Dans la vie, on se faisait imposé beaucoup trop de choses. J’avais un tempérament plutôt fort et je détestais ne pas avoir mon mot à dire, c’est d’ailleurs pour cette raison que je finissais souvent par me battre pour démontrer mes points. Je ne voulais pas me laisser faire aussi facilement, je ne voulais pas qu’on me touche de quelque façon que ce soit, du moins pour les filles qui s’intéressaient à moi. J’étais renfermé, souhaitant me faire oublié plus que d’autre chose. Je n’y arrivais pas très bien vu les situations dans lequel je me mettais, on parlait plus de moi que je ne l’aurais souhaité. Le ciel était inquiétant; un halo s’étendait autour de la lune qui semblait pleine. Je rentrais ma tête un peu plus dans mes épaules, serrant ma cape. Il faisait plutôt froid pour une soirée qui était sensée annoncer l’été. J’avais été obligé par mes parents à me rendre aux Trois-Balais pour un meeting d’urgence. Ce n’était pas du tout le genre de demandes qu’ils faisaient. S’ils voulaient me parler, ils attendaient généralement aux congés puisque de toute façon, ils s’intéressaient si peu à moi. J’étais un peu le mouton noir de la famille, le petit dernier qui n’avait pas d’importance. La magie noire comptait, mais je n’avais pas envie de tuer des gens même si ceux-ci n’avaient pas le sang pur. Mes parents ne connaissaient pas entièrement mon point de vue là-dessus, ils croyaient juste que je ne m’intéressais à rien ce qui était plutôt véridique. Je savais déjà que cette rencontre ne serait pas anodine, que peu importe ce qu’ils avaient essayer de transparaître dans cette foutue missive ne m’avait pas atteint. Ils demandaient de me voir dans un lieu public, ce qui voulait expressément dire que leur nouvelle me dérangerait. Ils savaient ma violence physique éprouvée lorsque je ne contrôlais pas ce qu’on m’imposait. Après tout, c’était une bonne façon de fonctionner, mais ça ne voulait pas dire que je ne savais pas lire entre les lignes. J’entre dans le pub, la cloche tinte et j’aperçois aussitôt mes parents au bout de la salle. Je ne leur souris pas, ce n’est pas notre genre dans la famille Nott. Je hoche la tête en signe que je les ai vu et m’approche d’eux, seulement pour découvrir Julian Malfoy. Qu’est-ce que le ministre de la justice faisait avec mes parents? La famille Nott essayait depuis si longtemps de remonter la pente; d’être important dans le camp des mangemorts. Je n’avais pas vu M. Malfoy depuis des années, la dernière fois c’était chez eux je crois bien lors d’une soirée entre sang-pur. Je fronçai les sourcils et restai debout devant eux. Je déposai ma main sur la table et croisai le regard de mes parents. « Qu’est-ce que tout ça signifie ? » Puis, en m’asseyant je regarde Malfoy. . « Malfoy. » Simple parole en guise de bonjour, puisque la cloche se fait à nouveau entendre. Je tourne la tête pour voir Asphodel Malfoy entrer et son regard se concentrer sur le mien. Mon regard vrille aussitôt vers mes parents, Julian Malfoy et encore vers Asphodel. Qu’est-ce qu’ils pensent nous faire gober là?!

Po était dans sa chambre lorsque le hibou de son père vola à toute allure dans son dortoir pour se déposer avec élégance sur le pied de son lit. Il lâcha la lettre et regarda Asphodel avec ses grands yeux sévère en attendant qu'elle ouvre la lettre. La belle Malfoy n'en avait pas envie, elle tentait d'éviter le contact avec son paternel le plus possible, mais le hibou en décida autrement et vint lui pincer les doigts. Elle lui donna un cou sur le bec en retour avant d'ouvrir la lettre, elle déteste se hiboux, plus que tout au monde, ou presque. Elle devait se rendre au trois balais le soir même, pour une rencontre d'urgence, mais qu'est ce qu'il avait de si urgent à dire ? Po n'avait pas envie de voir son père, elle savait pertinemment que leur manque d'amour était réciproque. Asphodel tenait beaucoup à sa famille, énormément même, mais elle avait toujours été assez différente, elle n'avait jamais voulu se laisser faire, ni se laisser imposer quoique se soit, ce n'était pas étonnant qu'elle eut été envoyé en France, mais ça n'avait pas vraiment aidé son cas, pas le moins du monde. Enfin, elle se retrouva à pré-au-lard, un manteau loin noir sur le dos puisqu'il faisait assez frais, une pair de jeans foncée et une paire de botte noir qui montait sous son genoux. Bref, elle était habillée en moldue, ça pouvait bien déplaire à son père, elle était pour aimer sa famille, mais pas pour la rendre complètement homogène. Asphodel faisait tout de même attention quant à son opinion sur les moldus, qu'elle se cachait même à elle-même, elle ferait son choix lorsqu'elle serait au pied du mur, un point c'est tout. Elle entra dans les trois balais, les cheveux ondulés, noir jaie et traversa la salle pour se retrouve devant les Nott, sont père et Harlan Nott. Il avait son âge, ils ne c'était jamais parler, peut-être un ou deux mots, surement sans importance puisque la mémoire de Po était complètement blanche face à Harlan. Elle fit deux plus deux assez rapidement et se retint d'étrangler son père, il l'a tuerait surement de ce qu'elle en sait. elle ne sourit pas aux parents d'Harlan, mais fixa celui-ci, ils étaient mieux de se mettre tout les deux contre l'idée qui allait leur être exposée. Asphodel prit place près de son père, malgré qu'elle aurait préféré s'asseoir à l'autre bout du monde. « Qu'est ce qui a de si urgent ?! » Po se doutait bien de la nature du rendez-vous, mais elle n'allait pas le dire elle-même, ils allaient cracher le morveau avant qu'elle n'en dise plus. Asphodel continuait de fixer Harlan, vallait mieux qu'elle le regarde lui, qu'elle pette un cable, ce qui arrivera surement malgré tout.

En voyant arriver Asphodel, je savais d’ores et déjà ce qui allait se produire. Même si j’étais au courant, ça ne voulait pas plus dire que je voulais y croire. Comment mes parents pouvaient songer que me fiancé était la façon de faire? C’était une pratique tout à fait médiévale, voir antique! Il s me connaissaient trop bien pous savoir que je n’acceptais pas la chose aussi facilement. Asphodel s’asseya à mes côtéset ne me lâchait pas des yeux, alors bien entendu j’en faisais de même. Elle était jolie, mais je ne m’intéressais pas aux femmes, je ne les comprenait pas et c’était pas près de changer! On s’était à peine parlé dans notre vie, quelques mots échangés dans des soirées mondaines de sang-pur, sans plus. Elle était partie en France, ça je le savais, la petite Malfoy était la rebelle de la famille! « Qu'est ce qui a de si urgent ?! » Sa voix était dure et exaspérée, tout come je l’étais en cet instant présent. Les parents nous jugèrent comme ils savaient si bien le faire et je tins le regard de ma mère, en recherche d’explication. « Nous vous avons réuni ici aujourd’hui parce que nous en sommes venus à la conclusion que vous étiez assez vieux pour perpétrer le sang pur des Nott et des Malfoy. » Ma mâchoire se décrocha et je dévisageai ma mère. Sincèrement, avec les années de mariages arrangés entre sang-pur, je doutais fermement que ce soit très bon sauf peut-être abrutir les enfants! Après tout, s’ils voulaient continuer de perpétrer leur race comme ils le disaient, ça ne prenait pas un cerveau bien développé pour ça! La colère était montée d’un cran et je m’étais levé pour faire abattre mon poing sur la table dans un gros bruit. « Si vous croyez sincèrement que je vais me laisser vous dicter le reste de mes jours avec Asphodel, vous vous trompez amèrement! » Je tournai mon regard vers la lionne et ajoutai : « Sans offenses hein. » Je reportai mon attention vers mes parents envers qui j’avais eu tant de difficulté à éprouver de l’amour pour eux. Enfin, tout ce qui restait dans mon cœur avait disparu. J’avais tant voulu leur faire plaisir, les écouter et permettre au Nott de reprendre de l’importance. Mais je m’en foutais, plus que tout. Plus que de rester près de mes parents. J’espérais simplement qu’Allistair et Saphira m’accepteraient toujours… « Je suis majeur, je décide de ce que je veux! » Mon père avait perdu patience et je pouvais reconnaître que je tenais mon caractère impulsif de lui. Il s’était levé pour me faire face et sa voix tonna dans mes tympans. « Tu ne parles pas de la sorte à tes parents, est-ce bien clair?! » Ma colère tremblait, mais je savais déjà que je n’avais aucune chance comme lui. Je les détestais. Je me rassis en restant muet.

Fiancer Asphodel était tellement prévisible à ses yeux, un autre moyen de se débarrasser sur mouton noir de la famille avec un autre mouton noir d'une autre famille. C'était simple, et classique pour les Malfoy et ce n'est pas Julian Malfoy qui allait s'en empêcher. Il l'avait bien envoyer en France, la marier de force n'était pas bien pire non ? Pourtant c'était claire comme le ciel était bleu que Po ne se laisserait pas embarquer dans une histoire de la sorte, elle avait ses limites, de grande limite. Elle resta assise sans mot en attendant que quelqu'un ouvre son sac, parce qu'elle ne le ferait pas ppour eux et finalement la mère Nott ouvrit sa bouche pour expliquer la dites situation. « Nous vous avons réuni ici aujourd’hui parce que nous en sommes venus à la conclusion que vous étiez assez vieux pour perpétrer le sang pur des Nott et des Malfoy. » Asphodel n'eut pas le temps d'exploser, Harlan le faisait déjà pour eux et elle le laissa s'emporter, il pouvait bien briser l'endroit au complet s'il voulait elle n'allait pas l'arrêter, pas le moins du monde. Elle bouillait de l'intérieur, elle ne connaissait pas Harlan, elle avait entendu parler de lui, les filles c'étaient pas son fort, et Po, les mariage arranger ça ne lui disait absolument rien. « Si vous croyez sincèrement que je vais me laisser vous dicter le reste de mes jours avec Asphodel, vous vous trompez amèrement! » Harlan se tourna alors vers Asphodel qui ne le lacha pas du regard, c'était ca ou son père et si elle regardait son père, elle allait finir par battre quelqu'un « Sans offenses hein. » Elle eut un petit sourire, à la limite ça la faisait rire. « T'inquiète, je suis pas offensée du tout. » po finit par regarder son père et elle avait envie d'hurler, de lui lancer des choses par la tête, mais elle soutint son regard assez longtemps avant de parler, plus longtemps que ce que beaucoup oserait avec lui. « Il est pas question que je mari qui que se soit juste parce que tu le veux, ni que je pepétue le sang pour je ne sais trop quelle raison! Je vais pas passer ma vie avec Harlan juste pour votre bon plaisir! » Asphodel ne criait pas, mais elle était dur et elle savait qu'elle allait être punie d'une facon ou d'une autre, juste en voyant le regard de son père. Il lui aurait bien infligé un sortilège, là tout de suite, mais il y avait un trop large publique après tout. La lionne se tourna vers son, apparement, fiancé. « Sans offense aussi. » Elle ne le connaissait pas le moins du monde, elle en avait entendu parler et encore, Po préférait ne pas se fier à ce genre de chose. Asphodel se tourna vers tout les parents. « Vous allez faire quoi maintenant hein ? Avec deux enfants qui ne veulent rien savoir de vos petits plans ?!» Se père se leva, lui prit le poignet et serra très fort en la forçant à la regarder. « Asphodel! Je vais te dire ce que VOUS allez faire, vous allez faire ce qu'on vous dit, nous sommes vos parents, vous n'avez tout simplement rien à dire! » Julian augmenta la pression sur le poignet de sa fille, qui allait clairement être marqué, puis le relacha. Asphodel se tut, parce qu'elle était peut-être rebelle, elle n'allait pas attaquer son père, elle en avait peur, comme tout le monde et elle avait ses limites, qu'elle avait déjà franchit en posant cette question.

Pourquoi devions-nous toujours écouter ce que nos parents nous disaient? J’aurais tellement aimé pouvoir m’émanciper et aller habiter chez Saphira. Faudrait que je lui demande d’ailleurs, je n’étais vraiment pas certain qu’elle serait sa réaction. Peut-être voudrait-elle être de mon côté? Peut-être arriverait-elle à convaincre mes parents de laisser faire ce mariage? Moi, je savais que je ne le pourrais pas il ne fallait pas se faire des faux espoirs. Mon père me regardait de la même façon qu’il avait pu le faire tant de fois dans ma jeunesse et qui, sans le cacher, me faisait rentrer la queue entre les deux jambes. J’étais un bagareur impulsif, mais j’aimais beaucoup trop ma famille pour leur faire du mal. Et Merlin savait à quel point j’en avais envie à cet instant précis. « Il est pas question que je marie qui que se soit juste parce que tu le veux, ni que je perpétue le sang pour je ne sais trop quelle raison! Je ne vais pas passer ma vie avec Harlan juste pour votre bon plaisir! Sans offense aussi. »» Ajouta-t-elle en me regardant et ça me fit sourire. « Vous allez faire quoi maintenant hein ? Avec deux enfants qui ne veulent rien savoir de vos petits plans ?!» Je fronçais les sourcils par surprise. J’étais surpris qu’elle aille autant de culot, j’avais peut-être fais croire que j’avais des couilles quelques instants plus tôt, mais pour moi le sujet était déjà clos. J’espérais seulement qu’elle les fasse changer d’avis? … Non, il ne fallait pas être idiot non plus. « Asphodel! Je vais te dire ce que VOUS allez faire, vous allez faire ce qu'on vous dit, nous sommes vos parents, vous n'avez tout simplement rien à dire! » Bon, une autre K.O. Asphodel s’assit et je sentis que nos efforts étaient à jamais mis au placard. C’est ma mère qui fini par prendre la parole, se voulant douce dans toute cette conversation drôlement sauvage. « Tiens Asphodel, c’est la bague de mariage de ma grand-mère. » Là, je regardai ma mère, incrédule. Pourquoi n’avait-elle pas donné cette bague à Allistair quand il était venu le temps pour ses fiançailles avec Greyback? J’étais muet, cela voulait-il signifier quelque chose. Ma mère attendit que la lionne tende sa main pour la déposer dans la sienne. Il s’agissait d’un beau bijou serti de pierre. Je présumais que le jonc suivrait lors de la cérémonie d’un mariage… Quoi?! Furieux, je décidai qu’il était temps que je foute le camp d’ici, surtout si je n’avais rien à dire. Sans saluer quiconque, je franchis la porte des Trois-Balais, me demandant si Asphodel allait me suivre.

Asphodel avait déjà été sage à une certaine époque. C'était dur à croire, je sais, vu son attitude face à un des hommes les plus puissants et les plus durs du monde magique. Mais Asphodel, elle était sage dans sa jeunesse, elle avait été puni pour les bêtises d'une autre, elle avait été envoyée en France pour les bêtises d'une autre et si tout ça n'était jamais arrivé peut-être qu'aujourd'hui elle serait un peu plus docile, mais elle était loin de l'être. Elle sentait son coeur bouillir, résonner dans tout son corps, elle avait des envie de meurtre, pas seulement sur son père, sur les Nott aussi. Elle c'était levée, elle en avait beaucoup trop dit, même pour elle qui avait l'habitude d'être assez culotée et son poignet en avait payé un prix cher. Elle resta tout de même de bout, ses yeux rivés sur ceux de son père, elle avait fermer la bouche, mais elle ne fermerait pas son esprit pour autant. Elle resta debout, sans pouvoir respirer, sans pouvoir prendre son calme. La mère Nott en ajouta sur le tas bien évidement, autant l'achever tout de suite. « Tiens Asphodel, c’est la bague de mariage de ma grand-mère. » C'était une belle bague, Asphodel ne la voulait pas, elle en voulait une comme ça un jour, avec un garçon qu'elle connaitrait et qu'elle aimerait, pas pour des conneries de sang-pur. Son père la regardait avec instance, elle avait intérêt à prendre la fichu bague si elle tenait à sa vie ou du moins, si elle n'avait pas envie de souffrir pendant une dizaine de minutes sous des coups de Doloris, injustifiés à ses yeux. Finalement la rouge et or, après quelques secondes bien calculé pour faire snetir son ressentiment tendit la main et la mère Nott y déposa la bague. Asphodel afficha un sourire clairement forcé et rangea la bague dans sa poche vide de manteau. Bien sur, Harlan n'en pouvait plus et se leva pour partir en trombe, Asphodel lui emboita le pas assez rapidement, sans mot, mais pas sans un regard pour son père. Il l'a punirait plus tard s'il le souhaitait, le mariage était, de toute façon, une punition en soit, la plus grande aux yeux de Po. La belle brune rattrapa le vert bien assez vite, mais ne savait pas quoi dire. Elle sentait que l'humour n'était pas la place et avait bien entendu entre les branches les violences et le mal aise avec les filles de Harlan. « Je suis désolée que tu te fasse embarqué la dedans. » Ouais, parce qu'Asphodel ne savait pas vraiment qu'Harlan était aussi un mouton noir, pour Malfoy c'était sa punition, pas celle de quelqu'un d'autre et Harlan avait tout simplement été embarqué malgré lui dans une tentative de foutre Asphodel le plus loin possible.

Oui c’est clair, j’avais des idées de meurtre en ce moment précis. Impulsif comme j’étais, je me doutais de pouvoir accepter la décision de mes parents tôt ou tard. Puis je songeais à Asphodel. On aurait dit que ma mère était fière de la voir devant elle, comme si le fait d’être liés aux Malfoy lui faisait tant plaisir. C’était sans doute le cas, mais vu mon caractère j’étais certain qu’ils ne me mettraient jamais en couple. Ils savaient que je n’aimais pas les filles, ou du moins qu’aucune ne semblait m’intéresser jusqu’à ce que je perde les pédales. Je n’avais jamais frappé une femme, mais cela ne voulait pas dire que j’en avais pas engueuler ou pousser quelques unes contre un mur lorsqu’elles ne me lâchaient pas. Je tenais fortement à ma réputation à ce sujet, bon, à vraie dire les filles avaient peur de moi et ne m’approchais pas trop en général et ils préféraient se dire que j’en avais tabassé plus d’une. C’était totalement exécrable, l’idée de faire réellement du mal à une femme me dégoutait. Cela ne voulait pas dire que j’avais envie d’être destiné à une seule personne pour le reste de mes jours. J’étais puceau, je n’avais jamais embrassé une fille sauf ma mère et puis on m’obligeait à le faire avec Asphodel. C’était tout bonnement déroutant. L’air froid ne me dérangeait pas, à vraie dire j’étais trop absorbé à enchaîner un pas devant l’autre pour me diriger vers Poudlard. Quelques secondes plus tard, Asphodel était à mes côtés. « Je suis désolée que tu te fasse embarquer la dedans. » Je m’arrêtai net et la toisai sans aucune gêne. Il n’y avait pas d’autre explication; c’était sa faute à elle. Après tout, elle était revenue de France, agissait toujours comme une enfant indigne et maintenant on m’obligeait à la marier pour qu’elle se tranquillise. C’était n’importe quoi! « Pourquoi t’es pas resté en France! Maintenant je dois me marier avec une Malfoy! » La réalité me faisait mal au cœur, en fait ça avait été quelqu’un d’autre, ça aurait été pareil. Frustré, je me retournai et décidai de la laisser en plan. J’étais loin de me douter que son caractère de feu referait sans doute surface…