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baby in our wildest moments we could be the worst of all.

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MessageSujet: baby in our wildest moments we could be the worst of all.   baby in our wildest moments we could be the worst of all. EmptyDim 28 Avr - 22:32


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Il s'en était enfin débarrasser, la petite Greyback n'était plus celle à qui il était promit non, à la place il avait droit à une femme fière et digne de lui dont le nom faisait trembler les corps des faibles plus encore que le sien et ça, c'était sa définition d'un mariage parfait. Juliet Rookwood allait porter le nom Rosier dans quelques mois si tout allait bien et puisqu'Anastasie ne pouvait de toute manière rien faire pour aller contre ça il se contentait de penser qu'il avait finalement eu de la chance. C'était sa mère qui lui avait demandé de revenir le week-end au manoir car elle avait une grande nouvelle. Et quelle nouvelle. Après lui avoir demandé de l'accompagner dans un petit bureau qu'elle occupait à l'étage elle lui avait fait lire une lettre que Mrs Rookwood lui avait envoyé quelques jours auparavant. Gabrielle, je suis on ne peu plus ravie de constater que nos deux familles seront bientôt liée. Je ne peux qu'imaginer votre soulagement, ainsi que celui de votre fils, d'avoir échapper a une union aussi peu digne des Rosier que celle qu'aurait engendré les Greyback. Je vous prie d'accepter une invitation à dîner ce dimanche midi, ainsi nous pourrons officialiser les fiançailles. Au premier abord Anastasie avait pincé les lèvres, une vague de frustration était montée en lui aussi rapidement que le soulagement à ne pas devoir épouser Desiree. Il savait qu'il n'avait pas le choix, étant le seul descendant mâle des Rosier c'était lui qui devait assurer la descendance et donc se marier a une autre pure, qu'il l'aime ou pas mais Gabrielle Rosier ne se doutait pas que son choix, si il n'était pas le meilleur qu'elle aurait pu faire, n'était pas non plus le pire. La sorcière toisa son fils un long moment alors qu'il ne détachait pas son regard de la lettre. Dimanche. Il serait fiancé d'ici à dimanche. Un soupire presque imperceptible traversa malgré lui la barrière de ses lèvres et alors Gabrielle leva la main et récupéra la lettre que son fils laissa glisser entre ses doigts. Je n'ai même pas de bague. souffla-t-il un peu machinalement, comme si son cerveau fonctionnait seul, pré-programmé pour ce genre de situation depuis qu'il était gosse. Grandis. Etudie. Marie-toi. Ait un héritier. C'était ça, sa vie. Et ça avait quelque chose de triste, de presque trop facile. Il n'avait d'autre but que de procréer comme un vulgaire animal, cette idée lui tira une expression de dégoût que Mrs Rosier ne remarqua pas, il sortit du bureau après qu'elle lui eut assuré qu'elle s'occupait de tout et monta dans sa chambre sans un mot pour son père qu'il croisa dans les escaliers. Madeline était là aussi, toute la famille devait être présente pour assister à ses fiançailles. La famille était la seule valeur à laquelle il adhérait vraiment dans cette société de sang-pur sauf que sa mère s'en fichait totalement, elle ne pensait pas à la famille elle pensait au nom à la gloire et a l'honneur. Tandis qu'il marchait dans les couloirs du château le souvenir de ce week end s'imposa à lui. Il n'y avait rien sur lui indiquant qu'il était désormais promit a un avenir tout tracé sans possibilité de fuir mais il ne cessait de penser à la bague somptueuse qui brillait au doigt de sa fiancée. Le bijou était magnifique et avait du coûter une fortune, il proclamait pureté et honneur, richesse et noblesse. Et au détours d'un couloir il le vit briller de loin. Peut être était-ce parce qu'il y avait trop souvent pensé ses derniers jours mais, non, la chevelure blonde qui accompagnait l'éclat brillant qu'il avait vu ne le trompait pas : Juliet venait de pénétrer dans le jardin perdu et à sa suite, sans y penser, Anastasie y entra également. Juliet ? souffla-t-il, le ton beaucoup moins froid qu'a l'accoutumée. C'était normal, il ne l'était pas avec elle, n'était-elle pas sa fiancée après tout ? Et avant ça, il avaient été amis, de proches amis, non vraiment Gabrielle Rosier n'avait pas choisit la bonne personne pour faire regretter à son fils d'avoir refusé l'option Lestrange. Il tourna derrière un arbre et la vit à nouveau alors il s'approcha et l'attrapa par le poignet. Il leva la main de la jeune femme et regarda à nouveau cette bague qui avait attirer son regard. Sans un commentaire il contempla l'objet.
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MessageSujet: Re: baby in our wildest moments we could be the worst of all.   baby in our wildest moments we could be the worst of all. EmptyDim 28 Avr - 23:17

Tu te réveilles une unième fois avec ce sentiment de malaise. Le coeur battant la chamade, tu ouvres les yeux tout en sursautant. Il te faut quelques secondes à tes yeux pour s'accommoder de la faible lumière passant à travers tes rideaux. Et tu réalises. Ce n'est pas ce matin que tu trouveras ton père mort dans sa pièce fétiche. Portant ta main à l'une de tes tempes qui te faisait atrocement souffrir en ce moment - étant l'un de tes nombreux symptômes apparaissant selon leur bien vouloir - tu contemples avec désespoir les pierres marbrant les murs du dortoir de la maison de Salazar Serpentard dans lequel tu te trouves. Parcourant du regard la pièce en relevant la tête, tu constates avec soulagement que tu n'as pas du trop crier ou gémir, puisque tes camarades de chambre dorment à poing fermé. Basculant sur le côté du lit, tu restes assise un moment, à déterminer ce que tu allais faire. Te replonger sous tes draps dans l'attente de revivre ce cauchemar ou arrêter cette souffrance immédiatement. Passant une main dans tes cheveux blonds ondulés par la sueur, tu te mets sur tes pieds en titubant légèrement et passe une robe par-dessus tes épaules frêles. Enfilant aussitôt des chaussures se trouvant à tes pieds, tu t'empares de ta baguette et sens comme à l'accoutumée désormais, ta bague de fiançailles frôler le cèdre composant ta baguette. Ne pensant pas à la grimace qui se résulte de cette pensée, tu t'empresses de sortir du dortoir, comme si tu étouffais à l'intérieur. Tu sais bien une chose, c'est que l'air frais est un bon moyen pour toi de te calmer et de soulager un instant tes douleurs. Veillant cependant à ne pas faire trop de bruit, quand tu te retrouves dans le dédale des couloirs de Poudlard, tu ne peux t'empêcher de soupirer. Jetant un coup d'oeil aux alentours pour t'assurer que personne n'avait eu l'idée de s'aventurer en pleine nuit dans Poudlard, tu longes les murs en tendant l'oreille, à peine consciente de la direction dans laquelle tu te dirigeais. Apparemment, les bons souvenirs que tu gardes du jardin perdu sont restés gravés malgré toi dans ton esprit, puisqu'en quelques minutes, tu pénètres en son antre. Et comme toujours, ce que tu vois te coupes le souffle. Les arbres majestueux avaient toujours eu le don de te changer les idées. Et à peine pensais-tu que cette sortie allait te permettre d'entrer dans une bulle, une voix au loin s'élève, une voix familière. Croyant rêver ou délirer, tu continues de marcher, mais le jeune homme s'emparant de ton poignet alors que tu contournes un arbre n'est ni un fantôme, ni un cauchemar. « Anastasie. » murmures-tu, surprise, comme pour te le faire réaliser à toi-même. Suivant du regard celui de ton fiancé, tu observes avec amertume le jeune homme détailler la main qu'il serre toujours entre ses doigts. Ta main où se trouve la bague de fiançailles qu'il t'avait lui même offert ce fameux dimanche. Baissant les yeux, tu attends qu'il lâche ta main pour frôler la bague de tes doigts, comme si elle allait disparaître et que tout cela n'était qu'en fait, un mauvais rêve. Souriant avec faiblesse, tu t'adosses à l'arbre à proximité et lèves les yeux vers Anastasie. « Toi aussi, tu as du mal à dormir ? » Une plaisanterie de mauvais goût quand il savait que tu ne dormais pas beaucoup à cause des vapeurs auxquelles tu avais été exposée lors de la découverte du corps de ton père et ses effets à long terme. Sentant déjà venir le sermon habituel d'Anastasie quand tu évoquais avec sarcasme ta "maladie", tu imagines déjà une façon de t'esquiver.
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MessageSujet: Re: baby in our wildest moments we could be the worst of all.   baby in our wildest moments we could be the worst of all. EmptyLun 29 Avr - 22:42

Tandis qu'elle murmure son prénom, un brin surprise, il admire cette bague qu'il se souvient lui avoir glissé au doigt non pas parce qu'il l'aimait mais parce qu'il avait été obligé de le faire. Le sorcier soupire, il se relâche en la présence de la jeune femme. La perfection due à son rang le quitte un instant avec pour seule témoin sa fiancé. Il avait du mal à l'imaginer ainsi, il s'imaginait déjà dans quelques mois l'attendant à l'autel et se demandait quelle serait sa vie avec une sorcière malade pour femme. Une sorcière qu'il essayait de sauver par tous les moyens, c'était ce qu'ils apprenaient à faire : sauver des gens et pourtant dieu sait comme Anastasie avait contribué à plus de mal que de bien. Le jeune sorcier finit par relâcher la main de la jeune femme qui glisse dans la sienne pour retomber le long du corps de Juliet. Elle lui pose alors une question censée les faire sourire. Il n'en fit rien. Anastasie posa son regard sur la jeune femme. Je suis désolé. Comme si c'était de sa faute, mais il n'en pouvait rien si Juliet vivait avec une sorte de bombe a retardement dans le corps, avec cette maladie étrange dûe a des vapeurs d'une potions si puissante qu'elles suffisaient à rendre une sorcière malade à vie. Pire, cette potion était si puissante qu'Anastasie était totalement incapable de trouver un antidote. Il aurait eu besoin de chaque ingrédient pour trouver l'antidote de tous ces ingrédients et encore, qui sait si ça aurait suffit pour libérer Juliet de ses démons. Il se sentait tout de même coupable car il aurait voulu faire plus, il aurait voulu trouver le moyen de la guérir, par fierté personnelle aussi bien sur mais aussi parce qu'elle était quelqu'un qui comptait pour lui. Cependant il n'avait pas mesuré la portée de ses mots, il comprenait aussi qu'il s'excusait pour ces fiancailles qu'il n'avait même pas essayé d'arrêter, il n'avait pas eu le temps. Gabrielle Rosier avait encore une fois jouer plus finement que lui, cette femme était redoutable et fou était celui qui pensait autrement. Il ne méprisait pas sa mère de l'avoir eu de la sorte non, c'était pire, c'était peut être normal pour un fils : il l'admirait. Il voulait avoir sa force de caractère et son intelligence. Madeline admirait leur père et lui sa mère. Revenant à l'instant présent Anastasie fronça les sourcils. Ma mère parle déjà d'une date. Il avait jeté un froid en un rien de temps, il le savait, mais il n'arrêtait pas d'y penser c'était plus fort que lui, comme le poison qui s'était insinué dans les poumons de sa fiancé, l'idée d'un mariage prochain et la presque terreur qu'il lui inspirait s'insinuait dans son esprit.
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MessageSujet: Re: baby in our wildest moments we could be the worst of all.   baby in our wildest moments we could be the worst of all. Empty

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