PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire.

LE PASSEPORT DU SORCIER

Nom : Rochester
Prénom s: Prunelle Julianne
Surnom : aucun
Âge : vingt ans
Curus, option(s) : cursus recherche, option astronomie
Année scolaire : dixième année
Nature du sang : sang mêlé

LE JOUEUR N'EST PAS LOIN

Pseudo : prunelle
Âge : 19 ans
Comment avez vous connu le forum ? : par PRD
Avatar souhaité : mélanie laurent PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 81441

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Le mot magique ? : dobby président !

(c) prunelle

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PARTIE 1: «La vie c'est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit.»

En une chaude soirée d'été, la jeune Prunelle Rochester, neuf ans, s'était endormie dans les bras de sa mère bien aimée, Helixane Rochester, épouse moldue du bien connu Tobias Rochester, sorcier brillant mais téméraire. Ce dernier avait mauvaise réputation dans le village où vivait la petite famille: on entendait souvent des cris provenant de leur humble demeure, mais personne n'osait s'y aventurer: il était bien connu que Tobias, même si le ministère n'en avait aucune preuve, pratiquait la magie noire depuis des années. La rumeur la plus folle circulant sur sa personne était qu'il avait soumis depuis toujours sa femme Helixane au sortilège de l'impérium, la forçant ainsi à l'épouser et à lui donner un enfant. Il était cependant difficile de déceler le vrai du faux dans cette rumeur folle, Helixane étant une femme très casanière. Mais selon leur voisin, «quand on la croise je dois l'avouer, elle semble soumise, ailleurs. Son regard est vide et dénué de toute vie.» Mais peut-on vraiment se fier à ce vieux sorcier? Il paraît qu'il perd la boule le pauvre...

Ce soir là régnait une atmosphère tendue dans la maison des Rochester. Helixane et sa fille avaient passé la soirée dehors, à jouer jusqu'à épuisement. Quand à Tobias, celui-ci avait préféré se retirer au salon et n'en était pas sorti avant 22h. Il marchait d'un pas rapide, un sourire satisfait sur le visage. Quand sa femme s'aperçut qu'il venait à sa rencontre, celle-ci plaqua une main sur sa bouche: ce sourire elle ne le connaissait que trop bien, quelque chose de louche se préparait. Quand il fut arrivé à sa hauteur, celle-ci l'interrogea du regard afin de ne pas réveiller la petite Prunelle, toujours profondément endormie. Tobias ne décrocha pas un mot et fit simplement signe à sa femme de rentrer, qui obéit sur le champ. Elle n'était peut-être pas soumise au sortilège de l'imperium, mais une chose était certaine: elle exécutait tous les désirs de son mari, et jamais celui-ci n'avait révélé pourquoi. Elle voulut réveiller sa fille mais elle semblait si paisible en cet instant qu'elle y renonça. Elle se leva lentement et se dirigea d'un pas pressé vers la maison, son mari sur ses talons. «Va la mettre au lit.» Helixane acquiesça et s'y empressa. «Et rejoins moi ici après.» Elle posa sa fille avec douceur sur son petit lit douillet, l'embrassa sur le front avec amour et redescendit immédiatement.

Prunelle dormait toujours à poings fermés, tel un petit ange, ses longs cheveux recouvrant une bonne partie de son visage. Prunelle était la petite fille idéale, gentille et belle comme un cœur, ses beaux yeux bleus étaient la copie conforme de ceux de sa mère, et elle souriait, elle souriait. C'était une petite fille très rêveuse, elle pouvait rester des heures à contempler le ciel sans jamais s'en lasser. Elle se demandait comment c'était la vie là-haut, elle aurait bien voulu parler avec les anges. Son père quant à lui, décrivait sa fille comme étant: «toujours dans la lune, distraite, et sans talent particulier», à son grand désespoir. Elle se contentait de rire constamment, et semblait ne réagir à rien. Pourtant elle réagissait, elle avait déjà ses propres idées toutes faites, mais elle n'en faisait pas part tout simplement. Elle ne parlait pas beaucoup, trop occupée à faire le tri dans les multiples pensées qui trottaient dans sa petite tête. Un cri la fit se réveiller en sursaut ce soir là. Des voix lui parvenaient de l'étage inférieur. «Encore une dispute» pensa-t-elle. Elle se leva sans bruit, et marcha sur la pointe de ses pieds nus jusqu'à la porte. Les voix s'étaient rapprochées et en regardant par la serrure, elle se rendit compte que ses parents se trouvaient en réalité en haut de l'escalier. Ils étaient postés l'un devant l'autre et comme toujours, sa mère baissait la tête tandis que son père lui criait des paroles incompréhensibles pour la jeune Prunelle.

Il fallait qu'elle entrouvre la porte sans faire le moindre bruit, ce qui ne fut pas tâche facile étant donné que la famille vivait dans un vieux manoir ayant appartenu à la famille depuis des générations. Son père s'arrêta soudainement de hurler, et tout se passa en une fraction de seconde: Helixane reçut un coup au visage si brusque qu'elle en perdit l'équilibre, tenta de se rattraper sur la rampe mais ne put l'atteindre et dévala en quelques secondes les vingt sept marches qui menaient au rez de chaussée. Prunelle poussa un cri strident qu'elle étouffa avec sa main mais c'était trop tard: Tobias s'était aperçu de sa présence, il la fusilla du regard et il marcha d'un pas assuré en direction de la chambre de sa fille, les yeux remplis de rage. Prunelle avait refermé la porte et s'était réfugiée dans ses couvertures en soie rose mais elle le savait: son père arrivait, et elle ne pouvait rien y faire. Et sa mère n'était plus là pour la protéger comme elle l'avait fait pendant les neuf dernières années. Les yeux remplis de larme, elle compta cinq rapides petites secondes, et la porte s'ouvrit à la volée. Les mains crispées sur sa couverture, elle ferma les yeux et attendit, priant les anges de lui venir en aide.

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PARTIE 2: «Parler - se taire: un même meurtre.»

«Que les choses soient bien claires petite voyeuse malpolie, je … tu as l'interdiction de parler à qui ce soit de ce que tu as vu, c'est bien compris? Ta mère … ta mère est partie dans un centre pour sa santé, oui oui très bien ça, les gens ne poseront pas de questions. Quant à toi jeune fille, j'espère m'être bien fait comprendre! Si je te surprends à parler de ta mère, tu entendras parler de moi, c'est bien compris? Et reste dans ta chambre, tu es bien évidemment punie, interdiction de sortir sauf pour manger, ça t'apprendra petite idiote.» Les joues ruisselantes de larmes, la petite Prunelle acquiesça à contre cœur. Comment était-il possible de comprendre ce qu'il venait de se passer à seulement neuf ans? Des tas de questions bouillonnaient dans la tête de la petite fille: où est maman? Qu'est-ce qu'elle fait maintenant? Sont-ils gentils avec elle là-haut? Si seulement elle avait pu avoir des réponses. Le seul moyen d'en avoir était sûrement de questionner son père, mais elle n'avait pas le droit de quitter sa chambre. Très bien, elle y resterait. Cette nuit là fut la plus longue de sa vie, la petite fille n'ayant trouvé le sommeil qu'au lever du soleil.

Quelques heures plus tard, il fallait déjà se lever. «Viens voir ici jeune fille.», avait crié son père depuis l'étage inférieur. Prunelle se dépêcha de se lever, et se dirigea en courant vers les escaliers. Mais elle s'arrêta net:c'était ici que tout s'était passé. Comme pétrifiée, elle n'arrivait pas à poser son pied sur la première marche. «Tu descends oui ou non?» Elle aurait aimé répondre «Non, je vais rester là, je ne veux pas descendre. Je... je ne peux pas.» Mais avant qu'elle ait pu ouvrir la bouche, son père était arrivé jusqu'à elle, il prit son petit bras entre ses doigts et la força à descendre, la petite fille essayant de toutes ses forces de lui faire lâcher prise. «Qu'est-ce que tu croyais petite idiote? Qu'on allait verser une petite larme ensemble? Ne sois pas si naïve, tu es pathétique.»

Les jours passaient et se ressemblaient. Prunelle restait enfermée dans sa chambre, et un sentiment qu'elle n'avait alors jamais éprouvé s’immisçait lentement en elle: la colère. Elle essayait de ne pas y faire attention, mais ce sentiment grandissait de jour en jour. Et il y avait encore tellement de questions sans réponse. Dès qu'elle en avait l'occasion, elle questionnait son père pendant les dîners, elle savait que cela l’exaspérait, mais elle n'en éprouvait plus aucune gêne désormais, c'était d'ailleurs assez plaisant de le voir s'énerver. Il ne lui répondait jamais, mais elle le harcelait quand même avec ses interrogations. Cependant elle n'osait défier son autorité, il faut croire que le décès de sa mère l'avait beaucoup fragilisée, même si elle commençait à se forger un caractère. Son entrée au collège Poudlard arrivait à grands pas, et Tobias Rochester, s'il avait pu, aurait bien garder volontiers sa fille enfermée chez eux. Il le sentait que Prunelle changeait, qu'elle n'était plus cette petite fille gentille et dévouée qu'il avait jadis connu.

La première journée de la jeune Rochester à Poudlard fut assez éprouvante. Tout d'abord son père lui avait fait tout un monologue lui expliquant comment elle devrait se comporter: ne pas trop se mêler aux autres, ne jamais répondre à des questions portant sur sa mère, éviter les nés moldus parce qu'on ne pouvait pas s'y fier, se taire le plus souvent possible. Aussitôt ce discours terminé, la jeune fille ne mit quelques secondes pour prendre sa décision: elle allait faire tout le contraire. De toute façon il ne serait pas là, alors où était le problème? Très vite, Prunelle se lia d'amitié avec des nés moldus, elle les trouvait d'ailleurs très agréables et étaient tout autant dignes que ces idiots de sang purs d'apprendre la magie. Très vite une personne sortit du lot: Eliot Ebsworth, un jeune garçon bavard mais attachant au plus au moins. Eliot et Prunelle devinrent très vite inséparables, il était impossible de croiser l'un sans que l'autre ne soit à moins d'un métre. Ils ne formaient plus qu'un, et savaient tout l'un de l'autre. Oui tout. Et Prunelle faisait tout pour cacher cette magnifique amitié à son père, tout d'abord parce que ses parents étaient tous les deux des moldus, mais surtout parce qu'Eliot savait absolument tout sur la jeune fille: qui était son père et surtout elle lui avait raconté dans les moindres détails l'incident ayant provoqué le décès de sa mère. Prunelle faisait exactement le contraire de ce que son père lui avait demandé, et elle en était satisfaite. Les étés elle rentrait chez elle, et elle lui racontait qu'elle passait ses journées et ses soirées seule à la bibliothèque à réviser, seule dans son coin, n'ayant pas envie de se mêler aux autres. Et son père l'a croyait, qui était naïf désormais? Prunelle ne passait que très peu de temps à la bibliothèque d'ailleurs, elle ne faisait que le stricte nécessaire pour avoir des notes convenables. Les études ne la passionnaient pas, elle était de toute façon trop occupée à trainer dans le parc avec Eliot, à discuter de tout et de rien, comme le feraient des frères et sœurs.

L'été précédent sa quatrième année à Poudlard, Prunelle était tranquillement assise sur le rebord de la fenêtre de sa chambre à regarder la pluie tomber. Il pleuvait très fort ce jour là, et la jeune fille regardait ce spectacle sans vraiment le regarder. Elle songeait à Poudlard, à ses amis, à Eliot, et elle n'avait qu'une seule hâte: y retourner. Au fil des années, la relation unissant Tobias Rochester à sa fille était devenue quasiment inexistante. Il faisait tout son possible pour l'ignorer, mais cela était difficile étant donné que la jeune fille prenait toujours un malin plaisir à faire exactement sans se gêner tout ce que son père lui interdisait formellement de faire. Celui-ci avait renoncé à l'éduquer, et la qualifiait de «bonne à rien qui n'en fait qu'à sa tête». Dès qu'il en avait l'occasion, il faisait comme si elle n'existait pas mais Prunelle lui rappelait très souvent sa présence, elle n'avait pas oublié que c'était sa faute si sa mère n'était plus là aujourd'hui, et jamais elle ne lui pardonnerait. La voix de son père la ramena à la réalité, il la conjurait de descendre, et Prunelle prit tout son temps pour le faire. Il se tenait devant la porte d'entrée ouverte, et il cachait une silhouette: «Un de tes amis veut te voir.»

Une seule personne à la connaissance de Prunelle aurait pu oser venir frapper à leur porte. «Eliot t'es fou, t'es tombé sur la tête, qu'est-ce que tu fous ici?» Elle l'avait entrainé un peu à l'écart de son père sous la pluie ardente. «Du calme ma belle du calme, je viens juste te rendre visite.» Il n'imaginait pas à quel point sa démarche était alarmante: un camarade de classe, alors qu'elle lui jurait qu'elle n'avait pas d'amis, venait de débarquer chez eux sans prévenir, et qui plus est, un moldu. Eliot lui souriait, et avant qu'elle ait pu lui dire de déguerpir en vitesse, la voix de Tobias Rochester parvint à leurs oreilles: «Vous comptez rester toute la nuit sous cette pluie? Rentrez dépêchez-vous.» Eliot avança d'un pas assuré vers le père de son amie. «Tu ne sais pas comment il est» lui murmura Prunelle à l'oreille. «Non toi tu n'entres pas jeune fille, va t'occuper dehors pendant que je fais connaissance avec ton ami». Ces paroles eurent l'effet d'une bombe sur Prunelle, elle sentait les larmes lui monter aux yeux, mais avant qu'elle ait pu réagir ou croiser le regard de son ami, la grande porte en bois s'était déjà refermée avec violence sur elle, tandis que la pluie continuait de lui ruisseler sur le visage.

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PARTIE 3: «La peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine mène à la souffrance. »

L'attente était interminable, Prunelle faisait les cent pas devant la porte. Elle avait essayé les fenêtres, mais tous les volets étaient fermés à cette heure tardive. Elle n'avait jamais eu aussi peur qu'en cet instant, alors qu'elle-même n'était pas du tout en danger. Mais Eliot était depuis quatre années un ami, mais bien plus que ça: il était son meilleur ami, et personne ne devait le lui prendre. C'est pourquoi elle l'avait toujours protégé de son horrible père. Non mais quel troll aussi ! Prunelle lui avait toujours dit qu'il ne fallait jamais qu'il vienne chez eux, que ce serait trop dangereux pour lui. Et maintenant il était enfermé dans leur maison avec comme seule compagnie Tobias Rochester. Eliot avait toujours été ainsi: il n'avait peur de rien. Prunelle aimait cette facette de sa personnalité, elle-même étant devenue un peu comme lui à force de passer tout son temps en sa compagnie, mais ce soir, il avait commis une erreur, et Prunelle n'en avait pas fini avec lui, il allait voir ce qu'il allait voir. Au bout de quinze minutes qui avaient semblé passer aussi lentement que deux heures d'histoire de la magie, la porte en bois s'ouvrit en grinçant et Eliot apparut, il était seul. «Non mais qu'est-ce qui t'a pris! Tu aurais pu te faire tuer, je me faisais un sang d'encre, c'était vraiment, vraiment, mais vraiment très idiot !» Eliot la regardait avec de grands yeux ronds. «Eliot, tu m'entends?» «Eliot? Quel drôle de nom tiens, c'est le nom de ton chien?»

Ce ne pouvait être qu'une blague, à quoi jouait-il? Puis une pensée des plus horribles traversa son esprit. «Non non, il ne peut quand même pas avoir pu faire une chose pareille.» Mais Eliot regardait à présent un rosier de très près et la jeune fille l'entendit se murmurer à lui-même: «Est-ce que ça se mange ce truc?» Après avoir poussé un long soupir, Prunelle entra comme une trombe dans le manoir et se dirigea immédiatement vers le salon où son père était assis, un sourire satisfait aux lèvres. Prunelle bouillonnait, son poing doigt se serra tandis que sa main gauche se renferma sur un bout de bois dans sa poche gauche. Quel était le sortilège le plus puissant et malfaisant qu'elle connaissait? Son père avait levé les yeux vers elle, et il fut plus rapide: «PETRIFICUS TOTALUS!» hurla-t-il et l'effet du sortilège fut immédiat: sa fille était incapable de bouger, comme si des cordes invisibles la retenaient. Son père prit tout son temps pour se lever, il entreprit un petit tour du salon pour faire durer le plaisir, et se posta devant sa fille: «Tu ne croyais franchement pas être capable de me lancer un sort, toi petite sotte! Tu dois surement te demander pourquoi j'ai agi de la sorte avec ton petit ami, est-ce que le sortilège a bien fonctionné? Je suppose que oui, ça a toujours été mon préféré celui-là. Ta mère le connaissait bien.»

Comment osait-il parler de sa mère en cet instant ? Si Prunelle avait été libre de ses mouvements, ce n'est surement pas sa baguette qu'elle aurait utilisé pour le faire souffrir, mais elle était dans un tel état de nerf qu'elle se serait sûrement lancée sur lui pour le rouer de coups. Mais il lui était impossible de bouger, et jamais elle ne s'était sentie aussi impuissante quand son père reprit: «Mettons les choses bien au clair. Un moldu dans ma maison, on aura tout vu! Il ne m'avait pas l'air bien méchant, mais il en savait bien trop, j'aurais du me douter que tu agirais de la sorte. Mais tout est arrangé maintenant, il a mystérieusement tout oublié, comme c'est dommage.» «Peut-être qu'un bon coup bien placé dans...» «Écoutes-moi bien maintenant. Tu n'as pas d'autre choix que de revenir ici pendant, parce qu'il faut l'avouer, c'est pas comme si tu pouvais aller ailleurs, à mon plus grand désarroi. Je ne veux ni t'entendre, ni te voir. Je ne pense pas pouvoir être plus clair. Tu n'es plus ma fille, tu ne l'as jamais été de toute façon.» Et il annula le sort, sortit de la pièce, laissant Prunelle seule. Très seule. Cet homme qui venait clairement de la renier lui avait tout enlevé et elle désirait plus que tout le faire souffrir comme elle souffrait en cet instant.

Mais que pouvait-elle faire? Elle n'avait pas l'âge d'utiliser la magie, et surtout elle ne voulait pas être renvoyée de Poudlard à cause de son père, celui-ci n'en valait pas la peine, et il s'agissait du seul endroit où elle se sentait bien. Mais serait-ce encore le cas? Eliot ne se souvenait surement pas qu'il était sorcier. D'ailleurs elle l'avait oublié lui. Oubliant son envie de s'attaquer à son père, elle retourna dehors mais son ami n'était plus là. La pluie tombait toujours très fort, et des éclairs parcouraient désormais le ciel. Toute jeune fille raisonnable serait rentrée se mettre à l’abri par ce temps, mais Prunelle n'avait pas envie de bouger. C'était à peine si elle sentait la pluie qui se mêlait à ses larmes sur ses joues.

melanie laurant PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 469549

bienvenue !

MÉLANIE LAURENT PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 81441

PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 429689

Bienvenue!! PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 221247

Bienvenueee sur SH !
Bon courage & have fun surtout 8)

Mélanie !!!!!! PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 81441

Oh please, dis-moi que tu joueras une prof ? xD
Bienvenue en tout cas et bonne chance pour ta fiche !!!

Bienvenue sur le magnifique SH nouvelle vêtu Smile

Elle ferait une bonne prof PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 892513

mais si tu préfères faire une élève elle convient tout autant(:

Mais oui, je n'oblige à rien ^^ De toute façon Mélanie est charmante partout PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 469549

(Et ah bon, on a une nouvelle professeure Malloree ?)

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Oh, moi je l'adore Mélanie. PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 445148

first Log-in : 18/09/2010 parchemins : 1510

Divin choix d'avatar, bienvenue. Smile

KRISTEN KRISTENNN - ALEX ALEX ALEXXX

terminé

PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 640190

Mélanie est un très bon choix !!
Bienvenue =)

Mélanie

PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 986478

Welcome

PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 87881

Je te valide et tu vas chez les Poufsouffles !

Je ne l'imaginais pas à Poufsouffle parce que je croyais que les Poufsouffles étaient des bosseurs, ce qui n'est pas du du tout le cas de Prunelle, mais bon après tout pourquoi pas

Les Poufsouffles ne sont pas des bossuers du tout. Ce sont des gens loyal, sensible, gentil, réveur ^^

PRUNELLE ●● Il est bon de parler et meilleur de se taire. 870979