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Lust ♔ i felt like destroying something beautiful

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Lust ♔ i felt like destroying something beautiful Vide
MessageSujet: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 15:31

Lust Blake Whitaker
« Et ta débauche ne leurre qu’un instant ton désespoir caché. »

• CARTE IDENTITÉ DU MINISTÈRE
› nom : Whitaker
› prénom : Lust. Une lubie de ma mère quelque peu illuminée, riche galeriste assidue de lecture et d'arts en tout genre. Elle crut que ce prénom pouvait me désenclaver de la valeur quelque peu stricte et routinière de la famille Whitaker. En appelant son enfant ainsi, il serait forcément prisé de la sphère mondaine... Forcément.
› âge, date et leu de naissance : Isafjördhur, Islande. Un 14 Juillet 1988, j'ai donc 22 ans. Si j'avais pu choisir mon arrivée, je serais né un vingt-cinq décembre, histoire de me la jouer messie des temps modernes. Mais mes goûts trop prononcés eurent raison de mon orgueil : je hais l'hiver.
› lieu de résidence : Poudlard. Londres lors des périodes estivales.
› nature du sang : Sang mêlé.
• CARTE SCOLAIRE DE POUDLARD
› maison : Gryffondor. Je suis cependant Chapeauflou car le choixpeau hésita longuement à m'envoyer à Serpentard. Etrange paradoxe, peut-être.
› année scolaire : 12è année
› études suivies : Sécurité magique
› composition de votre baguette : Elle doit mesurer dans les deux cent soixante-seize millimètres, sculptée dans du bois noir, bois d'Acacia pour être plus précis, dont la provenance est australienne. Elle demeure gravée de mes initiales, un luxe que voulut à tout prix lui offrir mon père quand du haut de mes onze ans je n'en avais en vérité rien à cirer. Elle contient à l'intérieur un crin d'Yggdrasil ; cheval islandais à six pattes que l'on qualifie chez nous de "cheval d'Odin".
› matière favorite : Corps à Corps Moldu. Original et bien pensé, ce cours permet de me défouler et d'exorciser toute cette hargne présente en mes tripes.
› matière détestée : Etude des runes. Pas assez d'action.
› la forme de votre patronus : Un loup rouge, ce qui n'est pas anodin. Ce canidé est l'incarnation de l'impulsivité, de la fougue, de la sauvagerie et de la force mal contrôlée, plus encore les loups ont un esprit de meute absolument indéniable, ce qui sied bien à ma personnalité. En outre, le loup rouge demeure la race la plus rare, car en voie d'extinction : en référence à mon image, car je demeure un jeune homme qui se cherche parfois, mais se perd souvent.
› l'épouvantard : Une pièce étroite refermée sur moi... Je suis claustrophobe.
› détails à communiquer : Quelques tatouages ici et là
• MA RENCONTRE AVEC POUDLARD
Je me souviens de mon émerveillement lorsque je suis arrivé au château. Sa grandeur, sa magie, ses surprises. Rien de ce que m'avaient relaté mes parents n'était moins impressionnant que ce que j'avais sous les yeux. Aventurier et insouciant, j'en vins vite à comprendre qu'il se cachait là des coins incongrus et secrets, aussi j'eus tôt fait d'explorer les lieux de long en large. Quitte à bien souvent me retrouver à l'infirmerie.... Car la forêt interdite, entre autre, avait de cela de fascinant qu'elle portait en son appellation même l'interdiction de s'y rendre : manque de chance, elle ne fit que aiguiser mon intérêt et je n'eus de cesse de vouloir l'explorer. Les centaures ne sont vraiment pas des créatures commodes, en passant.
• ENTREVUE AVEC VOTRE JOURNAL INTIME : CONFESSIONS INTIMES.

› Votre camp officiel : [] Le Cercle [] Mangemort [] Ordre de Woodcroft [x] indécis
› Pourquoi choisir ce camp : J'ignore encore de quel côté me placer ; mon père bien que sang mêlé s'est laissé embrigadé par la propagande sang pur. Simplement parce qu'il y a des générations de cela, les Whitaker pouvaient revendiquer la pureté de leur sang et il me semble qu'il en est nostalgique. Outre cela je ne me sens pas encore assez impliqué dans la défense des sang-mêlés et nés moldus pour me départager. Mon égoïsme aura peut-être raison de moi. DAns tous les cas, c'est ce qui me rend encore indécis.
› Position sur la nature du sang & sur la création de Grindlemonk : Une stupéfaction pour moi. Je n'ai jamais compris la création de cette maison, bien que j'ai perçu là-dedans une incitation à la haine sous couvert de différences qui ne le sont même pas. J'estime que sangs purs, sang mêlés et né moldus sont égaux et ne fais aucune différence. L'ouverture de la maison Grindlemonk est un énorme pas vers l'intolérance des sangs impurs, seulement un détail avant une contagion ignoble de ces idées intolérantes... Ca ne me dit rien qui vaille.

• LE REPOUSSE MOLDU NE MARCHE PAS.
› Pseudo et/ou prénom : black jack
› Votre avatar : ed westwick
› Commentaire : indiquez les mentions nécessaires
› Parrainage : [] oui, s'il vous plait : [x] non, merci !
› Code du forum : code validé par Jill'


Dernière édition par Lust Whitaker le Ven 21 Déc - 21:38, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 15:31

• IL ETAIT UNE FOIS UN SORCIER A POUDLARD.
1.FOOLISH GAME ; " and I began to see things in a way that let me hold the world without me in it. " – The Lovely Bones.

    La folie n'est pas tant effrayante, lorsque l'on sait la cerner. Je me suis toujours convaincu du fait qu'un fou était plus heureux qu'un homme sain d'esprit : il vit dans son monde et personne ne vient percer sa bulle.
    Lust ~ extrait de son journal.


Asile : toit promptement nommé ainsi pour abriter non pas les simples d'esprit, ni même ceux dont on jure que la façon de penser est anormale, aucune définition d'aucun dictionnaire ne faisait le poids à mes yeux. Ma mère n'était pas internée dans les locaux psychiatriques de Ste-Mangouste, elle était à l'hôpital depuis quelques années déjà. Je me souviens de ce jour-ci comme si c'était hier, car il marqua les prémices de mon reniement total envers ma mère qui pourtant m'aimait tant. Ce vingt-quatre Janvier fut celui où officiellement, du haut de mes neuf ans, je devins un ingrat fiché d'un manque de reconnaissance totale pour tout et pour tout le monde. Comme tous les samedis, je venais rendre visite à ma mère en compagnie de mon paternel. L'odeur écoeurante de ces médicaments donnés à outrance et la puanteur de la maladie et de la douleur suintant par tous les pores du mur me donnaient la nausée. L'hôpital grouillait de gens pressés, une véritable fourmilière bien réglée et régentée à la minute près : lorsque la petite aiguille de la trotteuse aura passé midi, Miss Herfire passerait le seuil de la porte en scandant un : "L'Apocalypse, l'Apocalypse ! Je suis l'ange de l'Apocalypse". D'ailleurs la pauvre vieille n'avait pas tardé suite à ce spectacle habituel, après avoir crié ces prédilections diaboliques, à se battre comme une démente contre une infirmière, m'arrachant un sourire amusé sous l'oeil réprobateur de mon père. Mon père qui d'ailleurs, demeurait un médicomage reconnu de Ste-Mangouste. Nous avancions donc dans les couloirs puant l'amoxicilline et autres substances médicamenteuses ; la magie ne parvient pas toujours à soigner ses patients.

Nous étions arrivés dans cette chambre pourvue de blanc seulement, comme si les aliénés ne supportaient pas d'autres couleurs. Comme à son habitude, mon père alla se poster auprès du lit de ma mère, lui tenant la main dans une douceur infinie. Et comme à mon habitude, je pris place dans un fauteuil, le regard indifférent porté sur le livre de mathématiques que je venais de sortir de mon sac. Le samedi n'était pas chose aisée pour moi ; aller voir ma mère, folle à lier, qui ne se rappelait ni de mon nom ni même de mon existence, me serrait le coeur à tel point qu'au fil des mois, j'avais appris à esquiver la douleur : je ne la regardais plus dans les yeux. Car elle ne se souvenait ni d'avoir un fils, ni d'avoir un mari, et tous les samedis elle levait ses grands yeux verts dans un sourire divin, car dieu que sa beauté était transcendante, nous répétant encore et toujours la même question : Qui êtes vous ? Et la voir oublier de mon nom jusqu'à mon existence me mettait hors de moi, bien que je demeurai serein extérieurement. Car j'en voulais à ma mère, terriblement, d'avoir voulu mettre fin à ses jours. Elle qui, pourtant, avait une vie parfaite ; une famille aimante et une maison de rêve... J'ai conscience pourtant que le bonheur n'est qu'illusoire, l'on ploie tous sous le poids des soucis qui nous rongent malgré ces sourires qui nous affirment que tout va bien. La race humaine n'est pas simplement atroce, elle est aussi hypocrite. Ma mère l'avait été jusqu'au bout, feintant être complètement heureuse lorsque, assaillie par la douleur de perdre son propre père dont elle était si proche, elle décida de mettre fin à ses jours. Une tentative qui échoua et qui la transforma en légume.

Mon père se tourna vers moi dans un soupir agacé ; il supportait difficilement de me voir nonchalant et froid lorsque la situation était difficile pour nous tous. Aussi, exténué par mon indifférence agressive, il me somma de l'attendre dans le couloir. Je ne me fis pas prier, et embarquais mon sac se ballottant contre mon épaule, livre sous le bras et airs de petit prince ténébreux véritablement las. Prenant place sur une chaise posée dans le couloir non loin de la chambre à la porte entrouverte de ma mère, je fus bientôt rejoint par un camarade de classe que je connaissais déjà. Sorcier, lui aussi, venu rendre visite à son grand-père atteint d'une dragonnite aiguë dont il enjolivait les terribles symptômes. A mon sens, son grand-père n'était atteint que de la goutte ; c'était un alcoolique notoire terriblement pervers qui jappait des gémissements de plaisir à la vue d'une belle blonde ou d'un verre de vodka. Me rappelant la morale terrible de mon père sur la diplomatie, je ne lui fis pas part de mes pensées que je trouvais pourtant fort amusantes, et commençais la conversation avec Josh. Mais l'enthousiasme des retrouvailles avec mon ami fut vite brisée par la voix de mon père qui parvint jusqu'à moi : il scandait mon nom avec entrain. Lorsque je relevais la tête, je le vis sortir en compagnie de ma mère, si belle et éthérée dans sa chemise de nuit blanche immaculée. Mes parents restèrent sur le seuil de la porte, et bientôt mon paternel tourna les talons dans une course effrénée, sans doute à la recherche de quelques infirmières quant à sa "trouvaille" du jour : ma mère avait, aujourd'hui, fait preuve de quelque chose qu'elle ne faisait pas habituellement ; elle nous avait reconnu... Du moins en partie. Je demeurais silencieux, mon regard noisette braqué sur cette femme si belle qui me souriait. Et alors vint ses mots si terribles, m'enserrant le coeur dans une douleur, une tristesse et une joie farouche.

« Lust... Lust c'est toi ? »

Un détail pour vous, un énorme pas en avant pour elle et nous. C'était la première fois qu'elle prononçait mon nom sans que je n'avais à le lui répéter sept ou huit fois. Dans son regard brillait cette douceur que je n'avais plus vu depuis tant d'années. Puis, la voix de Josh, railleuse et amusée, me sortit de ma léthargie. Et avec elle, toutes mes pensées s'envolèrent.

« Cette folle, c'est ta mère ? »
« Non. Je ne la connais pas. Bon tu viens ? »

La fixant une dernière fois dans les yeux, je sautais de ma chaise avant de fourrer mon livre dans mon sac et de tourner les talons en compagnie de mon ami. Plus jamais, je n'entendis de nouveau ma mère faire preuve d'un début de lucidité. Elle ne sortit pas de sa folie, tandis que je m'engouffrais dans la haine à son encontre, infondée et ingrate.




2.FREEDOM IS MY DRUG ; "I lied to you, I think about dying every day. " – Seven Pounds.

    Quand j'étais gamin, je me posais souvent sur le rebord de ma fenêtre, contemplant nostalgique les horizons lointains. J'ignorais encore que j'étais né pour vivre libre. Mais je n'ignorais pas, que l'ombre paternelle m'enchaînait à ma chambre d'enfant. En fait, je crois que c'est à sept ans que pour la première fois, j'ai vraiment eu envie de voir crever quelqu'un. Le voir crever, pour ma liberté. J'en ai fait mon credo pour les années à venir.
    Lust ~ extrait de son journal.


Non, je ne voulais rien entendre : fronçant les sourcils avec fureur, je laissais une moue purement enfantine mais contrariée, se dessiner sur mon visage de poupin. Fronçant le nez avec exaspération, je ne daignais pas même lever mes yeux d'ambre sur l'homme me faisant face, et qui me souriait d'un air subtilement hypocrite. Le propre des grandes personnes, c'est qu'elles nous font croire, à nous les enfants, qu'ils nous aiment pour notre innocence et nos mots qui les amuse. Foutaises. Ils nous dardent avec un mépris noyé dans de la tendresse écoeurante, parce qu'ils savent que nous sommes inférieurs : à leurs yeux, nous ne savons rien, et cela les complait dans leur fantasme de soit disant dominants. Alors, pour parfaire leurs rôles d'incommensurables supérieurs, ils s'adressent à nous d'un ton niais, qui laisse sous-entendre que nous ne comprenons rien. Objectivement, l'homme s'adressant à moi me pensait malgré tout réceptif, subjectivement, il s'adressait à un mur.

« Allons... je te relis le sujet : " Possédant initialement un couple de lapins, combien de couples obtient-on en douze mois si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du second mois de son existence ? " » fit-il d'une voix chaleureuse avant de reposer son regard bienveillant sur ma silhouette frêle. « Lust, tu ne veux pas me donner le résultat du problème ? » souffla-t-il dans un sourire mièvre et qui eut le simple don de me faire hocher négativement la tête. Serrant la mâchoire de frustration dans un tic qui ne me lâcherait jamais, je finis par souffler un soupir froid sans daigner poser un seul regard sur la feuille qu'il me tendait. « Je sais que tu peux le faire... Un petit effort. »
« Lust fais-le. »

Ah, cette voix pleine de douceur et de compassion guillerette, c'est celle de mon père... J'ironise bien sûr, car mon paternel, mué dans sa quête stupide de la perfection, s'était adressé à moi avec sévérité et d'une dure froideur. Le pédopsychiatre, à l'entente du glas polaire du timbre de sa voix, leva son regard surpris sur mon père qui détourna un instant ses yeux sombres dans un soupir : seul le regard d'un tiers pouvait ainsi le mettre mal à l'aise, car il était de ceux qui se souciaient de l'avis de ses semblables. L'Enfer, c'est les autres, avait proclamé justement un grand poète moldu.

« Tu sais que tu n'es pas comme les autres enfants, tu es meilleur. Fais-le. » renchérit-il dans une voix moins stricte, puisque se sentant jugé par le pédopsychiatre.

Pas comme les autres... Je crois que cette phrase resta figée en moi à jamais. Oh non pas de la meilleure façon qui soit, détrompez-vous. Aussi je n'eus aucune réponse, aucun mouvement, pas même un soupir trahissant ma contrariété. Je levais alors mes pupilles voilées d'une couleur noisette délicieuse vers le plafond, feintant de ne pas les écouter. Et, sans le vouloir vraiment, moi qui désirais rester de marbre, j'eus alors un sourire en coin amusé, tant ces deux adultes provoquaient en moi l'hilarité. Je les provoquais en les poussant à bout. Mon père surtout, et je pouvais le sentir fulminer de rage à me savoir si imparfait.

« Laissez Monsieur Whitaker, ce n'est pas parce que Lust refuse d'y répondre qu'il n'a pas la réponse. » souffla alors l'homme aux cheveux gris dans une vérité juste. Finalement, tous les adultes n'étaient pas idiots : je jetais rapidement une oeillade curieuse vers ce dernier, pensant naïvement qu'il ne verrait pas mon intérêt pour lui grandir alors. En vain. Car l'homme eut un sourire amusé et complice, avant de reprendre d'une voix douce, non sans que je relève rapidement mon regard faussement désintéressé au plafond. « Il a un profil qu'on retrouve souvent chez les enfants surdoués : il n'aime pas se sentir oppressé, et ce sera un garçon très indépendant plus tard, vous pouvez me croire. »
« Les gens aussi indépendants finissent tous artistes ou bohèmes... Sans le sou. » renchérit mon père au charme dévastateur, dans un froncement de sourcils mais d'une voix inquiète.

Son interlocuteur soupira mais ne pipa mot : il n'avait guère le droit de renchérir face aux propos stupides de son client, bien que je sentais qu'il en mourrait d'envie. Ah, l'éthique, n'est-ce pas quelque chose de formidable, monsieur le pédopsychiatre ? Cela vous pousse à rester muré dans votre silence, quand bien même vous crevez d'envie de lui dire ses quatre vérités... C'est pour cela que moi, plus tard, je n'aurais aucune morale : je parlerais avec fougue et franchise, car je ne voulais pas dépérir de l'intérieur. L'homme attrapa alors une feuille vierge et la gratta de son stylo avant de le tendre à mon père : c'était le signe de ralliement, celui qui faisait comprendre que nous allions partir. Alors, taciturne et impatient, je sautais avec entrain de ma chaise avant de me précipiter en courant vers la porte : je me sentais étrangement triomphal, lorsque malgré tout, mon père vint me rejoindre non sans une certaine sévérité sur le visage. Mais peu m'importait, car bientôt mon attention fut détournée par la voix du pédopsychiatre qui me parvint en écho, quand toujours attablé à son bureau, il me toisait d'une moue faussement pensive.

« Pourtant la réponse était facile... hmm, deux cent dix, si mes calculs sont exacts. » souffla-t-il dans un froncement de sourcils, posant d'une oeillade faussement distraites, ses rétines mutines sur le plafond.
« Cent quarante quatre. » m'offusquais-je enfin, non sans me tourner vers lui. « Vous êtes nul. » rétorquais-je alors dans un haussement d'épaules si détaché, que cela fit rire gaiement mon interlocuteur qui m'avisa sortir de la pièce. Cet homme finalement, était bien plus rusé que je ne le pensais, et je ne m'en étais rendu compte que bien après coup.

***

« Lust, tu m'as vraiment fait honte. » Une voix agacée qui résonne dans l'immense corridor de notre villa de luxe. Le blanc des murs aurait pu être sobre si ces derniers n'avaient pas été habillés de tableaux au prix aussi exorbitant : je ne vivais pas dans un loft de riche, je vivais dans un palace, tant dans mes yeux d'enfant, tout me paraissait immense. Mais c'était à l'extérieur que tout me paraissait intéressant : le monde qui s'offrait à moi était un panel immense fait de découvertes et d'aventures à vivre. Aussi, l'ombre de mes prunelles chocolat toisa la fenêtre quand, dans un sourire et non sans me mettre sur la pointe des pieds, j'adressais un grand signe de la main à un de mes petits camarades qui m'attendait au dehors. Empoignant une épée de bois qui se trouvait à ma portée, je fis volte-face et m'apprêtais à courir vers la porte de sortie.« Tu m'écoutes ? »

« Ouais ! » soufflais-je non sans ignorer ce qu'il racontait : ses dires devenaient si habituels, qu'ils coulaient sur moi mais ne me heurtaient pas. Ce fut sans compter sur la poigne paternelle qui enserra alors violemment mon bras ; surpris, j'étouffais un hoquet de surprise avant de lever mes rétines angoissées sur la figure du père. Il ne me battait pas ; jamais il n'avait osé porter la main sur moi. Mais la violence de ses mots et la brutalité de ses aveux égoïstes, étaient bien plus puissants que mille gifles. Déglutissant difficilement, je sentis mon myocarde s'agiter d'une terreur nouvelle, car je savais ce que signifiait la colère dans ce regard trouble. « ...papa. » couinais-je alors d'une voix légèrement suppliante. Non je ne voulais pas. Pas maintenant, pas tout de suite, ne me fais pas ça.

« Et qu'est-ce que c'est que ça. » Le claquement de sa langue contre son palais se fit entendre, quand d'un geste sec il me ôta des mains le jouet de bois que je tenais pourtant fermement. Face à son geste, et malgré la peur pénétrant dans mes entrailles, je lui jetais un regard noir et vorace. « Je t'ai déjà dit de ne pas regarder les gens de cette manière. » … un conseil que je m'efforcerais de ne jamais suivre, et ce tout au long de ma vie. C'est à partir de ce moment-là, que les ténèbres de mon regard foudroyant et charmeur à la fois, devinrent ma marque de fabrique. « Tu as du potentiel, et tu le gâches avec ces gamineries. »

Et d'une poigne de fer, la main paternelle m'attira à lui lorsque, d'un pas résigné il se dirigea vers les escaliers, laissant le jouet de bois tomber lourdement à terre. Sous ma réticence terrible, car déterminé à ne pas le suivre, je tentais de me débattre avec fougue, mon paternel finit par me prendre dans ses bras dans un soupir exaspéré. Il ne comprenait pas que ce qu'il s'apprêtait à faire était en réalité mon plus grand cauchemar.

« Non, non, je veux pas ! Lâche-moi, je veux pas ! Eg þú hafa ógeð á ! Eg vilja til ekki ! * »
« Lust, arrête ton mélodrame ! » scanda-t-il exaspéré, tandis qu'il montait les escaliers non sans me caler sous son bras puissant, malgré ma fougue et ma rage meurtrière.

Enfin, il me jeta dans ma chambre, non sans un regard abattu mais sévère : vivement, je me retournais vers mon père qui m'intima strictement de me mettre au travail. Prendre un livre, celui qui sommeillait sur mon bureau, et ne pas sortir de cette pièce tant que je ne l'aurais pas terminé. Et y retourner, des heures durant, s'il estimait pendant l'heure des interrogations, que le nombre de mauvaises réponses était éhontément trop élevé à ses yeux. La porte se referma sur ma silhouette frêle et tremblante, dans un claquement sourd et sinistre, et aussitôt, je me jetais sur elle non sans y tambouriner de toutes mes forces.

« Ouvre-moi, laisse-moi sortir ! Ouvre ! »

Vous ne comprenez pas, n'est-ce pas. Non, bien sûr, vous ne comprenez rien. Pour vous, ce n'est qu'un père qui estime que son fils doit se pencher sur ses devoirs, et qui ne le laissera pas sortir de sa prison avant qu'il n'ait convenablement fini son travail. Pour vous, c'est juste et légitime, pas vrai ? Après tout, ni la marque d'une gifle, ni celle d'un coup de ceinture, ne vient marquer ma joue rosée ou mon dos blanc... Vous ignorez donc, ce qu'est la torture psychologique, n'est-ce pas ? Laissez-moi vous en conter les terribles et sournoises plaies qui s'impriment alors sur votre esprit pris en otage...

Des heures et des heures durant, on vous enferme dans une pièce, dans l'espoir stupide de vous faire devenir meilleur. Vous voler votre enfance, dans l'envie égoïste de faire travailler votre don, votre précocité intellectuelle, votre malédiction... que sais-je encore. Et vous vivez dans l'angoisse de ne plus jamais en ressortir ; des heures déjà se sont écoulées, quand pour vous il s'agit d'une éternité : peut-être faudra-t-il encore attendre bien longtemps avant qu'il ne daigne vous ouvrir, peut-être même, y retournerez-vous alors que vous pensiez être libéré. Alors vous attendez. Vous attendez angoissé que le verrou ne saute, que le cliquetis ne se fasse entendre, vous attendez que ce poids lourd et oppressant qui alourdit votre corps et votre esprit ne s'envole. Car vous vous sentez séquestré, pris au piège, fichu : vous êtes le pantin d'un autre, votre liberté lui appartient, et elle ne se négocie qu'au terme de son contrat. Vous n'êtes rien, vous n'êtes pas même humain puisque votre liberté se joue devant vous, c'est la hantise de l'allégorie de la caverne qui vous assaille : et si je finissais esclave de sa quête de perfection ?

« Je te déteste, you fucking bastard ! »

Ah, ça c'est moi. Revenons-en. Surprenant, à priori, que de voir un angelot de sept ans à peine et aux cheveux châtains, sortir de telles ignominies à son père pas vrai ? Parce que nous sommes riches, on pense que je suis l'archétype même du petit garçon parfait et poli. J'aurais pu, il est vrai. Mais ma rage de vaincre, mon envie de vivre libre, mon indépendance certaine, et surtout cette peur , cette angoisse de me sentir prisonnier, me fait proférer des injures. Ce n'est que le début d'un long commencement. Mais détrompez-vous, je ne le haïssais pas tant que cela, c'était mon père, après tout, et il pensait agir pour mon bien. Que les adultes sont stupides.

Alors, dans une rage incontrôlée, je balayais d'un geste sauvage tout ce qui se trouvait sur mon bureau : les objets et bibelots tombèrent en trombe, attaqués par ma colère furieuse. La rage et les larmes prirent possession de mes prunelles perdues, quand me sentant tel un lion en cage, je jetais une lampe contre cette porte maudite qui me volait ma liberté. Puis doucement, exténué, résigné, je me laissais glisser le long du mur non sans suffoquer quelques sanglots éteints, comprenant que mon père demeurait sourd à ma détresse. Ce fut pour lui, un acte récurrent : m'enfermer dans ma chambre était le seul moyen qu'il trouvait bon pour s'assurer que mon intelligence ainsi mise à profit durant ces heures d'études forcées allait frôler la perfection. Pour moi, ce fut les prémisses d'une nouvelle peur : depuis ce moment, je refusais de demeurer enfermé. Je n'étais guère devenu claustrophobe, mais la cruauté égoïste de mon père m'apprit à angoisser et me retrouver nerveux, dès lors que je me trouvais prisonnier d'une pièce dont je n'avais pas la clé. Et vous saurez pourquoi à présent, je ne daigne que tourner tel un fauve en cage lorsque les portes se ferment, pourquoi aussi je refuse tout engagement. Les meilleures peurs, naissent de votre enfance.

________________
* : Je ne veux pas, je te hais {islandais}



3. SLAVERY IS CATHARTIC ; "If people I don't even know look at me and want to fuck me, it means I really have a shot at being a model. "– American Beauty.

    Je voulais atteindre les sommets du pouvoir, mais construire ma vie tout en m'amusant. Ma petite bande et moi-même nous érigions en tant que figures incontournables de la génération insouciance et musique sourde. Aucun adulte ne nous a jamais autant détestés que ceux qui aimaient faire régner l'autorité.
    Lust ~ extrait de son journal.


« Lust ouvre-moi je t'en prie ! Lust ouvre ! »

Mon rire amusé résonna telle une brise mesquine mais magnétiquement sensuelle, quant à la supplication de la belle qui tambourinait derrière la porte. Elisa Ferderman, c'était son nom. Hobbie : me coller aux baskets. Bien sûr, cela aurait pu être un point fort si la demoiselle était un tant soit peu jolie, mais je la trouvais d'une laideur affligeante. Et malheureusement pour elle, j'étais de ces salauds qui ne misaient que sur le physique des jeunes filles : il fallait que leurs formes féminines soient fines et gracieuses, des hanches pleines d'une félicité lubrique, des lèvres d'un rouge cerise, et les yeux alanguis d'une biche effarouchée. J'exagérais sans doute quant à cette Elisa, car elle n'était pas si laide ; j'étais seulement bloqué par ses rondeurs que je trouvais exécrables. Mais de vous à moi, les filles avec qui j'avais l'habitude de coucher n'étaient pas toujours d'une beauté transcendante : élancées et perchées sur de longues jambes certes, mais de visage, certaines n'étaient vraiment pas agréables à regarder. Qu'à cela ne tienne, il me suffisait de penser à une autre lorsque je faisais grincer mon lit avec ce genre de spécimen. Le grand défaut de Ferderman n'était pas finalement qu'elle avait quelques kilos en trop, mais son amour aveuglant pour moi, la faisait agir d'une niaiserie pure et douteuse : la pauvre petite brebis attirait certes mes regards, mais toujours railleurs et accompagnés de moqueries ouvertes. Ma bande d'amis et moi-même ne rebutions jamais sur les humiliations de ce genre : pucelles coincées et jugées trop laides, jeunes réservés faisant tapisserie, intellos trop crédules que nous ne supportions pas... Dans le jargon moldu, on appelle cela des caïds, dans mon vocabulaire personnel, j'appelle cela des petits branleurs. Car oui, c'est ce que nous étions, et cela ne me changeait guère de mes étés où mes fréquentations moldues, m'entraînaient dans leurs garages pour y jouer de la musique, ou mieux encore, dans les pubs du coin afin de ne se repaître que de bières ou de whisky. J'étais donc Lust Whitaker, ignoble salaud cependant chaleureux à ses heures amoureux de ces demoiselles : catins ou princesses, prudes ou décoincées, brune, blonde ou rousse, peu m'importait. Je n'étais en vérité fidèle qu'à mes Lucky Strike, et négociais les relations tel un businessman dans l'âme : du pur trading spéculatif en sorte. Une dépendance plus qu'une débauche voulue et bien réelle : l'amour des femmes pour taire mon cerveau de surdoué, en perpétuelle ébullition, car ce dernier ne voyait guère le monde dans sa splendide facilité. Je ne voyais pas des étoiles lorsque je toisais le ciel, mais la masse physique des astres flamboyants, pas plus d'ailleurs que je percevais une musique, car je n'en entendais que la minutieuse partition mathématique qui s'en dégageait... Vous voyez, pour vous une musique n'est qu'un enchaînement de sons, et pourtant vous avez tort. C'est un enchaînement de chiffres, de nombres, et de sinusoïdes. A titre d'exemple, savez-vous vraiment ce qu'est une quinte ? La quinte juste correspond à un rapport de fréquence de 3/2=1.5. Partant de l’observation que quarte et quinte sont complémentaires, on en déduit le rapport de fréquence de la quarte, 4/3...La traduction arithmétique de " quinte+quarte = octave " est donc " 3/2 X 4/3 = 2"... A présent donc, vous comprenez pourquoi il me faut taire mon cerveau de luxure facile pour ne pas virer fou ? Bien. Même si, avouons-le, il e fallait me tenir à carreau dans l'enceinte de la sacro-sainte école de magie.

Mais revenons-en donc à la pauvre petite brebis qui, terrorisée car seule dans le noir – ai-je oublier de vous préciser que je n'ignorais pas qu'elle était claustrophobe ? Damned, quelle tête en l'air je suis... – , sanglotais tranquillement derrière la porte qui ne recevait plus ses coups délicats. N'entendant plus que ses pleurs furtifs, je me fis fourbe et sournois, quand ne trouvant guère son silence amusant, je décidais de la provoquer encore.

« Bien, je vais aller dîner, et je reviendrais t'ouvrir. » soufflais-je dans un haussement d'épaules tandis que la belle horrifiée, hoqueta de stupeur tout en continuant à gémir des étouffements plaintifs. « Hmm, non, en fait je n'ai pas faim. On se voit demain, après le petit-déjeuner. »

Et la belle de crier encore mon nom lorsque, amusé et et princier, je tournais les talons sans daigner regarder l'attroupement de mes camarades qui semblaient eux aussi trouver la situation hilarante. Le propre de l'être humain, c'est qu'il suit le chef du troupeau, quand bien même il est cruel. Surtout s'il est cruel. Ca lui évite de se retrouver dans la même situation, et ainsi il se fait complice de cette cruauté humiliante. Ah, j'aimais la crédulité stupide de mes camarades.

Voilà en quoi ressemblait ma vie dans l'enceinte de Poudlard. Entre insouciance et légèreté, application relative dans mes cours qui m'intéressaient, un soupçon de charisme, une louchée de sadisme et une pincée bien piquée de témérité. Je m'étais cependant calmé au vu des évènements récents, terribles et marquants ils n'avaient fait que apaiser mon attitude débonnaire et aiguiser ma maturité. Sans compter que dans ces murs, se nichait la seule femme pour qui mon coeur ne cessa jamais de battre. Depuis nos nuits interdites, jusqu'à notre rupture récente.



Dernière édition par Lust Whitaker le Ven 21 Déc - 21:58, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 16:21

Bienvenue mimi
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 16:24

Bienvenue !

Ed, toujours aussi beau gosse Wink
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 16:41

Bienvenue!!! :) Excellent choix d'avatar!
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Severus A. Ollivander
Severus A. Ollivander


Sages et intelligents, nous sommes les dignes héritiers de notre chère Rowena.

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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 17:26

Bienvenue sur SH et bonne chance pour ta fiche Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 2183245441
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 17:30

Merci à tous Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 469549
je me mets direct à ma fiche :3
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 18:31

Ed est un excellent choix. mimi
Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 19:00

WHaouuuuuuuu bienvenue. Un choix d'avatar parfait <3

Et ta fiche est géniale.

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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 19:58

Merci Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 469549
et merci Albus, ça me fait grave plaisir Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 432337
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 20:19

Albus? C'est à moi que tu parlais?
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 20:20

Lapsus ee J'ai pas voulu t'offenser sorry Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 1817655808
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyVen 21 Déc - 20:24

Pas de soucis, c'est juste que je comprenais pas.

Derien :)

Hâte que tu sois réparti pour RP

je sors avant de me faire inculper de flood
Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 379652

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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyDim 23 Déc - 23:30

Bienvenue sur le forum et bon courage pour tout Smile
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyLun 24 Déc - 11:34

Bienvenue à toi sur le forum :)
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyLun 24 Déc - 11:41

Ta façon d'écrire est juste un orgasme visuel, tu savais ça ?
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyLun 24 Déc - 13:38

Merci à tous I love you

et merci Jill pour ton compliment qui tue, ça fait plaiz Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 469549
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyLun 24 Déc - 13:41

J'avai pas vu la mention terminée et je me disais bien que c'était déjà rempli.
Te voila pré-validé, une admin se chargera de ton cas pour te valider sous peu. D'ici là, tu peux aller traîner sur la CB. Bon jeu chez nous !

Et de rien :)
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyLun 24 Déc - 14:31

waw Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 200463 , j'adore!


Félicitations à toi, Lust, le Choixpeau Magique a décidé de te répartir à Gryffondor, la maison des courageux et des justes.

A présent, tu es officiellement membre de la communauté. Mais néanmoins, avant de te lancer, voici quelques conseils qui t’aideront à mieux te sentir à l’aise. Tout d’abord, si tu as besoin d’un guide pour t’épauler sur le forum, n’hésite pas à demander un parrain, et quelqu’un sera désigné pour t’apporter tout ce dont tu auras besoin pour te faire ta place parmi nous. Ensuite, pourquoi ne pas élargir ton cercle de connaissances ? Poster une fiche de liens te permettra de rencontrer d’autres personnages avec lesquels qui sait, tu pourras créer des liens intéressants et solides. Répertorier les différents sujets dans lesquels tu es intervenu(e) t’aidera à ne pas être englouti(e) sous les RPs. N’ai pas peur de t’inscrire aux différents clubs de Poudlard, tel que l’équipe de Quidditch des [animalrepresentatifdelamaison], c’est une bonne occasion pour t’intégrer et aussi faire gagner des points pour la coupe des Quatres Maisons !
Pour terminer, n’oublies pas de faire recenser ton avatar, afin d’être sûr(e) qu’il ne sera pas utilisé par quelqu’un d’autre , de t’inscrire dans un des différents cursus proposés et enfin, de signaler un DC si jamais tu possède un autre compte sur le forum.
Bienvenue à toi et bon jeu !
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful EmptyLun 24 Déc - 14:41

Yeah merci ! Lust ♔ i felt like destroying something beautiful 469549
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MessageSujet: Re: Lust ♔ i felt like destroying something beautiful   Lust ♔ i felt like destroying something beautiful Empty

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