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on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─ nelson weasley

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MessageSujet: on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─ nelson weasley    on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─  nelson weasley  EmptyLun 4 Juil - 19:37

Les vacances étaient désormais terminées, et je le regrettais. Je n’avais pas profité assez de ces deux mois qui m’avaient été offerts, j’avais ruminé seule dans mon coin et mon voyage au bout du monde avec Grayson ne m’avait pas permis de m’évader comme je l’espérais. A vrai dire, des sentiments de nostalgie et de tristesse m’avaient enivrée pendant toute la durée du séjour : pas un jour sans que j’oublie Reed ou Safire, et pas une minute écoulée sans que mes pensées n’aillent vers un certain Weasley et son sourire ravageur. Nelson. Son souvenir m’avait tellement oppressée que j’avais été prise de crises de démences et d’hallucinations en tout genre ; J’avais cru le voir à plusieurs reprises et tous les hommes qui lui ressemblaient par le style ou par les traits du visage avaient eu mon attention. Mais j’avais aussi craint que durant ses vacances, Nelson rencontre la fille de ses rêves, digne de mériter son amour de façon exclusive ; je m’étais surprise à maudire toutes celles à qui il aurait pu s’intéresser et j’avais prié chaque jour dans l’espoir qu’il pense à moi, peu importe le lieu où il se trouvait.

Mon air maussade en disait donc long sur mon état d’âme, je n’avais rien envie de faire. Je n’avais pas encore vu Nelson, mais j’en éprouvais le besoin. Je voulais savoir s’il était changé, différent. Il m’obsédait un peu plus à mesure que le temps passait et accaparait toutes mes pensées, sans relâche. Une solution s’imposait : je ne pouvais plus continuer à vivre de cette façon ; ne plus avoir de contrôle sur ma vie m’était insupportable. Mon cœur battait à la chamade. Je devais tout avouer sur-le-champ. S’en était assez de cacher n’importe lequel de mes sentiments sous prétexte de fierté ou d’orgueil. Nelson devait connaître la vérité, et s’il osait la raconter à ses amis j’étais prête à nier en bloc tout en arborant cet air faussement surpris dont j’avais le secret. Je soupirai, en réfléchissant à l’ampleur de la tâche.

Ce n’est qu’à treize heures que j’avais décidé de déposer une lettre dans la volière de Nelson. J’avais fermement pris le contrôle de ma main, bien décidée à écrire de la façon la plus lisible et régulière possible, tout devait être parfait. J’avais employé des mots que je n’utilisais pas souvent car je les trouvais trop beaux, je n’avais jamais voulu les user. Ainsi, mon but était de surprendre Nelson ; je voulais que chacun des mots imprimés sur le papier éveille en lui quelque chose qu’il n’avait jamais connu auparavant. Je m’étais appliqué, malgré mon apparente désinvolture.

« Cher Nelson,
Je désirerais te rencontrer dès 15h dans la salle vide – endroit détaché de la foule habituelle - afin que l’on puisse discuter d’un point qui me tient à vraiment cœur. J’assure que cela ne durera guère trop longtemps, tout en espérant que ton emploi du temps te permettra de m’accorder cet entretien essentiel.
Vitanie »

Ainsi j’avais poussé la porte de la salle vide quelques minutes avant l’heure du rendez-vous fixée. Je m’étais interdit d’arriver en retard. J’attendais donc sereinement, assise à même le sol, tout en triant les questions qui se bousculaient inlassablement dans ma tête. J’espérais que l’être aimé viendrait et je fantasmais sur le fait qu’il puisse m’aimer aussi ; cependant, j’exclus rapidement cette possibilité, Nelson ne s’intéressait pas aux filles de mon genre et j’en étais persuadée. On pouvait donc conclure que j’étais sur le point de subir la plus grosse humiliation de ma vie, un râteau en somme. Quand je lui avouerai, il me rirait au nez et s’empresserait de le raconter à tout son entourage avec une fierté non dissimulée. Si cette rumeur parvenait ainsi aux oreilles de mon frère, sans doute aurais-je l’envie de mourir sur place. « Depuis quand tu tombes amoureuse ? Et puis Nelson, c’est un sang pur, un tyran », j’entendais déjà mes amis m’assaillirent de mille et une question.

J’inspirai une grande bouffé d’air frais tout en attachant mes lourds cheveux blonds. Mes doigts commencèrent ensuite à se mouvoir nerveusement le long de mes cuisses. J’étais évidemment pleine de stress. Peut-être que j’allais me rétracter, m’enfuir en courant, m’échapper de cette atmosphère incertaine. Loin, très loin d’ici, parce que oui, j’étais apeurée et cela ne me ressemblait pas. Ah, ce Nelson…

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MessageSujet: Re: on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─ nelson weasley    on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─  nelson weasley  EmptyMar 5 Juil - 8:02

on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─  nelson weasley  Tumblr_lmy1ml5N0g1qlo3uro1_500
Vitanie et Nelson

Septembre, aujourd'hui était un jour spécial, enfin pas si spécial que ça car chaque année, j'avais la rentrée et c'était sans doute le jour ou je me dépêchais de déjeuner pour ne pas aller le quai 9/3/4. J'avais passé un été totalement différent des autres que j'avais pu passé jusque-là. L'été-ci, avait été froid et surtout pleins de mystère. Ce matin, je m'étais fais levé par ma mère et non par le crie du coq ou encore la sonnerie de mon réveil. D'ailleurs à mon réveil, j'entendis mon hiboux cogner contre la fenêtre, ça façon à lui de me saluer et j'ouvris la fenêtre afin qu'il se pose sur mon épaule pour le saluer à mon tour également. Je respirais l'air tiède, les chaleurs de cet été avait totalement fait brûler l'herbe et les végétations. J'entendis du bruit venant de l'extérieur, ça ne pouvait être que mon sataner père, qui ne s'occupait pas de ses affaires encore une fois car j'entendis la voix d'Atlance dans la maison. Atlance, le frangin qui m'avais trahit pour aller avec un minable sur trois pattes qui j'étais sur était le maitre de l'attenta de fin d'année au château. Je détestais les amis à mon frangin et cela ne changerait jamais. Je descendis dans la cuisine afin de prendre mon déjeuner et partir en direction de la gare pour prendre le Poudlard Express, express car j'étais vraiment pressé de revoir certaine personne, en partit une sur qui je n'avais pas arrêter d'avoir des images, comme des flashs sur elle. Arriver à la gare, je vis pleins de regard en direction de notre famille, bon sang que je n'aimais pas ça, si les autres me voyais, ils se fouteraint tous de moi ! J'avancea donc à grand pas n'aimant pas la compagnie et encore moins la famille qui m'entourais même si au fond de l'histoire c'était ma famille. En ce moment-même, j'étais habillé comme un satané moldu, un thee shirt noir avec un jean bleu clair et un pendentif que j'avais depuis mon enfance, que je n'avais jamais lâcher, c'était pour moi, comme un tiers de chance qu'il y avait dedans et qu'il me guiderais aussi loin que je le pouvais. Je monta dans le train en me vidant les regards des autres posés sur moi. Quand je passa les couloirs du train, tout le monde sans exception se recula afin de ma laisser passé. Mais qu'est ce que c'était bon ! En arrivant à Poudlard, il faisait jours et ça faisait un bien fou de rentrer chez sois. J'avais passé ma matinée à chercher je ne sais quoi, sans doute ma cravate que j'avais cru oublier sur mon lit mais quand faite elle était au fond de ma valise. J'avais enfin enfilé mon pantalon noir, ma chemise blanche et ma cravate aux couleurs de ma maison c'est à dire vert et argent. Il ne me restais plus cas mettre mes chaussures noir que j'avais pris soin de laver pendant les vacances afin qu'elle soit superbe à la rentrée. Il faisait bien de trop chaud pour mettre le pull noir par dessus la chemise et je pense que les professeurs comprendrons, du moins j'espérais. J'étais enfin prêt quand j'entendis des pas venir des escaliers de la salle commune. « Nelson, ramène toi, ont va tous dans le parc, à ce qui parait, les minettes ce font beaucoup. Il se pourrait même d'après ce que Asher ma dit, qu'il y avait une bande de Serdaigle en repos. » Ceci me fit titiller mon cœur et si Vitanie était l'haba? J'aurais l'occasion de l'apercevoir sans l'accosté. C'était plutôt pas mal comme solution. Je me mis en marche avec Amadeus qui était venu jusqu'à notre dortoir afin de me prévenir ou plutôt m'inviter à venir avec eux. Nous sortions des cachots afin de nous libérer dans le parc, la chaleur était intense et il fallait vraiment ne pas trop rester au soleil, moi qui détestait la chaleur, j'étais servis. J'arrivais enfin près des autres qui nous attendaient, je me posa sur l'herbe afin de voir si la personne que je recherchais était présente. Malheureusement sans succès pour moi. Je m'allongea donc sur l'herbe en regardant le ciel, les demoiselles autours de nous ne m'intéressais pas du tout et j'avais grandement envie de partir à la recherche de la Serdaigle qui comblait mes pensées. D'un coup, j'aperçu mon hiboux venir vers moi avec un mot, je ne connaissais point du tout l'écriture mais je me mis tout de même à lire, cela pouvait être une.... Non pas maintenant je pense mais j'étais prêt au cas ou. « Cher Nelson,
Je désirerais te rencontrer dès 15h dans la salle vide – endroit détaché de la foule habituelle - afin que l’on puisse discuter d’un point qui me tient à vraiment cœur. J’assure que cela ne durera guère trop longtemps, tout en espérant que ton emploi du temps te permette de m’accorder cet entretient essentiel.
Vitanie » Ce mot, ce message fut pris par toute mon intention, je me leva sans dire un mot, après tout je n'avais rien à dire. Je monta les escaliers afin de la retrouver, j'avais le cœur qui palpitait. Et si c'était un piège, si c'était simplement pour voir si je tenais à elle. Je ne savais même pas ce que je ressentais pour elle, c'était comme imprévisible, quand j'étais avec elle, comme la dernière fois, je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder de haut en bas car elle était bien foutue mais autrement... Vis à vis d'elle je ne savais pas. Peut être de la rancœur car elle ne prenait pas mon partit, celui des sang purs alors que son frère était de notre côter. Les gens me regardais et je prenais un malin plaisir à leurs jeter mon regard noir. J'arrivais enfin devant la salle vide. Je pris mon souffle et fis un premier pas mais ne réussis pas à entrer dans la pièce. Après tout, pourquoi voulait-elle me voir? Je ne l'avais pas accosté pendant toutes les vacances, ce n'était pas pour aujourd'hui en tout cas. J'entrais dans la pièce comme un garçon qui était énervé, qui avait de la haine contre elle et la seule chose que je lui sortis a été. « Je t'écoute » Mon cœur se mit alors à battre à toute vitesse, comme si elle me rendais fou. Je la regarda droit dans les yeux puis mon regard se laissa glisser de haut en bas. Etait-ce moi ou elle était devenue une femme? Je resta au pied de la porte et la ferma tout en ne lâchant pas son regard. Vitanie, si je pouvais en faire mon dessert, je le ferais.
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MessageSujet: Re: on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─ nelson weasley    on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─  nelson weasley  EmptyMer 6 Juil - 19:31

J’attendais et malgré mon air impassible, mon cœur battait comme jamais. J’imaginais toutes les possibilités de scénarios possibles, et je déplorais le fait que la majeure partie se finisse de façon si dramatique pour moi. Mais soudainement, un bruit lointain me tira de mes rêveries ; ça ressemblait à des bruits de pas. Ils avançaient lentement vers la salle mais s’évanouirent brusquement sur le pas. Je retins ma respiration. Une multitude de questions me traversèrent l’esprit avant que la porte ne grince et fasse ainsi apparaitre Nelson dans l’entrebâillement. Un bref silence s’en suivit. Son regard noir me transperça et j’eus la désagréable impression qu’il arrivait à lire en moi. «Je t'écoute » déclara-t-il finalement d’un ton glacial à souhait. Il avait été cassant et l’air contrarié qui marquait son visage n’indiquait rien de bon pour moi. Il me toisa une seconde fois de haut en bas avant de refermer calmement la porte. Il resta à une bonne distance de moi et je craignais de l’avoir énervé pour de bon. Il n’hésiterait sûrement pas à sortir sa baguette pour me lancer un de ces sortilèges qui foudroient sur place. Quelle connerie de l’avoir invité à une discussion, il allait me casser la gueule et c’était très clair dans mon esprit. J’imaginais bien la scène et les moqueries qui s’en suivraient lorsque toute la nouvelle se serait répandue dans le château. Ca faisait déjà plusieurs secondes que Nelson attendait une réponse or, j’ignorais de quelle façon j’aurais pu commencer, et à vrai dire mon cerveau semblait aussi tétanisé que mon corps. C’était plutôt inquiétant et je me mordis la lèvre inférieure. C’était la première fois que j’étais dans une position si délicate et j’en venais à regretter l’époque de mes huit ans, où rien ne m’importait plus que la couleur de l’élastique dans mes cheveux. Un soupir m’échappa et la seconde d’après j’étais debout, face à l’individu qui m’intimidait tant. Il était beau et séduisant & l’espace d’un instant, je songeais qu’un nombre incalculable de filles devaient être éperdument amoureuses de lui, personne ne devait être capable de lui résister, c’était impossible. Je jouais nerveusement avec l’une de mes mèches de cheveux lorsque je pris la décision de commencer, il était là pour m’écouter. « Je… » Bégayais-je. Les mots ne sortaient pas, c’était en vain que je tentais de m’exprimer, pourtant je n’avais pas envie d’être ridicule. Je m’en voulais d’être si déstabilisée, je me maudissais intérieurement. J’avais pensé à lui toutes les vacances et maintenant qu’il se trouvait devant moi, j’étais incapable de sortir un quelconque mot. Je ne pus réprimer un juron presque inaudible avant de tenter de me reprendre. Une grande bouffée d’air frais m’enivra lorsque je déclarais enfin « Pourquoi penses-tu que je t’ai donné rendez-vous ? » Ma première phrase. C’était une question totalement inutile, que j’avais prononcé avec un air faussement détaché, simplement pour meubler la conversation. J’aurais pourtant bien aimé me délivrer de mes sentiments si oppressants, tout dévoiler d’un coup. Nelson avait pris la peine de venir et cela m’avait étonnée, j’étais arrivée ici sans grand espoir et, je n’avais pas pensé une seule minute à la façon de formuler mes pensées, désormais je m’en voulais et renchéris « Je t’explique tout si tu promets que cette conversation restera secrète », je l’avais presque dit en chuchotant. Avant de faire ma déclaration je voulais m’assurer que Nelson ne m’humilierait pas plus tard. C’était déjà assez compliqué pour moi d’être devant lui et à vrai dire, à mesure que le temps passait, je me demandais de plus en plus si je devais réellement lui avouer la raison de cette rencontre : j’avais plusieurs mensonges en tête qui me permettraient de m’échapper de cette situation désastreuse.
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MessageSujet: Re: on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─ nelson weasley    on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─  nelson weasley  EmptyJeu 7 Juil - 8:54

« Je… » Je? Alors c'était tout simplement ce qu'elle avait à me dire? Je devais certainement deviner ce qu'elle voulait me dire non? Et je pouvais imaginer des tas de fin comme par exemple je... Je vais bien, oui tout va bien content pour toi ou alors encore je vais y aller, ah non tu ne ma pas fais venir pour rien ! Maintenant que je suis là elle devra me parler avant que je m'ennuis de sa présence ! J'aurais très bien pu rester avec ma bande de camarades à profiter de la chaleur provenant tout droit des rayons du soleil mais non, des que j'avais eu cette lettre entre mes doigts, je n'avais eu qu'une envie c'était de la retrouver alors que beaucoup de chose avait changer dans ma vie. Cette été, si quelqu'un avait su, plus personne ne m'aurais adresser un quelquonc regard, car j'étais encore plus froid et plus méchant avec les gens. Je faisais partis du mal, j'étais le diable en personne et la seule chose de bien que je savais faire était la souffrance. Si la belle blonde en face de moi savait réellement qui j'étais, elle se serait enfuis des en me voyant arriver à cette porte. J'avais le coeur battant sans vraiment le savoir pour l'expliquer, ceci était incontrolable, pourtant, j'avais eu des demoiselles de Poudlard dans mon lit et jamais je n'avais ressentis un quelquonc battement de coeur. « Tu? » J'étais pourtant connu enfin assez pour savoir que chaque demoiselles à Poudlard passaient dans mon précieux lit. Peut être n'était-elle pas au courrant, mais je pense que plus tard elle l'apprendra et en serra encore plus déçu. J'avais mon regard de braise, mon regard noir dans le sien, j'étais comme paralyser du regard quand elle était présente. C'était pareil quand nous prennions nos repas chacun à notre table respective. J'esseyais toujours de voir si elle était présente, avec qui elle était et malheureusement elle avait toujours des regards porter par d'autre mec du château qui était encore plus con et plus immature que moi. D'ailleurs, quand un garçon de sa table la regardait, j'avais une envie de lui sauter au coup ! Comme pouvait-il la regarder comme un morceau de viande tout simplement ! C'est moi qui dit ça ! Ca devient grave ! « Pourquoi penses-tu que je t’ai donné rendez-vous ?» Cette phrase sans doute impossible à y répondre, à vrai dire je ne savais pas pourquoi elle m'avait donner rendez-vous et encore moins pourquoi j'y étais venu sans trainer des pieds. D'ailleurs, si cela avait été une autre demoiselle je n'aurais même pas pris la peine de venir, j'aurais simplement déchirer la lettre ou je l'aurais passer à un de mes camarades avec qui je trainais quelque minutes plus tard au parc. J'étais toujours au pied de la porte, je n'avais pas l'intention de bouger avant qu'elle ne met dit ce qu'elle avait à me dire. Je sais que cela n'était pas très bien élever, que j'aurais certainement du aller vers elle, mais je n'étais pas un garçon raisonable, d'ailleurs j'étais sans doute un des garçons les plus détestables à Poudlard et ça par contre, elle le savait et grâce à ce qui c'était passer cet été, je deviendrais sans doute plus tard, dans les années à venir le prince de Serpentard, du moins j'espérais. « Non justement, je ne sais pas pourquoi tu ma fais déplacer ici. Et j'espère que ta une bonne raison » J'avais dis cela toujours aussi froidement, c'était comme une prévention. Mais quelque chose ce passa au même moment ou j'avais dis ça. Ma langue passa doucement sur ma lèvre inférieur, c'était une sorte de tic que j'avais depuis ma quatrième année. Cela n'arrivait pas souvent et puis c'était vite fait alors je ne pense pas qu'elle avait pu voir quoi que ce soit. La plupart des demoiselles à Poudlard trouvait ça sexy, moi je trouvais cela plutôt nul, car cela voulait dire que j'avais soit envie de l'embrasser, chose qui n'était pas raisonnable avant tout ou soit... Soit je sais même pas. Vitanie était la soeur de Grayson avec qui j'avais une bonne relation amical et je ne pense pas qu'il ait vu quoi que ce soit vis à vis de mes regards pour ça soeur. « Je t’explique tout si tu promets que cette conversation restera secrète » Etait-elle folle pour me dire de promettre quoi que ce soit? Cela ce voyait comme son nez au milieu du visage qu'elle me connaissait vraiment très mal. C'était dans le fond des yeux que je la regardais, avec mon regard de braise je voulais qu'elle fuit, qu'elle crie de souffrance pour que je puisse m'enfuir, partir, loin d'elle car c'était un calvaire d'être devant elle, pas en mal justement en bien. Je repassa ma langue sans m'en apercevoir sur ma lèvre inférieur. Bon dieu que m'arrivais-t'il? Aurais-je envie de l'embrasser? Non impossible ! Je me posais une seule et unique question. Pourquoi ce qu'elle s'apprêtait à me dire devait rester secret? Aucune conversation à Poudlard ne restait réellement secrète. Mais je fis ce que je devais faire avec sincériter. « Ta ma parole. » Et le pire dans tout ça, c'est que j'étais vraiment sérieux. Que m'arrivais t'il? Pourquoi devenais-je sérieux avec elle? Alors qu'il y avait des tas de filles à Poudlard, dans la château, aux environs. Pourquoi elle et pas une autre? On ne choisit pas la personne pour laquel le coeur bat. C'est bien connu.
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MessageSujet: Re: on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─ nelson weasley    on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─  nelson weasley  EmptyVen 8 Juil - 15:48

Nelson humecta délicatement ses lèvres du bout de sa langue, un geste anodin qui fit frémir Vitanie, toute émoustillée. Malgré le fait que ses pensées étaient embrouillées et cachées sous un épais brouillard il n’en demeurait pas moins qu’elle pouvait affirmer sans l’ombre d’un doute que M. Weasley était des plus sensuels (à vrai dire c’était la seule chose dont elle était sûre à ce moment là). Il ignorait la raison de sa présence ici et fait paradoxal : cela soulageait profondément Vitanie qui ne désirait en aucun cas qu’il soit alerté par ses sens ; cependant l’anxiété était toujours à son apogée et oppressait les moindres parties du corps chétif de la jeune fille. Ainsi, la serdaigle se dandinait nerveusement devant l’homme ; son attitude était clairement ridicule et elle se surprit elle-même car elle n’avait jamais aimé les niaiseries, les rires débiles et forcés et encore moins les demoiselles qui se mouvaient de manière grotesque à cause d’un stress mal contrôlé, or Vitanie répondait en ce moment-même à tous ces critères et peut-être que si Nelson avait dit blague – bien que le moment soit inapproprié – elle aurait rit à la manière de ces filles superficielles devant de beaux mâles séduisants. En clair, Vitanie Jane Whistles-Pond était changée, Nelson pratiquait sur elle une attraction dont elle ne pouvait se défaire et ce bien malgré elle, car si elle avait pu se débarrasser définitivement de ce sentiment si gênant qu’on appelle ‘’l’amour ‘‘, elle l’aurait fait volontiers. Heureusement, il avait promit de ne rien dire et il avait l’air assez sincère, son visage avait semblé moins dur et âpre au moment de sa promesse : chose qui signifiait clairement que Nelson pouvait être ‘’sympa’’, voire même ‘’compréhensif’’ à ses heures perdues. Fait remarquable. D’ailleurs, s’il avait été un peu plus tolérant et un peu moins vaniteux, Vitanie aurait bien voulu l’épouser sur-le-champ puisqu’il serait alors devenu l’homme parfait. Ainsi, la délicieuse blonde se mit à fantasmer sur son mariage avec le garçon et elle avouait intérieurement que le nom de ‘’Weasley’’ lui irait parfaitement bien. Vitanie Jane Weasley, c’était absolument parfait et elle ne put réprimer un sourire de satisfaction à cette pensée. Elle reprit tout de même son sérieux lorsque Nelson la jaugea une énième fois, son regard noir la transperçait de toutes parts, c’était une impression si désagréable que Vitanie détourna les yeux et baissa la tête. Elle n’osait plus jeter le moindre coup d’œil à l’homme qui se trouvait devant elle & elle regarda le sol plusieurs secondes avant de soudainement virevolter jusqu’au fond de la salle, le plus loin possible de Nelson. Elle se mit dos à lui et jaugea le mur qui lui faisait désormais face, elle essuya son front d’un revers de manche et déclara d’une voix nette, bien que quelque peu déformée par l’anxiété « Je vais tout te dire d’ici parce que ça me dérange de te voir me regarder. Reste à la porte et écoute bien, je ne le répéterai pas. » Vitanie avait opéré de la même façon lorsqu’elle avait eu à parler de choses délicates avec Reed l’année précédente. Ainsi, elle n’avait plus à faire face à son interlocuteur et à ses regards intrigués. Être devant ce mur immaculé lui redonnait partiellement confiance en elle. Elle inspira et se racla la gorge, à la manière des grands orateurs qui s’apprêtent à faire des discours. « Je crois que je ressens quelque chose de bizarre pour toi », elle était assez vague et arrivait à imaginer l’incompréhension de Nelson à ce moment-ci, elle reprit – avant qu’il n’ait pu dire quoi que ce soit « Quelque chose de plus fort que de l’amitié ou de la haine. C’est étrange, et ça m’enivre». Elle ne désirait pas en dire plus, Nelson n’avait qu’à en tirer les conclusions évidentes. Vitanie se sentit soudainement débarrassée d’un poids qu’elle trainait depuis plusieurs mois déjà. Elle restait cependant face au mur blanc et ne décrocha plus un mot. Bientôt plusieurs questions vinrent se poser à elle ; Nelson allait-il s’enfuir ou rire de cette annonce pour le moins particulière et inattendue ? Vitanie haussa les épaules d’un air las, elle ignorait tout de l’expression que le Weasley arborait et à vrai dire, elle ne voulait pas le savoir pour le moment. Elle attendait patiemment sa réaction, bien qu’elle avait l’impression d’avoir signé son arrêt de mort.

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MessageSujet: Re: on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─ nelson weasley    on ne peut pas empêcher un coeur d'aimer. ─  nelson weasley  EmptyVen 8 Juil - 18:16

J'aurais pu être un jeune étudiant tout à fait normal, travaillant jours et nuit pour devenir plus tard un avocat connu mais non, j'avais toujours la sensation de vouloir plus encore et encore. Je savais que si je n'avais pas d'objectif dans ma vie, je serais un paumer, le paumer de Poudlard. Ce que j'avais de plus que les autres membres de ma famille, c'était le pouvoir que je m'étais ici, pendant plusieurs année de preuve aux côter des plus grands tel que Black, Nott, Crabbe et j'en passe mais surtout, l'immensse fierter et honneur que je portais à mon nom. J'étais peu être un Weasley mais j'avais toujours prouver de mon côter que j'étais un vrai sang pur, jouant avec les sang de bourbes tout en prennant plaisir à les avoirs dans mon lit. Cette après midi, je n'avais eu qu'une envie, c'était de l'avoir elle, juste un regard malheureusement même dans la matinée je ne l'avais pas aperçu, rien, reviendrait-elle à Poudlard cette année après l'attenta de fin d'année? Je l'espèrais car toute mes pensées lui étaient destinées pendant deux mois entiers. Vers quatorze heure trente, j'avais reçu un hiboux, pendant que j'étais dans le parc avec ma bande de camarades, ils étaient ringard à regarder toutes les nanas du parc, la meilleure vue qui puisse exister n'était pas ici. D'ailleurs celle-ci m'avait donner un rendez-vous et j'étais partis directement en direction de la salle vide afin de ne pas être en retard. Je devais bien l'avouer, elle m'avait manquer. Arriver dans la salle, mon coeur c'était mit à battre, mon dieu, pourquoi faisait-il ça face à elle. Nous avions commencer à parler, enfin je lui avais promis de ne pas parler de la discution que nous aurions des à présent. Si quelqu'un savait que je parlais à la soeur de Grayson, c'était fini pour moi, enfin je crois. Après lui avoir fait la promesse de ne rien dire et de ne pas en parler à qui que ce soit, elle c'était mise dos à moi. Pourquoi faisait-elle ça? Je n'allais tout de même pas lui sauter dessus et de m'en faire un dessert même si l'occasion était bien-là et que j'étais tenter. « Je vais tout te dire d’ici parce que ça me dérange de te voir me regarder. Reste à la porte et écoute bien, je ne le répéterai pas. » Sa voix n'était pas net, elle tremblait de la voix. Mais qu'avait-elle? Pleurait-elle? Avait-elle peur de moi? Rien cas cette pensée j'en souriais. Seulement, la façon dont elle bougeait n'était pas clair. Avait-elle en faite des fourmies dans les jambes? Elle ne tenait pas en place et c'était bien la première fois que je voyais quelque chose comme ceci. Sa tête était en direction du mur, comme-ci c'était mieux de regarder quelque chose qui n'existait pas plutôt que de me regarder moi. J'attendais qu'elle me dise directement ce qu'elle avait, mais le fait que je dois rester ou j'étais, c'était peut être parcequ'elle savait que cela m'énerverais non? Mais le reste me surprena encore plus. « Je crois que je ressens quelque chose de bizarre pour toi Etait-elle sérieuse ? Mon regard était alors vers elle, si elle n’était pas celle que j’espèrais avoir dans ma vie, je me serais sans doute barrer en lui disant un simple ouais. Un peu du genre un je m’en fou, tu ressens ce que tu veux, j’ai pas besoin de toi dans ma vie. Mais non, je restais-là parceque je le voulais parceque j’avais envie de savoir la suite. Mais le fait qu’elle ressente quelque chose pour moi était bizard, oui très bizard. Ont c’étaient parler peu de fois et l’ont se détestaient. Enfin, j’attendais dans savoir plus pour pouvoir tirer une conclusion. « Quelque chose de plus fort que de l’amitié ou de la haine. C’est étrange, et ça m’enivre». Quelque chose de plus fort que la haine et l’amitié ? Je ne voyais pas vraiment ce que cela voulait dire. Est-ce que cela était réellement possible ? Ou était-ce simplement notre imagination à tous ? Peut être qu’elle ressentait tout simplement les mêmes symptômes que moi. Elle était toujours face au mur blanc, mais que pouvait-elle ressentir en réalité. C’était la question que je me posais à l’instant même ou mes pas ce fit entendre dans la pièce. J’avais pris mon souffle afin de me rapprocher d’elle, pourquoi ? Je ne savais pas, mais j’avais envie dans savoir plus, plus sur ce qu’elle ressentait. A présent, j’étais proche d’elle, elle m’avait pourtant bien dit de rester auprès de la porte mais je m’en fichais royalement. J’avais besoin de sentir son parfum, de la sentir respirer. « Et tu as le coeur qui bat vite. Tu ressens comme des pulsions. La nuit, tu es hantée par des rêves qui parfois, ta l'impréssion que ce n'ai qu'une réaliter. Tu cherche la personne un peu partout dans chaque endroit ou tu fais apparition. Tu ressens de la haine quand cette personne est avec quelqu'un d'autre. » Je voulais savoir si elle ressentait la même chose que moi, si je n'étais pas le seul dans le monde et dans le château à ressentir ça. C'était étrange et c'était la première fois que j'avais peur.
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