Poudlard et encore poudlard. C’était toujours la même chose, la même histoire qui se répétait sans cesse. Une histoire de répétition, chaque fois les mêmes choses. Je traversais les couloirs de cours en cours toujours stoïque sans réaction ou bien avec une haine non caché. Tout le monde savait exactement qui et se que je détestais. Certain ce croyait mieux que moi mais j’étais la personne la plus dangereuse dans cette école et ceux qui m’entouraient étaient tout aussi dangereux. Ce n’étais certainement pas une pathétique petite poupée de porcelaine qui serait un jours plus dur que moi. Même a serpentard j’étais dans une classe a part. Mon nom faisait trembler les murs de cette école et à tout jamais la mémoire de ce dernier serait imprégnée dans cette école. Je le savais, je le sentais. C’était exactement de cette façon que je pensais. Traiter moi de folle, mais personne ne pouvait dire que j’étais une petite poupée qui faisait sans cesse ça petite victime. Je n’étais pas une Lestranges qui avais la vie facile non j’étais une Greyback on était fait dure, on était fier. Pour ces raisons je traversais les couloirs de cette école la tête plus que haute, j’écrasais du bout de ma semelle les coquerelles qui hantais cette école.

Les coquerelles qui hantaient ces corridors me rendaient complètement haineuse. Très peu de gens méritaient mon respect, rien de cela n’était nouveau. Mais ces derniers ne méritaient qu’une chose, mourir à bout de baguettes. Je n’avais qu’un seul réel but dans la vie tous les anéantir. On pourrait me dire se qu’on voudrait, que j’étais une halluciné ou bien encore que j’était tout bonnement folle et il n’aurais certainement pas tord mais j’étais bien plus que cela. L’humilité ne me tuera pas je suis beaucoup plus intelligente que toute cette bande de morveux, plus douer et je ne m’en cache pas. Il y a une raison pourquoi je marche toujours la tête plus haute que tout les autres de cette école. Ne vous poser pas de question je marchait dans cette école comme une reine on pouvait tenter de me dire le contraire mais au finale je serais celle qui un jours remplacerait cette infâme sang mêler comme bras droit du lord. Voilà bon but le plus ultime, remplacer cette infâme sang mêler qui ne méritait même pas la vie. On pourrait me dire bien des chose à mon sujet mais une des choses étais certain c’était que je ne manquais pas d’ambition.

J’entrais tranquillement, d’un pas plutôt même lent, dans la salle commune des serpentards, je fusillais du regard une bande de première année qui était assis sur le sofa ou j’étais toujours assise. Ces dernières ne prédire pas un moment pour déguerpir de la et je me dirigeais comme une reine vers le sofa qui m’attendais tranquillement. Je déposais mon sac par terre et y prenais mon livre à l’intérieur et décidais de lire un peu. je devais encore attendre une bonne heure avant que celui que j’attendais ne sorte de son cours alors aussi bien attendre en meilleure compagnie que cette population de serpentard qui se croyais tous plus intelligent et plus fort. Dans le fond ces derniers n’étaient rien à mon regard. Je ne supportait qu’une infime partie de ces dernier et déteste tout le reste. Donc je restais dans mon calme comme d’habitude à ignorer la salle commune, de toute façon il y avait bien peu de gens intéressant en se moment. Bien entendu c’étais jusqu'à se qu’on me sorte de mes penser avec un baiser effleurer au coin des lèvres. Je souriais à peine en relevant les yeux vers se dernier. « Tu t’es doucher j’espère avant de venir ici. » Oui je lui accordais un très bel accueil il ne fallait pas vous questionner certain vous diront que c’était l’accueil donner à toute personne que je connaisse et ils auraient très certainement raison. Je n’étais pas l’une de celle qu’on pouvait déclarer comme étant pleine de compassion.

Mes lectures avaient été interrompues par le serpentard qui me servait de fiancer. J’avais été tranquille jusqu'à se moment et l’interruption était plutôt la bienvenue. Après tout il sentait plutôt bon se soir et il c’étais définitivement doucher. Se que lui même confirmait l’instant qui suivait ma question. « Ne t’inquiète pas ma chère je suis tout propre juste pour toi. » j’avais un sourire ironique au lèvre. Non, je ne me moquais pas complètement de lui, mais je souriais parce que je savais que la moitié de cette maison était jalouse du fait que c’était moi qui avait gagné ce serpentard. Il était mon mien. Et j’avais beau m’y opposer et piquer toute les crise que je voulais au finale c’est moi qui avais gagné le jack pot. Il était surement l’un de mec de serpentard les plus canons. Même moi j’étais capable de le réaliser. Il était certainement plus beau que n’importe quel autre sang pur. Même son frère ainé ne lui arrivait pas à la cheville selon moi. « Oh comment c’est gentil maintenant qu’on a fait certain que tu sent le propre et non pas la sueur tu peut t’assoir à ma hauteur que j’arrête de me faire un torticolis pour te regarder. » Oui dans le fond il n’y avait que moi qui comptais dans cette histoire. Mais il c’étais assis à mes coté et avait passer son bras autour de mois. J’avais rapidement fait de me sortir de son emprise. Il manquait profondément de sérieux et je ne laissais pas les gens me toucher juste comme ça peu importe qui ils étaient.

« Alors belle beauté froide t’es cours se sont bien passer? » J’arquait un sourcil parfaitement épiler en l’écoutant. Il me prenait pour quoi une conasse de service? Ça se voyait qu’il disait juste cela pour éviter d’entrer dans se qui l’intéressait réellement. Je connaissais que trop bien Allistair. Et j’étais aussi d’une intelligence supérieur. « Si tu as quelque chose à me demander allistair Jorgen Nott arrête de tourner autour du pots! » est-ce que mon fiancée aurait soudainement oublier que de nous deux je suis le cerveau. Je savais quand il tournait autour du pot. Bon d’accord j’allais lui accorder que lui aussi avait une certaine intelligence. En particulier il était facilement capable d’analyser une situation et d’y voir le moindre danger. Il étais un esprit analytique alors que moi j’étais un esprit tout simplement supérieur. Oui je me croyais même supérieur à mon propre fiancé que voulez vous j’étais LA personne la plus intelligente de Poudlard. Et je ne laisserait personne me dire le contraire tout les cours qui était important et n’avais absolument rien à voir avec la racaille de cette école était les cours ou j’obtenais des optimals. J’attendais avec impatience ou j’allais enfin me détacher de ces autres sang pur et finalement être reconnu par Lord Voldemort comme sa remplaçante dans le cas de sa mort. Oui je voulais être le prochain grand lord noir. Non j’allais être. Mon nom allait entrer dans les anales et là-dessus vous pouvez me croire.

Il prenait son temps à me répondre. Et je commençais réellement à m’ennuyer je me tournais vers lui un moment. Je me rapprochais de lui pour pouvoir lui murmurer à l’oreille. « Allez dit réellement se que tu avais à dire Allistair tu n’as pas à avoir peur. Tourner autour du pot ne te servira à rien alors arrête de faire t’as chochotte! » Et je me reculais tranquillement en souriant. J’étais assez fier de l’effet que je venais d’avoir c’était un effet que j’adorait depuis toujours avoir sur les gens. Dans le fond je n’étais pas seulement intelligente je savais que j’étais capable d’avoir un effet menaçant sur les gens. Ma réputation me poursuivait mais avec Allistair l’histoire était toujours différente. Je prenais depuis si longtemps un malin plaisir à jouer avec lui, comme avec un jouet. Il était si amusant quand il perdait les plombs que c’était ça que je trouvais si amusant avec lui.

Je restais de marbre même a l’arrivé de mon propre fiancé. Ce n’était pas qu’il me restait complètement de marbre. Certes il avait des charmes c’est vrai les filles ne tombait pas toute pour lui sans raison. Mais au final toute les filles soupirait sur sont passage assez pour que je n’ai pas à le faire. Combien de gamine en deux ans était venu me voir pour me faire savoir à quel point j’était tout simplement chanceuse d’avoir le fiancé parfait. Bien entendu elle avait été remise à leurs places en un rien de temps. Premièrement il était chanceux de m’avoir comme fiancé et que je n’ai pas tout simplement refuser cet imbécile, deuxièmement seul les sang pur étaient autoriser à m’adresser la paroles et ceux et celle que j’acceptais. Elles n’en faisaient pas partie. Sincèrement je ne perdais pas mon temps avec des êtres inférieur. Raison pourquoi je supportait Miss Bellatrix Lestrange parce qu’elle avait du cran, elle était une vrai sang pur, comme son fiancé. A l’exception de la sœur du dit fiancé qui ne valait tout simplement pas la peine. Elle était une petite coquerelle en dessous de mes chaussures. Même pas assez intelligente pour être dans un vrai cursus. Oui je ne tolérais que la crème de la crème. Et j’avais rapidement vu le potentiel d’Allistair. Il avait peut-être agis pendant des années comme le toutou de Black mais ont voyait maintenant qui méritait le respect. C’était exactement se qui aurait du arriver. La véritable royauté de l’école était en train de s’organiser et les restant allait se prendre des restants.

« Vos désir sont des ordres votre altesse. » Je relevais un sourcil. Mais est-ce que monsieur prenait une attitude avec moi? Mais il savait à qui il s’adressait celui-là? J’étais Karone Nadira Greyback. On ne prenait pas une attitude avec moi. Il est vrai que c’est dernier temps il avait pris beaucoup d’assurance. Il n’avait pas peur de s’affirmer. Ça tout le monde était parfaitement au courant. Mais je ne répondais absolument rien. Ça n’en valait pas la peine, il allait rapidement comprendre que de toute façon avec moi il ne pouvait tout simplement pas s’attendre avec des réactions. Il aurait été une autre personne il sait que je lui aurait pratiquement arraché la tête pour son insolence. Lui je supportait son attitude parce qu’il était plutôt amusant à regarder quand il décidait réellement d’humilier des gamins. J’avais toujours pris un malin plaisir à piéger des petits jeunes pour le voir lui se défouler. Je me demandais bien se qui allait arriver aujourd’hui. La salle avait un peu de population mais personne ne prenait le risque de nous approcher.

Je l’avais sentis s’installer plus confortablement à mes coté. Même après que je lui ait dit d’arrêter de tourner autour du pots il me faisait attendre. J’avais décidé de retourner à mon livre. Ça ne servait absolument à rien de toute façon il ne faisait que me faire attendre et je n’avais pas la patience pour lui. Je lui donnais encore quelque minute pour arrêter de tourner du pot sinon je retournais à mon livre et il me perdait complètement. « Bon si tu es si impatience voici donc se que je voulais te dire et non pas te demander. Je voulais te dire que je tient rejoindre les rang des mangemort cette année. Oui c’est décider plus question de faire semblant de me foutre de cette guerre si je suis pour me battre aussi bien me battre du coté des vainqueurs. » Je relevais la tête vers lui en haussant rapidement un sourcil. Et-ce que j’avais bien entendu se que je croyais avoir entendu. Lui l’éternel clown de service quand il était question de la guerre du sang. Il évitait la question de rejoindre les mangemorts. Et voilà qu’il prenait une décision si radicale. Je ne pouvais même pas prétendre ne pas être surprise. « Tu rigole la. J’ai bien entendu. Toi Allistair Jorgen Nott, héritier de serpentard, clown de service tu as décider de rejoindre les mangemort. Tu ne me fait pas un coup la. Tu ne rigoles pas. » Peut de gens pouvais se vanter m’avoir un jours surpris mais la il était réellement sérieux, il ne rigolait pas il était tout simplement déterminer. « Par merlin tu est réellement sérieux, tu veux réellement rejoindre les rang. WOAH! » Je souriais soudainement à pleine dent. C’était parfait tout les morceau se mettait en place. Il allait se joindre à nous, il était un avantage pour nous. Il était charismatique, les gens l’aimaient facilement, il savait faire tomber les cœurs. Mais il pouvait être d’une cruauté inimaginable. « Tu peu maintenant te vanter de m’avoir surpris… félicitation. »

Oui j’étais difficile. C’était facile à comprendre pourquoi. J’étais un esprit analytique et il n’y avait pas réellement de gens imprévisible. Tous avaient leurs petits trucs qui les rendaient si facile à lire. Prenez Allistair par exemple. Ces blague à la con, son coté Casanova était le résultat de ces insécurité. Il était éternellement insécure et j’accusais une personne pour l’avoir rendu ainsi. Cet imbécile de Black qui avait été incapable de voir le grand sorcier qu’il avait devant lui. De toute façon il aurait été incapable de voir le plus grand sorcier du monde même si ce dernier se trouvait directement devant lui. Et Allistair c’était retrouvé devant pendant onze ans. J’avais toujours su que ce dernier était un grand sorcier. Mon père disait que j’avais l’œil pour remarquer les meilleurs. J’avais bien remarqué Ulysse très jeunes. Non pas seulement parce que moi et lui ont avait été former du même moule mais parce qu’il avait cette même soif que moi. Mais jamais je n’aurais eu les moindres respects pour Allistair si je n’avais pas sentit quelque chose de grand chez ce dernier. J’avais sentis qu’il avait une destiné bien plus grande que celle du concierge de service. Et j’avais eux raison. Mais Allistair avait pendant si longtemps caché ces craintes d’être abandonné sous un caractère Casanova, sous la carapace de l’homme de toutes ces femmes. Oh il était un gentleman et je savais que les conquêtes étaient assez nombreuses aussi. Mais je savais surtout qu’Allistair était excellent dans l’apprentissage de sortilège. Depuis pratiquement un an il m’en avait appris autant que je lui en avais appris. Il m’avait surpris. Mais ces vielles habitude avaient la peau dure. Il avait encore peur qu’on l’abandonne. Et j’avais mes gros défauts, je ressentais très peu pour les autres mais il y avait une chose que je ressentais profondément et c’était le respect. Une fois qu’on avait gagner mon respect j’aurais surement déplacer la lune pour vous. Et c’est pour cette raison que quand Allistair m’avais finalement annoncé son désir d’entrer dans les rangs des mangemorts j’étais tout simplement sur le cul.

J’avais sentit le besoin d’il me confirme se qu’il venait de me dire tout simplement parce que c’était nécessaire. Il avait souvent fait des blagues sur rejoindre les rangs mais jamais toujours su qu’il n’étais pas prêt. J’avais toujours su qu’il était sa propre barrière. Mais il venait littéralement de me jeter par terre. Je ne croyais pas qu’il était prêt, ou plutôt je croyais qu’il était prêt physiquement, mais je ne croyais pas qu’il était prêt lui même à faire se pas. Du moins pas jusqu'à se qu’il me le déclare lui même. Mais la il n’y avait plus de doute il était prêt. « Oui Karone je suis on ne peu plus sérieux. » Il n’y avait plus de toute à avoir. Il était plus que prêt. Dans ma tête il avait toujours été prêt mais il fallait qu’il s’en convainque lui même. Mais tout d’un coup il n’y avait plus de barrière du tout avec lui. Il digne de son propre nom. Pour la première fois dans toute ma vie je ressentais énormément de fierté. Non ce n’était pas un truc que je ressentais facilement. Depuis longtemps j’avais accepter que se genre de chose je ne les comprendrais jamais complètement. Comme je ne comprendrais jamais pourquoi on pleur la mort d’une personne, je ressentais beaucoup plus facilement la haine et la colère de toute façon. Mais la fierté était difficile à atteindre. « Et bien si je dois mourir se soir je peu mourir en paix. » Je roulais des yeux. Non le vieux Allistair n’étais jamais trop loin. Qu’est-ce qu’il était soulant à force de toujours faire des blagues. Surtout que souvent elles n’avaient tout simplement rien d’intéressante. « Franchement quand va tu un jours arrêter avec tes blagues nulles? »

Il avait toutefois repris son sérieux et je savais que quelque chose d’autre était en route. « Mais avec cette annonce je m’attends à se que tu arrête de t’opposer à nos fiançailles. Je sais parfaitement que tu ne le faisais que parce que c’était exactement se à quoi on s’attendait de toi. Mais tu dois te résigner. D’ici la fin de nos étude on sera sur le chemin de notre mariage et ont va suivre la trajectoire que nos parents nous on destiner. » Je tournais rapidement la tête vers lui. Complètement sur le cul. Comment est-ce qu’il osait me causer. Avait-il soudainement oublié que j’étais Karone Nadira Greyback. On ne me disait JAMAIS quoi faire. Je faisais ce qui me plaisait et pas le contraire. Ce n’étais pas lui et pas personne d’autre qui allait me dire quoi faire et surtout comment le faire. Mais il avait raison je m’étais seulement opposer à nos fiançailles par principe. J’avais toujours dit que je ne serais jamais fiancé et que je tuerais tout mes fiancés. Je croyais qu’un homme serait la ruine de ma monter au pouvoir. Pourtant il n’avait jamais mis de barrière, il m’avait laissé m’épanouir quand même. Mais s’il commençait maintenant à me mettre des bâtons dans les roues il allait voir que je pouvais tenir ma promesse. « Allistair Jorgen Nott, Pour qui te prend tu? » Mon ton était glaciale je n’étais tout simplement pas impressionner. « Tu sais mieux que personne ne me dit quoi faire. Et si tu ne veux pas être la première personne que je tue je te conseil de ne plus le refaire. » J’étais passer si rapidement de fier à glaciale qu’il n’y avait pas de doute que je disais vrai. Mais en même temps il avait raison il n’y avait plus réellement de barrière à notre union je n’allais pas le laisser me marcher dessus. Je m’approchais de son oreille. Cette discussion avait déjà trop duré longtemps à mon gout. Ma voix glaciale était toujours présente. « Je te conseil de ne plus jamais me sortir cette attitude Allistair et ce même si tu as raison. »