Etre le maitre de l’illusion devient de plus en plus difficile, je doit constamment être deux personne à la fois et je commence à avoir peur qu’un de ces jours je ne fasse une erreur qui me coute cher. Les gens qui nous entoure son rarement se que l’on crois d’eux voilà se que j’apprend à tout les jours. À certaine personne je dois me taire et agir comme si tout allait bien, alors que dans le fond j’aimerais leur crier les incohérences de leur penser, mais le faire m’amènerait aussi à faire face à l’incohérence de la mienne. J’espère que pour toi que t’es problèmes se régleront.
Annonyme.

Tout avait commencé par une lettre qui n’était destiné à personne. Elle avait été oublier dans un livre et quand Allistair était venu pour la récupéré une réponse avait été écrit, une courte tout comme ça lettre mais depuis ils s’écrivait, parfois une lettre par semaine d’autre fois le lapse entre les lettres était plus long tout dépendait de la charge de travail du jeune Allistair, ou de celle de cette anonyme mais se livrer à cette personne était une source de réconfort, elle apprenait à connaître le vrai Allistair, l’Allistair caché, la personne qui n’était pas un raciste finie, la personne qui s’inquiétait pour une amie très cher qui semblait avoir des difficulté, Bref elle avait appris à connaître celui qui se cachait derrière un mur de froideur, un mur de sarcasme et de vacherie. En plus elle avait la chance de le connaître sans savoir qui se cachait derrière ces mots, et surtout sans connaître cette partit de lui. Il relisait les mots qu’il avait touchés sur du papier hier soir en réponse à la lettre de cette anonyme. Il n’avait jamais réaliser à quel point il aimait cette relation bien caché, il pouvait tout lui dire sans avoir peur qu’elle ne pense qu’il mente ou bien sans entendre le fameux «Suck it up, et soit un homme tu es un Nott à la fin. »

Allistair était à la bibliothèque pour allez livrer la lettre. En fait l’histoire la plus drôle du comment cette lettre c’était trouver dans une livre que personne ne consultait jamais réellement c’était surtout parce que l’occupant de la table avant avait laisser ces livres sur la table alors après avoir terminer ces devoirs il avait pris la peine d’allez déposer tout les livres à leur place, par politesse pour la bibliothécaire quoi. Et il y avait oublié cette lettre. Allistair se remémorait se moment quand une voix bien claire lui parvenait au oreille. « Toi ! » Il se retournait rapidement vers le propriétaire de la voix. Une jolie blonde du Clan Weasley, Linoa Weasley pour être parfaitement exacte. Il la connaissait pour être la meilleure amie de Redbird, comment était-ce possible. Il c’était aussi retourner un peu trop rapidement qu’il en avait fait tomber le livre. Eh merde bonjours la discrétion. Mais son regard brun se reposât immédiatement sur la blonde en face de lui. Était-ce possible? Pouvait-elle être son anonyme, la réaction criait oui, mais qui savait réellement. Il se penchât pour attraper le livre tentant de comprendre mais dans le fond il se retrouvait face au mur, son identité était officiellement reconnue quoi. « Ca ne peut pas être toi... » Il se relevant un mince sourire au lèvre, il ne c’était pas tromper elle était anonyme, sa réaction expliquait tout. Il était tenter de tout nier en block mais nier ne l’amènerait pas bien loin. Elle aurait bientôt fait de lire les mots de cette lettre et après l’avoir vu avec ce livre elle saurait que se serait lui. Il ouvrit donc le livre à la page de la lettre et la pris pour la lui tendre.

« Je suppose que je ne suis pas celui à qui tu t’attendais. »

Ca voix n’avait aucune trace d’arrogance ou quoique se soit de toute façon elle en savait plus sur lui que même ces meilleurs amis à serpentard. Et il devait avouer être un brin sur le choc lui même. Et pourtant il ne devrait pas être surpris de se qu’il connaissait de Linoa elle était une amoureuse de la nature, le choix du livres tombait presque de soit. Et pourtant il était surpris.

J'étais sous le choc, je ne m'étais pas du tout attendu à ça. Déjà j'avais imaginé notre première rencontre autrement, un peu naïve surement, mais j'avais songé à quelque chose de plus magique, une rencontre prévu, un rendez vous au parc ou près du lac. On se serait regardés, on se serait souris et surtout, on se serait compris... J'avais du mal à me faire à l'idée que ce pouvait être lui. Je n'imaginais de toutes façons pas un Serpentard, mais en y repensant, c'était plutôt logique, toutes les lettres au sujet de cacher sa véritable nature, de l'épuisement que cela lui procurait. Les seuls mots que nous avions pu échanger n'étaient pas tout à fait des gentillesses, plutôt l'inverse. Dire que pendant ce temps, j'avais ces mots en tête. J'étais incapable de faire le moindre mouvement, bloquée, je reste impassible et immobile, l'observant dans le blanc des yeux. De son côté il semblait étrangement serein, ce qui me perturbait d'autant plus. Il me tendait cette lettre avec tant d'aplomb que j'étais presque effrayé par son calme. Je la récupérais, mon regard se détacha de celui du Serpantard pour se poser sur cette fameuse lettre, plus de doutes possible alors.

« Je suppose que je ne suis pas celui à qui tu t’attendais. »

S'il n'étais pas celui à qui je m'attendais, oh non, ça c'était certains. Mes yeux se levèrent de nouveau vers mon correspondant, je devais avoir l'air stupide avec cet air béat sur le visage franchement. Allez Weasley, réveille toi franchement, c'est pas un fantôme ou un monstre que tu as devant toi, mais un être humain. En tout cas j'espère retrouver celui que je trouvais dans mes lettres, j'avais tellement l'impression d'être connecté à cette personne. Une connexion spéciale, un lien très fort s'était crée, du moins de mon côté...

« C'est le moins qu'on puisse dire. »

Je lui adressais un léger sourire, encore un peu septique, et si jamais c'était orchestré par lui et ses amis pour se foutre de moi depuis le début. Certains élèves de cette école étaient bien capable de faire ce genre de choses franchement, j'étais peut être un peu parano, mais j'avais appris à l'être. Je m'asseyais alors, appuyé nonchalamment contre les étagères et j'ouvris la lettre qui m'était destinée.

Etre le maitre de l’illusion devient de plus en plus difficile, je doit constamment être deux personne à la fois et je commence à avoir peur qu’un de ces jours je ne fasse une erreur qui me coute cher. Les gens qui nous entoure son rarement se que l’on crois d’eux voilà se que j’apprend à tout les jours. À certaine personne je dois me taire et agir comme si tout allait bien, alors que dans le fond j’aimerais leur crier les incohérences de leur penser, mais le faire m’amènerait aussi à faire face à l’incohérence de la mienne. J’espère que pour toi que t’es problèmes se régleront.
Annonyme.

« Tu es si... odieux, arrogant, j'ai du mal à croire que tu es pu écrire de telles choses. »

Il n’était définitivement pas celui à qui elle s’attendait il le savait mais étrangement il aurait aimer qu’elle lui fasse une toute autre réponse que : « C'est le moins qu'on puisse dire. » Il savait qu’elle le jugeait, elle n’était qu’une autre parmi tant d’autre. Tout le monde jugeait tout le monde, même lui, ne pas avoir partager toute ces lettre avec elle il l’aurait surement affronté et il l’aurait regarder de haut. Mais malheureusement ils avaient toutes ces lettres derrières eux et c’était difficile de s’arrêter simplement au nom, de s’arrêter à tout se qui en elle l’énervait. Tout ça parce qu’il savait qu’elle n’était pas aussi simple que cela, elle avait des passions, des problème comme tout le monde, bref sa vie n’était pas toute rose comme il l’aurais imaginer sans ces lettres. Malheureusement son cas à lui était plus difficile. IL avait une dure réputation derrières lui, il était un petit con, égocentrique, prétentieux, charmeur il était vrai mais il avait un mauvaise réputation pour toute personne respectable. Et il savait qu’elle n’avait encore plus de difficulté à voir l’homme qu’elle avait imaginer en lui, parce que l’homme des lettres ne se montrait pas si facilement. Il réussissait à garder une façade calme alors qu’en lui il était tout sauf calme, il savait qu’elle lirait la dernière lettre qu’il lui avait écrite, il savait qu’elle aurait des questions, des commentaires. Bref alors que lui aurait été surpris de ce trouver face à une serpentard elle devait être encore plus surprise de se trouver face à lui. L’heure du jugement final était arriver quoi. Il l’observait s’asseoir par terre et ouvrir la lettre et il finit par en faire de même s’asseoir face à elle dos contre l’étagère en soupirant, elle voudrait surement lui poser des question ou il ne savait quoi mais la tourmente dans sa tête n’était pas le moins du monde sur le point de se calmer.

« Tu es si... odieux, arrogant, j'ai du mal à croire que tu es pu écrire de telles choses. » Il émit un simple petit rire amuser. C’était simple comme bonjour ça s’appelait la survivance du plus fort quoi. Il avait toujours été ambitieux il voulait diriger quoi, et pour cela il avait toujours eu pour impression que pour cela il devait devenir le plus fort. Et malheureusement pour cela il devait apprendre à être le plus fort, compétitif, méchant, froid, abaisser la compétition. Du moins dans sa tête de gamin de onze ans voilà se qu’il croyait qu’il avait besoin. Et après au fur et à mesure de ces rencontre il avait changer mais il avait déjà établit sa réputation alors il avait continuer et puis ce n’était pas si difficile il humiliait les gens qu’il détestait, avait de nombreuse fréquentation qui acceptait de jouer le jeux. Bref il réussissait à être deux personne à la fois mais toute les planification était se qui était devenu difficile pour lui. Il ne voulait pas être pris la main dans le sac. Mais la vérité était encore plus simple, il avait écrit tout ces mots parce qu’il en avait marre, ces mots lui avait servit un peu comme défouloir.

« J’ai écrit ces mots pour me défouler, la première lettre disait vrai, personne n’était réellement supposer la voir un jours, j’en avait marre d’être la personne que je n’était plus, j’en avais marre qu’on me voit pour se que j’avais fait et que personne ne tente de voir la personne derrières le masque, oui je suis odieux et arrogant je ne mentirais pas mais de nombreuse personne connaisse l’autre personne que je suis aussi mais elle existe. Alors j’ai décidé d’écrire et c’est un peu par accident que tu as eu cette lettre mais se que j’ai écrit dans toute c’est lettre était la pure vérité. »

Il savait qu’il aurait l’air étrangement calme mais bon elle voulait la vérité elle l’aurait, il n’avait pas de difficulté à l’imaginer être son anonyme, il était seulement surpris que de toute les personne que cela aurait pu être c’était Linoa Weasley mais en y repensant sérieusement il savait que c’était elle, tout collait.

Cette école était un véritable champs de bataille, impossible de se montrer sous son vrai jour sans risquer de blesser des gens que l'on appréciait ou simplement pour faire honneur à son nom. C'était si puéril, mais on avait pourtant tous les mêmes réactions finalement. Après tout les Serpentard n'aimaient pas les autres élèves d'autres maisons, mais ces derniers le leurs rendaient bien en général. Ce monde n'était fait que d'apparence et de honte, c'était effrayant de se dire qu'une telle chose finissait par sembler normal au fil des jours, mais c'était le cas. Je commençais peu à peu à me faire à cette idée, Allistair était mon mystérieux inconnu, celui qui avait réussi à me faire chavirer avec de simples mots sur du papier. Aurait il eu un intérêt à me mentir ? Je penses que si ces lettres avaient été dévoilés, j'aurais déjà eu droit à des moqueries de la part de ses camarades. En effet, elle avait des questions, des millions de questions lui trottaient actuellement dans la tête, seulement elle était bloquée, paralysée, aucun son audible ne sortait de sa bouche. Quelques pensés futiles qui ne pouvait lui parvenir. Je posais la lettre sur le sol de la bibliothèque. Je ne me souciais pas vraiment des alentours à cet instant, j'étais concentré sur la scène qui se jouait entre moi et Allistair, j'aurais été incapable de le dire si quelqu'un nous épiait, et c'était franchement le dernier des mes soucis pour l'instant.

« J’ai écrit ces mots pour me défouler, la première lettre disait vrai, personne n’était réellement supposer la voir un jours, j’en avait marre d’être la personne que je n’était plus, j’en avais marre qu’on me voit pour se que j’avais fait et que personne ne tente de voir la personne derrières le masque, oui je suis odieux et arrogant je ne mentirais pas mais de nombreuse personne connaisse l’autre personne que je suis aussi mais elle existe. Alors j’ai décidé d’écrire et c’est un peu par accident que tu as eu cette lettre mais se que j’ai écrit dans toute c’est lettre était la pure vérité. »

Je lui adressais un nouveau sourire, mais celui ci était différent des autres, il n'était pas déguisé, un sourire authentique, véritable, très spontané dans un sens. Je m'appuyais doucement sur mes poignets pour me relever quand Allistair me tendit sa main, je la pris sans réfléchir et fut alors debout face à lui. Deux heures plus tôt, je vous aurai surement dit qu'il n'était qu'un être stupide et sans coeur, mais après avoir percé sa peine à jour à travers toutes les lettres qu'il m'avait envoyé, je ressentais une certaine compassion, tous ces mots prenaient plus de sens, je me confrontais à la réalité des choses, je n'avais plus vraiment le choix désormais. Je remis mes cheveux en arrière, ses derniers avaient tendances à toujours me cacher le visage.

« Tu es devenu celui que tout le monde voulait que tu sois. »

C'était tellement plus simple de jouer un jeu pour rendre notre entourage heureux, après tout à force de jouer un rôle, on finit par s'y perdre et ne plus vraiment savoir qui l'on est en réalité. Je jouais parfois ce rôle moi aussi, lorsque mes parents me demandaient des nouvelles de Lysander et que je leurs mentais éhontément pour ne pas leurs expliqué qu'il faisait parti de ces crétins qui martyrisaient les autres. Je ramassais la lettre et ajoutais à l'attention de mon confident :

« Tu n'y verra pas d'inconvénients si je la garde. »

Il la voyait se détendre dans un sens il voyait bien qu’elle avait finit par comprendre la complexité des choses ou de la situation d’Allistair. Elle lui avait même sourit, c’était déjà mieux que la Linoa du début, celle pétrifier, certaine qu’elle était victime d’une mauvaise blague. C’était sincèrement plutôt étrange comme situation mais si il n’avait pas été à faire certain qu’aucun autre serpentard n’était dans les parages ouais il était peut-être une personne différente de se qu’on pensait malheureusement il était fortement attacher au apparence, il ne se ferait jamais prendre par l’un de ces serpents. Premièrement parce qu’il savait à quel point ces parents comptait sur lui maintenant, et aussi et bien personne connaissait comment un serpentard réagirait à cette situation mieux qu’un serpentard quoi. Mais le champ était libre alors il pouvait se concentrer sur la situation face à lui. Il s’apperçu à se moment qu’elle allait se lever, il était un rapide, en deux second il était debout et il tendait la main à Linoa. Mains qu’elle pris pour l’aider à ce lever. Une fois debout il lui fit un mince sourire se demandant se qu’elle allait faire maintenant. « Tu es devenu celui que tout le monde voulait que tu sois. »

Wouah il était impressionner, habituellement quand il se révélait vraiment au grand jours les gens pensait halluciner et on ne sais trop quoi d’autre mais elle semblait parfaitement avoir bien compris qui il était. Il était habituer au gens qui le jugeait et c’était toujours de la mauvaise façon mais elle non, elle avait compris exactement se qui se passait dans la tête du jeune brun. Mais en même temps elle savait exactement se que c’était d’être un sang pur hein. Même si sa famille ne répondait pas nécessairement au critère des familles comme celle des Notts, ils savaient se que les gens expectait d’un sang pur. On s’attendais d’eux à se qu’ils soit un peu les roi et les reine de l’école, et quand l’un d’entre eux ne répondrait pas à ces critère on les traitait en traite. Tout le monde connaissait le cas Classique de MacNair Filles, même chez les sangs purs on connaissait son nom. Se qui faisait la différence chez Linoa était que sa famille était beaucoup plus ouverte que celle d’Allistair même si on pouvait croire que non.

« Exactement, un copie conforme de tout ces serpentard de bonne famille, et bien sur un sang pur parfais. Tu n’as pas idées de la chance que tu as d’être une Weasley, aucune chance qu’on te fiance sans ton accord, à un esprit tordu, pas besoin d’insulter des gens que dans le fond du respecte et adore. Tu n’as pas idée de combien de personne avec qui je suis proche doivent endurer mes insultes publiquement parce qu’un de mes potes à décider qu’elle était la cible du jour. »

Et même qu’elle en connaissait personnellement deux d’entre elle, et une troisième était un peu indéfinie à ce moment. Mais bon ce n’était pas seulement devenu épuisant pour le jeune brun avec tout se qu’il savait en se moment il pensait par moment exploser et à d’autre moment tout sortait tout seul, souvent en présence d’une personne qui énervait sincèrement le jeune homme. Oui parce qu’il ne prétendrait jamais être une personne honnêtement gentille, non il était réellement capable d’être cruel mais non pas selon les critères qu’on pensait de lui, plutôt selon des critères personnel, et l’un d’eux faisait en sorte qu’il ne s’aimait pas tout les jours lui même. « Tu n'y verra pas d'inconvénients si je la garde. » Il reportât son attention vers elle soudainement et sourit. Non elle pouvait la garder sincèrement. Elle lui était destinée après tout, tout se temps, toute ces lettres lui était destinée à elle, et elles n’étaient pas le types de lettre qu’on envoient à une amie pour la réconforté ou la rassurer que tout irait bien, ces lettres n’étaient pas de celles qu’on envoyait à ces parents en leurs disant que tout allait bien, non elles étaient de celle ou on s’ouvre à une autres parce qu’on ne connaît pas qui était derrière notre plumes. Il se demandait si il lui serait possible de pouvoir continuer à lui écrire, seulement cette fois ce serait différents ils sauraient tout les deux à qui ils s’adressaient. Etaient-ce possible? Il lui fit un sourire en hochant la tête.

« Bien sur garde la elle était pour toi après tout non? »

Je devais me faire une raison après tout, et puis si jamais il se fichait de moi, je n'étais plus vraiment à une humiliation près de toutes manières, on ne peut pas vraiment dire que les sangs purs m'épargnaient en général, j'avais presque l'habitude de tout cela. Il avait l'air sincère, et je crois qu'une partie de moi voulait le croire, une partie de moi était si heureuse de rencontrer enfin celui qui avait partager ces trois années (si ça ne te convient pas dis le moi) avec des lettres. Je lui avais confier beaucoup de choses, j'avais ce sentiment d'être comprise pour l'une des rares fois depuis que j'étais entrée dans cette école. Le voilà, face à moi, le grand Allistair Jorgen Nott et rien, pas une engueulade, nous étions en train de sourire simplement. Nous avions même presque entamer une discutions, vous m'auriez dit ça hier, je vous aurais regarder en éclatant de rire. Je ne vous aurai pas du tout cru, franchement qui aurait pu croire à une amitié possible entre ces deux là, allait elle en parler avec ces amies d'ailleurs, comprendrait elle cette situation ? Il est vrai qu'elles partageaient normalement tout, elles se disaient ce qu'elles ressentaient, ce qui se passait dans leurs vies, de toutes manières, elles le verraient si je mentais. Elles me connaissaient par coeur. Sa situation n'était pas du tout évidente, elle comprenait ce qu'il pouvait ressentir, du moins, elle comprenait son mal être, n'étant pas dans sa situation, elle ne pouvait pas savoir ce qui se passait dans sa tête.

« Exactement, un copie conforme de tout ces serpentard de bonne famille, et bien sur un sang pur parfais. Tu n’as pas idées de la chance que tu as d’être une Weasley, aucune chance qu’on te fiance sans ton accord, à un esprit tordu, pas besoin d’insulter des gens que dans le fond du respecte et adore. Tu n’as pas idée de combien de personne avec qui je suis proche doivent endurer mes insultes publiquement parce qu’un de mes potes à décider qu’elle était la cible du jour. »

Ce qui était certains, c'est qu'il remplissait son rôle à la perfection, je ne me serais jamais douté que derrière sa façade de "bad boy" se cachait quelqu'un avec un coeur, un garçon sensible et torturé par sa condition. C'est amusant qu'il dise qu'elle était chanceuse d'être une Weasley, c'était surement la première fois qu'un Serpentard prononçait de telles paroles. Seulement ce n'était pas si simple que ça d'être une Weasley, au contraire, les moqueries continuelles, croyez le ou non, la faisait souffrir, elle restait de marbre face à toutes ses insultes, aujourd'hui, elle avait cette capacité, elle était plus forte, elle s'était endurci avec les années, mais en première année, c'était très difficile pour elle d'être victime de tout cela. Pas de soutien du côté de son grand frère, une famille morcelé, au bord du gouffre. Je ne saisissais pas bien en quoi il m'enviait.

« quand tu veux on échange ! » fis je, la tête baissée.

J'aimais ma famille, j'aimais mes parents, mes frères et soeurs aussi, même si de temps à autre, on ne se comprenait plus, même si on s'était perdus. Seulement il m'arrivait fréquemment de me demander ce qu'aurait été ma vie si jamais j'étais une fille plus simple, une sorcière sans nom, qui n'inspire ni haine, ni dégout, ni humiliation. Je mis la lettre dans ma poche en souriant, c'est vrai, cette lettre avait été écrite pour moi, encore un peu sonnée, j'avais tendance à négliger ce détail. J'adressais un autre sourire à mon interlocuteur. C'est alors que quelqu'un se pointa derrière, un pote de Allistair surement, il ne me disait rien mais portait les couleurs des Serpentard. Je fis alors mine de regarder les livres, je ne voulais pas lui attirer des ennuis inutiles. Cela n'avait aucun intérêt...

Allistair n’en revenait pas à quel point c’était facile parler avec Linoa, si il avait su il aurait fait en sorte de rencontrer cette personne à qui il écrivait depuis si longtemps bien avant. Même si il devinait qu’elle prenait encore ces gardes avec lui. Après tout il avait pas une super réputation auprès des gens par moment quoi. Surtout quand ces personnes étaient comme Linoa reconnue pour quelque chose que lui n’était pas reconnue pour. Ouais disons que sa réputation de protecteur était pratiquement inexistante en dehors de quelque cas célèbre tel que Celui ou il avait sauvé Jillian lors d’un match de quidditch, ou celui ou il avait sauvé la peau et l’honneur de la jeune femme. Mais en général ces aventures de preux chevalier ou de personne honnêtement bonne étaient complètement inconnues. Alors le scepticisme de la jeune femme était plutôt compréhensible. Bien que par moment il en avait plutôt marre de recevoir le jugement des gens qui ne savait voir plus loin que le bout de leur nez.

Toutefois il ne voyait plus de jugement derrière le regard de la jolie blonde, non elle semblait plutôt avoir bien compris. C’était sa ou elle se préparait une réplique qui allait le tuer. Un des deux quoi. Il en était plutôt mal à l’aise mais il avait encore plus peur de se qui arriverait si un de ces potes apparaissait au détour d’une rangé il est vrai que Linoa était une sang pur, malheureusement tout les potes du jeune homme prenait un malin plaisir à se moquer de cette pauvre femme, devant elle mais aussi derrière elle. Disons seulement que ces dernier n’était pas reconnue pour leur amitié. « quand tu veux on échange ! » Il eu un sourire amusé, elle était soit suicidaire soit une bonne actrice pour vouloir sa vie. Mais il n’avait aucun doute que si elle le voulait réellement cela saurait arriver. Après tout si il avait de bon souvenir le frère de la jeune femme était lui même à Serpentard.

« Attention à se que tu souhaite ma belle. Euh… désoler vieux réflexe… »

Il avait parler avec un sourire dans sa voix mais cela avait été rapidement interrompue. Du regard il avait vu une ombre passer mais la réaction de Linoa avait tout dit. Un serpentard dans les parages, et une autre en dehors d’Allistair Jorgen Nott. Il se retournât une chance qu’il avait encore un livre dans les mains. Et un sourire au moins se serait l’un d’entre eux qui n’avait aucune cervelle. Il avait une amie qui l’aurait appeler un zéro de quotient. Mais bon le mélanger serait tellement facile ils pourraient même s’amuser à le faire.

« Mac. »
« Allistair, qu’est-ce que tu fou ici? »
« Projet, recherche tu sais la routine. »
« Ah… »

Si Linoa avait pu voir le visage fier et confiant d’Allistair à se moment elle se serait surement demander si il avait du plaisir et il devait avouer qu’avec la réplique qu’il préparait lui même en aurait douter.

« On aurait pu douter! »
« Douter de quoi, t’as zéro cervelle c’est même un miracle que tu puisse penser à te lever pour allez au toilette sans avoir quelqu’un pour te le rappeler. »
« Euh… »

Oh merde il avait complètement oublié que Mac avait réellement zéro cervelle. Mais déjà complètement mélanger ce dernier s’éloignait tentant de comprendre se qu’Allistair avait dit et lui se laissait allez contre une des ranger en soupirant. Il en avait marre réellement et malheureusement il ne pouvait pas vraiment démentir qu’il avait été cruel et se demander si Linoa allait réellement vouloir lui parler après se coups ci.

Je pensais chacun de mes mots, ils étaient tous peser et prenaient un sens particulier pour moi. J'aurais tellement aimé avoir une autre vie parfois, comme on dit, l'herbe est toujours plus verte de l'autre côté. Cet adage se vérifiait bien avec nos expériences personnelles, nous aurions tous deux aimer être quelqu'un d'autre. Après réflexion, il est vrai que je n'aurais pas trouvé ma place chez les serpentard, être arrogant, con, puéril et mesquin, ce n'était pas mon truc, ils n'étaient pas tous comme ça, c'est certains, mais honnêtement, il fallait se rendre à l'évidence, la plupart d'entre eux n'était que des pions dirigés par papa maman qui suivaient les principes que l'ont leurs avait éduqué. J'étais surement dure dans mes pensées, j'avais toujours eut un esprit plutôt critique. Je pouvais me montrer intransigeante avec ceux qui m'entouraient, comme je pouvais l'être avec moi d'ailleurs, j'avais des principes, une morale que je ne trahirais pour rien au monde, je préférais être la risée de cette école plutôt que de répondre à un modèle attendu pour un sang pur. Ma belle hein ? Ces mots sortis de la bouche du jeune homme aurait fait crier de joie tellement de filles, pour ma part, je les trouvais surfait, faux dans un sens puisqu'ils s'appliquait à chacune des minettes qu'il rencontrait. Je ne le blâmais pas pour les avoir utilisé, après tout les habitudes ont la vie dure.

Un de ses collègues se pointa alors en plein milieu de cette conversation. Allistair ne faisait pas parti des fanatiques d'horticulture, c'est vrai que le voir ici devait paraitre étrange. Déjà à la bibliothèque, mais en plus dans ce rayon, son ami avait du entendre sa voix et voulait le saluer. Enfin ami, vu la façon dont il le traitait, on pouvait sérieusement douter du fait qu'ils soient proches. Je ne savais rien de la vie d'Allistair, mais à cet instant, en voyant son visage lorsqu'il se moqua éhontément de ce serpentard - que j'aurais presque pris en pitié - des questions vinrent trotter dans ma tête, ce sourire satisfait, cette voix aussi glaciale qu'un iceberg, il prenait du plaisir la dedans, je l'aurais juré. Soit son jeu d'acteur était impressionnant, soit il me menait en bateau, dans les deux cas, c'était un menteur du tonnerre. Je regardais son compatriote s'éloigner en silence, faisant toujours mine de feuilleter ce bouquin. Le double jeu qu'il jouait était malsain, ça finirait par le briser.

« Tu devrais faire attention, à force de paraitre comme ça, tu finiras par devenir cet autre qui te rebute ! »

Je n'étais pas en train de le juger, je lui donnais seulement mon point de vue sur la situation, c'était tellement évident de se perdre soit même dans ce monde futile et jugeant. Je comprenais qu'il est peur de se montrer sous son vrai jour, mais il devrait faire attention à ne pas prendre ce rôle trop au sérieux...

Allistair allait un jours réaliser à quel point il pouvait rapidement se transformer en monstre. C’était étrange il était si rapidement capable de devenir un monstre de froideur que lui même s’impressionnait mais il réalisait que c’était de plus en plus difficile. Bon d’accord insulter Mack n’était pas si difficile et se mecs pouvait être encore pire. Si il avait eu le temps de remarquer Linoa cette dernière aurait pu facilement sortir d’ici en larme. Ce mec était un con dégénéré et dans son cas ça aurait été le chaudron qui se moque de la poele. Vous savez le genre il se serait moquer d’elle à cause de la réputation de sa famille mais lui n’était rien d’autre qu’un sang impur alors sincèrement! Ouais ouais il avait l’air de se trouver des excuses il voulait se convaincre parfois qu’il n’était pas un monstre et pour être franc il aurait bien rit en se moment. Mais la voix de Linoa c’était faite entendre. « Tu devrais faire attention, à force de paraitre comme ça, tu finiras par devenir cet autre qui te rebute ! »

Cette fois il avait rien. On pouvait se demander pourquoi c’était un rire un brin ironique mais pour être franc c’était la meilleur façon pour lui de confronter la vérité. Il était déjà se mec. Il l’avait toujours été ce n’était que récemment que ce mec avait comment à l’agacer. OU du moins à l’agacer plus que d’habitude. Autrefois c’était caché que dans le fond les née-moldu ne l’agaçais pas autant qu’il pensait et qu’ils avait un profond respect pour ceux qui avait la capacité d’être fier de qui il était. Mais après c’était le fait qu’il pouvait devenir un monstre aussi facilement. Karone avait détendu sur lui. Avant il était capable de répondre seulement quand il était nécessaire maintenant il était constamment sur les garde. S’apercevoir de qui il était réellement avait rendu Allistair paranoïde. Il avait constamment peur qu’on le réalise, qu’on réaliser qu’au fond il n’était pas comme ceux avec qui il s’associait publiquement. Celui qui était considéré comme Damon Black meilleur ami ne pouvait pas se permettre d’être un coeur tendre qui était près à tout pour défendre l’honneur des moldu respectable et bien sur qui avait une conscience que d’autre n’avait pas. Celui qui était associé avec Karone Greyback encore moins. Cette fille méritait la réputation de personne la plus monstrueuse que la terre est jamais portée.

« Malheureusement je joue se jeux depuis si longtemps qu’il est devenu moi, celui que tout le monde voit en premier. Laisse moi deviner quand tu m’as vus tout à l’heure, tu as penser à quoi en premier? Une mauvaise blague, que d’autre serpentard allait sortir de derrière d’autre ranger pour se moquer de moi. Tu ne serais pas le première. Il n’y a qu’un personne qui est encore capable de voir la vérité du premier coups et c’est t’as meilleure amie… LANA…» Comment il savait? Linoa était la meilleure amie de daegan aussi et Daegan était la meilleure amie de Lana et il se rappelait que Daegan avait un fois parler de son petit groupe et comment elle ne savait pas comment leur parler de se qui était arriver. Elle ne semble jamais avoir douter qu’un être humain existait encore. « Oh elle se trombe amèrement et naïvement au sujet de d’autre serpentard… Greyback pour n’en nommer qu’une seule mais avec moi elle à vu juste et dieux sais que je lui en ai fait voir de toute les couleur à cette fille. Mais quand on me voit plus personne n’est capable de voir derrière le masque alors sincèrement quel de ces personnage crois tu réellement que je suis. » Il avait eu un soupir et il savait qu’il avait l’air cruel et méchant mais la vérité était toujours cruel et il le savait, il l’avait toujours su. Il avait toujours cette impression que les pouffsouffle était un peu naïf à voir le meilleur dans tout le monde mais bons. « Oh je pourrais te dire que si je n’avais pas réagis ainsi tu aurais été la cible des moquerie de ce mec et j’aurais surement raison, je pourrait aussi te dire de ne pas avoir pitié que se mec n’a réellement aucune cervelle et qu’il est surement encore en train de tenter de comprendre se que je lui racontait se qui est aussi vrai et je pourrais être assez con pour croire que tu es naïve au point de penser que ce que j’ai fait était difficile mais tu sais aussi bien que moi la facilité que j’ai eu à jouer le jeux… trop facile. Et pour une fois dans mon discours je sais parfaitement que tu n’es pas naïve. La comédie je l’ai jouer trop longtemps j’ai beau vouloir m’en débarrasser c’est devenu impossible le monstre sera toujours une partie de moi tout comme l’aimable Allistair que de rare personne connaisse. » Et le monstre était pour rester longtemps puisque sa fiancer était nul autre que Karone Nadira Greyback en personne. Non son père n’avait pas pu offrir la main de son héritier à pire! Il ne se voilai plus le visage depuis longtemps il était tout autant le monstre que l’aimable, il était le gentlemen celui qui ferait tout pour venger l’honneur d’une fille, et qui de l’autre coté ferait pleurer la meilleure amie de cette dernière juste parce qu’il le pouvait. « Linoa si je pensais tout se que j’ai dit dans mes lettres que j’en ai marre d’être celui que je suis je ne me voile toutefois pas la vérité je suis le démon et l’ange à la fois. Je suis l’homme au deux visage quoi. Mes intentions peuvent être aussi bonne que mauvaise et bien souvent je ne suis le seul à réellement les savoir parce que le masque du démon est le seul qu’on voit réellement. Parce que le monstre laissera toujours plus de trace dans le cœur des hommes que l’ange. On se souvient rarement des victimes du tyrans mais on se souvient toujours du Tyran Lin… euh Linoa. » Il était pas certain qu’il pouvait lui donner un surnom encore. « C’est triste mais c’est la vérité et il serait idiot de croire au contraire. » Ne lui demander pas depuis quand il philosophait il vous répondrait qu’il n’en avait pas la moindre idée ça lui arrivait tout simplement parfois de lâcher un truc purement sage et si Vladimirescu était dans les parage elle lui aurait dit qu’elle déteignait sur lui se qui était surement vrai mais bon même lui trop plein de fierté masculine ne l’aurait même jamais avouer. Oui un mec c’est tarzan… sa flirt, sa rote, sa pue et sa avoue jamais qu’une fille à raison, même si elle à raison… mais ça vous le savez tous n’est-ce pas?