trust me, he is no angel - samuel blythe

„ samuel blythe “

LE PASSEPORT DU SORCIER

NOM : BLYTHE. Si vous connaissez un peu l'histoire des clans écossais, ce nom ne vous serra pas inconnu. Le clan Blythe est assez renommé, même s'il n'a pas joué de rôle très important. Il a aussi été un des premiers à être persécuté par la couronne anglaise et ainsi un des premiers à avoir fuit les îles britanniques pour se réfugier aux États-Unis après la bataille de Culloden en 1746 où on s'est fait botté le cul. - PRENOM : SAMUEL. C'est un nom biblique. Mes parents n'arrivaient pas à avoir d'enfant après plusieurs années de mariage. Ils ont prié. Dieu à répondu : et voici Samuel, « l'envoyé de Dieu ». - SURNOM : SAM, SAMY. La plupart des personnes l'appellent Sam, ses amis proches Samy. Ses amis encore plus proches lui donnent des noms qui ne peuvent figurer sur cette fiche... - AGE : 22 ans. Il est né un 29 août, à 14h15 dans un hôpital écossais d'Inverness. - CURSUS : Sécurité magique Option camouflage. Je suis plus un homme d'action qu'un intellectuel. - ANNEE SCOLAIRE : Douzième. - NATURE DU SANG : Né moldu. Sa mère est une secrétaire médicale et son père est banquier. Tous deux moldus, ils n'ont pas une goutte de sang sorcier dans leur veine. L'envoyé de Dieu, je vous dis.

MOI, LE MAGICIEN
1

Elle se fraya misérablement un chemin, bousculant volontairement les gens qui dansaient autour d'elle afin de retrouver la table qu'elle occupait avec son amie. Elle donnait des coups de coudes et entendait des cris de douleur étouffés et en riait à gorge déployée. Finalement, après dix minutes de recherche, elle trouva enfin son amie et s'écroula à côté d'elle sur la banquette en cuir rouge. Elle attrapa le verre qu'elle tenait dans sa main et en but le contenu en une gorgée. Elle grimaça et regarda son amie. « Du jus d'orange ? Pur ? » dit-elle en se plaignant. « Oui, Maddie. Tu te rappelles ? La courte paille, j'ai perdu, donc je conduis. Donc je reste sobre. » répondit la femme dans une voix qui oscillait entre exaspération et énervement. « Sansa, j'ai rencontré quelqu'un. » dit Maddie en cherchant un verre d'alcool sur la table. « Regarde, sur le balcon. Celui avec la chemise blanche. » Sansa regarda dans la direction que son amie lui avait indiqué. Elle resta stoïque pendant quelques secondes, les yeux grands ouverts. « Dis moi s'il est mignon, je suis bourrée » dit Maddie. Sansa prit un verre sur la table, le sentit et le tenda à son amie. « Il est canon ! Bois un peu, je vais faire un tour ». Maddie vida le verre en une seconde et s'écroula sur la banquette, endormie.

L'ambiance était à son maximum. La piste de danse était noire de monde et le sol glissait du fait de l'alcool qui tombait des verres ou qui était régurgité. Sansa s'en voulait d'avoir décidé de mettre des talons. Elle marchait difficilement, manquant de tomber par terre lorsque ses pieds dérapaient ou lorsque des jeunes qui dansaient se retournaient sans faire attention à elle. Elle était bousculée de tous les sens et se dit qu'elle aurait eu plus de chance si elle avait bu un verre ou deux. Elle arriva finalement aux pieds des escaliers et regarda en hauteur. Le garçon était toujours à la même place, mais il n'était pas seul. Il semblait se discuter avec un autre gars de son âge. Elle gravit les marches avec une facilité qui dégouta les autres personnes qui tentaient de les monter. Arrivée en haut, elle replaça une mèche de cheveux qui lui tombait devant les yeux, s'arma de son plus beau sourire et s'avança vers le garçon. Lorsqu'elle fut arrivée à quelques mètres de lui, elle l'entendit dire 'Pas ici, dégage' à son ami, qui s'exécuta en lui assenant un coup de poing sur le biceps. Elle s'avança timidement. « Salut... » tenta-t-elle.

Samuel le regarda partir, sa bouche pleine à déverser un flot d'insultes, comme il le faisait souvent. Il massait son biceps douloureux et se demanda quelques secondes s'il devait courir derrière lui pour lui mettre son poing dans la figure ou s'il devait attendre de le retrouver dans un moment plus privé pour discuter de leurs différends. Discuter. La simple pensée de discuter lui donna le tournis. Il préférait amplement agir que parler sans rien dire. Il s'apprêta à le pourchasser lorsqu'une voix féminine résonna derrière lui. « Salut... » Il se retourna et dévisagea l'inconnue. Son imagination s'enflamma. « Hmm. Sansa ? ». Elle fut surprise qu'il connaisse son prénom. Il aimait faire cela.
« Co-comment ? » Elle ne semblait pas très intelligente. Cela lui plaisait. « Ton amie m'a parlé de toi » dit-il en lui souriant. Elle avait des cheveux blonds qu'elle avait attaché en une queue de cheval, des yeux d'un noir intense et des lèvres charnues. Elle était grande et élancée. Il s'imaginait déjà explorer son corps plus en détail. « Tu veux - ». Avant qu'elle ne put finir sa phrase, il posa son index sur ses lèvres et lui sourit. « J'ai un appartement à deux pâtés de maison » lui dit-il tout simplement en s'emparant de sa main et en si dirigeant vers la sortie. Pourquoi s'embêter avec des discutions inutiles lorsqu'elle ne voulait qu'une chose et lui voulait la même ? Elle le suivi.

Le lendemain, Samuel était allongé dans son lit, emmitouflé dans ses draps. Le concert d'hier soir résonnait encore dans sa tête. L'alcool avait propagé ses effets secondaires et son cerveau semblait être parcouru de pulsation à l'image d'un cœur battant. Il gémit et se releva. Il ouvrit ses yeux. Son appartement était plongée dans une lumière aveuglante. Qui a ouvert les putains de rideaux ? se demanda-t-il. Lorsque sa vision s'adapta aux conditions, son regard se posa sur une femme tout sourire qui le dévisageait d'une façon inappropriée. Elle était assise sur une chaise, autour d'une table qui se dressait au milieu du salon. « Bonjour Samy » lui dit-elle d'un ton enthousiasmé. Samuel se leva et enroula le drap autour de sa taille pour cacher sa nudité. Il se dirigea vers la jeune fille en lui lançant un simple regard. Elle buvait son café, dans sa propre tasse. « Ne m'appelle pas Samy et ne prends pas mes affaires » dit-il en lui arrachant la tasse des mains. Elle se mit à rire. Il ne lui prêta pas attention et se dirigea vers la cuisine. L'appartement qu'il occupait était petit : la cuisine, le salon et la chambre occupait une seule pièce et une salle de bain minuscule occupait la seconde pièce. Ses parents le louaient pour lui permettre d'avoir l'indépendance auquel il tenait temps, ne rentrant chez lui que les semaines pour profiter de la cuisine de sa mère et de la machine à laver. La machine à café grouillait et des toasts avaient été préparés. Pas trop grillés, beurrés et garnit de confiture. Comme ils les aimaient. « Tu t'es sentie chez toi » lui dit-il sans adopter un ton particulier. Il n'aimait pas les gens envahissants, encore moins quand ceux-ci touchaient à tout dès la première nuit. « Je vais prendre une douche » dit-il sans attendre une réponse de sa part. « Je peux ve- » commença-t-elle. « Non. »

Sansa sourit. Il était si beau, torse nu, enroulé dans ce drap qui laissait dessiner les formes de sa virilité. Il était grognon, mais elle ne lui en voulait pas : il s'était simplement levé du mauvais pied. Elle se leva et prit la tasse que Samuel avait posé dans l'évier. Elle finit d'en boire le contenu et la reposa. Elle se retourna et sourit. Elle avait passé une si belle nuit, sans penser une seconde à son amie qui avait du passer la nuit dans un caniveau. Elle se dirigea vers l'armoire qui se dressait à côté du lit et l'ouvrit. Elle prit une chemise et l'enfila. Elle referma les portes et attrapa le jean de Samuel qui traînait par terre. Elle l'enfila également. Elle aimait tellement porter les vêtements de ses conquêtes d'un soir. Avec un peu de chance, ils allaient passer la journée ensemble, puis la prochaine nuit. « C'était qui le garçon hier soir ? » cria-t-elle alors qu'elle fouillait les poches du jeans de Samuel. Il ne répondit pas. Elle mit la main dans la poche arrière et sortit le portefeuille de Samy. « Quand je pense à Maddie, la pauvre. Je me demande où elle a passé la nuit » continua-t-elle à dire alors qu'elle ouvrait le portefeuille. Elle s'en fichait de la carte d'identité, de son permis de conduire. Elle cherchait des photos. Celles-ci étaient dissimulés derrière un petit rabat. Elle les fit glisser jusqu'à dans sa main pour les regarder..

Samuel sortit de la douche, une serviette rouge autour de sa taille et les cheveux mouillés. « C'est qui, lui ? » dit-elle en lui montrant une photographie. Elle était habillée avec ses vêtements et elle tenait son portefeuille dans ses mains. En plus d'être envahissante, elle était curieuse et avait fouillé dans ses affaires. « Pour qui tu te - » commença-t-il, mais Sansa le coupa. « C'est le garçon d'hier soir, non ? Celui avec qui tu t'es disputé ?». Il traversa la pièce en deux enjambés et lui arracha la photo des mains ainsi que son portefeuille. « Tu ne fouilles pas dans ma vie. Tu sors » lui dit-il sèchement. « Samy, je n'ai rien fait de mal ». Il avait envie de la gifler, mais il se contenta de serrer le poing. « Tu sors », s'obstina-t-il. Il resta devant elle jusqu'à ce qu'elle cède et qu'elle se dirige vers la porte après avoir récupéré ses affaires. Samuel lui avait fait enlevé la chemise et le jeans qu'elle lui avait prit. Sur la pallier de la porte, elle se retourna et le regarda. « On peut se revoir ? » lui demanda-t-elle candidement. Il se mit à rire nerveusement. « Tu fouilles dans mes affaires, tu te mêles de ma vie. Tu aurais du te contenter de te taire et de ce que je te donnais. Adieu », finit-il en claquant la porte.

2

« Seigneur, bénis ce repas, ceux qui l'ont préparé... » Samuel regarda sa mère. « Le pain, le pain pour les pauvres » chuchota-t-elle. « Ceux qui l'ont préparé et donnez du pain pour les pauvres. Amen » Les voix de son père et de sa mère s'étaient joint à lui pour la déclaration de foi. Samuel décroisa ses doigts et attrapa ses couverts. Le bénédicité était une tradition familiale : ils priaient avant et après le repas, remerciant le seigneur et blablabla. Samuel ne croyait pas en dieu mais il se pliait aux coutumes que partageaient ses parents. Sa mère était à chaque fois satisfaite et le regardait avec des yeux admiratifs, comme s'il prononçait quelque chose d'exceptionnel et son père hochait la tête avec contentement. Ses parents vivaient dans une maison bourgeoise du centre d'Inverness, à quelque pas de la banque dans laquelle son père travaillait. Malcom Blythe était un vrai écossais. Grand, les épaules larges, la mâchoire carrée et les mains puissantes, Malcom était un homme dur et conservateur. Ses cheveux étaient gris et des poils blancs commençaient à pousser dans sa barbe noir. A côte de lui, sa mère était minuscule. Chétif et sentimentale, sensible et romantique, Hannah Blythe collectionnait les tasses en porcelaine. Le hall d'entrée était emplis d'armoires où elle exposait ses tasses derrière des vitres en verre fermées à double tour. Elle n'avait que peu de place dans l'éducation de son fils. Samuel avait grandi avec la main de fer de son père qui voulait inculquer à son seul fils les traditions écossais des clans des Highlands. Il ne voulait pas qu'il devienne faible comme sa mère. Il voulait en faire un homme, un vrai.

Malcom avait passé une journée éreintante à rassurer les clients qui craignaient pour leur argent avec la crise bancaire. Il était vice-directeur de la Ness Bank House. Derrière ses lunettes, il observait son fils. Il l'avait bien éduqué, il en était fier. Malgré le fait qu'il était différent, Dieu lui avait permis d'avoir un fils et il Lui en serait éternellement reconnaissant. Il l'avait pris en main dès qu'il avait effectué ses premiers pas, à l'âge de un an. Un garçon ne doit pas rester dans les jupons de sa mère trop longtemps. Cela ne lui servirait qu'à s'affaiblir et apprécier la tendresse. Le monde n'est pas tendre. Le monde est dur et cruel. Son fils devait être capable de faire face à tous les évènements qui ponctueraient sa vie la tête haute. Et ce n'était sans doute pas Hannah qui pouvait le préparer à ça. Il ne pouvait s'empêcher de le regarder avec des yeux admiratifs. Samuel. L'envoyé de Dieu. Bientôt, il amènera une belle jeune fille à la maison, se mariera et aura de nombreux fils. « Fils, quand retournes-tu dans ton école ? » demanda-t-il de sa voix puissante et rauque.

Samuel leva les yeux de son assiette. Le gigot de sa mère était succulent. La qualité de la nourriture chez ses parents était bien plus importante que celle qu'il se cuisinait dans son appartement de banlieue. Il avala ce qu'il avait dans la bouche, car parler la bouche pleine énervait profondément son père, et le regarda dans les yeux. « Début septembre, père. » Malcom le regardait sans ciller. « Tu vas pouvoir retrouver ton monde. Dis moi, quand nous amèneras-tu une jeune femme à la maison ». Samuel manqua de s'étouffer. Il avala tant bien que mal les légumes dans sa bouche et regarda son père. « J'ai tout mon temps, père. Mes études se finissent l'année prochaine. Je me concentre sur mes études pour l'instant ». Il n'aimait pas mentir à son père, mais il n'aimait pas quand il abordait ce sujet de conversation. Il ne pouvait lui dire qu'il arpentait les bars et les boîtes de nuit les week-ends pour s'envoyer en l'air à la première occasion.

« Nous avons eu un patient très bizarre aujourd'hui. Il est venu avec l'intestin perforé de toute part, il a avalé des cuillers en argent » dit Hannah l'air désintéressé, jouant avec sa fourchette comme un chef d'orchestre avec sa baguette. Elle observait son fils et son mari parlait et comme elle se sentait légèrement ignoré, elle avait inventé une anecdote farfelue pour attirer l'attention. Samuel ressemblait comme deux gouttes d'eau à Malcom. Le même teint, la même carrure, le même sourire, les mêmes yeux, la même démarche, le même visage carré. Elle aimait beaucoup son fils mais ne pouvait s'empêcher d'être triste en pensant au peu d'influence qu'elle avait eu et qu'elle avait dans sa vie. Malcom lui avait enlevé son fils dès le plus jeune âge pour s'en occuper, pour l'endurcir, en faire un homme. Hannah avait été triste mais avait accepté la situation comme une femme parfaite. Elle s'était tu et avait laissé faire.

Tant qu'ils pensaient que Samy était le fils parfait, il n'y avait aucun problème. Mais il ne pouvait s'empêcher de se demander comment ils réagiraient s'ils découvraient qu'il n'était pas le fils modèle. Il tendit son assiette vide à sa mère. Hannah lui resservi une tranche de gigot en lui souriant. « Merci » se contenta-t-il de dire en reprenant son assiette, sans lui rendre son sourire. Il ne faisait rien de mal, finalement. Il profitait de la vie, comme les jeunes garçons de son âge et personne ne pouvait le blâmer pour cela. Samy était sûr que son père avait fait la même chose. « Comment va Jaxson ? » demanda Malcom. Penser à son meilleur ami l'apaisait et il sourit. « Très bien, il m'envoie des nouvelles régulièrement. Il voulait passer la dernière semaine d'août à Inverness, d'ailleurs. » Samy avait rencontré Jaxson Rearson dans le Poudlard Express. Samuel était perdu dans ce monde qui n'était pas encore le sien et Jacks l'avait aidé. Depuis, il ne passait pas une semaine sans qu'ils ne se voient ou sans qu'ils aient des nouvelles de l'autre. « Il sera le bienvenu » dit Malcom, le visage toujours aussi inexpressif. « Je préparerai la chambre d'ami ! » s'enthousiasma sa mère en agitant sa fourchette dans tous les sens.

3

« Tu es la plus belle des personnes que la vie est placée sur mon chemin. » Samuel se mit à rire en froissant le bout de papier que venait de lui glisser une fille dans les couloirs. Il se retourna vers Jaxson et mit son bras autour de son cou. « La plus belle des personnes que la vie est placée sur mon chemin » répéta-t-il d'un ton dégouté. Il n'aimait pas les effusions débordantes d'amour et encore moins les petits mots d'amours. Jaxson passa à côté d'une poubelle et y jeta le bout de papier. Jaxson le poussa légèrement au même instant et Samy manqua sa cible. « Petit con » dit-il en éclatant de rire. Jaxson se mit à courir et Samuel le pourchassa à travers les couloirs.

Elle s'avança vers la poubelle, bouche bée et cœur brisée. Elle s'agenouilla et ramassa le bout de papier. Elle fréquentait Samuel depuis deux semaines, ils l'avaient fait plusieurs fois, elle lui murmurait des mots d'amour à l'oreille. Même s'il ne répondait jamais et se contentait de l'embrassait lorsqu'il en avait envie, elle avait pensé qu'il pouvait peut-être l'aimer. C'est un garçon fier et froid, mais elle était sûr qu'au fond de lui, il pouvait ressentir de l'amour pour quelqu'un, même s'il jouait les hommes durs. Elle défroissa le bout de papier et se mit à verser une petite larme. « Tu es la plus belle des personnes que la vie est placée sur mon chemin » dit-elle d'une voix faible.

Samuel rattrapa Jaxson et se vengea en lui assenant un coup de poing amical sur l'épaule. Ils se mirent à rire et descendirent les dernières marches vers le rez-de-chaussée et le hall d'entrée. Ils se connaissaient depuis déjà onze ans et il ne se laissait pas une seule seconde de son ami. Il n'était ni émotif, ni sentimental, il appréciait seulement sa compagnie et ce depuis plus d'une décennie. A ses côtés, il se sentait apaisé et détendu. Il se sentait bien. Ses yeux se posèrent sur une jeune fille qui venait d'entrée dans le hall. « Tu la connais, elle ? » demanda-t-il à Jacks. « Elle ne figure pas sur ton tableau de chasse, pour sûr. Elle vient d'arriver à Poudlard. » Samy leva un sourcil, l'air intéressé. Il traversa le hall et passèrent à côté de la jeune fille. Samuel se retourna derrière elle. Il sourit. « Elle est pas mal » dit-il en s'imaginant déjà dans ses bras. « Elle s'appelle Cassandre » dit Jacks.

LE JOUEUR N'EST PAS LOIN

PSEUDO : LO, LOIC, comme vous voulez :P. - AGE : 20. - Comment avez vous connu le forum ? : J'y suis inscrit depuis déjà un mois *o* Mais je le connais depuis bien plus longtemps ! - Avatar souhaité : Colton Haynes. - - Présence : Addict *-* 7/7. - - Le mot magique ? : : Dobby président !

Mes chéris (L). Je voulais m'excuser envers tous ceux qui avaient des liens avec Loras, qui l'appréciaient et tout. Mais je ne pouvais pas jouer avec lui, j'avais un blocage. Ce n'était pas un personnage construit comme j'aime maintenant les faire, plus un personnage de mon ancienne période rp où je faisais des personnages à la chaïne. Samuel Blythe remplace donc Loras Knight.

Safy elle va te sauter dessus, t,es consentant ? elle s,en fou en fait XD consentant ou pas elle va te sauter dessus

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bienvenue ici! Colton, c'est tellement un bon choix ça! trust me, he is no angel - samuel blythe 892513

Merci vous trois <3.
Je ferais un personnage d'enfer !
Je l'apprécie déjà, de toute façon
Oh, Ivy, tu le connais *-*

*ce releve et pousse Casti dans une falaise*

J'étais là en premier!

Ne vous battez pas voyons
Y'en aura pour tout le monde \o/

publiquement j'étais là avant tu peux rien faire!

tu va voir je vais me battre moi aussi

HOLLY CRAP C'EST SEXY JACKSON ( regarder Teen wolf vous comprendrez)
bienvenue, ou rebienvenue!

Re, rebienvenue :P C'est surtout sexy Colton

Bah je parlais de jackkson parce que c'est son perso adns une série mais bon oui sexy colton fait aussi!

Je sais, je sais . Merci à tous, en tout cas xd

de rien!!! mais t'as laisser tomber Loras?

J'ai bien peur, oui. Je n'arrivais pas à le jouer, il ne me plaisait pas. Désolé pour le groupe d'Hezekiah...

OMFG T'ES TROP SEXY trust me, he is no angel - samuel blythe 3141040118

reuh et je réserve un lien avec tout mes personnages trust me, he is no angel - samuel blythe 432337

Re-bienvenue et bonne chance pour cette fiche

Re-bienvenue ! trust me, he is no angel - samuel blythe 819337

Cassandre veut faire partie de ton harem aussi ! trust me, he is no angel - samuel blythe 986478

Re bienvenue ! trust me, he is no angel - samuel blythe 81441

Je ne connaissais pas ce Colton mais c'est un très bon choix, il a quelque chose d'interessant *-*
Aaaaah, né moldu en plus ! Il en faut, c'est parfait trust me, he is no angel - samuel blythe 221247

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R.I.P Loras (a)

Aurora Lucy Sweetlove a écrit:: Re-bienvenue !
Cassandre veut faire partie de ton harem aussi !

*lui donne un ticket* C'est le numéro #004, je crois xD

Merci Sienna (L). RIP Loras, en effet. Il est bel et bien enterré xd
CASTIEL trust me, he is no angel - samuel blythe 221247

God, j'aime ce gif trust me, he is no angel - samuel blythe 414145

Ca change du tout au tout, je le sens... je vais peut-être aimer, sûrement même trust me, he is no angel - samuel blythe 33844

Il faut prendre un ticket ? trust me, he is no angel - samuel blythe 194573

004 ? Nan mais oh, Cassandre est la fille des rêves de n'importe qui, en plus elle est célibataire Rolling Eyes

Je suis privilégiée ou sinon tant pis pour Samy.. trust me, he is no angel - samuel blythe 33844