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DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)

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Ysölde M. Wilkes McFays
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fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)   DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan) EmptyDim 25 Sep - 21:20

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" Dont know what you think you're doing to me, Dont know what you see its getting to me, (...) Like you're perfume, The way you move, im in the mood. Tease the crowd, Please the crowd, You're saving the best for me tonight."

Ysolde Wilkes, enfin Fayburn-Wilkes, une fille différente. Elle était différente car elle ne buvait jamais – normalement – parce que la seule cuite qu’elle avait pris était à son dernier anniversaire. Ysolde n’était pas comme les autres car... elle n’était pas une marie-couche-toi-là, ni une sainte-ni-touche, elle était discrète, et méfiante. Ysolde était une fille différente, parce qu’elle avait un caractère bien à elle, et très difficile à suivre. Ysolde avait pas mal de soucis en ce moment, pas mal, des soucis de famille, elle ne savait plus qui elle était. Elle avait probablement découvert que son père avait tué sa mère sans en connaitre la raison. Elle savait la vérité sur beaucoup de chose mais… beaucoup de détails et de grandes lignes restaient mystérieuses, et sans réponses. Ysolde vivait chez son cousin Phineas depuis la fin aout, il l’avait accueillit, même si elle était réticente, il restait un sang pur, et rien ne lui garantissait d’être protéger de son père. Ysolde fuyait son père comme la peste, c’est pour ça qu’elle s’était retrouvé dans ce pub d’ailleurs, juste à cause de lui. En fin de journée elle se promenait sur le chemin de traverse flânant entre les boutiques de vêtements et de livre à la recherche d’un passe temps quand elle aperçu son père au loin s’approchant dangereusement d’Ysolde. Ysolde avait lâché tout ce qu’elle avait en main et s’était faufilé dans la foule avant de se retrouver nez à nez avec lui dans l’allée des embrumes, comme s’il avait transplaner pour la stopper. Elle l’avait regardé, et avait à son tour transplaner, en larme, le fait de le voir la mettait hors d’elle, et lui faisait terriblement peur. Elle s’était retrouvé dans une ruelle moldue, donnant sur une rue fréquenté. Elle poussa un soupire, et s’engagea dans la foule. Ysolde portait une robe, comme souvent, elle avait été habituée au robe, pour les filles d’après sa famille. Robe entre le mi-long et le court, ne faisant ni trop sage, ni trop prostituée. Elle flâna encore dans les rues et fini par entrer dans un bar, un pub. Elle avait de l’argent moldu, qu’elle avait fait changé à gringotts la veille.
( … )
S’il vous plait un autre… elle esquissa une moue boudeuse et réfléchie à l’attention du serveur avant d’articuler : un autre truc comme ça, un machin avec un nom américain dedans là. Elle avait l’air joyeuse, et c’est peu dire. Et un Manhattan pour la jolie blonde, un ! Ysolde était assise au bar d’un pub, étrange, c’était une situation inédite. Elle était entrée ici pour boire un café avant de comprendre qu’on lui avait servi un irish coffee, autrement dit, rien à voir avec le café traditionnel. Il devait être… neuf heures du soir, et le pub était assez fréquenté ce soir. Ysolde était joyeuse, pour ne pas dire complètement ivre. Cela ne lui ressemblait pas, pas du tout, mais alors pas du tout. Assise du haut de sa chaise de bar, elle descendit laborieusement, et s’en alla vers la porte avec écris « WC » dessus, elle n’avait jamais autant tangué de toute sa vie. Les toilettes c’était au moins la deuxième fois qu’elle y allait ce soir, elle poussa la porte violemment, en fait, elle avait manqué tombée, et avait poussé la porte de tout son poids de mouche. Aller au toilette quelle épreuve. Quand elle revint dans la salle principale, elle était pas tellement bien, mais qu’importe, elle retourna au bar, manquant de tomber, une fois encore.
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MessageSujet: Re: DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)   DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan) EmptyDim 25 Sep - 23:16

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" Nevermind, I’ll find someone like you. I wish nothing but the best for you too. Don’t forget me, I beg (…) Sometimes it lasts in love but sometimes it hurts instead sometimes it lasts in love but sometimes it hurts instead, yeah."

Duncan! Arrêtes de me mentir, tu fais l’hypocrite depuis combien de temps? Le lion tourna son regard vers celui de sa sœur, sachant qu’elle avait complètement raison. Lullaby n’était pas indifférente au nouveau caractère de son frère aîné et même s’il faisait tout en son possible pour avoir l’air heureux près de ses sœurs, elles savaient toujours lire en lui. Il ne pouvait pas être en permanence comme celui que son père souhaiterait qu’il soit et tous les étudiants avaient appris qu’il ne fallait pas s’approcher de Duncan Pevensie depuis qu’il était revenu d’Azkaban. Il avait essayé de faire croire à ses sœurs que ce n’était que des bobards, qu’ils avaient seulement peur de l’homme qu’il n’était plus aujourd’hui. Il aurait préféré que ses sœurs soient idiotes que de remarquer à quel point il allait mal, parce que cela voulait peut-être dire que son père l’enverrait encore une autre année en France pour qu’il se change les idées. Il n’avait pas besoin de se retrouver tout seul loin des gens qu’il aimait pour se sentir mieux. Au contraire, il commençait à nouveau à s’habituer à la vie de l’école et il se sentait presque comme chez lui, mis à part le fait qu’il avait perdu à peu près tous ses amis. Lullaby essayait de le faire flancher, par tous les moyens possibles et il savait qu’elle finirait par y arriver s’il ne s’éclipsait pas d’ici tôt. J’ai juste eut une mauvaise journée, Lulla. Demain sera un jour meilleur. Mes paroles étaient dénuées de sens autant d’émotion et il sentit le regard de la brunette s’attarder trop longtemps sur le mien. Que manigances-tu? Son nez se retroussa par sa soudaine contrariété et il se leva de sa chaise, près à déguerpir à l’instant. Il lui tourna le dos et s’en allait vers la porte de sa classe quand elle l’arrêta en lui criant : Ne t’avises pas de faire ce que je crois! Le brun se tourna vers la serdaigle et une lueur de peine passa dans ses yeux quand il décida de continuer son chemin. Il avait des choses à faire, pire que d’oublier tout son passé.
( … )

Une fois à l’extérieur des murs de Poudlard, Duncan pût transplaner à l’endroit qui le hantait depuis qu’il était revenu en Angleterre. La ruelle était vide et drôlement pathétique, plus qu’il ne s’en rappelait lorsque les détraqueurs avaient joué avec ses faiblesses. Ses poings étaient serrés avec une force bien trop incontrôlable et il essaya de reprendre son sang-froid du mieux qu’il ne le pouvait. Ses pas le menèrent à la rue perpendiculaire et il aperçu un bar de l’autre côté de la rue, ou sans doute devait avoir saoulé les hommes qu’il avait tué. Il poussa la porte pour ausculter avec attention les gens qui se trouvaient dans cet endroit. Il aurait dût retourner d’où il venait, s’il n’avait pas vu une chevelure bien trop parfaite pour appartenir à quelqu’un d’autre que sa princesse. Son cœur s’activa aussitôt et il décida qu’il était venu le temps de la deuxième rencontre. Il devait opter pour un autre plan que l’attaque. Deux semaines qu’elle avait pût songer à ce qu’il lui avait dit, ça devait être assez. Il chopa un shooter de rhum sur une table avant de se poster à ses côtés. Aussitôt l’eut-il observé une seconde, il s’aperçut qu’elle n’était pas comme d’habitude et il se douta aussitôt qu’elle devait avoir pris trop d’alcool. Il se rapprocha encore plus d’elle, profitant de son moment de faiblesse (et accessoirement du fait qu’elle ne l’avait toujours pas remarqué) pour déposer sa tête dans son coup pour sentir son parfum. . Est-ce que la nouvelle Ysolde serait alcoolique? Lui souffla-t’il à l’oreille. Il espérait seulement qu’elle serait trop saoule pour se rappeler à quel point elle le détestait.

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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)   DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan) EmptyLun 26 Sep - 21:18

Ysolde était « ivre » ; Oui, totalement. Elle avait déjà eut du mal à trouver la porte des toilettes. Elle avait tellement bu de bière qu’elle descendait directement dans sa vessie, enfin… façon de parler. Les idées de la sorcière n’étaient plus vraiment claires, plus du tout même. Elle ne savait même plus où elle avait mis son sac, sa baguette, et sa veste. Elle ne savait pas quelle heure il était, ni quel jour on était. Elle avait perdu tout ses repères et était tellement à l’ouest, qu’elle aurait suivit n’importe quel idiot se jouant d’elle à cause de son ivresse. Ysolde n’était normalement pas une fille stupide, loin de là. Normalement, elle était même plutôt brillante, même très brillante. Elle était d’après ses professeurs une des élèves les plus douées à Poudlard depuis plus d’un siècle, et pourtant Serdaigle n’était pas sa maison. Ysolde n’était pas le genre de fille à prendre une cuite. Ca lui était déjà arrivé, avec Ulysse, elle soupçonnait d’ailleurs ce dernier de l’avoir volontairement soulé pour faire baisser sa garde à la sorcière, histoire de la faire succombé à son charme sans user de trop de ruse, quel salopard quand elle y pensait. Elle n’aimait pas qu’on se joue d’elle, mais ivre elle était plus faible. Déjà qu’en ce moment elle était faible, là elle était une proie facile. Une proie très très facile.

Elle arriva finalement à son verre, posé sur le bar, dans un coin. Elle ne parvint pas du tout à se hisser sur la chaise de bar, bien trop haute à son goût. Elle attrapa son verre et le porta à ses lèvres, et le bu, doucement, à petite gorgée. Elle n’avait pas bu « beaucoup », mais elle avait tendance à très peu supporter l’alcool. Elle n’était pas au bout de ses surprises ce soir. Elle cru qu’elle allait faire une crise cardiaque. Un inconnu – en apparence – déposa sa tête au creux du cou de la jeune femme avant de dire, ou plutôt avant de lui souffler au creux de l’oreille : Est-ce que la nouvelle Ysolde serait alcoolique? Duncan, elle aurait reconnu sa voix entre mille, même ivre. Bon, si elle avait eut toutes ses facultés mental, elle aurait peut être reconnu le parfum du beau sorcier, mais là, elle n’était pas en état. Si elle avait été en état, elle l’aurait envoyé paitre comme quelques jours plus tôt, sauf qu’ici, elle était totalement ivre. Elle se décolla de lui pour se retourner – toujours debout puisqu’elle n’avait réussi à se hisser sur la chaise – elle le regarda de bas en haut. Non, dit-elle avec un regard vert à la fois perçant et complètement délurée, ivre - s’il est possible de qualifier un regard de la sorte. La nouvelle Ysolde est complètement désespérée, et a besoin d’un autre verre. Dégage de mon chemin, s’il te plait Duncan. La jeune femme le regarda, elle le reconnaissait, elle le reconnaitrait tout le temps. Ce n’était pas comme s’il ne s’était jamais rien passé entre eux, au contraire. Pour Ysolde c’était une histoire qui avait marqué un tournant dans sa vie sentimentale et amoureuse. Oui, son premier vrai petit ami, le premier à lui avoir brisé le cœur, le premier à l’avoir brisé tout court, le premier qu’elle avait fini par détester. Aujourd’hui, il partageait cette place de « pire petit ami du monde » ex éco avec Ulysse lestrange, autre type qu’elle avait réellement aimé, jusqu’au moment où elle avait compris qu’il s’agissait d’un monstre. Elle lâcha son verre, toujours sur le bar. Ce coktail n’avait pas réellement bon gout. Elle le regardait quand elle fit un pas, ou du moins essaya de faire un pas pour… le contourner et aller s’asseoir tranquillement à une table, toute seule. En faisant un pas, elle trébucha, et tomba « dans les bras de Duncan », et le regarda, avec un air sérieusement éméché, et un air un peu « vague », elle articula un pauvre oups...
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MessageSujet: Re: DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)   DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan) EmptyMar 27 Sep - 2:27

Il aurait dût vouloir le bonheur pour Ysolde, un homme parfait lui dirait de faire ce que bon lui semble si elle croyait qu’elle aurait tout accompli. Duncan n’était pas parfait, au contraire il avait toujours égoïste dans leur relation et ce n’était pas aujourd’hui qu’il allait changer. Il avait envie qu’ils soient heureux tous les deux, rien d’autre. Il avait dans l’idée qu’il ne pourrait pas renouer avec son ancien lui, ne jamais redevenir l’homme bon qu’il était s’il ne revenait pas avec Ysolde. Elle était sa raison de vivre et aussi important que cela puisse paraître, il ne la laisserait pas partir de si tôt. Il en avait rien à faire des rumeurs d’un certains Schuyler ou Emrys qui lui tournait autour, tout simplement parce que pour l’instant c’était lui qui était à ses côtés dans un bar moldu londonien alors que la blonde était carrément ivre. Il était celui qui pourrait lui demander des choses qu’elle n’aurait pas accepter en temps normal, il profiterait de tout ce qu’il pourrait pour la simple et bonne raison que Duncan était un parfait salopard. Depuis son année à Azkaban, il voyait la vie d’une autre façon et ses priorités n’étaient que très rarement les bonnes. Il lui avait dit qu’il l’aimait et pour une fois il avait été totalement sérieux. Maintenant, il ferait tout pour avoir une réponse un tant soit peu cohérente de sa part. Non. Le rouge et or sourit vaguement à une réponse aussi peu véridique. Toute personne qui affirmait ne pas être saoule l’était. La nouvelle Ysolde est complètement désespérée, et a besoin d’un autre verre. Dégage de mon chemin, s’il te plait Duncan. Tiens, au moins ça avait le mérite d’être clair et le brun se mit à songer qu’il préférait qu’elle ai encore plus de verre dans le corps, parce qu’elle avait encore essayer de le repousser. Nan, j’crois pas. Il faut bien que quelqu’un te fasse goûter des shooters moldus non? Il n’était pas un expert, loin de là, mais il fallait bien qu’il fasse comme s’il savait de quoi il parlait. Il songea à la fois où il avait regardé sur le net de l’information sur les moldus. Deux cerveaux, s’il-vous-plait. Ce qui était amusant avec ces shooters c’était que même s’ils avaient un goût merveilleux, la texture n’avait absolument rien d’invitant. Il leva son petit verre et approcha celui près de la blondinette. Du moins, sans se rendre compte qu’elle avait déjà décidé de s’éclipser avant qu’elle ne lui tombe directement dans ses bras. Heureusement il avait des réflexes du tonnerre, il déposa le verre en même temps qu’il serra son ancienne amoureuse dans les bras. Il se mit à laisser aller un doux rire, presque franc comme il ne l’avait pas fait depuis des années. Où crois-tu aller comme ça, princesse? Une fois de plus il profitait de la chance qu’il avait, il leva le visage de la blonde pour qu’ils puissent croiser le regard de l’autre. Elle était toujours aussi magnifique et invitante qu’elle ne l’avait été auparavant. Il passa sa main libre sur son visage pour caresser sa joue et remettre une de ses mèches derrière son oreille. J’attends toujours une réponse de ta part, j’espère qu’elle cogite à cent à l’heure. Il se mordit la lèvre inférieure alors qu’il se mit à fixer les lèvres d’Ysolde. Il l’aurait embrassé sur le champ s’il n’avait absolument plus aucune once d’homme galant en lui, vraiment.
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MessageSujet: Re: DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)   DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan) EmptyMar 27 Sep - 19:25

Ysolde lui avait demandé de la façon la plus aimable qui soit. Oui, enfin, elle était ivre donc étrangement elle était beaucoup plus agréable que lorsqu’elle était sobre, à croire que sobre, elle se donnait un rôle : celui de la méchante froide et qui casse tout le monde. Oui, elle avouait, cela lui plaisait d’être une méchante, mine de rien. Mais ivre elle ne perdait pas le nord, elle continuait de le repousser, elle avait encore une once d’amour propre ou elle avait plutôt de la rancœur contre lui, et qu’elle ne l’avait toujours pas évacuée. Nan, j’crois pas. Il faut bien que quelqu’un te fasse goûter des shooters moldus non? Elle détestait qu’on ignore totalement ce qu’elle venait de dire. Les femmes n’avaient jamais le dernier mot. Elle n’aimait vraiment pas quand elle n’avait pas le dernier mot. elle le regarda et fit une sorte de petite grimace et eut un immense sourire la seconde d’après, oui, elle était totalement ivre donc totalement irrationnelle, perdue, et décalée. Deux cerveaux, s’il-vous-plait. Deux quoi ? Et puis, et puis, il lui parlait de quoi exactement, elle le fixa avec un air « celui de la fille qui essaye de comprendre mais qui fait une tête tellement bizarre qu’en fait ça se voit qu’elle ne comprend pas un traitre mot de ce qu’il vient de dire ». Des cerveaux, des shooter ? c’était quoi ce petite délire ? Shooter ? Dit-elle alors sans réellement comprendre de quoi il s’agissait. Dans le monde des moldus, Ysolde était une vraie gamine, une sorte de gamine lâchée en liberté dans un supermarché, elle adorait voir des choses nouvelles. Quand elle avait été passer quelques jour chez Dalhia, elle avait été terrorisé par le mixeur, cette chose bizarre qui fait un bruit horrible. Mais, un Shooter, c’est quoi ? Elle n’avait sincèrement jamais entendu ce mot, peut être parce qu’Ysolde ne prenait jamais vraiment part aux fêtes ou quand elle y avait pris part elle était resté peu de temps en compagnie de tout le monde et était allé s’enfermer dans son coin. Entre temps, Ysolde avait décidé de s’éclipser. Sauf que généralement quand on est ivre, ce genre de chose ne se passe pas comme prévu. Non, quand on est ivre, la moindre des petites actions devient difficile, étrange, et bizarre. Sauf que lorsque l’on est ivre, on tombe dans les bras de n’importe qui, en faisant n’importe quoi. Par Merlin, elle tomba dans les bras de Duncan. Dans les bras de Duncan, premier contact physique après deux années c’était… étrange, et bizarre. Elle leva les yeux vers lui, tenant debout par un miracle nommé Duncan. Où crois-tu aller comme ça, princesse? Elle croisa son regard, en fait c’était la première fois qu’elle le regardait dans les yeux depuis deux ans. La dernière fois qu’elle l’avait vu, cela avait été bizarre. Ysolde avait bien changé en deux ans, oui, elle avait grandit d’un centimètre, gagné une taille en soutien gorge, laissé pousser ses cheveux, vieilli de deux ans, survécu à Ulysse Lestrange, survécu à son père (pour le moment), bref, Ysolde avait totalement changé, physiquement et moralement. Elle resta une seconde sans comprendre ce qu’il se passait. Le jeune homme caressa la joue de la jeune femme afin de remettre une mèche blonde frivole de la jeune femme derrière son oreille. Elle était bizarre, elle se sentait bizarre, elle songea à la dernière fois qu’on avait remis une mèche en place… elle était trop ivre pour s’en souvenir. J’attends toujours une réponse de ta part, j’espère qu’elle cogite à cent à l’heure. Une question ? Quelle question ? Ysolde se le demandait bien, elle se le demandait, ivre, ses faculté était un peu… amenuisée. Une question ? Quelle question ? La jeune femme rit alors nerveusement, elle réalisa alors qu’il parlait peut être du fait qu’il lui avait dit qu’il l’aimait encore et que… enfin voilà quoi. Elle posa son regard sur lui, et eut un regard du genre « oh mon dieu, je réalise un truc », vous savez elle était ivre. ohh... cette question. Elle afficha un petit sourire nerveux, puis étouffa un petit rire nerveux. Sincèrement, elle n’y avait pas pensé, et elle n’avait pas assez bu pour répondre à cette question. Alors ce shuster.. Scooter… shooter !
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MessageSujet: Re: DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)   DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan) EmptyMer 28 Sep - 23:20

Shooter ? La voix de la blonde le ramena à l’ordre l’espace d’un moment, rencontrant l’air assez incrédule de la sorcière. C’était normal qu’elle ignore ce que ce soit, c’était une appellation tellement moldue, par ailleurs Ysolde ne buvait presque jamais. C’était exceptionnel de la voir saoule et à bien y penser, c’était bien la première fois qu’il la voyait de la sorte. Elle pouvait en prendre encore, il le savait parce qu’elle était encore bien trop consciente des événements qui l’entouraient. Il voulait l’avoir dans ses bras, ne serait-ce que l’espace d’une soirée. Si elle buvait plus, elle finirait par être plus docile et oublierait peut-être tout ce qu’il lui ferait vivre. Ça faisait d’une pierre d’un coup!

Il fallait qu’elle boive ce shooter, hélas elle essaya de s’éclipser, bien entendu dans l’idée qu’elle n’était pas si saoule. Ou pas. Sincèrement, son essai n’alla pas très loin puisqu’elle tomba directement dans ses bras, comme si tout avait déjà été décidé de la sorte. Duncan se prit facilement au jeu, c’était vraiment amusant et il en profita pour caresser la joue d’Ysolde comme il l’avait déjà fait de nombreuses fois. Il voulait savoir ce qu’il pensait de ce qu’il lui avait dit l’autre jour à propos de ses sentiments. Il l’aimait toujours et c’était au moins une chose qui était totalement vraie. Certains auraient pût êtres septiques et ils auraient eut raison, Duncan était parfois tellement hypocrite qu’il était difficile de découvrir quand il était sérieux. Une question ? Quelle question ? [/b] Le rouge et or se mit à songer si elle aussi était sérieuse ou si elle essayait tout simplement d’éviter la conversation. Elle le regardait d’une drôle de façon, comme si elle faisait fonctionner son cerveau à mille à l’heure. Et soudain, il y eut illumination. ohh... cette question. Oh voilà, on mettait enfin la main dessus! Elle semblait véritablement nerveuse, elle n’avait jamais pensé qu’il viendrait demander des réponses un jour? Franchement, s’il lui disait ce genre de chose et qu’il déguerpissait, c’était sans doute pour revenir à la charge un autre jour. Et c’était maintenant. Alors ce shuster.. Scooter… shooter ! Oh non, il ne se ferait pas avoir aussi facilement sérieux, elle changeait de sujet délibérément! Duncan lui n’était pas saoul, au contraire il était beaucoup trop à jeun et c’était incroyablement décevant de se rendre compte qu’elle le prenait pratiquement pour n’importe qui. Mais bien entendu, il songea au fait que si elle buvait plus, elle finirait probablement par parler et ça signifiait un bon point pour lui.Il fronça les sourcils mais pris son shooter en le levant dans les airs pour trinquer, Ysolde en fit de même et il avala tout le contenu d’un coup, grimaçant sous la texture assez dégueulasse. Il fixa par la suite la blonde qui devait trouver ce shooter assez mal aisant pour son pauvre petit cœur. Tant pis. Il la serra contre elle de sorte que l’une de ses hanches était ancrée à quelques millimètres de l’endroit le plus érogène de son corps. Tu changes de sujet. Bon, d’accord je te laisse une chance. Seulement si tu veux jouer mon petit jeu. Il souriait gaiement, observant déjà aux alentours pour trouver ses prochaines proies. Le premier qui se trouve un moldu qui veut bien offrir son numéro, sans le demander directement s’entend, est el vainqueur. Le perdant offre une cuite au gagnant, tu suis? Surement pas, mais c’était justement là son avantage!
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MessageSujet: Re: DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan)   DON'T KNOW WHAT YOU THINK YOU'RE DOING TO ME ? (duncan) EmptyMar 4 Oct - 19:12

Ysolde Fayburn-Wilkes, ivre. Cette dénomination est pour ainsi dire inhabituelle, voir totalement inédite, et inconcevable pour pas mal de personne, y compris elle-même. Elle avait déjà bu, certes, mais dans de telle quantité, cela restait du domaine de la fiction, jusqu’à aujourd’hui. Mais, la jeune femme n’était pas encore assez ivre pour tomber dans les bras d’un inconnu – ou même de quelqu’un de connu – car Ysolde se souvenait d’une chose : les hommes sont stupides et elle en avait la preuve par trois : son père, Ulysse, et Duncan, une belle brochette de crétins. Si l’amour était quelque chose de craint par la sorcière c’était justement à cause de ce fameux trio, et ils n’avaient pas de quoi être fier. Le pire d’entre eux était son père : débile, violent, cinglé. Ensuite, il y avait Ulysse : possessif, violent et aussi cinglé. Et enfin il y avait Duncan : con, stupide et taulard. Elle avait d’ailleurs habilement –de façon suffisamment habile pour une fille ivre – la question de Duncan au sujet des sentiments, elle n’était pas encore assez ivre pour évoquer ce sujet, il allait lui falloir quelques verres de plus, une bonne dizaine de verres de plus. Le shooter, une chose moldue servie dans un petit verre – ou un verre de petite taille – dont la texture n’était pas du tout, mais alors pas du tout appétissante. l’ancien prisonnier d’azkaban levant son verre pour trinquer, elle l’imita, ne sachant pas très bien ce qu’ils étaient entrain de « fêter », car la logique veut que lorsque l’on trinque, on fête quelque chose. Elle avala le contenue en faisant une tête très très étrange. Elle esquissa un grimace en reposant le verre sur la table, elle n’aimait pas du tout cette chose. Elle n’eut pas le temps de réaliser, que Duncan la serra contre lui, et elle se cala – enfin il la cala lui-même – de sorte à ce qu’elle soit appuyé contre… enfin bref. Elle le fixa d’un regard méfiant, et presque noir quand il dit : Tu changes de sujet. Bon, d’accord je te laisse une chance. Seulement si tu veux jouer mon petit jeu. Elle détestait les jeux, surtout les jeux qu’on lui imposait. Elle détestait vraiment, vraiment cela. D'ailleurs elle le fixait d'une façon étrange et suspicieuse, il ajouta alors : Le premier qui se trouve un moldu qui veut bien offrir son numéro, sans le demander directement s’entend, est le vainqueur. Le perdant offre une cuite au gagnant, tu suis? Sérieusement ? Un jeu de drague ? Par Merlin, elle allait en chier. Elle n’avait pas draguer un mec depuis… fort fort fort fort longtemps. En fait, Emrys la draguait tout seul comme un grand, Ulysse était venu à elle parce que c’était un coup arrangé entre eux, décidément, elle n’avait pas dragué depuis des lustres. Premièrement, lâche-moi tout de suite. Deuxièmement, sort tes bilettes… Elle marqua une pause, et rectifia : Billet, pour payer ta tourné. Elle lui adressa un sourire, à la fois faux et … faux, et peut être un peu moqueur, ou un sourire de défi, que sais-je. Elle se décolla de lui, et surtout elle décolla sa hanche… un petit clin d’œil, et elle s’éloigna alors de lui. Elle en se souvenait pas que c’était aussi dur de draguer, à croire qu’elle ne l’avait jamais fait, en fait… c’était plutôt vrai, les garçons qui venaient à elle, pas le contraire. Elle aperçu un gars au bar, beau qui plus ait. Elle s’approcha de lui et s’assit alors.
( … )
J’adore danser ! Là, c’était définitif, Ysolde était ivre, et si son père la voyait avec un moldu, elle recevrait en direct un sortilège de doloris dans le meilleur des cas, et d’avada kedavra dans le pire, c’est vous dire. elle et le moldu : Chris, diminutif de Christopher, un gars assez grand musclé, et séduisant qu’elle avait séduit en quelques minutes, elle avait usé d ses charmes et s’était faite passé pour une ingénue. Elle riait alors, quelques minutes plus tard, elle se leva du bar en l’embrassant sous la joue –près de ses lèvres – avec aisance, et de façon presque sensuelle, repartant fièrement avec un numéro de téléphone, elle espérait que Duncan avait vu ça, même, si juste pour le fun elle était prête à recommencer. Elle s’installa alors à la table de tout alors, fièrement assise, fièrement ivre aussi, elle était totalement éméchée, cette fois c’était… définitif.
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