Ce soir, nous étions le dernier jours de la semaine, c'est à dire vendredi. La nuit était tomber déjà deux heures arrières. Ce vendredi-ci avait été assez mouvementer si puis-je dire. J'avais re-croisé le regard de la belle blonde appartenant à la maison de Serdaigle. J'avais toujours pensé que cette maison n'était constituer que de cervelles sans graines et pourtant, cette fille me semblait bien différente de toute les autres. J'avais mal commencer la rencontre avec elle, tout avait débuter quand elle voulait arrêter une baguarre avec un gars, dont je ne me souviens plus du nom, j'avais eu l'intention de sortir ma baguette quand je m'étais aperçu qu'elle c'était prit un coup par moi. Jamais je n'avais frappé une femme. Cela avait été une première pour moi. Elle était partie avec ça main sur sa joue. Je me souviens de la couleur de ça joue, elle était devenu rouge au lieu de blanche rose. Je ne sais pas pourquoi mais inhabituellement, je m'en étais voulu et j'avais eu l'intention dans savoir plus sur elle depuis des semaines déjà. Quand je la croisais dans les couloirs, je la regardais discrètement, ne voulant déjà pas me faire remarquer par mes camarades mais surtout par elle. Elle dégageait une odeur appétissante et merveilleusement bonne à sentir. Je n'avais jamais eu un penchant pour les blondes mais surtout pour les brunes ou pour les châtaints, mais elle, c'était incroyable la beauter qu'elle avait. Elle avait sans doute des tonnes et des tonnes de mecs à ces pieds mais je n'avais jamais entendu parler d'elle, étonnant d'ailleur. Dans les couloirs, j'avais pu distingué la façon dont elle marchait, la façon dont elle parlait, oh oui, ça voix, elle avait une très belle voix, pas aussi belle que celle de la belle Madeline Rosier, mais une belle voix. C'était important je trouve, qu'une femme est une belle voix, du moins pour moi. La couleur de ces yeux, n'était rien d'autre que marront, mais un marront que bizarement, je retrouvais le même dans les yeux de la belle Rosier. J'avais un dossier sur pratiquement toute les filles de Poudlard, j'étais un Serpentard, un provocateur, un gentleman, un dragueur, un menteur, un homme fier, j'avais tout ce que le reste de ma famille n'avait pas c'est à dire une bonne réputation. Je ne savais pas pourquoi, ma famille parlait à des sang de bourbes, c'était totalement imcompréhensible, alors qu'ont avaient tous eux tout pour vivre et surtout avoir une belle vie. Mais non, il fallait que ses lâches gachent tout pour me nuir à la santé. Ce soir, j'avais envie de faire une ronde dans les couloirs. Non, je n'étais pas préfet, mais je m'autorisais cela, après tout, il n'était que 22 heures, j'avais tout de même le droit non, au pire, je savais mentir, j'aurais cas dire que j'étais somnanbule et cela passerait. Un Weasley somnanbule, paye la fiche.

Je n'avais pas sommeil, je décida donc de partir en direction de la tour d'astronomie, c'était ici que j'allais la plupart du temps que j'avais besoin de me changer les idées. C'est pas que je m'ennuyais à Poudlard, bien au contraire, car en ce moment, il y avait un tel ambiance qui reignait à Poudlard que je m'éclatais à voir tout c'est sang de bourbes partirent de plus en plus, éloigner du monde de la magie. Je monta les escaliers, les grimpas, aucun bruit à part celui de mes pas raisonnait dans les couloirs. J'ouvris la porte de la tour d'astronomie, regardant derrière moi si personne ne me suivait. Je referma la porte en silence, faisant le moins de bruit. Quand je me retourna pour voir l'espace devant moi, j'aperçu une silhouette de femme à la chevelure blonde, de taille moyenne. Je ne savais pas si c'était elle mais quand le vent souffla dans ces cheveux, son parfum m'arriva aux narines. Je me sentis obligé de parler, peu être qu'elle n'avait pas vu qu'un homme était là à présent. Alors je parla de ma voix grave.