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« quand la famille s'en mêle »

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MessageSujet: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyLun 18 Oct - 21:23


Quand la famille
« alarìc & danitza » s'en mêle ♣

    iiiiiiiii


Confortablement assis sur ma chaise que, fidèle à mon habitude, je balançais sur ses deux pattes arrières, j’essayais tant bien que mal de me concentrer sur mon devoir. Déjà la première semaine de cour commencée, les enseignants nous avaient ensevelis sous une inépuisable montagne de travaux, imaginez donc le résultat après près d’un mois. J’en avais complètement marre des murs de pierres de vieil édifice. Je rêvais de me retrouver dehors, dans la forêt interdite à observer les hyppogriffes ou m’entraîner à l’animagi. Ouais, j’avoue ne pas être tellement obéissant comme élève. Déjà en première année, après quelques heures dans ce château, j’avais désobéis à une dizaine de règles pour le simple plaisir d’être moi-même. Je n’avais jamais été, & ne risquait jamais d’être le Serdaigle type. Par moment, je me rapprochais plus des lions que ceux de ma maison. Désolant, je sais. Pourtant, il était impossible de me mettre dans le crâne que je devais absolument rentrer à tel heure ou que je ne devais pas mettre les pieds dans la nature. J’avais besoin d’air frais, constamment. Qu’il fasse soleil, qu’il pleuve ou qu’il grêle, dès les travaux terminé, je mettais tout le monde en plan pour passer un peu de temps à l’extérieur. Peut-être que dans le fond j’étais claustrophobe, manquerais plus que ça.

Désespéré au point d’aller jeter tout mes manuels scolaires dans le fond du puits des vœux, je pourrais ainsi souhaiter de ne plus avoir de devoirs, je fixai mon regard sur le plafond du dôme. La vue était tellement magnifique dans cet endroit rêveur & calme. Certes, différentes de celle qu’on avait au sommet de la tour d’astronomie, mais tellement… Désolé, je n’arrive pas à mettre des mots sur mes émotions. J’aimais bien regarder les poissons, le calmar géant & les êtres de l’eau circuler au dessus de ma tête. Les êtres de l’eau étaient tellement intriguant. Depuis la traversée du lac dans les petites barques de l’école, je rêvais d’apprendre leur langage. Ainsi donc, je pourrai discuter avec eux, ils pourraient m’instruire sur leur mode de vie sous les eaux. Bien intriguant de ne pas être un humain, si on peut qualifier un homme doté d’une queue de poisson ainsi, comme les autres.

M’arrachant à la contemplation de se magnifique espace vital sous-marin, je remis ma chaise sur ses quatre pattes. Tout en soupirant de lassitude, j’ouvrai mon manuel, sortis un encrier, un plume & un paquet de parchemin, puis m’attelai à la lecture des pages concernant les loups-garous. Bien que le sujet fût intéressant, j’avais un mal fou à me concentrer. Je relus la même phrase plusieurs fois jusqu’à ce qu’une quantité astronomique de bouquin ne tombe sur ma table.

448 mots


Dernière édition par Alarìc Mac G. Phàdraig le Lun 6 Déc - 2:01, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyMar 19 Oct - 2:37

J’adorais respirer le parfum des tonnes de livres qu’on nous conseillait. Mon cœur battait au rythme des devoirs qui se rajoutaient les uns après les autres. Je resplendissais la joie de vivre à l’idée de marcher entre les pierres de cet établissement. Tout ce qui ce qui m’entourait, me faisait sentir plus vivante et forte! J’étais toujours confiante d’entrer dans un cours et alerte à toute situation de surprise. C’était tel un magnétisme fou entre ce monde et moi. Je ne quitterais toute dynamique, l’ambiance qui m’enivrait et m’ensorcelait. Ou presque ! Enfin, maintenant que mes deux frères étaient avec moi ça pouvait aller! Ma famille était ici, à présent! Mon cœur attendait trottinant d’un bond à l’autre, d’un escalier à l’autre! Même si je me sentais plutôt comme dans un ascenseur. J’aimais par-dessus tout jouer le jeu! Je me baladais, droite et heureuse, à faire mon bout de chemin. Bien souvent, jouant les indépendante, mais en jetant un coup d’œil à mes frères. Je m’assurais qu’il jette un petit œil sur moi. J’aimais savoir qu’ils me verraient me surpasser, qu’il me protégerait ou les savoirs proche et prêts! Même si cela peut vous paraître ridicule, je marchais, balançait les hanches, les cheveux suivant le mouvement léger et confiant. Peut-être étais-je compétitive ou aguicheuse, un truc du genre! Seulement, cela me permettait de me délivrer! Après tout je faisais mon possible dans tout les cours, dans toutes les disciplines, tout le contraire de mon cadet! Sauf que sur certain point, peut-être voir le charme naturelle de nôtre famille, nous n’étions pas plus distinct…

C’est alors que j'entrai dans cette pièce, les bruits des talons retentissant sur le plancher, les cheveux en cascade et le sourire timide et mystérieux qui se baladait d’un visage à l’autre. Je remarquai ainsi, ce fameux playboy, lunatique et solitaire frangin que je possédais! Il ne me fut pas plus d’une seconde avant de lâcher un soupir exaspéré et ironique. Je m’approchai de lui, détournant un regard de plus d’un. Il était rare que j’adresse la parole à d’autre! Je jouais bien mon jeu, je restais sur ce, bien gardé entre les règles. Pourtant j’avais un caractère fort, dynamique et sociale, mais certes, j’aimais les choses et personnes qui venaient vers moi. Autrement, je pouvais me suffire avec moi ou mes frères! Mais réellement parlant, je n’avais rien de ce que je prétendais être. Finalement, je déposai mes bouquins avec lourdeur et fracas, afin de l’extirpé de ses pensées. Comme il pouvait être grossier, mais parfois, il me faisait fondre. J’avais le goût de l’humilier ou bien de le gronder, mais bon, j’étais respectable. Et je ne voulais pas qu’il me rendre la pareille. Quoiqu’il ne perdait pas toujours son temps avec ce genre de chose, mais il avait bonne mémoire… Si je ne m’abuse, s’il prenait parfois le temps de me connaître plus ou m’observer, il n’aimerait ou ne me reconnaitrait pas dans ma manière de faire. . .

Alors donc, tu prétends revenir de sur mars ou de la lune ? Fis-je sarcastiquement.
Je fis quelques pas sur le côté et m’assit à la table d'à côté de celui-ci. J’imaginais une
moue ou bien un je m’en foutisme obstinant sur ses lèvres… Après tout, il avait l’habitude de paraître omniscient!


Ça va toujours grand frère, dis-je à la plaisanterie?

Je plongeai mon nez dans mes études à la recherche des dernières consignes. Il fallait bien s’occuper entre le temps de question à réponse de ce pauvre petit. Perdu dans ses pensées et grandes idéologies…


590 mots
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptySam 6 Nov - 1:15

Lorsque la montagne de bouquins s’effondra sur la table devant moi, je sus immédiatement à qui j’avais à faire. Peut-être son parfum bien peu commun m’avait-il mis sur la route, il restait néanmoins le fait qu’une seule personne pouvait annoncer sa présence de la sorte. En plus de me surveiller comme si j’avais encore cinq ans, la voilà qui me file exactement comme un agent secret. Si j’avais voulu être traité de la sorte, j’aurais commis un meurtre. Certainement celui de Lestrange puisqu’il se plaisait bien à me pourrir la vie depuis la première. Qu’elle jouissance s’aurait été pour ma petite personne que d’être débarrassé de cet être ignoble. Bien qu’en ce moment, ce soit plutôt ma sœur que je trouvais ignoble.

Sa voix s’éleva dans la salle du dôme. Bien que cette dernière soit plutôt séduisante & agréable à côtoyer, Danitza restait la plus envahissante des aînées que j’ai connues de toute ma vie. « Alors donc, tu prétends revenir de sur mars ou de la lune ? » me lança-t-elle sarcastiquement avant de s’assoir à la table de droite. Super! La voilà repartie sur ses interrogatoires à deux balles. Dans quelques minutes, elle va me demander comment ça va pour ensuite enchaîner sur ce que j’étudie en ce moment & bla bla bla… Ne croyez pas que je ne l’aime pas ma sœur, c’est juste que je commence… Grosse erreur, J’AI marre qu’elle me surprotège. Lorsque j’étais petit, je ne m’en rendais pas vraiment compte, mais depuis mon entrée à Poudlard, ça ne fini plus. Elle c’est même déjà immiscée dans une de mes histoires avec une fille. Quand c’est trop, c’est trop!

Je soupirai de manière, du moins que l’espère, lui fera comprendre que j’avais vraiment besoin d’être seul. « Ça va toujours grand frère ? » Raté! Elle n’a absolument rien compris. Parfois, je me demande même comment elle peut être entrée dans le programme de médicomagie. Elle n’est tellement pas rapide à la détente. À moins qu’elle ne m’ignore volontairement. Pas surprenant que j’aie envie de déguerpir. Alors que j’allais ouvrir la bouche, Danitza pris ses livres restés sur ma table afin de les étaler devant elle et de plonger dans ses études. Tiens donc, moi qui la croyais intéressée par mes états d’âmes. Elle ne semble pas tellement accorder de l’importance à ce que je ressens vraiment. Testons un peu pour voir!

« Ouais, je sais, j’ai un QI plus élevé que le tiens! Pas besoin de me donner du grand frère pour autant. Dieu, ça fera l’affaire! », lançais-je moqueusement. Sans attendre la moindre réponse, je m’élancer dans un monologue, question de voir si elle m’écoutait réellement. « En fait, j’étais sur Vénus. Tu sais, la planète de l’amour. Ben, comme tu dois le savoir puisque toute l’école est au courant, je suis en couple maintenant. En fait, il y a juste cette fille que j’ai embrassée l’autre jour au milieu de la Grande Salle là. Mais, tu dois déjà savoir toute l’histoire puisque tu te mêles encore de ma vie. Un jour, je vais bien finir par devoir passer par toi pour être mis au courant de mes secrets les plus intimes. Au fait, t’aurais pas de l’argent à me passer, je compte aller à Pré-Au-Lard en fin de semaine & j’ai plus rien. » Voyant sa mine surprise, j’affichai mon sourire le plus décontracté & me remis à lire.

550 mots

[ H.J : désolé pour le retard, malgré que tu saches déjà pour quoi. ]
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptySam 6 Nov - 17:13

Je le déteste quand il agit de cette façon! En plus, s’il pense que je ne sais pas à quoi il joue! Ça le choque quand je me préoccupe de lui, seulement quand c’est le contraire, il se sent ignorer, ce qui l’offense! Monsieur le playboy qui a beaucoup trop d’attention et qui jette son dévolu de vouloir être seul sur moi ! Il est souvent là, à vouloir savoir mes réelles intentions, comme si je n’étais pas sincère. Quant on sait tous, que lui pour l’être, c’est une vrai discipline. Toujours là, à se méfier des autres et se mettre sur un piédestal! Un vrai petit cœur tendre renfermé sur lui-même à perdre la tête à vouloir comprendre toutes ces choses! Et après, je passe pour la petite bouffonne qui en fait trop ! Ne dit-on pas, c’est mieux trop que pas assez??? Ne devrait-il pas savoir que je n’ai rien de stupide, honte à lui d’être de la même famille que moi. Vraiment, il m’a cherché! Je ne sais pas s’il plaisante ou s’il dit la vérité, mais peu importe je ne veux pas la savoir. Je le regarde donc neutre en m’efforçant de ne pas trop paraître exaspérée. Je ne voudrais pas lui faire une telle humiliation ! Et surtout, je ne lui donnerai pas cette joie ni même raison à son comportement. A-t-il besoins de se prouver constamment qu’il peut réussir seul! Qu’il n’a pas besoins d’amour et d’un guide de survie comme tout le monde! Suis-je la seule dans cette famille à vouloir donner ma joie de vivre et mon intérêt pour ceux que j’aime ! Et oui, toi frangin qui me connaît, saches le ! Alors, afin de tromper, je le regarde en souriant timidement et lui répond d’un ton calme et serein. Parenthèse : J’ai mûrie cher frérot ! Pas toi, espèce de crétin, et je peux bien agir dans ma tête comme un petit bébé, tu m’as profondément blessé! Oui je suis sensible et si tu pouvais lire dans mes pensées j’aimerais que tu ressentes tout cela!! Mais dans la vie tous les jours, je me comporte bien et avec élégance!

Tant mieux pour toi, bon je dois quitter, à plus tard!!

Fis-je en ramassant mes trucs un peu avec maladresse. Les larmes aux yeux, je lui tourne le dos et fait bien attention à ce qu’il ne devine pas ce qui se passe réellement. Je regarde tout de même du coin de l’œil sa réaction et je finis par avancer de plus bel, un peu angoissée. J’irai me défouler pour reprendre mes esprits. Je sais que mes pensées dépassent mes émotions, mais je suis comme ça, je me reprendrai plus tard. C’est alors là, que je reste figée à me demander pourquoi devrais-je partir pour lui ou plutôt à cause de lui ! Que suis-je bête! J’hésite un moment et je me dirige vers une autre table, beaucoup plus éloignée..

C'est alors que j'allai rejoindre mon frère à sa table un peu trop rapidement pour me faire discrète et que j'allai posé mes points sur la table férossement.

À quoi tu t'attendais espère ce monstre! Fis-je furax!!




500 mots !
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyLun 6 Déc - 2:56

Suite à cette fausse déclaration, que j’avoue être des plus blessantes, j’espérais bien capter son attention à un tel point qu’elle ne finirait pas comprendre le vrai fond de l’histoire. Malheur. Ma tentative désespérer de me faire émancipé de ma sœur à échouer. Elle est là, devant moi, et me fixe désespérément. Je suis parfaitement conscient que son cerveau est en ébullition et qu’au plus profond de son être, elle se prend pour ma mère en me faisant la morale. Qu’est-ce que j’en ai à faire de ce qu’elle en pense? Elle est peut-être ma sœur, mais certainement pas le maître de ma destinée. Elle me lance l’un de ces regards signifiant « voyons voir qui est a le plus de caractère » avant d’enchaîner avec l’une de ses répliques habituelles.

« Tant mieux pour toi. Bon je dois quitter, à plus tard! »


Et merde. À ses yeux remplis de larmes, ses gestes imprécis et son ton tremblant, je sais bien que je l’ai profondément blessé. Bien que c’était un peu mon intention, je ne voulais pas lui faire de mal à ce point. Disons qu’il est difficile de faire que de petites choses avec ma sœur. Elle prend tout en grand. Un souper familial, une petite blague, un devoir et même une relation amoureuse. Je me doute fortement que c’est ce trait de caractère qui fait, qu’au contraire de moi, elle ait du mal à faire durer une relation quelconque. De plus, c’est ça tendance extrémiste qui fait qu’elle me protège de la sorte. Je suis parfaitement conscient que ma lutte contre son caractère est perdue d’avance, mais de lutter sans relâche me fait sentir plus fort. J’ai le sentiment, autant minime soit-il, qu’un jour j’arriverai à quelque chose.

Un sourd bruit ce fait entendre lorsque Danitza revient en charge. Disons qu’elle ne se fait pas discrète en frappant bruyamment sur la table, ce qui me fait sursauter. Les quelques personnes dans la salle se tournent pour nous observer plus aisément. Sur un regard autoritaire de ma part, la plupart retourne à leur travail, alors que ma sœur s’exprime sans la moindre discrétion.

« À quoi tu t'attendais, espèce de monstre? »

Après les larmes, vient la colère. Reste que je ne suis pas tellement un monstre. Pour être honnête, je ne comprends vraiment pas pourquoi elle me traite de monstre. Sérieusement, elle s’attend à quoi de ma part? J’ai absolument tout fait pour lui faire comprendre mon besoin excessif de liberté. Si je dois la faire souffrir pour qu’elle finisse par comprendre de quoi, je vais le faire sans aucun doute. Bien que le cœur n’y sera pas. Je n’aime pas la voir triste ou en colère. Plongeant mes yeux dans le sien, je lui dit le plus sincèrement possible : « J’ai tout fait, Dani. Absolument tout fait pour que tu comprennes un tant soit peu ce dont j’ai besoin. En agissant ainsi, je ne voulais pas te blesser, loin de là mes intentions. Je voulais attirer ton attention. Rien de plus et, apparemment, ça a fonctionné! »




512 mots

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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyLun 6 Déc - 3:56

Je le déteste ! Je le haïs encore plus parce que je l'aime tellement ! C'est mon petit frère! Et je ne sais pas pourquoi je réagis de cette façon ! Il a cette façon de me mettre hors de moi! Il a le talent pour me faire ressentir vivante contrairement à ma nature d'oublier l'émotion et les sentiments! Il est le seul à dérégler mon auto-défence et mon contrôle mature face à quelque chose. Je sais que peut-être je ressens les choses et les entretients exasgérémment! Mais décidémment, je me dois de me respecter et d'avoir mes limites! Je sais que j'ai beaucoup d'attendes d'où ma déception envers lui ! Mais si seulement, il comprendrait, si seulement il ferait l'effort de voir plus que le nécessaire! J'ai un sérieux problème, mais au moins je suis capable de me l'avouer! J'en ai marre de lui et ses théorie et sa logique! S'il avait un peu de bon sens et de coeur, outre que pour lui même, il verrait et comprendrait l'amour que je lui porte, l'amour que je porte à notre famille! C'est terminer! Je ne veux plus de lui, plus de notre famille! Je ne mérite pas ça, je mérites d'être et pas seulement avoir cette famille! Je me sens si petite, si rejetée! Ils sont toujours les deux centres d'attention avec leurs compétences et leur champs d'intérêts dans tous les cadres! Je ne suis pas seulement fâcher parce que je ne suis pas le centre de l'attention, mais parce que nous sommes très différents et que je me fais dû mal à tâcher de plaire à tout le monde, d'aider tout le monde, de passer par dessus tout pour satisfaire tout le monde! Sans pour autant m'écouter. S'il comprendrait que parfois, j'aurais besoins de lui, comme cette chaude soirée de juillet, pluvieuse et humide, lorsque j'étais revenu de chez Charles! J'ai tant eu le coeur brisé! Il avait été là pour moi ! Il était venu me consoler et m'avait laisser croire qu'il serait toujours là! Qu'il me comprenait et qu'on était proche! Avec toutes les choses que j'ai put faire pour lui, enfant déjà je me sacrifiat pour lui! Au nombre de fois que j'ai ramassé les pots cassés pour lui ou que je l'ai couvert envers les parents! Et maintenant, c'est lui qui me prend la gueule, c'est lui qui me brise le coeur! L'homme ou dû moins, parmis ceux qui me sont le plus cher! À qui pour une des rare fois j'avais prêter ma confiance et mon amour! Peut-être sommes nous seulement des frères et soeurs, mais j'ai toujours eu ce besoins de le protéger telle que mon grand frère l'avait fait avec moi ! C'était sur lui que j'avais mis tout mes espoirs quand mon frère avait tout fait pour moi! Je me sentais si seule, j'était tellement confuse et voilà qu'Alàrìc, maintenant me torturait! Il était sensé me connaître mieux que quiconque, vue la proximité de nos âge et nos maison!! Mais si tu crois espèce de personnage non-chalant et tout ce qui peut bondé mon coeur de tristesse et de colère, que tu pourras m'avoir cette fois! Tu me connais mal, tu ne m'a jamais vraiment mise en colère, tu ne m'a jamais vue dans un tel état! Tu ne sais donc pas qui je suis, ce qui m'importe et pourquoi ? Je voudrais bien te donner raison, parce que malgré tout, je t'aime et assez pour peut-être te laisser ce bonheur à mes dépends! J'aurais tendance aussi à prendre la fuite ou rester la bouche-bée, mais je sais que tu te moquerais de moi ! Déjà que tu ne me prends pas au sérieux! Je ferai valoir mon point de vue ! Si tu pouvais entendre et savoir toute cette confusion et cette courses aux émotions!

Alors je le regarde dans les yeux, les bras croisés et je pris une grande respiration ! Comment lui expliquer, comment ou par quoi commencer! Allai-je me garder une gêner ou me laisser par le feux et le tourment de mes ressentiments! Alors je débutai comme suit, tout en prenant garde enrestant neutre et sans larme! Je n'allais certainement pas lui laisser le plaisir de voir que j'étais réellement triste ou bien de s'attendre ou de savoir à quoi s'en tenir à cause de quelques frêles larmes! Je n'allais surtout pas lui laisser la facilité ou une bonne raison de me consoler ou de s'en vouloir !

Écoute moi bien et pour une fois avec ... respect! Fis-je tout en gardant mon calme et sur un ton autortaire, s'il croyait être le seul à le pouvoir!

Je ne sais pas pour qui tu me prends! Mais j'en ai marre que tu ne me prenne pas au sérieux! Que tu reste indifférent à l'amour et à la fraternité que je te portes. Je constate que tu me connais que très peu et que tu ne sais pas la difficulté quant à la certitude de donner ou exprimer mes sentiments! Et tu prend pourtant pour acquis ce que je t'ai offert en tant qu'aîné et en tant que fille prude que suis-je! Je n'ai jamais laisser quiconque rentrer dans ma vie et pourtant j'ai eu le doute de me prêter à l'attachement que je te portes!

Reprenant mon souffle, je pris soin de ne pas parler trop fort tout en restant debout face à lui!

Et maintenant, face à ce dilemme je comprends qu'il est trop tard! Il n'était pas question que je prenne la fuite, que je te donne ce que tu voulais même si habituellement je l'aurais fais par amour! Seulement, en parlant de ça je crois qu'une coupure serait mieux! Il n'était pas question que je te laisse se présenter la Danitza que tu crois connaître, parce que en tant que personne, j'ai mes limites! Je n'ai pas à me prendre la gueule pour me faire respecter!

Sinon crois moi, maintenant je te laisse en paix! Si je le pouvais, je prendrais soin de ne jamais t'avoir offert ce dont j'éprouvais et méprisait quant à nôtre famille. J'y aurais fais beauoup plus attention et l'aurai garder précieusement. Si je le pourrais, je ne voudrais jamais t'avoir connu ! Au risque de ne pas être ce que je suis et ne pas être de ma patrie! Si je le pouvais maintenant , je retournerais à la maison ! Je tâcherais de pouvoir rester dans ce monde d'humain afin de ne pas avoir à être confronter à toi et ton monde! Pour ne plus jamais entendre parler de toi ! Et si je te dis ceci, maintenant, c'est pour en finir avec ça et pour clore le sujet! Tu peux voir que moi aussi je peux dire les choses en face et les supporter! Ne suis-je pas assez fragile pour prendre la fuite! Pour te donner facilité ou revange! ? Dis ce que tu as à dire, je quitterai ensuite et que ça soit claire...


Je relevai les yeux en sa direction et lui présentant mes yeux qui bouillonnaient de rage, si j'aurai put , je l'aurai frappé! Mais bon...

Ne me touche plus, ne me parle plus et ne prend plus nouvelle de moi! Je ne dis pas ça pour lancé la guerre ni même pour jouer le jeux. Ne te sens pas coupable non plus! Mais maintenant, tu peux voir l'ampleur et l'honnêter de mon coeur! Tu peux voir que moi aussi je suis une personne à part entière et surtout que c'est mieux ainsi. On verra dans le temps comme dans le temps, mais sinon, comme je vois je te laisse libre et tranquille. Et si celà peut te faire plaisir ou enfin de satisfaire en tant que frère froid et mailvaillant, ça donnera raison à ta personne!

Et sur ce, je te remercie de m'en avoir fait part et de m'avoir fait comprendre, je pourrai en tirer leçon et avancer en autre chose. Seulement, toi qui voudrait tant être libre, tâche de ne pas oublier, que j'aurai tout fait et que encore maintenant je fais ce qui est en mon pouvoir pour préserver ce qui nous reste de loyal et véridicte, j'ai compris le message. Sâche que personne n'est libre, ni même d'envers soi-même face à ses émotions et ses sentiments! Ni même de ses besoins et son histoire et encore moins ici ! Je t'aime et fais attention a toi !


Je me retournai tout en lui souriant . J'étais là, sans émotions, sans rien pour me trahir. Mais la tête me tournait et mon coeur tremblait! J'attendais avant de prendre congé pour bien conclure cet fin. Ou cet aurevoir! Espérant ne pas trop faire entendre parler de moi ou avoir de conséquence! Seulement, Peut-être allai-je le regretter, mais je tenais toujours mes promesses...
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyLun 6 Déc - 4:58

Finalement, après tout ce temps et ces tentatives infructueuses à vouloir attirer l’attention de ma sœur sur ma véritable personne et non sur son besoin obsessionnelle de jouer les gardes du corps, j’étais arrivé à mes fins. Je n’étais pas vraiment fier de la manière dont je m’y étais pris, mais comme on dit : « à la guerre comme à la guerre ». J’étais près à user de tous les moyens possibles et imaginables pour avoir, ne serait-ce que quelques jours de tranquillité. Cette quiétude ne saurait durer bien longtemps avant que Danitza ne revienne à la charge pour reprendre son poste de garde. Disons seulement que, si j’avais put, j’aurais volontairement oublié de créer cette place dans ma vie. En ce moment même, j’aimerais bien rencontrer celui qui s’occupe de la gestion des existences afin de luis toucher deux ou trois mots sur l’importance qu’il a osé me donner dans la vie de ma sœur. Par moment, j’ai l’impression de vivre un enfer. Je manque littéralement d’oxygène ce qui n’est pas surprenant puisque Danitza se l’accapare au même titre que mes expériences personnelles.

Elle planta ses yeux dans les miens. Un seul regard suffit à ce que je détermine la porter actuelle de ses émotions, ce n’était vraiment pas beau à voir. Dans quelques minutes, faudrait appeler les secours pour me sauver des griffes du diable. Trois. Deux. Un. C’est parti!

« Écoute moi bien et pour une fois avec ... respect! »

Respect? Sérieusement, elle veut que je l’écoute avec respect? Bordel, elle se prend pour qui? Ma mère? C’est pas comme si j’avais oublié qu’elle s’était aussi octroyé ce poste lorsque nous n’étions pas à la maison, mais de là à me demander de l’écouter avec respect. Comme si je ne la respectais pas assez comme ça. Vouloir un peu de liberté n’a absolument rien à voir avec l’irrespect. Enfin, si l’on considère ça du point de vu de celui qui la recherche, il aurait davantage tendance à dire que c’est son protecteur qui lui manque de respect en s’insinuant dans sa vie privée.

« Je ne sais pas pour qui tu me prends! Mais j'en ai marre que tu … Je t'aime et fais attention a toi ! »

Maintenant qu’elle avait enfin fini d’exagérer la situation, elle me souriait. Sur son visage s’affichait un sourire plein de fierté. Elle était vraiment heureuse & certaine de l’impact de ses paroles. Je me désolais d’avance pour elle d’avoir gaspiller autant de salive. J’avais plutôt passer tout le temps de son discourt à penser à mon exposé sur les loups-garous. Bien qu’elle m’ait demandé de l’écouter avec respect, dès l’instant où elle avait ouvert la bouche, je savais ce qu’elle allait me dire. Contrairement à ce qu’elle croyait, je la connaissais très bien. Du moins, assez pour savoir qu’elle était persuadée de penser ce qu’elle venait de me dire. Devant son air triomphant, je lui souris nonchalamment.

« Pardon. J’attendais la suite avec impatience. J’essayais de t’écouter avec respect ma reine. Maintenant, si vous le permettez bien, votre majesté, j’aimerais bien me remettre à mon travail puisque, contrairement à vous, je n’ai pas déjà le métier de garde du corps. Oh! Pendant que j’y pense, j’ai déjà une mère qui m’attend avec impatience à la maison. Donc si tu pouvais ranger tes grands discours extrémistes, ce serait bien. Sur ce, bonnes vacances et repose toi bien de ma personne si exigeante. J’espère que tu aurais assez de quelques jours pour te reposer et t’occuper de toi-même. Tu en as bien besoin. »


Sur quoi, je me retournai pour plonger de nouveau dans la lecture de tous ces textes passionnants sur les lycanthropes. Cette conversation m’avais redonner la petite étincelle qu’il me manquait pour finir ce devoir.


625 mots
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyLun 6 Déc - 6:23

Un vent de nouveauté s'annonçait chez les Mac G Phàdraig! Je ne voulais plus avoir à faire comme tel. Je ne voulais plus revenir sur ce. Il ne comprenait donc pas . Je le respectais tout de même, en faites je n'étais pas réellement fâcher contre lui, seulement contre la situation. J'en pouvais plus, mon coeur allait exploser et se fondre. J'avais les larme et cette hantise en moi. Je craignait pour mon estime envers ma famille. Je reconnaissais bien mon père! Quant à moi, j'avais été cet enfant anticher des contes et légendes d'Irlande. Ceux remplis de conviction et de roman à l'eau de rose. Je portais un plus grand amour qu'il le pouvait pour quiconque. Je voulais vivre les choses avec trop de passion et de raison. Je voulais me sentir vivante par le biais de mes convictions et mes rêves. Je m'accrochais aux valeurs et à mon histoire. Je me sentais éprise de cette amour pour ma patrie et ma famille. Gratifiante de l'admiration que je portais pour eux. J'étais en train de m'étouffer et de calfeutrer ma peine par la générosité fraternelle. Je sentais en moi, une peur roder autour de moi, dont j'en était la source et le maître. Je devais changé! Il avait raison, seulement sous mon angle, j'avais de bonnes raisons. J'espérais seulement qu'il sache. Si j'avais pus, je me serais sauvé, j'aurais courru ou je m'aurais plongé dans un sommeil profond. J'aurais ne plus jamais me réveiller et me retrouver le nez dans mon beau vieux lit baldequin de mon enfance. J'aurais voulue sentir la présence et l'odeur de mon paternelle. La douce cuisine de ma mère et musique des oiseaux le matin. J'étais nostalgique d'une époque. Si j'avais pus, j'aurais voulue ou préféré être une humaine. Je voulais tant les comprendre et vivre au même titre qu'eux. C'était peut-être pour ça que j'en avais mélangé et offusqué les sentiments et la réalité.

Je le regardai ainsi, découragé. J'étais comme paralysée de peur. Je ne voulais plus rien faire, plus rien voir. J'aurais voulue disparaître ou bien plutôt me fondre dans le décor. N'avait-il pas un moyen de sortir pour ce genre de situation. La magie ne pouvait-elle pas opérer inconsciemment pour venir me chercher! Quelqu'un ne pouvait-il pas comprendre mon message. Étais-je la seule à avoir ces valeurs. Je me sentais si seule. Je savais que j'en aurais pour des jours à m'en remettre. Il jouait toujours au même jeux et il en croyait de même pour moi. Il croyait que maintenant j'attendais quelque chose change ou de lui ! Mais maintenant, je ne voulais plus jamais l'Avoir au même titre. Je ne voulais plus être la grande soeur, je ne voulais plus de nous. Nous étions dans une impasse.

Je le regardai vide d'esprit, seulement les yeux impuissant le suppliant de ne rien rajouté! Ou peut-être de tout craché en même temps. Je reprendrais sur moi après. Je savais qu'apres mon heure serait grave. Je profiterais du moindre moment sans obligation pour déprimer. ême si habtiellement, je ne m'acceptais pas de déprimer ou d'avoir droit à une chance. Même si d'habitude je m'étais ça de côté et j'étais plus forte que ça. Aujourd'hui, à partir de maintenant, Dani ne serait plus jamais la même, elle avait perdu son temps, perdu son coeur, une raison de vivre, sa personnalité, ses choix et aussi un frère. Un deuil s'imposait.

Je n'avais jamais agie comme un robot, seulement mon dialogue fut bref, les bras pendus de tout mon long. Je pris mes livres et lui dit sans même cligné des yeux...

Faisons comme si rien n'était pour la famille et sinon c'est bon, tu as gagné. Fis-je honteuse, loin de ma perosnnalité. Ce n'était plus moi et j'en étais presque soulagée. Je ne le voulais plus !

Je ne rejoutai rien, en attente de voir si tout celà pouvait aller et si je pouvais disposer sans pour autant j'ai l'air de me la jouer dramaqueen... J'étais loin d'être une bonne sorcière j'étais beaucoup plus humaine qu'autre chose. Je me demandais si je ne pouvais pas en toucher un mot à mes supérieurs, voir prendre retrait ou conseil.
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyMer 29 Déc - 21:00

J’étais vraiment inspiré par ce texte sur la lycanthropie que je devais remettre le lendemain à la première heure. Ce dernier consistait à expliquer l’esprit d’un loup-garou sous sa forme de loup, sous la pleine lune si on veut. Suite à la conversation que je venais d’avoir avec ma sœur, je n’étais que plus apte à me mettre dans la peau d’un lycanthrope. Tout au long de mes lectures, j’avais appris que l’homme restait conscient dans la bête sans toutefois avoir le moindre contrôle de son corps. À vrai dire, il voyait tout et vivait tout à contre cœur. Il sentait toute la puissance de son corps animal, mais ne pouvait en user comme bon lui semblait. Un peu comme ma vie. Je la vivais, mais malgré tous les efforts que je déployais à tenter de la diriger, je n’arrivais à rien. Je ne faisais que la voir défiler devant mes yeux comme un vieux film en noir et blanc des années cinquante. Je n’avais absolument aucun contrôle sur cette dernière, puisque ma sœur en était le tyran. Oui. C’est ainsi que je la voyais par moment et aujourd’hui, elle m’avait tellement mis hors de moi que je n’avais eu aucun mal à lui dire des méchancetés.

J’en étais rendu à m’en vouloir. J’avais des remords de lui lancé de telle lâcheté au visage. C’est alors que je rédigeais mon parchemin sur les lycanthropes qu’elle pris ses livres avant de lâcher : « Faisons comme si rien n'était pour la famille et sinon c'est bon, tu as gagné. » Je relevai si rapidement la tête pour la regardé qu’une incroyable douleur me traversa le cou. Je le frottai à l’aide de ma main gauche alors que mes yeux ne lâchaient pas Danitza du regard. Je sentais la colère monter en moi. Je n’arrivais pas à croire qu’après tout ce que j’avais bien put lui dire, elle me lâchait une telle sottise. J’avais tout essayé, de la gentillesse à la méchanceté. J’avais même agit comme ses ignobles serpentard pour lui faire comprendre mon point du vu. Finalement rien n’avait fonctionné. Elle croyait simplement que j’agissais dans l’espoir de « gagner ». Qu’avais-je donc à gagner dans cette histoire? Le respect. La liberté. Je ne voulais rien gagner, je voulais qu’elle comprenne. Alors que ses yeux me lançaient des éclaires, je soupirai profondément avant de me lancer.

« Danie, tu n’as absolument rien compris. Je ne tiens pas à gagner quoique ce soit, ni même te perdre. Tu es vraiment idiote si tu n’as pas compris ça. Il n’est pas question d’une quelconque compétition, il est question de ma vie. Regarde-toi. Regarde Nìallan. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez sans que quelqu’un ne vous espionne ou ne vous dise que ce n’est pas bien. Vous sortez avec qui vous voulez, parlez et détestez comme bon vous semble. Moi, je suis coincé. J’ai l’impression d’être en prison. Constamment, je dois surveiller ce que je fais, parce que si je fais la moindre gaffe, je t’ai sur le dos pendant des jours. J’ai besoin d’espace, j’ai besoin d’apprendre par moi-même. Je n’ai pas besoin de gagner quoique ce soit, juste de pouvoir vivre ma vie par moi-même. Comme bon me semble! »
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MessageSujet: Re: « quand la famille s'en mêle »   « quand la famille s'en mêle » EmptyVen 31 Déc - 2:43

Je n'en revenais toujours pas !! Mais je ne savais à présent plus quoi faire. Je me disais que c'était peine perdu. La seule chose que je voyais c'était la fin d'une étape de vie. Ce que je comprenais de lui c'était qu'il était une fois de plus, déçus de moi ! J'étais la devant lui estomacquée à ne plus vouloir faire une bêtise de plus. J'avais voulue après ce de lui montrer qui j'étais, de lui faire comprendre que j'étais une personne à part entière. Je voulais lui faire voir que j'avais mon opinion et mon caractère. Le miens tout aussi " adolescent" et inutile. J'avais voulu lui faire comprendre que j'avais mes ressentiments, mes peines et mes colères bien réels et présentes qui parfois me hantaient. Qui laissait bien souvent place au goût de l'ignorance et amer de l'amour fraternelle. Et là, j'aurais eu envie de lui en coller une, de lui cracher au visage toutes les insultes qui pouvaient me traverser l'esprit. Peut-être voir, outre que mon vocabulaire tout entier et habituel. J'avais l'impression de passer par une gamme d'émotions mais toujours avec ce tourbillon de sentiments aiguïes. Je me sentais coupable de voir que dans la moindre petite faille, il puisse voir ça comme de l'incompréhension et de la confusion de ma part. J 'essayais sans cesse de vouloir le comprendre, mais sans doute de la mauvaise façon. J'étais si heureuse jusqu'ici et maintenant, il me faisait mettre en doute tous mes sentiments et mes attitudes à son egard. Peut-être les choses devaient-elles changées. J'aurais juste voulu qu'elles le fassent d'elle-même sans que tout celà me saute à la figure !! Pourquoi devais-je accepter une si triste réalité! J'avais donc perdu mon temps et mon énergie à faire tout celà! Si j'avais su, si j'avais pu, j'aurais changé les choses. J'aurais fait en sorte de tout faire différemment. Il fallait me croire, je voulais son bonheur. Sous mes yeux se dressait un homme aux traits fins et délicats qui prenait taille et envergure dans ses propos qui me méprisaient Je comprenais jusqu'alors que peut-être c'était celà qui l'avait déçus ces dernières années. Ce qui était pire encore c'est que j'étais déçus de moi! J'avais toujours cette attitude entousiasme, serraine et forte. Celle qui savait passer par dessus n'importe quoi, qui pouvait faire tout ce qui était dans son pouvoir pour les autres. J'avais simplement l'impression de tourner en rond et de ne plus rien faire pour lui. Je devais le laisser voler de ses propres ailes. J'avais peut-être tord, peut-être n'avais-je pas été correcte avec lui. . . Je ne devais plus le materner. Je ne pouvais plus le devoir de le consoler ou bien le suivre pour savoir et essayer de le comprendre. Mais si j'avais eu à lui dire tout ce qui me manquait et me dérangeait chez lui. J'enveminerais les choses. Une famille devait savoir s'accepter les uns les autres, assumer leur patrie et leur histoire ...Jusqu'à maintenant, j'avait seulement le " croire" qu'ils avaient réussis à ignorer tout celà, même voir pour faciliser leur "cohabitation" dans l'école! Peut-être auraient il eu besoins de temps et de recul. De former leur chemin tout seul afin de pouvoir savoir mieux qui chacun était. Et le pire, c'est que moi je ne savais pas ! Il n'y avait pas une conversation auquelle je glissais un mot sur ma famille où mon pays! J'avais bien souvent pris le titre de l'un pour être deux auprès de tou et en particulier avec Alarìc en jouant les mères et la soeur! L'amie et aussi la confidente! Peut-être qu'au fond, ça me manquait réellement. Avais-je ma place ici !? Peut-être était-ce bien que je me positionne et me questionne sur l'existence de ma vie. Tout m'avait toujours parru facile et rose. J'avais réussit, même si j'avais tout eu crut dans le bec. Je n'étais pas de celle qui faisait chier ou bien malheur avec ses fauses utopies et convictions. J'étais bien là, à trop savoir ce que je voulais, mais pas ce que je manquais et pouvais perde au dépend de ma sastifaction précaire.


Ainsi je le regaidai stupéfaite, je posai une main sur son épaule et lui dit souriante mais timidement... C'est bonj e comprends avec ma logique mais pas mon coeur, j'ai besoins de temps pour l'accepter...

Dis-je plutôt rangée et fatiguée à chercher ses mots. Que pouvais-je ajouter! Il avait raison, mais j'avais mes raisons. Il était si beau, intelligent et gentil, parfois! à sa façon! Toutes les filles lui courraient après et j'avais peur de le perdre. Jamais lui semblait s'inquiéter ou jaloux de moi. Comme si au fond il me prenait pour acquise. Il fallait dire que c'était presque certain que je lui garderais une place pour lui, dans mon coeur! Peut-être était-ce par mon comportement qu'il n'avait pas à prendre place dans ces émotions. C'est dont pour celà que je laissai tomber et que je dupe à lui donner raison. Il restait que j'étais débalancée et que je sentais que je devais changer et me retrouver. Dire que je ne croyais pas à ce genre de chose! Je trouvais celà stupide advenant d'un autre, comme si on ne savait pas qui on était! On vivait ensemble, qu'un avec nous-même! Mais on n'était pas là pour juger et remarquer nos manies, gestes, comportements et airs. . .

C'est bon je comprends, mais j'aurais voulue que tu comprenne que j'ai beaucoup de peine et que j'avais droit à mes réactions. Que je suis comme je suis et que tu peux pas me changer necessairement. Sinon ça serait égoïste, si on peut dire que tu ne m'aime ou m'endure que de sorte à ce que ça te sastifaisse. Je t'ai peut-être demander la même chose mais je le faisais après te donner tout l'amour et l'affection que j'avais. ET c'est injuste que ça soi toujours moi qui nous réunissent et qui vous parle pour que vous dénier à me voir ! Je me sens parfois tranparente à côté de mes frères qui réussisent les mieux que les autres et que moi !! Mais je ne t'en veux pas mais je voulais seulement être là avec vous pour avoir le présentiment que ce que je chéris le plus me soit réussit et garder. Mais je m'excuse.... Je n'ai pas su lâcher prise plutôt que de me battre. Et j'ai brimer vôtre amour pour moi par la liberté d'affection que vous pourriez avoir en somme. .

Fis-je honteuse, je passai ma main dans mes cheveux et lachai un soupir! Je retenu quelques larmes, de peur de par¸aitre stupide. Je n'avais pas le goût de me dévoiler sous cette angle. Je voulais être plus forte que celà et réussir seule, maintenant que je me sentais quelque peu abandonée. J'avais fais un grand pas et m'étais même assumée. Ce que je considérais comme une petite fierté et du courage advenant de moi, malgré mon orgueil. Un point pour moi e une note à conserver. Ce m'était pas une bataille mais au moins je pouvais savoir comment je réagirait dans ce cas là! Au dernier recours. Ça commençait à tourner trop en rond pour moi et trop en faveur de Alarìc. Et peu importe encore une fois,ses intentions, ça me faisait chier! J'étais bien souvent l'adapter social et la sage de plusieurs!! là, c'était le contraire!
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