elle était trop sotte pour voir au delà du sang. - Je veux dire... Tu es aussi acide que la goutte du mort vivant, tu te la joues " tout le monde à mes pieds " alors qu'en fait, t'es pas comme ça.

J'avais bien envie de m'en aller, me trouvant quelque peu imbécile de " m'ouvrir" de la sorte. Pourtant, la curiosité de tout savoir m'intriguait au plus haut point et c'est sans doute pour cela que je restais, oui.. sans doute.

671 mots.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyMer 27 Oct - 7:31

Il était rare qu’elle ait un échange aussi long avec un né moldu, à vrai dire, la plupart fuyaient avant même qu’elle n’ait eut le temps de l’insulter, car elle ne le faisait pas souvent seule, mais plutôt en bande. Comment un pauvre petit né moldu pouvait résister face à un groupe radical ? Elle ne pouvait pas, tout comme elle savait que face à un groupe de personne furieux contre elle elle ne ferait pas le poids. Ysölde Wilkes avait compris depuis un certains temps que ça n’était pas force, ni la pertinence des idées qui permettait de triompher, mais le rapport de force est encore la seule règle qui prévale dans ce monde. Là, face à face, le rapport de force était à égalité, et ça c’était fâcheux.

- Ah bravo Ysölde, là tu fais vraiment fort! Me comparer un chien... Tu devrais te regarder dans une glace avant d'affirmer de tels propos, t'es bonne pour l'asile. D'ailleurs si tu veux, je te ramène à Sainte-Mangouste. T'as tellement eu l'air de bien t'y plaire la dernière fois qu'un séjour de plus ne te fera pas de tord. dit-il avec une sorte de sourire qui donna à Ysölde l'envie de le gifler, elle détestait qu'on lui 'rit' au nez, pire ces petits sourires ironiques.
- Premièrement ne m'appelle pas par mon prénom, toi et moi on ne se connait pas. Deuxièmement, je vais très bien quand je me regarde dans une glace, et dernièrement, qui es-tu pour me dire d'aller à St Mangouste, et je ne te laisserait jamais dire que j'y ai été une fois, où diable as-tu été cherché de telles absurdité. Encore un de tes délire de sang de bourbe. siffla-t-elle, en insistant sur le "sang de bourbe".

Où diable était-il allé chercher qu’elle avait déjà fait un séjour à St Mangouste ? La dernière fois qu’elle se souvenait y avoir mis les pieds son père lui avait dit que c’était pour rendre visite à sa mère, avant qu’elle ne succombe de ses blessures. Mais dans ses souvenirs elle n’en avait jamais été patiente, jamais. Malgré tout, ces mots l’intriguèrent. Sans savoir pourquoi, elle gardait sa langue dans sa poche et se contentait de sortir les insultes classiques. Quand il lui demanda de se regarder dans un miroir, elle se contenta de répondre fièrement qu’elle n’avait aucuns soucis, ce qui était faux. Pour elle y avait deux choix possible dans sa vie : suivre son « clan » être détestable, horrible, méchante, mais apprécié, ou finir comme ces gens radié de l’arbre généalogique, finir comme son frère Ramsey, sans famille, sans maison, sans rien, renié de tous. Pour elle, le choix avait té vite faite, elle avait choisit de se fondre dans la masse des sangs purs c’était tellement moins dur à porter sur ses épaules. Et pourquoi diable avait-elle parfois de relent de rébellion dans son esprit, cela ne lui ressemblait pas, pas du tout. En faite, ça ne ressemblait pas à la Ysolde actuelle, mais cela ressemblait tellement à l’autre, éteinte, caché, oublié derrière cet amas de souvenir faux trafiqué.

- J'peux savoir ce que je t'ai fait? À part d'être malheureusement né dans une famille moldue? dit il alors. Il ajouta alors : Je veux dire... Tu es aussi acide que la goutte du mort vivant, tu te la joues " tout le monde à mes pieds " alors qu'en fait, t'es pas comme ça.
- Monsieur à des interrogations existentielle. lâcha-t-elle moqueuse, et cynique. Être né moldu, pour reprendre tes termes, est la plus grande insulte que l'on puisse faire à la magie, comme si elle pouvait être à la portée de tous. elle marqua une pause, sa voix fut cassante, froide, comme souvent, elle répondait sans cesse la même chose "les sangs de bourbes n'ont pas le droit à la magie, c'est tout." Elle ajouta ensuite :Qu'imprte que je sois acide, te plaire à toi ou à quelqu'un d'autre de ton espèce est bien la dernière chose qui m'intéresse. Et ... elle chercha son nom Pankmachin chose, le monde n'est pas à mes pieds, mais ça viendra. elle marqua une nouvelle pause, puis le regardait toujours de haut - bien que techniquement de taille inférieur - elle ne pouvait s'empêcher de regarder les gens comme cela, comme si c'était une sorte d'utilme protection. Et toi tu dis qu'au fond je ne suis pas comme ça ? Excuse moi de te le dire, mais d'où on se connait toi et moi ? Hein, tu te prends pour qui pour me dire qui je suis, ou qui je ne suis pas ? Pauvre sang de bourbe.Elle n’avait pas idée de la façon dont il l’avait connu. Bien que fière, et droite dans son esprit, elle ne pu s’empêcher de paraitre troublé un instant, mais se ressaisit, si bien qu’elle espérait bien que ce trouble ne lui avait pas été montré. Paraitre faible était bien la dernière chose dont elle avait besoin, la dernière, déjà qu’elle n’était pas très solide.




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MessageSujet: Re: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyJeu 28 Oct - 6:22

J'croyais pas qu'on s'en serait rendu là. J'veux dire, normalement, il suffit qu'elle me nomme " sang de bourbe " pour que je décampe et file à tout à l'allure vers la direction opposée. Mais aujourd'hui c'était différent. Pourquoi aujourd'hui, pourquoi pas un autre jour? C'était ce que je me disais sans arrêt quand je la croisais dans le château, je remettais toujours à plus tard le fameux moment où je devrai tout lui avouer, parce que j'avais peur oui, et aussi étrange que cela puisse sembler de la part d'un jeune homme tel que moi, j'avais pas envie de l'entendre me dire pour je ne sais plus combien de fois que j'étais un fou, que j'avais ma place bien au chaud à sainte-mangouste qu'il fallait que je lui fiche la paix, que mon cerveau était bien trop désaxé pour continuer la compréhension. Ouais, en gros, moi j'appréhendais. Et quoi de plus normal, hein?.- Premièrement ne m'appelle pas par mon prénom, toi et moi on ne se connait pas. Deuxièmement, je vais très bien quand je me regarde dans une glace, et dernièrement, qui es-tu pour me dire d'aller à St Mangouste, et je ne te laisserait jamais dire que j'y ai été une fois, où diable as-tu été cherché de telles absurdité. Encore un de tes délire de sang de bourbe. La colère commençait doucement à refaire surface. Elle était douée dans ça, Ysölde, à faire perdre mon sang froid alors que j'ai toujours été un mec patient. Je lui en voulais pour ses méchancetés et ses âneries, et c'est d'ailleurs dans cette énergie qu'on pourrait appeler " négative " que je lui répondis sèchement.- Tu veux que je t'appelle comment? Sa Majesté? Va te faire foutre Wilkes! J'suis bien plus que tout ce que tu pourrais croire, le sang de bourbe, il en sait pas mal de choses...

Avais-je soufflé d'un trait, comme si ça avait été un soulagement. Alors qu'en fait, rien ne me soulageait. pas même le fait de lui hurler dessus comme un demeuré. Je suppose que je devais faire avec, que je devrais vivre avec ça pour le restant de mes jours. C'était pourtant si lourd, si difficile à porter- - Monsieur à des interrogations existentielle. mon nez se plissa, je me sentais acculé au pied du mur, prisonnier de son arrogance. Qu'on en finisse, là maintenant.- Être né moldu, pour reprendre tes termes, est la plus grande insulte que l'on puisse faire à la magie, comme si elle pouvait être à la portée de tous. Encore une fois, je luttai contre l'envie de rétorquer, d'affirmer mes opinions, mais je me tus , usant plutôt de ma sagesse plutôt que de ma rudesse. Je n'avais pas le même point de vue qu'elle, bien sûr. Certes, je n'étais pas né dans la bonne famille, et encore pire , même pas sous la bonne étoile, mais je savais qu'on avait tous un destin tout tracé. Et le mien c'était de devenir sorcier. Un grand sorcier. Je n'allais pas lui raconter ça. En fait je n'avais pas vraiment envie de l'entendre se plaindre d'ennui. Parfois, vous savez, il valait mieux se la fermer, écouter et endurer plutôt que de faire affront à ce qui nous blesse.- Qu'importe que je sois acide, te plaire à toi ou à quelqu'un d'autre de ton espèce est bien la dernière chose qui m'intéresse. Et ... J'avais bien envie de lui coller un poing dans la figure rien qu'à l'effet que ça me faisait qu'elle ne se souvenait plus de mon nom. Je sais c'est tellement puéril et stupide! mais je suis dit que c'était mal vu et que sans doute je perdrais des points à ses yeux, déjà que je suis considéré comme une ordure..- Tu m'exaspères, vraiment. Ça s'voit bien que tu manques de confiance! C'est pour ça que tu prends les gens de haut. Au fond, t'es qu'une minable et tu vaux pas grand chose... et vlan dans les dents, comme on dit! J'en avais marre, et l'atmosphère électrique était insupportable. Mais, du genre v-r-a-i-m-e-n-t insupportable.

- Et toi tu dis qu'au fond je ne suis pas comme ça ? Excuse moi de te le dire, mais d'où on se connait toi et moi ? Hein, tu te prends pour qui pour me dire qui je suis, ou qui je ne suis pas ? Pauvre sang de bourbe. Si seulement elle n'avait rien oublié, pensais-je dans un soupir totalement muet.-T'as pas autre chose dans ton répertoire que " sang-de-bourbe" . J'sais pas moi, essaie de faire un peu original, p'tite sotte! Les insultes fusaient, et mon coeur se brisait mais je continuais à parler, à l'insulter à cracher mes paroles avec agressivité en espérant qu'elle comprenne.Je poursuivis : Je te connais bien plus que tu ne peux le croire. Et je sais beaucoup de choses à ton égard. Tu t'es jamais vraiment demandé pourquoi j'arrêtais pas de t'approcher? C'était pas pour tes jolis yeux ma belle, ça c'est sûr... Je regardai vers l'horizon, comme si j'y trouverais un certain réconfort, comme si ça me permettrait d'effacer à tout jamais cette rencontre, au fond j'aurais oublié être l'amnésique dans cette histoire. Pour enfouir toute cette peine six pied sous terre.

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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyJeu 28 Oct - 22:51

Comment peut-on en vouloir à quelqu’un d’agir de la façon dont il se souvient avoir été élevé ? Aussi loin que ses souvenirs la portait, Ysölde avait eut le souvenir d’avoir été traitée comme une princesse, une petite princesse, pourrie gâtée, et dont le père cédait presque à chacun des caprices. Elle se souvenait que ses frères pouvaient essayer de dire quelque chose, seule elle et ses larmes de crocodile pouvait le faire changer d’avis. Elle avait toujours été comme cher à ses yeux, plus tard, elle avait appris que c’était à cause de sa mère à qui elle ressemblait comme deux gouttes d’eau, et décédée dans un malheureux accident causé par un moldu. Quand Ysi avait appris cela, elle avait haït encore plus ces moldus, ces hontes de la nature. Cela ne vous poussait pas à accepter la façon dont elle agissait, mais cela vous aidait à comprendre… en partie seulement.

- Tu veux que je t'appelle comment? Sa Majesté? Va te faire foutre Wilkes! J'suis bien plus que tout ce que tu pourrais croire, le sang de bourbe, il en sait pas mal de choses... dit-il.
- Majesté serait trop... Pompeux. lâcha-t-elle, énervée.

Ysölde n’était pas la personne la plus aimé qui soit à Poudlard, elle faisait parti de ceux qui étaient craint, de ceux à qui on laissait parfois de la place dans le couloir, car lorsqu’elle trainait avec sa bande, rien ni personne ne semblait être capable de s’en prendre à eux. Seule, elle était si peu finalement, elle perdait en prestance, en courage aussi, car à plusieurs il ne s’agit pas de courage, mais de l’effet de groupe, il s’agit d’une certaine lâcheté. Mais Ysölde était à serpentard, ce qui excluait chez elle… toute forme de courage. Dans son enfance, elle eut été plus combattive, plus rebelle, mais aussi plus courageuse. Si elle n’avait pas perdu la mémoire, elle aurait sans l’ombre d’un doute grandit différemment et fait parti, comme son frère aîné Ramsey, des renégats de la famille, de ceux radié de l’arbre car ils avaient trahis, sans famille, et honneur.

- Tu m'exaspères, vraiment. Ça s'voit bien que tu manques de confiance! C'est pour ça que tu prends les gens de haut. Au fond, t'es qu'une minable et tu vaux pas grand chose...
- Manquer de confiance en moi ? N'importe quoi. Excuse moi de te rappeler que ton jugement est insignifiant pour moi.

En tout cas, il avait beau avoir le sang de moldus dans ses veines, il avait vu juste, elle manquait cruellement de confiance en elle. D’ailleurs rien qu’à regarder ses réponses, moins virulentes, plus évasives, moins pointues, moins piquantes. Il était évident qu’elle manquait de confiance en elle. Lorsqu’elle martyrisait une pauvre première année, elle se trouvait généralement en compagnie « d’amis » si elle pouvait réellement les appeler ainsi. A par Rosie, et sa cousine Jack, elle ne voyait pas vraiment quelqu’un d’amis dans sa vie, c’est là qu’elle prenait conscience de sa vie, étrange, faite de paraitre, de pouvoir, de lutte, et encore de pouvoir.

- T'as pas autre chose dans ton répertoire que " sang-de-bourbe" . J'sais pas moi, essaie de faire un peu original, p'tite sotte! dit-il.
- Je préfère être sotte que sang de bourbe, ça dur moins lolongtemps ! .
- Je te connais bien plus que tu ne peux le croire. Et je sais beaucoup de choses à ton égard. Tu t'es jamais vraiment demandé pourquoi j'arrêtais pas de t'approcher? C'était pas pour tes jolis yeux ma belle, ça c'est sûr...

Qu’avait-il donc à lui répéter sans cesse qu’il la connaissait plus qu’elle ne voulait bien le croire ? Elle avait beau se repasser ses souvenirs en boucle, rien, aucune traces de lui, jamais. Elle ne savait pas, qu’au delà de ces souvenirs, faux, il y était, bien caché. Il l’intriguait, sincèrement. Si c’était une stratégie pour la déstabiliser, c’était chose faite, maintenant, elle le regardait méfiante, s’efforçant de cacher confusion et interrogation. Pour reprendre le contrôle de cette situation, il fallait qu’elle redevienne fidèle à elle-même : froide, cynique, et méchante. Mais parfois, elle n’y arrivait pas, pensant soudainement que cette attitude lui était totalement étrangère, comme si durant quelque seconde elle réalisait qu’elle agissait comme un monstre. Cette situation durait souvent un dixième de second, puis elle se ressaisissait, mais là, c’était plus dur comme d’habitude, elle ne fut pas capable de retenir ce détail pour retrouver la mémoire qu’elle ne pensait jamais avoir perdu.

- Pourquoi tu n’arrêtais pas de m’approcher ? J’avoue m’être posé la question, et d’après mon frère tu es un psychopathe, sincèrement, tu fais flipper. Dit-elle alors. Elle avait trouvé étrange que Gayle lui dise qu’il s’agissait dans psychopathe sans qu’elle eut quelque chose à demander, mais tout ce que disait Gayle était en quelque sorte précieux pour elle, même s’il avait cette étrange manie de vouloir être l’aîné de la famille. Elle marqua une pause, et d’un regard de haine, elle le regarda avec incompréhension, désabusée, elle s’interrogea, lassée : Réponds-moi, franchement, qu'est ce que tu chercher : me faire chier, me faire perdre mon temps, t'amuser ? Parce que là ton entêtement devient profondément ennuyant. T'es pire qu'une sangsue qui s'accroche, éclaire-moi, parce que... ça devient grave.

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MessageSujet: Re: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyVen 29 Oct - 3:34

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thisheartbleeds


Les gens comme Ysôlde, j'dois bien avouer que j'ai du mal à les suivre. Comment peut-on vivre sans amour, sans amis, avec la haine qui nous bouffe le coeur tous les jours? Quand j'voyais des gens comme elle, je me disais que j'avais été chanceux dans toutes mes galères. Parce que s'il y a bien une chose que je ne voudrais jamais c'était de porter des jugements sur les autres avant même de prétendre les connaitre. Je ne connaissais pas la motivation de sa haine, ni même son origine et , pour tout vous dire, je n'avais aucunement envie de le savoir. Tout ce que je savais moi, c'est qu'un bon jour, il faudra que je lui ouvre les yeux sur la vérité de sa vie, de TOUTE sa vie. C'était une lourde tâche, qui m'était confiée à moi seul. Et pour cause : Gayle n'osera jamais lui dire ce qu'il en est vraiment. Pas après lui avoir menti, pas après toutes ses années où elle se croyait parfaite en tout point elle, et son sang pur souillé par la disgrâce.- Majesté serait trop... Pompeux. Je m'empêchai de rétorquer sèchement - Le pompeux te va très bien pourtant! Je lui adressai tout aussitôt un regard dégoûté, camouflant un puissant mélange de tristesse, de honte, de colère.Cocktail explosif.

Quant à moi, j'étais le mec " à abattre ". Ouais, vous savez celui qui est si parfait qu'on a envie de le voir crever. Mon vécu à Poudlard ne se résume qu'à batailles, traitrises, moqueries. Et avec les années qui passaient à une vitesse folle, les choses n'avaient pas tellement changé. Enfin si, maintenant j'pouvais parfaitement me défendre, que ce soit en crachant des répliques salées à quiconque osant piquer ma plus grande colère, ou en tabassant un Serpentard qui en a dit un peu trop. J'aurais pu m'attaque à Ysölde avec le même mode d'emploi que tous ses condisciples mais voilà que cette fille faisait partie de mon passé. Même si ses mots me font l'effet d'une gifle à chacune de nos rencontres , je ne suis jamais vraiment allé trop loin. Mes insultes demeurent respectueuses malgré tout. Et d'ailleurs j'ai encore du mal à comprendre pourquoi. J'porte pourtant en horreur les filles qui sont comme elle, c'est-à-dire, Hystériques. Mais comme un con, j'étais près à faire exception au nom de je ne sais quoi! .- Manquer de confiance en moi ? N'importe quoi. Excuse moi de te rappeler que ton jugement est insignifiant pour moi. J'éclatai d'un rire cristallin qui fit sursauter la tigresse d'un bond subtil, pour ensuite dire d'un ton enjoué. - C'est toi qui est insignifiante. Regarde toi bon sang! T'es toujours prête à sortir tes griffes quand tu te sens piégée. Tu n'as pas vraiment changé , t'as toujours été comme ça. Moi j'dis que tu manques de confiance que c'est pour ça que tu t'en prends à des mecs droits comme moi, parce que t'es jalouse VOILÀ!

Une insulte n'attendait pas l'autre si bien que je sentais que d'ici peu j'allais finir par tout abandonner et la laisser seule, pantoise. Mais elle avait un don, un réel don, pour me piquer à vif, comme si elle avait fait sa toute sa vie. C'était carrément ahurissant!- Je préfère être sotte que sang de bourbe, ça dur moins longtemps ! . Un autre rire s'échappa maladroitement des mes lèvres. Elle n'avait rien d'autres à dire. Elle était à court d'idées et moi, moi j'étais aux anges. - Oh toi, chère Ysôlde, toi t'es sotte à l'année. Ça change tout. Et voilà que ma méchanceté reprenait le dessus. C'était sa faute entièrement sa faute. Je lui en voulais, à mort. Et puis vint le moment où elle me percuta, avec ses questions précises, celles-là même qui risquaient de m'enfoncer encore plus bas dans son estime ou , au contraire, faire changer sa vision des choses. Au début, j'étais hésitant à entrer dans les confidences. J'avais perdu toute trace de confiance en cette femme qui autrefois était ma meilleure amie. Et voilà que je devais répondre à ses interrogations en jouant du tact au tact. Je ne savais plus sur quel pied danser, à vrai dire.

-Pourquoi tu n’arrêtais pas de m’approcher ? J’avoue m’être posé la question, et d’après mon frère tu es un psychopathe, sincèrement, tu fais flipper. Je clignai des yeux à maintes reprises, quelque peu incrédule de me faire passer pour un " psychopathe " alors que j'étais loin, voir même très loin, de m'en approcher.- À ce que je peux voir, tu bois encore les paroles de ton crétin de frère comme s'il était le Dieu personnifié. Grande nouvelle : je n'ai absolument rien d'un psychopathe. J'ai des raisons bien intimes de m'approcher de ton hideuse personne et encore aujourd'hui j'comprends pas vraiment pourquoi j'y met autant d'acharnements. avais-je expliqué d'un ton posé, mais qui avait peine à camoufler l'irritation.Elle poursuivit d'un ton lassée, comme si tout cela l'ennuyait, ce qui me fit rager encore plus.
-Réponds-moi, franchement, qu'est ce que tu cherchais : me faire chier, me faire perdre mon temps, t'amuser ? Parce que là ton entêtement devient profondément ennuyant. T'es pire qu'une sangsue qui s'accroche, éclaire-moi, parce que... ça devient grave. Je me tapai la tête dans le front en la secouant doucement d'un air désolé. Puis lentement, je levai ma tête et imposai mes prunelles dans les siennes. C'était la toute première fois qu'il y avait un contact " franc " entre nous. - Un peu des trois je dirais. Je marquai une pause et poursuivit d'un ton beaucoup plus serein, beaucoup plus pacifique, calme même : Disons que j'espérais quelque chose de toi. Mais c'est peine perdue, et je le vois bien. Avais-je prononcé, évasif.Je me frottai le menton d 'un air perplexe, terriblement troublé. - Au revoir Ysölde. Avais-je dis en tournant les talons pour me diriger droit vers le sentier qui menait à ma modeste maison. N'ayant qu'une envie : être loin d'elle.
951 mots. ; légèrement classique!
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: When the need met the heat - Ysölde & Jaxson   When the need met the heat - Ysölde & Jaxson EmptyVen 29 Oct - 19:22

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Elle était très énervée à cet instant. Le fait qu’on lui tienne tête la mettait habituellement hors d’elle, mais ce type dont elle ignorait presque le nom la mettait encore plus hors d’elle. Un tel entêtement lui faisait peur, elle en ignorait la raison, et ne préférait pas la savoir. Elle avait plusieurs fois lu des histoires sur des psychopathes, car Jack l’Eventreur par exemple, et sincèrement ce sang de bourbe et son entêtement, lui fichait les foies. Mais elle n’était pas prête de le dire qu’il lui faisait peur. Dire qu’elle avait peur était la dernière chose qu’elle avouerait, même sous la torture. Car, avoir peur était la dernière chose dont avait besoin une jeune fille qui était crainte par les autres, c’était un peu son fond de commerce, être crainte lui permettait d’être quelqu’un car depuis des années c’était ce qu’elle faisait, c’était la seule chose qu’elle savait faire… finalement. Car oui, qu’avait-elle de particulier ? Elle avait un véritable don pour le quidditch, mais son père lui avait interdit de faire carrière dans le sport, trop mauvais pour l’image d’une jeune fille selon lui, elle s’était donc tournée vers la recherche magique, sans réelle conviction. Après tout, Ysölde n’était pas une jeune femme exceptionnelle, non elle n’avait pas cheveux d’une couleur hors du commun, elle n’étai pas très grande, ni forcément très jolie, pour elle elle était uniquement une jeune fille de sang pur respectable, comme les autres. Etre terrifiante et méchante lui donnait un moyen d’exister, au moins elle avait l’impression de vivre, car si par sa méchanceté, elle vivait par procuration une autre vie.

- C'est toi qui est insignifiante. Regarde toi bon sang! T'es toujours prête à sortir tes griffes quand tu te sens piégée. Tu n'as pas vraiment changé , t'as toujours été comme ça. Moi j'dis que tu manques de confiance que c'est pour ça que tu t'en prends à des mecs droits comme moi, parce que t'es jalouse VOILÀ! dit-il.

Elle ne releva aucun de ses mots, aucunes de ses paroles. Qu’avait-elle à lui répondre ? Rien, rien, elle ne voulait pas s’étendre dans un débat sans fin avec quelqu’un aux idées tellement différentes des siennes. Mais, il avait raison, elle sortait les griffes dés qu’elle se sentait agressée, piégée, en danger, elle se sentait si souvent piégé, en danger. Comment lui en vouloir, certains frappent avec leur poings pour se protéger, elle se protégeait avec ses mots, juste avec ses mots, violents, piquants, menaçant. C’était sa façon à elle de se défendre, comment lui en vouloir, n’avait-elle pas le droit de se défendre, elle aussi ? Ainsi les faibles avaient le droit de se défendre, mais pas les gens méchants ? Les méchants de l’histoire sont-ils tous obligé de mourir seul ? Mais, quelqu’un au monde a-t-il déjà essayé de comprendre les méchants ? Certainement pas… malheureusement les méchants de l’histoire resteront les méchants et n’auront pas leur « heureux pour toujours », dommage.
Alors, oui, elle était jalouse, jalouse que les gentils soient gentils, jalouse qu’il ait le droit de se montrer faible, jalouse que le jugement passe au dessus de lui, jalouse car il n’y avait personne pour lui dicter quoi faire de sa vie. Jalouse c’était le mot, elle était morte de jalousie, morte de jalousie de leur vie tellement plus facile que la sienne. Eux n’auraient pas le problème de l’héritier parfait, du job parfait, de l’image de sa famille, de l’honneur, et lui ne trahirait jamais sa famille car… la trahison n’avait pas la même valeur, pas du tout. Si Ysi parvenait à trahir les siens, elle n’aurait plus jamais de vie, plus jamais d’amis, de famille, d’argent et se sentirait comme dépourvue d’avenir. Alors oui, elle était profondément jalouse.

-À ce que je peux voir, tu bois encore les paroles de ton crétin de frère comme s'il était le Dieu personnifié. Grande nouvelle : je n'ai absolument rien d'un psychopathe. J'ai des raisons bien intimes de m'approcher de ton hideuse personne et encore aujourd'hui j'comprends pas vraiment pourquoi j'y met autant d'acharnements. dit-il.
- Ne t'avise pas d'insulter mon frère ! hurla-t-elle presque. Il avait beau être son meilleur ennemi lorsqu'il s'agissait de la conquête de la place de l'aîné, mais, elle l'adorait, il était ce qu'il avait de plus cher à ses yeux, son jumeau. Oui, son frère était tout pour elle, sa seule famille avec son père, et avec sa cousine Jack, car depuis longtemps Ramsey avait quitté cette famille, oui, quitté la famille, chassé. Alors, qu’il n’insulte pas son frère, c’était la chose qu’elle ne supportait pas, mais alors pas du tout.
- Un peu des trois je dirais. commença-t-il alors. Il marqua une pause, avant de reprendre : Disons que j'espérais quelque chose de toi. Mais c'est peine perdue, et je le vois bien. Il ajouta enfin, mettant un terme à cette conversation, houleuse. - Au revoir Ysölde.
Elle le regarda s’éloigné, mais ne répondit rien, rien de chez rien, comme si elle voulait répondre à ses mots, c’était s’abaissé à son niveau. Ces mots la laissèrent perplexe, oui, très perplexe. Qu’attendait-il d’elle ? A l’entendre, il espérait quelque chose d’elle. Mais qu’est ce qu’un né moldu pouvait bien attendre d’une sang pure ? Franchement, c’était à ne rien y comprendre, vraiment rien. Elle était troublé, comme si… quelque chose lui échappait, réellement. Oui, lui échapper, c’est le mot. Elle ne croyait pas si bien dire, si elle savait tout ce qui lui échappait. Si seulement elle se souvenait tout deviendrait… différent ? Différent, très différent. Comment régirait-elle ? Deviendrait-elle rebelle de chez rebelle, ou continuerait-elle à l’ignorer et à insulter les autres ? personne ne pourrait le savoir, tant que cela ne serait pas arriver, non.

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