Nom : MacNair, qui ne connait pas cette famille au dessin trouble, au motivation incertaine. Qui n'a jamais entendu parler de leur richesse et de leur pureté rare et appréciable ? Une lignée pur et noble, jamais leur nom ne fut souillé par le scandale ni même par le sang des trop nombreuses victimes qui traînent dans les placards du manoir familiale. Etre un MacNair, ce n'est pas uniquement appartenir a la dynastie de l'une des plus anciennes familles de sang pur, non être MacNair c'est incarner la perfection. Regarder moi !
Prénom : Samaël, historiquement « le venin de Dieu », comment comprendre que de brave gens est décidé de donner un prénom aussi puissant a un enfant aussi innocent. Pour le comprendre, il faut savoir que mon père, Aro, loin d'être un adorateur de Satan, a toujours vu dans cet ange de la culture moldue, un rebelle et un combattant d'une détermination inégalée ; il chante ses louages, se passionne pour celui que tous déteste, contradiction du a son aversion envers les moldues toujours est-il qu'il raconte a qui veux l'entendre, que lorsque ses yeux on croisé les miens pour la première fois, il a vu ce même courage luire dans mes iris de nouveau née. Jaeden pour satisfaire les caprices de cette mère surprotectrice qui fut la mienne, et preuve de l'affection de son époux.
Surnom : Samy, uniquement pour les membres de ma famille. Il y'a de ses gens qui ne savent contrôler leur elan d'affect, et qu'un simple petit nom, un peu intime, aide a rassurer sur les liens qui l'unis a d'autre. Je suis ainsi, bien que je ne l'avouerai jamais, entendre ce surnom enfantin dans la bouche de ma cousine sous son sourire tordu et mielleux m’apaise et me rassure sur la place de mon existence dans ce vaste monde.
Âge : Dix neuf années qui se sont écoulé au rythme d'un temps imparfait.
Curus, option(s) : Sécurité Magique. Lorsque mon père a appris la nature de l’intérêt que je portais a ses études, il n'a rien dit. Les cris ne résonnent jamais en publique quand on est un MacNair, ses yeux m'ont transpercer de toute part tandis qu'il murmurait « Aror ? Ainsi donc, voilà la vie vers laquelle tu t'engages mon fils ? » Je n'ai rien dit. Qui avait-il a dire du reste ? J'étais mettre de mes décisions et de ma vie depuis mon dix-septième anniversaire, j'ai pensé qu'il me haïrait ce jour là. Qu'il me renierait pour son fils et oublierai jusqu'à mon existence, mais il n'en fut rien. Son regard s'est tinté d’inquiétude et puis la vie a poursuivie son cours ...
Année scolaire : Neuvième année à Griffindor. Il va s'en dire, que j'ai acquéris une certaine réputation au fil du temps et puis je suis un MacNair, ne l'oubliez pas !
Nature du sang : Il n'est plus pur que le sang d'un MacNair que l'essence même de son coeur épris de liberté.

« J’ai connu ses parents, un peu par hasard, un peu à contre cœur aussi, il faut l’avouer. Sa mère était une artiste, une peintre de renom, ses toiles étaient incroyables. Une beauté brute et sans défaut, un flot d’émotion intense s’échappait de chaque coup de pinceau qu’elle traçait sur la toile blanche. La vie renaissait sous ses doigts d'une noblesse sans faille. Tout le monde aimait sa mère, une personnalité un peu fantastique, un peu instable aussi, mais on ne pouvait qu’aimer Athéna. Elle avait dans le regard un zeste d'amour ternie qui ne demandait qu'à éclater. Aro, lui avait toujours été le plus réservé des jumeaux MacNair, s'était un beau jeune homme un peu taciturne, je ne me rappelle pas l’avoir jamais vu sourire, il m'effrayait par son sérieux et ses costumes sombres mais que veux-tu s'était une de ces unions prévus depuis des siècles. L'union de deux familles de sang pur. Je n’ai jamais su s’ils avaient connu le grand amour ou bien si leur soif d’affection avait été si grande à tous les deux qu’ils ne s’étaient jamais quittés. Ce dont je suis sûre moi, c’est qu’ils se sont aimés l’un l’autre et diablement bien en plus. L'amour tu vois, il en existe des millions d'exemplaire différent, personne n'aime de la même manière. Aro et Athéna eux, semblait avoir été fait pour s'unir, peut être n'était-ce qu'une illusion, qu'ils se maudissaient d'être prisonnier ainsi de leur choix dans le secret de leur coeur. Mais il y'avait dans leur yeux cette tendresse amoureuse qui ne trompe pas, ce soucis de l'autre qui émeut bien malgré soit. Le temps nous a échapper, je ne saurais te dire combien de temps s'est écouler avant qu'elle ne tombe enceinte. Peut être était-ce bref, peut être plus long. Mais j'étais si éblouie par leur bonheur si pudiquement affiché que je ne me préoccupait pas des ragots qui courrait dans le milieu.

Et puis un jour, elle m’a pris par la main alors que je frappais à sa porte un mardi après-midi, pour échanger quelques banalités ; ses yeux luisaient de bonheur, elle venait surement de l’apprendre, je l’ignore, toujours est-t-il qu’elle m’a serrée dans ses bras, très fort et elle a murmurée à mon oreille, des sanglots plein la voix « Je suis enceinte », je lui ai souris, et l’ai félicité. Qui avait-il d'autre a faire ? Merlin lui-même aurait été ébloui par temps de grâce et d’amour. Je ne sais pas comme t’expliquer l’expression qui se peignait sur son visage dès qu’elle posa sa paume contre la protubérance de son abdomen. C’était comme si elle touchait le bonheur à travers sa peau tendu à se déchirer, comme si elle savait que son bébé serait un ange tombé du ciel. Je la croyais folle, elle était folle de son bébé, il était à peine née qu’elle l’abreuvait déjà d’un flot de parole sans discontinuité. A partir de cette instant les choses ont brusquement changé dans la vie des MacNair, ils se sont mit a rayonnée ensemble. Un spectacle de couleur irradiait dans leur yeux épris de l'amour qu'ils se vouaient, oh bien sur on ne cria pas la nouvelle sur tout les toits, il y'avait un standing a respecté. Mais l'héritier était en route. Le jeune Aro ne cessait de toucher discrètement le ventre de sa femme, tu l'aurais vu ce sorcier a la mine choqué lorsqu'il sentait son enfant se mouvoir sous la peau de cette femme qu'il chérissait. Samaël, c'est ainsi qu'ils ont nommée le bambin, a-t-on idée Merlin, d'appeler un enfant comme un diable moldue ? Mais son prénom n'a guerre d'importance tu sais, cet enfant avait la vie au creux du ventre. Il a grandit si vite que je garde a peine en mémoire ses sourires mouillées et ses premiers pas. Je ne me souviens que de ses premières farces, son premier sort loupé contre le chat de la vieille d'en face, de ses éclats de rire malicieux. Ah le sale petit sorcier ! Il en avait de la chance d'être aussi beau, il lui suffisait de sourire pour que tous le monde oublie ses frasques. Ses parents le regardaient avec une adoration peu commune, un mélange subtile d'amour et de protection. Samaël avait se sens des responsabilités un peu surannée, celui là même qu'on se fait un devoir d'apprendre au enfant de sang pur. Une dignité inutile qui les transformait, l'arrogance allait de paire avec l'acquisition de ses valeurs. Il n'avait que dix ans lorsqu'il a commencé a s’effacer, ses sourires pleins de malice qui éblouissait mon univers sont devenu des occasions rare, des moments de surprise volée au temps où il baissait la garde de son éducation rigide. L'année suivant il est partie pour Poudlard, j'y était déjà depuis longtemps lorsqu'il a pris aussi part dans cette autre univers qui était le mien.

« Samaël Jaeden MacNair », a hurler de choipeau devant la foule de sixième année existé comme jamais. Il s'est levé en souriant, sa démarche était déjà un peu trop traînante pour un enfant de onze ans mais que veux-tu il avait une classe folle. Je suis sur que nombre de jeune sorcière sont tombé amoureuse de lui ce jour la. « GRIFFINDOR »

Le temps s'est brusquement arrêté, son sourire indolent s'était figer sur ses lèvres bien trop juvénile pour le porter. Il devait se sentir abandonner, il n'avait qu'onze ans et venait de rompre la tradition familiale. Un MacNair chez lion. Jamais encore on n'avait vu pareil affaire dans le monde des sorciers, ses parents lui ont écrit dès qu'ils ont appris la nouvelle, le rassurant, lui promettant que Griffindor était une maison ou il serait très heureux. Sauf qu'il ne l'était pas, je le croisais dans les couloirs et mon coeur se serrait devant son minois triste. Toute sa vie, il avait crus être un serpent et le voilà chez les lions, trahis par son sens de l'honneur et son courage, il avait bien tenter de corrompre le choipeaux mais le vieux bout de tissus étaient resté sourd a ses prières. Il a passé sa première année en étant très seul, refusant de se mêler au autre, creusant l'écart entre l'enfant et l'age adulte. Sa rapprochant dangereusement de cette extrémité qui n'était pas encore faite pour lui. Mais comme toujours, le temps guerris les blessures de l'âme .. et j'ai recommencer à l'observer grandir de loin, reprendre goût à la vie, retrouver ses sourires mutins et ses blagues un peu stupide. Son corps changeait, son coeur se durcissait, les filles commençait a s’intéresser a lui, ses projets d'avenir s'étoffait dans son esprit ; il devenait l'homme qu'il devait être. Il devenait si beau que mon souffle se bloqua dans ma respiration lorsqu'il m'adressait des sourires incertains, vagues et indifférent de toute cette affection dont j'avais cruellement envie. Ce n'était pas tant son corps que son âme qui me frappait, bien que ses muscles se soit développer, que sa taille se soit allongée et que ses yeux est puisée encore en profondeur, c'était les mystères son jardin secret que je voulais percé.


J'étais la dépositaire sans visage de ses secrets les plus noirs. Je connaissais tout de lui, de son heure de naissance, à la marque de ces cigarette moldue qu'il fumait en cachette dans la tour d'astronomie, des noms de malheureux gamin qui avait eu l'imprudence de la provoquer, aux surnoms idiots de ses amis les plus proches. Le prénom de sa première petite amie, de son première amour, et finalement de sa fiancée. Ce n'était qu'un mariage arrangé mais il m'a ouvert les yeux. Je connaissait tous et n'était rien. C'était clichée. Terriblement clichée. L'amoureuse anonyme d'un homme ignorant de son existence et promis a une autre. Je ne savais qu'une chose lorsque j'ai décide de fuir sa vie, que mon passage n'avait laisser aucune trace. A peine plus discrète que l’effleurement des ailes d'un papillon ... »

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