J'avais entendu parler que quelque chose avait fait rage à Poudlard. Que personne n'était en sécuriter, car tout le monde ce bâtait avec tout le monde, à propos de l'impurter du sang. Nous, moi, les nés moldus, nous étions menacer et beaucoup d'entre nous voulait ce battre contre les sangs pur. Je n'avais pas de côter même si mon coeur allait bien plus vers les gens comme moi. Après tout, nous avions rien fait à part être venu au monde, ce qui appartenait à la nature naturellement mais pour tout le monde, et surtout celui de la magie nous étions une menace. J'étais plutôt du genre solitaire, à me soucié de rien et j'avais l'impression que tous les regards était braqués sur moi quand je marchais dans les couloirs de Poudlard, ou dans les environs et tout cela était bien vrai. Chaque né moldu était critiquer et nous le savions tous, après tout, nous avions été installer dans une sorte de cabane en bois, n'ayant de nos bouquins pour lire et nos lit pour nous reposer. Tout cela n'était pas vraiment fameux comme les autres, mais au moins, nous étions loger et nourrit et tout cela était le principal à mes yeux. Bien sur, nous devions faire face à toute ces insultes et ses personnes qui nuaient à notre vie et nos envies. J'avais surtout envie en aucun cas de me prendre la tête pour cette histoire, mais surtout l'envie de ne pas perdre mon intelligence dans les cours que j'avais. Je n'aimais pas travaillé, non j'étais feignant et ça depuis mon enfance, je n'avais jamais été le genre d'humain à vouloir travailler, bâcher, tafer, non moi je n'avais aucun gout à étudier. J'avais des capacités que beaucoup n'avait pas. Moi, j'avais la faciliter de mémorisé des choses, des mots les plus importants à savoir pour les prochains devoirs. Ce qui ma toujours permis de me débrouillé sans à avoir apprendre, juste une petite re-lecture d'une page et voilà le cours dans ma tête. Ce matin, je m'étais levé en retard, les autres de la chambre ne m'avais pas réveillé, en fait, jamais je me faisais réveillé par ceux dit comme moi, car je ne parlais pas spécialement à beaucoup de gens, n'aimant pas spécialement la compagnie. J'avais pris soin de repassé ma chemise pour ne pas qu'elle soit froissée pour aller en cours et j'avais mis ma cravate noir, oui nous n'avions pas de couleur comme les autres maisons, le ministère ne trouvait pas cela normal pour notre "espèce". J'avais enfilé mon pantalon noir puis mes chaussettes blanches allant avec mes chaussures noirs. J'avais fini hier soir très tard un devoir de potion, qui m'avais pris d'ailleurs la tête. Ce matin, je n'avais cours cas partir de dix heures, mais cela était peu pour le fait que je devais à tout pris mangé dans la grande salle. C'était sans doute les bons matins que je préférais le plus, avec une délicieuse odeur de brioche chaude, montant à mes narines puis un bon bol de café avec un peu de sucre pour être motivé toute une matinée. J'avais pris mon déjeuner, simplement à une vitesse époustouflante, je n'avais même pas pris le temps de digéré chaque aliment, d'ailleurs j'avais rajouté une pomme dans mon estomac au cas ou la nouritture ne serait pas permis pour moi ce midi, oui le midi je n'avais pas vraiment d'appétit et cela ne m'affaiblissait pas. J'avais encore de longue minutes devant moi et j'avais une envie de parcourir les couloirs pour voir quelque personne ou du moins croisé quelque personne. Seulement j'avais l'impression d'être suivis par des regards, par des pas qui m'entourais. J'étais concentré sur les bruits de pas, ne savent pas exactement combien m'entourais. J'allais devoir faire face à une bagarre. Chouette ! J'affichais un sourire moqueur en me retournant et parla d'une voix calme.

L'impurter du sang à Poudlard avait fait rage, avait provoquer des guerres et les né(e)s moldu voulait montrer aux sang purs de quoi nous étions capable. Malheureusement, je ne savais pas si c'était vraiment l'utiliter de faire ça, après tout, les sang purs ne resteraient pas bras croisés aussi longtemps que maintenant, ils prendraient tous leurs vengeances c'était bien connu. Déjà les nouvelles règles de Poudlard ayant été donner tout droit par le ministère Rosier, avait été appliquer dans l'espace de Poudlard. Elles avaient même été afficher dans le hall d'entrée. J'avais été dégouté tout de même après tant d'années passé ici, nous étions à présent une espèce dont personne ne voulait connaitre. Le monde de la magie était lache à présent et je ne reconnaissais plus rien de celui-ci. Quand je marchais dans les couloirs, j'avais tout les regards sur moi, et sur ma bande d'ami moldu. Nous étions comme eux, comme vous, nous étions des humains avant tout, nous méritions de vivre et de ne pas être rejetter par tout le monde comme aujourd'hui. Moi qui vivais dans mon propre monde, dans ma propre bulle, je n'avais dérangé personne jusqu'à présent, je comptais bien m'affirmé. Je n'avais jamais voulu de guerre entre sang différent mais aujourd'hui il était peu être l'heure de faire part d'une initiative aussi grande que l'importance que j'avais pour Poudlard. Je ne sais pas si les gens voyait la discrimation dedans mais, je la voyais et elle grandissait un peu plus chaque jours. Le ministère ne devait certainement pas savoir ce qu'il s'apprêtait à faire, c'était incroyable comme le monde était idiot, encore plus que celui des moldus qui était bien mieux que celui des sorciers. Je me souviens de mon enfance, elle avait été parfaite, sauf à la mort de ma mère, mais je m'étais battu pour ne pas me laissé abattre par cette douleur intense. La situation à laquel j'allais me faire peu être amocher le visage allait commencer. Après avoir pris la parole et apercevoir auprès un garçon appartenant à la maison de Serdaigle, je me fis pris prendre un point en pleine joue. Au diable allait-il ce mettre ! Je commencea à prendre le coéquipier de l'autre pendant que le Serdaigle s'occupa du garçon qui m'avais frapper en pleine joue. Les gens autours de nous, nous regardaient, nous admiraient entre autre, ou du moins observait la façon dont ce Serdaigle défendait un sang de bourbe comme ils nous appellaient tous. J'entendais des mots qui ne m'avais pas échappé à l'oreille : Il défend le sang de bourbe, incroyable comme il sait pas ce battre, un faible. Cela m'enervais au plus haut point, je pris le Serpentard par le haut de sa chemise et le souleva pour le balancer contre le mur et lui foutre deux poings à l'abdomen. Quand celui-ci regarda son ami, j'aperçu la façon dont le Serdaigle donna une bonne raclée à celui-ci, j'avais envie de rire, même si je n'avais pas vraiment eu besoin d'aide, il avait prit son courage à deux mains, je savais que venir à l'aide d'un né moldu n'était pas facile, qu'après tout le monde parlerait dans son dos. D'un côter, je voulais remercier ce mec d'être venu mais d'un côter j'avais mal pour lui, sachant ce qu'il lui arriverait par la suite. La situation n'était pas facile et je savais que celui-ci en prendrais bien plus tard. Après avoir donné une bonne raclée aux Serpentard, ils partirent. Je resta donc planté aux cotés du serdaigle.