Étudiez j’en avais rarement besoin, j’était née avec une intelligence incroyable. Bon d’accord j’avais surement aucune capacité morale ou social, j’était la personne la plus imbu de moi même surement aussi mais bon j’avais le talent, l’intelligence et le sang magique qui me coulait dans les veines. Je provenait d’une bonne famille, c’était une question de génétique quoi. Ma Famille est de sang pur, on est fier, et surtout très puissant. Je ne pouvais pas réellement nommer une seul foi ou j’avais eu tout simplement peur mais sa devait bien m’être arriver un jour non ? Je passait au coté de la salle de pan en ayant cette penser. Je savais qu’on avait pas le droit d’y allez sans un professeur mais pour être franche je voulais y allez, elle m’intriguait cette salle et j’avais toujours voulue savoir à quel point j’était anormal. Est-ce qu’il m’était même possible d’avoir peur hein? Je ne le savais même pas. Peut-être que j’étais réellement différente des autres.


Je relisais le passage que je venais à peine d’écrire dans mon journal intime et je me questionnais sur moi même. J’avais pris l’habitude d’écrire dans mon journal intime depuis des années. Je me questionnait toujours à savoir se qui faisait de moi se que j’était. Qu’est-ce qui me faisait réellement sourire, ou savoir si j’étais réellement anormal. Mais aujourd’hui j’écrivais se qui m’avais amener à venir dans la salle de Merlin. Je n’avais même pas besoin d’étudiez tout mes devoir était fait alors j’avais pris la décision d’écrire un peu plus dans mon journal. Il n’y avait personne dans la salle alors je savais que j’aurais la sainte paix. On était un vendredi après tout, tout le monde se foutait bien de leur cours pour au moins se soir. Mais j’avais quand même entendu la porte de la salle s’ouvrir et un sourire avait étiré mes lèvres. La tête du petit blond qui venait d’entrer. Mykal était surement la personne la plus étrange que vous connaissiez mais moi et lui ont avait un accord commun. On prétendait être le couple le plus parfais de cette terre alors que bon on aimait surtout se servir de l’autre.

« Tu es venu étudiez Malfoy ou tu me pourchasse? » Je lui fit mon sourire le plus amuser de la terre il le connaissait surement très bien puisque je l’avais toujours sur moi se sourire. « Mais tu sais je savais que je te faisais cette effet la. »

J’avais refermer mon journal comme si de rien était et j’avais retourner mon attentions vers le livres que j’avais quand même ouverts pour qu’on ne me pose pas trop de question. Même si je ressentait constamment l’envi d’étudier quand je venait ici aujourd’hui je combattait cette envie parce que pour être complètement franche mon journal intime était une étude personnelle alors on pouvait le compté surement comme travailler un devoir. Un devoir que je me donnait à moi toute les semaine voir tout les jours. Mais rapidement je reportais mon attention sur Malfoy qui avait décidé de prendre place devant moi sans même ouvrir un seul livre. Et je poussais un petit soupir.

« Bon d’accord je suis certaine que tu avais autant envi que moi d’étudier quand tu es entré ici alors si on allait ailleurs, genre hum les cuisines, ou la salle commune? Ouais la salle commune pourrait être amusante. » J’esquissait un sourire en déposant mes livres dans mon sac. Pour finalement sortir de cette salle avec lui.

Ah! Le vendredi soir était assurément le meilleur de toute la semaine. Cette jouissance qui m’envahissait lorsque je me sentais enfin libéré de toute cette pression scolaire. Non que je ne sois un élève assidu. En fait, je n’en avais réellement rien à faire de mes études puisque je ne savais même pas ce que je voulais faire de mon avenir. Seulement, je m’efforçais de bien travailler parce que mon père me l’avait demandé. Je n’insinue pas que je sois un fils à papa, bien que parfois j’utilise bien cette technique pour obtenir ce que je veux au près de mon paternel, sauf qu’à défaut d’avoir quelque chose de plus intéressant à faire avant de quitter cette école merdique & rejoindre les rangs du Seigneur de Ténèbres, je me coltinais les cours de justice magique. Déjà c’était mieux que de faire ceux sur les stupides bestioles.

Pourtant, ce soir, j’avais envie de m’amuser. Par m’amuser, je ne voulais pas persécuter ces horribles sang-de-bourdes ou encore passer la soirée en compagnie de Gayle, Phineas & Melchior. Une autre idée me trottait dans la tête. Pour ce faire, je devais absolument trouver Karone Greyback. Je marchai quelques minutes sans but précis. Lorsque je passai devant la salle de Merlin, j’entendis le grattement d’une plume. Sans la moindre hésitation, je poussai la porte & trouvai ma princesse assise à une table. Elle me fixait de ses prunelles azures. Lui décochant un sourire malveillant, je me dirigeai vers elle alors qu’elle blablatait sans raison précise. Bon dieu qu’elle pouvait être soulante. Une chance que nous ne formions pas réellement un couple parce que je pense que je me tirais une balle dans le crâne sans plus attendre. Rien ne peut être parfait. Elle m’était utile par conséquent, je ne pouvais pas la jeter comme une vieille chaussette. De plus, elle était plutôt agréable à regarder.

Je venais tout juste de prendre place devant Greyback lorsqu’elle propose d’aller ailleurs. Bon dieu, elle n’avait pas idée comment cette idée me plaisait. Si elle croyait compter sur moi pour aller dans les cuisines ou la salle commune, elle se m’était le doigt dans l’œil. Dès l’instant où nous sortîmes de cette stupide salle d’étude, je lui empoignai le bras fermement la dirigeant vers une salle de classe vide un peu plus loin. Il n’y avait pas âmes qui vivent ou même mortes à cette heure. Ainsi donc, nous serons seuls pour bien s’amuser & j’avais bien l’intention d’en profiter.

La poussant dans la salle de destiner aux cours de biomagie, je fermai la porte derrière moi prenant soins de bien la verrouiller. Me retournant afin de lui faire face, j’affichai un air de pure cruauté à mes traits angéliques. Dieu que j’étais beau. Demander à n’importe qu’elle étudiante, elle vous le confirmera. Mes cheveux blonds constamment en pétard, mon regard d’un bleu profond, ma carrure athlétique & mes muscles de béton en faisait tomber plus d’une. Certaines, même, avait la chance de partager mon lit. Ces cas n’étaient pas rares lorsque vous veniez d’une noble famille purement sorcière. Pourtant, il y avait Karone Greyback. Bien qu’elle me serve de petite amie, je n’avais toujours pas réussi à la mettre dans mon lit. Certes, nous avions fait certaines choses, mais n’étions jamais passé à l’acte. C’était là où j’avais l’intention d’en venir & je savais exactement comment m’y prendre pour arriver à mes fins.

« Alors Greyback, que comptais-tu faire ce soir? » lançai-je d’un ton tinté de défi.


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cette ennuie mortel il était l’homme le plus imbu de lui et surtout il avait au moins la chance de ne pas être trop laid à regarder. Et aussi avec lui j’avais la capacité d’agacer certaine personne. Qu’est-ce que j’avais à toujours chercher à manipuler le plus de monde possible? Après tout j’avais tout à gagner et rien à perde. Mais la situation était que nous étions peut-être aux yeux de tout le monde le couple le plus beau et le plus tout mais franchement j’avais l’air de réellement l’aimer? Si votre réponse est oui c’est que vous êtes plus facile à manipuler que je le croyait ou bien que je suis tellement une bonne actrice. Mais peu importe la salle de merlin était surement l’endroit le plus ennuyant qui puisse exister. Et je voulais sortir d’ici. Et il semblerait que lui aussi puisqu’il m’avais suivit à l’extérieur de la salle mais à peine sortit il m’avait attraper par le bras et il m’entrainait dieux sais ou? Mais peu importe ou j’étais intrigué. Surtout qu’il avait l’air plutôt empresser de si rendre. A un tel point qu’un sourire avait percé au bout de mes lèvres peu importe ou il m’amenait je savais qu’on aurait un plaisir fou. Mais il m’avait entrainer dans la salle de biomagie.

Oh le pauvre petit, la je comprenait il était frustré. Ouais ce n’était surement pas sa promise qui lui donnerait le meilleur sexe de sa vie. Le pauvre il avait été promis à la mauvaise apparemment. Et mes jours était compté surement avant le jours ou mon père m’annoncerait la fatidique nouvelle que je devrait marier dieux sais qui dans le rang des sang-pur. Alors aussi bien en profiter un peu avant. Mais alors que sa me frappait mon sourire s’agrandissait. Il est vrai que je ne l’avais pas fait avec lui, bon d’accord il c’était fait plus de fille dans toute l’école que dieux sais qui alors que moi je me contentait du précieux nombre de trois. Trois pauvres petites victimes qui avaient servirent à assouvir mon besoin et mes frustrations. J’avais beaucoup plus de retenu que le pauvre Malfoy il fallait avouer. Mais il était surement une proie beaucoup plus délicieuse, et il fallait dire que dernièrement avec tout se qui c’est passer, ce petit con de serdaigle, et bien sur les avance dégoutante de d’autre j’avais besoin d’un bon coup pour me rappeler d’ou je venais. Alors qu’il s’assurait que la porte était fermée je m’asseyais sur un des pupitres un sourire aux lèvres. Et il se tournait vers moi se regard cruel au visage, c’état le seul temps ou il réussissait réellement à m’allumer, enfin ça et les moment ou il explosait de colère alors ceux la je les chérissait réellement. « Alors Greyback, que comptais-tu faire ce soir? »

J’eu un sourire, on ne lançais pas un défis à une Greyback, hum quel corde je pourrait bien tirer, je savais bien que si je lui refusait se qu’il voudrait il le prendrait surement de force! Qui sais se mec était probablement encore plus fou que moi. Nan ça c’était impossible. « Je n’sais pas encore mais je sais ou toi tu compte en venir! » Mon regard c’était soudainement fais mystérieux. Il pouvait déjà se compté chanceux que j’ai accepter d’être sa petite copine après tout ni lui ni moi n’était amoureux et on le savait très bien. Ça n’était jamais arriver dans mon cas, j’en savais rien pour lui. J’avais entrepris de jouer avec une mèche de ma soyeuse chevelure blonde histoire de l’agacer et de voir sa réactions. C’était pas comme si il m’avait pas fait des avance dans se genre la avant mais jamais je n’avais même pris la peine de lui répondre. Qui sais se serait peut-être encore plus amusant de le voir se questionner.

Déjà, je lui avais posé une question, un moyen comme un autre de me retenir encore un peu. Il fallait bien faire durer le plaisir. Si elle refusait, comme toutes les fois avant, je n’aurais qu’à user de force pour prendre ce que j’avais envie d’avoir. Sérieusement, cette petite vipère de Greyback ne pouvait pas me résister bien longtemps. Bien qu’elle semblait froide & solide, je savais bien qu’il y avait un point faible à quelque part. Suffit de le trouver. Ils étaient comme ça dans cette famille. Son frère, une vrai goule ce type. Bien qu’il puisse faire preuve d’une cruauté indéniable, il m’est bien aisé de lui faire faire ce que j’ai envie sans réellement qu’il se rendre compte de mes actes.

Karone me fixait toujours alors que j’attendais une réponse à ma question. Un sourire malveillant s’étira sur ses douces lèvres roses. Ah! Ces lèvres me rendaient tout simplement fou. Bien que nous ne nous embrassions que pour épater la galerie, j’avais toujours aimé leur contact contre les miennes. « Je n’sais pas encore mais je sais où, toi, tu comptes en venir! » , lâcha-t-elle enfin. Cette réponse eue pour effet de m’exciter d’avantage. J’adorais lorsqu’elle était méchante, cruelle & encore plus lorsqu’elle jouait les mystérieuses. Contrairement à cette stupide Lestrange avec qui j’allais devoir passer ma vie, Karone était un simple jouet. Certes, un jouait des plus agréables à posséder.

Lorsque la blondasse se mis à jouer avec une longue mèche blonde, je sentis que j’allais peut-être arriver à mes fins sans utiliser la force. Encore que je me méfiais d’elle. Karone pouvait être une vraie aguicheuse. Bon, je n’avais jamais pris le peine de la… séduire d’une quelconque façon avant aujourd’hui, mais j’avais ma petite idée de ce qui la ferait exploser.

Passant une main dans ma chevelure anti-gravité, je m’accotai contre la porte & me laissai glisser jusqu’à être assis sur le sol. Je ne savais pas trop ce que je faisais, seulement que si je tentais dès lors de me la faire, ça risquait d’être trop facile & puis, je n’aimais pas son attitude. Fallait bien que je m’amuse bien moi aussi. Comment pourrais-je profiter de la situation à mon aise? À bien y réfléchir, je devais la faire sortir de ses gons pour ainsi la manipuler à mon aise. Sachant que ce ne serait pas une tâche des plus aisée, j’allais y mettre tout mes talents d’acteurs.

La serpentard continuait d’entortiller une mèche autour de son doigt. Argh! Dieu que j’adorais lorsqu’une fille faisait ce geste répétitif. Inspirant profondément, je me composai un air piteux avait de replonger mon regard dans le sien. Tiens donc, elle réagissait! Voyons voir jusqu’où je peux aller avant de la voir péter les plombs. « Génial! Puisque nous sommes sur la même longueur d’onde, on va pouvoir parler aisément. Mettons donc les point sur les « i » ma jolie. Qu’est-ce qui te tracasse depuis la rentrée? Est-ce ma beauté incroyable qui te fais maintenant de l'effet? »

Le problème avec des gens comme moi c’est qu’il est rare qu’on ressente réellement quelque chose. On rêve de torture, on est incroyablement manipulateur et surtout on est douer dans tout se qu’on fait. Bon d’accord j’étais incapable de monter sur un balai pour me sauver la vie mais sincèrement est-ce que tout le monde est doué au Quidditch? Non on peu adorer le sport des estrades. Et ça ne voulait pas dire que je n’étais pas en forme. Au contraire je pouvais sensiblement dire que j’étais bel et bien en formes. Et c’est surement pour cette raison qu’aujourd’hui je me retrouvais devant Mykal, pour mon corps de rêve. Après tout il devait être habituer à avoir tout se qu’il voulait le premier soir et avec moi c’était une toute autre histoire. Bon il n’y avait aucun sentiment amoureux on le savait tous déjà, et par tous je parlait de moi et lui. Parce que l’école en entier était trop idiote pour voir la vérité en face. Moi amoureuse? Non mais on rêvait en couleur. Je ne crois pas que c’était possible. Je finirais par épouser l’homme que mon père voulait que j’épouse, quand il se déciderait, que je le veulent ou non. Mon sang restera toujours pur, et les chances que ma progéniture aille à serpentard serait des plus grande. Mon père ne choisirait surement pas un homme qui est allez à gryffondor pour moi.

Je regardais le petit blond en face de moi s’asseoir sur le plancher et je savais que je l’avais complètement dérouté. Mon sourire s’agrandît encore plus. Mais pour tout simplement jouer j’avais haussé un sourcil histoire de montrer une certaine curiosité qui était piqué. Jouer avec les gens était devenu un véritable jeu d’enfants depuis le temps. J’avais tellement manipulé de gens depuis ma naissance que c’était devenu trop facile. J’avais décidé de me jeter sur les plus gros poisson et je devais avouer que réussir à manipuler le Malfoy était toute une victoire. Sois ça ou sa réputation était tout simplement fausse. Quoi que se simple geste de passer sa main dans ses cheveux m’avais littéralement allumer j’était rester de pierre. Sont petit air de chien battu faillir me faire exploser de rire. Et si il croyait que j’allais tomber dans le panneau avec ça il était vraiment stupide le pauvre. Mais je continuait de le regarder hésitant entre réellement rire ou bien lui donner se qu’il voulait c’est à dire une réaction de ma part.

« Génial! Puisque nous sommes sur la même longueur d’onde, on va pouvoir parler aisément. Mettons donc les point sur les « i » ma jolie. Qu’est-ce qui te tracasse depuis la rentrée? Est-ce ma beauté incroyable qui te fais maintenant de l'effet? » il c’était mit trop de gel dans les cheveux et était maintenant intoxiquer ou quoi? Ce devait bien être le truc le plus ridicule que j’ai jamais entendu, le seul temps ou il me faisait de l’effet c’est quand je le voyait peté une coche. Le voir réellement en colère était tout simplement orgasmique pour moi. Ça et quand la cruauté était palpable dans son regard aussi.

« D’accord quel point tu veux mettre mon chou? » Pour être intriguer toutefois j’était réellement intriguer je me demandais se qu’il tenait réellement à me dire mais c’était à peu près tout. « Et ne te flatte pas tu ne me fais pas encore assez de l’effet pour que je te dise quoique se soit sur mes traquas… mon tout beau. » Ah nan mais j’était pas née de la dernière pluies moi il ne me ferait pas lui dire quoique se soit quand on est capable de manipuler les gens comme moi on apprend rapidement à ne pas faire confiance à qui que se soit même à soi-même. Et c’était le cas pour moi. « Mais je croyais que la seul chose qui t’intéressait c’était ton propre reflet, étonant que tu t’inquiète de mon bien être. » On aurait pu parler d’un coup bas de ma part il était vrai mais j’avais espoir que cette petite pique amène une réaction un peu plus grande. J’adorait les réactions quoi. Voir les gens déboussoler était un sport pour moi.

Je continuais à regarder cette fille assise devant moi. Elle était tout simplement sublime, bien qu’elle manquait un peu de…piment. La situation était un peu fade, je préférai donc me faire un scénario moi-même. Dans ce dernier, elle refusait de coucher avec moi. Je la plaquai donc contre le mur de force & l’embrassai avec une violence palpable, sans toutefois lui faire réellement mal. Elle tenta de se dégager, mais je la retins avec un peu plus de force. Je fis remontai ma main le long de sa cuisse & m’amusai avec l’élastique de son dessous. Alors que mon fantasme allait réellement devenir intéressant, je fus sortie de ma rêverie par la voix de la vraie Greyback. « D’accord quel point tu veux mettre mon chou? » « Le point que je veux mettre? Tu en as de drôle de question ma jolie » fis-je d’un ton moquer. En fait, ce n’était pas un point que je voulais mettre, mais bien cette garce de première. Voyons voir, en dehors de son point G, le moment où elle serait en extase devant mes capacités, rien ne me venait à l'esprit. Je n’avais toutefois pas envie d’amener la conversation sur le sujet, nos gestes me suffiraient.

Prenant appuis sur mes jambes, je me relevai puis fit quelques pas en direction d’une étagère remplie d’étranges bocaux. Certes, je préférais mon ancienne vu, la cuisse bien fermes de Karone Greyback, mais c’est mixtures feront l’affaire. Je passai un doigt sur quelques-uns. La poussière vint se coller contre mon index. Dégouté, je soufflai dessus alors que Karone s’adressait de nouveau à moi. « Et ne te flatte pas tu ne me fais pas encore assez de l’effet pour que je te dise quoique se soit sur mes traquas… mon tout beau. » Elle gaspillait sa salive là. Comme si ses problèmes m’intéressaient réellement. Je m’en foutais comme dans l’an quarante. Elle aurait beau avoir un cancer dans la phase terminale que je n’accorderais pas plus d’intérêt à sa personne. Du moment qu’elle ne mette pas en péril ma position dans la hiérarchie Poudlarienne, tout était parfait. J’étais cent fois plus important qu’elle. Ma famille était plus riche de plusieurs millier de gallions & certainement plus précieuse pour le Seigneur des Ténèbres. Nous possédions de hautes fonctions assez influentes au sein de ministère, contrairement au Greybacks réduit en nombre & en influence sur au sein de la communauté magique. De plus, ils avaient tendance à être fous dans cette. Je l’avais emmené sur ce terrain parce que je sentais que quelque chose louchait. Elle me cachait un truc d’une grande importance. J’avais l’impression que si quelqu’un venait à découvrir son secret, ma propre réputation était en jeu.

« Mais je croyais que la seul chose qui t’intéressait c’était ton propre reflet, étonnant que tu t’inquiète de mon bien être. » Tiens donc. Finalement, elle n’était peut-être pas aussi stupide que ce que j’avais cru. Sauf qu’elle jouait dans le coup bas cette vipère. Si elle croyait que j’allais marcher, elle se mettait les dix doigts ans le même œil. Je laissai échapper un ricanement malveillant avant de me retourner. La fixant quelques secondes de mon regard amusé, je m’approchai d’elle tout en prenant soin de me glisser dans son dos. Je laissai glisser un doigt le long de sa colonne vertébrale produisant ainsi une onde de frissons. De mon autre main, je repoussai ses cheveux afin de dégager son oreille. Approchant ma bouche de cette dernière, je pris soins de souffler délicatement dans son cou laissant ainsi la trace de mon passa sur sa douce peau réagissant subitement à mes gestes. J’aimais bien la taquiner ainsi. C’était réellement amusant, sachant pertinemment qu’elle nierait tout. D’une voix basse, je laissai pénétrer mes mots dans le creux de son oreille prenant bien soin de faire durer le plaisir. « Sache que je pense qu’à moi en agissant ainsi. Peu importe la minière que j’emploierai, je finirai bien par découvrir ce que tu me caches. » J’avais bien hâte de voir ça réaction, espérant qu’elle soit assez brutale.

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Ne voyait-il pas comment je me servais de lui. Etaient-ils complètement stupides. Je commençais à croire que tout ses produit de beauté qu’il utilisait sur sa personne lui avait complètement fait frire la cervelle. Il n’avais pas la moindre idée à quel point j’était plus puissante que lui à se petit jeux. J’était plus forte que lui peu importe son âges avancer sur moi. Oui il se faisait vieux le petit Malfoy et il ne voyait pas à quel point il était sous-classer face à moi. J’avais crue qu’il était plus brillant mais je me demande si toute ces réussite à son tableau de chasse était tout simplement un coup de chance. Il se croyait supérieur mais moi je ne croyait rien je savais. Je savais maintenant que j’étais supérieur même contre ceux qui se croyaient supérieur à moi. C’était plutôt étrange de le remarquer aussi facilement. J’étais capable de le mener en bateau et il devait surement me prendre pour une vraie petite gamine complètement stupide. Et maintenant je comprenait une chose alors qu’il se levait mon sourire machiavélique s’agrandissait.

Il me croyait comme une petite faiblarde. Il n’avait pas la moindre idée de qui était réellement les Greyback. Comment aurait-il réellement pu le savoir pour lui on était que des fou, des lunatique. Mais il ne savait pas du tout que chez nous la magie est réellement puissante. C’était étonnant que je n’ai pas découvert de particularité à se jours mais dans les cours de sortilège je sortait toujours première de classe et il y avait une raison. Je le regardais faire son petit numéro un grand sourire aux lèvres. Je le laissais faire, j’allais le laisser croire qu’il avait gagné. J’allais le mener en bateau complètement. Ah se serait tellement beau de le voir pété les plombs après l’idée machiavélique qui venait de naitre dans ma cervelle de fou. Je pouvais déjà imaginer sa face, complètement défaite, son regard dégouter. Ah cette fois se serait le coup suprême avait-il la moindre idée de se qui allait arriver. Moi surement et se serait tellement drôle.

Sont rire me donnait des frisson, il allait morde tellement facilement je sentait que cette fois se serait une nouvelle fois une victoire pour moi. Je l’observait se glisser derrière moi et mon regard de prédateur était clairement afficher. Je laissait le frissons que ces doigt avait produit passer mon sourire s’agrandissait. Il allait croire qu’une brique lui était tombée dessus. Son souffle chaud sur ma nuque m’avait fait morde la lèvre mais j’était rapidement revenu sur terre en me la mordant un peu trop fort. Bon avec ces mains il était plus douer qu’a parlé c’était certain parce que plus il parlait ou ne parlait pas plus je devinait se qui le faisait vivre, se qui faisait de lui se qu’il était. Il venait d’une famille reconnue partout mais il avait commencer à nous regarder comme si ont était d’une classe en dessous. « Sache que je pense qu’à moi en agissant ainsi. Peu importe la minière que j’emploierai, je finirai bien par découvrir ce que tu me caches. » J’avais cacher mon sourire et je l’avais remplacer par un regard interrogateur alors que je tournait la tête vers lui. Finalement je me décidais à frapper le coup final. Il avait quand même plutôt bien mordu et j’étais une terriblement bonne actrice. Bon d’accord le frisson et le reste étaient bien réels mais c’était à mon avantage quand même.

Je m’étais éloigné rapidement de lui me levant sur mes deux pieds et j’avais croisé les bras comme pour me protéger moi même. Mon visage était soudainement sombre et je ne souriais plus du tout. Enfin sauf intérieurement. « Tu veux réellement savoir? » Je savais bien qu’il voulait savoir je ne réagissait jamais comme cela habituellement. J’avais l’air si soudainement humaine qu’il devait être complètement déboussoler. « La voilà, mon père à complètement perdu la boule, il à décider de me fiancer à un née moldue de chez les gryffondor. La voilà! » Je lui faisait dos et je décidait de pousser un peu plus loin en me dirigeant vers la porte masquant un sourire je voulais savoir comment il réagirait.