Nom : Diggory-Panklust
Prénom : Jacques ou bien Jaxson Seth Erick
Surnom : Jax
Âge : 19 years old
Curus, option(s) :Sécurité Magique. En tant que briseur de sortillèges.
Année scolaire : 9 année d'étude.
Nature du sang : D'origine né moldu.

Je me présente, je m'apelle Jacques Samson étant né moldu et n'aimant pas vraiment mon nom, j'ai décidé de prendre le dessus et de le changer en tant que Jaxson Diggory étant le nom de ma belle mère qui est une sorcière de sang-mêlé. J'ai grandis dans un monde ignorant, ayant de la magie autour de moi, au début je flippais plus qu'autre chose. Ma mère, je la perdis dans un accident de voiture, je n'étais pas vraiment proche d'elle mais un peu plus proche de mon père, voir même beaucoup plus. Entre mon père et moi, c'était plus qu'une relation père-fils, c'était un modèl, un héro depuis que j'étais gamin. Depuis ma tendre enfance, je n'avais jamais cru pour aller un jour à Poudlard et de perdre également mon père dans un autre accident de voiture. Je n'avais jamais ressentis le besoin de pleurer sur mon sort, et pourtant, sa perte avait tellement été si énorme, si grosse que j'en étais sur le cul pendant des années, ressentant le besoin de le retrouver, de le revoir, lui qui m'avait tout appris et guider dans le chemin de la vie. J'avais tant attendu de la vie, que ça perte me troubla, me perturba au maximum de mon être. Ca femme, ma belle mère, m'adopta pour notre plus grand bien à elle et à moi. C'était une sublime femme, elle devait faire pas loin des 1m70, avec une chevelure blonde, plutôt un blond venitien, aux yeux de couleur vert. Elle avait une grande demeure à Godric Hollow, le village des sorciers, auquel pendant l'hiver, je me promenais la nuit pour y jouer dans la neige. Elle ne me refusais jamais rien, même pour une toute petite chose genre un gâteau acheter dans la boulangerie du village. Elle prenait tellement de coeur à s'occuper de moi, que toute ma vie, je lui en serais reconnaissant. Jamais je n'avais oublié mes parents, qui eux m'avaient mis au monde pour leurs plus grand bonheur. Malheureusement, la perte de ma mère avait tout déclancher. Au début j'étais jaloux de Madame Diggory, elle qui allait prendre la place de ma mère au côter de mon père, mais finalement tout ce passe à merveille. Elle me consola, me cripta et surtout, me compris bien plus vite que mon père qui lui, n'avait de yeux que pour elle. Mon père, était un grand brun aux yeux marrons, il devait mesurer dans les 1m80 tout au plus, il avait une carrure de sportif, oui, mon père faisait un sport, appeller golf chez les moldus en tout cas. Il le pratiquait tout les dimanches, c'était comme un rituel. Chaque dimanche ma belle mère et moi même allions le voir. C'est vrai que ce n'était pas très bougeant apart suivre des yeux une balle blanche, rien de passionnant tout ça et pourtant lui y mettait du coeur pour faire entrer cette balle dans le trou,creuser dans la pelouse. Ma belle mère l'applaudissait, comme pour dire qu'elle le soutenait, je ne comprenais pas vraiment cette envie d'applaudir mais je le fis également pour montrer à mon père que son fils le soutenait. Pendant des années, je ne trouvais pas vraiment la raison de resté avec ma belle mère après la mort de mon père, mais cette femme était également devenu pâle, comme si la mort de mon père lui avait que du mal. Je ne voulais pas que cette femme souffre et je me disais que c'était ma seule famille qui restait, car je ne conaissais pas les autres membres de ma famille. Elle m'apprit donc tout ce que je devais savoir. Cette femme n'était pas aussi banal que je pouvais le croire. Elle me laissait liberter la journée, le soir, la nuit, mais elle savait me dire tout ce qui avait de mal dans le monde de la magie. Longtemps j'avais vécu comme un simple moldu et j'avais d'ailleur rencontré une charmente demoiselle, à la chevelure étincellante, aux yeux magnifique, au point de vous en perturbez. Elle s'apellait Ysölde Wilkes, cette fille aurait pu être banal comme toute les autres, même si je connaissais pas d'autre. Avec elle, c'était des journées entièrent de cap ou pas cap. Chaque nuit, je me couchais en me disant "Demain je la revois, demain, vivement demain. Avec elle, j'avais une sensation de bien être, différente de celle avec ma belle mère, qui d'ailleur, j'avais pris l'habitude de l'appeller maman. Elle accepte ce mot. Mais revenons à cette fille. Au parfum fruiter, à la voix douce, au rire cristallin, à la peau douce, fruitée. La seule ou j'ai touché ça peau, c'était quand ont c'étaient faient la bise pour ce dire bonjour. Tous les deux nous devenions très proches au point qu'elle devena ma best friend, je ne pouvais déjà plus me passé d'elle. Elle était comme devenue la plus importante à mes yeux, d'ailleur, jamais je ne le lui dirais. Car quelque temps plus tard, j'appris qu'elle eu un accident, et qu'elle était à St Mangouste suite de l'accident. J'avais été la voir, mais son frère qui était sorcier ne me laissa pas l'occasion de la voir, de m'approché d'elle et je du accepté cela et me précipita pour rentré chez moi et me mettre sous les draps. Je n'étais qu'un moldu, je n'avais pas la performance qu'il fallait pour m'approché d'elle. Je ne savais plus quoi faire, j'étais comme seul à présent, je ne sortais même plus de chez moi, car je savais que chaque endroit ou j'allais j'aurais l'impréssion de la voir partout. Chaque jour qui passais, je voulais m'en alller, la voir, mais je savais que tout nous opposaient. J'étais comme intru à présent. L'idée qu'elle m'oublie, je ne l'acceptais pas et pourtant, elle m'oublia alors qu'ont c'étaient promient, de ne jamais s'oublier, comme à la vie, comme à la mort. Quelque mois plus tard, je reçu une lettre, qui me persécuta d'un coup sec. J'avais été admis dans l'école des sorciers. En étais-je un en faite? Ce fus la question que je me posa les jours à venir. J'avais peu être enfin trouvé la solution à mon problème enves la fille qui me plaisais tant.

Les jours passèrent, et la rentrée arriva. Le matin fut très dur, mais ma belle mère me réveilla comme tous les matins. Elle était comme distante. Avait-elle pas envie de mon départ? Après tout elle serait de nouveau seule, mais je sais que je lui écrirais des lettres chaque jours ou chaque semaines, lui permettant d'aller mieux et de ne pas s'inquieter pour moi. Je restais sereins, elle allait me manqué, mais je voulais à tout pris revoir cette fille qui hantais mes rèves. Avec ça voiture de moldu, elle m'enmena au quai 9/3/4 pour aller prendre le poudlard express. Une belle locomotive rouge et noir, la fumée sortait déjà. Je voyais déjà les aurevoirs des autres gamins de mon âge et des plus et encore des plus jeunes. C'était bien plus dur pour les parents que pour les adolescents. Après avoir regarder longuement les adieux des autres, je savais que mon tour allait arriver. Mais je savais que tout cela n'était qu'un aurevoir, que je la retrouverais plus tard et que j'aurais changé en bien, même si j'étais déjà un bon garçon, près à découvrir un peu plus de ce monde. Ma belle mère me regarda, j'aperçu des larmes aux fond de ses yeux. Que dieu était -elle ravissante avec c'est larmes. Je voulais la rassuré, et c'est avec une main sur sa joue que je la rassura. Je parits en direction de la porte pour entré dans le train. J'avais l'impréssion de voir un gros jouet rien que moi et que je devais partagé avec d'autre. J'entra enfin dans celui-ci afin de trouver un compartiment pour m'asoir et attendre le départ pour Poudlard. J'eu de la chance, je trouva un compartiment qui était constitué de deux jeunes garçons, surement plus jeune que moi. Puis-je?, c'était la seule chose dont je leurs avait dit pour être poli et avoir l'occasion de m'assoir. Le voyage dura pas plus de trois heures pour arriver enfin quand il faisait nuit. J'étais gamin et pourtant j'aimais déjà le paysage inconnu. J'avais l'impréssion que tout le monde connaissaient ce château, très grand, magiquee. J'étais sur que ce château cachait des tas de secret. La lune et les étoiles étaient parmies nous ce soir, j'aimais l'astronomie, chaque étoiles étaient différente les unes des autres et la lune était bien plus proche que l'on pouvait croire. Je suivais les autres en direction du château tout en admirant le paysage. J'étais stressé, l'heure de la répartition allait venir bien plus vite que je ne le pensais. Arriver enfin au château, tous devaient rester dans les marches devant la grande porte d'entrée de la salle commune ou tous prennaient leurs repas. J'allais enfin prendre ma vie en main, je n'avais pourtant que onze ans, mais je savais déjà ce que je voulais faire ayant appris beaucoup plus sur les métiers possible. Les deux portes noirs s'ouvrient. Tout le monde avancea, je les suivis, j'avais ma robe de sorcier noir, berk que c'était moche, pas à l'aise pour marcher, j'aurais préféré un simple pantalon noir, bien plus pratique pour suivre les autres tiens. Chaque élèves fut appelléent pour les répertoriés dans uen des quatres maisons. Mon tour arriva :Jaxson Diggory Panklust. Le vieu chapeau tout abimer, parla pendant de longue seconde, puis il cita avec honneur Hufflepuff. A ce qui parait, j'avais le courage pour aller à Gryffondor mais que j'avais bien plus de loyauté pour être dans cette maison dont je ne regrettais pas. Les gens étaient tous heureux d'être répartient et je faisais partis d'eux. Les années passèrent, et mon caractère devint bien plus homme, je devenais fier et droit, j'avais peu confiance envers les autres, mais il faut savoir que si quelqu'un brise cette confiance, il serait très dur de la re-donnée. Vous ai-je déjà parler de mon oeuf de dragon? Que ma belle mère m'avait offert pour me huit ans. Jamais je n'avais reçu un tel cadeau aussi précieu à mes yeux, cet oeuf est totalement grandiose, malheuresement, l'enmené à Poudlard aurait été bien plus grave qu'il ne faut. C'est un maygard à pointes, pour beaucoup cela est très méchant, une espèce de dragon les plus dangereuse, pourtant jamais il ne m'avait fait de mal. Il faut simplement que celui-ci doit être bien éduqué, j'ai d'ailleur mis beaucoup de temps quand celui-ci éclosa de l'oeuf, d'ailleur, c'est ma belle mère qui trouva ce petit dragon un matin. Vous ai-je dis que j'ai revu Ysölde, elle est bien plus belle encore, mais elle est un peu.. timbrée. Elle appartient à la maison de Serpentard,étant de sang pur, cela ne ma pas étonné du tout. J'essais de lui parler, mais elle est parfois très accueillit ou accompagnée, d'ailleur, cela m'agassa au plus haut point. Je ne sais pourquoi je ressens une tel jalousie envers ses Serpentards, peu être le fait qu'ils tournent autours d'elle. Les mois passèrent, et je ne faisais que de travaillé même si j'étais feigniant, quand je voulais quelque chose, je donnais mon possbile pour l'obtenir. D'ailleur, ma belle mère fut fière de moi quand elle apprit que tout ce passait pour le mieux. Elle s'occupatait de mon dragon, il avait grandit à ce que parait.

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