› nom : Je fais parti de la descendance Lionheart.
› prénom : Mon prénom n'a rien d'effrayant. Impossible de frémir lorsqu'on le prononce, où lorsque on l'entend comme c'est le cas pour tant d'autres par delà le monde. Non, lorsqu'on entend "Hazel", on entend silence, discrétion, et quelque chose d'un peu suranné pour peu que l'on soit bienveillant (ou moldu, au choix). En revanche, si on a le sang bleu, ou si l'on pratique la magie, "Hazel" prend un tout autre sens. Il devient insulte, borborygme, expression grotesque et disgracieuse à la mode pour qualifier ce qui est laid et infamant. Pour ma part, j'estime qu'on est l'homme de son uniforme. Que l'on crache sur ce que l'on ne connait pas, et aussi sec, la baguette de coudrier en fera son affaire. Je m'appelle Hazel. C'est mon repère, il me permet de ne pas perdre de vu d'où je viens et où je vais dans les moments les plus sombres. Mon second prénom, Ceridwen, est la directe expression de la foi religieuse de mes parents.
› âge, date et leu de naissance : J'aurais bientôt dix-sept ans et je fête mon anniversaire tous les 8 mars. J'ai grandi dans une petite ville bétonnée et sans histoire du Cheschire, entourée de ma famille et de mes amis avant de prendre un allé simple pour l'enfer.
› lieu de résidence : En dehors de ma cellule attitrée -tout ce qu'il y a de plus incommode- dans les entrailles de Poudlard, il m'arrive parfois de reprendre le chemin de la maison familiale, mais si cela reste rare. Je n'ai pas vraiment d'attaches.
› nature du sang : En bonne hérétique qui se respecte, je suis une née-moldue (comme on en fait plus ah ah). Il m'arrive parfois de penser qu'il aurait mieux valu étouffer la magie dans l’œuf plutôt que de subir tout ce qui fait le quotidien des Grindelmonks.

› maison : Ravenclaw, sagesse et assiduité, mais pourrais-je jamais prétendre à nouveau ?
› année scolaire : Je suis actuellement en septième et dernière année de collège.
› études suivies : Je souhaiterais poursuivre dans l'Enseignement magique. Bien qu'il soit peu probable que l'on confit jamais un poste de professeur à une née-moldue en l'état actuel des choses, mais il faut garder espoir. Rien n'est impossible n'est-ce pas ?
› matière favorite : Sortilège. Quand on est née-moldue et qu'on a vécu dans le monde -tout ce qu'il y a de plus banal- des moldus une bonne partie de sa vie, faire usage de la magie prend des allures presque féeriques. Une occasion inédite de retomber en enfance et -pourquoi pas- de se remémorer les légendes contés par maman au coin du feu ?
› matière détestée : Histoire de la magie. Beaucoup de parlotte pour peu d'action. Les faits passés au détriment de l'instant présent. J'ai toujours pensé qu'apprendre bêtement était contreproductif, et quel ennui !
› la forme de votre patronus : Je ne parviens à le faire apparaitre qu'une fois sur cinq. C'est un peu agaçant, la plupart des mes amis n'ont pas beaucoup de difficultés à former un patronus corporel. Il m'a fallu pas mal de temps avant de pouvoir reconnaitre le mien, et pour preuve, ce qui me semblait être une vache ou un cheval s'est avéré être un kelpie. Qui l'aurait cru ? Même si elle n'est pas facile à invoquer, je dois tout de même dire que je l'aime bien cette bestiole.
› l'épouvantard : A quelque chose de noir, de rampant, et d'implacable. Je suis achluophobe.
› détails à communiquer :J'aurais tant aimé monter sur un balais... ne serais-ce qu'une fois.