J'ai pris le train... en direction du coeur

Chaque fois mon coeur qui déraille

Premier Septembre. Pour beaucoup, ce n'est rien de plus que le premier jour du mois. Mais pour moi comme pour n'importe quel sorcier ce n'était pas un jour ordinaire. Pour moi c'était aujourd'hui le jour du retour au château de Poudlard pour la douzième fois. Rien d'affolant me diriez-vous quand c'est votre douzième. La routine.? En réalité cette année, tout serait différent. Cette année, les nombreux meurtres de Poudlard dans l'an dernier seront présent dans tous les esprits. Cette année, j'étais devenu un mangemort. Cette année, à poudlard, j'accomplirais une mission pour le seigneur des ténèbres ou même plusieurs. Cette année adieux Elias... adieux les jolies filles car maintenant, je suis marié. C'est d'ailleurs avec Izer que j'ai pris le train, ma douce femme.
Lorsque le train arriva, je la laissa partir, lui disant que j'avais besoin d'être un peu seul, de réfléchir.... me cachant derrière l'excuse Ramsey. Mais en réalité, j'espérais croisé Elias, lui dire que je ne l'avais pas oublié... que je l'oublierais jamais. Lui dire que je l'aimais. Je parcouru le train en vain, je ne le trouvais pas.... lorsque le train siffla le départ, je sortis à toute hâte pour aller prendre les calèches. Quelques wagons plus loin, une fille fit de même. Il me fut moins de deux secondes pour reconnaitre mon ex petite amie Jillian Rose Lestrange On dit que les histoires d'amours, parce qu'elles sont des histoires ,comme toutes les histoires, elles doivent avoir un début, un milieu et une fin. Pour ce qui est du début, Toutes les histoires, commencent pareil ,rien de nouveau sous la lune,pour qu'une étoile s'éteigne,il faut qu'une autre s'allume, toutes les histoires commencent pareil, rien de nouveau sous la lune mais toutes les histoires ont leur histoire et voilà celle de Damon et Rose. Damon, le démon, celui qui vous veut du mal. Rose, la petite fleur, si belle et si fragile, rien que leur prénom semblait les opposer, rien que leur prénoms semblaient leur interdire de s'aimer. Mais non n'écoutez pas ce qu'on vous raconte, l'amour y'a que ça qui compte.... on s'aime s'y fort et pourtant doucement, sans même le vouloir, on passe du coeur à la mémoire; C'était exactement ce qui m'était arrivé avec ma Rosie. J'ai l'impression que cela fait des années qu'on s'est aimé. J'avais 15 ans lorsque j'ai réalisé à quel point je l'aimais, j'en avais 17 lorsque doucement par la volonté de nos parents, nous sommes glissé d'un amour infini, à un amour interdit. Pourquoi parce que ce n'était pas ce qui avait été prévu. C'est surtout pas ce que voulait Sinistra Lestrange? Pourquoi s'opposait elle tant à ce mariage? Surement des histoires qui doivent remonter au temps ou Sinitra , Walburga, Orion et Mr Lestrange étaient au même à Poudlard. Mon père avait été prêt à stopper les négociations avec les Rosier afin que je puisse épouser Jillian, ma petite Rosie, ma Rose. Mais Sinitstra avait tout fait pour empecher ce mariage. C'est comme ça qu'on s'est quitté elle et moi. On a simplement arrêter de s'aimer comme on avait commencé. Au début cela a été dur.... c'était le milieu. Une période ou on passait notre temps à s'éviter ou à s'ignorer afin d'oublier qu'on s'aimait. Je me souviens de cette période, je passais mes journées à lui écrire des lettres, des lettres dans lesquelles je lui criait mon amour, mon envie de m'enfuir avec elle loin d'içi, loin de nos parents et de nous aimer librement. Des lettres que je n'ai jamais osé lui envoyer mais des lettres que j'ai toujours conservé. Puis il y'a eu la fin, cette période ou on est tout simplement devenu ami. Car l'amour, la haine et l'amitié ne sont qu'un seul et même sentiment qui selon son intensité change tout simplement de nom. Mais ceux qui disent que les histoires d'amour ont un début, un milieu et une fin. ont tord, oui les histoires d'amour sont des histoires, et après l'histoire, il y'a souvent une autre histoire. Oui lorsqu'on a fini de tourner des pages, ont ferme le livre mais parfois on ouvre un autre livre. Ils devraient dire, les histoires d'amour, ont un début, un milieu, une fin... et une suite. Si on ne peut pas changer l'histoire, on peut en écrire la suite, et la notre, la notre à commencé le jour ou j'ai épousé Izer Rosier. En épousant Izer j'ai définitivement fermer le livre de notre histoire. Etait-ce une erreur? Je ne sais pas. Lors de mon mariage...pendant quelques secondes j'avais espérer qu'elle se lève et s'oppose à ce mariage mais il n'en fut rien.

J'étais la sur le quaie, je la regardais descendre, sa longue chevelure blonde brillant avec le soleil. Elle était aussi belles que dans mes souvenirs. En parlant de souvenirs, en voilà un qui me revient.

♠♥ FLASHBACK ON ♥♠

C'était un jour comme les autres, cela faisait déjà plusieurs jours que l'on savait que nos parents n'acceptaient pas notre union en fait cela faisait même quelques semaines.Et pourtant entre nous rien avait changé, du moins je le croyais.... jusqu'à qu'on parle dans la volière. Endroit que je trouvais romantique jusqu'à ce jour.....
" Je pars Amadeus, je te quitte, je crois qu'il faut avoir le courage de nous séparer tant que notre amour veut encore dire quelque chose... " les paroles de la jeune fille avait eu l'effet d'un doloris sur moi, ou d'un sectusempra en plein coeur. Comment pouvait on dire à quelqu'un qu'on le quittait, parce qu'on l'aimait? Est ce une raison ça. Non c'est de la déraison. Je laissais échappé un rire ironique avant de lui dire de ne pas me quitter, avec mon tact et surtout mon orgueil habituel : " Pourquoi tu me quitterais, je suis parfait...", tel un revolver son regard se plongea dans le men et après quelques instant de silence , minutes infernales, elle me jeta de nouveaux sortilèges impardonnables..." Parce que j'ai une vie à vivre, moi. Ce sera avec toi, ce sera sans toi, mais ce sera pas entre les deux... ". Entre les deux c 'était exactement ou on en était. Nous voulions être ensemble elle et moi, mais nous ne le pouvions pas car chez les sangs purs, il n'a jamais été question d'amour, il a toujours été question de mariage. Mais à cette instant, je n'hésitais pas et je lui demandais de rester, de rester avec moi. " Alors vie ta vie avec moi, ne la vie pas sans moi, car sans moi elle n'aurait pas de sens" ," Amadeus, tu sais très bien que ce n'est pas ce qui est convenu, et j e ne peux aimer ce qui ne convient pas.... " Mais je t'aime, c'est ce qui compte que je t'aime ma voix était de plus en plus tremblante. Elle était la première personne à qui je faisais une déclaration d'amour, c'était aussi la première fille qui me quittais. C'était moi qui jouait avec elles d'habitude, c'était moi qui jouait impunément avec leur coeur innocent, qui jouait contre elle, mais la c'était elle qui menait la danse, et c'était elle qui me réduisait à rien de plus qu'un coeur fragile, me révélant, révélant aux yeux du monde, que j'en avais un." Non tu ne m'aimes pas... " ce mot était comme un avada kedavra...que disait elle..." Non ! tu ne m'aimes pas... pas comme il faut qu'on aime " Je voyais très bien ou elle voulait en venir à la difficulté de l'amour et de l'amour soi. Elle me sacrifiait , sacrifiait notre amour, pour son amour propre, pour ne pas décevoir ses parents, je soupirais et lui répondait la voix tremblante Je souhaiterais que le ciel en naissant, ne te donna rien, que tu n'ai ni rang, ni naissance, ni biens et que j'eusse la gloire de te voir tenir tout des mains de mon amour. On était la tout les deux à se regarder, c'était finis, c'était la fin, mais j'étais bien trop orgeuilleux pour la laisser gagner la partie, alors je la plaqua contre le mur de la volière, nos deux corps étaient à quelques centimètres seulement, mon souffle caressait son visage, je la torturait comme elle m'avait torturé..." Je t'oublirais, Rose, je t'oublie déjà...." je la fixais de mon regard cruel " Regarde comme je t'oublie, je t'oublie, REGARDE MOI.. lorsque son visage se releva, et que ces yeux vert se posèrent dans les miens, je l'embrassa tendrement et passionément. Je la torturait de mes baisers qui laissaient à désirer....mon corps tout entier. C'est horrible, je commence à moins bien me souvenir de toi, je commence à t'oublier même si je tremble d'avoir à oublier tant d'amour je l'embrassais a nouveau, encore et encore, mes larmes roulant le long de ses joues....puis nos lèvre se séparèrent...d'un mouvement de paupière je séchais les dernières larmes puis je la fixa cruellement tout en me reculant...". Tu n'es plus rien pour moi... merci de m'avoir guéri de mon obsession de l'amour " C'est à ce moment très précis que je suis parti la laissant seul, et c'est la que j'aurais aimé qu'elle me dise de rester. Mais il n'en fut rien, parce que c'était la fin.

♠♥ FLASHBACK OFF ♥♠

Chaque fois que je la voyais, ce souvenir me hantais. Chaque fois , je me demandais ce qui ce se serait passé si j'avais eu le courage de me battre pour elle. Est ce que l'on ce serait marié? Est ce que j'aurais eu un jour des sentiments pour Artemis? Et surtout aurais-je aimé Elias? Je ne pense pas. Je me mordais la lèvre en la regardant et regarda ma bague. J'avais fait à Elias exactement la même chose que ce qu'elle m'avait fait. Je l'avais quitté pour obéir à mes parents. Pour épouser qui ont me disait d'épouser. Moi qui avait tant critiqué son choix. J'avais agit de la même façon. Il parrait qu'on reproduit les réactions de ses exs dans une relation. C'est surement vrai. Une chose était certaine. Même si j'amais Elias de tout mon coeur. Puisque je devais épouser un sang pur, j'aurais préféré que ce soit Rose plutôt qu'Izer. Mais le fait qu'après les scandales que j'ai crée avec Elias, épouser la fille du ministre était la meilleure chose à faire pour redonner à mon nom ses lettres de noblesse. Ce plan était parfait si Rosier père n'avait pas été tué pendant l'été. Je souriais à Jillian-Rose.

Laisse moi t'aider avec tes valises dis-je en saisissant deux de ses malles. Lui adressant ce sourire charmeur dont j'avais le secret.

1757 mots

i'm so sick of our whole story

Repartir à Poudlard après les vacances d'été était, cette année, un certain défi. Les choses avaient bien changés. Les attentats d'avant le break avaient marqués les esprits. La mort de plusieurs élèves restait dans les mémoires. Même l'ambiance à la maison avait été différente. Ulysse et père s'étaient lancés dans quelque chose. Quelque chose de grand et d'important. Le seigneur des ténèbres était impliqué dedans. J'ignorais ce dont il s'agissait, mais je n'avais aucun doute que je le découvrirais assez prochainement. Très prochainement, sans doute. Quoi qu'il en était, je savais que mon frère était un élément important. Je savais que ma mère s'inquiétait. Et je savais que les choses allaient changer.
1er Septembre. La vie est étrange, parfois. Je ne savais pas trop ce qui m'arriverait. Mais j'y allais pleine d'ouverture. Je savais que tout changerais, tôt ou tard. Et cette fois je ne serais pas une perdante. Définitivement pas. L'été avait apporté des changements. L'annonce, définitive, de mes fiançailles à Isaac Rosier. Parce que « il était temps d'officialiser tout ceci » Finalement ma mère avait obtenue ce qu'elle voulue. Nous éloigner des Black. Même si Izer avait épousé Amadeus, ce qui reliait à nouveau nos familles, moi, Jillian-Rose, j'épouserais Isaac Rosier. Nous étions parfait avait déclaré nos parents. Nous serions donc un couple parfait. Nous le savions depuis un moment, mais devoir l'afficher était récemment. C'était donc seule que j'avais assistée au mariage d'Amadeus et d'Izer. Enfin, seule... Au côté de mes parents et de mon insignifiant de frère. Je l'avais observé, mon ancien amour. Triomphant, glorifié par ses épousailles avec la fille du ministre. J'avais toujours haïs Izer. Elle n'était plus, et n'avais d'ailleurs jamais été, digne d'être mon amie. Je ne la fréquentais plus. Point.
Il était trop tard. Il avait été trop tard le jour où il avait dit qu'il m'oublierait. Ce jour où j'étais restée seule dans la volière, perdue, détruite. J'étais une enfant, à l'époque. Aujourd'hui j'étais une jeune femme plus belle, plus forte, plus fière. Différente. Je marchais la tête haute, j'ignorais l'inconvenable. J'étais une digne fille Lestrange. Quoi que pouvais en dire mon frère, j'étais une Lestrange à part entière. Je méritais mon titre. Et je méritais d'être fiancée à l'un des fils les plus influents d'une famille de sang pur. Même si je détestais le fils en question. Alors j'avais fait le deuil d'Amadeus. Je l'avais haïs autant qu'Ulysse. Je l'avais ignoré, j'avais oublié jusqu'à son visage. Parce qu'en réalité, le premier amour nous blesse toujours. Les rumeurs sur ce sang-mêlé avait achevé l'opinion que j'avais de lui. Une relation charnelle avec un sang-mêlé ? Ce jour l'a j'avais oublié le garçon que j'aimais pour découvrir un homme que je dédaignais. J'avais grandi, sans doute. Amadeus était une histoire ancienne.
Pourquoi pensais-je à lui d'ailleurs ? Parce qu'une « amie » m'avait demandé, pendant notre voyage vers Poudlard dans le train, ce qu'Amadeus pensait de mes fiançailles à Isaac Rosier. Pour être honnête avec elle, je ne pouvais que répondre que je l'ignorais. Je ne lui avais pas reparlé depuis un moment. Je l'avais brièvement vu à son mariage. Avec un sourire forcé et un « tu es magnifique » hypocrite adressé à Izer. Mais rien de plus. Mes fiançailles avaient été annoncées quelques temps plus tard, mais ni Amadeus ni Izer n'y avait montré leur nez. J'avais même un doute sur leur présence dans la liste des invités. Je m'étais contenté de revêtir une belle robe et de sourire à tout le monde ce jour. Mes fiançailles avec Isaac avaient été fragile, jusqu'à la mort du chef de famille des Rosier. Cette « tache » ayant été transférée à Phineas, je craignais dorénavant peu pour mon avenir. A l'été prochain je deviendrais une Rosier. A ma sortie de Poudlard j'emménagerais définitivement dans un manoir où je n'aurais pour tache que de produire un héritier le plus rapidement possible. Et je deviendrai comme ma mère. Triste avenir.
Arrivée à Pré au Lard. Mes amies quittèrent rapidement le wagon. J'y accordais plus de temps. Peut être pour garder un peu de temps pour moi. Pour réfléchir. Je finis par descendre, époussetait ma robe. Alors que je relevais la tête, le visage d'Amadeus vint se heurter à mon regard. Parfois mes pensées étaient bien trop proche de la réalité. Il proposa de m'aider avec mes malles et effleura ma main en attrapant l'une d'elle. Plus de décharge électrique. Plus maintenant. Mais toujours cette sensation de brulure à l'endroit où sa main avait touché la mienne. Je ne devais pas. A cette main brillait la bague de fiançailles aux armoiries des Rosiers. Rappel de ma malédiction. Symbole d'une fin annoncée depuis trop de temps. « Merci » Répondis-je simplement. Tenir une conversation de banalités avec Amadeus était hors de mes moyens pour le moment. Que devrais-je faire ? Lui demander des nouvelles de sa femme ? De sa nouvelle vie d'homme marié ? Je m'en foutais. Il n'était plus rien. Je voulais m'en convaincre. Je ne voulais pas me dire que j'aurais dû être à la place d'Izer. Je ne voulais pas penser que j'aurais pu remonter l'allée souriante pour me voir offerte à Amadeus. Je ne voulais pas penser que ça aurais du être moi sa promise. Celle qu'il entretiendrait. Non. Ce n'était pas moi. C'était Izer Rosier Black. Moi je deviendrais une Rosier. La femme d'Isaac. Alors regarder Amadeus maintenant était douloureux. Certains souvenirs ne s'effacent jamais. Le savait-il ? Y avait-il seulement songé ? Je l'ignorais. Et j'ignorais si je voulais en connaître la réponse.

927.

Il y'a l'amour, et il y'a la vie son ennemie

On dit que le hasard fait bien les choses. A cet instant précis, je ne serais vous dire si je suis en accord avec une telle affirmation ou si au contraire, je la trouve totalement insensé. En effet, parmi le nombre inimaginable de sorciers et sorcière qui fréquentent cette école, il avait fallu que je me retrouve seul avec mon ex petite amie, sur un quai de gare. Etait-ce une bonne chose? Je n'en étais pas si sur. Si tout semblait être comme avant, aujourd'hui tout était différent. Cette différence avait un nom: Le mariage et pour nous deux, le mariage embrassait le noble nom de Rosier.
Bonne chose ou pas, j'étais seul avec elle alors autant lui parler surtout qu'on a des choses à se dire. En tout cas moi j'ai des choses à lui. J'ai des questions qui me pèsent souvent, dès questions auxquelles j'aurais besoin d'avoir des réponses. C'est ainsi, que la démarche hautaine comme à mon habitude, je m'avança vers cette fille à la beauté fatale, puis un sourire au lèvre lui dit Laisse moi t'aider avec tes valises. Je n'attendis aucune réponse de sa part pour agir et m'empressa de me saisir de ses bagages. Alors que ma main voulait saisir la poignée de sa malle, elle frolla celle de Jillian-Rose. Cela me fit comme un électrochoc, j'avais envie de serrer cette main, une dernière fois, y renoncer pour toujours même si je l'avais en réalité déjà fait le jour où j'avais épouser Izer.

Avait elle ressentie la même chose au contact de ma peau. A en juger par son regard, on ne dirait pas. Mon regard se posa sur sa main à laquelle brillait une magnifique bague de fiançailles dont je reconnus les armoiries, celles des Rosiers. La vue de cette bague me propulsa tout droit au jour de mon mariage.

♠♥ FLASHBACK ON ♥♠

Nous étions quelques heures après qu'Izer et moi ayons échangé nos voeux, que nous nous soyons dit oui pour la vie. Oui, qu'on soit bien d'accord chez les sorciers de sangs purs le divorce n'existe pas, à moins que la femme commette un adultère mais ce serait un suicide sociale pour elle. Elle perdrait tout ce qu'elle possède. Alors que le buffet était servis et que les invités tous vêtus de costume plus resplendissant les uns que les autres, venaient entre deux amuses gueule me féliciter et me faire part de leur voeux de bonheur, chose de laquelle je me lassais, Issac Rosier finit par s'approcher de moi à son tour.
" Toutes mes félicitations « cousin »... puisque c'est ce que nous sommes maintenant.... me lançait d'un ton sarcastique, celui qui dans mon enfance avait été l'un de mes plus proches amis mais qui avec le temps était devenu un rival. En effet, on avait grandit ensemble en France et c'était le seul sorcier de sang pur que je fréquentais depuis ma plus tendre enfance... Lorsque j'étais entrer à Poudlard, j'étais tellement content de me retrouver dans la même maison que lui. Pourtant avec le temps notre amitié à dégénérée et ce à cause de deux sublimes créatures qui répondent au noms de Jillian-Rose Lestrange et Rémy Jean Goyle. Au jour d'aujourd'hui, je ne serais même plus vous dire ce que c'est que d'être ami avec lui. On passe notre temps à se chercher, à s'humilier. Mais revenons à nos moutons ou plutôt à nos brebis, puisque c'est de ses demoiselles dont en réalité il est question. Je m'apprêtais à le remercier avec hypocrisie, parce que primo, j'en avais rien à faire de ses prétendus félicitations, et deuxio j'en avais rien à faire de ce mariage. Mais je n'eu pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'il continua " Oui, toutes mes félicitations, grâce à la si parfaite mixure que font ta lacheté et ta soif éternelle de reconnaissance et de gloire, je ne vais pas avoir le choix que d'épouser l'autre greluche de Lestrange. Je crois que tu as gagné la bataille Black, car je ne vois pas comment je pourrais plus t'empoisonner la vie." Evidemment, j'aurais du me douter que derrière ses félicitations suivraient un reproche. Non mais vraiment celui-la il manque pas de culot. Primo comme si j'avais le pouvoir d'empêcher son mariage avec Jillian et deuxièmement comment osait il comparer un tel trésor à un poison" Mais tout le plaisir est pour moi, « cousin »... "lui retorquais-je avec autant de sarcasme. " Oh et fait, je crois que toi et moi maintenant, on a beaucoup en commun: premièrement, on est de la même famille et deuxièmement, on partage trois jolie demoiselles: La première s'appelle Rose, tu me l'as volé, pour ça tu dois être punis et tu devras l'épouser. La seconde s'appelle Rémy, et si j'adore la retrouver dans mon lit, j'aime encore plus la voir t'échapper à tout jamais. Quand à la troisième, elle s'appelle lâcheté et comme moi tu vas bientôt l'épouser en même temps que tu épouseras une fille dont tu te fiches éperdument. Maintenant, si tu veux m'excuser, je dois aller ouvrir le bal et faire danser ta greluche de cousine qui me sert d'épouse Ainsi je lui tourna les talons. Comme toujours notre conversation c'était achevé avec des mots que l'on penserait jamais entendre de la bouche de ceux qui avaient grandis comme des meilleurs amis. Même pas j'avais remarqué que Jillian-Rose se tenait pas très loin de nous à ce moment là. Nous avait elle entendue?

♠♥ FLASHBACK OFF ♥♠

« Merci » la voix si douce de Jillian me sortit de mes rêveries. Je lui souriais en guise de réponse Puis nous avancions en silence sans dire un mot jusqu'au calèche, Alors que je saisi sa main pour l'aider à monter dans la calèche, je toucha la pierre précieuse qui ornait son doigt.

« Pour être poli, je devrais de donner mes félicitations, mais sachant qu'on parle d' Isaac Baltazar Rosier, je préfère te donner toute ma compassion. »

995.