Marcus Skeeter – ou plutôt Alec Skeeter – le type qui n’a pas froid aux yeux. Bien que de nature « révolutionnaire », et bien que membre des mangemorts à cause de sa famille c’est bel et bien dans la maison serpentard qu’il a trouvé sa place dés sa première année, pour le plus grand bonheur de ses parents d’ailleurs.  Ce type est une contradiction à lui tout seul, tiraillé entre ses idées, et celle des siens. Sa notion de famille est plutôt « relative », car mis à part ses parents, et son frère (ou sa sœur), il n’a personne car l’autre partie de la famille est considéré comme paria, et minable.

Double personnalité, double vie : pour les siens il est Marcus – il déteste ce prénom – c’est son nom de « mangemort » comme il le dit si bien, mais pour ses activités de révolution type « aider les moldus ou nés moldu », il est Alec. Il est à la double personnalité, très jovial par moment, et complètement froid et taciturne à d’autre moment. Il assume le fait d’être mangemort, mais sombre parfois dans la violence et la colère, et semble obligé d’essayer d’aider des gens en contre partie, il n’arrive pas à choisir entre raison et famille, c’est trop dur pour lui.

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« Je n’avais jamais vraiment apprécie Marcus Skeeter, nous avions à quelque chose près…trois ans d’écart et deux maisons à l’opposée l’une de l’autre, lui était à serpentard et moi j’étais à gryffindor. Pourtant, malgré nos différences, il a été de ceux qui ont été « gentil » avec moi, juste par pure gentillesse. Quand j’ai eu mon accident et que je n’ai pas pu remonter sur un balai, il était le seul joueur de quidditch à être venu me parler. « C’est dommage Duchannes, tu aurais pu… tu aurais vraiment pu être prise dans une équipe nationale, faut te battre. » Il avait été gentil, alors que pendant les matchs, il était mon adversaire, je ne pensais pas pouvoir trouver tant de gentillesse chez une personne de serpentard. Jamais. A l’époque, j’étais une petite rousse enfantine de tout juste quinze ans qui avait des tâches de rousseurs, et des cheveux en bataille, je faisais tout pour passer inaperçu, j’étais classique, et lui et moi nous ne sommes jamais reparlé, et naturellement, j’ai abandonné le quidditch car ma maladie cardiaque me forçait à le faire et depuis je suis toujours restée le plus loin possible des terrains et par conséquent, Marcus et moi ne nous sommes jamais recroisé, à part de bref signes de têtes par pure courtoisie dans les couloirs. »

« Arya – ou la gamine qui avait un talent de dingue, mais un talent qui a été ruinée par une pauvre maladie du cœur, pauvre gosse. Elle avait un talent de fou, pendant les matchs il ne valait mieux pas avoir à faire à elle, cette poursuiveuse était rapide comme l’éclaire, agile et furtive. C’était une petite fille âgée de trois ans de moins que moi – le genre de gamine qui normalement ne sait pas jouer au quidditch – mais je l’appréciais malgré les différences de maison, de caractère, etc, elle était réglo, et pas trop mauvaise joueuse, une bonne joueuse de quidditch. Je suis fairplay, et la voir hors jeu, ça m’a fait bizarre car à cause de ça le monde du quidditch a perdu un sacré joueur, vraiment. »

Actuellement, voici leur lien
Une histoire qui aurait pu en rester là : autrement dit nulle part. Sauf que non, le destin a fait qu’ils se sont reparlé, et qu’ils ont pu interagir ensemble une fois encore. Sur le chemin de travers, il a croisé cette jeune femme – cette jolie rousse – avec les bras pleins de livres la veille de la rentré, et il l’a vu trébucher et s’est alors précipité pour l’aider – par galenterie et aussi parce que Marcus est un fin dragueur et il a vu là une belle ouverture. Il ne l’a pas reconnu tout de suite et a alors commencer à la draguer comme si de rien n’était jusqu’à ce qu’une femme vienne chercher la rousse et dise « Arya, dépêche-toi petite sotte ! Nous avons rendez-vous avez le traiteur ! C’est TON mariage je te rappelle ! » Arya, la rousse, la petite joueuse de quidditch, tout est alors revenu en mémoire de Marcus qui n’avait pas reconnu la jeune femme qui avait pris une bonne dizaine voire vingtaine de centimètre, changé de tour de poitrine, bref, l’œuvre de la puberté. Le jeune homme et la jeune femme se sont revus à Poudlard, et ont commencé à sympathisé à la bibliothèque – une des rares fois où il y a mis les pieds pour un devoir sur l’histoire du quidditch – et c’est la jeune femme qui l’a aidé à se repérer dans le dédale d’étagère. Ils ont commencé à discuter, Marcus à la trouver sympathique, même… attirante, et lui a posé une question : « Tu vas te… marier ? »  Comme il avait entendu sa mère le dire, et la rousse répondit alors avec aplomb : « Ca c’est ce que dis ma mère, moi je serais partie depuis bien longtemps. »  Depuis, ils se parlent beaucoup, discutent beaucoup, beaucoup, beaucoup.  Ils passent du temps ensemble et ont réellement appris à se connaitre – ils sont devenus comme des confidents l’un pour l’autre. Marcus a pour projet d’essayer de la faire remonter sur un balai pour le plaisir, mais là se heurte à un véritable mur.

Evolution possible : ils vont se rapprocher l’un de l’autre, beaucoup, beaucoup, et après, on avise
Une des évolutions pouvant également être le questionnement sur les camps – Arya est révolté contre les nés moldus car un de ceux-là est la « cause » de sa maladie (un garçon l’a fait attendre près du lac gelé en hiver, et n’est jamais venu, c’était un né moldu dont elle était éprise – il s’est moqué d’elle, la faisant attendre et ayant parié avec ses amies qu’elle finirait par passer sous la glace – manque de pot, c’est arrivé, depuis, elle les déteste.) mais, il pourrait lui dire que n’importe qui aurait pu se jouer d’elle de la sorte, même un sang pur, et pourrait lui prouver – je ne sais comment. Elle pourrait alors se remettre en question, et lui pourrait essayer de l’entrainer vers l’Ordre car il va à terme essayer de s’échapper des siens, de sa famille pour laisser vivre ses idéaux. 

Avatar négociable, mais pas trop trop :lol:bref si vous le prenez, je vous aime