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THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD

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Madeline B. Rookwood
Madeline B. Rookwood


Je suis la préfète en chef, la reine des reines.

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MessageSujet: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptySam 15 Jan - 16:51


LET'S MISBEHAVE
ABI & MADDIE


    Comment était-ce possible ? Comment moi, Madeline Rosier, digne descendante de la ligné au sang purs des Rosier, grande prêtresse de la fête et des soirées, je pouvais m'ennuyer un vendredi soir ? Voilà qui relevait du mystère, et qui était suffisamment irritant pour que j'en fasse un scandale. Assise comme une grosse tomate molle devant le feu de cheminé de la salle commune, je ne cessais de pousser des soupirs las, au grand dam de mes camarade de Gryffondor. En voyant que j'étais soulante, je ne put m'empêcher de soupirer de plus belle. Oui, j'avais pour habitude de ne jamais faire les choses à moitié. Quand Lucy me fit remarquer que j'étais chiante, je lui répondis d'un ton acide « Tu peux toujorus dégager dans les dortoirs, je m'en voudrais de déranger la reine des blondasses hyper-oxydée » Ma réplique arracha un sourire à mes amis et un air indigné à l'autre. « Qui s'y frotte s'y pique. » susurra d'un air ravi Billie et me tapant dans la main. L'offensée fit une moue digne des plus mauvaises actrices et finit par monter dans les dortoirs d'un pas raide. L'ennuie était une chose terrible chez moi. J'en devenais insupportable, et mon égo déjà sur-dimensionné ne faisait qu'augmenter encore et encore. Et tant pis pour celui ou celle qui aurait envie de trouver quelque chose à re-dire sur mon caractère. Au fond, j'étais resté une gamine, et je l'assumais parfaitement. On aurait put penser que devenir maman m'aurait fait grandir, mais pas le moins du monde. Peu à peu, la salle commune se vida, et je m'ennuyais de plus en plus, mais je n'avais pour autant aucune envie de dormir. Je me glissais en douce derrière le portrait et parcourus le château désert.

    Sans vraiment m'en rendre compte, j'arrivais devant la Salle sur Demande. Je ne l'avais moi même jamais utilisé, ce qui n'était pas le cas de Luka'. Je savais qu'elle était là, juste en face de moi, et je savais exactement quoi faire pou la faire apparaitre. Je multipliais donc les aller-retour devant un pan de mur en pensant à une salle pas vraiment spécifique, juste une bête salle vide. En ouvrant les yeux, je vis enfin la porte. J'entrais rapidement dans la salle et refermais la porte derrière moi. La salle de taille moyenne était vide. Je réfléchi à ce qui pourrait l'arranger, et peu à peu, elle se remplit de coussins, tapis, canapés, poufs, table basses et autre livres. Je m'affalais sur un tas de coussin en me demandant ce qui pouvait bien manquer. *un peu de musique...* A peine avais-je pensé ça qu'un tourne disque apparut sur une table basse, et en dessous, une pile de Vinyle. Je me précipitais dessus, comme une gamine le matin de Noël. Sur la pochette du premier Vinyle, en gros s'étirait "let's misbehave". je connaissais cette chanson, pour l'avoir si souvent fredonné et entendu chanter par des "amis" moldus, vu en cachette de mes parents. Je plaçais le vinyle sur le tourne disque. La musique se lança plutôt fort dans la salle. J'éclatais de rire comme par réflexe. Je me levais d'un bond et me trémoussais au rythme de la musique, et chantant pour un publique invisible. Une vraie gamine, mais ne vous avais-je pas prévenu ?




    nombre de mots 547


Dernière édition par Madeline B. Rosier le Dim 16 Jan - 11:05, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptySam 15 Jan - 17:21

Vendredi soir ...
Fin de semaine.
Début du weekend.
Et pourtant rien, mes amis étaient en couples, certains dormaient, certains lisaient, certains jouaient, certains bai... On connait la suite.
Enfin bref, tout le monde occupé sauf moi. POur ma part, j'étais plutôt préoccupée, je me sentais devenir de plus en plus dépendante à la nicotine. Je savais qu'il y avait sûrement des sortilèges ou potions pour empecher ca mais je n'en avais pas envie. Donc pour résumer, j'avais envie de fumer.
Je refléchissais aux conséquences ... Les élèves n'avaient pas le droit d'introduire de la drogue dans l'enceinte du château mais ... en était-ce ? Les professeurs sauraient-ils si je m'en allumais une à l'intérieur même de Poudlard ? Raaaaaaaaaah ! Je m'énervais contre moi même ! Partagée, comme à l'accoutumée, entre la raison et le coté obscur. Je cassais tout autour de moi. A l'interieur bien sur car en apparence, j'étais toujours calme et douce. Par exemple, à cet instant, j'étais dans un fauteuil quelconque, en train de fixer le feu avec insistance. Quelle activité trépidante ! Une de mes amies me proposa une partie d'échec, une autre un jeu de cartes, un autre encore de me joindre à son groupe. Je répondis tout pas la négative.
Mais comment faire ?
L'idée me vint tout d'un coup, comme, comme, comme ... Comme une envie de fumer. Et voilà que je recommence ! J'essayais de trouver une bonne comparaison mais cette foutue clope me revient à l'esprit.
Je crois qu'il est d'autant plus important à présent que j'aille assouvir mon envie ...
Je filais comme une flèche au dortoir, mettre un pull et prendre mon paquet, sans oublier ma baguette qui me serait indispensable pour allumer ! Sous le regard interrogateur de mes congénères, très peu nombreux à présent en raison de l'heure avancée, je sortis avec milles précautions de la salle commune et me rendit au septième étage : La salle sur demande.
Très peu d'élèves connaisaient son existence, ce qui rendait l'affaire d'autant plus facile. Mais en préparant mentalement ce que j'allais demender, je remarquai une porte. Tiens donc ! Que faisait-elle ici ? Il n'y en avait pas avant. J'en concluais que quelqu'un était peut être déjà dans la salle. C'était tout de même anormal que l'on puisse voir la porte, ou pas en fait ...
Bref, je me foutais de toutes ces questions.
Plutôt que de repartir, je m'avancais d'un pas franc vers la porte, tournais la poignée, espèrant trouver uen bande d'élèves d'ores et déjà en train de fumer (pourquoi pas après tout ?).
Mais je compris rapidement que je devais retourner en cours de divination, parceque prédire n'était pas mon truc.
En effet, je me retrouvais face à une fille qui se trémoussait joyeusement sur une chanson que je connaissais plus que bien. Let's Misbehave. J'identifiai cette fille comme étant "Madame-égo" comme il me plaisait de l'appeler, qui fréquentait le même cours que moi !
Elle ne m'avait pas encore remarquée, mais loin de vouloir me cacher, je pris mon paquet doucement et alluma une cigarette. J'essayais d'anticiper sa réaction quand elle me verrait.
Mais durant une demie-seconde, je ne fis que savourer la fumée dans ma bouche.
Hélas, les bonne choses ne durent jamais. La musique c'était arrétée et Madeline Rosier se tenait devant moi, les mains sur les hanches, visiblement décue que son quart-d'heure de folie se soit écourté de cette facon.
"Qu'est ce que tu fais là ?" me demanda-t-elle avec son air de garce froide et démentielle
"Je cherchais tout simplement un endroit pour fumer tranquillement, je suis entrée, et là je fume, c'est tout" lui répondis-je avec un sourire indéchiffrable.
Elle se redressa et ouvrit la bouche pour parler.
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Madeline B. Rookwood
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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptyDim 16 Jan - 11:04


    J'avais parfois besoin de relacher un peu la pression. Ca ne faisait de mal à personne et surtout pas à moi. J'étais constamment stressé, periode d'examen ou non, la plus petite chose sufisait à me faire entrer dans une crise de nerf terrible. J'étais comme ça, tout les psychologue n'y changerait rien. Le climat qui régnait depuis quelques mois déjà sur le monde magique n'arrangeait pas mon état, et je devenais complètement névrosé. J'étais déjà "sanguine" en temps normal, mais j'étais devenu une vraie bombe à retardement dernièrement. J'avais peur pour Noah, j'avais un mauvais pressentiment, et ça n'arrangeait pas mon état. On disait que j'étais dingue. On l'avait dit souvent. Alors parfois, j'avais un moment de folie, je retombais en enfance et oubliais tout. C'était mon moyen à moi pour me détendre. Et en règle générale, je ne supportais pas d'être interrompu par qui que se soit dans ce genre de moment. Trop occuper à me trémousser et à chanter, je ne vis pas la porte de la salle s'ouvrir. Quand la musique s'arrêta, je vis alors qu'une fille était là. Je la connaissais bien sur, elle suivait certains de ses cours avec moi. Je n'avais jamais prêté vraiment attention à elle. Elle faisait partit de la populace, et je ne fréquentais que les haute sphères de la société. J'avais des privilèges de sang pur et de plus, j'avais conscience de pas être comment n'importe qui. Je le jaugeais du regard, de ce même regard froid et hautain qui rendait les gens complètement dingue. Sans prétention aucune, je me savais supérieur à la plupart des gens. Le commun des mortels ? Très peu pour moi.

    Je lui demandais d'un ton froid ce qu'elle faisait là, ce qui était ma manière à moi de lui demander poliment de dégager. « Je cherchais tout simplement un endroit pour fumer tranquillement, je suis entrée, et là je fume, c'est tout » je la regardais inspiré une bouffé et lui lançais un regard dégouté. Beurk, les dents jaune, l'haleine qui va avec, la voix rocailleuse et l'essoufflement rapide ? Non vraiment, je m'en passerais. J'étais anti tabac, anti-alcool... Bref, une vraie sainte-ni-touche. Je ne voulais rien qui puisse abimer ma parfaite beauté. Bon, j'en rajoutais un peu, mais la cigarette aurait vite fait de pourrir mon joli visage, et ça, c'était hors de question. De plus l'odeur me répugnait. « Oui, et bin ici c'est mon endroit tranquille, alors je te prierais de bien vouloir t'en trouver un autre. » Je devenais facilement irritable quand on interrompait un de mes rares moment de détente, et il valait mieux ne pas trop me chercher... Mon regard frondeur se posa sur la cigarette. Fumer dans l'enceinte même du château... Était-ce interdit ? J'étais prête à parier que oui, mais dans le doute, je ne dis rien. En revanche le fait qu'elle fume dans la même pièce que moi me déranger fortement. « C'est une pièce fermée. Tu crois que ce serait trop te demander que d'aller empoisonner l'air ailleurs qu'ici ? Euh... Annabelle ? » demandais-je, un peu hésitante sur son prénom. Nous avions beau suivre certains cours ensemble, j'avais du lui adresser la parole deux fois dans ma vie, et son prénom m'échapper totalement. Je savais qu'il ressemblait plus ou moins à Annabelle, mais après ça... Il ne fallait pas non plus trop m'en demander.

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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptyDim 16 Jan - 11:47

Je sentais que ca n'allait pas être une partie de plaisir ce soir ... Ou peut être que si elle arrivait à se dérider plus tard. On n'en sait rien, seul l'avenir nous le dira ! Autant discuter, cela faisait toujours passer le temps. Je savais qu'il fallait que je me trouve un copain ... Mais il était aussi simple d'engager la conversation avec eux que de faire admettre à loup-garou qu'il faut manger des légumes !
Elle paraissaait totalement anti-clope, anti-tout ! Foooou, un peu chiante quoi ! Elle laissa parler son égo surdimensionné.
« Oui, et bin ici c'est mon endroit tranquille, alors je te prierais de bien vouloir t'en trouver un autre. »
Elle était totalement indisposée par la fumée de cigarette ... J'men foutais ! Après c'était une salle-sur-demande, on pouvait bien avoir notre coin à nous. Ce qu'on recherchait en venant ici c'était le calme et un moyen de se divertir, autant faire ca de notre cote mais dans la même salle. Un mur devrait pouvoir se matérialiser en moins de deux !
La fille devant moi était de plus en plus irritée et ne semblait pas avoir envie de partagerun moment qui ferait passer l'ennui ne serait-ce que 10 minutes.
« C'est une pièce fermée. Tu crois que ce serait trop te demander que d'aller empoisonner l'air ailleurs qu'ici ? Euh... Annabelle ? »
Qu'elle n'aime pas l'odeur, je suis d'accord. Qu'elle ne se souvienne pas de mon nom, ca peut passer. Mais alors qu'elle m'appelle autrement, ca j'aimais pas !
"Abigail. Je m'appelle Abigail Ama Asriel-Gyatso. Tu ne t'en souvenait pas, Madeline Rosier ?"
J'appuyais bien sur son nom. Une petite arrogance que j'aimais bien. Ce que ma mère n'aimait pas que je fasse. Ma mère. A sa pensée, mon coeur se serra. Elle me manquait tellement ... Bref.
De toutes facons, Madeline se foutait totalement de mon nom. Tant pis tant pis. Mais par contre j'étais décidée à rester là. Alors, sans un mot, je me dirigeai vers le fond de la pièce où ,déjà, des coussins moelleux étaient apparus. Je m'y assis sous le regard assez indéchiffrable puisque complexe, de Madeline B. Rosier.
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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptyDim 16 Jan - 17:37


    Ma nouvelle copine n'avait pas l'air de vouloir obéir à ce qui était des ordres mais que je tentais, avec plus ou moins de succès, de faire passé pour des conseils... amicaux. Elle avait plutôt mal choisit sa soirée. Je ne supportais pas d'être dérangé, j'étais arrivé ici la première, j'avais besoin de me détendre, et quand j'étais sur les nerfs, j'étais plutôt insupportable. Quand j'étais calme il fallait déjà s'armer de patience, mais si j'étais un peu sur les nerfs, j'en devenais imbuvable. Et tout ceux qui n'était pas ravit de la situation pouvait gentiment aller se faire foutre, ce n'était pas mon problème. Elle ne sembla pas apprécier que je me plante totalement dans son prénom. Elle me lança un regard noir auquel je répondis par un haussement de sourcils dubitatif et une moue impatiente, les mains sur les hanche. Elle me corrigea d'un ton froid qui m'arracha un sourire en coin. « Abigail. Je m'appelle Abigail Ama Asriel-Gyatso. Tu ne t'en souvenait pas, Madeline Rosier ? » Non, je ne m'en souvenais pas. J'avais du le savoir un jour, mais pour être totalement franche, je me foutais pas mal de son prénom ou de son dossier dentaire. Pour l'instant tout ce qui m'intéressais, c'était de savoir quand est-ce qu'elle se déciderait à me foutre la paix. Pas ce soir apparemment... « Oui oui, d'accord, c'est très joli Gabrielle. Enfin... hum... Abigail... Peut importe. » En tout cas, elle, elle me connaissait. Il faut bien dire que tous les sang purs de Poudlard étaient connut, et que je ne faisait pas exception à la règle. Personne n'ignorait quelle tête avait les enfants des plus grand noms de la magie : Wilkes, Lestrange, Londubat, Malfoy, ou encore Rosier.

    La dénommé Abigail ne se démonta pas pour autant, et s'installa sur un des cousins que j'avais fait apparaitre il y a tout juste quelques minutes. Je poussais un soupir las, peu désireuse d'entamer un combat ce soir. Je le regardais quelques secondes et finit par me diriger vers le tourne disque, bien décider à faire comme si rien ni personne n'était venu m'interrompre. En fouillant un peu parmi les Vinyles, je finis par trouver une autre chanson que je connaissais, toujorus pour les même raison que je connaissais Let's Misbehave. J'étais plutôt calée niveau univers musicale moldus. Oh bien sur personne ne le savais, mais j'avais passé tout un été, il y à quelques années, avec des moldus à écouter le vieux rock. Et ces chansons ne m'étaient jamais sortis de la tête. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je plaquais le vinyle. Aussitôt, la musique raisonna. Et je me levais d'un bond, me trémoussant et chantant, faisant fit de l'autre. Pardon, Abigail. « Gimme a ticket for an aeroplane ! »

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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptyDim 16 Jan - 17:57

« Oui oui, d'accord, c'est très joli Gabrielle. Enfin... hum... Abigail... Peut importe. »
Elle n'avait pas l'air de vouloir en savoir tant que ca sur moi ... Tant mieux, je n'étais pas du genre à étaler ma vie. Et puis là à vrai dire, je me foutais un peu de tout, j'étais peinarde sur mes coussins, je me foutais de ce qu'elle pensais, j'avais ma clope, je me foutais de ce qu'elle allait dire, j'étais zen.
Au milieu de mes sempiternelles pensées, je dinstinguais un soupir las, très las. A quoi bon vouloir faire face, s'expliquer. On venait ici pour être peinardes alors autant faire fit l'une de l'autre et se comporter comme si nous étions seules et que l'autre n'était jamais entré.
Je l'entendais fourager dans quelque chose, des vinyles me semble-t-il ... J'espérais en mon for intèrieur, qu'elle allait "nous" dégoter un bon vieux rock des Sixties que nous aimions écouter durant des jours et des jours avec mes parents. Cette culture musicale moldue me venait de ma mère qui, bien que contre l'attitude "sex, drugs & Rock'n roll", adorait la musique, les bon riffs de vielle guitare, les voix caverneuses de certains chanteurs déchirés à la coke et à force d'avoir trop gueuler dans le micro, et les plutôt aigueues de certains, comme le voulait la mode à cette époque. Du côté sorcier, nous avions les Bizzar'Sisters qui n'arrivaient même pas à la cheville des Hollies, de Procol Harum, des Beatles, des Moddy Blues, et j'en passe ... A ces moldus ont tant de choses bien, ils ne leur manque en fait que la magie ...
Bref, elle semblait avoir trouvé la chanson qui lui plaisit. J'écoutais avec délectation le petit grésillement du tourne-disque. Et enfin, The Letter des Box Tops ! Finalement, cette fille commencait à me plaire.
Elle recommancait à se trémousser au son du fameux "Give me a Ticket For an Aeroplane". Elle chantais aussi. Elle avait plutôt une belle voix.
Décidant que j'avais tout aussi bien le droit de m'amuser, je me mettais à chanter de même.
"Ain't got time to Take the fast train !
Lonely days are gone
I'm a-going home
My baby just wrote me a Letter"

Elle se retourna une demie seconde avant de poursuivre sa danse tout à fait désordonnée.
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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptyMer 26 Jan - 13:57


    Il ne faisait pas bon être pro-moldus ces derniers temps. L'atmosphère oppressante qui régnait sur le monde magique avait finit par gagner le château. Et j'avais, chaque jour, sous les yeux, la preuve d'un fossé qui se crée un peu plus à chaque seconde entre les sorciers. Chacun devait choisir son camps. Les simples d'esprits étaient persuadés que seuls les sang mêlés avait le pouvoir de choisir. Mais non. J'avais aussi un choix à faire. Un choix entre ma famille et mes amis. Oh bien sur je n'étais pas obligé de choisir dans l'immédiat, mais tôt ou tard, il faudrait que je me décide. Pour l'instant je me comportas de façon "normal", si j'avais un jour était normal. Je dodelinais de la tête au rythme de la chanson dont j'adorais le rythme. Une autre voix se joignit alors à la mienne pour continuer la chanson. Je me tournais vers Abigail, surpris de la voir continuer. Comme quoi, elle n'était peut être pas si nul que ça. Bon, d'accord, elle avait l'air hyper nul, mais j'étais peut-être un peu exigeante... Tout le monde ne peut pas être moi [je sors] Je ne me sentais pas étouffé par la modestie en tout cas... Je continuais la chanson avec elle, et notre duo n'était pas si nulle que ça ! Quand, avec un petit grésillement, la chanson prit fin, je fis un tour sur moi même.

    Je cherchais justement un miroir quand il en apparut au dessus d'une commode. Je me plaçais devant et pris une mèche de cheveux entre mes doigts. Avec une moue critique je regardais leur couleur brune et réfléchit quelques secondes. D'un battement de cil je devenais rousse, puis une autres seconde plus tard, mes cheveux était devenu noir corbeau. Je me tournais vers Abigail. « Tu trouve pas que le noir me donne mauvais mine ? » lui demandais-je l'air soucieuse. Je n'écoutais même pas sa réponse « T'as raison... Ça me donne l'air d'un cadavre... » Je secouais légèrement la tête de gauche à droite et je devins immédiatement blonde. Je souris et passais une main dans mes cheveux en m'observant sous tout les angles. Je passais une mains dans mes long cheveux désormais blond comme les blés et me recoiffais. Je me baissais à nouveau vers le tourne disque et souris. Je m'adressais à Abigail avec un petit sourire au lèvres. « Si je met Frank Sinatra tu pose ta cigarette ? » lui demandais-je de mon air le plus innocent. De toute façon j'avais bien l'intention d''écouter Fly me to the Moon, qu'elle le veuille ou non. Je posais le Vinyle et chantais avec Frank. « Fly me to the moon... »



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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptyDim 6 Fév - 11:27

Le duo continuait, et le résultat n'était pas si mauvais que ca ... Bon, j'allais quand même pas jusqu'a dire qu'on allait sortir un album, en vendre des millions à travers le monde, partir en tournée, dormir dans des palaces, se bourrer de caviar juqu'a ne plus pouvoir ingurgiter quoi que ce soit et tout le blabla. Mais c'était pas mauvais. L'ambiance se détendait quelque peu même si je sentait que l'orgueil de Madeline étouffait toujours son bon sens. Et alors ?
La chanson prit fin, et gracieusement, elle fit un léger tour sur elle-même. Le grésillement du vieux tourne disque s'estompa et le silence reprit sa place, sans être génant toutefois. Les pas de Madeline résonnèrent quand elle se mit devant un miroir. Elle entreprit un examen minutieu de ses cheveux, plissa légèrement les yeux et se retrouvai avec des cheveux roux puis d'un noir de jais. Cool ! une métamorphomage, je n'en n'avais jamais vu auparavant.
« Tu trouve pas que le noir me donne mauvais mine ? »
Je lui marmonnai quelque chose dans le genre "Ouaip, affreux", mais elle ne m'écoutait pas et continuait toute seule.
« T'as raison... Ça me donne l'air d'un cadavre... »
Bref, qu'est ce que j'en avait à foutre ? Elle renouvela le processus, se transformant en blonde. Puis elle se recoiffa et tourna vers les disques afin d'en choisir un autre. Tant mieux, j'en avait marre de ce silence !
Après un court instant à farfouiller, elle se releva, l'air satisait.
« Si je met Frank Sinatra tu pose ta cigarette ? »
Quel toupet celle là ! Quelle acrtice, son petit air innocent totalement faussé par son désir d'autorité sur les autres me donnait l'envie de rire. Je décidais néanmoins de m'éxécuter. Après une dernière boufée, j'écraisais la cigarette et fit disparaitre le cendrier.
« Fly me to the moon... »
La voix de ce cher Frank commencait à s'élever dans la pièce et les paroles retentissaient dans mon esprit. A quoi bon se priver, autant s'y abandonner. Je me levai pour commencer à danser. Madeline s'éxécutait déjà. Le sourire aux lèvres, je m'approchais d'elle, nous dansions face à face, les même pas, le même rythme, un accord super. Peut être le tout rendait bien, mais il n'y avait pas d'observateur extérieur, tantmieux dans un sens.
La musique terminée, nous n'avions prononcé aucune parole. Je me précipitais à une vitesse foudroyante vers les disques et dégotait enfin ce que je voulais. GOOD MORNING de la comédie musicale Chantons sous la pluie.
Et encore ce même rituel de danse et de chant. Aucune concurrence entre nous ne pointait, aucun dégou pour l'autre, bien que je retsais sur mes gardes et qu'elle devait en faire autant de son côté. Rien n'est plus sur en ces temps de politique de terreur. Quand il n'y eu plus de bruit, Madeline me désigna les disques et je me mis à la recherche de'une chanson plus douce et la trouvait sous l'air de End of the World de Skeeter Davis.
"Why does the sun go on shining"
Je m'affalais sur les coussins moelleux dont seul Poudlard avait le secret, fit un geste naturel vers mon paquet mais me ravisai aussitôt. Je n'allais pas briser cette douce sérénité installée entre nous. Ma compagne de soirée prit place à mes côtés. Peut être allait elle engager la conversation mais le disque finit, elle s'en alla chercher un autre et mit Tongue Tied de Charlie Winston, j'était surprise qu'il existe en 45 tours.
Puis elle revint s'assoir et ouvrit la bouche pour parler.
"Et donc eeeeeuh ... donc tes parents font quoi ?"
Question tout à fait anodine, pour engager la conversation, je n'étais pas sure de vouloir evoquer ma mère mais bon. Et puis peut être que la question avait un autre but.
"Mon père est botaniste et ma mère est morte"
Réponse simple. Je n'avais pas besoin de sa pitié, si tant est qu'elle en ressente. Mais je sentais un léger malaise s'installer en elle bien qu'elle n'en fasse rien paraitre.
"Et les tiens ?" demandais-je en retour.
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MessageSujet: Re: THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD    THERE IS SOMETHING WILD ABOUT YOU CHILD  EmptyLun 14 Fév - 18:05

    Ma nouvelle copine finit par obtempérer et éteignit sa ciragerette. Tant mieux. J'étais réfète. Je n'irais pas jusqu'à dire que lui donner des lignes ne m'aurait pas fait rire, mais ce soir je n'avais pas vraiment envie de voir un sursaut d'autorité venir me mettre d travers. Je n'avais pas besoin de ça, je m'estimais déjà bien assez à cran. Je remuais doucement la tête, un demi sourire au lèvre quand la Serdaigle me rejoignit. Je ne dis rien, je me contentais de fredonner les paroles, étonné moi même de ne pas les avoir oublié. J'avais écouté ces chansons en cachette il y à bien des années. Quand "on osait liberté". [saeeeez ♥] Aujourd'hui, jamais je ne ferais une chose pareille, c'était une pure folie. A Poudlard, c'était différent. Mais l'écoute d'une simple chanson moldu pouvait me valoir beaucoup d'ennui. Bienvenu dans le monde rose de la princesse des Rosier, j'ai nommé le merveilleux enfer de Madeline ! Ma vie aurait pu être plus simple, mais je ne m'en plaignais pas. Ma famille avait de l'argent, une bonne situation, et mon nom me donnait déjà les clés du succès et m'assurait une avenir tout aussi glorieux que cleui de mes ancêtres. C'est vrai que parfois, j'aurais voulu être un peu plus libre. Mais je n'étais pas la seule dans mon cas. La plupart des filles de ma condition, les demoiselles de sang purs, avaient les même contraintes. La grande majorité de mes amies étaient même fiancé à d'autre sang purs. Moi j'y avais échappé. Du moins je l'espérais. Dans notre univers archaïque, en générale, les fillette sont promit dès l'enfance mais ne le découvre que plus tard. Il est bien rare qu'une sorcière de sans purs quitte Poudlard sans être fiancée... Quel horrible destin ! Pour rien au monde je n'aurais voulu de ça ! Mais je sais que je ne me marierais probablement pas par amour. La présence de mon fils restreignait déjà les choix de ma famille. Noah était un enfant illégitime, et il serait dur de trouver quelqu'un qui l'accepterait et je commençais à avoir un mauvais pressentiment à son sujet. Je pourrais prévenir le père mais... Non, les secrets ont une durée de vie limité à Poudlard, et la diffusion d'une telle nouvelle jetterait le déshonneur sur ma famille. Si Luka venait à l'apprendre... Ce serait une catastrophe. Tandis qu'Abigail changeait les disques, je reprenait contact avec la réalité.

    Ma camarade de soirée s'affala sur les coussins alors qu'une douce mélopée s'élevait dans la salle. Je me dirigeais à nouveau vers le miroir, tirait une mèche de cheveux et devenait rousse. Je m'installais à côté d'elle, le dos droit, de mon habituel air supérieur. C'était devenu naturel chez moi. Ça faisait beaucoup rire mais amis, un peu moins les gens que je regardais inconsciemment de haut. Lorsque le disque se termina, j'en choisit un autre au hasard. Je ne connaissais pas, je ne prenait même pas garde à la musique. Mon quart d'heure de folie passé, je retombais dans mes angoisses et mes terreurs intérieurs. Je me réinstaller sur mon coussin et me tourner vers la Serdaigle. Puisqu'elle ne voulait pas sortir, elle pourrait au moins faire la conversation. Mais non, on est jamais mieux servit que par sois même. Je lui demandais ce que faisait ses parents. Une question anodine, dont la réponse ne m'intéressait même pas. C'était bien connu, à part ma petite personne, peux de choses été susceptible de m'intéresser. Elle me dit que son père été botaniste, et sa mère décédée. Je hochais la tête et ne dis rien. Qu'aurais-je pu dire ? Désolée ? Je n'avais jamais vraiment compris pourquoi dire ça... Je me contentais de ne pas insister, en lui demandent par exemple comment sa mère était morte. Ca ne me regardait absolument pas, et je n'avais aucune envie de détails sordide. Elle me demanda à sont tour ce que faisaient mes parents. Sans la regarder, concentré dans la contemplation de ma manucure, je lui dis « Mon père est le Directeur du Département des accidents et catastrophes magiques, ma mère est une femme au foyer névrosée. » simplement. J n'avais aucun grief contre ma mère, simplement elle était un peu névrosé, mais c'était le lot commun des famille de sang purs. La plupart de ces sorciers était des malades mentaux. Et encore, j'avais de la chance, les Lestrange étaient tous complètement taré, et Ulysse était certainement le plus dangereux d'entre eux. Mauvais comme la peste. Je chassais intriguant Serpentard de mon esprit. « Ton père est un sorcier ? » lui demandais-je. Ses deux parents ne pouvaient pas être des moldus, sinon elle serait à Grindelmonk, et c'était comme une évidence pour moi que si son père était encore vivant, c'est que c'était lui le sorcier de la famille. Non pas que les sorciers soient supérieurs, mais ça me semblait tout naturel. Pourtant, bon nombre des vieilles famille de sang purs été décédé dans des conditions plus ou moins obscures, et plus ou moins par la faute des moldus.
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