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HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.

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HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. Vide
MessageSujet: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyLun 20 Déc - 15:13




LE PASSEPORT DU SORCIER
Nom : Cartwright.
Prénom : Hope Blair.
Surnom :
Âge : 17 ans.
Curus, option(s) : Cursus normal.
Année scolaire : 7ème année.
Nature du sang : Née moldue.

"MOI LE MAGICIEN"
Je suis excessive, j’ai peur de tout. De la vie comme de la mort. Je suis timide, influençable, je prends pour argent comptant la moindre critique. Je ne me trouve pas intéressante au sens où je voudrais l’être, c’est-à-dire unique. L’intelligence ne suffit pas. D’ailleurs je ne me trouve pas intelligente, tout juste appliquée, bonne élève, et consciencieuse au-delà des limites scolaires. Une surface qui ne me sert à rien. L’image de la petite fille sage et obéissante première de classe me pèse mais je n’ose pas la déchirer. J’aurais voulu être intrépide, courageuse, hardie ou que sais-je encore mais non, je me retrouve prise au piège d’un cocon infernal dont les parois égalent la robustesse de la pierre. Sortir de cette situation délicate m’ést impossible, telle une princesse séquestrée dans sa tour d'ivoire. Je me sens vulnérable. Il n’y a que le soir, lorsque l’obscurité surgit et que les premières étoiles étincèlent que je me sens en sécurité. Ainsi, une fois dans mon lit, à l’abri, je pense que la vie est belle. Mais la vie est belle, voyons ! Je n’ai jamais manqué de rien, née dans l'illusion de la fortune, des beaux vêtements et des vastes jardins anglais. Encore fallait-t-il que l'argent contribue à mon bonheur, que je sois attirée par les belles étoffes. Seul ce jardin mystérieux aux milles couleurs semblait un refuge convenable ainsi qu’une source de réconfort. Je n’ai jamais manqué de rien. Sauf peut-être d’un peu d’amour.

“ one „
Ils étaient tous les deux installés autour de l’immense table qui servait de principale décoration à la prestigieuse salle à manger. Principale décoration parmi tant d’autres : immenses portraits, quelques plantes, un lustre qui planait au haut plafond depuis des générations. Je détestais cette pièce. Toute joie semblait y avoir été éradiquée depuis des années, plus aucuns échos de rire chauds et sincères, seulement des visages tristes et monotones. Les deux convives s’installèrent. Un silence surnaturel planait entre la vaste distance qui les séparaient. L’espace d’un instant, leurs mêmes yeux pales se croisèrent. Quelques secondes à peine qui furent fatales à la jeune fille qui faisait face à cet homme fin à l’allure sévère. Il aurait crut apercevoir dans les prunelles de la demoiselle une lueur d’espoir, d’audace et pire encore : d’optimisme. Et si il y avait une chose que l’homme en question méprisait, c’était bien l’extravagante euphorie que témoignaient certains individus. Jamais sa fille ne deviendrait comme eux. Il la voyait bien élevée, posée, cultivée, soumise au bras d’un gendre élégant. Un banquier ; un avocat ; à la tête d’une multinationale. Il sauvegarderait ainsi une partie de son avenir qu’il concevait solitaire et terne. Terne, il l’était depuis la disparition de son épouse dans un stupide accident de la route. Une femme aussi distinguée morte d’une barbarie pareille, autant dire qu’il avait eut un mal fou à s’en remettre. Dans la volée, il héritait d’une chose bien insignifiante à ses yeux. Une de ces choses qu’on provoquait par amour, uniquement pour le bien-être de son conjoint. Cette chose, c’était sa fille ; Hope Blair Cartwright. Entre autre : moi. J’avais toujours eu cette sensation de rejet émanant de mon paternel et ce depuis la tragédie. A un âge où les enfants recevaient une profusion de baisers de la part de leurs parents dès qu’ils en quémandaient, il me jetait au visage un ‘‘pas maintenant, je suis occupé ,, . Avais-je fait quelque chose de mal ? Une bêtise ? Certainement pas, j’étais la plus parfaite des petites filles, polie, calme, spontanée et appliquée mais mon père ne semblait pas s’en rendre compte. Je faisais des efforts mais mon insouciance et mon naturel enjoué ne pouvait visiblement pas plaire à un étrange homme grisâtre. Pourtant, je me forçais à l’aimer me persuadant que le problème ne pouvait venir que de moi. « J’ai à te parler. » fit-il, d’un ton grave et sec. Je ne répondis rien. La gravité des faits devait être colossale pour qu’il m’adresse la parole à l’heure du dîner. « Il s’avère que nous avons reçu une lettre pleine de… de fantaisie. Tu sais à quel point j’ai horreur de ce genre de choses. ». J’osais à peine cligner des yeux. « Or… Cette lettre est à ton nom. As-tu quelque chose à ajouter ? » Je hochais la tête. « Bien. Tu es consignée. Monte dans ta chambre. Et je ne veux pas te revoir en possession de cette chose.». J’obéissais, mes petits pas se faisant de plus en plus pressés, la tête gorgée d’interrogations. Je n’avais jamais reçu de lettre. Mon père en recevait tous les matins. Pourquoi ne pourrais-je pas recevoir du courrier, moi aussi ? Je ne percevais pas ma faute, encore y en avait-il une. Alors je fis ce qui me sembla le mieux adapté à ma situation : je pleurais à grosses gouttes. Je me jetais dans mes couettes, mordait mon oreiller de toute la force que contenait ma mâchoire en étouffant quelques sanglots. Epuisée par sa méchanceté à mon égard et les mots cruels qu'il me disait si bien, les yeux rouges, je finis par m’assoupir avec la résolution de combler mes lacunes auprès de mon géniteur dès le lendemain. C’est en tombant qu’on apprend à marcher, non ?


Un timide rayon de soleil avait percé les carreaux de la fenêtre de ma chambre depuis bien longtemps, faisant scintiller au passage un léger rideau de particules poussiéreuses en suspension dans l’air, lorsque je daignai enfin m’éveiller pour de bon. Quelle ne fut pas ma surprise et mon contentement quand je découvris sur ma table de nuit une enveloppe jaunie cachetée d’un sceau que je n’avais encore jamais vu dans les livres d’histoire, à l’école. Mon père avait donc changé d’avis ? Sans perdre une minute, je me ruais dessus munie d’un coupe-papier abandonné sur le bureau. Son contenu me laissa sans voix. C’était totalement incohérent. Mon père était d’accord avec moi quand je lui mis la lettre sous le nez. De plus, il était furieux. « Je ne te reconnais plus, Hope. Tu me désobéis sans cesse ces derniers temps, je t’avais pourtant interdit de reprendre cette lettre. Il va falloir prendre des mesures » « Mais ce n’est pas moi ! Elle est apparue à mon chevet, je te le jure ! » Balbutiais-je. Ma réplique laissa mon père perplexe. Il passa sa langue sur ses lèvres, effleurant sa fine moustache. Il fronça les sourcils, prit appui sur la table de bois laqué sur laquelle il m’avait fait prendre place. « Il est temps d’éclaircir les choses. Je ne supporte pas qu’on me mente, Hope. »« MAIS JE NE TE MENTS PAS, JE NE SUIS PAS UNE MENTEUSE ! » Les yeux exorbités lançant des éclairs menaçants et les convulsions nerveuses de mon père me firent savoir que j’avais eu grand tort de le contredire ainsi. Il était vrai que je ne supportais guère le mensonge, moi aussi, et en répandre m’aurait fait devenir malade. C’était une insulte, je me voyais souillée, disposée face à une injustice criante. A cet instant, je n’avais plus aucune sensation de danger, qui était pourtant bien présent, j’étais si prudente et craintive d’habitude. Je m’interroge encore sur la suite des évènements si l’appel de la sonnerie ne l’avait pas forcé à quitter la pièce. Aurait-il eu un geste particulièrement violent, ce qui aurait été l’apogée de notre relation père-fille déjà fragile ? Est-ce que sa négligence affective aurait évoluée en maltraitance physique ? Je me souvins que dès que le bruit de ses pas furent assez éloignés à mon goût ; je fondis une nouvelle fois en larme, tel un bébé. J’avais honte, j’étais si faible, blessée. Je me rendrai compte plus tard que je hais cet homme qui me balance à la figure des horreurs pareilles mais pour l’instant, je continue à pleurer en regardant par l’encadré de la porte passer deux hommes vêtus de capes, en compagnie de mon père qui n’adresse même pas un regard en ma direction. Je perçois des éclats de voix provenir du bureau personnel de mon père. Je sais que quelque chose se trame mais je n’arrive pas à deviner quoi. UC







LE JOUEUR N'EST PAS LOIN

Pseudo : B.
Âge : 14 ans, presque toutes mes dents.
Comment avez vous connu le forum ? : En volant de partenariat en partenariat.
Avatar souhaité : Emily Browning.
Présence : 5/7
Le mot magique ? : dobby président
(c) Brain Damage











Dernière édition par Hope B. Cartwright le Ven 24 Déc - 15:10, édité 17 fois
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Madeline B. Rookwood
Madeline B. Rookwood


Je suis la préfète en chef, la reine des reines.

first Log-in : 10/10/2010
parchemins : 1994

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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyLun 20 Déc - 16:44

Bienvenu ! & bonne chance pour ta fiche ! I love you

Emily est superbe ! HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. 469549
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyLun 20 Déc - 17:14

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche =)
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyLun 20 Déc - 17:20

    HAN EMILY HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. 221247
    Bienvenue et bonne chance !
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyLun 20 Déc - 20:25

    Merci beaucoup à tous. I love you
    eh oui, une fois que je vois emily je fonds littéralement aussi, j'ai pas pu résister à l'adopter (a)
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyDim 26 Déc - 16:52

Haaaaaaan bienvenuuuuuu , j'aime ton prénom
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyDim 26 Déc - 17:20

bienvenue ♥
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyLun 27 Déc - 23:11

Emily I love you
Bienvenue (:
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptyMer 29 Déc - 14:13

Emily I love you I love you

Bienvenue HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. 81441
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. EmptySam 15 Jan - 13:45

Serait-ce possible de savoir ou en est ta présentation? tongue Si d'ici lundi le 17 elle n'est pas terminée et nous restons sans nouvelle, elle sera déplacée aux archives et ton compte supprimé. merci!
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MessageSujet: Re: HOPE ⚜ L'espoir fait vivre, il parait.   HOPE  ⚜ L'espoir fait vivre, il parait. Empty

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