Noël était passé et je devais me remettre au travail. Les nouvelles directives du Ministère me mettait vraiment en rogne mais que pouvais-je vraiment faire ? Je décidais donc de mettre de côté mon amertume et de continuer mes cours. Pour une fois je décidais de ne pas séparer les classes, c'est-à-dire que tous les élèves y étaient conviés, même ceux qui ne suivaient pas mes cours à l'origine. Qui sait peut être que nous allions découvrir des vocations aujourd'hui ! C'est avec cette ambition que je me dirigeais vers ma salle de classe. Il n'y avait encore personne dans l'immense amphithéâtre. Tant mieux j'allais pouvoir mettre en place mon atelier. Aujourd'hui, les cours théoriques sont proscrits. On allait faire de l'anatomie sur sujet vivant. Bien il fallait que je m'active un peu j'avais énormément de chose à faire avant l'arrivée de mes élèves alors il ne fallait pas que je perde de temps. Je levais ma baguette et lançais pas mal d'incantation. Je voulais voir des tables avec des mannequins mais aussi des tapis et tout autre chose dont je pouvais avoir besoin. Pour une fois, je ne voulais pas paraître barbante en parlant pendant des heures de la positions du coeur dans le corps humain. Aujourd'hui, on allait apprendre les sorts de premiers secours. J'avais proposé cet atelier au directeur après le désastre du bal de fin d'année. Je trouvais normal que chaque élève puisse se soigner ou soigner quelqu'un d'autre. Donc c'était la base de ce premier cours depuis la rentrée. Je regardais la salle. Elle me semblait presque parfaite. Il y avait des mannequins pour apprendre les premiers gestes, oui je sais ça fait très moldu mais un massage cardiaque doit savoir se faire par magie ou par « voie moldue » parce que imaginez ! Vous perdez votre baguette dans la bataille et vous ne savez que faire le massage avec votre baguette et bien la personne que vous auriez pu sauver est morte et vous vous direz que si vous aviez si vous aurez été un peu plus été attentif à mes cours... Oui je sais ce n'est pas très objectifs et je suis un peu en rogne que mes élèves ne prennent pas vraiment mes cours au sérieux, surtout les sangs-purs mais bon passons, ce n'est pas vraiment le propos pour le moment je dois m'occuper de cette salle. Bien pour le moment, je pense que tout est prêt il ne manque plus que mes élèves pour que le cours puisse commencer. Bien maintenant que tout était en place je me décidais enfin à aller prendre mon déjeuner. Je fermais la porte de la salle en espérant la retrouver dans le même état quand je la repasserais. Comme d'habitude dans la grande salle, il régnait une atmosphère de tension... Les Grndelmonks et les Sangs-Purs ne se regardaient même pas, on aurait dit que la troisième guerre mondiale venait d'être déclaré. Je soupirais simplement de rage. Pourquoi ne pouvaient-ils pas se montrer matures ? Enfin, ce sont des adolescents alors il ne fallait pas trop leur en demander je pense. Ça leur passera avec le temps, du moins je l'espère. Le repas se finissait enfin et je retournais dans ma salle. Quand mes élèves passèrent le pas de la porte, je lançais Bon vous vous placez devant un mannequin chacun, vous mettez vos sacs au fond de la salle et vous posez vos baguettes sur mon bureau. Pendant la première heure de cours vous n'en aurez pas besoin. J'entendais des protestations derrière mon dos, ce qui me fit sourire. Pour une fois leur voix était à l'unisson. Bien, nous n'avons pas toute la journée, si vous ne voulez pas faire un tour dans le bureau du directeur, je vous conseille de bouger un peu plus vite... PRONTO ! Je parlais toujours en italien quand je commençais à être remontée... Et là je dois bien dire que je commençais à en avoir assez de les entendre se plaindre. Je me tournais pour me placer devant un mannequin. Bueno, je sais que mes cours ne sont pas toujours très intéressant mais aujourd'hui, nous allons faire des travaux pratiques. Qui peut me dire ce qu'est une PLS pour les moldus ? Je les regardais tous attendant les protestations que le mot moldu pouvait bien soulever.

Gabriel est un flemmard. Un bon gros flemmard qui s'affale dans son lit de tout son poids, et qui n'en sort qu'après trois jours. On a parfois lancé des recherches alors qu'il faisait juste une petite sieste, tant le sommeil était pour lui important. Bah, quoi, il se dépensait beaucoup, si vous voyez ce que je veux dire... Vraiment, pour sortir le jeune Serpentard de son lit douillet, il fallait un bon argument. Un excellent argument, même, pour parer à la rhétorique sans fin du jeune homme. Aujourd'hui, cet argument avait un nom. Un prénom, même. Un joli prénom exotique, qui brillait comme le soleil et qui sentait les fleurs et l'été, la plage, le sable entre les orteils et les robes fleuries plus courtes que jamais... Pardon, je m'égare. Sofia. Sofia Manccini. Les yeux clos, fourré dans son oreiller, un sourire carnassier s'installa sur les lèvres de Gabriel. Il aimait ce nom, il le prononçait en accentuant exagérément l'accent qu'il ne connaissait même pas. C'était un beau nom pour une belle femme. Une belle femme avec qui il jouait secrètement. Une belle femme qui serait bientôt à lui, aussi sûr que Gabriel avait toujours réussit à renverser sur ses draps qui il le souhaitait.

L'argument étant très persuasif, le jeune homme se leva, toujours le sourire aux lèvres. Ce sourire qui disait qu'il n'allait pas n'importe où pour n'importe quoi, mais dans un endroit bien précis dans une idée bien précise. C'était son sourire à lui, son sourire de mec sûr de lui, peut-être même la clé de tout. La confiance, c'est la clé. En tous cas, c'est ce qu'il pense, et on peut admettre que ça lui a plutôt bien réussit jusque là. Un jean, des baskets, une chemise lâchement fermée, les manches remontées à l'arrache, la barbe pas rasée depuis six jours, les cheveux en bataille, bref, un bûcheron, today. Certes, commenterait Gabriel, mais un bûcheron à l'italienne. Quand même. Ou peut-être était-il totalement hors-sujet, mais franchement, il s'en moquait.

Décontracté, à l'aise, peinard, en mode « j'm'en fous t'as vu, j'prend mon p'tit déj', là », il passa la demi-heure suivante dans la Grande Salle, à la regarder se vider par les élèves et professeurs se dirigeant déjà vers leurs salles de cours. Merde, c'était déjà l'heure ? Mais j'ai pas finit mes toasts... Bon, tant pis, le cours attendra, hein. On peut considérer comme un quasi-miracle que jamais encore on n'avait menacé le jeune homme pour ses retards ou absences aux cours. Miracle de son propre fait, comme il se vanterait en toute vraie fausse modestie, puisqu'il avait le don pour avoir l'air d'un ange et se faire pardonner dès qu'il le fallait. Néanmoins, il estima qu'il y avait aujourd'hui trop d'enjeux et qu'il ne valait mieux pas tenter le diable.

Avec, donc, un bon retard, il arriva en cours, de manière pas tout à fait discrète, voire même... pas du tout discrète. « Oh, par la Barbe de Merlin ! » Main qui vient dramatiquement frapper son front. « Je suis vraiment désolé, on m'aurait mal informé ? D'après mes informateurs, le cours commençait seulement à neuf heures... » Coup d'œil vachement naturel vers une montre imaginaire. « Je n'ai rien manqué, j'espère ? Bon, je m'installe silencieusement, alors... » Bouscule trois élèves, dérange toute une rangée. « Ne faites pas attention à moi. Oh, et ne vous inquiétez pas, mon gars connaît un gars qui cassera la gueule des petits cons qui m'ont fait rater le début de votre merveilleux cours. Non mais. » Grand sourire.

Il remarqua Amadeus dans la salle et son sourire ne fit que s'élargir encore plus. Sofia, lui... Qui d'autre ? Cette simple salle de cours recelait de surprises et de plaisirs qu'il suffisait de chercher, de trouver, avant d'en profiter...

A la question posée par Sofia, il connaissait la réponse, il avait même une petite vanne bien lourde à placer au passage. Mais à cette question, seuls des nés-moldus, sang-mêlés, ou inconscients passionnés par le monde non magique pouvait y répondre. Le faire, c'était carrément dire « yo, les sang-pur, j'ai une vie merdique, je voudrais me suicider mais j'ai pas le courage, pourriez faire un petit quelque chose pour moi, please ? » Bref, pas le genre du vert & argent. A la place, il profita du silence pour adresser un clin d'œil rieur au professeur.

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Certain aurait pu se demander pourquoi moi Jezabel Thistle Aleana Dragomir, rebelle par excellence était en cursus médicomagie. Je n’avais pas le profil de l’emploi apparemment, j’étais trop m’as-tu-vu. Pas ma faute mais quand tu nait premièrement avec une mère comme la mienne tu apprend qu’être m’as-tu-vu peu être très intéressant. Plus j’étais flamboyante plus elle avait peur de moi. Et à vrai dire j’était plutôt heureuse d’être sortit de cette école catholique ou elle m’envoyait avant d’arriver ici. Mais bon j’était à l’opposer de se à quoi on s’attendais pour une futur médicomage mais bon j’avais laisser mes option ouverte pour cette année je trouverais surement la branche qui serait plus approprié à mon profil dans ce domaine dans les année à suivre. Je n’avais après tout que 18 ans rien de mal j’avais le temps de changer d’idée plus d’une fois avant de finalement me décider une bonne fois pour toute. Mais bon tout cela expliquait pourquoi se matin j’entrais dans un cours avec hum c’était quoi le nom de cette prof encore ? Truc Mancini… désoler mais j’était nul pour les nom de manière général. Et pourtant j’avais été élevé avec des gens au nom à coucher dehors. J’étais D’origine Russe alors le prénom et les nom qu’on n’est jamais trop certain comment prononcer j’en connaissait des masse. Une chance que ma mère avait accepté d’américaniser un peu mon prénom mais je le prononçais toujours avec un joli accent russe. Mais bon je m’égare J’avais faillit arriver en retard au cours à cause de Fallon comme d’habitude qui avait cru faire son intéressant dans la salle et j’avais été obliger de lui faire désenfler la tête comme d’habitude mais en entrant dans la salle je regrettait déjà d’y avoir mit les pieds. Pourquoi est-ce qu’il fallait que ces putains de sang pur se retrouve partout. Ils était pire qu’une infections oculaire et en plus il vous foutait un mal de crane avec leur « Je suis meilleure que toi je suis un sang pure. » C’était comme retourner à la petite école quand tous les gamins se chamaille en gueulant «Mon père est plus fort que le tient. » Bah voyons comment ils s’expliquaient alors que je sois meilleure que la plupart d’entre eu en sortilège ? Il ne se l’expliquait pas il ne le croyait pas tout simplement. Bon d’accord mon paternel était un sang pure, je n’avais pas la moindre idée qui il était et la seul idée de penser que je pouvait avoir un lien quelconque avec l’un de ces idiots me donnait mal au cœur.

La première choses que la professeurs demandais quand le cours débutait c’était qu’on dépose nos baguette sur son bureau, sauf que BLACK était dans se cours et même si c’était claire que je n’avais pas besoin de baguette pour botter le cul de se petit démon blond pas question que lui garde sa baguette et pas moi. Et malheureusement je ne savais pas fermer ma petite gueule non plus remarquant qu’il ne déposait pas sa baguette j’avais conclue que moi non plus je ne la déposerait pas. « Désolé si un pareil idiot à droit de garder sa baguette je garde la mienne, on ne sait jamais quand ces idées psychopathe vont l’amener à vouloir nous tuer sur le coups. » Tout le monde savait que j’était Luky luke avec une baguette dans les mains, je la brandissait plus vite que mon ombre et en plus dans les duel j’était ultra dangereuse à cause des HEURES passé en bibliothèque à apprendre les sortilège imprononcé, à pratiquer et bien sur je saurais rapidement contré ces attaques. Surtout qu’un homme comme lui était tellement confiant. Mais finalement le cours avait commencé et c’était une bonne choses. Elle commençait avec une question facile en plus ; «Bueno, je sais que mes cours ne sont pas toujours très intéressant mais aujourd'hui, nous allons faire des travaux pratiques. Qui peut me dire ce qu'est une PLS pour les moldus ?» Mais entendre les réponse stupide de mes camarades était bien plus intéressant avant tout. Il y avait d’abord Black comme toujours aussi débiles profond. Mais la plus drôle était celle de la pouffsouffle, je n’avais aucun souvenir de sont nommais je savait que j’allais adorer cette filles. Mais alors que plus personne ne semblait avoir de réponse autant rigolote qu’intelligente à dire je me lançait dans une réponse : «PLS tient pour Primary lateral sclerosis qui est une maladie neuromusculaire qui affaiblit progressivement les muscles…» Je me mordait la langue pour ne pas lancer une pique mais finalement mon caractère avait pris le dessus « Ça explique surement le comportement d’imbécile de Black d’ailleurs… sont cerveau devient lentement comme du jello. » Je lui lançais mon plus beau sourire histoire de dire BRING IT ON! « Mais sinon PLS dans le monde Moldu est souvent mauvaisement diagnostiquer pour ALS.»

J'étais en train de me dire que ce cours n'allait pas être de tout repos. Bien entendu, je ne m'attendais pas à ce que tout le monde m'obéissent de suite. D'ailleurs, il n'y avait eu que Danitza qui m'avait écoutée et posée sa baguette sur mon bureau. Bien puisqu'il fallait en arriver là, j'emploierais la manière forte, enfin disons plutôt la manière magique. J'entendais déjà des protestations dans mon dos. Non mais ils se prenaient pour qui là ? Cependant je ne dis rien les laissant râler un moment. De toute façon, ils allaient très certainement crier encore plus fort dans quelques minutes. Si on enlevait ceux qui étaient habillés n'importe comment mettant au placard leur uniforme, les retardataires et les râleurs, j'avais une bonne classe. Les résultats n'étaient pas vraiment là mais ils semblaient quand même attentif à mes cours. Ce fut Monsieur Black qui protesta le premier et en italien ! Perché essi depositare? Non si può custodirli senza utilizzarli? Je mettais alors retourner. Il me faisait des yeux de chiens battus ou plutôt de chat battu. Il croyait quoi que j'allais céder aussi facilement. Je lui adressais un petit sourire. Quand même il fallait de l'audace pour me parler dans ma propre langue et surtout pour protester. è veramente personale, i miei genitori mi sempre hanno insegnato a non mai là lasciare trascinare. È la prima cosa che si apprende ad un giovane stregone... Je le vis s'éloigner avec sa baguette dans la poche. Je rêve où il était en train de me provoquer là ? « Désolé si un pareil idiot à droit de garder sa baguette je garde la mienne, on ne sait jamais quand ces idées psychopathe vont l’amener à vouloir nous tuer sur le coups. » Voilà que Miss Dragomir se mettait elle aussi à protester. J'écoutais une à une les voix s'élevaient pour me dire que jamais ils ne poseraient leur baguette chérie. Je soupirais. Monsieur Black quand je dis quelques choses on m'écoute et on essaie pas de me faire changer d'avis en parlant en italien comprendo ? Miss Dragomir, je pensais que vous seriez un peu plus intelligente qu'eux pour éviter une heure de retenue. Je n'avais pas levé la voix, ça ne servait à rien de toute les façons. Je levais alors ma baguette et dit tout simplement. Accio baguettes élèves Toutes les baguettes filières sur mon bureau. Je me tournais alors vers le tableau pour écrire quelques mots. J'entendais des chaises grincées. Je dis alors sans me retourner d'un ton très froid, vous savez celui que je prend juste avant de donner une longue série d'heures de colle. Le premier qui se lève pour récupérer sa baguette aura droit à trois semaines de colle consécutives et je vous préviens que je ne ferais pas d'exception, me suis-je bien fait comprendre ? Certain allait surement braver l'interdit mais tant pis, je pouvais passer des heures entières assises dans cette salle à les regarder copier des lignes tandis que je lisais tranquillement un livre.

Je commençais alors mon cours quand j'entendis la porte s'ouvrir en fanfare. Oh, par la Barbe de Merlin ! Je suis vraiment désolé, on m'aurait mal informé ? D'après mes informateurs, le cours commençait seulement à neuf heures... Je n'ai rien manqué, j'espère ? Bon, je m'installe silencieusement, alors... Ne faites pas attention à moi. Oh, et ne vous inquiétez pas, mon gars connaît un gars qui cassera la gueule des petits cons qui m'ont fait rater le début de votre merveilleux cours. Non mais. Je répliquais alors d'un ton ironique. Mais regardez qui voilà ! Monsieur Morrison nous fait l'honneur d'arrivée avec une heure de retard. J'espère que vous ne vous levez pas trop tôt Gabriel. Je continuais d'écrire au tableau mais j'entendais très bien le foin qu'il faisait dans mon dos. Je lançais alors tout simplement : Vous viendrez en retenu ce soir Morrison. Je vous apprendrais la discrétion puisque vous en semblez dépourvu. Attention, je ne le collais pas pour retard mais pour bazar fait dans ma classe volontairement. C'est pour cela que Dnaitza n'avait pas d'heure de colle parce que d'une elle m'avait obéit et posé sa baguette sans rechigner et de deux, elle avait été discrète. Je posais alors la fameuse question sur la PLS ou autrement dit Position Latérale de Sécurité. Une Présomption de Laideur et Stupidité... présomption irréfragable bien sur plus un rire. Black se surpassait aujourd'hui. Pathologie par l'inadvertance de sand pur! De mieux en mieux. Danitza se rabaissant au niveau des serpentards ? Une première dans ma classe. PLS tient pour Primary lateral sclerosis qui est une maladie neuromusculaire qui affaiblit progressivement les muscles… Plutôt pas mal, c'était même vrai, on voyait qu'elle avait au moins ouvert son bouquin une fois. Alors que j'allais la féliciter, j'entendis : Ca explique surement le comportement d’imbécile de Black d’ailleurs… sont cerveau devient lentement comme du jello. Mais sinon PLS dans le monde Moldu est souvent mauvaisement diagnostiquer pour ALS. Je secouais la tête. Bien que votre appellation soit exacte Aleana, ce n'est pas la réponse que j'attendais. Quand aux autres réponses, je ne reviendrais même pas dessus même si je dois admettre que le niveau des insultes sangs purs et sang plus ou moins impurs baisse énormément. Je faisais le tour de mon bureau et déposais moi aussi ma baguette. Je dis alors : La PLS ou Position Latérale de Sécurité est une technique moldue des gestes du premier secrous. Je pense qu'il est vraiment indispensable pour vous de les apprendre et ça va faire l'obget de notre l'heure qui suit. Je ne veux entendre aucune protestation, dans un combat, l'on peut perdre sa baguette et de simples gestes non magiques peu sauver une vie. On commence donc par cette position. Vous vous mettez par deux... Je les regardais faire. Comme je m'y attendais les purs avec les purs et les autres avec les autres. Je dis alors : Au final, je fais les groupes. Black avec Dragomir, Morrison avec Phadraig... Je continuais ma liste en ne faisant pas attention aux protestations indignés que j'entendais. Il faut que quelqu'un se dévoue pour que je montre comment faire la position... Un ou une volontaire ? Je m'attendais alors au pire.