C’est ici que l’on complète la partie « ma rencontre avec Poudlard », donc voilà. Lâchez-vous, cela peut être court, ou long, peut importe, nous on veut connaitre votre rapport à Poudlard.

› Votre camp officiel : [] Le Cercle [] Mangemort [] Ordre de Woodcroft [] indécis
› Pourquoi choisir ce camp : Pourquoi officiellement appartenez-vous à ce camp ? est ce par conviction, ou parce que vous n’avez pas le choix ? merci de nous parler avec franchise ! (5lignes, environs)
› Position sur la nature du sang & sur la création de Grindlemonk : Grindlemonk est une maison destinée aux nés moldus, donc donnez nous votre avis sur la nature du sang, et ce que vous avez pensé de la création de cette maison. (3lignes)

CHAPITRE l : REMEMBER ME




On viens tous de quelque part, dur pour l'homme ou la femme qui l'ignore. Je n'aime pas spécialement parler de moi, peut-être parce que je veux garder une part de mystère ou plus simplement, parce que ça ne regarde personne. Je suis né il y a trente-trois ans à Cornouailles, je pense que vous êtes assez intelligent pour deviner où cela se trouve non ? Enfin je ne suis pas le seul enfant Kettleburn, j'ai un frère qui s'appelle Finn et une soeur qui répond au prénom de Elhyxir. Je ne sais pas trop quoi vous dires à propos de mon enfance, elle n'a rien d'extraordinaire malgré le nom que je porte. D'après ma mère, je fus un enfant sage, assez rêveur et solitaire, et je pense pas que cela est changé ... L'innocence perdue, je me demande bien si j'étais innocent, aujourd'hui ce n'est pas vraiment le cas. Je peux vous parlez de ma scolarité ? Pour être franc je n'ai pas voulu aller à Poudlard, non à l'époque je préférais Durmstrang, pour la simple et bonne raison que c'était loin de la demeure familial. Très tôt je voulais déjà m'émanciper, n'aimant pas les repas de familles, ou partager quoique se soit avec eux en faite. Mais Poudlard reste tout de même un bon souvenir et une bonne expérience. J'ai été répartis dans la maison de Serpentard, et je m'y suis fait des relations et des amis que je côtoie encore aujourd'hui. Comme tout les gosses, j'ai fais mes propres conneries, qui n'a jamais brûlé les rideaux de son lit à baldaquin ? Ou lancer un sort de crache-limace à son voisin de table ? Néanmoins j'avais des notes exemplaires, et mon bulletin en témoignait avec des Optimal, j'ai jamais laissé à place à un Acceptable dans ma vie ! Non je voulais être le meilleur et je sais que je le suis devenu. Qui dit enfance ou adolescence on pense premier amour ? Pas du tout, les filles ne m'intéressaient pas à cet époque. Non pas que je sois homosexuel ou toute autre forme de déviance, mais à Poudlard je n'avais le goût que pour étudier et suivre les pas des illustres sorciers de ma famille ! Les filles ? De l'amusement et rien d'autre, vous pouvez me qualifier de connard affectif, c'est totalement le cas. Je peux pencher la tête dans ma pensine si vous voulez, et vous montrez quel genre de garçon j'étais ...

CABANE URLANTE - 1997

Il venait de se réveiller dans le lit poussiéreux de la cabane hurlante, jeune homme Serpentard qui venait de fêter ses dix-huit ans. Sur son torse était endormis une jeune et jolie étudiante de sa maison. A cet instant Alaric préférerait se couper le bras plutôt que de l'a réveiller. Dans quelques heures les cours allaient reprendre et il n'avait nullement envie de finir la nuit avec cette fille. Il se leva alors, réveillant la demoiselle brutalement. « Il se passe quoi ? Reviens te coucher auprès de moi ... Je crois que je suis amoureuse de toi. » Il laissa échapper un rire moqueur à la phrase de son amante, tandis qu'elle le regardait, totalement surprise et incrédule. Alaric était en train de se rhabiller, boutonnant avec un sourire aux lèvres les boutons de sa chemise. Sans dire un mot après la déclaration de Milicent; attendant le bon moment pour lui révéler à son tour ce qu'il pensait réellement d'elle. Il venait de glisser une cigarette à ses lèvres, baignant sous les rayons de l'astre lunaire près de la fenêtre aux carreaux brisés. « Milicent, ma chère Milicent. » dit-il en recrachant un nuage fumé, le sourire aux lèvres à contempler le regard plein d'espoir de cette jeune vierge, qui ne l'était plus grâce à lui. « Tu n'es rien pour moi, même pas un bon coup. Je ne t'ais jamais aimé, je ne t'aime pas et t'aimerai jamais. » Il s'approcha d'elle tandis qu'il pouvait remarquer sur les joues de la jeune femme des larmes déferler. « Ta naïveté est écoeurante, ça t'apprendras à être moins stupide la prochaine fois. Pas besoin de te raccompagner, tu connais le chemin. » Il attrapa sa veste et quitta la pièce, se mettant une fille de plus à son tableau de chasse.

CHAPITRE ll : EVOLUTION



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