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SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyDim 20 Nov - 20:43

La pluie et ysolde, une grande histoire d’amour, mais en été et au printemps seulement. La pluie de la fin d’automne était… différente, glaciale, elle n’était pas aussi agréable que celle de l’été qui ruisselait dans le cou, et sur ses mèches et cheveux blonds. Non, la pluie de fin d’automne laissait présager l’arriver de l’hiver, du gel et de la neige. A la fin novembre, il est imprudent de se laisser piéger par la pluie à Poudlard, c’était le meilleur moyen d’attraper la mort. Ysolde avait une santé assez fragile, elle se faisait mal avec peu de chose, quand elle jouait au quidditch, il n’était pas rare de la voir avec un bras cassé que l’infirmière ressoudait en un rien de temps. En revanche, elle tombait malade avec un petit courant d’air, alors avec cette pluie glaciale. Ce jour là, Ysolde était aller faire un peu de quidditch, elle avait été surprise par la pluie. Une pluie froide, battante. Elle descendit alors en flèche vers les vestiaires, et descendit de son balais avec hâte. Elle était douée pour voler sur un balais, elle était agile, souple, rapide, comme un courant d’air. Elle n’avait pas la carrure d’une batteuse, ou d’une gardienne, non, elle était une poursuiveuse, rapide, et efficace, dans le temps où elle avait encore sa place dans l’équipe de la maison serpentard, dont elle avait été le capitaine il y avait deux années de cela, l’année où ils avaient gagné la coupe de quidditch de l’école. Ce temps était tellement loin, et rappelait à Ysolde qu’elle avait beaucoup perdu depuis ce temps là. Elle se posa alors rapidement et couru le balais à la main jusqu’à la porte du vestiaire qu’elle poussa vivement, avant de refermer la porte derrière elle et jetant son balais contre celle-ci. Elle était trempée jusqu’à l’os, faire du quidditch lui permettait de se vider l’esprit, pour une fois qu’elle ne se retrouvait pas en compagnie d’un livre. Oui, elle avait d’autres loisirs. Ysolde adorait le quidditch, faire du shopping dans les magasins, même chez les moldus, cuisiner ou plutôt faire de la patisserie, lire des magasines, et bien sur, lire des livres. Elle avait putain de froid, la pluie ruisselait dans son dos, elle s’approcha alors du banc où elle avait entreposé ses affaires quand elle était venue se changer pour faire un peu de quidditch. Elle s’était changé dans un endroit calme, après avoir vérifié que personne n’était présent, mais là, elle avait trop froid. La jeune femme quitta alors son pull, puis retira son t-shirt aussi rapidement que l’éclaire, la laissant en soutient gorge tandis qu’elle cherchait dans son sac de sport son t-shirt propre et sec prévu pour le moment où elle avait décidé de cesser de s’entrainer. Elle le tira du sac qui était tout en bordel, avec des livres un peu partout. Elle l’avait en main, quand elle entendit un bruit, et se retourna vivement, prenant soin de mettre son t-shirt (non enfilé) contre sa poitrine au cas où. « Qu’est ce que tu regarde comme ça ?!!!! » Face à elle qui venait de pousser dans un bruti incroyablement la porte des vestiaire : Graeme Reinhaart, son… ex petit ami. Oui, depuis quelques temps il était l’ex petit ami, leur relation officielle avait été de courte durée, du moment où ils s’étaient officiellement montré ensemble, les choses avaient commencé à mal se passer. Ysolde le fixa, le regard noir, elle n’aimait pas qu’on la regarde quand elle se changeait, surtout si c’était quelqu’un comme Graeme, quelqu’un a qui elle n’avait pas envie de parler.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyLun 21 Nov - 18:21

Aujourd'hui, il pleuvait et bizarrement le jeune homme n'avait rien à faire. Enfin rien à faire, c'était vite dit, il n'avait simplement pas l'envie d'aller à la bibliothèque. Depuis quelque jours il ne faisait que de courir, il ne prenait même plus un moment pour aller à la bibliothèque et lire un bon livre comme avant. En faite, il donnait beaucoup de lui même pendant les heures de classes et il profitait ensuite de ses heures libres pour aller courir dans le parc du château. Depuis le temps, il avait oublier à quel point c'était bon de pouvoir évacuer tout ce qu'il pouvait ressentir et de tout ce qui pouvait se passé à Poudlard en classe. Graeme était toujours le premier vu par Ombrage mais il y avait bien d'autre étudiant également qui y passait. Évidement, la grosse dame ne voyait que par la pureté du sang, se qui au passage, dégoûtait le rouge et or mais il y avait bien plus important qui dégoûtait celui-ci, comme le fait d'avoir été lâchement lâcher par sa blonde quelque jours de cela. Il avait été laisser au beau milieu du couloir, face aux regards des autres étudiants. Ce n'était pas vraiment le regard qu'il avait eu du mal à avaler mais c'était plutôt le fait qu'il ne s'attendait pas vraiment à ça mais depuis, il se donnait à fond dans ses études voulant à tout prit oublier cette passe car oui, ce n'était qu'une passe étant donner qu'il essayait de l'oublier. Oui, Graeme essayait de l'oublier afin de pouvoir avoir la tête pleine d'esprit et de pouvoir se remettre à pensé à ses études. Evidement cela n'était pas forcément facile mais il essayait vraiment. A vrai dire, depuis leur rupture, il n'avait qu'elle en tête mais il essayait de ne pas y pensé, il se disait que si cela n'avait pas été si durable c'est que ce n'était pas fait pour qu'ils soient ensembles. Du moins c'était l’impression qu'il avait eu quand il avait pu voir le regard de Pevensie à table posé sur son ancienne blonde. Ce jour-ci, Graeme avait eu envie de courir pendant son moment libre, courir même avec ce vent frais qui tombait sur tout l’Angleterre et le ciel qui était bien gris bizarrement. Il n'était pas habiller de sa tenue scolaire comme à son habitude, non, il était habiller d'un jogging noir et d'un simple t-shirt blanc. Il savait que plus tard il se réchaufferait en rentrant à la salle commune pour aller prendre une douche chaude voir même bouillante au cas ou, ne sachant jamais. Il parcourut alors le parc du château en courant, comme à son habitude, il s'arrêta près d'un arbre afin de boire une gorgée d'eau sucrée qu'avait gentiment préparé un des elfes de Poudlard. Il reprit donc sa route en courant en allant vers le terrain de quidditch comme à son habitude, seulement ce n'était pas vraiment l'endroit ou il pensait qu'il s'arrêterait à cause d'une pluie battante éclatante soudainement sur les épaules du blond. Graeme était un sportif, normalement la pluie ne l'aurait pas arrêter pour autant sauf que cette fois-ci, la pluie était bien de trop forte, pire que ça, la pluie qui s'arrêtait sur le terrain de quidditch inondait le stade. Le jeune homme traversa le terrain en sprintant et se dirigea vers la porte des vestiaires. L'endroit qui aurait sans bien plus de chaleur et qui serait au sec si personne n'avait prit de douche avant mais normalement non. Il poussa la porte et s'arrêta net en voyant ce qu'il voyait. D'ailleurs il aurait eu l'effet de se pincé pour savoir si cela était bien vrai. Ysolde Wilkes, tenant son t-shirt contre elle dans les vestaires. Disons qu'elle était la dernière personne à qui il aurait aimer causer mais surtout voir. Car il ne voulait plus aucun échange avec elle. D'ailleurs l'accueil fut celle auquel il attendait : « Qu’est ce que tu regarde comme ça ?!!!! » Ah oui, elle parlait sans doute du fait qu'il regardait vraiment bizarrement la tenue de la blonde. D'ailleurs celui-ci mit environs cinq minutes pour se mettre à regarder le visage de la blonde afin de lui répondre sèchement :  « Rien d'exceptionnel, je te rassure. » Entre eux, c'était pire que les batailles de duel à la baguette, depuis leur rupture c'était comme chien et chat. Graeme en voulait à Ysolde et cela se voyait, il ne lui accordait plus aucune importance depuis ce jour. Mais la situation était vraiment bizarre. Graeme n'avait jamais vu Ysolde habiller de cette façon ou du moins sans t-shirt, heureusement qu'elle l'avait simplement posé sur elle pensait-il. Le jeune homme alla en direction des lavabos afin de se rincer le visage étant donner qu'il venait de voir qu'il avait de la boue sur le visage. Sans doute à cause du sprint qu'il avait effectué sur le terrain de quidditch. Après avoir rincer son visage, il se tourna alors vers la blonde. Oui la blonde car ce n'était plus la sienne. Il lui parla froidement en la regardant :  « BONJOUR quand même. » Et bien, ce n'était pas donner cette histoire. Graeme n'avait pas voulut la voir et c'est en ne voulant pas qu'il la voyait souvent. La prochaine fois, il penserait fortement qu'il veut la voir pour ne pas la voir !
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyLun 21 Nov - 20:58

Graeme, c’était l’ex petit ami d’ysolde. Elle n’aurait jamais pensé devoir dire « ex-petit » ami aussi rapidement, il était peut être le mec avec qui elle était sortie le moins longtemps, une semaine, une semaine et demie, à tout casser. Une relation éclaire, enfin, une relation officielle éclaire. Oui, car on pouvait quand même considérer qu’ils avaient été ensemble plus longtemps, ils se tournaient réellement autours depuis le mois de septembre. Mais aujourd’hui, c’était fini. La faute à qui ? un peu à lui, à ysolde, à reagan. Ysolde se sentait « coupable », elle prenait la mouche si facilement qu’il fallait la dompter et lui faire comprendre qu’elle allait trop loin. Sauf que là, c’était trop tard Ysolde avait dit ce qu’elle avait à dire, et dans un excès de colère, elle l’avait quitté. En fait, elle s’en voulait terriblement. Sauf qu’il était trop tard pour revenir en arrière, trop tard. Elle savait que Graeme pouvait lui en vouloir, et il avait le droit, mais elle aussi avait le droit de lui en vouloir. Elle avait un caractère dur à gérer, elle le savait très bien, elle était capricieuse, manipulatrice, mais elle le vivait bien, enfin… elle essayait. Son sale caractère, lui coutait beaucoup de chose, des amis, et là, Graeme, le type qu’elle aimait. Il était là devant elle aussi mouillé que la sorcière l’était, visiblement, il faisait également du sport. Oui, un jogging, et un t-shirt blanc (mouillé…), c’était la tenue idéale pour faire du sport, tout comme ysolde qui avait fait le choix d’un t-shirt, et d’un short. Elle avait son t-shirt contre sa poitrine, Ysolde était toujours aussi… « prude », et puis, ils n’était plus ensemble, alors, il n’était pas question qu’il la voit en sous vêtements… quoi que même quand ils étaient ensemble, Ysolde ne lui avait jamais laissé voir son soutient gorge, à peine il avait défait trois boutons de sa chemise, et elle fuyait. Il mit quelques seconde avant de regarder le visage de la jeune femme, et dit alors sèchement : « Rien d'exceptionnel, je te rassure. » C’était vexant, même très très très très vexant. Oui, Ysolde avait une poitrine dans la moyenne, haute ou basse elle s’en fichait, mais venant de Graeme, c’était assez vexant. Même très très vexant, elle n’aurait jamais pensé qu’il puisse dire une chose pareille. Sa voix était tellement sèche, elle ne l’avait jamais entendu parler comme ça, jamais. Pas à elle, du moins. Elle lui adressa un regard terriblement noir, et elle le vit se diriger vers les lavabos pour laver son visage. Elle en profita pour enfiler son t-shirt à la va vite. Elle mit une mèche de cheveux trempée derrière son oreille. Puis, elle vit Graeme se retrouner, et lui dire, sèchement : « BONJOUR quand même. » Elle le regard, et tourna alors la tête, occupé à essorer son t-shirt trempée. Par Merlin, elle était sur les nerfs en ce moment, c’était à croire qu’elle se défoulait sur son t-shirt. Elle le jeta presque dans son t-shirt, et rétorqua froidement : « Bonjour, mais tu peux aussi m'ignorer si tu veux. » Elle ne le regardait même pas, moins elle le voyait mieux elle se portait. Pas dans le sens où elle le détestait, mais, quand elle le regardait elle se rendait compte qu’elle avait fait une connerie monumentale en le quittant. Elle lui adressa un bref regard, et tourna rapidement les yeux, elle avait envie de se changer, et s’il restait là, ça n’allait pas le faire. La jeune femme s’assit alors sur le banc, et attrapa un linge dans son sac, et essaya doucement d’éponger ses cheveux qui étaient imbibés d’eau.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyMar 22 Nov - 18:31

La pluie, Graeme en était fan, simplement parce qu'il se sentait libre sous celle-ci. Pourquoi beaucoup, la pluie n'était qu'un empêchement pour sortir ou bien pour faire du sport comme le faisait quelque minutes avant le jeune homme. Sauf que lui, c'était un moyen de s'évader et d'évacuer ce qu'il pouvait ressentir à cet instant. Entre Ombrage qui ne le lâchait pas en cours, Goyle qui le collait sans cesse jusqu'au hall d'entrée puis l'histoire de la rupture avec Ysolde. Cela faisait beaucoup et il avait envie d'évacué tout ça pour ne pas mal finir. La pluie, c'était sans doute la seule ressource qui pouvait le remettre sur pied après tout ses évenements car Poudlard changeait, il changeait sans que les autres ne sans aperçoit mais le jeune homme avait l’œil, d'ailleurs c'était tout ce qui lui restait à Poudlard. L’œil. Il observait beaucoup étant donner que ses journées se limitait à observer le comportement des gens mais également à éviter Goyle qui ne le lâchait toujours pas mais au moins il avait remarquer depuis la séparation entre lui et Ysolde, que la brune le lâchait un peu, qu'elle ne lui courait plus après comme avant. Et c'était agréable de ne pas être sans cesse suivit, lui qui aimait la liberté. Le rouge et or n'avait pas pensé à quel point, cela pouvait être désagréable d'avoir une folle après ses fesses. Il aurait voulut que cela n'arrive jamais. Aujourd'hui, il se retrouvait dans les vestiaires en compagnie de son ex petite amie. Et bien. Disons qu'elle était la dernière personne qu'il aurait voulut voir et même la dernière personne à qui il aurait aimer parler. Car n'oublions pas, il avait été lâchement lâcher au beau milieu de couloir, évidement il ne l'avait pas oublier, loin de ça, il revoyait parfois la scène quand il empruntait ce couloir. Il n'avait pas vraiment pensé que tout cela se terminerait aussi vite que cela était arriver, enfin arriver, ils avaient mit tout de même du temps pour se mettre ensembles et cela avait plutôt été nécessaire mais comme quoi, cela n'avait pas suffit car pour juste une gonzesse sans raison, banal et refaire de la tête aux pieds, leur histoire avait prit fin. Le jeune homme n'avait pas hésite à parler froidement à la blonde qui ne méritait que ça. Enfin, c'était surtout la haine mais également la colère qui le rendait comme ça. Évidement, il savait très bien qu'Ysolde n'était pas le genre de demoiselle à se laisser marcher sur les pieds, à se laisser parler sèchement et froidement. Il le savait et pourtant aujourd'hui il ne se laissait pas faire. Disons que son histoire courte avec celle-ci lui avait ouvert les yeux. Ouvert les yeux sur un sujet assez délicat. Graeme ne faisait plus confiance à quelqu’un. Il se fichait bien des pensées que pouvait avoir les autres. Ysolde avait été la seule personne à qui le jeune homme avait fait confiance, après Elias et sa bande, c'était au tour d'Ysolde. Il commençait à avoir l'habitude et il en souriait même. Après s'être nettoyer le visage après avoir aperçu de la boue sur celui-ci, la blonde lui parla séchement : « Bonjour, mais tu peux aussi m'ignorer si tu veux. » Au moins ils étaient deux à avoir cette pensée et cela était réciproque pour le rouge et or. Il avait l'habitude d'ignoré les gens, pire que ça, il était totalement habituer à se faire avoir. Il avait donner sa confiance à trois camarades, il s'était fait avoir en beauté. Il avait donner sa confiance à Ysolde, à la première gonzesse dont il était tomber amoureux et il s'était fait avoir en beauté. Personne n'est fiable pensait-il. « C'est réciproque. J’attends simplement que la pluie cesse afin de rejoindre le château. Fait comme si j'étais pas là. » Le jeune homme enleva son t-shirt blanc trempé afin de le pressé pour faire partir l'eau qui était dans celui-ci. D'accord, c'était la première fois que le jeune homme se m'était torse nu face à une demoiselle mais surtout face à Ysolde également. Mais aujourd'hui il sans fichait bien, il ne voulait pas finir malade dans les jours à venir. Il remit son t-shirt après avoir fait ce dont il avait à faire. Si ignorer la demoiselle était la meilleure chose pour lui, il savait si prendre, il avait l'habitude. Cela ne serait qu'un effort supplémentaire à faire car oui, il se forçait à l'éviter, à l'ignorer, à faire comme si il en avait plus rien à faire d'elle. Comme tout bon homme quoi. « Tu veux que je me tourne peut être ? Pour que tu enfile tout ça. » Il avait remarquer le sac de la blonde, ce qui voulait certainement dire qu'elle avait des vêtements secs pour elle. Ce qui d'ailleurs rassura le rouge et or au passage.

Dernière édition par Graeme E. Reinhaart le Mar 22 Nov - 19:59, édité 1 fois
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyMar 22 Nov - 19:43

« C'est réciproque. J’attends simplement que la pluie cesse afin de rejoindre le château. Fait comme si j'étais pas là. » Ce n’est jamais facile d’ignorer la personne que l’on aime lorsque celle-ci se trouve dans la même pièce que vous, et que vous ne pouvez pas lui adresser la parole sans être totalement odieuse, désagréable, etc. c’était dur pour la jeune femme, oui, elle s’en voulait, elle constatait son erreur, et pire que ça, elle l’assumait totalement. Elle assumait son erreur et se disait qu’il était trop tard pour revenir en arrière, et qu’il fallait malgré tout essayer d’avancer. Ce n’est jamais facile de tourner la page d’une histoire quand on aime toujours quelqu’un, mais pourtant, il le fallait, il fallait qu’elle l’oublie, elle avait été assez idiote et colérique sur ce coup là, et elle ne se faisait pas d’illusion. Assise sur le banc, elle épongeait ses cheveux et s’éfforçait de ne pas trembler de froid, même si ça la démangeait, elle ne voulait pas qu’il croit qu’elle avait froid, elle ne laissait l’occasion à personne de se moquer d’elle, ou quoi que ce soit. Elle poussa un soupire presque muet, et reposa avec délicatesse sa serviette sur son sac, elle jeta un regard furtif à Graeme qui… était entrain d’enlever son t-shirt, et il était… torse nu. Dés qu’elle vu cela, ysolde s’efforça de regarder ailleurs, pas qu’elle soit… choquée. Non, elle n’était pas choquée, mais voir son ex torse nu dans un vestiaire totalement mouillé n’était pas la meilleure façon pour commencer à l’oublier. Ce n’était pas la meilleure solution, non. elle était un peu gênée par cette situation, plus elle restait près de lui, plus elle se sentait idiote, et profondément stupide, de l’avait quitté. Assise sur le banc, elle épongeait ses cheveux et s’éfforçait de ne pas trembler de froid, même si ça la démangeait, elle ne voulait pas qu’il croit qu’elle avait froid, elle ne laissait l’occasion à personne de se moquer d’elle, ou quoi que ce soit. Elle poussa un soupire presque muet, et reposa avec délicatesse sa serviette sur son sac, elle jeta un regard furtif à Graeme qui… était entrain d’enlever son t-shirt, et il était… torse nu. Dés qu’elle vu cela, ysolde s’efforça de regarder ailleurs, pas qu’elle soit… choquée. Non, elle n’était pas choquée, mais voir son ex torse nu dans un vestiaire totalement mouillé n’était pas la meilleure façon pour commencer à l’oublier. Ce n’était pas la meilleure solution, non. elle était un peu gênée par cette situation, plus elle restait près de lui, plus elle se sentait idiote, et profondément stupide, de l’avait quitté. Elle devait faire comme si elle se fichait de lui, alors que ce n’était pas le cas. Il dit alors : « Tu veux que je me tourne peut être ? Pour que tu enfile tout ça. » Oui, elle apprécierait grandement qu’il se retourne pour qu’elle puisse se changer, même si, elle serait quand même franchement mal à l’aise de se retrouver dans la même pièce que lui entrain de se changer, et puis qu’est ce qui lui disait qu’il n’essayerai pas de regarder quand même ?! Elle dit alors, en levant les yeux vers lui : « Ca serait adorable. » Dit-elle en s’éfforçant d’être le plus froide possible, mais avec le jeune homme torse nu ce n’était pas forcément évident. Ysolde l’aimait, et elle avait envie d’être avec lui, elle tenait à lui, mais… ce n’était plus possible. Elle attendit qu’il se retourne. Ysolde chercha ce qu’il lui fallait dans son sac, elle avait enfilé son t-shirt à la hâte et l’avait mis à l’envers sans s’en rendre compte, elle le retira rapidement et le mis dans le bon sens. Elle chercha dans son sac sa jupe d’uniforme, puis elle quitta son short en vitesse, et enfila sa jupe rapidement. Voilà, elle était totalement habillé, elle n’avait plus qu’à enfilé son pull, ce qu’elle fit en moins de deux secondes. Dans la hâte, elle était très rapide. Elle s’assit alors sur le banc, maintenant il pouvait se retourner tranquillement. Elle l’ignora alors totalement, et quitta ses baskets, qui quand elle les retira étaient aussi trempé que ses cheveux, même pire. Elle avait les chaussettes toutes aussi trempée, elle poussa un soupire, et les retira délicatement, elle poussa un autre soupire, et les laissa s’écraser sur le sol. Elle écoutait attentivement la pluie, puisque… le silence était glaciale. Elle ne semblait pas vouloir s’arrêter, les pluies d’automnes étaient violente, et parfois même accompagnée d’orage, et Ysolde avait horreur de l’orage, elle en avait même « peur », enfin… elle se bouchait les oreilles, et s’asseyait dans un coin dans le noir, pour ne pas voir les éclaires, ni les entendre. Elle était assise sur le banc, si seulement elle avait apporté un livre au moins l’atmosphère aurait été beaucoup moins tendue, parce qu’elle… parce qu’elle aurait eut l’esprit concentré sur autre chose que sur lui. Elle avait l’esprit qui divaguait un peu, elle l’ignorait assise sur son banc. Elle se sentait mal vis-à-vis de lui. Mais une chose la tira brusquement de ses pensées, elle avait les pieds encore plus mouillé. Quoi, une inondation dans les vestiaires ? Sans doute à cause de la pluie, elle s’écria alors : « C'est quoi ce bordel ? » C’était encore plus froid. Ysolde leva alors les pieds toujours assise sur son banc, elle n’aimait pas ça, et dans tout ça il ne manquait que le tonnerre et les éclaires, mais elle se disait que sa journée était tellement merdique que cela ne devrait pas attendre bien longtemps.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyMer 23 Nov - 14:06

Finalement si Graeme n'était plus avec la blonde, c'était simplement parce que Goyle lui tournait autour et qu'Ysolde avait mal prit cela. C'était de la faute à Goyle et de la jalousie venant de la part de la blonde. D'un coter, il ne lui en voulait pas, être jaloux faisait partit de la vie, lui même avait été jaloux en voyant la blonde avec le serpentard mais également en la voyant avec Pevensie. Etre jaloux, c'était une réaction normal quand on tient un minimum à la personne mais quand on y tient beaucoup et réellement, cela change tout car la jalousie est bien plus énorme cas l'habitude et c'est dans ses moments là que l'on sans rend compte. La pluie tombait à l'extérieur des vestiaires et pourtant on pouvait s'apercevoir que la pluie était battante sur le terrain. Le jeune homme s'était mit torse nu afin d'enlever son t-shirt qui était trempé, il en profita pour enlever l'eau que contenait le tissus. Evidement être dans la même pièce que son ex petite amie, ce n'était pas vraiment ce dont on voulait le plus au monde, même si le jeune homme en aurait bien profiter pour parler, voir pourquoi une fin aussi rapide était arriver. Mais non, même avec l'envie de lui parler il n'y arrivait pas car il lui en voulait. Il ne lui en voulait pas pour sa jalousie, il lui en voulait pour sa décision. Une décision qu'elle avait prise dans les secondes qui s'étaient écouler dans le couloir, du moins c'est ce qu'il pensait. Le jeune homme avait remarquer le sac de sport de la blonde, il lui avait donc demander si elle voulait qu'il se tourne. Sa n'aurait pas déranger le jeune Reinhaart à regarder hein... Mais disons que s'était plutôt préférable, surtout qu'il ne lui avait pas fait un compliment en l'apercevant avec le t-shirt posé sur elle. D'un coter qui aurait cru qu'il verrait son ex avec un t-shirt sur sa poitrine. Euh personne. Celle-ci lui répondit alors, d'une façon plutôt sèche, une façon dont le jeune homme n'avait pas l'habitude mais il faisait avec. Après tout, lui même lui avait parler froidement alors chacun son tour : « Ca serait adorable. » Adorable. Rien n'était adorable à présent. Le jeune homme réagissa automatiquement en se tournant, seulement en face de lui se trouvait le miroir, ce qui lui donna bien plus de mal à essayer d'éviter de regarder à travers celui-ci. En laissant un silence entre eux, le jeune homme pu entendre la pluie qui s'abattait sur la porte des vestiaires car oui, la pluie battait à forte puissance contre la porte. Cela devait être le grabuge dehors. Le jeune homme patienta dos à la blonde, tandis que celle-ci s'habillait de façon à ne plus avoir de vêtement tremper. Comme lui, elle avait fait du sport, au plutôt du quidditch, c'était ce qu'il conclut en n'ayant vu en entrant le balais de celle-ci. Soudain, la voix de la blonde s'exclama d'une façon alertante : « C'est quoi ce bordel ? » Ce bordel ? Quel bordel ? Le jeune homme se tourna alors en direction de la blonde quand il aperçu l'eau qui entrait par le dessous de la porte des vestiaires. Et merde pensait-il. Il s'approcha alors de la blonde en voyant que plus les secondes s'écoulaient plus l'eau rentrait. Soudain le tonnerre éclata à l'extérieur des vestiaires, faisant accélérer la pluie qui quant à elle continuer de s'abattre sur la porte des vestiaires. Le jeune homme enleva de nouveau son t-shirt en n'ayant une soudaine idée qui sans doute ne fonctionnera pas ou alors très peu de temps. C'est en s'approchant de la porte qu'il se mit enfin à genoux afin de mettre son t-shirt en longueur face à l'entrée du dessous de porte pour bloquer l'eau pendant quelque secondes. Il fallait d'ailleurs profiter de ses secondes pour trouver une idée, une idée qui pouvait essayer de ne pas les faire noyés sur place. Le jeune homme s'exclama alors vis à vis de la blonde : « Trouve une idée n'importe quoi ! Je tiens pas à rester bloquer ici avec toi ! » Ouais bon d'accord, ce n'était pas vraiment la meilleure solution de provoquer la blonde, mais c'était sans doute l'un des meilleurs moyens pour ne pas avoir froid, chose qui se provoquait déjà chez le jeune homme. Le rouge et or regarda alors la blonde, il se souvenu alors des bons vieux regards qu'il avait eu avec elle, d'ailleurs, cela avait été le contact premier qui les avait tromper sur leur relation. Graeme faisait semblant de la détesté alors qu'il n'avait qu'une envie, l'avoir contre soit, comme au bon vieux temps. La pluie continuait à se battre contre la porte tandis que le tonnerre continuait son histoire. L’Angleterre était entrain de vivre l'une des plus grandes tempêtes qu'il n'y ait jamais eu. Le jeune Reinhaart se leva alors afin de ne pas rester à genoux près de la porte. Ne sachons jamais ce qui pourrait très bien se passé. Le tonnerre, on entendait plus que ça avec le bruit de la pluie qui cognait contre la porte. Pourquoi une soudaine turbulence d'un coup sur l'Angleterre.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyMer 23 Nov - 20:40

Ysolde ne craignait pas l’eau, ni la pluie. Non, en fait, la jeune femme aimait l’eau, aussi surement qu’elle aimait le feu. Oui, elle aimait le feu, la chaleur d’une cheminé. La jeune femme aimait se baigner dans l’eau chaude de l’été, mais à la fin de l’automne et bien… l’eau était nettement plus froide, et elle n’avait tout à coup rien d’agréable. La pluie était gelée, et s’infiltrait sous votre pull, glaçant chaque infime partie de votre peau. Ysolde avait choisi d’emporter une jupe, sa jupe d’uniforme, et non un pantalon ; elle était gelé jusqu’à l’os et regrettait bien de ne pas avoir choisi un vêtement plus chaud. En même temps, la journée avait très très bien commencé, il avait fait beau c’était d’abord ce qui l’avait décidé à se rendre au terrain de quidditch, et cette foutue pluie c’était invité à Poudlard, assombrissant profondément le ciel. Et de fil en aiguille, la pluie était tombée, et maintenant, elle était tellement forte qu’une « inondation » entra dans les vestiaires, mouillant les pieds de la sorcière qui étaient déjà si gelés. Elle sursauta brutalement quand il y eut un coup de tonnerre. Par Merlin, pas un orage. Quand il y avait l’orage, elle était pire qu’une gamine dans le noir, elle avait peur, elle s’éfforça de respirer calmement pas question de passer pour une peureuse devant Graeme. Elle vit le jeune homme quitter une nouvelle fois son t-shirt, à croire qu’il voulait se pavaner ainsi devant Ysolde, histoire de lui montrer ce qu’elle avait perdu en le quittant, ce n’était pas faux. Elle le regarda essayer de bloquer l’eau avec son t-shirt. N’importe quoi pensa alors Ysolde, il s’agissait de pluie, l’eau ne pourrait pas monter de plus d’une dizaine de centimètre, sinon c’était surréaliste. La jeune femme le regardait quand soudain il s’exclama vis-à-vis de la blonde : « Trouve une idée n'importe quoi ! Je tiens pas à rester bloquer ici avec toi ! » Quoi ? Pourquoi ça serait à elle de trouver une solution ? Pourquoi ? parce qu’elle était brillante ? Ah, les hommes tous les mêmes, dés qu’il y a un problème, on se tourne vers une femme parce qu’ils sont incapables de gérer ! Elle lui adressa un regard noir, et resta muette. Interdite même. Elle avait réussi à se faire détester de lui, au moins, s’il ne la retenait pas, cela serait plus facile d’arrêter de penser à lui. « Si tu ne voulais pas être bloqué avec moi, fallait choisir le vestiaire de l’autre côté du stade ! » Oui, dans les vestiaires de l’équipe adversaire, cela aurait très bien collé à leur relation. La jeune femme était restée assise sur son banc, et avait relevé ses pieds sur celui-ci, tenant ses genoux contre elle. Elle grelottait, et ignora Graeme une seconde et s’exclama alors exaspérée : « Oh et Par Merlin ! Arrête d’être stupide, l’eau va monter de 10cm au maximum, je pense pas que tu puisse te noyer dans aussi peu d’eau ! Assis-toi et attends bordel ! » Non, ysolde n’était pas à bout. Elle ne supportait pas cette situation, elle avait froid, et il y avait cet orage dehors. La jeune femme sursauta quand le tonnerre retentit de nouveau, elle esquissa une mine… qui indiquait qu’elle n’était pas rassuré et mit ses mains sur ses oreilles. Elle avait décidé de totalement ignorer Graeme, et l’orage, elle fixait un point dans la vide devant elle. Par Merlin, elle était terriblement morte de froid.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyJeu 24 Nov - 18:22

Enfermer dans un vestiaire, seul en compagnie de son ex, pendant que la pluie battante s’écrasait sur la porte, c'était sans doute la dernière chose que tout le monde voulait. En tout cas, c'était bien l'une des dernière solution qu'aurait voulut le jeune homme. Ce n'était pas la blonde qui le gênait, ni même sa présence, ni même l'orage et la pluie qui le dérangeait, en faite, c'était le fait de ne pas pouvoir être proche d'elle comme autre fois, avant que la blonde mette fin à leur relation. Il ne pouvait plus être aussi attachant qu'auparavant, ni même être sympa, cela serait certainement après leur rupture ou alors la serpentarde aurait cru que Graeme sans foutait totalement d'elle. Parfois il se demandait si faire semblant que tout allait bien, qu'il pouvait aller voir ailleurs ou bien qu'il était content que cela soit terminer soit bon, aussi bon que quand on goûte à un chocolat chaud. Parfois dans la vie, il faut savoir être fier comme dirait le père Reinhaart, fier de l'homme que nous sommes mais également de ce que nous sommes quand on est accompagner. Il n'y avait que le bruit de la pluie, éclatante sur la porte qui devait être tremper. Le rouge et or ne voulait même pas imaginer le temps dehors mais également la gueule du terrain. Le terrain devait être plein de boue, l'herbe devait être tremper et Graeme n'imaginait même pas l'état des arbres ou bien de la végétation aux alentours car n'oublions pas, le jeune homme est un fan de la botanique, des plantes et de la nature. Le jeune homme s'était mit debout afin d'esseuré l'eau de son t-shirt qu'il avait mit contre le dessous de la porte afin que l'eau ne puisse pas rentrée. Il s'était imaginer un vrai scénario, une sorte de Titanic version vestiaire sorcier. Il remarqua la façon dont le regardait la blonde. Et bien, cela changeait des regards d'auparavant mais cela n'était pas plus mal, d'ailleurs celle-ci continua de parler avec une façon sèche et froide : « Si tu ne voulais pas être bloqué avec moi, fallait choisir le vestiaire de l’autre côté du stade ! » Ah parce que maintenant c'était de la faute du blond et non de la blonde ?! Mais c'était vraiment le monde à l'envers ! Ce n'était pas le jeune Reinhaart le voyant entre eux deux, ce n'était pas lui qui avait des dons de voyance car au contraire, il était nul voir même un troll en matière de divination, sinon il aurait vu qu'Ysolde l'aurait larguer au beau milieu d'un couloir devant les yeux des autres. Mais c'était vraiment lamentable de dire qu'il aurait pu aller à l'autre vestiaire situer tout au bout du terrain. Si il avait su il aurait été l'haba sans hésitation. « Tu m'excuseras mais entre nous, ce n'est pas moi qui suis voyant ! Sinon j'aurais su que tu m'aurais larguer au beau milieu d'un couloir ! Et tant fait, si j'avais su que tu étais dans ce vestiaire-ci, j'aurais changer de direction directement. » Froid, il était froid avec la blonde mais elle méritait bien sa aujourd'hui. Il détestait devoir être aussi méchant et pesant dans ses mots mais c'était le seul comportement qu'il pouvait avoir avec elle, d'ailleurs, il avait bien remit en cause leur rupture, cela n'était sans doute pas bon mais il l'avait fait. Il était comme ça à cause de ce la rupture, il ne détestait pas Ysolde en elle même mais il détestait la situation dans laquelle il était. Le tonerre éclatait dehors, le blond essaya de calmer la colère qu'il ressentait, il ne pouvait même plus être dans la même pièce qu'elle. En cours, il pouvait car il était concentrer sur ses devoirs, mais en solo, c'était même impossible, hors de question. Le jeune homme détourna alors son regard d'un point fixe afin de regarder la blonde, qui avait les genoux rendu à son menton. Mais cela ne l'empêcha pas de rétorquer : « Oh et Par Merlin ! Arrête d’être stupide, l’eau va monter de 10cm au maximum, je pense pas que tu puisse te noyer dans aussi peu d’eau ! Assis-toi et attends bordel ! » Attendre ? Attendre avec elle ? Avant il n'aurait pas dit non mais aujourd'hui il refusait net de passé quelque secondes de plus avec elle. C'était même devenu une envie de gerber. Drôle de penser pour un jeune homme amoureux. Qui brillait auparavant en voyant sa blonde arriver le matin ou bien en la ramenant en fin de soirée. Le jeune homme ne prit même pas la peine de répondre. Il était bien de trop attentive sur les mains que la blonde avait posé sur ses propres oreilles quand l'oreille grogna. Avait-elle peur de l'orage ? Dommage, Graeme adorait sa. Il était toujours comme un gamin heureux quand il voyait l'orage éclater dehors par la fenêtre, admirant les éclairs. Le rouge et or hésita, puis après quelque secondes de réflexion, il alla s’asseoir auprès de la serpentarde et enleva doucement les mains de celle-ci. « Ta peur de l'orage ? Quand l'orage envoi des décharges électrique, c'était comme ce que je ressentais pour toi. C'était incroyablement bon. Dit toi que ça passera aussi vite que c'est arriver. » Le jeune homme essayait d'apaisé la peur de la blonde, mais cela ne devait certainement pas être efficace. Surtout que le rouge et or était classer à présent dans la catégorie ex de la blonde.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyJeu 24 Nov - 20:44

Ysolde était de nature franche, voir même très franche, elle était totalement du genre à dire ce qu’elle pensait. C’était en partie sa franchise qui avait causé sa rupture avec Graeme, mais la cause principale de leur rupture était sans l’ombre d’un doute son orgueil et sa rage. Ysolde avait beau avoir été heureuse avec lui, elle était tellement révolté contre le monde, contre les gens de sa maison de sa famille. Elle était énervée, tout le temps, quand elle y pensait c’était comme si aucune émotion positive l’habitait. « Tu m'excuseras mais entre nous, ce n'est pas moi qui suis voyant ! Sinon j'aurais su que tu m'aurais larguer au beau milieu d'un couloir ! Et tant fait, si j'avais su que tu étais dans ce vestiaire-ci, j'aurais changer de direction directement. » Ca c’était la cerise sur le gâteau. Son don de voyance. Ysolde ne savait pas s’il fallait le considérer comme un don, ou comme une malédiction, mais elle savait que beaucoup de sorcier seraient prêt à tuer pour voir l’avenir, surtout pas les temps qui courent. Ysolde se disait que si son père l’avait gardé en vie, c’était parce qu’il savait, et qu’il pensait pouvoir en tirer profit, un jour. Ysolde avait des visions, mais elle ignorait si elle avait le don de prophétie. Mais, elle ne pensait pas que Graeme pourrait mettre son don sur le tapis de la sorte, comme si elle était une vulgaire voyante, cela faisait mal, déjà qu’elle se sentait anormale, là, c’était pire. « Parce que tu crois peut être que ça marche sur commande ?! je ne suis pas une de ces voyantes moldus qui ne sont que des charlatans ! Ce n’est pas sur commande, je ne le contrôle pas ! Si je le contrôlerais crois-moi, je ne serais pas ici ! » S’écria alors Ysolde. Elle était révolté qu’il puisse dire ce genre de chose. Quand elle l’écoutait, elle avait l’impression de n’être qu’une bête de foire réduite à devoir prédire l’arriver de quelqu’un. Cela la mettait encore plus hors d’elle. Si elle était capable de maitriser son don, elle ne ferait pas des malaise, ni même des cauchemars, elle ne serait pas étourdie à chaque fois qu’elle en avait une. Si elle les controlait, alors elle s’empêcherait d’en avoir. Elle avait vu des choses horribles pendant ses visions, la mort de sa mère, et la mort d’Ulysse, cela avait choqué la jeune femme, même si elle n’appréciait pas franchement Ulysse à la fin. Comment pouvait-il oser lui dire qu’elle aurait dû prévoir qu’il choisirait ce vestiaire. Elle était énervée, avec la cruelle impression de n’être réduite qu’à ce don. Graeme ne savait pas tout sur son don, il l’avait vu faire un malaise à une reprise, et une absence à une autre, il ne savait pas que les visions étaient réelles, et montraient ce genre de chose. Mais dans le doute, on s’abstient de tout commentaire, déplacés.
La jeune femme était sur le banc, les genoux replié contre elle, assise. Elle avait ses mains sur ses oreilles. Elle détestait tellement l’orage. Cela évoquait tellement de mauvais souvenirs chez elle. Surtout un. Une nuit quand elle avait cinq ans, Ysolde était allongé dans son lit, faisant un terrible cauchemar. En fait, il s’agissait de sa toute première vision : celle de la mort de sa mère. Elle est restée seule dans son lit, terrifié avec un orage violent qui faisait rage dehors. Finalement, ce n’était pas l’orage en lui-même qu’elle craignait, mais… les visions, l’avenir, le passé. Mais l’orage évoquait chez elle une horreur. Elle le détestait, mais qui pourrait comprendre ? pas Graeme, il semblait tellement al détester à présent. Elle fixait un point dans le vide, ignorant totalement Graeme. Elle essayait de focaliser son esprit sur autre chose, pour ne pas penser à l’orage uniquement, mais plus elle essayait de penser à autre chose plus l’orage occupait son esprit, les souvenirs d’enfances, le cauchemar, tout. Elle fut brusquement tirée de ses pensées par Graeme lui-même. Il s’assit à côté d’elle, et retira délicatement les mains de la jeune femme de ses oreilles et dit alors : « Ta peur de l'orage ? Quand l'orage envoi des décharges électrique, c'était comme ce que je ressentais pour toi. C'était incroyablement bon. Dit toi que ça passera aussi vite que c'est arriver. » Il utilisait le passé, c’était ce qui avait ramené à la réalité, « ce qu’il ressentait ». ysolde n’aimait pas l’orage, elle le détestait. Elle se poussa alors de Graeme, refusant cette proximité. Ysolde avait froid, elle était terrifié par cet orage, plus qu’elle n’aurait bien voulu l’admettre, et Graeme ne pouvait pas comprendre. En fixant de nouveau un point devant elle, elle répondit simplement : « Je ne te demande pas de comprendre ma peur de l’orage, de toute manière tu ne pourrais pas. » Ysolde renifla alors doucement. Elle avait cruellement froid, et quand un autre coup de tonnerre retentit, elle se boucha les oreilles en fermant les yeux très forts. La peur au ventre. Quand il y avait l’orage, elle s’enfermait dans la salle de bain avec l’eau ouverte pour ne pas entendre le bruit, l’année dernière elle s’était blottie dans les bras d’Ulysse dans la cabane hurlante en attendant que cela passe. Ysolde méprisait l’orage. Elle retira les mains de ses oreilles, elle rouvrait les yeux, et entoura ses genoux de ses bras. Elle s’éfforçait d’ignorer l’orage, et Graeme. Elle l’aimait pourtant, mais elle était têtue, et trop fière pour lui dire qu’elle avait fait une erreur. La jeune femme grelottait comme pas possible. Ce n’était pas pour rien, nous étions fin novembre, déjà. Elle grelottait, et usa du revers de sa manche pour s’essuyer les yeux, non, elle ne pleurait pas, enfin, elle s’efforçait de ne pas pleurer. Ysolde n’allait pas franchement bien, elle avait fait une erreur, elle dormait à peine, elle avait froid, et l’orage l’effrayait tellement.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyVen 25 Nov - 18:33

« Parce que tu crois peut être que ça marche sur commande ?! je ne suis pas une de ces voyantes moldus qui ne sont que des charlatans ! Ce n’est pas sur commande, je ne le contrôle pas ! Si je le contrôlerais crois-moi, je ne serais pas ici ! » Le jeune homme aurait bien préféré avoir faire face à une voyante moldu, au moins, il aurait pu demander n'importe quoi, celle-ci lui aurait répondu, même pour dire des mensonges. Il aurait même préféré parler à une sourde ou bien à une aveugle plutôt que devoir de parler à son ex petite amie mais surtout d'être dans la même pièce qu'elle. C'était devenu impossible alors qu'avant, il n'aurait demander, souhaiter, rêver que ça. Le rouge et or aurait voulut trouver un portoloin, pouvoir partir aussi vite qu'il était arriver dans les vestiaires ou au moins aller à l'autre vestiaire à l'autre bout du terrain. Le jeune homme se trouvait sombre avec la blonde, son caractère était bien plus sombre qu'avant ou tout ça était arriver. Le rouge et or se disait que c'était dommage que lui n'ait pas de don comme la serpentarde en avait, mais cela faisait de ses personnes, des personnes uniques et rare, peu de monde avait des dons, c'était encore bien plus impressionnant dans avoir un mais surtout de connaître une personne qui en possédait un. Graeme s'était souvent demander la sensation que cela provoquait, avoir une vision, c'était comme avoir un flash, cela devait être aussi surprenant qu'un cauchemar ou bien qu'un rêve mais plus en version cauchemar. En parlant de cauchemars, le rouge et or n'arrêtait pas en ce moment, il revoyait le même ou la grosse dame rose lui avait demander de se lever afin d'être juger sur son apparence physique. Enfin, ce n'était pas son physique à lui qui avait juger mais plutôt le fait dont il mettait sa cravate ou bien encore la chemise en dehors du pantalon. Il n'aimait pas être habiller, il aimait être habiller mais pas aussi soigneux. Graeme était un gars qui savait prendre soin de lui et de son physique, il pratiquait du sport par envie, parce qu’il aimait cela mais également pour entretenir son physique. D'un coter, voir le jeune Reinhaart sans faire de sport c'était comme voir une boite de chocolat sans chocolat. C'était impossible, c'était inimaginable. « Aller c'est bon, arrête de causer Wilkes. Ton don n'arrêtera pas la pluie. Même si Poudlard est un lieu magique.» Graeme étai froid, distant, sombre et à présent méchant. Premièrement il avait appeler Ysolde par son nom de famille, deuxièmement, il lui avait parler comme jamais il n'avait oser parler à quelqu'un. Il était devenu ce genre de type, vous savez, ceux à qui on ne peu pas dire un seul mot car cela le soûlerait et qu'il enverrait tout péter sur le champ. Enfin Graeme était bien loin d'être celui-ci mais il voulait que la pluie cesse afin de partir et de ne pas avoir à faire à Ysolde. Dans ce moment là, il aurait préféré tomber sur Reagan Goyle. Pas parce que celle-ci était sans cesse entrain de pourchasser le blond mais seulement parce qu'elle était bien plus aimable qu'Ysolde à cet instant. Pourquoi le blond était aussi méchant avec la blonde ? Alors qu'eux deux avait été de bon binômes, de bon camarades, que leur histoire avait été belle malgré qu'elle avait été trop courte. Même bien de trop courte. Et bien, voilà la raison du pourquoi, comment. Le rouge et or avait été bloquer à travers une porte de cours par Reagan Goyle, vous savez la serpentarde brune à peau mate, celle-ci lui avait prévenu qu'avec Ysolde, cela ne finirait que très vite et que cela ne serait qu'un courte instant. La brune avait eu raison et Graeme avait été bien de trop attacher et amoureux d'Ysolde pour croire celle-ci. Malheureusement. La chute aurait été plus belle autrement. Le jeune homme s'était rapprocher de la blonde, afin de l’apaiser en l'ayant vu se mettre les mains sur ses oreilles. Graeme aimait l'orage, il aimait le tonnerre, il trouvait sa beau et un son tellement preneur. « Je ne te demande pas de comprendre ma peur de l’orage, de toute manière tu ne pourrais pas. » Dit comme ça, ça pourrait être une façon que Graemen ne pouvait pas comprendre, bon peut être qu'il ne pouvait pas, mais bon l'orage quoi, qui ne pouvait pas comprendre ? L'orage c'était naturel comme le tonnerre mais également comme le contact avec les autres étudiants. Le jeune homme se leva alors du banc afin de se rapprocher près de la porte d'entrée et de se mettre dos contre le mur en écoutant la pluie qui claquait contre le sol, mais également contre la porte. Il pouvait être comme ça pendant des heures et des heures, il avait juste envie de partir, de fuir Ysolde. « Aller c'est bon, ça me saoule d'être enfermer avec toi dans ses vestiaires. Même la pluie est bien plus parlante que toi. » Le jeune homme ouvrit la porte et reçu toutes les gouttes d'eau sur lui, dans ses cheveux blond. Mais il sans fichait pas mal, dans les prochains jours il aurait un rhume . Il tourna la tête et dit alors sèchement : « Salutation Wilkes.» En faite, il n'avait qu'une envie, c'était de la prendre et de la contrer contre le mur et de l'embrasser pour lui montrer à quel point ce manque était une douleur qui le prenait et qui le rendait comme ça.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptySam 26 Nov - 13:32

Spoiler:
« Aller c'est bon, arrête de causer Wilkes. Ton don n'arrêtera pas la pluie. Même si Poudlard est un lieu magique.» Elle n’avait même pas relevé. Elle n’en revenait pas, elle n’en revenait pas que Graeme et elle en soient arrivé à ce point de haine, de froideur. La jeune femme l’avait peut être cherché, mais lui n’avait rien fait pour la retenir, ou pour lui prouver que cette sale brune à forte poitrine n’était pas trop proche de lui. Il lui avait dit texto qu’il ne la comprenait pas, et Ysolde ne pouvait pas sortir avec quelqu’un qui ne la comprenait pas, point. C’était comme ça, c’était arrivé. Elle regrettait, parce que Graeme lui avait apporté beaucoup, il était la première personne avec qui elle sortait depuis qu’elle avait retrouvé sa mémoire, c’était nouveau, et tout était fichu maintenant. Elle le savait bien, qu’ils soient en de mauvais termes c’était peut être la meilleure solution, au moins ce n’est pas comme le « restons amis », ou il y en a un qui est satisfait, et l’autre que ne l’est pas. Ne pas s’aimer, ne pas se parler, c’est la meilleure solution. Alors, il vallait mieux qu’elle ne lui parle pas, être loin de lui. Avec le temps, on fini par guérir, c’est dur. Cette fois c’était comme si Ysolde c’était elle-même brisé le cœur, encore une fois. Trois histoires, et trois fois le cœur brisé. Ysolde aimait Graeme, avec lui, elle pouvait discuter, parler, rire. Aujourd’hui, elle n’avait plus personne. Certes, elle se souvenait de Gale, mais… elle ne lui parlait pas, lui son ami d’enfance, qui d’après leurs mères respectives étaient comme des jumeaux séparés à la naissance. Elle n’avait même pas eut l’occasion d’évoqué Gale avec Graeme, même pas. La question ne se posait même plus, plus du tout. il fallait tourner cette page, elle allait devoir travailler dur, sur elle-même, sur ses sentiments. On dit que pour se guérir, il faut combattre le feu, par le feu, et pour l’amour, l’amour avec l’amour, Ysolde n’en était pas convaincue.
Elle était assise sur son banc, les genoux repliés contre elle. Elle tremblait presque. Le jeune homme la tira alors de ses pensées, brusquement : « Aller c'est bon, ça me saoule d'être enfermer avec toi dans ses vestiaires. Même la pluie est bien plus parlante que toi. » Parce qu’il contait discuter avec elle peut être ? La pluie était plus parlante qu’elle. Il fallait qu’il décidé s’il voulait ignorer la jeune femme, ou bien s’il voulait qu’elle lui cause, même si cette dernière solution aurait pu la ravir, pour elle c’était contraire à l’idée qu’elle s’était fixé : tourner la page. En fait, Graeme n’était qu’une homme : tout le temps entrain de changer d’avis. Un coup, il vous dit blanc, l’instant d’après il vous dit noir. Un coup il est froid, et après se plaint qu’elle ne parle pas, où allait le monde ?! Il s’était dirigé vers la porte et l’ouvrir. Quand il l’ouvrit un vent s’engouffra dans les vestaires, faisant littéralement trembler de froid la jeune femme. Il dit alors sèchement : « Salutation Wilkes.» « Wilkes », cela lui faisait mal, mais avec le temps, ça irait. Il n’y changeait rien, la jeune femme le trouvait stupide, et profondément idiot. Il faut être con, stupide, pour sortir sous cette pluie battante avec ce froid glacial. Il était stupide, profondément stupide, elle lui lança alors : « Quand cessera-tu d'être un idiot ?! » s'écria alors la jeune femme, qui était toujours entrain de mourir de froid. « je sais que tu ne supporte pas ma présence, mais ne soit pas stupide, tu va être malade. Et je sais bien qu'une bonne grippe peut être plus agréable que moi ! Mais arrête d'être complètement stupide ! » Au moins, Ysolde avait le mérite d’être franche, très franche de nature. « Et qu’est ce que tu veux à la fin ?! Tu ne veux pas être ici, mais je ne suis pas assez parlante pour toi ? tu sais ce que tu veux au moins ? ! » Elle lui jeta un regard noir. La porte était toujours ouverte, elle lança alors, frigorifié : « Fais-ton choix, rentre sort mais ferme cette putain de porte ! » Oui, elle avait froid. Elle avait déjà son pull sur le dos, et elle n’avait qu’une seule envie : rentrer à la salle commune, prendre une douche chaude. Elle le fixa, elle n’avait pas de regard noir, mais il fallait qu’il choisisse, sortir, rentré, partir, rester, il fallait qu’il choisisse.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptySam 26 Nov - 15:21

« Quand cessera-tu d'être un idiot !? » Quand il cessera d'être un idiot ? Sans doute quand il retrouvera la personne qui ne le rendait pas si idiot que ça. Dans tout ça, il y avait bien eu une faille. Graeme avait perdu la personne la plus importante, la personne qui avait toujours vu le rouge et or comme celui qu'il était réellement. Le jeune Reinhaart avait été lui-même avec elle, c'était bien une chose que jamais elle ne pourrait lui en vouloir. Le jeune homme avait toujours été attentif, il avait écouter les problèmes d'Ysolde sans avoir pitié une seule fois. La première fois qu'il la vue, il avait su directement que cette serpentarde n'était pas qu'une simple serpentarde, que d'ailleurs cette méchante demoiselle, se trouvait une femme qui savait être adorable quand elle le voulait, elle pouvait être attentive aux gens, mais également sympathique comme elle l'avait été avec lui. Graeme avait même découvert qu'elle était drôle parfois, amusante même. C'était quelque chose qui pouvait être reposant, relaxant quand il y pensait. Ysolde était la seule personne qui pouvait l'apaisé, le calmé et même le faire rire. Graeme à Poudlard avait tout perdu, ses camarades, sa bande de pote, il avait à présent bien plus d'ennemi que d'amis. Le jeune homme avait apprit, avait reçu bien plus qu'il ne l'aurait cru avec la blonde. Graeme n'était pas idiot, il était bien loin dans être un. Même si parfois, il avait des réactions comme eux. Comme un gamin. Partir comme ça, des vestiaires sous la pluie alors qu'il préférait être en compagnie de sa blonde, c'était gamin. Il voulait être plus fort que la douleur, plus fort que la perte, il voulait sans sortir vainqueur. Il était amoureux et peut être qu'au jour d’aujourd’hui c'était un problème étant donner que c'était fini entre eux. Eux, cela avait été longtemps eux contre tous, eux contre le monde, eux contre Poudlard, eux contre les étudiants. En faite, c'était toujours eux. Avoir perdu Ysolde pour lui, c'était comme perdre un pilier, un repère, quelqu'un qui vous tenait debout quand sa n'allait pas, qui vous conseillez, qui vous écoutait, c'était également quelqu'un qui vous rendait différent et qui vous regardait avec des yeux sublimes. Le jeune homme n'eu même pas le temps de répondre, que la blond continua alors de parler : « je sais que tu ne supporte pas ma présence, mais ne soit pas stupide, tu va être malade. Et je sais bien qu'une bonne grippe peut être plus agréable que moi ! Mais arrête d'être complètement stupide ! » Une grippe bien plus agréable qu'elle ? Le blond avait une envie soudaine de se mettre à rire. Une grippe c'était très peu apprécier, être malade encore plus alors qu'elle, il avait su l'apprécier comme elle était, il avait même commencer à apprécier son coter froid, distante envers les autres même jusqu'à en devenir menaçante. Graeme s'était même aperçu qu'il en avait fait de même avec les gens qui ne voulait que du mal à la blonde. Il était devenu violent, provoquant. Aujourd'hui, il n'avait même plus la force de se battre, voilà pourquoi il recommençait le sport, il ne voulait pas perdre ses aptitudes physiques. A présent, Graeme était passé de idiot à stupide, aujourd'hui, il prenait tout dans la face. Au moins, il aurait l'habitude prochainement. Il n'avait même le temps d'ouvrir sa bouche pour parler que la blonde reprit de nouveau la parole : « Et qu’est ce que tu veux à la fin ?! Tu ne veux pas être ici, mais je ne suis pas assez parlante pour toi ? tu sais ce que tu veux au moins ? ! » Ce qu'il voulait ? Elle lui demandait ce qu'il voulait ?! Mais il fallait vraiment être bête et sans tête pour lui demander ce qu'il voulait ! Il s'était fait larguer sans si attendre, voilà pourquoi cela faisait encore plus mal et puis Ysolde avait été la première femme que Graeme avait aimer alors oui, cela faisait mal même très mal mais pourquoi montrer son malheur quand on ne veut pas être prit pour un faible. Mais de là à demander à Graeme ce qu'il voulait, il ne pu s'empêcher alors de parler : « Tu me demandes ce que je veux ?! C'est pourtant pas compliquer à comprendre mais surtout à savoir ! Je te veux toi ! Toi et ta bonne humeur du matin ! Toi et ton parfum qui parfume mes journées ! Toi et ton sourire qui rend mes journées meilleures ! Toi et ton regard que j'aimais temps regarder ! Je te veux toi Ysolde ! C'est pourtant pas compliquer à savoir ! » C'était pratiquement une déclaration, un compliment, lui qui n'y arrivait pas en tout voulut, cette fois-ci il faisait l'effort de lui faire comprendre. Mais attendez, cela n'est pas fini, non, il la regarda alors dans les yeux, elle qui avait soudainement le regard froid, cela ne le perturbait pas, loin de là : « Tu me manques Ysolde Wilkes ! » Voilà qui était dit et fait. Il était là, dehors pendant ce qu'elle-ci était sur le banc à essayer de vaincre le froid. D'ailleurs celle-ci n'hésite pas à lui faire comprendre que d'être dehors rendait les vestiaires encore plus froid et donc moins agréable que tout à l'heure : « Fais-ton choix, rentre sort mais ferme cette putain de porte ! » La blonde avait toujours ce regard noir, un regard qui maintenant faisait partit de l'habitude du rouge et or. Malheureusement pensait-il. Il referma alors la porte derrière lui après être entrer dans les vestiaires à nouveau. Il fallait que la pluie s'arrête, alors il attendait avec la blonde, même si aucun des deux ne parlerait sans doute pas. Il préférait attendre et admiré la blonde, plutôt que d'être dehors et de devenir un vrai glaçon. En parlant de glaçon, la blonde en était pratiquement devenue un. Il y avait bien une façon de pouvoir se réchauffer, non pas par le feu, ni même par le contact, même plutôt par une douche chaude. Évidement, cela serait difficile étant donner qu'ils étaient deux dans les vestiaires. Un gars. Une fille. Sans doute une mauvaise idée. Le jeune homme resta debout dos à la porte des vestiaires, essayant de chercher une idée pour que la blonde n'est pas froid. Malheureusement rien ne lui vint alors en tête. Peut être qu'Ysolde avait raison. Peut être qu'il n'était qu'un idiot. « Tu n'as cas prendre une douche chaude... Cela ter permettrait d'avoir moins froid... » Au moins il le lui avait fait part de son idée pas vraiment brillante. Mais c'était la seule solution qu'il avait eu.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptySam 26 Nov - 20:23

Ysolde n’y allait pas par quatre chemins. Non, elle n’y allait jamais par quatre chemins. Elle était tellement impulsive, totalement. Elle se revendiquait d’ailleurs très colérique, et même capricieuse des fois. Oui, elle aimait avoir ce qu’elle convoitait, elle aimait avoir raison, elle aimait avoir tout, tout de suite. La jeune femme avait été élevée comme une gosse pourrie gâtée, même si elle n’était pas de sang pur, elle parvenait à faire céder son père à tous ses caprices, ce qui ne marchait pas avec sa mère. Non. sa mère résistait aux caprices de sa jeune fille, enfin, parfois, elle y avait céder, aussi. Mais comment pouvaient-ils dire non à cette gamine à la chevelure blonde comme les blés, avec cette bouille angélique. On ne pouvait simplement pas. Encore aujourd’hui, il lui était arrivé de jouer de sa beauté, pour parvenir à ses fins, sans jamais se vendre, mais en jouant sur ce côté angélique. Alors, elle à Graeme ce qu’il voulait à la fin. Blanc, ou noir ? Partir, rester ? Chaud ou froid ? Elle voulait savoir. « Tu me demandes ce que je veux ?! C'est pourtant pas compliquer à comprendre mais surtout à savoir ! Je te veux toi ! Toi et ta bonne humeur du matin ! Toi et ton parfum qui parfume mes journées ! Toi et ton sourire qui rend mes journées meilleures ! Toi et ton regard que j'aimais temps regarder ! Je te veux toi Ysolde ! C'est pourtant pas compliquer à savoir ! » Il la voulait, elle ? Comment pouvait-il la vouloir elle ? Elle et ses fichues saute d’humeur. Elle et son égocentrisme affirmé. Elle et son égoïsme. Elle et sa colère incontrôlable. Elle et sa froideur sans comparaison. Elle et son paradoxe ambulant. Elle et ses moue boudeuse sortie de je ne sais ou pour je ne sais quelle raison. Elle et sa jalousie chronique. Elle et se paroles qui faisaient mal. Comment pouvait-il l’aimer ? A l’entendre, il n’avais perçu aucun des défauts auquel elle venait de penser. Non. Pour lui, elle était de bonne humeur, elle avait un parfum agréable, un sourire, un regard. Si c’était compliqué à comprendre, à admettre. Elle ne pouvait pas admettre cela. Elle se sentait si inhumaine dans sa façon d’agir, avec tout ce qui lui arrivait, elle se demandait comment quelqu’un pouvait continuer à la vouloir elle. La bâtarde, la mal aimée de Poudlard. Elle avait blessé tellement de gens lorsqu’elle y pensait. Rabaissé des gens qui avaient légitimement le droit de se foutre d’elle. Elle avait humilié des filles dans les vestiaires en les aspergeant de choses diverses et varié, dit des horreurs sur les gens. Comment quelqu’un pouvait encore continuer à la vouloir, elle ne comprenait pas. Elle avait détourné le regard quand il ajouta alors : « Tu me manques Ysolde Wilkes ! » Lui aussi, il lui manquait tellement. Depuis qu’elle l’avait quitté, Duncan ne cessait de lui tourner autours, d’avantage. Elle n’aimait pas ça. Enfin, elle « aimait » Duncan, autant qu’elle avait aimé son passé, mais c’était un temps révolu entre eux, elle l’aimait, d’une autre façon, pas autant qu’elle aimait Graeme en tout cas, pas autant. Ensuite, elle lui fit comprendre que rentrer, ou sortir, il fallait choisir ! Sinon, Ysolde n’allait pas tarder à se transformer en glaçon, et à l’en juger, elle n’en était pas très très loin.
Il referma alors la porte, après être rentré dans les vestiaires. Elle n’avait rien répondu, en faite, elle était partagé entre répondre, et mourir de froid. Il resta près de la porte, dos à celle-ci. Et dit alors, réalisant qu’elle était à deux doigts d’être morte de froid : « Tu n'as cas prendre une douche chaude... Cela ter permettrait d'avoir moins froid... »Une douche, en sachant que les douches des vestiaires n’étaient pas vraiment séparées du vestiaire en lui-même. Hum, déjà, même s’ils étaient encore ensemble, elle aurait… refusé. Elle leva les yeux vers lui et dit alors : « Ca... Ca ira. Je ne veux pas me doucher ici. » Autre façon de dire : je ne veux pas que tu sois là, des fois que tu sois un voyeur. « « Ecoute, Graeme, je… » » Elle aurait pu dire « je t’aime », mais cela serait trop d’un coup. En fait, elle avait envie de lui dire qu’il lui manquait, tellement. Tellement, le matin quand elle prenait son petit déjeuné, elle aimait aller le voir juste après, avant de partir en cours, ensemble. Même s’ils n’avaient pas pu s’asseoir à côté, elle aimait être avec lui. Au moins, ils s’adressaient un regard, alors qu’aujourd’hui, c’était le froid intersidérale. Ysolde n’allait pas bien, dire le contraire serait une pure hérésie. Elle faisait des cauchemars, le même, tout le temps. Elle ne dormait plus, de peur d’en faire, elle était persécuté par Black, et sa femme, elle avait perdu avant même de renouer avec l’un des amis les plus cher qu’elle n’avait jamais eut, elle réalisait aujourd’hui la perte d’une mère onze années auparavant, elle subissait le contre coup de ses souvenirs, et ses visions la perturbaient tellement. Elle n’allait pas bien. « Tu me manque aussi tu sais. » Oui, il lui manquait. Ysolde avait baissé les yeux, elle avait toujours ses genoux replié contre elle. Elle avait froid, elle frissonnait. Tout à coup, elle éternua une fois, puis deux, puis trois. Le bon éternuement d’une malade. Elle frissonna. Bordel, elle avait froid. Elle regarda Graeme une seconde, et sursauta quand un nouveau coup de tonnerre retenti. Elle laissa échapper un cris en enfouie sa tête dans ses genoux. Ysolde avait froid, elle avait de la peine, elle ne se sentait pas bien vis-à-vis de Graeme, voir pas bien tout court.

PS, c’est nul, désolé…
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptySam 26 Nov - 21:42

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Le jeune homme avait proposer à la blonde de faire une douche dans les vestiaires mais les douches n'était pas vraiment séparé de l'endroit ou on se changeait pendant les matchs et les entraînements. Après les matchs tout le monde était épuisé pour refuser une bonne douche chaude, évidement, il ne fallait pas traîner en dessous car le tour des autres approchait également. Le rouge et or avait dit cela sans avoir l'intention de regarder la blonde faire sa douche. Cette idée ne lui était même pas venu à la tête, étant donner que Graeme avait bien été élever par ses parents et qu'il respectait toujours la façon dont on lui avait prit les choses. D'ailleurs, ses parents lui manquait terriblement et c'était ça chaque année. Il espérait être à noël pour les voir, leurs raconter ce qui s'était produit à Poudlard par rapport à Ombrage même si le rouge et or savait pertinemment que ses parents étaient au courant. Le jeune Reinhaart n'écrivait jamais de lettre à ses parents, ni même aux autres membres de sa famille, simplement parce qu'il ne voulait pas passé pour un faible, même si c'était toujours aussi dur les au revoir ou bien à dans quelque mois. Quand Graeme était au château, il se sentait chez lui mais il lui manquait toujours quelque chose et en passant du temps avec Ysolde, il n'avait plus ressentit ce manque, ce quelque chose. Sans doute que ce quelque chose s’appelait l'amour. « Ca... Ca ira. Je ne veux pas me doucher ici. » Ah les femmes, elles ne savent jamais ce qu'elle veulent également. Graeme lui avait proposer cette solution afin qu'elle n'est plus froid ou du moins plus très froid. Il n'avait pas eu l'intention de regarder prendre une douche. C'était totalement... C'était sans mot. Les vestiaires n'était pas vraiment très pratique pour le coter assez visible, on voyait tout des qu'on entrait dans la pièce. Le jeune homme ne répondit pas à ce que la blonde avait dit, de toute évidence il n'eu même pas le temps que la blonde continua de parler, mais cette fois-ci, ce n'était plus la même voix qu'avant, il reconnaissait la voix de la blonde, il la connaissait par cœur, même à des kilomètres d'ici il pourrait la reconnaître. C'était un son que le jeune homme avait su apprécier, même quand cours c'était bien plus apaisant de l'écouter plutôt que d'entendre les autres demoiselles de la classe parler. « « Ecoute, Graeme, je… » » Elle quoi ? Le blond écoutait la blonde attentivement, il voulait en savoir plus. Pourquoi une telle rupture comme celle-ci ? Avait-elle peur qu'il aille avec Reagan Goyle ? Ce n'était même pas une femme celle-ci, c'était carrément une gonzesse en plastique brune, refaite de la tête aux pieds, sans unique valeur aux yeux de Graeme. Elle n'était rien pour lui alors qu'Ysolde était pratiquement tout pour lui. Non, elle était vraiment tout. Elle rendait les journées bien plus illuminée et passionnante. C'était sans doute comme ça que Graeme avait prit goût à aller en cours. Qu'il avait apprécier à observer ce que la nature donnait. Le jeune homme ne disait rien, il ne bougea même pas, restant près de la porte à attendre ce qu'avait à dire à la blonde. Peut être des excuses vu qu'il avait été larguer au beau milieu d'un couloir après avoir vu Reagan et sa bande d'imparfaite passé. Cela avait été sans doute la goûte d'eau qui avait dépassé l'eau du vase ou bien la fin de leur histoire. Il avait eu du mal à se voir sans Ysolde, en faite, il avait pensé que cela aurait duré bien plus longtemps, pas comme tout les autres étudiants du château. Mais toutes les histoires avaient des fins d'après le père Reinhaart mais la première était toujours la plus forte. Dommage pour Graeme qui n'était pas le premier pour Ysolde. C'était sans doute pour ça que Graeme était devenu un gars violent, Ysolde était sa première petite amie, il avait été amoureux pour la première fois et la première rupture était toujours celle qu'on attend le moins car on voit toujours le monde à deux. Seul contre tous. Aujourd'hui c'est ce qu'il était. Même face à Ysolde, il était seul. « Tu me manque aussi tu sais. » Pardon ? Ysolde Wilkes venait de lui dire qu'il lui manquait ? C'était de haut qu'il tombait, encore une fois. Il ne s'attendait vraiment pas à entendre sa. C'était totalement... Bon. Venant de la blonde qui n'arrêtait pas de hanter l'esprit du blond. Car il fallait l'avoué, même avec toute la colère, tout le dégoût qu'il avait ressentit ses derniers jours, il avait eu Ysolde sans arrêt dans les pensées. C'était quelque chose dont il n'était pas capable de contrôler, ses pensées alors Ysolde avec ses visions, cela devait être encore plus dur. Soudain, la blonde se mise alors à éternuer, une fois, deux fois, trois fois. Puis le tonnerre éclata à nouveau, et bien, le rouge et or n'était pas encore prêt pour quitter les vestiaires. Et puis merde, il était bien avec Ysolde même si entre eux c'était froid. Le tonnerre fit sursauter la blonde qui échangeait un regard le blond. Un cri sortant de la bouche de la blonde fit sursauter le blond sur place jusqu'à ce que la blonde mit sa tête à ses genoux. Le jeune homme s'approcha alors de la serpentarde et posa doucement sa main dans les cheveux de la blonde. Ses cheveux était vraiment quelque chose de dingue qu'il n'avait jamais vu auparavant. Le jeune homme voulait savoir pourquoi une telle peur du tonnerre, soit disant il n'était pas capable de comprendre alors que tout le reste de son passé il l'avait comprit. Le jeune homme s’essaya à coté de la blonde tout en gardant sa main dans les cheveux de celle-ci, allant même caresser sa chevelure. [color=gray] « Raconte moi... Pourquoi une telle peur du tonnerre qui n'est que naturel. J'ai été capable de te comprendre auparavant, je peux encore.» La voix du jeune homme avait également changer. Sa voix n'était plus froide, ni même sèche. Non sa voix avait reprit son ton normal, le ton qui montrait qu'il était calmé mais surtout qu'il voulait savoir.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyDim 27 Nov - 19:30

Elle était fragile, plus fragile qu’elle ne voulait bien l’admettre. Elle avait l’air solide quand on la voyait debout alors que n’importe qui se serait effondré bien plus tôt. Elle tenait, mais au fond, elle était tellement mal. Elle était tellement fragile, finalement. Elle se blessait facilement, physiquement et même au niveau de son cœur et son esprit. Oui, son cœur était vulnérable, fragile, et elle ne le confiait pas facilement. Elle avait confié son cœur à Graeme et s’était sentie trahie en le voyant avec cette brune, et c’était retiré de leur couple avant qu’elle n’ait à souffrir d’avantage. Elle ne confiait pas son cœur aisément, Duncan en avait fait de la bouillie le premier en l’abandonnant, même si c’était pour sauver ses sœurs, elle s’en fichait. Ulysse, lui l’avait totalement détruite, jusqu’au fond. Avec Graeme, elle avait commencé à se reconstruire. Elle se connaissait à peine, enfin, depuis qu’elle avait retrouvé ses souvenirs, elle avait l’impression de ne pas se connaitre, avec Graeme, elle était bien et avait eut l’impression de changer, de se connaitre d’avantage. Cette Reagan Goyle avait vraiment, vraiment tout fichu en l’air. Ysolde ne supportait pas de la voir collé à lui, ni aujourd’hui, ni demain, c’était en dehors de ce qu’elle pouvait tolérer.

L’orage la terrifiait tellement. Elle savait pourquoi mais n’arrivait pas à se défaire de cette peur irrationnelle. Ulysse lui avait dit que c’était stupide, mais il avait fini par la comprendre. A l’époque, dépourvue de ses souvenirs, elle était parfaitement incapable d’expliquer sa peur. Aujourd’hui, tout était claire, comme de l’eau de roche. L’orage évoquait sa mère, sa première vision, sa mort. toute la vie de la jeune femme tournait autours de visions. Elle n’avait ni pu sauver sa mère ni même ulysse (même si pour ce dernier elle n’en avait surtout pas eut envie.) elle se demandait combien de personne pourraient encore mourir sans qu’elle puisse les sauver. Elle redoutait ses visions, de peur de voir mourir quelqu’un de proche. Le jeune homme s’approcha d’elle et posa une main sur les cheveux blonds de la jeune femme. Ça lui manquait tellement d’être proche de lui. A cet instant, elle aurait tellement voulu être dans ses bras, au moins elle aurait eut un peu de réconfort, elle aurait essayé de penser à autre chose. Il s’assit à côté d’elle, et dit alors en caressant doucement ses cheveux : « Raconte moi... Pourquoi une telle peur du tonnerre qui n'est que naturel. J'ai été capable de te comprendre auparavant, je peux encore.» Pour la première fois depuis des jours elle entendait un son de sa voix, différent. Cela lui avait manqué, oui. il était calme, et attentif. Ysolde sorti sa tête de ses genoux, et fixa un point devant elle ; elle détestait parler d’elle. « L’orage me rappelle un moment vraiment triste et terrifiant de ma vie. » Dit alors Ysolde à mi-voix, essayant de calmer sa respiration. Elle n’était pas en panique mais elle respirait difficilement, c’était toujours le cas quand elle avait peur de quelques choses. Elle avait peur, peur de parler, d’être prise pour une idiote, juste une sombre folle. Déjà qu’avec ses visions elle avait eut l’impression de passer pour une cinglée. Elle reprit alors : « Quand j’avais six ans, je me suis réveillé lors d’une nuit d’orage, et j’ai eut ma toute première vision. C’était horrible. J’aurais pu voir l’issu du jeu que je projetais de faire avec mon frère le lendemain mais… » Elle marqua une pause, longue, très longue. Assez longue pour qu’un autre coup de tonnerre la fasse sursauter de nouveau. Elle tremblait de froid, pas de peur, mais elle souffla doucement pour essayer de se calmer et reprit alors : « J’ai vu ma mère mourir, de la façon dont c’est réellement arrivé, avant même que ça n’arrive. J’étais en larme, et j’ai décidé d’aller voir ma mère et j’ai surprit une dispute entre elle et mon père, il était odieux, violent, et l’a même menacé. Je suis resté dans ma chambre des heures en larmes, et attendre que l’orage passe. Cette nuit là j’ai vu les cauchemars de ma vie prendre vie. » Elle s’arrêta, et sa voix s’estompa doucement si bien que la fin de sa phrase était presque un murmure. Ses cauchemars : l’orage, la mort de son père, et la violence de son père. Ysolde se sentait tout à coup tellement triste, elle détestait parler de cela, paraitre faible. Elle n’avait jamais perdu pied devant Graeme. Peut être que dans la rue en dehors du chaudron baveur, mais non. Là, elle avait les yeux rouges, fatigué, parce qu’elle était triste, mais aussi parce qu’elle ne se sentait pas franchement bien, elle frissonnait. Elle renifla alors doucement, et avala sa salive pour avaler un sanglot.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyDim 27 Nov - 20:23

« L’orage me rappelle un moment vraiment triste et terrifiant de ma vie. » La blonde avait sortit sa tête de ses genoux quand le rouge et or lui avait demander de lui raconter pourquoi une telle peur à propos de l'orage. Seulement, il ne s'était pas attendu à savoir que c'était par rapport à un moment terrifiant de la vie de la blonde. Personne n'aimait parler de son passé, surtout pas quand celui-ci était bien plus horrible de tout ce que vous avez pu vivre jusqu'à aujourd'hui. Le rouge et or avait su que le passé d'Ysolde n'avait aucune signification du bien mais à l'évidence que du mal. Elle avait souffert comme lui n'avait jamais souffert, parfois il se demandait même pourquoi c'était Ysolde qui avait eu le droit de souffrir au temps, avec un père cinglé qui n'était bon que pour avoir le pouvoir et faire le mal. Finalement le père d'Ysolde ressemblait beaucoup à l'ancien prince des serpentards, ils étaient tous les deux fous du pouvoir et de tout avoir. Ils avaient fait le mal plutôt que le bien. Finalement, Ysolde était vraiment très mal accompagner dans sa vie. Le jeune homme continua de caresser les cheveux de la blonde afin de l'apaiser, chose qui n'était pas facile dans une situation comme celle-ci, ou le tonnerre éclatait sur Poudlard. Le jeune homme était concentré sur ce que disait la blonde, c'était comme une part de délivrance quand elle parlait, même sans savoir que cela l'aidait. Parler, cela faisait toujours du bien, ne pas être enfermer, mais de pouvoir évacuer tout ça, tout ce qui nous rendait parfois triste et vulnérable. La blonde reprit alors la parole, laissant le jeune homme écouter attentivement, dans savoir plus sur elle, sur son passé, finalement c'était comme ça qu'ils avaient apprit à se connaître : « Quand j’avais six ans, je me suis réveillé lors d’une nuit d’orage, et j’ai eut ma toute première vision. C’était horrible. J’aurais pu voir l’issu du jeu que je projetais de faire avec mon frère le lendemain mais… » Les visions. Ysolde en souffrait, le jeune homme sans était rendu compte près du chaudron baveur. Quand elle avait une vision, cela ne pouvait que faire peur, elle s'arrêtait, aucun son, aucun bruit, aucune image, elle restait immobile, elle restait sur place. Graeme avait beau lui parler, elle n'avait réagit que plus tard. C'était comme si, il y avait eu une perte de la personne pendant cinq petite secondes mais qui parurent longues. Le jeune homme apprit alors que c'était à l'âge de six ans que la blonde eut sa première vision, un âge ou normalement, on ne pense cas jouer, jouer, rire, grandir et non faire des cauchemars en n'ayant des visions. Pour lui, c'était un âge ou on ne pensait cas vouloir grandir plus vite, parce qu'on regarde les adultes faire ce dont on voudrait faire. Finalement, on finit par manger que de la soupe, croyant qu'on grandirait, c'est aussi à cet âge-là, qu'on croit encore au père noël alors que ce n'est que notre imagination pour avoir un noël meilleur. Mais non, Ysolde avait vécue tout le contraire. Ce n'était pas une enfance dans tout le monde rêve, c'était sans doute, celle que tout le monde redoute le plus. Après avoir parler, elle marqua une pause, une longue pause, une pause qui comprit à Graeme que cela était très dur à la blonde de parler d'un passé aussi horrible. Le blond ne savait même pas quoi répondre, c'était comme si il était tomber de haut, très haut et que c'était impossible de remonter sauf si il parcourait les marches pour être de nouveau sur pieds. Soudain, un autre coup de tonnerre fit son apparition, faisant sursauter la blonde. Le jeune homme se mit alors à laisser les cheveux de la blonde pour venir caresser doucement le dos de celle-ci. Il ne profitait pas de la situation, il voulait simplement encourager à la blonde de continuer à parler, de laisser parcourir ses souvenirs dans les vestiaires, un lieu ou personne n'irait car aujourd'hui une pluie battante avait fait son apparition. La serpentarde reprit alors sa respiration, tandis que le blond continua de caresser le dos de celle-ci. Il remarqua d'ailleurs que le pull de la blonde était tremper. « J’ai vu ma mère mourir, de la façon dont c’est réellement arrivé, avant même que ça n’arrive. J’étais en larme, et j’ai décidé d’aller voir ma mère et j’ai surprit une dispute entre elle et mon père, il était odieux, violent, et l’a même menacé. Je suis resté dans ma chambre des heures en larmes, et attendre que l’orage passe. Cette nuit là j’ai vu les cauchemars de ma vie prendre vie. » Graeme comprenait alors, pourquoi Ysolde ne supportait pas ses visions. Normalement quand on a un don, on est fier parce qu'on se croit unique et que cela ne peut que nous apporter du bon en nous, finalement Ysolde n'avait vu que la mort, la mort de sa propre mère, à un âge si jeune. Quand Ysolde se mise alors à parler de son père, le rouge et or sentit alors la colère monter en lui. Ni Ysolde, ni la mère de celle-ci, n'avait mériter une vie comme celle-ci. La mère d'Ysolde ne méritait pas de mourir, elle méritait de voir sa fille grandir, comme toute mère et Ysolde méritait d'avoir sa mère. Seulement, cela n'était qu'impossible, celle-ci était décédé et les gens décédé ne pouvait pas revenir dans le monde des vivants. La blonde arrêta de parler, reniflant. A vrai dire le jeune homme ne savait pas quoi faire dans une situation comme celle-ci. Ce n'était jamais facile de bien si prendre dans une discussion comme ça. Le jeune homme se mit alors à parler, dans une voix calme et sincère : « Si je pouvais ramener ta mère dans le monde des vivants, rien que cinq secondes... Pour que tu puisses la voir.. Je le ferais...» Le jeune homme marqua alors une pause, il ne savait pas vraiment quoi dire, mais dans tout ce qu'il disait, ce n'était que vérité. Il sans voulait de ne pas pouvoir faire grand chose même si ce n'était pas vraiment ses affaires. Il ressentait de la colère vis à vis du père d'Ysolde et en même temps il ressentait de la tristesse pour Ysolde. Perdre une mère, qui le voudrait. C'était comme perdre un pilier finalement. Le jeune homme reprit alors la parole en regardant la blonde : « J'aimerais pouvoir t'aider mais... Il est trop tard... Mais ni toi, ni elle, ne méritait une vie comme celle-ci. Je veux dire, vivre dans la violence qui le voudrait ? Ce n'est pas digne d'un homme d'être violent, il y a des limites à avoir. Frapper sa femme ou sa fille ou bien de lui faire des bleus, ou bien de lui faire vivre sa vie dans un mensonge, ce n'est pas digne d'un père ni d'un homme. Ce n'est digne que du diable.» Le jeune homme regarda alors la blonde, il était partit comme dans un discourt. Mais il eut une idée ou du moins, une solution qu'il avait entendu dans un livre. « Euhm... J'ai entendu parler d'un miroir, que soit disant Poudlard cacherait. Euhm... Le miroir du Riséd. D'après le livre, ce miroir te montrerait ce que tu désires le plus. Peut être que cela vous permettrait de vous voir... Je veux dire... Elle et toi.» Pour une idée, c'était une idée mais ce miroir était-il toujours au château ? N'avait-il pas changer de place ? Tout cela était encore autre chose.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyDim 27 Nov - 21:27

C’était bien la première fois qu’Ysolde évoquait cet épisode de sa vie. Elle avait eut cette première vision si jeune. Si jeune, après elle ne souvenait pas en avoir eut d’autre. Elle avait essayé de parler de sa vision à sa mère, celle-ci lui avait dit de ne pas s’inquièté, elle lui avait dit qu’il s’agissait d’un mauvais rêve, et qu’il ne fallait pas pleurer pour cela, qu’elle ne l’abandonnerait jamais. Sa mère avait eut tord, elle l’avait abandonné, lâchement, même si ce n’était pas de sa faute à elle. Ysolde c’était sentie seule depuis ce jour là, on ne pouvait pas dire qu’elle avait une famille. Son père n’était pas une famille, sa sœur non plus son frère à la rigueur mais il était mort. elle senti la main de Graeme dans son dos, cherchant visiblement à réconforter la jeune femme, cela la réconfortait et en même temps lui faisait réaliser que… qu’ils n’étaient plus ensemble. Elle aurait tellement voulu se blottir contre lui. Elle avait besoin de réconfort, et elle avait besoin de lui. Il lui dit alors : « Si je pouvais ramener ta mère dans le monde des vivants, rien que cinq secondes... Pour que tu puisses la voir.. Je le ferais...» Elle était touché, mais rien ne pouvait ramener les morts. Il y avait bien ce conte de Beadle le Barde, le conte des trois frères qui racontait les reliques de la mort, et surtout la pierre de résurection. L’histoire disait que la mort finissait toujours par gagner, et que les gens morts ne pouvaient pas revenir dans le monde des vivants. Ysolde avait tant de fois espérer voir revenir sa mère. Elle étouffa un sanglot, et souffla doucement, tentant de trouver le calme en elle. Elle leva les yeux vers Graeme incapable de parler. Par Merlin, il lui manquait tellement. Rien que sa présence l’apaisait, mais cette distance lui faisait mal. « J'aimerais pouvoir t'aider mais... Il est trop tard... Mais ni toi, ni elle, ne méritait une vie comme celle-ci. Je veux dire, vivre dans la violence qui le voudrait ? Ce n'est pas digne d'un homme d'être violent, il y a des limites à avoir. Frapper sa femme ou sa fille ou bien de lui faire des bleus, ou bien de lui faire vivre sa vie dans un mensonge, ce n'est pas digne d'un père ni d'un homme. Ce n'est digne que du diable.» Elle ne méritait pas cette vie. Ni cette violence dont elle était victime. Son père n’avait jamais levé sa main sur sa fille, enfin une fois, une gifle mémorable quand elle lui avait dit qu’elle refusait d’épouser Ulysse. Mais elle se souvenait l’avoir vu lever la main sur sa mère. D’un autre côté, Ysolde se disait que la violence morale était pire que la violence physique. Il l’avait conditionné, élevé pour haïr les sangs mêlés, ce qu’elle n’était qu’au fond, elle se détestait. Son père n’était pas un homme digne de confiance, il le savait très très bien. Mr Wilkes savait qu’il était quelqu’un de mauvais et s’en jouait. Ysolde était presque sûr qu’il était à l’origine de l’accident de sa mère, il l’avait menacé, elle en était quasiment certaine. « Euhm... J'ai entendu parler d'un miroir, que soit disant Poudlard cacherait. Euhm... Le miroir du Riséd. D'après le livre, ce miroir te montrerait ce que tu désires le plus. Peut être que cela vous permettrait de vous voir... Je veux dire... Elle et toi.» Elle en avait entendu parler de ce miroir. Elle avait voulu y aller, sans jamais en trouver la force. Oui, elle n’en avait pas trouver la force, elle ne savait pas où il était, mais elle n’avait pas voulu le chercher, elle ne savait pas si la voir lui ferait du bien, ou du mal. oui, elle se disait que la voir provoquerait chez elle un tel chagrin que ça serait encore pire. Elle n’osait pas y aller, elle dit alors à mi-voix : « je l'ai lu dans l'histoire de Poudlard, mais, j'ose pas y aller. Si c'était pire de la voir ? » Oui, et si c’était pire. Voir ce que l’on désire avoir le plus au monde peut faire mal, même très mal. elle verrait peut être sa mère, ou peut être qu’elle y verrait Graeme, que pouvait-elle en savoir ? Elle le regarda et poursuivit alors : « Pourquoi tu es si gentil avec moi ? » Demanda-t-elle avec des larmes dans les yeux. Oui, il était si gentil avec elle, alors qu’elle avait été odieuse en l’abandonnant comme cela. Elle préférait abandonner, plutôt qu’être abandonné, cela lui était arrivé trop de fois dans sa vie. Elle le regardait, et elle se disait qu’il était trop gentil avec elle. Qu’il était top adorable, pour elle, trop gentil, trop parfait. Elle n’avait jamais eut de la chance dans sa vie. Son premier vrai petit ami était parti en prison, le second était un mangemort qui avait causé la mort de son frère à cause d’un de ses plans, et graeme était trop… gentil avec elle. Elle poursuivit alors : « J’ai été odieuse avec toi, comment tu peux être gentil avec moi Graeme pourquoi ? hein ? » Ysolde baissa alors les yeux, oui, elle se sentait horrible vis-à-vis de lui, tellement horrible.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyLun 28 Nov - 18:50

« je l'ai lu dans l'histoire de Poudlard, mais, j'ose pas y aller. Si c'était pire de la voir ? » Graeme ne savait pas vraiment comme cela pouvait finir. Peut être que la blonde aurait encore plus de mal à voir la réalité en face, que sa mère était morte mais qu'elle veillait toujours sur elle dans le monde des morts ou bien peut être que cela rendrait la blonde encore plus forte pour se battre face aux réactions des autres étudiants. C'est ce que voulait Graeme finalement, il voulait que celle-ci soit forte, qu'elle montre qui elle était réellement aux yeux de tous, comme elle avait fait avec lui. Le rouge et or n'avait pas eu peur de se rapprocher d'elle, il n'avait pas regretter, jamais, même après cette rupture assez cassante et douloureuse. Évidement qu'il lui en voulait, qu'il lui en avait voulut, même encore maintenant mais il fallait bien passé au dessus des choses pour pouvoir avancer dans la vie. C'est ce qu'il s'était toujours dit en tout cas. Si quelque chose le bloquait d'avancer, un barrage, un trou, il essayait d'affronter cela. Voilà pourquoi il avait préféré d'accepter la douleur, la perte plutôt que de se mettre à souffrir comme tout les autres. Il n'avait pas voulut montrer qu'il était faible, faible à cause d'une demoiselle d'une château. Il savait qu'aucun autre mec n'aurait montrer sa douleur, sa faiblesse, et pourtant, c'était sans doute la seule chose la plus difficile à faire qu'il avait rencontrer. « Et si cela ne t'apportait que du bien ? De la force ? Du bien être ? Du bonheur ? Imagine un peu, de voir ta mère à travers ce miroir, qui te sourit ou bien qui t'admire, qui t'admire de la femme que tu es devenue aujourd'hui. Imagine. Que ce soit toi ou elle , vous ressentirez quelque chose. C'est bien toi qui m'avait dit qu'il fallait savoir saisir sa chance. Alors saisie là. » Le rouge et or s'était souvenu de ce que lui avait dit alors la blonde près des puits à vœux. Elle lui avait clairement dit que parfois, il fallait mieux saisir sa chance, après on pouvait regretter de ne pas avoir fait ce dont nous avions envie de faire. Graeme n'avait pas regretter ce soir-là d'avoir embrasser le coin des lèvres de la blonde, finalement, c'était elle qui avait embrasser le rouge et or dans le noir, c'était ça qui avait tout déclencher, malgré la fuite qu'elle avait prise tout en laissant le jeune homme dans le noir et dans le froid également car c'était une pièce ou il n'y avait que des puits. D'ailleurs, la blonde avait lancer un galion que Graeme avait gentiment donner. Soudain, la blonde se mit alors à poser une question au rouge et or, une question que lui même s'était posé plusieurs fois : « Pourquoi tu es si gentil avec moi ? » Pourquoi était-il aussi gentil avec les autres ? Pourquoi ne jouait-il pas avec eux ? Ou bien pourquoi il était aussi sympa, alors que finalement il se faisait toujours avoir. Il s'était fait avoir par ses anciens camarades, potes qu'il avait considéré comme ses propres frères, puis finalement, tous avait choisit de se battre contre les sang purs, l'histoire du sang, cela n'avait jamais été pour Graeme, il avait donc choisit de partir de leur bande, laissant l'amitié pour ne pas être prit dans leur jeu. Et puis il y avait eu le coter sentimental, ce coter ou jamais Graeme n'avait su laisser faire face, laisser se prendre à écouter son cœur. Il était tomber amoureux d'Ysolde, c'était le cas de le dire. Elle était devenue son obsession, sa drogue, son odeur préféré, sa mélodie préféré. Même si il ne disait rien, ne lui montrait rien, il n'en pensait pas le contraire. Il fallait simplement le regarder et connaître les regards. Ses regards en disait toujours long. Graeme n'eu même pas le temps de répondre à la blonde que celle-ci continua de parler : « J’ai été odieuse avec toi, comment tu peux être gentil avec moi Graeme pourquoi ? hein ? » Pourquoi était-il gentil avec elle ? Pourquoi ? Parce qu'il l'avait toujours été avec elle, qu'il n'avait jamais fait de différence entre elle et les autres. C'était comme ça qu'il avait été vers elle, qu'il avait réussit à voir en elle quelqu'un de bien et de bon. Le jeune homme regarda alors la blonde qui avait baisser les yeux. Il ne savait pas quoi exactement répondre car finalement cela faisait partit de l'homme qu'il était ou du moins du jeune homme qu'il était. « Je sais pas, peut être parce que j'avance sans trop me posé de question. Sans doute parce que c'est chez moi que tout ça me rend l'homme que je suis aujourd'hui. Tu auras beau tant vouloir, cela changera rien à la situation. J'ai toujours eu l'habitude d'avancer, sans trop regarder derrière moi. Pas par peur, mais parce que je trouve sans cesse que le futur et le bonheur est à porter de main. » Le jeune Reinhaart lui en voulait, mais il lui en voulait seulement pour le fait de l'avoir laisser seul, dans ce couloir, il sans rappelait comme si c'était hier. Mais aujourd'hui, il voulait avancer, avancer sans trop regarder en arrière. Avancer pour continuer à croire en son avenir. Mais il avait bien quelque chose de bon chez lui, il était quelqu'un qui vivait en ayant des objectifs. Et aujourd'hui, son premier objectif était de trouver ce miroir à Poudlard. D'ailleurs il le fit comprendre à la blonde : « Maintenant on va trouver ce miroir, des qu'on l'aura trouver, tu feras ce que tu souhaites. Regarder ce miroir ou fermer les yeux. Pendant ce temps, je serais à l'extérieur de la pièce, à veiller et je te ferais un signal si quelqu'un se pointe. » Tout en parlant, la pluie et le tonnerre à l'extérieur cessa alors. Comme quoi, la tempête s'était arrêter en attendant tranquillement dans les vestiaires.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyLun 28 Nov - 19:44

« Et si cela ne t'apportait que du bien ? De la force ? Du bien être ? Du bonheur ? Imagine un peu, de voir ta mère à travers ce miroir, qui te sourit ou bien qui t'admire, qui t'admire de la femme que tu es devenue aujourd'hui. Imagine. Que ce soit toi ou elle , vous ressentirez quelque chose. C'est bien toi qui m'avait dit qu'il fallait savoir saisir sa chance. Alors saisie là. » Elle avait peur que cela la rende encore plus faible. Elle avait peur de voir sa mère, et ne pas lui ressembler. Ysolde était terrifié à l’idée de ressembler plus à son père qu’à sa mère. Oui, si elle ressemblait à son père, elle avait peur de finir comme lui, elle avait peur de devenir un monstre. Oui, elle se disait qu’en faisant face à sa mère, elle réaliserait qu’elle ne lui ressemblait pas. Elle réaliserait que celle-ci serait muette, totalement muette. Ysolde avait envie de parler à sa mère, de lui dire qu’elle lui manquait, de lui demander conseil. N’importe quelle fille souhaiterait demander des conseils de cœur à sa mère, mais elle ne pouvait pas. Elle n’osait pas parler à sa tante, elle avait peur de demander de l’aide, ou des conseils, elle n’était pas trop fière, elle était juste terrifié. On l’avait élevé dans l’optique « je sais me débrouiller et j’en suis fière », que demander des conseils ou de l’aide lui paraissait inconcevable. Mais, il fallait savoir saisir sa chance. Elle n’avait pas su la saisir avec lui, elle avait laissé passer sa chance avec lui, et il semblait impossible de revenir en arrière. Il avait beau lui avoir dit qu’elle lui manquait, et que lui il lui manquait… tout semblait impossible désormais. Elle avait pourtant besoin de lui, et elle allait devoir s’en passer, parce qu’elle était incapable de saisir sa chance. Elle avait tant envie d’être avec lui, elle redoutait de se voir dans le miroir, de voir sa mère. Tout était si bizarre dans sa vie, un vrai bordel. « Je ne crois pas être capable de saisir ma chance ces temps ci. » Dit-elle à mi-voix. En fait, c’était presque un murmure, comme si elle se parlait à elle-même. Elle avait fait du gâchis avec sa vie, elle n’avait pas saisit sa chance, elle avait bousillé ses chances, ça faisait une sacré différence.

Elle voulait savoir pourquoi il était si gentil avec elle, alors qu’elle était odieuse, alors qu’elle l’avait abandonné dans un couloir, lâchement. Pour une fois que c’était elle qui abandonnait les gens, et pas le contraire. En fait, elle se disait que cela lui avait fait autant mal d’abandonné que d’être abandonné. « Je sais pas, peut être parce que j'avance sans trop me posé de question. Sans doute parce que c'est chez moi que tout ça me rend l'homme que je suis aujourd'hui. Tu auras beau tant vouloir, cela changera rien à la situation. J'ai toujours eu l'habitude d'avancer, sans trop regarder derrière moi. Pas par peur, mais parce que je trouve sans cesse que le futur et le bonheur est à porter de main. » Ce n’était pas forcément le genre de réponse qu’elle aurait espéré. Dire qu’il était gentil parce qu’il tenait à elle, était une chose inconcevable pour la jeune femme, maintenant elle le réalisait bien. C’était fini, vraiment fini. Le bonheur n’était pas à porté de main pour Ysolde, enfin, plus maintenant. Non, elle ne se sentait plus capable d’être heureuse, rien dans sa vie ne lui donnait l’occasion d’être heureuse, pas de famille, deux amis à tous cassé, plus de personne à aimer. A part les cours, elle n’avait rien. Elle ne releva pas. Elle n’avait plus rien à dire, à part attendre que cet orage passe, que la pluie cesse et qu’elle ne soit plus en sa compagnie, qui pourtant n’était pas désagréable. Il ajouta alors : « Maintenant on va trouver ce miroir, des qu'on l'aura trouver, tu feras ce que tu souhaites. Regarder ce miroir ou fermer les yeux. Pendant ce temps, je serais à l'extérieur de la pièce, à veiller et je te ferais un signal si quelqu'un se pointe. » Trouver le miroir, maintenant ? L’orage semblait avoir cessé, et la pluie aussi. Elle était morte de froid, elle ne se sentait pas d’aller là bas maintenant, même s’il restait dehors, cela lui faisait passer encore du temps avec lui… et même si elle aimait ça, cela n’avait rien de raisonnable aux vues de la situation. Elle leva les yeux vers lui, et se leva alors, congelée. C’était à peine si elle sentait ses jambes, des bras, tout quoi. La jeune femme n’avait pas de pull supplémentaire, rien, elle devrait tenir comme ça jusqu’au dortoir, au moins. Elle regarda Graeme et dit alors : « J'ai tellement froid que je ne crois pas être capable d'aller plus loin que le dortoir de serpentard. Et puis je... une autre fois, sans doute. » La jeune femme fut interrompue par une éternument. Il ne lui en fallait pas plus pour tomber malade. Pourtant, elle avait envie d’aller voir ce foutu miroir, même si cela la faisait pleurer, un bon coup. Ysolde n’avait jamais versé de chaude larmes, du vraies larmes vis-à-vis de sa mère, elle s’était toujours contenté d’une mine triste, de pensées négatives, mais presque jamais de larmes. Elle avait envie de prendre ses jambes à son cou, fuir Graeme , sa présence, leur souvenir. Mais, elle avait envie de rester parce qu’elle était amoureuse de lui, parce qu’elle voulait voir ce qu’elle désirait le plus, et si ce n’était pas sa mère ? Tant de question, aucune réponse. Elle détourna le regard une seconde et reposa son regard sur lui. « Tu... tu sais à peu près où il est ? » Elle était congelé, elle risque d’attraper une méchante pneumonie, mais elle voulait voir, savoir.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyMar 29 Nov - 18:21

« Je ne crois pas être capable de saisir ma chance ces temps ci. » La blond à coter du rouge et or semblait être à bout de force, à bout de souffle, à bout de tout finalement. Pourtant, Ysolde était sans doute la seule demoiselle du château que le jeune Reinhaart avait vu entrain de se battre face à son passé, face aux regards des autres mais également face à elle même. Car finalement, Ysolde s'était chercher pendant longtemps, à savoir qui elle était réellement, à savoir a qui faire confiance. Saisir sa chance, c'était quelque chose de primordial. Parfois, un beau matin, on se lève et tout ce que l'on désire de plus cher s'exécute. Un beau jour, tout s'écroule sans trop savoir ni pourquoi ni comment mais la seule chose que nous sachons, c'est que nous n'avons plus ce dont on possédait. Le jeune homme ne voyait pas qui pourrait saisir sa chance si Ysolde Wilkes ne le faisait pas. C'est vrai, Ysolde était une battante, quelqu'un qui ne lâchait pas dans le domaine des études. Elle ne s'était pas rabaissé aux autres pendant des années en se prenant pour la fille qu'elle devait être. Une fille au nom de Wilkes mais finalement, une demoiselle bien loin de tout ce que les autres croyait. Évidement que parfois, le coter sombre d'Ysolde ressortait, mais le rouge et or appréciait cela, de ne pas la voir se faire marcher sur les pieds même si cela devenait de plus en plus dur avec tout les chiens que regroupait le château. Le jeune homme ne répondit pas à la blonde, en faite, saisir sa chance ne voulait pas dire que cela se passerait maintenant. Non. Cela pouvait très bien venir dans un ans, deux ans, trois ans, un mois, six mois. Même plus. La chance, cela vous tombait comme une goûte d'eau sur votre visage. On ne sait jamais réellement quand cela arrive. Le jeune homme avait proposer à la blonde d'aller de suite chercher ce fameux miroir qui peut être redonnerais la force à la blonde, ce qui lui manquait. Sans doute ce qu'elle désirait le plus également. Voir sa mère à travers ce miroir. Qui ne demanderait pas ça si c'était quelqu'un d'autre à sa place ? Peu de gens. Graeme le savait, il fallait qu'il trouve ce miroir, avec elle ou sans elle pour enfin lui dire ou se situe cette chose. « J'ai tellement froid que je ne crois pas être capable d'aller plus loin que le dortoir de serpentard. Et puis je... une autre fois, sans doute. » Le froid, c'était quelque chose que parfois Graeme appréciait et parfois non. C'était comme quand il neigeait, il sans foutait bien que la neige et la température de dehors soit froide mais la pluie, c'était quelque chose. Il appréciait la pluie, ce liquide, il se sentait toujours bien quand il pleuvait mais après, c'était souvent ses oreilles qui se retrouvait froide après. La pluie s'était bien également quand ce n'était pas une tempête comme celle d'aujourd'hui ou le froid, le vent, l'orage et le tonnerre était également là. Il comprenait que la blonde est les jambes congelées ou bien qu'elle n'avait plus la force de marcher, lui même avait froid, il avait même froid aux oreilles mais bon, il fallait toujours être plus fort que le froid et surtout ne pas y pensé, sinon c'était là qu'on s’apercevait réellement de la température. Graeme n'était pas spécialement pressé dit aller aujourd'hui voir même maintenant, il aurait préféré prendre une douche chaude pour s'habiller afin de ne pas avoir plus froid mais il pensait également aux vêtements trempés de la blonde. « Je peux toujours passé te prendre aux cachots ce soir, après le repas. Tu auras le temps d'être réchauffer et t'habiller chaudement. » C'était encore une bonne idée du rouge et or qui espérait passé un peu plus de temps avec la blonde. La serpentarde se mise alors à éternuer. Et bien. Celle-ci commençait vraiment à être malade. A vrai dire, ce n'était pas non plus les grandes chaleur dans ce mois. Le jeune homme regarda alors la blonde. Il ne savait pas si elle accepterait ou bien pire, si elle refuserait. Après tout, il était à présent son ex petit ami malheureusement. Oh que ouais malheureusement. Il était amoureux d'elle, c'était cas de le dire. Elle était devenue comme une obsession pour lui. C'était dingue comme situation. Mais finalement, tout ça, ce bonheur, cette histoire, n'avait été que de courte durée et pourtant il y croyait encore. « Tu... tu sais à peu près où il est ? » C'était peut être bon signe cette réponse. Peut être que cela se fera dans la semaine ou bien même dans la soirée comme l'avait proposer le blond à la serpentarde. Si Graeme savait ou se trouvait ce fameux miroir ? Et bien il avait lu quelque part, page 107 du bouquin, que ce miroir se trouvait dans une pièce, au quatrième étage. Il n'avait jamais osé mettre les pieds dedans, malgré qu'il était très curieux comme gars. Le jeune homme aurait bien voulut aller faire un tour dans cette pièce, après tout, il ne savait pas exactement à quoi ressemblait ce miroir, il était sans doute petit comme ceux du château ou bien aussi grand que ceux d'un musé moldu. Le jeune homme regarda la blonde, il remarqua alors que sa main était toujours sur le dos de la demoiselle. « Au quatrième étages d'après ce que j'ai lu. Alors, ce soir, on y va ?... » Le rouge et or était impatient de savoir à quoi ressemblait ce miroir, cette pièce. Finalement, l'endroit était sans doute banal mais le moment qu'aurait Ysolde face à ce miroir ne le serait sans doute pas. C'était à prendre ou à laisser.
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MessageSujet: Re: SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde)   SET THE FIRE TO THE RAIN (graeme-ysolde) EmptyMar 29 Nov - 21:56

Elle était morte de froid. Elle espérait sincèrement ne pas finir chez l’infirmière, encore une fois. Quoi que, elle pourrait changer ses habitudes, et aller voir sa Tante Sofia qui était sans l’ombre d’un doute aussi capable que l’infimière pour s’occuper d’un rhume, elle l’avait pris en charge l’autre fois à Sainte Mangouste, elle était totalement compétente. La jeune femme essayait de ne pas trop aller à l’infirmerie, mais décidément, cette année, elle y avait un abonnement. Il fallait mieux qu’elle rentre se changer, se lever, prendre une douche bien chaude puis trainasser devant la cheminée. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas trainasser devant une cheminée. Mais, trainasser dans la salle commune de serpentard était impossible, elle allait devoir remettre ça à… un autre jour, ou jamais. « Je peux toujours passé te prendre aux cachots ce soir, après le repas. Tu auras le temps d'être réchauffer et t'habiller chaudement. » Oui, ils pouvaient aussi faire ça. Ysolde avait envie, et à la fois elle était morte de peur. L’idée de fondre en larme devant un miroir à la vue de sa mère ne l’enchantait pas, mais, après tout cela pourrait peut être lui faire du bien. Oui, après tout, elle réaliserait que sa mère est morte, qu’elle l’aimait, qu’elle était gentille avec elle. Elle verrait une image heureuse de sa mère, et pas l’image de sa mort qui hantait la jeune femme. Elle le regarda et dit alors : « Et bien, une douche brulante serait la bienvenue. » dit-elle simplement. C’était une sorte de rendez vous, mais rien à voir avec les rendez vous qu’ils avaient pu se donner, cette fois… pas de sentiments, rien. Elle avait dit cela avec une voix normale, pas d’hostilité, bien que l’idée de se retrouver de nouveau seul avec lui ne l’enchantait pas, dans le sens où ce n’était pas le meilleur moyen pour parvenir à l’oublier. Elle voulait l’oublier, c’était la meilleure solution, non ? De toute façon, elle n’avait pas le courage de lui dire qu’elle l’aimait, encore moins de saisir sa chance.

Elle se demandait où se trouvait ce foutu miroir. Après, elle se disait qu’elle pouvait toujours y aller sans lui. Oui, sans lui, s’il lui disait où s’était, elle pourrait y aller seule. De toute façon, ça changeait quoi qu’il soit présent ? Elle ne pourrait ni se blottir contre lui si elle était en larme, ni le serrer dans ses bras, ni l’embrasser. A quoi bon qu’il soit avec elle ? A quoi bon ? Cela risquerait de lui faire plus mal qu’autre chose. « Au quatrième étages d'après ce que j'ai lu. Alors, ce soir, on y va ?... » Le quatrième. Il lui demandait s’ils y allaient. Elle n’en savait rien. Elle réalisa soudainement que le jeune homme avait toujours sa main dans son dos. Elle avait envie de l’oublier, mais c’était ce genre de contact qui la rassurait. Elle tourna alors la tête vers lui, réfléchissant. Aller avec lui, ou se la jouer cavalier seul. Elle se mordit la lèvre, et répondit alors : « Pourquoi pas. Ce soir. » Elle lui adressa un mince sourire. Oui, pourquoi pas. Après, tout, c’était, gentil de sa part. il était beaucoup trop gentil avec elle. La jeune femme se leva alors du banc, congelé jusqu’à la moelle. Elle lui adressa un regard et poursuivit alors : « On se retrouve dans la hall, après le repas alors. » Oui, après le repas. Sincèrement, Ysolde allait avoir l’estomac un peu noué. Oui, noué parce qu’elle allait «voir» de mère, noué parce qu’elle allait passer du temps avec Graeme, alors qu’il n’y avait plus rien entre eux. Elle attrapa son sac sur le banc, et lui adressa un mince sourire, avant de mettre son sac sur l’épaule. Elle quitta les vestiaires. Dehors, il faisait un froid de canard. Pire qu’à l’intérieur. Elle éternua de nouveau et se pressa de rentrer à la salle commune. Sans crier gare, et entra dans le dortoir. Elle se dirigea vers la salle de bain et se pressa de prendre une douche bien chaude, très chaude brulante. Elle resta un moment sous celle-ci, digérant ce qui venait de se passer. La première confrontation avec son ex n’est pas une chose facile, surtout quand on a encore des sentiments pour lui.

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