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Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫

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Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ Vide
MessageSujet: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 20:10



LE PASSEPORT DU SORCIER
Nom : Le nom, cet amat de lettre qui vous unis ad vitam eternam a ce que l'on appelle une famille. Pour ma part, cela ne signifie plus rien, toutes ses lettres forment a present un mot qui n'a plus de sens, qui ne me rattache plus a rien. McCutcheon ils disent tous, McCutcheon... (prononciation a l'anglaise : Mac- Cut- Sean)
Prénom : Partout je l'entend, partout ils le disent, ils m'appellent comme ca, comme si ca les amusaient, comme si c'était banal, et peut être que ca l'était , peut être que ca n'était plus le cris a l'agonique que ca avait toujours été: Lumen Lluvia... Douce mélodie aux oreilles des sourds... Lumen Lluvia... (prononciation anglo/hispanique: Lou-men You-bia)
Surnom : Autrefois j'en avais, autrefois on m'en donnait des centaines, Lou, L', même "ma petite goutte de pluie", "la lumineuse" aussi, à présent je ne suis que l'ombre de moi même, je hais les surnoms comme je hais les souvenirs, alors je resterais la petite Lumen.
Âge : Je baisse les yeux vers le passé et je vois que déja 18 ans ont passés...
Curus, option(s) :Année scolaire : Cela reviens a me demander depuis combien de temps ai je quitter la maison non ? Je prefere compter comme ca, car les années a Poudlard semblent toujours trop courtes, par contre les années loin de la maison sont longues... Cela fait 8 ans maintenant, 8 longues années.
Nature du sang : On me regarde, et pendant longtemps on a vu une parfaite petite sorcière, peut être même que certain ce sont laissé prendre et m'on prise pour une sang pure. Quelle erreur, j'expose mes origine comme une fierté! Ma mère était une sang mêlé ! Mon grand père était un moldu, et mon dieu comme je l'aimais. Alors oui, je suis une sang-mêlé et je me ris de ceux qui juge par le sang, car la personne la plus formidable que je n'ai jamais connu etait un moldu.


LE JOUEUR N'EST PAS LOIN
Pseudo : En general on m'appelle S', rien a voir avec Gossip Girl ca date d'avant, et on dit vraiment S' xD, mais pour les moins feneant Syke ca marche aussi ^^
Âge : Je suis vielleuh, très vielleuh, 17 ans, bientôt la retraite !
Comment avez vous connu le forum ? : Par mon petit chou a la crème : Lennox B. D. Ashworth
Avatar souhaité : Willa Holland
Présence : Tout les jours normalement
Le mot magique ? : Rien a dire a part que J.K Rowling a fait la plus grosse erreur de sa carrière en tuant Dobby et qu'il aurait du être président ! Dobby Président ! Dobby Président !
(c) créateur de la bannière





    Personnages :


      Lumen McCutechon


      Famille:

        Sue McCutcheon
        Jack McCutechon
        Daniel Hawkins

      Amis:


        Lennox Ashworth
        Ezechiel Hanks
        Sine MacNair

        Autre




Dernière édition par Lumen L. McCutcheon le Sam 22 Jan - 22:28, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 20:11

"MOI LE MAGICIEN"




]I. MEME LES MORTS NAISSENT UN JOUR
« La naissance est tout ; ceux qui viennent au monde pauvres
et nus sont toujours des désespérés. »

[Alfred de Vigny]


    Les cris ont duré des heures, tout comme mon accouchement. Ca a été dur, très dur, si dur que je me suis demandé si je n'allais pas haire ma fille tant la douleur qu'elle m'imposait était énorme. Mais je n'aurais jamais pu, quoi qu'elle pourra penser dans le passé, ca n'aurais jamais pu arriver. Je l'ai aimé, des l'instant ou elle était en moi. Lorsqu'on m'a annoncer ma grossesse, je venais de rencontrer son père, nous avions eu une brève aventure et a présent, ce n'était plus lui qui était a mes cotés, mais un autre homme, un homme qui avait été la au court de ses 7 mois, car oui, il n'y en avait eu que 7. au fond, ma petite Lumen était pressée de sortir de ce ventre ou je la retenais prisonnière, ou elle était réellement mon unique trésor. Je devais a présent la partager avec le monde, la partager avec celui qui a présent serait son père, puis avec des centaines d'autres hommes qui poseraient les yeux sur elle. Elle était mon bébé, et serait une belle jeune fille aux yeux de tous.

    Les cris de mon enfant sont si fort que je n'entends pas les paroles de mon fiancé. Puis, soudain, il sort de sa poche la baguette qu'il tenait, la tend en direction de l'enfant, murmure des mots insaisissable, puis, plus rien. Plus rien. Le silence a l'état pur.

      - Ah ! c'est mieux comme ca, non ?
      - Cheri ! Pas de sorts sur notre fille !
      - Juste quelques instants.


    Notre fille abandonne son appel des l'instant ou elle est posée. Probablement qu'elle a vu que rien n'y ferait. Elle restera silencieuse, et ce, des années durant.

    Nous l'avons appeler Lumen Lluvia. Lumen car mon futur époux y tenait, et que j'aimais particulièrement ce pronom, il avait été celui d'une amie autrefois parmi nous. Si nous avions choisit Lluvia c'est a cause de sa signification. "Pluie" quel étrange nom a donné a une enfant, mais elle avait été conçu sous la pluie, j'avais rencontrer son père sous la pluie, et elle naquit... un jour de pluie. Vous me direz qu'il n'y a rien de plus banal en Angleterre, et pourtant a mes yeux cela semblait exceptionnel.

    On a mit longtemps a me la rendre. J'ai hurler, pleurer, et on refusait de me la donné. On tentait d'enlever ma fille, on tentait réellement de m'enlever ma fille bien que mon époux s'acharnait a tenter de me convaincre du contraire. Je le voyais dans leurs yeux, ils parlaient d'elle, avec leurs airs sournois. " Elle est si belle" disaient ils. Et moi je n'avais pas le droit de l'admirer. Je ne comprenais pas. Les meubles volaient. Ma baguette m'avait été confisqué par peur que je ne tue le prochain qui m'interdirait de l'approcher. Pourquoi s'obstinaient ils ? C'était mon enfant et on me l'enlevait. Je ne supportais pas cette idée. Je ne l'avais jamais supporter. Tout comme je n'avais jamais supporter cette absence en moi qu'elle avait créer. La chaire de ma chaire, le sang de mon sang. Qu'allaient ils faire d'elle ? L'enlever ? La donner a je ne sais quelle famille de sang pur qui l'aurait élevé comme leur fille tout en lui cachant qu'un jour elle avait été enlever a sa mère ? Faire des expériences sur elle ? Tester toutes sortes de sorts sur son beau visage angélique ? La détruit ? La torturer ? Lui inculquer des valeurs erronées ? Qu'allaient ils faire d'elle ? Qu'allais je devenir sans elle ?

      - Elle est malade. Très malade. Sa croissance n'a pas prit fin, elle grandissait avec beaucoup trop de retard pour que les 7 mois qu'elle a passer dans ton ventre ne la tue pas. Elle peut mourir Sue, c'est pour ça que tu ne dois pas la voir.



    Ils allaient la tuer ! Ils allaient la tuer ! Je le voyais dans leurs yeux et il était de mèche ! Mon propre fiancé allait tuer mon enfant ! Il allait osé... Je devais la sauver, je devais la sauver et me révolter.

    Je le fixe avec haine. Dans mes yeux, la fureur de la lionne a qui on a arraché son petit.

      - Donne moi ma fille, Jack.
      - Elle est trop malade chérie.

    Je reverse le plat devant moi d'un geste brutal et me lève .

      - Rend moi ma fille !
      - Je sais que tu veux la voir, mais c'est impossible. Recouche toi, quand tu seras complètement rétablie je t'emmènerais la voir.


    J'attrape sa baguette soudainement. Il a peur, je le vois, mais moi je n'aurais pas peur, je le tuerais pour avoir voulu me prendre ma fille. Il n'imagine pas de quoi je suis capable pour elle. Je tends la baguette dans sa direction alors qu'un sourire malsain apparaît sur mon visage, ce même visage qui avait autrefois était symbole de paradis. Je n'ai que quelques mots a dire et il sera mort. Quelques petits mots. Mais ça ne me rendra pas ma fille.

      - Je pourrais te tuer si facilement. Pourquoi je ne le fais pas ?
      - Parce que tu m'aime.


    Je n'aimais plus personne a cette instant précis, je n'aimais plus qu'elle. Il pouvait mourir, ils pouvaient tous mourir, seule elle importait réellement. J'aurais voulu le lui dire, mais une vague de colère m'a envahis. j'ai tout renverser dans un élan de folie. Tout, sans utiliser la force d'un petit bout de bois de cerisier. Pas une fois. Et pourtant tout a été brisé, jusqu'aux vitres de la chambre, jusqu'au lit ou elle était née, jusqu'à la chemise que je portais. Je pleurais. Je suppliais qu'on me rende mon enfant. Et personne ne le faisait. Je ne comprenais pas. Des bras m'entouraient pour me stopper dans ma folie. Ses bras, ceux qui l'avait toujours fait, ceux de celui que j'avais menacé. J'avais honte, et pourtant j'étais furieuse. Je hurlais qu'on me rende mon enfant comme on hurle a la mort. Je n'étais plus maîtresse de moi même, mes gestes étaient brutaux et désordonnés, comme guidé par une force extérieur, par un amour maternel dévastateur. Je pleure dans ses bras. Il me porte, interdit a l'infirmière de me toucher, et décide de me donné ce que je désire le plus au monde. Les couloirs sont froid, et je tremble dans ses bras. Je le frappe sous la colère. Je hurle qu'on me hurle ma fille sans cesse. Je ne suis qu'un vieux disque rayé. Et soudain, il me pose a terre et me la montre. Elle est belle, si belle. Elle est minuscule, et si fragile. Ses petits doigts sont repliés sur eux même mais je parviens a y glisser un doigt. Je m'assois près d'elle. Et je lui parle, pendant des heures, lui répète a quel point sa mère l'aime. Je ne la quitterais plus, je lui promet.

    Je ne l'ai pas quitter jusqu'à notre retour a la maison, et encore la bas, j'ai refusé de la laissé. C'était mon trésor. C'était ma fille. J'avais trouvé ma raison de vivre. Je ne laissais pas Jack la toucher. Je ne dormais pas de la nuit par peur qu'ils me la prennent, ils allaient venir, ils allaient me l'enlever, je le savais. Je ne savais pas quoi faire si ce n'était veiller moi même a sa sécurité. Je ne pouvais faire confiance a personne, tous cherchait a me l'enlever, mon propre fiancé, ma propre mère. Puis il y avait mon père...

      - Sue... Je vais garder Lumen avec moi quelque temps d'accord ?
      -Tu veux m'enlever ma fille ?
      - Non, je ne veux pas, mais si ils viennent la chercher ils ne penseront pas a venir chez un... comment dites vous déjà ?
      - Moldu...
      - Voila, exactement. Je la cacherais bien, je la protégerais quoi qu'il arrive.
      - Je te la laisse si tu accepte d'être soumis au Veritaserum
      - Qu'est ce que c'est ?
      - Un potion pour savoir si tu me mens... Et si c'est le cas, je te tuerais, que tu sois mon père ou non.
      - Très bien.

    Mon père a passé le test avec brio. Je lui ai donc confié mon enfant alors que mon état de santé déclinait. Lumen et lui passait ses journées a la maison, puis, le soir, il l'emmenait dans une petite cabane dans la foret, cabane que nous avions dissimuler sous mille et un sorts. Ça a durer quelques années, jusqu'à ce qu'elle sache marcher, puis nous avons construit des cachettes ou elle pourrait se dissimuler. Personne ne me prendrait ma fille, et j'y veillais personnellement. Quoi qu'il arrive elle resterait près de moi, on n'avait pas le droit de me l'enlever, elle etait mon bébé, mon unique tresor et c'etait tout a fait normal qu'elle reste près de moi a jamais non ? Elle etait sans cesse en securité, elle n'avait pas le droit de rester seule avec quelqu'un d'autre que son grand-pere ou moi, il devait toujours y avoir l'un de nous deux près d'elle. Jack n'aimait pas pas cette situation, mais je n'ia jamais eu confiance en lui lorsqu'il s'agissait de Lumen, j'etais persuadé qu'il m'enleverait ma fille un jour ou l'autre, qu'a cause de lui ma petite fille disparaitrait de ma vie. " Des films, tu te fais des films, Sue" disait ma mere a longueur de journée. Mais j'en etais persuadé, le lien qui m'unissait a ma fille me permettait d'avoir cette unique certitude sur l'avenir.




]II. LA PETIT MUETTE.
« Parle si tu as des mots plus forts que
le silence, ou garde le silence. »

[Euripide]



    J'ai grandit dans un silence macabre. J'étais heureuse, enjouée, vive, et pétillante, mais muette. J'étais persuadé de savoir parler, mais je n'y arrivais pas, je n'arrivais pas a me convaincre d'essayer. Aucun son ne sortait de mes lèvres. C'est pour ça qu'on m'a vite diagnostiqué muette. Nous habitions a l'époque dans une grande maison dans une campagne près de Londres. Il y avait quelques enfants, mais je n'ai jamais joué avec eux, j'étais différente, et pas seulement par le vide absolu qui sortait de mes lèvres furtif. J'étais la fille de "la folle". Ils croyaient ma mère folle, mais elle était juste paranoïaque, et très malade. Elle avait tellement peur de me perdre qu'elle était constamment en plein délire de persécution. Elle regardait les gens qui m'approchaient avec mépris. Ça avait fait peur a plus d'un. Elle n'était pas dangereuse, pas du tout, tant qu'on ne me faisait pas de mal, car la, je savais qu'elle pouvait devenir la plus cruelle des furies. Aussi loin que je me souvienne, ma mère avait toujours eu des problème de santé, et j'ai toujours pris soin d'elle. je passais mes journées avec l'homme le plus merveilleux qu'il soit: Daniel, mon grand-père. Dans sa petite banlieue moldu, il tentait de m'expliquer que étais différente de tout les enfants que je voyais par la fenêtre de sa cuisine. Mais étais encore trop jeune pour comprendre que certain était sorcier et d'autre non, c'est lui qui m'a offert la force de caractère que j'ai aujourd'hui, c'est lui qui m'a inculquer les valeurs les plus importantes qui soit, la famille et l'amitié. J'ai toujours été quelqu'un de fiable et qui savait apprécier les bon conseil de ses aînés, enfin, c'est ce que je prétend car selon mon grand père étais une petite fille turbulente qui n'hésitait pas a se mettre dans les situations les plus dangereuse pour la petite personne que étais. J'ai toujours été très petite pour mon age, très mince aussi, et pourtant je mangeais comme pas deux. étais une petite fille fluette et pourtant aussi rusé qu'un garçon. D'ailleurs il m'appelait comme ca : "mon petit boy" , parce qu'a l'époque les poupées et tout ses trucs de filles ce était vraiment pas pour moi, moi étais d'avantage escalade dans les arbres et expédition dangereuse dans les marais.

    Je n'ai jamais eu le droit de jouer avec les autres enfants, j'ai toujours ete seuleet pourtant je n'ai jamais eu l'impression de l'etre. Mon grand-pere etait tout pour moi, mon unique ami, l'unique personne importante, la seule personne capable de me faire rire. Même avec mon grand-père je n'ai jamais prononcer un mot, et pourtant j'aurais voulu, vraiment, était important pour moi, mais lui il parlait et moi je souriais. J'ai grandit entre sa maison et celle de mes parents. Ma mère, aussi malade soit elle, avait toujours assez de forces pour piquer des colères des qu'on lui enlevait trop longtemps sa fille, et pour ca, parfois, mon grand-père m'abandonnait devant les portes de cet immense manoir, m'abandonnait au silence absolu qu'il renfermait. Ce manoir ne représentait rien de bien vivant, seule la chambre au dernier étage était le symbole de la joie. Le reste, habité par mon père, restait dans un silence total. Mon père ne me parlait que rarement, mais il aimait dire combien il était fière de tout ce que je faisais, pour ca, je n'ai jamais eu a me plaindre. était un homme occupé par son emplois et pourtant qui avait toujours le moment a consacré a sa fille pour lui expliqué les rudiments de son métier. Il était soigneur d'animaux magique et j'ai toujours rêver de suivre son chemin. Il m'a depuis enfant mise au contact des animaux, mais il était plus taciturne que étais muette, c'est peut être de lui que je tenais cela. Ma mère, elle, parlait beaucoup, elle adorait me dire a quel point elle m'aimait, imaginer toutes les hypothèses de ma journées. Le langage des signes nous servait énormément mais encore une fois je parlais par monosyllabe, le strict minimum uniquement. Elle me racontait des centaines de ses souvenirs et je l'écoutais, sourire aux lèvres. Ma mère était aussi heureuse et enjouée que moi lorsqu'elle était a mes cotés. Puis, soudain, elle s'allongeait, s'essoufflait et me demandait de m'allongé a ses cotés. Quand enfin elle s'endormait je quittais la pièce dans un silence total et allait m'allonger dans l'herbe folle qui entourait l'immense manoir.

    J'ai passé des heures, seule, perdu dans l'herbe haute. Ma taille me permettait de m'y fondre totalement lorsque je m'y allongeais. J'etais si petite et si mince que ca semblait irreel a certains, j'etais loin d'etre sous-alimentée, au contraire je mangeais comme deux, voir trois, mais j'ai toujours eu un tout petit gabarit, mon pere disait que c'eait du au fait que je sois née prematurement et que je n'ai pas pu me developper comme tout les enfants, mais je n'en ai jamais ete sure, j'etais juste la frele petite Lumen McCutcheon. J'aimais cette sensation d'etre envahie par l'herbe, d'etre protegée, invisible aux yeux de tous. Parfois, mon père me cherchait pendant des heures et je ne rentrais que lorsque mes pensées se trouvait brisées par la nuit. Il m'arrivait de penser des heures durant, a la vie, et a l'indifférence absolue qui régnait en mon être. Tout en moi semblait vide de sens, je ne savais pas qui j'étais, je ne savais pas ce qui m'arrivait, ni pourquoi je vivais. Je n'avais aucune reponse a mes questions, tout etait flou. Le but de l'existence restait a derterminé, la mort semblait une plus juste solution. Tout mes sourires étaient faux, et pourtant je n'étais pas malheureuse, mais il me manquait quelque chose.

    - Qu’est ce que tu fais la ?

    Aucune réponse comme d’habitude, aucun son. Je le regarde, c’est un enfant d’à peu près mon age, le premier qui me parle, le premier que j'ose regarder. Je devrais rentrer, mais je ne le fais pas. Sa voix m'appaise sans comprendre pourquoi. La compagnie humaine serait elle meilleure qu'on me l'a dit. Je lui attrape la main, le tire vers le sol en lui montrant la maison. Personne ne doit le voir, sinon plus jamais nous ne pourrons nous parler. En ai je envie, je l'ignore encore et pourtant je sens que ca sera le cas .

    - Tu habites dans cette grande maison ?

    J’hoche la tête timidement, j'ai honte d'habiter dans une telle deumeure. Le manoir noir provoque meme en moi les frissons les plus intense de cette existence.

    - J’habite par là-bas. me dit-il en tendant le bras

    Il a parlé pendant longtemps, il m’a fait rire, énormément. Il n’avait pas l’air de comprendre que j’étais muette.Je me sentais entière, réellement entière, pour la première fois je me sentais à vivante avec quelqu’un d’autre que mon grand-père.Il etait drole, et dans chacun de nos rires j'avais l'impression d'exister, il m'offrait une impression unique de ne plus etre morte. C'etait ca, il offrait la vie a une ame morte. C’est comme ça que nous avons parler pendant des heures, puis une voix au loin à appeler « Lennox », c’est comme ça que j’ai deviné son prénom. Il s'est encré en moi des cet instant.

    - Il faut que je rentre, on m’appelle. Si tu veux bien, on pourra se voir demain ?

    J’ai hoché la tête vigoureusement en signe d’approbation. Il m’a fait un léger signe de la main, et j’ai rougi avant qu’il ne disparaisse dans l’horizon. Et c’est comme ça que nous avons commencé nos rendez vous, tous les jours, a la même heure, au même endroit au milieu des herbes folles. En peu de temps, il est devenu mon seul ami, mon confident, mon amoureux. Nous n’étions que des enfants et pourtant jamais séparés. Jack McCutcheon nous avait souvent surpris et m'avait taquiné à ce sujet, c’était la première fois qu’il me parlait réellement. Chaque jeudi soir, lorsqu’il rentrait un peu plus tard du travail, il nous croisait en rentrant à la maison et lançait un « Bonsoir les enfants. » parfois il nous sermonnait quand nous laissions filer le temps. « Il se fait tard, tout le monde chez sois ». Et chaque fois il ne pouvait s’empêcher d’ébouriffer les cheveux du garçon avec un petit « A bientôt Lennox ». Mon pere et moi gardions le secret au sujet de l'exstence de Lennox des l'instant ou nous franchissions les portes de la maison. Il ne fallait pas que ma mere l'apprenne. Pour elle, j'aimais me promener dans les champs, simplement, seule, en toute securité. J'ai toujours admiré sa credulité. J'ai toujours detester sa cecité. Elle avait devant elle une toute nouvelle enfant, une enfant vivante, un enfant qui apprenait ce qu'etait vivre au contact des autres, et elle etait incaable de voir un quelconque changement. Lennox s'etait presenté a moi comme porteur d'une vie que je n'avais pas le droit de refuser, et pourtant j'etais toujours bancale dans mes impressions sur la vie. J'avais toujours peur que tout me file entre les doigts.

    - J’ai vu ton père aujourd’hui, il est passé a la maison pour voir ma mère.

    Je l’ai regardé d’un air un peu gêné et a la fois enthousiaste qu’il me conte ce qu’il voulait réellement me conter. J'avais un mauvais presentiment, comme si quelque chose allait mal tourner sans reellement comprendre pourquoi.

    - Il m’a dit que tu étais muette.

    Je haussa les épaules d’un air qui disait « I don’t care »; c'etait vraiment le cas, j'etais sure de ne pas etre muette, alors a quoi bon avouer quelque chose de faux, un jour je parlerais et peut etre meme que ce jour arriverait bientot...

    - Je m’en fiche de ce qu’il dit. Ce n’est pas parce que je ne parle pas que je ne sais pas parler.

    Ce fut la premiere fois que ma voix surgit dans ce monde ignorant. Cela representait pour moi une victoire, la recompense d’années de lutte acharné contre ce qui semblait etre ma nature. J’ai vu dans les yeux de Lennox que ce n’était pas la joie qui l’envahissait, mais la surprise, l’interrogation. Il avait le droit de s’en poser des question, d’ailleurs, je m’en posais aussi, et comme tout les enfants n’ayant pas de réponse aux questions que tout le monde se pose, j’ai inventé n’importe quoi qui m’aurait enlever le poids de ses regards interrogateurs et a la fois méprisant.

    - Je n’aime pas trop parler
    - Même a moi ?
    - J’attendais peut-être d'être sur de pouvoir te faire confiance.

    Probablement qu’il a été vexé, mais il a accepter cette réponse puis nous avons continuer, et nous avons ri. Plus que jamais. Nous avons ri pendant des heures. Nous nous sommes plongé dans l’insouciance. A cette instant précis j’ignorais encore que la visite chez Lennox n’allait pas changer que ma voix. En rentrant, j’ai trouvé dans le salon, mon père attablé, le regard dans le vide mais pourtant pleins de haine et d’une colère qui semblait insurmontable. Je l'ai regarder et ai sourit d'un air desolé. J'etais desolé de mon retard pas de ce qu'il allait me reprocher.

    - Tu rentres enfin

    J’hocha la tête tranquillement, toujours navrée, j'aurais aimé lui demander pardon, apres tout, j'etais en tort, il etait tard, et je n'etais pas du genre a ne pas respecter les regles.

    - Tu ne le reverra plus
    - Quoi ?!

    Il a sursauter en entendant ma voix, mais a fait mine de ne rien avoir remarqué, probablement parce que ca colère était si grande qu’elle l’accaparait. J'aurais aimé qu'il reagisse en m'entendant, qu'il montre un peu de fierté, apres tout, j'avais reussi, et c'etait mon pere, il se devait d'etre fiere de mes progres. Quant a moi, la colere m'avait envahi devant l'injustice, si j'etais n retard ce n'etait pas la faute du pauvre enfant, ce n'etait pas si grave si j'avais un peu de retard, alors, pourquoi nous punir ainsi ?

    - Il est pauvre ! Beaucoup trop pauvre pour que tu t’abaisse à le fréquenter !
    - Je le verrais si j’ai envie de le voir ! Je me fiche de ce que tu penses !
    - Fais attention à ce que tu fais Lumen
    - Sinon quoi ?!

    Il se leva d’un bond, furieux d’une telle insolence, jamais je n’avais montrer de signe de rébellion, mais ce n’était pas me rebeller pour me rebeller, mais parce que c’était injuste, parce que je lui resterais loyale quoi qu’il arrive, a Lennox et a mes principes. Il sortit d’un mouvement fluide sa baguette et la pointa vers moi. Je n’avais pas une once de peur, mon regard le prouvait, et ca, au fond, ca l’effrayait, tout le monde avait peur de lui. Si je n’avais pas peur ce n’était pas parce que je croyais qu’il n’en était pas capable, mais parce que je ‘n'avais peur de rien, et encore moins de la mort.

    - Ce n’est pas parce que tu es ma fille que j’aurais des scrupules.
    - Rien de ce que tu pourrais me faire ne changerait mes paroles.


    Aussi flou que soient mes souvenirs, je sais que cette nuit a été la pire de ma vie. Elle me revient en mémoire par bride, par cris. En effet, cette nuit fut la premiere ou on entendit des criss’échapper de la maison, mes cris. Les voisins pensaient que c’était ceux de ma mère, qui dans un élan de rage et plongée dans sa maladie avait perdu le contrôle de la situation. Mon père s’est empêché d’approuver et de nourrir cette théorie. Quant a moi ? Je n’ai rien dit, par fierté, ou pour ne pas décevoir ceux que j’aimais et leur montrer que j’étais lâche. J’avais su des que son regard m’avait transpercé que ce jour serait le début d’une série de torture quotidienne, et je ne me trompais pas. Les tortures qu’il m’infligeait restaient celles des moldus, sûrement voulait il éviter que ses sors puissent etre retracé et que quelqu’un l’apprenne. Il calmait sur moi colère et besoin, et moi, je me taisais. Il n'y avait que cela a faire. Se taire, se taire., ca n'etait pas si difficile, au contraire, se taire est souvent plus facile que d'avouer ses douleurs.

    Lennox et moi étions brisés par l’éloignement que nous devions adopter dans les environs, personnes ne devaient etre au courant. Ils arrivaient a tenir, car, chaque week end, mon grand-père venait me chercher et emmenait Lennox avec nous, et ainsi nous passion nos journées a rire tout les trois, a etre heureux. J’apprenais a vivre, jusqu'à l’heure du retour ou tout en moi redevenait sombre, mort, et silencieux. On me rendait a mon bourreau. Ma mère, elle, était a l’écart de tout, son état de santé ne lui permettait pas d’etre au courant de quoi que ce soit, sa paranoïa aurait coûté la vie a beaucoup de personne si cela avait été le cas. L’ignorance de ma mère nourrissait la haine que j’avais envers elle. J’avais honte de l’avouer, mais mis a part cette haine profonde je ne ressentais rien pour celle qui devait etre ma mère.

    Ça dura ainsi quelques années, puis je quitta l’enfance.





]III. ADIEU, PETITE FILLE
« > Prolonger des adieux ne vaut jamais grand-chose ;
ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ.»

[Elisabeth Bibesco]


    Les années qui me séparaient de mon enfant avaient laissés en moi un trou béant d’indifférence. Je n’ai jamais aimé parler de moi, je gardais tout, pour ne pas décevoir, sans jamais flancher. J’étais aux yeux de tous une petite fille enjouée et heureuse qui aimait vivre au jour le jour et n’hésitait pas a se mettre en danger pour faire ce dont elle avait envie. Tout était identique depuis des années dans ma vie, même monotone, jusqu'à l’été de mes 10 ans. L’état de ma mère devenait de plus en plus dur a supporter, sa paranoïa avait monter d’un cran, elle surveillait tout, le moindre hibou passait, elle le savait, elle l’attrapait et menaçait même de le tuer, je la soupçonne même d’en avoir tuer un. On ne pouvait rien y faire, les médecins disaient que cela passerait, qu’il n’y avait pas , mais je restais persuadée que si. Ma mère ne raisonnait pas comme n’importe quelle malade, j’en restais persuadée. Et je confiais souvent mes certitudes et mes questions a Lennox qui était aussi incapable que moi d’y répondre, alors nous parlions d’autre chose, plus gais, ou pas.

    - J’ai reçu une lettre aujourd’hui ? Tu en as reçu une aussi ?
    - Non, quelle lettre ?
    - Pour Poudlard
    - Poudlard ?
    - L’école de magie. dit-il dans un rire étouffé
    - Ah, elle est ou cette école ?
    - Dans une île, je ne sais pas très bien ou.
    - Ca veut dire que tu vas partir ?
    - Oui…
    - Loin de moi…

    On s’est promis de s’écrire, de se voir pendant les vacances, mais je n’y croyais pas. Tout était clair pour moi, il intégrerait une nouvelle école, se ferait de nouveaux amis et oublierait la petite Lumen. Plus j’y pensais plus la colère m’envahissait. Pourquoi lui et pas moi ? Pourquoi le destin s’acharnait il a nous séparer ? Pourquoi pour une fois ne pouvais je pas etre comme toute les autres petites sorcières ? Pourquoi n’avais je pas le droit de fuir cet endroit maudit ? ‘Etait tout ce que je voulais c’était un nouveau départ, loin d’eux, loin de tout ca. J’y pensais sans cesse, j’ignorais ce qui me faisais le plus de mal, que Lennox y aille ou que je n’y aille pas ? A force d’y penser est venu a moi un raisonnement des plus logiques, tout les sorciers n’allaient ils pas a Poudlard ? En effet. Mon père était u sorcier ? En effet. Dans ce cas mon père était allé a Poudlard ? Ca semblait logique, donc peut etre que lui aurait la réponse aux questions que je me posais.

    - Tu as été a Poudlard ?
    - Comme tout les sorciers d’Angleterre
    - Ca veut dire que je ne suis pas sorcière ?
    - Bien sur que tu en es une. Tu en doute ?
    - Pourquoi n’ai je pas de lettre pour y aller alors ?

    Il réfléchît quelques instant avant de se lever rapidement et de monter les escaliers 4 a 4. Je l’ai suivit, parce que la colère qui l’avait envahis ne pouvait pas laisser présager quelque chose de bon. Je l’ai suivit, sans aucune peur, en dépis de tout ce qu’il était près de moi. Il a ouvert la porte de sa chambre d’un geste si brutal que j’ai eu un sursaut. Il a saisit le bras de ma mère violement, et la j’ai ressentis pour la premiere fois quelque chose pour elle. Pas elle! Il n’avait pas le droit de lui faire du mal ! Elle était innocente! Elle était malade ! Il n’avait pas le droit!

    - Ou est elle ? hurla t-il
    - De quoi parle tu ?
    - De la lettre !
    - Quelle lettre ?
    - Tu sais de qui je parle Sue ne fait pas l’innocente ! Tu vas ruiner sa vie si tu ne lui donne pas. dit il en commençant a renverser tout les tiroirs[/color]
    - Tu ne la trouvera pas !
    - Sue donne la moi !
    - On ne m’enlèvera pas ma fille ! On ne m’enlèvera pas ma fille !
    - Lumen va me chercher ma baguette en bas !

    J’ai descendu les marches a une vitesse inégalable et en sautant les dix dernières poussée par la hâte et suis remonter aussi rapidement que j’étais descendu. J’avais peur de ce qu’il ferait, mais si il avait raison je devais l’écouter.

    - Acio lettre !

    Rien

    - Tu as osé lancer un sort pour la cacher ?
    - Tu ne la retrouvera jamais avoua t-elle dans un rire effréné.[/color]

    Je fondis en larme, un sanglot sans précédent secoua mon âme. Jamais je n’avais osé pleurer avec autant de hargne, et encore moins devant eux. Mais ma propre mère allait tout gâcher, tout mes rêves de vie d’adulte, de vie loin d’ici étaient réduit a néant. Je fonça sur ma mère et avec mes poing d’enfant frappa avec la colère des enfants brisé.

    - Je te hais ! Je te hais ! Tu m’empêches être heureuse ! Tu m’enfermes ici ! Tu m’obliges à être seule, isolée ! Depuis toujours ! Je vais rester coincé ici pour toujours !
    - Mais Lumen, on restera ensemble pour toujours.
    - Je m’en fiche de rester près de toi !

    Je suis partie, dans un élan de colère et de désespoir. Évidemment que je m’en fichais pas mal d’etre près d’elle, au contraire, je voulais partir et ce depuis des années, je voulais juste fuir. Je me suis écroulée sur mon lit et ai pleuré toute les larmes de mon pauvre petit corps maigre et chétif. Mon père remuait la chambre, mais chaque fois je savais en entendant les meubles et le rire de ma mère qu’il ne trouvait rien. Elle avait tout détruit. Je l’ai entendu chercher durant presqu’une heure, puis il est descendu et a toquer a ma porte. Je n’ai rien dit, je n’arrivais même plus a respirer, mais il est entré quand même.

    - Tu veux partir n’est-ce pas ?
    - Oui !
    - Je veux que tu partes aussi.

    Il y eu un silence glacé.

    - J’enverrais un hibou au directeur expliquant la situation. Et dès que nous aurons une réponse nous iront acheter tes fournitures.
    - Et maman ?
    - Elle va devoir tout oublier, en attendant, il ne faut rien lui dire.

    Le lendemain il envoyait une lettre en expliquant la situation, et le surlendemain il en a reçut une autre a son cabinet. La voir a été le plus beau moment de ma vie. Je sautais comme une puce, je hurlais de bonheur, je n’ai pas réussît a me contenir, par chance, nous étions dans le pré a coté de la maison lorsqu’il me l’a donné. Le lendemain nous étions sur le chemin de traverse pour faire les fameuse emplette. Jamais mon père et moi ne nous étions entendu aussi bien que ce jour la. Nous avons rit, énormément, je ne le reconnaissais plus. J’ai vite compris que cette vie a la campagne que nous vivions ce n’était pas lui qui ‘lavait choisit et que ca l’avait énormément fait changer, que perdre sa femme l’avait détruit, et que si il avait tant de rancune envers moi c’était uniquement parce que j’avais été l’élément déclencheur. Je lui pardonnais. Je lui ai tout pardonner. Au fond, lui aussi je l’avais aimé, il y a probablement longtemps, mais cette amour n’était jamais mort, il ne le pourrait jamais, bien que la haine l’emportait. Il m’a montrer tout ses endroits préférés et j’ai adoré ca. Il m’a offert une glace, je m’en souviens très bien, il n’avait pas voulu me dire le parfum, et ne me l’a annoncer que lorsque je l’avais fini, sûrement parce qu’il savait que si je l’avais su avant je ne l’aurait jamais manger. Apres cette glace nous avons été dans le plus bel endroit de tout les temps. Mon père avait fait un signe amical au vendeur pendant que je dévisageais les rayons avec admiration. Je savais qu’en ressortant de ce fabuleux endroit ma vie aurait changer.

    – Jack McCutcheon ! Cela fait longtemps que je ne t’avais pas vu !
    – En effet mon cher. Mais ce n’est pas une visite de courtoisie, j’ai du travail pour toi. dit il en me montrant du doigt.
    – Mon dieu, ne serais ce pas la petite Lumen ?
    – C’est bien moi monsieur. Je suis ravie de vous rencontrez.

    J’avais toujours été une jeune fille a l’éducation exemplaire.

    – N’était elle pas muette ?
    – Fut un temps c’était le cas, mais comme vous pouvez le constater ce n’est plus d’actualité.
    – Quelle amusante enfant. Je suppose que tu vas entrer en a Poudlard, et c’est pour cela que tu viens, n’est ce pas ?
    – Je suppose que oui.
    – Sais tu ce que je vends ici ?
    – Non, je l’ignore.

    Il s’engouffra dans un rayon, ouvrait certaines boites puis les reposait en riant. Je lança un regard a mon père.

    – Ne t’inquiète pas, il n’est pas fou, il sait parfaitement ce qu’il fait. Il cherche celle qui est faite pour toi.

    Il revint quelques temps après avec une boîte qui ressemblait a celles qu’on utilisait pour les chaussures, mais était bien trop petite pour en etre une. Il l’ouvrit et je vis une baguette. La plus belle de toutes celle qui m’ai été donné de voir. Elle était fine, et lisse, extremement lisse. Son bois était d’un noir aussi sombre que les ténèbres et son manche semblait avoir été plaqué d’argent et dessus semblait etre gravées trois lettres « LMC ». Je restais ébahis devant ce spectacle.

    – Elle sera parfaite pour vous jeune demoiselle.
    – A vrai dire, elle est faite pour toi a tout les sens du terme. Fait un essaie pour etre sur.
    – Et si elle ne me choisit pas ?
    – Nous trouverons celle qu’il te faut et recommenceront les modifications, mais je ne pense pas que ca sera le cas.

    En sortant de cette boutique, ma vie avait prit un nouveau sens, a vrai dire je me sentais juste entièrement sorcière. Ma magnifique baguette en bois d’Aubépine avec, contenu a l’intérieur, une plume du premier hippogriffe sur lequel j’étais monté. Nous avons continué nos emplettes avec gaîté, puis nous sommes passés devant un magasin d’animaux magique ou je lui supplia de me laisser entrer. Il accepta, après tout, j’avais le droit a un hibou disait il. Je m’engouffra dans la boutique et me suis mise a examiner chaque animal. Puis il y a eu cette chouette au pelage noir qui, des que je me suis approché, a dévoiler des yeux d’un bleu aussi profonde que les miens. Nous nous sommes perdu dans le regard l’un de l’autre.

    – Je vous déconseille cette chouette. Elle est indomptable, et dangereuse. Eloigne toi gamine.
    – Elle m’a l’air gentille.
    – Ce n’est qu’une impression, elle est imprévisible.
    – Papa ? Je la veux…
    – Tu es sure ?
    – Absolument. Elle s’appelle Lumineuse, ca ressemble a Lumen tu ne trouve pas ?
    – Si en effet. C’était d’ailleurs ton surnom étant enfant.
    – S’il te plaît papa…

    Nous sommes ressortie avec Lumineuse. J’ignorais comment j’avais appris son nom, mais ca lui convenait et a moi aussi. Je savais que nous nous entendrions bien. Et au cas ou vous vous poseriez la question, elle n’a jamais été agressive avec moi, elle ne m’a jamais fait aucun mal, mais elle m’a souvent surveillé.

    A la fin de nos emplettes nous avons cacher le tout dans ma chambre dans un silence complet. Ma mère dormait, nous étions rentré tard, et c’est sourire au lèvres, pour al premiere fois, que je me suis endormie, pressée que le jour du départ vienne sonner a ma porte.

    Le jour du départ arriva rapidement, grand-père allait m’emmener a la gare King Cross mais je ne pouvais décidément pas partir avant d’avoir dit au revoir a mes parents. Papa et Grand-père on charger mes affaires dans la voiture pendant que j’allais chercher ma mère. Elle est descendu calmement, croyant que j’ignorais encore l’existence de Poudlard.

    – Pourquoi veux tu aller chez ton grand-père déjà ? On est pas encore le week-end Lumen
    – Oui je sais maman. Mais grand-père a dit qu’il m’emmènerait camper comme la dernière fois, tu te souviens ? Nous étions parti 4 jours.
    – Oh, très bien.

    Nous sommes arrivé devant la maison et grand-père m’a tout de suite serrer dans ses bras.

    – Il est l’heure ma lumineuse.
    – En effet.

    Mon père m’a serrer dans ses bras avec un énorme sourire. Ce soir il retrouverait sa femme et il en étant heureux. Ce soir je disparaissais et il n’y avait rien de mieux pour nous deux.

    – En dépis de ce que tu peux penser, et de ces dernières années, n’oublie jamais que tu es ma fille Lumen, et que quoi qu’il soit arrivé je t’ai toujours aimé.
    – Moi aussi papa…

    J’avais mentis quelque part, mais ca n’avait aucune importance, il était heureux de ces mots, alors que moi je restais indifférente. J’ai couru dans les bras de ma mère, qui m’a serrer comme jamais elle ne l’avait fait. Je crois qu’au fond d’elle elle savait ce qui allait arriver. J’ai eu une larme pour l’absurdité de la situation.

    – Je ne t’oublierais jamais maman.
    – Moi non plus ma belle Lumen.

    Je me suis éloigné, désolée de devoir lui faire subir cela.

    – Oubliette !

    Je suis monté dans la voiture avant d’avoir pu voir les conséquences de ce soir. Grand-père a embrasser son gendre et sa fille alors que j’écoutais tendrement les premiers mots censé de ma mère depuis 11 ans.

    – Au revoir papa. Reviens vite nous revoir.
    – Au revoir Sue.
    – N’oublie pas de dire a maman que je l’embrasse et qu’elle est la bienvenue elle aussi.

    Ma grand-mère était morte il y a quelques années, elle l’avait probablement oublié elle aussi. Grand-père s’engouffrait dans la voiture alors qu’avec un sourire désolé nous entendions ma mère poser une question que jamais on n’aurait cru l’entendre poser.

    – Qui est cette jeune fille a coté de papa Jack ?
    – Ta cousine Lumen, la fille de ta tante Annabelle.
    – Adieux, petite fille.




]IV. GRAND-PERE
« Il n'y a pas de pays sans grand-père. »
[Roch Carrier]


    Quand nous sommes arrivé, avec grand-père, la voie 9 3/4 comme nous l’avait indiqué papa nous avons vu plusieurs familles qui se précipitait des que les moldus tournaient le dos. Nous avons tout de suite su que nous étions au bon endroit, mais, dans un élan amusé de mon grand-père, il demanda a la premiere enfant a coté de nous.

    – Premiere année a Poudlard pour toi aussi ?
    – Oui. avait elle dit avec un sourire resplendissant

    Elle m’a adressé un regard complice alors que mon grand-père m’a poussé discrètement vers elle. Il espérait qu’elle soit mon amie, pour éviter que je sois seule, car il savait que j’aurais eu du mal au départ a aller vers les gens, moi qui n’avait pas l’habitude d’etre entourée.

    – Pour moi aussi. Comment faut il faire pour passer ? Juste courir dans le mur ?
    – Oui c’est aussi simple que cela. Si tu veux j’y vais d’abord et tu iras tout de suite après, comme ca je serais de l’autre coté quand tu arriveras.
    – Ca me va. Comme ca si ca ne marche pas tu te fera mal avant moi. ai je dit en rigolant.

    Je souriais vraiment, je me sentais libre. J’ai ôter le chariot avec mes affaires des mains de mon grand-père et ai attendu que la jeune inconnu disparaisse dans le mur avant de l’élancer a mon tour. Avais je peur ? Non, je n’avais toujours pas peur, et j’attendais la peur comme on attend la mort. Arrivée de l’autre coté, elle était la.

    – Au fait, moi c’est Sine.
    – Lumen, enchantée.
    – On va se trouver un compartiment ?

    J’ai approuvé d’un léger signe de tête et nous avons fait ainsi le trajet ensemble. Nous avons rit, probablement plus que je n’avais jamais ri. Je devais avouer que Sine était la perfection a mes yeux, la fille que j’aurais aimé etre pensais je au départ, au fond je me cachais juste la vérité je crois. En sortant du train, devant l’immense château nous nous sommes surprise toutes deux les yeux écarquillés et encore une fois, nous avons ri. Nous avons ri de tout, et de rien, même du message de bienvenu ou nous nous amusions a caricaturer discrètement le professeur qui le lisait. Nous étouffions nos rires dans le cou l’une de l’autre, et déjà son sourire me rendait la plus heureuse au monde. Lorsqu’il fut l’heure a la premiere d’entre nous de mettre le choixpeau, nous étions toute deux en train de prier pour ne pas etre séparer. Apres Lennox, que je n’avais pas vu de tout le trajet bien que je ‘lai chercher; c’était ma seule amie, et pourtant elle me semblait déjà plus importance que n’importe qui. Mon passage sous le choixpeau fut un moment intense, extremement intense.

    – Lumen McCutcheon

    Je m’avança âpres avoir lâcher la main de mon amie et m’assied su le tabouret.

    CHOIXPEAU – Aurais tu peur Lumen ? Je le vois, c’est la premiere fois que tu ressens la peur n’est ce pas ? Mais de quoi as tu peur ? De moi ? Ou de cette vie ? Je vois en toi beaucoup d’ambition, beaucoup de rêve. Ne serais tu pas prête a tout pour arriver a tes fins ? Même au pire ? Oui, probablement. Mais est ce réellement ce qui te caractérise le plus ? L’amitié semble avoir une importance sans borne a tes yeux. [/color]

    Je pensa dans la seconde au visage de Lennox et Sine.

    CHOIXPEAU – C’est une qualité exceptionnelle la loyauté. La véritable loyauté comme celle dont tu as fait preuve avec Lennox et le courage que tu as montrer au court de ces années m’indique une autre maison que ton ambition. J’ignore quel sera mon choix. Es tu réellement capable de ressentir quelque chose d’humain ? Es tu réellement capable d’aimer ? Es tu réellement mieux que la vermine la plus basse ? Vaux tu réellement quelque chose ? Tu t’en pose des questions Lumen, moi j’ai les réponses, et ces réponses seront dans mon choix.
    [/color]
    ****

    Ma premiere année, tout comme la suivante, furent des plus heureuse. Lennox et moi passions de moins en moins de temps ensemble, et pourtant nous aimions nous retrouver de temps en temps et nous confier l’un a l’autre, nous nous comprenions. Moi et Sine, étions casiment inséparable, nous passions la majorité de notre temps libre ensemble. Elle était réellement parfaite, ma meilleure amie. Et pour une fois, pas la seule. Mais la plus importante. J’étais une jeune fille gaie, qui grandissait dans les mêmes valeurs qui m’avaient toujours habiter, la loyauté, la justice, le respect. Puis il y avait toujours la question de la peur qui me travaillait au fur et a mesure des années. Je semblais etre incapable d’en ressentir, je semblait complètement impassible aux dangers, n’avoir aucune conscience de celui ci. J’avais toujours aimé bouger et faire les choses les plus insolites qu’on pouvait trouver. Je pense que les professeurs me connaissaient principalement par mon rire que par moi même. Il résonnait souvent dans les couloirs, comme celui de ceux qui m’accompagnait. J’étais probablement un peu folle, du moins, toujours prête a dire une sérié de bêtise quoi qu’il m’en coûte. J’avais d’ailleurs déjà écoper de quelques heures de retenue de la part de mes chers et tendres professeurs qui n’avaient pas toujours mon sens de l’humour et qui n’approuvaient pas forcement que je dérange leur cour de cette manière. Néanmoins, beaucoup semblaient apprécier m’avoir en classe a cause de cette gaîté qui me caractérisait tant. J’étais une élève moyenne dirons nous. Les études ne semblaient pas etre ma priorité et on m’avait souvent sermonner avec la célèbre tirade « Tu es très intelligente Lumen, mais ton sérieux laisse a désirer, tu pourrais faire de belles choses si tu le désirais ». Mais voilà tout le problème, je ne le désirais pas.

    Durant les vacances, je partais chez mon grand-père. Malgré mon départ, nous étions rester très proches. Je lui écrivais souvent, et Lumineuse restait jusqu'à etre sure d’avoir une réponse, il lui arrivait même d’empêcher mon grand-père de faire quoi que ce soit tant que je n’avais pas eu une réponse. Nous nous écrivions une lettre par semaine, et nous avions sans cesse hâte de nous retrouver. Il nous est arrivé d’aller voir maman. Des que nous étions seuls, papa et moi, il me serrait dans ses bras et fondait en un sanglot qui secouait mon âme, me repettant encore et encore a quel point je lui manquais. Puis nous retournions voir maman, qui elle était a nouveau comme elle avait toujours été dans sa jeunesse. J’étais heureuse de la connaître comme ca, même si pour elle je n’étais que la cousine Lumen, fille de la tante Annabelle. Elle m’aimait beaucoup, et j’étais ravie de la voir a chaque fois, et pourtant j’avais l’impression qu’elle ne m’avait pas réellement oublié. Chaque fois que je partais de chez elle, elle m’adressait toujours la même phrase.

    – Au revoir ma lumineuse.

    C’est mon père qui ‘m'avait pour la premiere fois appeler comme ca lorsque j’avais 3 ans, et depuis mon départ, ce surnom n’était employer par personne, excepter elle. Tout le monde se demandait ou elle avait entendu ce surnom, mais personne n’osait poser la question de peur de faire resurgir la mémoire de notre nouvelle Sue McCutcheon.

    Les vacances chez grand-père étaient une libération, bien qu’il me forçait a faire sérieusement des devoirs, et par conséquent j’y passais la moitié des vacances. Mais grand-père me faisait toujours des gâteaux excellents avec des recettes qu’il tenait de grand-mère. A mon retour, j’apportais toujours des gâteaux a Sine et a Lennox, mon grand-père en faisait spécialement pour eux a chaque fois. J’en avais aussi une énorme boîte, et j’aimais les manger pendant les cours, ca stimulait ma créativité, et celle de mes professeurs lorsqu’ils me surprenaient. Ca m’amusait plus qu’autre, en général ils pensaient que c’était des gâteaux ensorcelé, alors c’était toujours le même dialogue.

    – C’est mon grand-père qui les a fait
    – Il aurait pu les ensorcelés
    – C’est un moldu

    Ca m’amusait toujours, la plus part du temps ils ne savaient plus ou ce mettre lorsque j’exposais fièrement la nature de mon sang. Certains réagissaient a peine, d’autre par contre me regardaient avec haine. Tout le monde savait que j’étais de sang mêlé, et ce, des ma premiere années mais pour moi, ca n’avait aucune importance. J’étais une véritable sorcière, même si mon grand-père était moldu, et c’est ce fait qui m’a rendu plus tolérante et que je défendais ce qu’on appelait les « sang-de-bourbe » quoi qu’il arrive, quoi qu’il m’en coûte.

    Grand-père m’étant de plus en plus de temps a m’écrire. Dans les yeux de Lumineuse, je voyais qu’elle avait de moins en moins envie d’y aller, et ce fut pire en 3eme année. Ces lettres étaient de plus en plus courte, elles avaient un goût de mort que je percevais avec inquiétude. Puis il y eu cette lettre qui est arrivé quelques jours avant les vacances de Nœl.

    » Ma chère enfant,

    C’est les larmes aux yeux que je t’écris cette lettre. C’est pour une macabre nouvelle que je viens a toi. Hier, alors que je me rendais avec ta mère voir ton bien aimé grand père nous avons fait une horrible découverte. Ma chère enfant, j’ai le regret de t’annoncer la nouvelle dont je suis porteur. Ton grand-père nous a quitté il y a quelques jours, sans que personne n’ai remarquer sa disparition. La vie nous l’a enlever d’une cause inconnue.

    Ta mère est effondrée, mais elle ne cesse de dire que cela sera bien plus dur pour toi, bien que je pense qu’elle ne mesure pas ses paroles je suis de son avis. Sache que tu seras la bienvenue a la maison si tu le désire, mais je dois t’avouer que je pense que ta mère ne t’as pas totalement oublié et qu’il serait préférable pour tous que tu disparaisse de nos vies.

    Tu sais, mon enfant, que je t’ai toujours aimé autant que j’ai pu, mais nous ne sommes pas dupe et nous savons que notre haine l’un envers l’autre dépasse l’amour que nous nous portons. C’est pour ca que je ne t’abandonnerais cependant pas mon enfant, la moitié de ma fortune est mise a ta disposition a la banque, et je ne cesserais d’enrichir ton compte jusqu'à ce que tu hérite de toute ma fortune et de notre maison. J’ai conscience de cette annonce risque de te brisé mon enfant, mais il serait mieux pour tout le monde que cela soit ainsi.

    Cordialement.
    Avec tout l’amour d’un père, et la haine d’un McCutcheon
    Jack McCutcheon »





Dernière édition par Lumen L. McCutcheon le Mar 25 Jan - 18:05, édité 8 fois
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Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ Vide
MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 20:11



]V. EZECHIEL
« Le premier amour est éternel,
le temps ne passe pas, c'est le principe amoureux. »

[Camille Laurensy]


    Je n’ai parler de cette lettre a personne, ni a Sine, ni a Lennox, ni a aucun de mes amis. Je suis rester a Poudlard pendant les vacances, toutes les vacances. Et l’été suivant, j’ai été en France pour fuir l’Angleterre et c’est la que j’ai rencontrer Ezechiel. C’était un matin dans les rues de Montmartre, je errais et regardais les artistes moldu travailler quand un a proposer de me dessiner.

    – Non merci, je ne tiens pas a vous faire perdre votre temps.
    – Ne lui faisons pas perdre alors et pose pour que je récupère le dessin. avait il un jeune homme a peine plus âgé que moi. [/color]
    – Ne t’ai je pas déjà vu quelque part ?
    – Voyons Lumen, nous sommes dans la même école.

    Bien sur, le bel Ezechiel. Nous étions dans la même maison et était adoré de tous, en théorie. Jamais nous ne nous étions aventurer a nous parler, et pourtant nous nous étions souvent adresser de léger sourire complice et ce, depuis des années. Il a prit ma main, m’a cordialement invité a m’asseoir. Et l’artiste m’a dessiné, un portrait des plus ressemblant, et Ezechiel a prit le dessin, puis nous avons été flâner ensemble dans les rues.

    – Tu compte réellement le garder ?
    – Evidement.
    – Pourquoi ca ?
    – J’aime les jolies filles, or, tu es assez jolie.

    Il a rougit en disant cela. J’ai compris qu’il avait honte de l’avouer et qu’il ne pensait pas que cela. Nous avons passé l’été ensemble. Lorsque ces parents sont rentré a Londres, il est reseter a Paris avec moi. Et la plus belle de toute les idylles a commencer. Nous étions le parfait petit couple, nous habitions dans une chambre d’hôtel minable que j’avais louer, et nous aimions flâner dans les rues et nous moqué des moldus bien qu’aucun de nous n’avais de préjuger, au contraire, nous étions tout deux de sang mêlé. Nous appréhendions un peu le retour a Poudlard. Nous retrouvions un environnement connu, mais avec des changements. Nous étions un couple si fusionnel qu’il nous semblait dur de retourner a Poudlard puisse que nous serions séparer pendant des heures. Ce devait etre la premiere personne que j’ai réellement aimé.

    Comme toute les amoureuses je me suis offerte a lui, espérant qu’il me fasse oublier les besoins que mon père satisfaisaient en moi enfant lors de mes nuits de torture.

    Spoiler:

    Les larmes que j'avais versé cette nuit la et la douleur qui 'mavait envahie n'avait pas frené nos ebats. Je l'aimais suffisament pour lui offrir tout ce qu'il desirait de moi. Il m’était essentiel, comme je lui étais vitale. Il était l’essence même de mon âme. Je ne pouvais plus voir ma vie sans lui, Il sembalit que nous etions fait l'un pour l'autre, du moins c'etait ce que tout le monde semblait dire, en realité je n'ai jamais ete certaine, j'aurais aimé croire a notre eternité, mais rien n'y faisait. Je l'aimais du plus profond de mon coeur, et je ne comprennais pas pourquoi je ne croyais pas ses mots d'amour. Sa sincerité ne faisait aucun doute, et mon amour pour lui etait immuable, et pourtant j'etais persuadée que tout n'etait que mensonge. Puis il y a eu ce fameux soir. Nous montions dans les étages, il m’accompagnait a mon dortoir, quand il est devenu pale, vraiment pale, plus pale que jamais. Je le regardais, silencieuse, et voyais la lueur dans ses yeux s’etteindre.

    – Ezechiel ? Ca va ?
    – Ne t’en fait pas mon amour, tout ira bien.

    Il manqua une marche et s’écroula sur le sol alors que je me précipitais prés de lui, paniquée. Je ne comprennais pas, que lui arrivait il ?

    – Ezechiel !! Qu’est ce qui se passe ?!
    – Rien…
    – Jeune homme, il est préférable pour votre sécurité que vous me disiez ce qui se passe sinon je ne donne pas cher de ce que votre petite amie fera de vous.

    Il esquissa un sourire douloureux.

    – J’ai mal…
    – Ou ca ?
    – Au cœur…

    Par chance nous n’étions pas très loin du dortoir et j’ai pu appeler quelques jeunes filles pour venir m’aider a le porter a l’infirmerie. J’ai attendu des heures, aucun professeur n’a réussît a me déloger, chaque fois je leur lançais un regard si noir et terrifiant qu’ils comprenaient que je ne bougerais pas. J'ai imaginer le pire. Je l'ai imaginer mort. J'ai refuser de me nourir. J'ai refuser de dormir. Et j'ai pris conscience que ma vie sans lui ne vaudrait plus rien, qu'il etait l'etincelle qu'il m'avait fallut pour exister. Je n'existais que par lui, que pour lui. L'’infirmière est sortie et sortie apres plusieurs jours de silence total, alors que certains professeurs le faisait leviter. Je me suis approcher, ai plongé mes yeux pleins d'inquitude dans les siens, et est mimer de mes levres des mots que je ne lui avait encore jamais dit " je t'aime".

    – Nous devons le renvoyer chez lui. Il doit etre suivit par son médecin.

    J’étais anéantie. Etre loin de lui était l’épreuve la plus difficile que j’avais a surmonter, pour le moment. Il est rentré et a quitter Poudlard, a été hospitalisé quelques mois, puis est rentré chez lui. J’étais prés de lui chaque jour pendant les vacances, et je lui écrivais chaque jour lorsque j’étais a Poudlard. Je pensais lui sans cesse. Il me hantait, et d’âpres ce qu’il me disait, je le hantais aussi. Il me racontait ce qu’il se passait autours de lui, et moi ce qui se passait a Poudlard, rien de comparable. Il me racontait son état de santé, ommetant sûrement les détails les plus sordides, les plus troublants, puis un jours il y a eu cette lettre.

    « Mon bel amour,

    Ma lettre de ce soir t’annonce une bonne nouvelle. On m’a annoncer que j’allais enfin me faire opérer. Chez les moldus, on appelle ca une transplantation. Et oui, comme tu el sais ma mère est moldu et donc c’est eux qui prendront soin de moi. Ne t’inquiète pas mon amour, tout ira bien. L’opération a lieu ce soir, des mon réveil je t’écrirais une nouvelle lettre . En attendant la prochaine, n’oublie pas mon amour a quel point je peux t’aimer. Quoi qu’il arrive je serais toujours prés de toi, tu a su illuminé ma vie, lui donné un sens, et des mon retour je te le montrerais a nouveau.Etre aussi malade, frolé la mort, m'a fait realiser ce que 'lon etait reellement l'un pour l'autre. Oh mon ame soeur. Comme je ne peux m'empecher d'etre envahi de ton image et de ton odeur. Notre amour m’a donné la force de lutter, pour qu’une fois guéri nous soyons réunis.
    Je t’embrasse ma belle Lumen.
    Ezechiel »


    J’ai attendu la lettre plusieurs jours, mais je n’ai jamais eu de nouvelle… Ce n’est qu’âpres une semaine de lettre sans réponse qu’on nous a annoncer la nouvelle.

    – Ezechiel est mort .


+1


]VI. SINE
« C'est le destin du sexe de parraitre
moins romantique que le desir. »

[Utto Rudolph]


    La mort d’Ezechiel m’a énormément rapproché de Sine, elle était la pour moi et notre complicité a grandit au fil des mois. Elle était réellement ma perfection. Dans le fond, elle avait tout pouvoir sur moi, elle était la seule a qui je faisais vraiment confiance, peut être a tort, la seule qui me donnait la force de me battre, la seule avec qui mes sourires, rires, n’étaient jamais faux, car je sais qu'avec elle les images ne servaient a rien. Puis j’ai réalisé…

    « Cher Ezechiel,

    Nos projets, nos sourires, nos délires, tout ce qui faisait nous, a disparut avec toi. Plus rien, je n’avais plus rien, sauf ton souvenir. Il me manquait quelque chose, quelque chose d'important, de vital. Il me manquait toi... Tout ce que tu disais me laisser à disparu , jusqu'à son retour... Ses regards, ses sourires, ses gestes, nos délires, c’était elle et moi. Elle seule en un instant redonnait un sens a ces mots dont la valeur s’en était aller avec toi... D’abord ses sourires, magnifique sourires, ses rires, rires cristallin et libérateur, capables de me donner envie d’être moi, de savoir me faire rire, d’effacer la douleur pendant un moment. Puis juste sa voix, incroyable voix aux milles et unes merveilles, capable de faire apparaître un sourire parmi les larmes. Ses gestes ensuite. Chaque fois quelle me touchait, frôlait, je m’abandonnais entièrement a elle, comme dans l’espoir d’être libérée, car rien qu’en la frôlant elle m’offrait une sensation de sécurité, de joie pure... Et il n’y a pas si longtemps son regard, ce regard plongé dans le mien, me donnait une impression étrange, me faisait fondre... Ses yeux, si beau, si bleu, si tendre et protecteur. Plonger dans les miens... Feindre indifférence alors que j'avais l'impression quelle m'offrait plus de tendresse que je n'attendais... Peut être autant que j'en désirais... Je ne pouvais nier que je souhaitais plus que tout intensifier ses sensations, en découvrir de nouvelles, plonger dans ses bras, la serrer contre moi, faire nos lèvres se frôler... Jen mourrais d’envie. Un peu plus a chaque regard. Mais je ne pouvais pas, j’avais trop peur de la perdre et ce bien plus depuis qu’elle était avec lui.. Pourquoi ? Il n’était supposer être une menace pour moi... En étais je une pour lui? Je le haïssais... Et je haïssais tout ceux qui me rappelais Quill avait des droits que je n’avais pas... La toucher, l'embrasser, passer ses nuits à ses côtes... Tout ça était à lui, à moi les véritables je t'aime et l’assurance de lavoir près de moi jusqu'à la fin... Cela ne me suffisait-il pas ? Si , mon âme et mon bon sens s'en contentaient mais mon corps en demandait plus... Allais je tout gâcher pour un caprice amoureux ? Je n’étais sur de rien mis à part que je l’aimais ...

    Ezechiel… Te rend tu compte de cela ? Qu’après toi c'est elle ? Ca y est, je sais, je peux aimer, tu n’es pas le seul a avoir le droit a cet amour que je te louais, mais pas elle, pitié pas elle. Elle regardera les hommes et moi je la regarderais elle. Elle me parlera d’amour, et moi je ne verrais qu’elle. Elle me parlera de lui, et moi je ne penserais qu’a elle. Oui, je suis capable de l’aimer, je sais que je pourrais l’aimer comme personne, mais je ne dois pas, je n’ai pas le droit, je dois juste oublier. Mais comment ? Quand on se rend compte qu’on est capable d’aimer. »


    Tout était dit, inutile d’en rajouter, c’est honteuse que je me dois de vous le confessez. J’essayais d’oublier, puis il y a eu cette nuit…


    *****
    Spoiler:
    ****

    Elle était saoule, du moins je crois. Elle se souvient de ce jour mais n’est sure de rien, elle me fait des allusions que je comprend très bien, mais honteuse de cette nuit je fais mine de ne pas comprendre, et pourtant je la cherche, je la provoque, elle et le doute, je ne peux pas m’en empêcher, nous jouons depuis ce jour, un jeu qui ne nous mènera probablement nul part, mais ca nous amuse bien qu’elle aimerait etre sure de l’existence de cette nuit, et moi connaître les raisons de cette abandon a l’homosexualité. Depuis ce jour, je dois avouer que je n'ai plus regarder les hommes de la meme facon. La difference entre mes ebats avec Sine et ceux avec Ezechiel me font me poser une question des plus logique et importante, me plonge dans l'hesitation profonde, et si les hommes n'etaient aps fait pour moi ? Je l'ignore, et je dois avouer qu'il n'y a pas un jour ou je ne me pose la question. Je suis sortie avec de nombreux hommes, aucune femme, et malgré tout je ne suis sure de rien.






]VI. SALE SANG
« On appelle famille un ensemble d'individus unispar le sang »
[Edouard Rey]



    Je n’ai toujours pas reparler a mes parents, mais chaque fois que je peux je m’approche de leur maison et les regarde vivre pendant un moment. Il est arrivé que ma mère me voit et me sourit avant de repartir a ses occupations. Puis un jour, on m’a annoncer la terrible nouvelle. Ce jour la, la nuit laissait de legere goutte de plus un peu partout dans l'air, ca sentait la pluie, j'aimais cette odeur. Alors que je prenais un café dans un café du chemin de traverse, le dernier avant la rentré, un homme s’approcha de moi d’un air gêné. Un homme grand, d'une quarantaine d'année, peut etre un peu plus, en costard.

    – Lumen McCutcheon ?
    – Oui ?
    – La fille de Sue McCutcheon ?
    – En effet, nous nous connaissons ?
    – J’ai été l’avocat de votre mère.
    – L’avocat ?
    – Vous n’êtes pas au courant ?
    – Je ‘naï pas parler a ma mère depuis la mort de mon grand-père. Pour un avocat vous êtes mal renseigner sur la famille.
    – Dans ce cas je suppose que je dois vous annoncer également le décès de Jack McCutcheon ?
    – Mon père est mort ?

    J’ai posé la question avec une telle indifférence que je me suis surprise moi même. J'aurais pu faire l'effort de faire semblait d'etre touchée, mais il m'avait abandonné, je ne pouvais rien faire d'autre pour lui.

    – Laissez moi vous expliquer…

    ****

    Sue avança dangereusement vers son cher mari. Celui ci avait passé la nuit a travailler dans le cabinet de travail qu'etait devenu la chambre de Lumen depuis son depart. Il ne restait plus aucune trace de l'enfant. Sue semblait haineuse, prise d'une colere immaitrisable.

    – Ou est Lumen ?
    – Je ne sais pas Cherie.
    – Tu n’ai même pas capable de me dire ou est ma propre fille en pleins mois d’août ?! Pourquoi n’est elle pas revenu ?!

    Et il compris. Elle ne l'avait pas oublier, elle ne demandait pas ou etait la " fille de la cousine Annabelle" mais ou etait sa fille, celle qu'elle voulait proteger depuis sa naissance. Jack tenta d’atteindre sa baguette; il avait peur, il voulait etre sur qu'il ne risquerait rien, mais Sue l’intercepta avant. Il n'etait plus en securité, elle etait capable de tout. Il planta ses yeux dans les siens et vu ce qu'il avait refusé de voir depuis des années. Elle savait parfaitement ce qu’il s’était passé, sa plus grande peur s’était réalisé, on lui avait enlever sa fille, et au fond elle le savait depuis longtemps. Et evidement, la mere qu'elle avait ete avait vu son unique certitude se realisé : son mari lui avait enlever sa fille.

    – Cesse de fuir Jack, ou est elle ?
    – Je l’ignore.
    – Pourquoi n’est elle pas revenu ?
    – C’est moi qui lui est dit.
    – Tu m’as enlever ma fille.
    – Je pensais que tu l’avais oublié. Sinon je n’aurais pas fait ca.
    – Je n’aurais jamais oublié Lumen ! Tu me l’a enlever ! Tu me l’a enlever!

    Elle ne comprennait pas, comment avait il pu croire qu'elle aurait pu oublier sa fille ? Elle pointa la baguette vers son mari qui terrorisé suppliait, pleurait, hurlait. Elle n’était pas prêté a lui pardonner, il lui avait enlever sa fille, il devait mourir. Il n’y avait aucune autre possibilité pour elle. Aucune autre.

    – Tu ne ferais pas ca.
    – Ava…
    – Arrête Sue !
    – da Kedavra !

    Le corps du dernier homme McCutechon s’écroula sur le sol dans un ultime sanglot. Avec lui s'etteignait sa race et son sang. Avec lui mourrait la famille.

    ****

    J’appris ainsi que ma mère était interné et soigner par des médecins car il en était sortie du procès qu’elle n’était pas responsable de ses actes et que sa maladie l’avait emporter. Quant a mon pere, je n'ai pas demander ou il avait ete enterrer, surement pour souligner mon indifference. J'appris par la meme occasion que sa fortune me revenait, mais cela n'avait aucune reelle importance, pour moi ca n'etait que de l'argent sale d'un sang sale. IJe me leva de ma table et sortit du bar ou je me trouvais pour errer dans les rues. Il m’avait abandonné et il était mort a présent, je ne savais si me réjouir ou le pleurer, a vrai dire, je n’avais que de l’indifférence en moi. Je n’avais jamais eu de réel famille depuis la mort de mon grand-père, et pourtant ce soir je me sentais encore plus seule que jamais. Plus jamais je ne pourrais les regarder vivre comme on regarde de vulgaires fourmis. J’ai errer pendant des heures avant de réaliser qu’en réalité cette famille était morte, elle s’éteindrait âpres moi, et dans le fond, j’en étais contente. Il y avait peu de chance qu’il y ai de descendant a cette famille vu les énormes doutes que j'avais en ce qui concerne ma sexualité. Vous me direz qu’etre gay ne rend pas stérile, cette, mais etre gay offre ainsi la possibilité de choisir qui sera la mère biologique, et ca ne serait pas moi. Ce sang semblait pourri. Le sang dans mes veines m’inspirait un profond dégoût. Il suffisait de regarder les membres de cette famille. Commencons du coté de ma mere, mon grand-pere etait mort et il semblait etre le seul a valoir la peine,, ma grand-mere avait été soignée pour demence avant de mourir par overdose, et ma mere... avait tuer mon pere et a present etait en hopital psychiatrique. Et maintenant mon pere, mon grand pere etait un sang pur qui n'avait d'autre idée que la lignée, il avait regné mon pere lorsqu'il avait rencontrer ma mere; ma grand-mere elle, avait travaillé au service d'un certain homme important connu pour son coté obscure, et etait morte mysterieusement; et mon pere, il avait renoncer aux prejugés de sang mais gardait ceux de fortune, avait renier sa propre fille, la seule chose que je lui accordais volontier, etait l'amour sans borne qu'il avait louer a ma mere qui prouvait qu'un tel monstre aussi etait capable d'aimer.

    Et me voilà de retour a Poudlard pour de nouvelles études auprès de mes chers camarades. La peur me tiraille que l’info sur la mort de mon père ne revienne jusqu'à ces lieux, mais ce n’est pas ca qui me changera. Je suis toujours fière de ce que je suis, et ca ca ne changera pas quoi qu’on dise de moi.


Dernière édition par Lumen L. McCutcheon le Mar 25 Jan - 21:17, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 20:28

Bienvenue =)

Bone chance pour ta fiche!
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 21:40

Willa, quel bon choix. I love you
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 21:48

Bienvenue ici et bonne chance pour ta fiche
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 21:59

Bienvenue! I love you
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 22:01

Mercii I love you
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 16 Jan - 22:05

Bienvenuuu j'aime beaucoup le debut
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyLun 17 Jan - 20:35

Bienvenue ma belle, bon courage pour la suite de la fiche
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyLun 17 Jan - 22:48

Thank's I love you
Hayden Christensen *_* Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ 432337

Suite demain Arrow
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 18 Jan - 16:05

BIENVENUE SUR LE FORUM! et je veux un liens avec toi... c'est obligé!
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 18 Jan - 17:03

Merciii !!
Ah merde Willa est prise ^^' bon bah oui c'est obligé qu'on ait un lien !! :) En plus j'ai survolé ( je la lirais quand j'aurais fini la mienne ^^) ta présentation et ... Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ 469549
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 18 Jan - 17:31

Au contraire Lumen Willa n'est plus prise... je l'ai libéré parce que je pensait déjà à changer d'avatar (Elle ne m'inspirait plus pour Sine alors que j'AdDORE willa) Alors je l'ai libéré parce qu'une autre la voulait.
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 18 Jan - 18:05

Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ 432337 It's my happy dance :)
Thank's :)
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 18 Jan - 18:32

bah au moins il y aurat deux heureuse dans cette histoire moi qui suis à nouveau inspirer pour sine et toi qui a le vava que tu voulais.

(en fait c'était à cause que j'attendait que les admin accepte ma demande avant de venir te souhaiter la bienvenu)
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 18 Jan - 22:10

Oh oui I love you Je voyais que Willa dans le role en plus ^^ Merci beaucoup
Je suis encore plus inspirer par Lumen avec le lien qu'on a établi aussi ^^
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 18 Jan - 22:42

De rien ma belle j'avoue ça fait béton comme lien
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyDim 23 Jan - 0:08

Bienvenue :)
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 25 Jan - 21:19

Mercii :)

Et voila, je pense avoir fini
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyJeu 27 Jan - 21:54

Bienvenuuuue
Quelle superbe fiche, j'e n ai rarement vu des aussi bien ecrit =)
Je te valide et je te mets à GRYFFONDOR
Par contre dans quel cursus tu veux aller? J'ai cru voir que tu voulais être dans le cursus "Etude de la Faune et de la Flore Magique". Mais on ne sait jamais =)
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 15 Fév - 15:15

Merci beaucoup Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ 469549 ca me touche
Oups en effet je n'avais pas vu le petit bug a ce niveau ^^ non en fait c'est Medicomagie avec option Psychomagie ^^
Par contre ( je suis une feignante qui a la flemme d'editer son post xD) pendant un petit moment je serais beaucoup moins presente ( comme le temoigne le temps que j'ai mit a revenir ^^) neanmoins ce n'est que temporaire et je vais rp malgré tout :) Lorsque ce petit moment en tant que membre peu present ( mais ca ne veut pas dire que je ne vais pas beaucoup rp xD juste que je mettrais un peu de temps a repondre) sera terminé je serais a vous tout les jours comme promis ^^
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ EmptyMar 15 Fév - 20:45

Oki, je préviens les autres admins =)
Bon jeu, et n'oublies pas de regarder les nouvelles choses qu'on a fait (choisir son groupe, nouvelle intrigue)
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MessageSujet: Re: Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫   Lumen L. McCutcheon :: I keep you my dirty little secret... ♫ Empty

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