C’est ici que l’on complète la partie « ma rencontre avec Poudlard », donc voilà. Lâchez-vous, cela peut être court, ou long, peut importe, nous on veut connaitre votre rapport à Poudlard.

› Votre camp officiel : [] Le Cercle [] Mangemort [] Ordre de Woodcroft [] indécis
› Pourquoi choisir ce camp : Pourquoi officiellement appartenez-vous à ce camp ? est ce par conviction, ou parce que vous n’avez pas le choix ? merci de nous parler avec franchise ! (5lignes, environs)
› Position sur la nature du sang & sur la création de Grindlemonk : Grindlemonk est une maison destinée aux nés moldus, donc donnez nous votre avis sur la nature du sang, et ce que vous avez pensé de la création de cette maison. (3lignes)

« Hééé delduwath ! » le garçon se retourna vers moi. Nos parents étaient trop occupés pour voir ce qu’on faisait, j’allais donc en profiter. Il s’approcha de moi, nous étions amis depuis toujours, je le connaissais depuis ma naissance, c’est-à-dire il y a... Six ans. « Qu’est-ce qu’il y a ? » « Je m’ennuie. On joue à un jeu ? » Il hocha la tête en souriant, c’est comme cela qu’on se mit à courir entre les invités de mes parents –la famille de delduwath et d’autres sang-purs- en criant et en rigolant. Ces gens nous regardaient bizarrement quand on passait, en même temps, ils n’ont pas l’air de beaucoup s’amuser dans leurs vies. Ils ne rigolent absolument jamais, ça fait un peu peur je trouve. Moi, je ne veux surtout pas devenir comme ça. Ils ne s’amusent absolument jamais, c’est horrible ! Ils ne font que parler du ministre ou autre sujet un peu grave. Je heurte le buffet, rempli de toutes sortes de plats préparés par les elfes de maison –jamais ma mère ne prépare à manger elle-même- et, par malheur, Delduwath se l’ai pris aussi. Sous la force des deux impacts, le buffet se soulève et se renverse, comme les plats, sur les invités de mes parents. « Mince… » On se regarde et on part en courant, se cacher dans ma chambre. Nous ne sommes pas très discrets mais la plupart des gens qui sont là sont trop occupés à s’énerver que pour remarquer les deux enfants de six ans que nous sommes. Je sais déjà que je vais me faire tuer, tout comme mon ami, quand les invités seront repartis chez eux en pestant que c’était une honte d’avoir des enfants aussi turbulents. Nous, on y peut rien si nous savons nous amuser et pas eux.

Delduwath est retourné depuis deux minutes avec ses parents, ils avaient l’air vraiment très fâchés, j’espère qu’ils ne vont pas le punir. En tout cas, moi, ça ne présage rien de bon, mes parents et moi sommes assis dans le salon, ils ont un visage impassible. Je n’aime pas ça du tout. J’avale de travers lorsque mon père se met à parler, un ton glacial, tout comme son regard. « Tu n’imagines même pas à quel point tu nous as fait honte, ce soir, Céphée. » me dit mon père, d’une voix froide et dure. Je savais bien que c’était plutôt grave ce que j’avais fait, j’avais montré aux invités que mes parents ne savaient pas éduquer leur fille pour qu’elle se tienne bien pendant une réception. Comment est-ce que je le savais ? Mon père me l’avait déjà dit, bien sûr. Une autre fois où j’avais renversé une carafe d’eau sur la femme en face de moi. u.c

Comme souvent depuis trois ans, Delduwath et moi nous retrouvions dans la Salle sur Demande, dont mes parents m’avaient souvent parlé, pour assouvir nos pulsions sexuelles. Au début, j’avoue, il n’y avait absolument aucun sentiments, je m’en foutais de lui, il n’était qu’un ami d’enfance et un bon plan. Mais depuis peu… Je ne sais pas ce que je ressentais exactement, je pense que c’est de l’amour mais je n’en suis absolument pas sûre. Tout ce que je sais c’est que j’ai tout le temps envie de l’embrasser et tout. Du désir ? Certainement. Mais encore plus que ça, j’en suis certaine. Alors, aujourd’hui, j’avais décidé de lui avouer que j’avais certains doutes sur mes sentiments envers lui, en espérant qu’ils soient réciproques. Mais delduwath est plutôt un dragueur, un coureur de jupons, je le savais bien. Et c’était bien ce qui me faisait le plus peur en vérité. Après m’être rhabillée, je me tourne vers lui, bien décidée à prendre mon courage à deux mains pour lui avouer mes sentiments. « J’ai quelque chose à te dire. » on a parlé en même temps. Je suis assez intriguée, sans rire. Qu’est-ce qu’il peut bien vouloir me dire ? « Vas-y, parle d’abord. » Je souris un peu, mes joues rosies par la gêne. Il prend une grande inspiration avant de me sortir, d’une traite. « je ne veux plus qu’on se voit. » QUOI ?! Comment peut-il me faire ça ? « en fait, je couche avec Eleanor. » … Non… Ils n’ont pas osés ! Eleanor, c’est ma meilleure amie et elle sait bien que je suis amoureuse de lui depuis des mois ! Oh je la déteste ! Elle va me le payer quand je la verrais, ça c’est sûr et certain. Non mais non… Ca ne peut pas être possible ! Avant même qu’il ne s’en rende compte, ma main claque contre sa joue, laissant une énorme trace rouge. Je le déteste. Lui aussi, il me le payera. Je ne sais pas comment, je ne sais pas quand mais il va me le payer, ça c’est sur ! Après tout, la vengeance est un plat qui se mange froid. Je dirais même glacé dans ce cas-ci. « CONNARD ! Je te déteste ! » sur ces mots, je m’éloigne et ne me retient pas de claquer la porte de la salle, vraiment énervée. J’ai fait sursauté les quelques élèves de première année qui se trouvent à proximité, des serdaigles, vu les insignes sur leurs capes. Les larmes menacent de couler mais je les retient et me dépêche de rejoindre mon dortoir. Ils ne payent rien pour attendre, ces deux-là. Surtout Eleanor…

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