› nom : Malfoy. Ce nom vous parle forcément non ? A moins d'être un ignorant moldu, je ne vois pas comment vous pourriez ne pas le connaître n'y reconnaître son impact dans la société magique dans laquelle le pays est plongé. Malfoy. Ce nom m'offre bien des avantages, rien qu'au sein du ministère puisque mon père, Julian, est le directeur du département le plus important, celui du département de la Justice Magique où j'envisage de m'implanter. Malfoy. Ce nom offre bien des contraintes et des obligations aussi. Par la pureté du sang, il m'offre un destin tout tracé et on ne me demande, évidemment pas mon avis.
› prénoms : Aîné d'une famille de cinq enfants et seul mâle également, mes parents et principalement mon paternel, ont jugé bon de me donner des prénoms cinglants. Ils devaient marquer mon appartenance à cette classe supérieur. Ainsi, je suis Aymeric Malfoy. Pourquoi ? Aymeric est le nom de l'arrière arrière grand-père de Julian. Un sorcier plus que remarquable. Excellent duelliste dans un premier temps, il fut aussi un bref temps, directeur de l'école de sorcellerie Hogwarts, mais aussi un excellent maître des potions. Un beau palmarès en somme. Je suis aussi Jaime Malfoy tout simplement parce que ma mère tenait à ce que je porte ce prénom. Jaime n'a rien de remarquable en somme, mais c'était tout simplement un prénom qu'elle, amatrice de mythes et légendes appréciée. Jaime Lachlan était un personnage secondaire du mythe de la Pierre de vie.
› âge, date et leu de naissance : Je suis venu au jour en plein été. Ce-jour là s’annonçait être la pointe de la canicule qui avait envahi Londres. St-Mangouste accueilli ma mère qui souffrit longtemps avant de m'amener. Mon père fut comblé de tenir entre ses bras, le premier enfant de sa lignée et surtout, son premier - et unique par la suite - fils. Le sang allait perdurer, le nom aussi. C'était un 31 juillet.
› lieu de résidence : J'ai vécu pendant longtemps dans le pays du grand Nord. Entre Moscou et l'Oural. Comprenez que j'ai passé les sept premières années de ma vie de sorcier de premier cycle comme étudiant à l'institution Durmstrang. Cette école m'a formé et m'a ancré dans une réalité simple. Il y a l'élite et les autres. J'ai la chance d'en être. C'est ce que mon père attendait de moi, je crois. Que je sois formaté, le fruit parfait des idéologies de sa famille, de son nom, de son sang. Il a réussi. A la fin de ma septième année - un cycle commun d'études en plus de l'étude des arts occultes chez nos amis russes, sorciers amateurs de la Vodka - je suis revenu au pays pour continuer mon parcours scolaire à Hogwarts, dans sa section universitaire. Aujourd'hui, on peut me trouver soit au grand manoir des Malfoy, soit à l'école, mais parfois, au ministère.
› nature du sang : Comment avoir un sang aussi pur que le mien ? Les Malfoy, à l'image des Black, des Lestrange ou bien des Greyback, ont toujours apporté une grande importance à ce qui se déferle dans nos veines. Mon sang ne serait être plus pur qu'il ne l'est déjà. C'est une grande valeur, une grande garantie aussi dans ce monde. Un avantage qu'on ne peut ignorer.

› maison : Je crois que ça a été une note de déception pour mon père, quand j'ai rejoins la maison de Rowena Ravenclaw, néanmoins, sachant que j'étais brillant et d'une nature intuitive, il ne m'en a pas tenu rigueur. Que voulez-vous, ce maudit chapeau un peu trop bavard a longtemps hésité. J'étais l'un des rares chapeau-flou de mon année. Slytherin ou Ravenclaw ? Serpent ou Aigle ? Il a tranché contre ma volonté. Mais je ne peux pas nier m'être pleinement épanouie dans cette maison, bien au contraire. Mon caractère curieux et toujours en quête du savoir et de la vérité, l'avidité de la connaissance, même poussée à l'extrême est une qualité plus que recommandée pour les enfants du rapace.
› année scolaire : J'étudie en douzième année du cycle universitaire.
› études suivies : Comme je l'ai déjà évoqué dans mon dossier, j'ai passé mon tronc commun d'études, mon premier cycle soit, à l'institution Durmstrang. Je n'ai jamais apprécié la sévérité et les punitions corporelles. Fort heureusement, je n'en ai pas eu beaucoup, mais le peu que j'ai subi m'a suffit et m'a rendu lucide sur la façon dont le monde est et dont je dois me comporter. Les matières sont similaires, à quelques éléments prêts, dont les options. J'ai travaillé sur l'Alchimie et la Nécromancie plutôt que la science abstraite et ridicule de la Divination ou Astronomie. Suite à ça et en ayant un père directeur du département de la justice magique, c'est tout naturellement et avec son ordre cependant, que j'ai opté pour suivre un cursus de Justice Magique, dans le but de siéger à la plus haute instance juridique magique du pays, le Magenmagot, ni plus ni moins. Après tout, j'ai une ambition débordante, non ?
› composition de votre baguette : J'ai reçu ma baguette chez Gregorovitch, à mes onze ans. Ma baguette fut taillée dans le bois noble du Chêne rouge, symbole de la rapidité d'exécution des sorts et de la vivacité d'esprit. Elle est excellente pour les duels et j'avoue affectionner ceci. Malgré tout, ce bois rare la rend difficile à manier et à de nombreuses reprises, quand j'étais plus jeune, elle s'est montrée capricieuse, refusant d'exécuter un sortilège ou le faisant maladroitement. Désormais, avec l'instruction que j'ai suivi, elle est mienne. Le coeur de ma baguette cache une plume de Phénix ce qui la rend très efficace pour lutter contre les sortilèges maléfiques. Ce vieux fou de Gregorovitch m'a même murmuré qu'elle avait un goût prononcé pour les sortilèges de feu, mais je m'y risque rarement. Sa taille est convenable, pas moins de trente et un centimètres et très droite. Elle est, enfin, d'une rigidité extrême. Aucune forme de souplesse. Non, ma baguette est mienne et n'est pas apte à changer de maître. L'idiot qui s'y risquerait aurait bien du mal à la manier.
› matière favorite : Quand j'étais en premier cycle, j'étais un grand amateur des potions. Je trouve cet art fascinant et j'avoue en fabriquer quand j'ai du temps libre et quand j'arrive à amasser assez d'ingrédients. J'étais aussi très bon en métamorphose. Aujourd'hui, comme j'ai décidé de me perfectionner dans la Justice Magique, plus précisément le droit, j'apprécie de loin, l’étude des Lois magiques qui me donne un aperçu très précis de la société et de comment elle fonctionne. Il y a aussi le Droit magique en option que j'ai naturellement choisis. J'aime plaidoyer et contrer les arguments de mes adversaires avec une réelle férocité. Le droit est un combat, le droit est une étude, c'est ce que j'aime.
› matière détestée : Tout ce qui se rattache à l'abstrait, non au concret, m'a toujours donné la nausée. Ca me débecte de me dire que certains peuvent apprécier la Divination. Fort heureusement, je n'ai pas eu cette approche, puisque j'ai été à Durmstrang, mais en option, j'ai Etudes des Moldus. Pensez-vous sincèrement que j'y attache une importance ? Non. La plupart du temps, ce cour est bénéfique dans le sens où j'y fais des devoirs. Je rédige mes parchemins pour les cours suivants. C'est d'un ennui et d'une non nécessité incroyable.
› la forme de votre patronus : A Durmstrang, l'approche du Patronus n'a pas été de vigueur. En effet, on préfère nous enseigner plutôt les artefacts issus de la magie noire, ou ensorcelaient par celle-ci. C'est à mon retour à Londres, que j'ai étudié ceci, non pas par envie, mais parce que c'était un point important. J'ai mis du temps à en générer un. Au départ, c'était simplement une fumée argentée sans forme, mais aujourd'hui, je peux aisément faire apparaître un patronus qui prend la forme d'un ours. Un ours, c'est moi non ? Ou du moins, ce que je serai si j'étais un animal.
› l'épouvantard : J'en ai longtemps vu à Durmstrang. Quand un élève de première année désobéi, on ne le frappe pas. On le met dans la cave et dans la cave, il y a un charmant épouvantard. Je n'étais pas en reste et j'ai terminé dans la cave. L'épouvantard m'a donné une peur que je n'ai jamais ressenti. J'ai vu les armoiries de la famille, sous entendu, mon père, mes soeurs, tout ça, dans un brasier noir comme l'encre. J'ai compris après avoir calmé la peur qui me tiraillait les entrailles, me rongeait l'esprit, que ma plus grande peur était simplement, celle de perdre les miens.
› détails à communiquer :Je suis un grand amateur de sucrerie. Même à mon âge, j'achète des Dragées ou de la Patacitrouille. J'adore cette pâte au goût prononcé. Le Quidditch ne m'inspire guère, je préfère les courses à dos de dragon que je pouvais voir en Russie. J'apprécie énormément les duels de sorciers et je suis abonné à un magazine magique, l'heure des duellistes et je suis d'ailleurs, un fervant admirateur de Alberic Stern, un duelliste de sang-pur allemand qui est l'un des meilleurs du monde dans sa catégorie. J'aime également jouer aux échecs et j'apprécie de passer mon temps libre à faire des potions. Enfin, me plonger dans un bon livre est toujours un réel plaisir. Ah oui, j'oubliais, je possède un chat. Je préfère le chat aux autres animaux. C'est un chat noir aux yeux d'un bleu perçant, mais également, un fléreur. Il aime se balader dans l'école et c'est un vrai bavard. Toujours entrain de miauler. Attention si vous croisez Hadès dans les couloirs de l'école.