Caractère : « Si on pouvait utiliser un seul mot pour décrire Lyrum, je crois que ce serait l’indépendance. Cette fille a toujours fait preuve d’une grande débrouillardise et d’un courage que j’ai rarement vu chez qui que ce soit. Elle est l’antithèse extrême du genre de fille que les garçons de bonne famille recherchent comme mère de leurs enfants : en réalité, elle se moque royalement du stéréotype de sécurité que cherchent les femmes dans leurs relations amoureuses. Elle dit se sentir assez forte pour exister par elle-même. Elle est une forte alliée et une ennemie redoutable, puisque sa volonté n’a point de limite. Pour elle, les barrières n’existent point et elle affirme haut et fort que tout est permis pour qui veut bien le croire. Son ouverture d’esprit et sa générosité la pousse à aider ceux qu’elle apprécie à se dépasser pour qu’ils puissent, exactement comme elle l’a fait pour elle, découvrir à quel point ils sont capables de grandes choses. Tous les exploits qu’on lui attribue, elle ne le doit qu’à elle et à personne d’autre. Lyrum est une véritable source d’inspiration pour les gens qui l’entourent. »

- OLIVIA EBONY CLYDE, amie d’enfance.

« Lyrum est une jeune femme épanouie qui n’attend que de donner à qui veut bien recevoir. Sa générosité et ses bonnes intentions sont grandioses. Elle est un peu comme les super-héros dans les films, sauf qu’à la place d’être sauvée par les autres, c’est elle qui aide ses proches. Cette qualité la rend parfois aveugle face aux caractères des personnes qu’elle ne connait pas beaucoup : plusieurs profitent de son aide avant qu’elle n’en prenne conscience. Heureusement, elle a une force de caractère peu commune qui l’aide à classer ses bons amis des personnes à ne pas fréquenter. Son sens du jugement est assez fort, du moment qu’elle a conscience de la situation. Un bon manipulateur pourrait avoir facilement raison d’elle. Toutefois, elle ne se laisse jamais marcher sur les pieds par qui que ce soit et prend ses décisions elle-même sans l’aide de personne. Elle a de l’ambition, de la volonté et elle est forte. Vous n’avez pas intérêt à se mettre au travers de son chemin, sans quoi elle vous poussera de là dans le temps de le dire. Une véritable tempête sur deux pattes. »

- AURÉLIA LONDUBAT, mère.

« Lyrum, c’est un peu une chieuse de première. Autant dire qu’elle n’a pas que des bons cotés et j’ai eu l’occasion d’en expérimenter quelques uns. Oh oui, aux premiers abord, c’est une femme extraordinaire. Une vraie de vraie ; plusieurs hommes rêvent d’avoir une femme dans son genre, belle, séduisante, indépendante… mais bon sang qu’elle est difficile à draguer ! Il est pratiquement impossible d’avoir son cœur, et ce n’est pas parce que je n’ai pas essayer. Des fois, j’ai l’impression qu’elle est allergique à l’amour, vous voyez ce que je veux dire ? Comme si elle avait peur qu’une relation sérieuse lui coupe les ailes. Plusieurs fois, j’ai essayer de la raisonner, mais mon petit doigt me dit que cette peur est inconsciente et qu’elle ne le réalise pas vraiment. Et puis, on ne peut pas lui reprocher, elle aime se faire désirer et ça parait. Malheureusement, elle a ce don de vous envoyer sur les roses lorsqu’elle en a marre de vos tentatives de drague. Ses répliques à deux balles, son sens de la répartie et son humour de mauvais goût son déplaisant, voir agaçant. Elle n’a aucun scrupule à utiliser ces outils pour repousser un homme trop collant, ou tout simplement un indésirable. Comme l’expression le dit, chaque rose à ses épines… et Lyrum, elle, elle en a des épines, bien cachées sous une tonnes de pétales rouges. »

- LUKA BARTHÉLÉMY FARRO, ex "conquérant".

But, espérances : Le but de Lyrum est sans aucun doute d’aider le plus de gens possible, dans la mesure de ses pouvoirs. Son métier en médicomagie est son ultime but et rien d’autre ne la motive plus que de continuer dans cette voie. Ses espérances sont toutefois un peu plus différentes ; cette histoire de sorciers moldus et le scandale qui les entoure commence à lui donner la nausée. Elle souhaite simplement que le ministère, les sorciers, bref, que tous prennent conscience de l’affreux acte de racisme qu’ils commettent et arrêtent cette histoire qui commence à devenir plus que ridicule.
Craintes, peurs : Sa plus grande crainte à ce jour est la mort ; pas la sienne, mais bien celle des gens qui l’entourent, des gens qu’elle aime, de sa famille, plus particulièrement. La perte, le manque, la tristesse et la souffrance de la mort d’un proche l’effraie plus que tout et les larmes lui viennent aux yeux juste à y penser. C’est un sujet qu’il faut absolument éviter avec elle.
Baguette : Petite baguette de 26 cm, en bois de Saule, contenant un crin de licorne.
Niveau scolaire global : Depuis son arrivée à Poudlard, Lyrum conserve des notes dans la moyenne, légèrement supérieures à la moyenne, qui démontrent son aise dans les matières qu'elle étudie.
Animal de compagnie : Au début de l'année scolaire, Lyrum trouva un compagnon de voyage en un petit chaton a poil court, tigré brun, avec d'immenses yeux bleus. Ce petit animal l'enchanta immédiatement, et depuis, elle ne le quitte plus. Elle nomma cette petite bête de 2 mois Kyô.

Enfance : Lyrum est la troisième enfant de la famille Londubat, plus précisément la deuxième fille de la famille. Lors de sa naissance, elle pouvait compter sur une grande sœur, Buster, de 4 ans son ainée, et sur un grand frère, Lorcan, de 2 ans son aîné. Sa venue était très attendue par ses parents, comme celle de tous les autres enfants d’ailleurs. S’il y avait bien une chose qui importait pour les parents Londubat, c’était leur famille et rien d’autre. Dès les premiers mois de la petite Lyrum, toute sa famille se montra très présente pour elle ; la petite fillette grandit dans une famille unie, où l’amour régnait en maître. C’était une maison où il faisait bon vivre, où l’ambiance était toujours chaleureuse et agréable. Oh oui, leur famille avait de quoi être enviée ! Lorsque Lyrum eut 2 ans, ce fut le tour du petit dernier d’entrer en scène : Alec. Le dernier enfant de la famille, et non le moindre. Peu consciente de la présence de son petit frère à l’époque, Lyrum fut élevée avec le petit dernier. Ils grandirent ensemble et tissèrent des liens très unis, comme avec tous les autres d’ailleurs. Leur enfance fut digne d’une véritable conte de fée : les quatre enfants Londubat, c’était une équipe inséparable, des complices en tout temps, des véritables petits anges à cornes. Nombreux de leurs coups étaient montés sur un stratagème bien strict et à tous les coups, c’était Lyrum qui servait d’appât. Lorsqu’Alec fut assez vieux, les trois ainés l’intégrèrent à la bande, comme prévu. C’était comme ça depuis que Buster faisait des coups en compagnie de Lorcan. On aurait dit une meute de loup bien organisée, avec chacun un rôle. Malgré tout, ces petits jeux ensemble leur apprirent à tous qu’ils pouvaient toujours compter l’un sur l’autre, peu importe ce qui se passait. Les années passèrent et chacun grandit. Ce fut Buster qui développa en premier des pouvoirs magiques : plusieurs fois, il lui était arrivé de voir des choses voler à l’extérieur. Des morceaux de bois qui traînaient dans la cour, des pelles et des seaux qui servaient dans leur carré de sable. Les parents expliquèrent à Lorcan ce qu’ils étaient vraiment lorsque Lyrum avait 5 ans. Elle était alors beaucoup trop jeune pour comprendre ce qui se passait, mais elle était tout de même bien consciente que son frère savait désormais un secret qu’elle ne savait pas. Pendant longtemps, la petite bouda la situation, trouvant injuste qu’on ne lui explique pas, à elle aussi. Quelques mois plus tard, c’était Lorcan qui faisait voler des choses dans la maison : plus précisément une boule de Noël, en décembre, lorsque vint le temps de faire le sapin. Bien sûr, Lyrum fut témoin de toute la scène. La pauvre petite pleura sur le coup, trop effayée pour vraiment prendre conscience de ce qui se passait. C’est alors qu’elle sut tout sur sa famille : depuis des années, des siècles même, le gêne de sorcellerie se transmettait dans la famille Londubat. Il lui arriverait peut-être un jour, comme Buster et Lorcan, de développer des pouvoirs magiques. La petite attendit bien longtemps ; chaque soir, elle s’endormait en pensant à ce qu’elle pourrait faire avec des pouvoirs comme ceux de Buster et Lorcan. Quelques années plus tard, ce fut la rentrée de Buster à Poudlard ; Lyrum ne comprenait pas pourquoi sa sœur était aussi contente. Elle lui racontait souvent qu’elle s’en allait étudier dans une école et qu’elle apprendrait la magie ! De quoi alimenter encore plus les rêves de la petite brunette. Lors de son retour de sa première année, sa grande sœur lui conta tout : les fantômes, les portraits qui bougent seuls, les baguettes magiques et l’immense château qu’était Poudlard. Comme ce devait être beau ! Le jour de la rentrée de Lorcan, Lyrum, âgée de 9 ans, accompagna son frère et sa sœur, avec ses parents, comme à toutes les années. Rapidement, les deux aînés allèrent prendre place dans le train pour avoir un wagon avec une vue sur la gare, pour qu’ils puissent dire au revoir au reste de la famille. Lorsque le train se décida enfin à partir vers Poudlard, Lorcan, la tête à l’extérieur de la fenêtre, perdit son chapeau dans un courant d’air, ce dernier se ramassant sur les pierres de la garre 9 ¾. Lyrum se dépêcha d’aller ramasser le chapeau de son frère pour le lui lancer de toute ses forces afin qu’il puisse le récupérer. Un événement inattendu se produit alors : le petit chapeau du garçon fut projeté par sa petite sœur, mais il ne traversa pas l’air rapidement. Au contraire, il lévita doucement jusqu’à ce qu’il atterrisse dans les bras du jeune homme. Les parents de Lyrum ne purent alors contenir leur joie ; non seulement leur garçon faisait son entrée à Poudlard, mais leur petite fille venait dès l’instant de montrer des premiers signes de pouvoirs magiques.
Année Poudlard : La rentrée à Poudlard fut LE moment dans la petite vie tranquille et paisible de Lyrum. Enfin, c’était son tour : Lorcan et Butler lui en avait tellement parlé lorsqu’ils revenaient, pour Noël ou pour les vacances. Du haut de ses trois pommes, la brunette traînait tant bien que mal ses bagages – du moins, ceux qu’elle pouvait, les autres, c’était son père qui les portait. Elle suivait sa grande sœur et son grand frère, enfin fière de pouvoir faire partie de la bande. C’était un peu comme quand ils l’avaient intégré à leur duo de mauvais coups lorsqu’ils étaient jeunes. Ce sentiment d’appartenance, c’était magique. Enfin, ce serait elle qui pourrait raconter à Alec comment c’était Poudlard ! Il y eut tout d’abord le Poudlard Express, et la vendeuse de bonbons : pendant tout le trajet, elle, Butler et Lorcan se partagèrent un sac de dragées de Bertie Crochue en jouant à un jeu, celui qui mangeait le moins de mauvaises saveurs gagnait ! Le trajet se déroula rapidement et dans le temps de le dire, la petite se retrouva devant les grilles du château, où on attendait les premières années pour le tour de barque. Lorcan lui avait déjà expliqué le principe de cette tradition, mais lorsque vint le moment de le faire, elle ne put s’empêcher d’être effrayée par tout ça. Mais Poudlard se présenta à elle, époustouflant ; c’était cent fois plus beau que tout ce qu’elle avait bien pu imaginer. La jeune fille se fit répartir dans sa maison avec le vieux Choixpeau sale – d’ailleurs, elle s’épousseta les cheveux plusieurs fois après l’avoir porté. Le vieux château devint rapidement comme une deuxième maison pour elle : c’est là qu’elle se fit ses vrais premiers amis, rencontra des garçons mignons, des ennemis aussi. Sa scolarité allait plus que bien : ses notes, légèrement au-dessus de la moyenne étaient satisfaisante et elle aimait la plupart de ses matières. Ainsi se déroula ses sept premières années à Poudlard ; elle n’eut point d’événements frappants qui marqua ses années d’études là-bas. Bien sûr, quelques aventures clandestine, comme tenter de forcer le passage des cuisines le soir venu, après le couvre-feu… mais rien de bien extraordinaire. Lorsque vint le temps de choisir son parcours universitaire, Lyrum choisit le cursus en Médicomagie, sans hésitation. Depuis quelques années déjà, elle savait que c’était cette branche qu’elle choisirait, parce qu’aider les autres, c’était son domaine. Ce l’est toujours d’ailleurs, et aujourd’hui, elle ne regrette rien de ce qu’elle a pu faire.
Votre famille : La famille Londubat vit en Irlande, plus précisemment à Larne. C’est la ville natale de Lyrum, exactement comme tous ses frères et sœurs. Sa mère, Aurélia Londubat, travaille au ministère de la magie en tant que directrice du Département des Nés-Moldus. Un poste qui créé aujourd’hui beaucoup de la controverse avec le scandale des nés-moldus. Les Londubats sont un peu considérés comme des traîtres à leur sang à cause de ce poste, considérant qu’ils sont depuis des centaines d’années de véritables sang-purs. Leur père, quant à lui, est Botaniste. Depuis des années, il tient ses serres et son jardin dans la cour arrière de la maison. Cet endroit à toujours fasciné Lyrum : petite, elle adorait y passer ses journées avec son père, a regarder les dizaines de sortes de plantes plus excentriques les une que les autres qu’il possédait. Le revenu familial n’est pas énorme, mais bien assez pour faire vivre leur famille très aisément. C’est principalement le poste de leur mère qui ramène le plus d’argent à la maison ; malheureusement, avec tout ce qui se passe dans le monde des sorciers, son travail est peut-être en danger, ce qui créé une légère ambiance de stress dans la maison familiale. Pourtant, Aurélia ne laisserait point tomber son poste pour rien au monde ; depuis qu’elle le tient, elle s’est promis de le garder jusqu’à ce qu’ils ferment le département. Les enfants Londubat, aux nombre de 4, sont des enfants très proches les uns des autres. Depuis leur enfance ils ont appris à s’aider et travailler ensemble. C’est un peu comme une bande ; ils s’amusent, déconnent, s’épaulent lors des moments tristes. L’ainée de la famille, Butler, étudie encore à Poudlard, en dernière année. Vient ensuite Lorcan, en 11e année, qui étudie la sécurité magique comme cursus universitaire. Ensuite vient Lyrum, puis le petit dernier, Alec, en 5e année.