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juliet.

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juliet.  Vide
MessageSujet: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 16:17

juliet alexandra, BAKER

juliet.  Singfifth

Tell the World I’m coming home
Let the rain wash away all the pain of yesterday
I know my kingdom awaits and they’ve forgiven my mistakes


CRÉDIT - CSS
MUSIQUE


Dernière édition par Juliet A. Baker le Ven 4 Mar - 23:01, édité 1 fois
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juliet.  Vide
MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 16:17

LE PASSEPORT DU SORCIER
Nom : BAKER, par adoption.
Prénom : Juliet, Alexandra.
Surnom : Jules, uniquement par ses soeurs.
Âge : Dix huit ans.
Curus, option(s) : Cursus justice magique.
Année scolaire : Première année de troisième cycle.
Nature du sang : Il paraîtrait que Juliet appartient en réalité à une famille de longue lignée de sang pur. Cependant, elle ne sait pratiquement rien sur ses origines biologiques et a toujours cru qu’elle était de sang mêlé comme la famille Baker. Malgré que le secret fut découvert, elle ne s‘intéresse pas à la nature de son sang, et continue à affirmer qu’elle est une sang mêlée.

"JULIET LA MAGICIENNE"
chapitre 001 ; c'est un secret.
Un soleil magnifique surplombait le jardin de la demeure Baker. C’était une grande maison, somptueuse et imposante, mais à la manière d’un manoir. Au contraire, cette gigantesque maison, malgré sa grandeur retranscrivait la chaleur du foyer, la gaieté qui y était présente, et le son mélodieux du rire des trois filles Baker finissait de compléter ce charmant tableau. Juliet était la plus âgée, puis suivait Christa et enfin la petite dernière prénommée Spencer. Toute séparée d’un an les unes des autres, elles avaient toujours tout fait ensemble, et évoluait comme trois triplés et ce pouvoir spécial qu’on accorde à ces enfants qui évoluent ensemble durant les neuf mois de grossesse.

En ce jour magnifique, Juliet se trouvait dans le jardin, allongée dans un coin d’herbe ou l’ombre du grand chêne familial la protégeait de la chaleur ardente. Ses longs cheveux noirs se mêlaient à l’herbe fraîchement coupée qui séchait au fur et à mesure de ce rude été ou il n’y avait pas encore eu une seule goutte de pluie. Ses sœurs n’étaient pas avec elle, elles étaient leur mère à préparer un gâteau pour cet après-midi, puisque c’était son anniversaire. Aujourd’hui, elle avait dix ans. Et dix ans ce n’est pas n’importe quel âge. C’était deux chiffres, c’était une consécration en soit, elle était vraiment grande. Elle n’était plus un bébé, et se démarquait de ses sœurs qui n’avaient toujours qu’un seul et unique chiffre à leurs compteurs. Se retournant dans l’herbe, elle se demandait bien ce qui allait se passer pour son anniversaire. Cela ne pouvait, bien évidemment, pas ressembler aux précédents. Elle n’allait tout de même pas avoir un anniversaire de petite fille, de bébé. Non. Elle voulait du grandiose, de l’imprévu, de l’adrénaline. L’aînée des Baker avait toujours été irréversiblement attirée par le danger, entraînant toujours ses deux petites sœurs avec elle. Elle aimait grimper aux arbres, aller dans la rivière se baigner malgré le fort courant qui risquait de l’emporter… Plongée dans ses pensées, elle ne vit pas ses sœurs arrivées. Christa était brune comme elle mais avec des yeux d’un bleu intense alors que les siens étaient marrons. Spencer en revanche possédait la même teinte que Juliet au niveau de ses iris, mais possédait en revanche une longue chevelure d’un blond cendré. Lorsqu’elles arrivèrent toutes deux aux abords de leur sœur, Jules se releva, affichant un énorme sourire malicieux sur ses lèvres enfantines.

    « Alors, qu’est ce qu’on fait ? »
    « Oh non, pas aujourd’hui Jules, on a fait un gâteau ! »

Balayant la protestation de Spencer d’un revers de main, Juliet leur tourna le dos. Elle avait une idée. La plus grande de toutes les aventures, elle savait que ses sœurs ne seraient pas très enthousiastes mais c’était son rôle de grande sœur que d’arriver à les convaincre, et elle y arrivait toujours par un moyen ou un autre. A l’autre bout de l’allée où se trouvait leur maison, il y avait une vieille maison, si abîmée qu’on aurait dit qu’elle tombait en ruines. LA rumeur courait qu’une vieille folle habitait toujours à l’intérieur malgré le fait qu’elle est vue son mari se faire tuer dans son salon. Elle clamait partout qu’elle pouvait lire en chacun, et qu’elle connaissait le futur… Il n’en fallait pas plus pour faire saliver notre jeune intrépide. Un sourire serein sur les lèvres, elle se retourna vers ses sœurs.

    « On va aller voir la vieille bique ! »
    « Je… »
    « Quoi Christa ? »
    « Je ne suis pas sûre que ce soit une… bonne idée, Jules. »
    « Mais c’est mon anniversaire ! Spencer ? »
    « Moi je viens, t’as raison c’est ton anniversaire, on fera ce que tu veux. »
    « Merci soeurette. Si t’as peur Christa, t’as qu’a rester là. »
    « Non, je viens aussi. »

Satisfaite d’avoir encore une fois réussie, elles partirent sur le champ, Juliet ouvrant la marche comme à son habitude. Lorsqu’elle arriva devant la vieille bicoque, elle regarda un moment l’endroit, avant de souffler un bon coup, et de passer le portail. Elle passa la petite allée où les mauvaises herbes l’avaient emporté depuis longtemps et arriva enfin à la porte d’entrée. Lorsqu’elle se retourna, elle comprit que ses sœurs n’étaient pas rassurées, et jugea préférable de ne pas parler, qu’elles n’aient pas la possibilité de se dégonfler. Tournant la poignée avec délicatesse et dans le silence le plus complet, elle pénétra dans l’entre la première. Une odeur de renfermé agressa ses narines, si bien qu’elle éternua. A ce moment là, des bruits se firent entendre à l’autre bout de la pièce, et la vieille dame fit son apparition, tapis dans la pénombre. Elle était petite et maigre, ridée de toute part avec des yeux globuleux qui lui sortaient des orbites. Une expression mesquine et haineuse sur le visage, elle fixait les trois sœurs. Spencer poussa un cri d’épouvante lorsqu’elle l’aperçue, planquant toute de suite sa main sur sa bouche, alors que Christa passait un bras autour de ses épaules. Juliet, quant à elle, restait immobile, le danger face à elle, l’adrénaline la poussant à agir. Elle fit un pas, puis un autre, avant de s’arrêter au milieu de la pièce, ou seul un rayon de lumière avait pu s’introduire. A ce moment, elle dévoila son visage, à la vieille maîtresse de maison qui parue d’abord surprise puis laissa apparaître un sourire cruel sur son visage.

    « Cassandra… »
    « Quoi ? Non, moi c’est Juliet. Juliet Baker. »
    « Oui, peut-être maintenant. »

La vieille dame s’approcha, jusqu'à se trouver en face de Juliet, sa longue main s’élevant jusqu'à la hauteur du visage de l’enfant, qu’elle caressa d’un geste délicat avant d’éclater de rire. Bien que la jeune Baker ait toujours aimé le danger, elle sentie cependant qu’a ce moment la situation lui échappait et qu’elle n’aurait pas du venir, et surtout ne pas entraîner ses sœurs. Quand elle se retourna, Spencer était toujours à la même place, mais Christa avait disparue. Avant qu’elle n’ait eu le temps de se demander ou diable était passée sa sœur, elle entendit un fracas, un cri, puis quelque chose de lourd lui tomba dessus. Christa essoufflée et terrifiée tenait dans sa main une barre de fer qui traînait dans la pièce. Elle venait de frapper violement la vieille bique qui s’était évanouie sous le choc et était tombée de tout son poids sur Juliet qui se retrouvait coincée en dessous.

    « Vite Juliet, faut partir ! »
    « Je suis coincée. »
    « Oh non, c’est pas vrai ! Spencer vient m’aider avant qu’elle se réveille. »

A l’aide de Spencer, Christa pu dégagée Juliet, et toutes les trois filèrent de la maison en courant sans se retourner une seule fois. Elles ne cessèrent de courir qu’une fois qu’elles furent de nouveau dans leur jardin, à l’abri de tout, du moins c’est ce qu’elles pensaient à cet âge là. Haletante, la jeune Baker se retourna vers ses deux sœurs.

    « Il ne faudra jamais en parler. »
    « Mais, Jules, papa sait peut être qui est Cassandra. »
    « Ah oui et comment tu lui explique qu’on est allé la bas alors que c’est interdit. »
    « Imaginez, elle est morte. »
    « Ne dites pas de bêtises Spencer, on a rien fait de mal. »
    « T’es sûre ? »
    « Oui. Maintenant allons manger le gâteau que vous avez fait. »

Les années passèrent et on ne parla plus jamais de cet incident. Personne n’avait plus jamais évoqué la vieille folle du bout de la rue, ni même le fait qu’elle avait appelé Juliet par un autre prénom. C’était un sujet de conversation interdit, et chacune des trois sœurs avait respectée son serment.



chapitre 002 ; la révélation.
Dans une vie, il y a toujours de mauvais moments, des périodes de la vie ou tout nous semble perdu d’avance et ou l’espoir disparaît. Bien sur, la mort d’un parent est une épreuve en soi, et Juliet s‘était préparée à ça, mai ce qui l’attendait dépassait tout ce qu’elle avait pu imaginer. La chaleur étouffante de la journée empêchait Juliet de réfléchir correctement. Allongée sur son lit, elle était habillée de ses vêtements de deuil et attendait patiemment l’heure de la marche mortuaire. Le souffle court, elle sentait sa robe noire lui oppresser la poitrine, l’empêchant de respirer. C’était la pire de chose pour une petite fille qui venait de se produire dans le monde de la belle Juliet. Clyde, son père, son papa adoré, l’homme de toute son enfance, avec lequel elle avait eu tant de complicité, ce Clyde n’était plus. Il l’avait quitté, il avait quitté toute sa famille suite à une stupide crise cardiaque. Avouez que pour un sorcier exerçant le métier d’Auror, une mort aussi imprévue et passive n’est pas la plus belle des morts. Malgré le fait qu’elle ressentait au fond d’elle-même une énorme peine, Jules n’avait pas encore versée une seule larme. C’était au dessus de ses forces, elle n’arrivait pas à se laisser aller, à craquer, alors que ses sœurs, ses deux petits bijoux désemparés avait besoin d’elle en ce moment plus qu’a n’importe quel moment. Il était loin à présent le temps de leur enfance, où elle les poussaient a faire les pires bêtises que l’on pouvait inventer. C’était a présent trois jeunes femmes, chacune magnifique et époustouflante à sa manière, qui se serraient les coudes en cas de crise et de cap difficile. Ayant le caractère le plus fort et le plus tranchant, Juliet n’avait pas perdue cette manie enfantine de plus ou moins commander ses sœurs. C’était plus fort qu’elle, elle aimait tout prévoir, tout contrôler… Et pourtant, en ce moment la situation lui échappait complètement, et elle n’avait aucune idée de ce qui l’attendait encore. Oh non, elle n’était pas au bout de ses surprises en cette sombre journée d’aout.

    « C’est l’heure, Juliet. »
    « Très bien, j’arrive. »

La porte de sa chambre se referma sur la fine silhouette de sa mère, Kaitlyn. Christa lui ressemblait énormément. Elle était pour ainsi dire son portrait craché. Les mêmes longs cheveux bruns et de grands yeux bleus clairs qui vous transpercent l’âme. Lorsqu’elle fut de nouveau seule dan sa chambre, Juliet prit le temps d’inspirer un grand coup. Elle savait ce qui l’attendait en bas de l’escalier de marbre, mais ce n’était pas pour autant qu’elle voulait l’affronter. Elle était d’ordinaire très secrète sur ses sentiments, ne révélant jamais rien, ne disant jamais ce qu’elle pouvait ressentir. Elle était comme un cœur de pierre qui ne s ‘ouvrait que pour assurer la protection de ses deux sœurs cadettes. Et pourtant, en ce jour funeste, elle souffrait également. Elle avait mal à l’intérieur, son cœur se contractait un peu plu à chaque seconde sans qu’elle ne sache comment mettre fin à cette torture. Elle avait toujours été très proche de son père bien que leurs avis divergeaient bien souvent. Elle trouvait cela admirable la façon qu’il avait de concevoir le monde avec utopie et de vouloir sauver chacun, mais ne partageait pas son avis. Pour elle, seule la famille comptait, seul le lien de sang primait sur le reste, c’était une valeur sure qui jamais ne trahissait. On était sur de pouvoir compter sur notre famille jusqu’à ce que l’on s‘éteigne. Alors quand l’un des nôtres meurt, on se meurt aussi un peu en quelque sorte, et c’est exactement ce qu’était en train de ressentir la mystérieuse brune. Soufflant un bon coup, elle se leva et sortie de sa chambre.

A peine quelques secondes plus tard elle se retrouva en haut de l’escalier, et ce fut son enfer qui se présenta à elle, un doux sourire accroché aux lèvres. En bas se trouvait sa mère, complètement déphasée comme ne sachant pas comment elle allait vivre sans son mari, mais bien qu’elle aime énormément sa mère, ce n’était pas elle qu’elle cherchait du regard, mais plutôt ses deux petites sœurs, s i fragiles et douces. C’était injuste qu’elles aient a vivre ce drame. Elles étaient si calmes et gentilles qu’elles n’avaient pas à endurer cela. La vie était bien mal faite. Descendant les marches en silence et avec une lenteur presque insolente, Juliet ne prêta aucune attention a la foule qui se massait autour d’elle et qui tentait de lui présenter ses condoléances avec une pitié qui la scandalisait presque. Avançant avec détermination jusqu’à ses deux étoiles, elle ne prononça pas un seul mot. Parler en de telle circonstances n’avancerait à rien, seul le contact physique pouvait encore prouver qu’elles étaient encore toute en vie et belle et bien présente pour se soutenir le unes et les autres malgré la peine qui pouvait le assaillir en ce moment. A l’heure de la marche, elle partie rejoindre sa mère en compagnie de Christa et Spencer. Le reste se passa dans une lenteur énervante. Il y avait eu l’hommage à Clyde de la part de ses collègues de travail, le voisinage qui avait témoigné de la sympathie du père de famille et enfin, c’était a son tour en tant qu’aînée des filles Baker de prendre la parole, sa mère étant bien incapable de prononcer le moindre mot à travers tous les sanglots qui sortaient entrecoupés de ses lèvres. Juliet s ‘avança jusque l’estrade, avec détermination et appréhension. Lorsqu’elle fut face à la foule en deuil, elle inspira un bon coup. Elle n’avait aucune note, mais cela n’avait pas d’importance. Elle n’avait pas ressentie le besoin de préparer un discours. Elle n’avait pas besoin de se préparer pour parler de l’un des siens, d’un homme qu’elle était persuadée de connaître par cœur, sans aucune faille et aucun secret.

    « Clyde Owen Baker était un homme bon. C’était un homme au service de la société qui a passé une très grande partie de sa vie à combattre pour une cause qui lui semblait juste, une cause qui lui paraissait être la seule qui vaille la peine d’être suivie et de risquer sa vie pour qu’elle aboutisse. Mais Clyde n’était pas qu’un bourreau de travail. Il a su allier carrière et vie de famille. Il était le mari d’une femme extraordinaire, ma mère, Kaitlyn Jane Baker. Et dans le dernier rôle qu’il a eu à endosser, Clyde s ‘est trouvé la fibre paternelle et a su élever avec succès trois filles dont je fais partie. Bien qu’il ne soit plus parmi nous à présent, je n’ai pas honte de dire que c’est mon père. Il est à jamais dans nos cœurs et dans nos mémoires. Amis comme ennemis, noué approuvons ou non ses choix, mais jamais personne ne pourra dire que Clyde Baker n’était pas un homme de foi et quelqu’un de grand. »

Juliet adressa un sourire à toute l’assemblée avant de descendre. Elle avait dans sa pochette assortie à sa robe une lettre cachetée que son père avait écrite pour elle avant sa mort. A présent que le calvaire de son enterrement était passé, elle n’avait plus envie de faire bonne figure et ne rêvait plus que d’une seule chose, monter dans sa chambre et s‘enfermer à double tour pour pouvoir lire le dernier mot qui lui adressait son père en toute sérénité. Saluant quelques personnes ici et là, elle e faufila discrètement jusqu’à la première marche de l’escalier en marbre et mis son plan à exécution. Une fois assise en tailleur sur son lit, elle sortie l’enveloppe et la contempla un moment. Elle était parcourue de quelques tremblements au niveau de ses mains, ce qui faisait trembler le bout de papier. Prenant son courage à deux mains, elle l’ouvrit sans grand ménagement. Elle s‘attendait à quelques mots de réconfort ou il lui dirait qu’à présent la responsabilité de la famille lui incombait, qu’il était fier de ce qu’elle était devenue, qu’il l’aimait et toutes autres banalités de ce genre qui auraient été bien accueillies dans de pareilles circonstances. Cependant, elle déchanta bien vite, dès la lecture de la première phrase.

    « Juliet, ou devrai-je dire Cassandra,

    Ma belle enfant, mon ange, je ne sais par ou commencer. Pourquoi ? Pourquoi t’ai-je caché tout cela aussi longtemps ? Pourquoi avoir attendu ma mort pour que l’on te remette cette lettre ? Surement parce que j’ai peur d’affronter ton courroux, ta peine, ta rage, le dégout que tu me porteras. Je garde de toi l’image de la petite fille, un peu téméraire et narcissique que j’ai élevée et tant aimé.

    Un terrible secret m’incombe depuis que tu as été accueillie dans notre famille. Tout d’abord n’en veux pas à ta mère, elle ne connait en rien les circonstances dans lesquelles je t’ai trouvée. Elle a toujours cru que je t’avais trouvée errante dan une maison attaquée comme c’était souvent le cas à l’époque.

    La vérité, comme tu as pu le comprendre avec mes insinuations peu subtiles, c’est que ta mère et moi ne somme pas tes parents biologiques. Nous t’avons adoptée un mois à peine après ta naissance, c’est pour cela que tu n’as aucun souvenir et que l’on ne te la jamais dit. Nous somme ta seule famille, nous t’aimons, et nous t’avons offert tout le bonheur et l’insouciance auxquelles tu n’aurais pas pu aspirer dans ta famille biologique.

    Tes parents, dont je tairais le nom, étaient de fervents partisans des forces du mal. Il passait leur temps à courir après les sorciers usant de magie blanche pour les torturer jusqu’à l’épuisement pour ensuite les tuer. Tu vivais dans un bain de sang continuel, car ils ne se sont jamais gênés d’entreprendre leurs activités devant toi. Je pense qu’au fond ils t’aimaient car ils se sont battu pour toi le jour de leur mort, mais leur amour n’avait rien de bon, il était plu néfaste qu’autre chose pour toi.

    Je ne vais pas tourner autour du pot. Lors d’une mission dans le cadre de ma fonction d’Auror, j’ai tué tes parents biologiques.

    J’espère que tu me pardonneras un jour.
    Je peux à présent reposer en paix en sachant que la vérité te sera révélée.

    Tendrement.
    Ton père, quoi qu’il advienne.
    Clyde O. Baker.
    »

Un cri s ‘échappa de la gorge sèche de Juliet. Cassandra, c’était comme cela que l’avait appelée la vieille bique sept ans plus tôt. Elle l’avait toujours su, tout comme ce prétendu père aimant, et personne ne lui avait jamais rien dit. Qui d’autre était au courant ? Et pourquoi n’avait-il pas mentionner leurs noms ? La tête de Juliet était en train d’imploser face à toutes les questions sans réponse qui fusaient à l’intérieur de son esprit bouillonnant de colère.




Dernière édition par Juliet A. Baker le Ven 4 Mar - 22:53, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 16:18

"JULIET LA MAGICIENNE²"

chapitre 003 ; renouveau.
Le troisième cycle. Ce n’est pas rien, toutefois, la jeune femme n’était plus sûre d’avoir choisi la bonne voie. Lorsque le choix s‘était présentée à elle, elle avait optée pour la justice magique, pensant que cela l’aiderait à comprendre comment s‘était déroulé le meurtre de Clyde Baker, son père. Mais depuis qu’elle avait découvert la vérité, elle en voulait énormément à cet homme qui l’avait berné depuis dix huit ans à présent, sans jamais sourciller.

Debout sur le quai face au Poudlard Express, elle était seule. Elle n’adressait pratiquement plus la parole à ses sœurs et à sa mère depuis l’enterrement de son père, sans leur donner la moindre explication. Probablement qu’elles pensaient qu’elle était sous le choc et avait besoin de temps pour se remettre de sa blessure et que du fait qu’elle ne dévoilait jamais rien, elle préférait l’isolement plutôt qu’à la confession. Mai en réalité, c’est bien plus complexe. Une rupture s ‘est produite, et ce malgré le fait qu’elle les aime plus que tout. C’était comme si elle avait cessée d’être une Baker, comme si toute sa théorie sur la famille n’avait plus de sens, ni de raison d’être. Elle se sentait désemparée et n’avait personne a qui en parler. Elle avait bien tenté de retourner voir la vieille folle du bout de la rue qui, un jour, l’avait appelé par son vrai prénom, mai elle avait trouvée la maison complètement vide, et en avait conclue qu’elle devait être morte depuis sa dernière visite le jour de ses dix ans.

Perdue dan ses pensées, elle n’entendit pas ses sœurs s‘approchées d’elle, jusqu’à ce que leurs voix s ‘élèvent dans les airs.

    « Tu viens Jules, on va trouver un wagon. »
    « Non, je… Je vais faire le trajet avec des amis. »
    « Mais, n’importe quoi, et nous on est pas tes amis ? »
    « Je ne fais pas le voyage avec vous, tu en déduis quoi ? »

Elle s‘arrêta un moment, regrettant déjà d’avoir eu cette pointe de sarcasme envers l’une de ses sœurs. Elle se fichait royalement de parler froidement aux autres, mais malgré tout ce qui lui arrivait en ce moment, Christa et Spencer n’étaient pas tout le monde.

    « Désolée les filles. J’voulais pas. On se croisera au banquet. Salut. »

Sans un mot de plus, elle monta à bord du train d’un rouge flamboyant, et sans un regard pour ses deux petites sœurs restées complètement abasourdies là ou elle les avait laissées, elle ferma la porte d’un wagon remplit de camarades de classe, derrière elle. Une nouvelle année débutait.


LE JOUEUR N'EST PAS LOIN
Pseudo : Alabama Man.
Âge : C'est un secret !
Comment avez vous connu le forum ? : En traînant de partenariat en partenariat.
Avatar souhaité : Je suis faible, je ne résiste pas à Rachel Bilson. ♥
Présence : 4.7
Le mot magique ? : Dobby président !
(c) young folk


Dernière édition par Juliet A. Baker le Sam 5 Mar - 0:29, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 16:25

Bienvenue =)

Bonne chance pour ta fiche
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 16:48

Bienvenue

Je sais qu'elle a un peu disparue de la circulation... mais en principe Rachel est prise par Artemis L. Rosier. D' ailleurs je commence à avoir un problème si elle revient pas parce que la plus part de mes rps parle de mon mariage avec elle... si jamais on la supprime, il faudra qu'on trouve une solution :)

Bref en tout cas bienvenue à toi
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 17:45

Amadeus, l’avatar n’est plus réserver donc il va à qui ça chante ( : Un personne, ni même un lien n’est défini par un avatar, c’est LE PERSONNAGE qui compte, donc tu as cas faire un scénario de ton lien et changer d’avatar, tout simplement.

Sinon, bienvenue sur le forum Juliet, j'ai hâte de lire ta présentation ! Tu as le même nom de famille que Christa, seriez vous sœurs ? juliet.  640190
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 18:01

Je suis désolée, j'avais bien fait attention en regardant le bottin.
Amadeus, je suis toujours prête a te donner un coup de main pour trouver une solution, si tu a besoin de moi (:

Et enfin, oui, Christa et bien ma soeur !
Merci à tous, je vais me dépêcher de faire cette fiche !
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 18:13

Je crois que je vais me débarrasser d'Artemis si elle est supprimée et je sais exactement comment :P

Comment voulais-tu me donner un coup de main?
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 18:18

Oh je sais pas, juste a trouver une alternative pour ton bg, deux cerveaux valent mieux qu'un (:
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 22:49

J'adore ton histoire ( ce que tu m'as dit) j'ai hâte de voir ça... j'ai changé d'avatar parce que moi te suppliant de me dire que tu m'aimes.... ça jouait plus :)

Courage pour la fiche
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyMer 2 Mar - 23:28

Bienvenue sur le forum gente demoiselle!
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyVen 4 Mar - 0:25

Bienvenue ^^
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyVen 4 Mar - 23:00

    Fiche terminée.

    1. désolée s'il manque des "s", j'ai un clavier handicapé pour le moment, et j'ai essayé de faire attention au maximum.
    2. soyez indulgent avec moi, j'ai pas RP depuis très très longtemps, je suis un peu rouillée comme qui dirait.


    juliet.  432337
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyDim 6 Mar - 15:16

Pour moi, tout est bon, cependant pour la validation j'aurais besoin d'un avis pour la maison, je dois avouer ne pas bien savoir où la mettre /: Pour ma part, je pense que Griffondor pourrait l'accueillir, est ce que cela te conviens ?
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juliet.  Vide
MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyDim 6 Mar - 16:04

C'est bon pour moi.

Je n'avais aucune idée de a maison en rédigeant sa fiche, vu que son changement s'opère bien après son entrée à l'école, c'était un peu compliqué.

Va pour le rouge et or (:
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyDim 6 Mar - 20:11

Validée Smile
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juliet.  Vide
MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyDim 6 Mar - 20:14

Merci Smile
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyDim 6 Mar - 22:53

Et bien welcome chez les Bouffons d'or
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juliet.  Vide
MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyLun 7 Mar - 0:08

rachie <3
bienvenuuuue
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  EmptyLun 7 Mar - 11:21

Merciiii big smile
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MessageSujet: Re: juliet.    juliet.  Empty

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