Premier ChapitreLe soleil était à son zenith. Bien haut dans le ciel, notre grosse boule de feu, notre étoile brillante nous chauffait la peau de ses doux rayons venaient. Moi, Celimus Moore, ainsi que quelques potes étions étendu sur l’herbe fraîche du parc de Salem, discutions librement. Selon moi, c’est la meilleure activité pour les jeunes sorciers sortant tout juste d’une longue période d’examens finals complètement barbants. Il y avait aussi l’option de pendre les petits morveux de premières année au dessus du lac par la cheville qui était assez amusant, mais j’avais laissé tombé cette activité lors de mon entré en cycle universitaire. Un bien gros effort de ma part, sachant que le sentiment de pouvoir que m’insufflait les supplications des gamins lorsque je les menaçais de les laisser tomber m’excitait à un point tel que… Bon, assez parler de ses moments tout à fait géniaux, je pense bien que je suis en train de devenir complètement nostalgique.
- Cel’ ? Celimus? Eh! La Terre appelle Moore! Le ton moqueur ainsi que le bouquin qui me tomba sur la tête me sortirent de ma rêverie. Légèrement sonné, je braqué un regard furieux sur le serpentard se accosté contre le vieux chêne.
- Encore à rêver aux courbes de Garcìa, Moore!- Si tu le dis, lançais-je d’une voix nonchalante.
J’avais toujours été ainsi, déconnecté de tout. Mon père m’avait souvent réprimandé pour ma tendance à partir dans mon monde, oubliant de vivre la vraie vie par moment. Je ne pouvais toutefois pas m’empêcher d’être si… distant. Rien ne m’atteignait, et je ne perdais pas mon temps avec les commentaires que je trouvais inutiles, comme ce semblant d’humour à propos de Garcìa. Même après des années passées en compagnie de ces gars, je ne saisissais toujours pas ce qui pouvait avoir de drôle dans ce type de blague. Plongeant mon regard vers les montagnes se dressant derrière l’institut, je laissai mon interlocuteur à son humour crade préférant mes rêveries destructrices…
Deuxième chapitreLe salon privé des garçons de Salem brillait d’une sombre lueur. Presque tout le monde était partie au lit depuis belle lurette, ce qui me plaisait grandement. J’avais ainsi la pièce richement décorée ainsi que ses confortables fauteuils de cuire à moi seul. Sur mes genoux reposait un exemplaire de la gazette du sorcier anglaise. Ce numéro remontait déjà à près de d’une semaine, incapable de m’en débarrassé. Je l’avais conservé. Il n’était pas rare que je le ressorte question d’y relire l’article racontant la nomination du ministre de la magie anglais, le désastre de ma vie. C’était complètement fou ce qui se passait là-bas. Un grave conflit politique faisait rage en ce territoire nordique. Comment pouvait-il un instant croire que les nés-moldus avaient leur place dans leurs écoles de magie? À Salem, on n’acceptait que les étudiants venant de familles sorcières. Sang-mêlé ou sang-pur. Du moment que leur parents étaient influent dans le monde magique et qu’ils pouvaient payer le coup faramineux d’une éducation dans cette établissement, vous y étiex très bien accepté. À mes yeux, les nés-moldus n’étaient rien de plus que des charlatans, des immondes moldus souhaitant se faire passés pour des sorciers. S’ils possédaient qu’une seule once de vraie magie dans leurs corps ignobles, moi, je serais Jésus. Vous avez bien entendu. Si seulement il s’avérait que ces sans-de-bourbes sont réellement des sorciers, je deviendrais le messie. La preuve que je ne croyais pas à cette histoire de magie sans sang-pur pour une miette. Bien que je ne sois pas sang-pur moi-même, je me considérais comme au plus haut rang. Le sang moldu n’étaient pas venu souillé les veines des membres de ma famille depuis déjà plusieurs décennie. Nous ne pouvions toutefois pas nous débarrassé de notre statut de sang-mêlé puisque le Conseil n’acceptait pas cet affront à leur lignée. Complètement stupide selon moi. J’étais un sorcier, ma famille était sorcière et en dehors de cette gourde de moldue venu polluer notre sang il y a plus de cent ans, nous avions toujours été des sorciers. Alors, pourquoi ne pourrions nous pas reprendre ce qui nous revient de droit?
Le journal posé sur les genoux, l’esprit tout à fait ailleurs, je rêvassais. Comme à mon habitude, je pensais à tout ce qui ce passait dans le monde. Je tentais de prendre du recul sur la situation, question d’analyser en profondeur le fondement même de cette situation politique précaire. Il était évident qu’il y avait, au coeur de ce conflit, des points de vue divergents. Pourtant, je sentais qu’il y avait plus. Mon père m’avait toujours dit que le mieux était de prendre conscience des faits et gestes de son adversaire. Rester de marbre, repousser tout sentiment faisait de nous un homme plus fort, un adversaire coriace. Alors que chacun se laissait distraire par ces sentiments, je me renforçais en prenant de la distance avec les miens. Ainsi, j’avais le champ libre pour analyser, penser tactique et stratégique. En ce moment, dans cette pièce où la seule âme vivante était la mienne, je faisais abstraction de mes sentiments. Je voyais plus loin. Je devenais un puissant guerrier. «Tout le jeu de la guerre se joue sur la faiblesse du guerrier ». Repoussant ainsi toutes faiblesses, je devenais un être intouchable, un adversaire coriace. Mon père n’avait qu’à bien ce tenir parce que je ne mettrais pas les pieds sur ce continent débile. Je n’irais pas en Angleterre, point barre.
Chapitre troisième« Celimus Moore est vraiment… Eum.. Je ne sais pas si j’ai le droit de dire ça, mais ce mec est une vraie bombe. Je l’ai vue s’entraîner l’autre jour, et je peux vous assurer que j’ai faillit faire une crise cardiaque lorsqu’il s’est débarrassé de son t-shirt. Il est si mystérieux! Cette inconnue à qui ses parents l’ont promis n’a qu’à bien garder son territoire, je ne me gênerai pas pour aller jouer dans ces platebandes… »
Agnès Thrisk, étudiante de Salem
« Ce mec n’est qu’un crétin arrogant. Il se pense vraiment génial avec son attitude « rien ne me touche ». Sérieusement, y a-t-il des gens qui ont envie de croiser sa face de bœuf dans les couloirs? C’est bien beau tout ça, mais c’est assez irréel que de n’avoir pas la moindre émotion. Selon moi, ce mec souffre d’un grave complexe de personnalité. Il aurait bien besoin de consulter un psychomage! »
Starthclyde Macdonald, étudiant de Ipswich
« Il y a pas tellement longtemps, j'ai libéré un petit né-moldu de première année que cet idiot de Moore avait fait suspendre par la cheville lors d’un match de Quidditch. Premièrement, il n'avait aucun droit de traîter cet enfant de la sorte. Il ne mérite même pas que je m'attarde sur ce qu'il a fait tellement c'est un être ignoble dépourvu de sens moral. En plus, il agit de manière telle insensée. Un jour il se la joue cool avec son air de monsieur intouchable et séduit toutes les jolies filles. Le second, il est le pire des crétins, le mec le plus immature de la terre. Décidément, ce gars est complètement dérangé... »
Kathryn Garcìa, étudiante de Salem
« Je connais Celimus depuis que nous sommes des gamins. Sérieusement, c'est un mec bien. Il n'a pas honte de ce qu'il est, dit ou fait. Fier, il sait se tenir droit et exprimer son opinion. J'avoue, il a un humour assez spécial, mais du moment qu'il n'en vient pas à mettre ses plans crades à exécution, tout se porte pour le mieux. »
Eoin Bennett, étudiant de Salem
« Moore? Ah! Vous parlez du gars qui fait de l’acrobatie aérienne! C’est assez fascinant comme sport. Je me demande bien comment ils font pour ne pas se casser la gueule. J’ai entendu dire que s’ils n’étaient qu’un tout petit peu trop à gauche, leur balai pouvait basculer propulsant son propriétaire dans une chute vertigineuse jusqu’à ce qu’il s’écrase sur le sol. Je me demande comment il peut préférer ce sport de cirque au Quidditch… »
Pacey Reilly, futur élève de Salem
« J’ai été dans la classe de sortilèges de ce gars l’an dernier et je peux vous assurer qu’il est très ambitieux. Il accorde tellement d’importance à ses résultats scolaires que ça en devient soulant. Sérieusement, un vrai lécheur de botte. Il se plait à être le chouchou de tous les professeurs de Salem. Un vrai crétin. Le fils à papa digne de ce nom. Je n’arrive pas à croire qu’il puisse être la vedette de l’institut aux compétitions de balais acrobatique. Apparemment, être le premier de classe ne lui suffit pas, faut qu’il ait le monopole de tout. Si seulement il pouvait se planter dans un seul domaine, ça ferait bien mon affaire. Pour une fois, il verrait ce que c’est que de ne pas être le meilleur! »
Noel Smith, étudiant de Salem
« Ce gamin est le fils parfait. Toujorus le nez dans ses livres ou sur le terrain de Quidditch à s'entraîner pour les compétition. Il réussit tout ce qu’il accomplit ce goss. En plus d’être un élève exemplaire, il est un jeune homme remplis de mystère et de volonté. Honnêtement, il ira loin dans la vie. Soyez en sur, il prendre la place de Waldon au sommet un de ces jours. »
Eugene Marshall, directeur de Salem
« Moore? AHAHA! Ce gars, il me fait bien rire. Sous ces airs de mister parfait et intouchable ce cache, ou pas, un mec qui manque cruellement de répartis. Je ne l'ai jamais vu répliquer quoique ce soi à un commentaire cinglant. Il se contente plutôt d'un regard noir ou d'un regard à la je m'en foutisme. Un peu plus tard, il revient à la charge en essayant de te rabaisser par des messes basses. Et, soyons honnête, ça ne marche pas toujours. Et quand ça ne marche pas, il se plante d'aplomb mister le prince. C,est assez comique de le voir nager pour se sortir du trou... »
Diego Martinez, étudiant de Salem
« Cette famille est complètement dérangée. Ils croient tellement en leur cause de redevenir sang-pur que ça en devient pathétique. Bien que j'apprécie énormément la compagnie de Celimus Moore, je trouve complètement idiot que quelqu'un aussi intelligent que lui croit en de tel sornette. Lorsqu'on est souillé par le sang, on le reste à jamais. Il n'y a aucun moyen de redevenir pur. C,est complètement impossible. Tu es pur ou pas, point barre. Leur cause est perdu d'avance et malgré mes tentatives pour lui faire entendre raison, il continue d'y croire. Comme l'a dit le Conseil, c'est un affront incontestable aux réels sang-pur. »
Philomène Bennett, étudiante de Salem
Chapitre quatrièmeCELIMUS ALYD MOORE EN ENTREVUE AVEC LA GAZETTE
1• Moore ? Vous êtes donc le fils de Finnick Moore, le tout nouvel ambassadeur américain. Que pensez-vous du nouveau poste qu’occupe votre père au sein du ministère? Comment se passe votre arrivé en Angleterre?Apparemment, vos sources manque de précision. Finnick Moore n’est pas seulement mon ambassadeur, il est aussi l’assistant personnel du Ministre Waldon. Pour ma part, je suis le filleul du ministre Waldon. Certes, tous ça n’influence en rien mon point de vue en ce qui concerne cette nouvelle promotion qui fut accordée à mon père, mais je n’aime pas particulièrement les journalistes ignorants. Pour en revenir à votre question, selon moi, il était bien temps de mettre du sang neuf à la tête d’un ministère. Je commençais à trouver que les relations entre les deux États étaient assez redondantes. Dans l’adversité, il faut savoir s’unir à ceux qui ont les mêmes convictions que nous. Lorsque nous sommes en mesure de prévoir les faits et gestes d’un homme, ça fait de lui une proie facile. Un homme faible ne devrait pas ce retrouvé à un poste où il se doit de gouverner. J’ai pour mon avis qu’il n’est que légitime d’unir l’Amérique à la Grande-Bretagne. Deux cerveaux en valent mieux qu’un. Voyez ce que Waldon à sut faire depuis qu’il est à la tête. La séparation des jeunes sorciers dans deux écoles distinctes étaient une brillante idée. Mon père était l’homme de main de Waldon, son meilleur ami. Je crois qu’il mérite pleinement ce poste. Il saura réunir les deux patries contrairement aux moldus qui les ont séparés. Les sorciers valent mieux que ça. La pureté est rare de nos jours!
J’aime bien le paysage, mais la température laisse à désirer. Il ne fait que pleuvoir ici. Pas la moindre goûte de soleil. Je suis un enfant du sud, j’ai toujours vécu sous le soleil donc je trouve un peu fade ce qui m’entoure aujourd’hui. Je me doute bien que vous aimer votre pays, mais je le trouve un peu moche. Trop gris à mon goût. Je serais bien resté en Amérique si l’on m’avait laissé le choix…
2• Il ne fait pas bon être nés-moldu dernièrement, le monde de la magie devient plus hostile de jour en jour en Grande-Bretagne. Après quelques recherches, j’ai appris que vous n’étiez pas de sang-pur. Croyiez-vous que cela influencera l’opinion que les gens auront de vous? Comment comptez-vous affronter ce qui se prépare?N’étant pas d’origine moldue, je ne me sens nullement affecté par tout ce qui leur arrive. Les nouvelles lois du ministère anglais ont été imposées parce qu’il avait quelque chose qui clochait. Pour ma part, je considère qu’elles ont pleinement leur place. Justement, je n’ai jamais compris pourquoi les nés-moldus étaient autorisé à fréquenter cette école destiné à l’étude de la magie alors qu’en Amérique, ils ont leur propre école, qui est bien en dessou de Salem. Il est grand temps de faire le ménage dans les rangs, retirer les maillons faibles de l’école afin de redonner son prestige d’entant à la communauté magique. Pour ce qui est de mon sang, je vous serais grés de bien vouloir retirer vos ignobles paroles. Je ne suis moi-même pas sans savoir que vous n’avez pas grand-chose de magique en vous. Contrairement à votre famille sans le moindre prestige, Slawter, la mienne pratiquement pure. La seule et unique tâche dans notre généalogie remonte à plus de cent ans. Vous ne serez pas sans savoir que le Conseil réhabilitera notre statue sous peu. Donc vos commentaires dégradants, vous pouvez les garder pour votre insignifiante petite personne.
3• Parlons maintenant de la famille, une valeur de premier plan dans notre monde. Vous venez d'une famille de sang pur. Comment était votre enfance ? Quels rapports entretenez-vous avec les membres de votre famille ? Et avec les autres sorciers de sang pur ? Et les nés moldus ?J’eu une enfance merveilleuse. L’emploie de mon père ainsi que la position de ma famille dans le monde magique nous permettaient de vivre dans le grand luxe. J’ai toujours eu tout ce que je désirais. Étant enfant unique, mon père n’avait aucun regret à accomplit mes moindres caprices. Certes, je me suis assagis avec le temps, mais les liens que j’entretiens avec les membres de ma famille sont toujours les mêmes. Avant Salem, je n’aivais jamais eu le moindre contact avec des nés-moldus et même là, ils se limitaient au tournois d’acrobatie aérienne contre l’Académie Ipswich. Mes parents ne fréquentaient pas ce genre de personnes, donc moi non plus. Par contre, nous avions beaucoup d’amis auprès des grandes familles sang-pures tel que les Waldon, les Lackey, les Reilly et les Bennett. Bien entendu, vous êtes complètement ignorant dans le domaine.
Chapitre cinquièmeJe suis le centre de l’univers, le prince de Salem. Présomptueux, moi? Je m’adore, m’idolâtre, me félicite d’être si parfait. Il n’y a personne d’assez bien pour le faire. Je suis meilleur que toute cette vermine circulant dans les couloirs de ce magnifique institut. Pourtant, lorsque j’entre dans une pièce, les croise dans un couloir, descend un escalier, j’entends tous ces éclats d’admiration à mon égard. Il m’aime & me redoute à la fois. Moi, je ne les aime pas particulièrement. Ils ne sont que des pions mis à ma disposition pour que je puisse arriver à mes fins. Avant, j’avais des sentiments, j’étais super sociable, mais j’étais faible. Si l’on touchait à quelqu’un qui m’était proche, je capotais, je ne contrôlais plus rien. Impulsif? Par particulièrement. Par contre, je suis assez colérique & batailleur par-dessus tout. Je suis compétitif & n’accepte pas de me faire battre par un moins que rien. Demandez donc, on vous répondra :
« Celimus Moore, n’accepte pas l’échec. Il est dur & antipathique. Celimus Moore est un être redoutable, le fier portrait du sang-pur bien qu’il ne soit pas complètement pur. Il est exactement comme son père, se plait à écraser la vermine. Il deviendra ministre de la magie, l’ambition fait partie intégrante de son être. Méfiez vous, c’est un être hypocrite & rusé. Il n’a absolument aucun scrupule à faire de mal au autre. Au contraire, il y prend plaisir. » Je vis dans un monde insensé, envahit par l’impureté. Je suis un prince de sang bleu né pour exterminer. J’ai relevé les barrières de la protection. Personne ne peut passer au travers de cette muraille. Je me fou de tous, désormais je suis un être de glace. Je me fiche de ce que vous direz de moi, puisque vos dires ne sont que putrides blasphèmes. J’aime à vous voir souffrir, vous voir détruit. J’aime à vous faire souffrir, vous détruire de mes propres mains. Je veux voir votre sang souillé couler. Vous êtes tous mes esclaves, autant que vous êtes. Ne soyez pas surpris de me voir en rire, c’est justement ce qui me fait tant plaisir. Je marche toujours droit, la tête haute. Oui, j’ai changé. Ce n’est la faute que du destin si je suis ainsi aujourd’hui.
Pourtant, dans cette ignoble école envahie par la vermine que je me dois de fréquenter aujourd’hui, je sens les regards me picoter la peau. Une aura de mystère m’enveloppe, tous veulent savoir que je suis. Ils ignorent tout de moi, de ma vie, de mon histoire. Autant j’avais put être accepté et respecté à Salem, autant je n’étais encore rien ici. Alors que je me rendais dans le bureau du directeur de Pouddlard, je sentais l’interrogation chez les élèves que je croisais. Déjà, ils murmuraient. Ils ne murmuraient pas encore mon nom, puisque je n’étais encore rien pour eux. Mais d’ici peu, je serais tout. Je ne serais plus le nouveau, je serais le roi. Bien entendu, je ne resterais que le temps nécessaire dans ce pays glacial pour y laisser ma marque.
En direction du bureau directorial, j’observai. J’observai ces petits anglais accoutrés de leur uniforme gris et fade. J’observai le prestige déchu de cette école autrefois renommée. Mon regard glissait sur ces étudiants, notant méticuleusement les moindres détails, les notant au fond de mon cerveau. La fierté émanait des sang-purs alors que la honte des sang-de-bourbes. Je croisai le regard d’une jeune femme d’une incroyable beauté. Je n’aurais sut déterminer son ascendance, mais au fond de ses yeux bruns pétillants, je pouvais apercevoir des éclairs de défis. Dès le moment où je détachai mon regard de cet être sublime, je croisai celui d’une seconde merveilleuse créature. Ses cheveux blonds retombant dans son dos, elle plongea ses yeux au fond des miens. La fierté émanait des pores de sa peau. Décidémment, cette école promettait d’être plus intéressante que prévue…