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OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde

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MessageSujet: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyJeu 25 Aoû - 20:54



“ OF THE AMITIER IN THE HADRED “

Ce matin-là alors que je pensais que j’aurais été avec un autre binôme qu’Ysolde et que la matinée serait passé vite, j’ai eu tout le contraire que je voulais. Le professeur de botanique m’avait mis avec Ysolde, que je n’avais pas parler depuis trois jours, que j’avais évité depuis trois jours, Ysolde était tomber dans les profondeurs du lac. Nous avions trouver la plante, seulement Ysolde était allergique à celle-ci, malheureusement car cette plante était vraiment magnifique, mais moins sublime qu’Ysolde. Alors qu’Ysolde passait devant afin de ne pas attraper une allergie, elle s’effondra par terre, j’avais la plante dans ma main mais j’aurais pu la lâcher pour n’importe qu’elle étape à passé du moment que c’était pour Ysolde. Mon cœur s’accéléra, c’était dingue cette sensation de peur, encore bien plus peur que de la savoir sous l’eau. Je me précipitai vers elle avec la plante dans ma main, Ysolde était inconsciente, c’était impossible, que lui arrivait-elle. Je posais ma main libre sur son front, essayant de voir si elle avait de la fièvre et sans hésiter, je pris dans mes bras afin de la porter en direction du château. Tout en marchant, des images, des souvenirs d’Ysolde me revenait, mon cerveau devait certainement vouloir me montrer à quel point je tenais à Ysolde, à quel point j’étais idiot de ne pas le lui montrer mais je n’avais pas envie de me faire repousser comme l’autre soir qui m’étais resté encore au travers de la gorge. J’arrivai enfin devant la grande porte pour entrée dans le château, Ysolde était légère comme une plume, merci le sport de m’avoir donné cette force, merci le quidditch également. J’entrai dans le hall puis pris la direction des escaliers pour monter aux étages afin d’emmener Ysolde toujours inconsciente dans mes bras. Les autres étudiants avaient du mal à apercevoir qui était dans mes bras mais ce n’était pas pour autant qu’ils bougeaient de place pour me laisser passé ! Au contraire ils bouchaient tous le passage et cela m’énervait ! J’avais envie de les balancer par-dessus la rambarde mais il y avait quelqu’un bien plus important que c’est gamins. Ysolde. Je monta encore les escaliers en me précipitant jusqu’à l’infirmerie. Une fois arriver la haut, je ne pu m’empêcher de crier à l’infirmière. ELLE A FAIT UN MALAISE DEHORS ! ELLE C’EST FAITE MORDRE PAR UN STRANGULOT A LA CHEVILLE ! J’étais comme énerver, à l’intérieur de moi, je bouillais, je voulais qu’Ysolde ouvre les yeux, je voulais voir son regard, celui que j’aimais bien plus que tout les autres regards, je voulais voir son sourire, au moins une fois, une dernière fois avant qu’elle me dise de repartir, que ce n’était pas une bonne idée de travailler ensembles en binômes. Pourtant cela m’avait fait un bien fou mais je savais que je n’arriverais pas à lui dire ce genre de chose, j’avais essayé une fois, ça n’avait pas fonctionné, je ne baissais pas les bras mais presque ou presque pas, je gardais encore une lueur d’espoir en moi. L’infirmière était en colère contre moi après avoir gueuler, crier dans l’infirmerie. J’étais dingue d’après. Monsieur Reinhaart ! L’infirmerie n’est pas un lieu d’aboiement ! Respectez ceci et sortez ! Sortir ? Alors qu’Ysolde était comme morte sur ce lit au drap blanc dans un lieu totalement flippant ? Je n’avais pas le choix de sortir, c’est ce que je fis sans dire un mot mais en regardant Ysolde avant de partir. Une dernière fois. Comme un au revoir. Je dévalai les escaliers avec colère, rage, peur, c’était la première fois que j’étais dans un tel état comme celui-ci. Je sortis du château afin d’aller récupérer la plante et de la poser sur le bureau du professeur sous le nom de Reinhaart et Wilkes. Wilkes, Ysolde Wilkes, celui lui allait tellement bien. Je remontais sans courir et en prenant mon temps, Ysolde n’était surement pas réveiller et cela m’énervait mais je voulais être là quand elle ouvrira les yeux. Je montai les escaliers après avoir dépassé le hall d’entrée et monta les escaliers pour entrer dans l’infirmerie. L’infirmière était dans son bureau, Ysolde quand à elle n’avait toujours pas bougé, je passai ma main dans mes cheveux, j’étais stressé pour elle mais je ne savais que faire. Je m’approchai d’elle, c’était la première fois que je la voyais les yeux fermés comme endormie, elle était vraiment très belle. Je m’asseyais sur un tabouret, à ses côtés, c’était déjà ça. A cet instant j’aurais voulu lui prendre la main mais non, il ne fallait pas craquer dans un tel geste. Ce n’était pas le bon moment, ni le bon geste. Je restai donc dans le silence, à l’admiré.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyJeu 25 Aoû - 21:31

Il lui arrivait souvent de faire un malaise à cause d’une vision, et souvent à son réveille, elle ne se souvenait pas très bien de la vision qu’elle avait eut. Des visions trop violent pour elle, trop intense. Elle avait cherché tout ce qu’elle avait pu trouver sur les visions, mais personne ne se plaignait jamais de malaise, elle commençait à douter, elle pensait être trop faible pour les supporter. C’était la première fois qu’Ysolde tournait de l’œil aussi longtemps après une vision. Plus les visions étaient fortes plus l’évènement auxquelles elle faisait référence approchait. Avant la mort de sa mère, elle avait vomi, et vomi après une vision lui montrant l’accident. Le pouvoir d’Ysolde lui rappelait les pires souvenir de sa vie, elle avait parfois l’impression que c’était un fardeau. Ysolde avait le don de se rabaisser sans cesse, elle ne savait pas de quoi elle était capable, elle était l’une des plus brillante sorcière de Poudlard, et ce depuis sa première année, pourtant le choixpeau lui avait dit : « Non, tu n’ira pas à Serdaigle, tu ressemble beaucoup à Rowena, mais ta place n’est pas ici Miss Wilkes », et du coup il l’avait envoyé à serpentard, bilan de l’histoire : elle détestait les serpentard, et les serpentard la détestaient.

Ysolde s’effondra sur le sol, sur l’herbe qui amortie sans doute sa chute, ses jambes na la portèrent plus, elle chancela et tomba sur le côté sur le sol, immobile, inconsciente. Elle ne se souvint de rien et sembla plonger dans un profond sommeil, pourtant non, elle eut une vision. Un endroit sombre, vraisemblablement les cachots, ou les sous sol, deux cadavres sur le sol, un cri, puis un autre. Une pièce, tellement flou. Elle sombra ensuite dans la totale inconscience.

(...)


Quand on est inconscient, c’est comme une nuit sans rêve. Ysolde avait les yeux clos, mais elle ne rêvait pas, pas du tout. se réveiller après une perte de conscience c’est un peu comme un lendemain de fête, on se sent mal, et tout bizarre, sauf que ce n’est pas l’effet de l’alcool. Elle ne se sentait pas très bien, elle se sentait un peu faible en fait. sa jambe ne semblait plus lui faire mal, du tout même. Ysolde s’agita un peu, sans ouvrir les yeux, remuant doucement les jambes, comme pour s’assurer qu’elles étaient encore là. Puis, doucement, elle entrouvrit ses yeux verts. Elle regarda devant elle, et vit qu’elle était apparemment à l’infirmerie, elle n’aimait pas tellement cet endroit, quand elle y passait du temps, elle trouvait le temps long, car la dernière fois qu’elle avait été malade, une petite grippe, personne n’était venu la voir, sauf Alec les bras chargé de gâteau qu’elle avait piqué aux cuisines et qui avaient manqué de faire faire à la sorcière une indigestion. Elle ouvrit alors complètement ses yeux, et tourna la tête à droit, puis à gauche, elle se stoppa net quand elle vit, Emrys assit là à côté d’elle. C’était donc lui avait l’avait amené ici, à l’infirmerie ? Il l’avait porté jusqu’ici, ou est ce que… enfin, peut importe. Elle le fixa une seconde, puis deux, et referma les yeux un instant, bordel il y avait de la lumière dans le coin. Elle avait un sacré mal de tête, alors elle était photosensible – sensible à la luminosité – elle plissa un peu les yeux, le fixant, et dit alors : Qu’est ce… qu’est ce qui s’est passé ? Tu… tu attends depuis combien de temps ? Elle était couchée, et posa alors ses mains sur le lit, se hissant doucement contre son coussin pour essayer de s’asseoir un peu plus dans le lit. Elle lui fixait, reconnaissante, et ajouta : Je suppose que c’est grâce à toi que je suis ici, elle marqua une pause, et dit alors, le sourire aux lèvres, Merci. Ysolde remarqua qu’elle ne portait plus ses vêtements, sans doute parce que ceux-ci étaient totalement trempés. Elle regarda Rys, avec un mince sourire aux lèvres, c’était grâce à lui qu’elle était ici, et il était une des seules personnes qui était à son chevet, Ysolde n’avait pas l’habitude de cela, ni qu’on s’occupe d’elle. Elle avait toujours été débrouillarde et indépendante.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyVen 26 Aoû - 20:42

Les minutes passèrent, elles passèrent lentement et de plus en plus jusqu’à ce que les heures s’écoule, j’étais toujours sur ce tabouret, à regarder Ysolde, les yeux fermés, qui était toujours inconsciente. La matinée avait été assez mouvementée, j’avais revu Ysolde jusqu’à même lui parler et de lui dire que sa fuite n’était pas aussi grave que ça même si je l’avais toujours au travers de la gorge. Ysolde était tomber dans le fin fond du lac, je n’avais pas hésiter à plonger et nager habiller même si l’eau était glacial, dans les prochains jours, j’aurais sans doute un rhume mais je m’en fichais, ce qui comptais pour moi, c’était la vie d’Ysolde, heureusement je l’avais emmener à l’infirmerie après son malaise. Les minutes me parurent longues, aussi longues que les jours ou j’avais été sans elle, ou j’avais essayé de tout faire pour ne pas la croiser dans les couloirs, son regard quand j’allais à table dans la grande salle et surtout en cours. Même si cela avait été dur, je m’étais surpassé à être bien plus fort que la situation, malheureusement, j’avais craquer ce matin en lui parlant, à vrai dire personne ne parlait, il fallait bien que j’engage la conversation. Les heures et les minutes passèrent puis je vis enfin Ysolde ouvrir les yeux doucement. Je fis un souffle de soulagement, restant à ma place pour ne pas étouffer Ysolde. Elle tourna la tête de gauche à droite, puis de droite à gauche, afin de laisser son regard croiser le mien. Elle devait certainement être assez choquer d’être à l’infirmerie, ce n’était pas l’endroit préféré des étudiants du château mais sans doute l’endroit le plus détestable, moi-même n’aimait pas cet endroit. Elle ferma les yeux d’un coup, tout ce que je réussissais à faire, c’était de sourire un minimum, j’étais content qu’elle soit de nouveau consciente car c’était assez flippant à la voir tomber sur l’herbe, elle aurait pu tomber sur un bout de roche ou sur le coin d’un tronc d’arbre et je ne voulais même pas imaginer la scène. Qu’est ce… qu’est ce qui s’est passé ? Tu… tu attends depuis combien de temps ? Ce qui c’était passer et bien, elle avait perdu connaissance sur l’herbe après avoir prit sa distance vis-à-vis de moi car j’avais la plante préféré de sa mère dans ma main et qu’elle était allergique à celle-ci. Depuis quand j’attendais ? Des bonnes heures mais ça je m’en fichais vraiment bien, c’était une sensation assez parfaite d’être là et de la voir se réveiller doucement après qu’elle est passer des heures dans le noir les yeux fermés. Tu as perdue connaissance sur l’herbe, c’était assez flippant de te voir les yeux fermés et j’attends depuis… Assez longtemps que je ne peu te dire combien de temps… Mais je m’en fiche totalement… Le principal c’est que tu ailles mieux. Au moins je lui avais dit ce que je ressentais au fond de moi, même si je m’étais inquiéter, je n’avais pas envie de lui dire oh combien je m’étais fais peur pour elle en la voyant tomber sur l’herbe, c’était tellement un hasard d’avoir tourné la tête à cet instant. Elle se redressa en s’aidant de ses mains pour être adosser contre le coussin blanc de l’infirmerie. Son regard fixa alors le mien, c’était une sensation à chaque un peu plus étrange quand elle me regardait, mais j’appréciais et c’était sans doute ça le pire. Je suppose que c’est grâce à toi que je suis ici, Sans que j’ai eu le temps de dire quoi que ce soit, elle reprit la parole. Merci. Tout en parlant, un sourire fin s’afficha sur ses belles lèvres, d’ailleurs, je remarquais aussitôt que ses lèvres était comme sèche. Je me leva donc de se sataner tabouret qui me faisait mal à force d’être assis et lui servis un verre d’eau, heureusement qu’il n’y avait pas de jus de citrouille, peu de gens appréciais, mais je trouvais ça vraiment bon. Je lui tendis alors le verre après avoir mis de l’eau à l’intérieur. Tiens… Bois un peu… Tes lèvres sont sèches… C’était sans doute dingue de savoir cela, mais j’étais très observateur, les détails pour moi était vraiment très important, ça pouvait toujours libérer quelqu’un d’un quelqu’onc malheur. Ysolde m’avait remercier et je n’avais rien répondu pour ce qu’elle m’avait dit. Ysolde me troublait tellement, c’était dingue, elle était la première pour beaucoup de chose et je ne voulais pas me laisser abattre. Ne me remercis pas… C’est tout à fait normal tu sais… Idiot, je n’étais qu’un idiot pour répondre ceci à la demoiselle qui était vraiment très importante pour moi et qui avait beaucoup d’importance d’ailleurs à mes yeux.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyDim 28 Aoû - 19:28

Ysölde se sentait un peu mieux, juste un peu mieux. Elle n’était pas très forte physiquement, mais elle avait une santé de fer, même si ces derniers temps elle était mise à rude épreuve. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait un malaise cette année. La dernière fois ça n’était pas à cause d’une vision, c’est parce que cela faisait deux jours qu’elle n’avait pas mangé un repas normal, et elle avait de courtes nuits dans le dortoir, la dernière fois c’était un manque de glucose, comme disent les moldus. Cette fois, c’était à cause d’une vision, étrange, floue, et brève, mais bizarrement claire d’un certain point de vue. Elle était assez faible, elle se sentait nauséeuse, elle n’aimait pas ça du tout. Mais bon, cette sensation de gueule de bois allait finir par passer, avec le temps.
Elle lui demanda alors ce qui s’est passé. Elle lui avait aussi demandé depuis combien de temps il était là. Le fait qu’il soit là lui faisait plus que plaisir, au moins il tenait à elle, enfin… elle osait espéré qu’il puisse tenir à elle, et qu’il n’était là juste par curiosité, même si elle savait que être là juste par curiosité ne ressemblait pas à Rys, pas du tout même. Elle le regarda alors, avec un léger sourire, quand il lui répondu : Tu as perdue connaissance sur l’herbe, c’était assez flippant de te voir les yeux fermés et j’attends depuis… Assez longtemps que je ne peu te dire combien de temps… Mais je m’en fiche totalement… Le principal c’est que tu ailles mieux.. Ainsi, elle était tombée dans l’herbe, elle devait bien avouer que ça n’avait pas été très clair pour elle, mais bon, il valait mieux qu’elle tombe dans l’herbe que sur les dalles froides et dures du château. Quand il lui dit qu’il avait flippé de la voir les yeux fermés, Ysolde le regardait, muette. Il s’était inquiété pour elle ? C’était la première fois qu’on s’inquiétait pour elle depuis pas mal de temps. Puis, quand vint le moment de lui dire depuis quand il attendait qu’elle se réveille. Il dit alors que ça faisait longtemps, et qu’il se fichait totalement du temps où il avait attendu, l’essentiel pour lui était qu’elle aille mieux. C’était… touchant, il tenait à elle, vraiment, apparemment.

Elle le remercia de l’avoir amené ici, c’était uniquement grâce à lui qu’elle était ici. Il connaissait des serpentard et des griffondor qui l’auraient laissé dans le parc, juste pour rire. Alec aussi l’aurait aidé, elle l’aurait trainé jusqu’à l’infirmerie, car elle n’avait pas la force de la porter. Mais… attendez, Rys l’avait porté jusqu’ici, dans ses bras ? Elle aurait peut être voulu être éveillé finalement. Il se leva alors du tabouret sur lequel il était assit, elle cru qu’il allait partir, après tout… après tout, il aurait eut raison de partir, après tout, elle l’avait rejeté l’autre jour, il aurait eut raison de la laisser. Mais, il lui servit un verre d’eau, il lui tendit alors le verre en disant alors : Tiens… Bois un peu… Tes lèvres sont sèches…Les lèvres sèches ? Elle porta instinctivement sa main à ses lèvres, puis se mordit la lèvres inféireures, effectivement, elle avait les lèvres sèchent, que… comment Rys avait remarqué cela ? Il était observateur, elle pris alors le verre et lui adressa un sourire, un grand sourire, et bu une gorgée tout en mouillant ses lèvres avec le verre. Elle avait une soif, comme si elle n’avait pas bu depuis des jours. Elle bu une gorgée, puis une autre. elle mordit sa lèvre tout en regardant Rys qui dit alors : Ne me remercis pas… C’est tout à fait normal tu sais… C’était normal. Oui, c’était donc ça, il ne tenait pas vraiment à elle, il faisait cela parce que c’était « normal ». Elle fini son verre et le posa sur la petite table à côté de son lit, elle aurait pu le tendre à Rys, mais vu qu’il était là parce que c’était « normal », elle essaya alors de se redresser à nouveau dans son lit, elle avait à peine de la force dans les bras. Oh, merci quand même. Elle avait dit ça d’une voix… absente. Elle ferma les yeux quelques secondes, elle avait cruellement envie de dormir. Elle les rouvrit alors, et regarda Rys une seconde puis tourna les yeux. Les minutes auparavant, elle s’était bien sentie avec lui, mais là, elle se sentait mal à l’aise, terriblement mal à l’aise. Elle dit alors : Tu devrais aller faire le devoir de botanique pour demain, je ne veux pas que tu sois en retard sur tes devoirs à cause de moi. Ça c’était dit, elle avait eut du mal à le dire. Elle aurait une excuse pour son devoir, au moins, elle ne voulait pas qu’il soit en retard à cause d’elle, ça n’entrait pas dans la phase normal de leur relation.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyDim 28 Aoû - 21:20

Oh, merci quand même. Elle venait de me dire ça, mais en une toute autre voix, c’était comme bizard. L’infirmière était dans son bureau, sans doute à essayer d’autres médicaments pour les prochains malades. Pourtant tout avait assez bien commencer, nous avions trouver la plante, nous avions un peu parler de l’autre soir ou tout à été chambouler et mit sans dessus dessous, nous avions fait un plongeon dans le lac car Ysolde était tomber dedans, la belle blonde avait fait un malaise sur l’herbe en étant un peu plus avancer de moi car elle était allergique à la plante préféré de sa mère et je l’avais ramener à l’infirmerie afin que l’infirmière prenne soin d’elle et de sa blessure commise par un strangulot. Mais bizarrement, après lui avoir dit que c’était tout à fait normal de l’avoir ramener ici, elle avait parler d’une voix assez… Etrange, oui c’était une voix à laquelle je ne m’étais pas vraiment habituer car c’était la première fois qu’elle me parlait comme ça et encore, la suite était encore moins bien. Je lui avais tendu un verre car j’avais pu remarquer ses lèvres était sèche, j’étais un garçon très observateur et tout ça depuis mon enfance, ça pouvait toujours me servir un jour ou l’autre et grâce à ça, j’avais pu remarquer ses belles lèvres était sèche, elle avait une gorgée, puis une autre en affichant un sourire. Elle posa son verre sur la table d’a coter, tout en essayant de se redresser. A cet instant, quelque chose clochais, quelque chose d’anormal, Ysolde perdit aussi vite son sourire à la vitesse dont il était apparut sur ses lèvres. Ses yeux se fermèrent rapidement pendant quelque secondes, puis elle les rouvrit. Ses yeux trouvèrent trajectoire dans les miens mais sans comprendre pourquoi, elle détourna son regard afin de regarder ailleurs autre que dans ma direction. Quelque chose n’allait pas, je ne savais pas quoi mais je comptais bien le savoir ! Je n’étais pas du genre à baisser les bras ! Tout en continuant de regarder ailleurs, elle prit la parole, mais pour dire quelque chose dont je ne m’étais jamais préparé à entendre, même si la situation était bien présente pour que cette phrase eu lieu. Tu devrais aller faire le devoir de botanique pour demain, je ne veux pas que tu sois en retard sur tes devoirs à cause de moi. Je laissa pendant de longues secondes voir des minutes faire surface, jusqu’à avoir un bout de silence, m’accompagner dans la pièce avec le bruit du grattement de la plume de l’infirmière qui devait certainement écrire quelque chose sur un bout de parchemin. Le silence, ceci avait été sans la présence que j’avais eu le plus ces derniers jours, comme ci j’en avais réellement besoin, ce dont j’avais le plus besoin, c’était sans doute Ysolde mais quelque chose était anormal dans ces paroles. Ma respiration était comme bloquer, je devais dégager ce que j’avais au fond de moi, parler pour mieux respirer. Qu’est ce qui t’arrive ? Tu te comporte bizarrement Ysolde. Parler séchement, j’en avais pas l’habitude, je ne savais même pas pourquoi je lui avais répondu de cette façon là, c’était comme ci je n’étais plus moi-même, comme si le diable avait prit possession de mon corps. Je devais me calmer à tout pris, je savais qu’Ysolde avait du caractère mais elle était trop faible. Je retournai en arrière après l’avoir regarder longuement, je passai alors ma langue sur ma lèvre inférieur avant de prendre à nouveau la parole. Il faut savoir mettre de côter un peu ses études, pas complétement mais un peu, c’est comme ça que j’ai appris qu’il y avait des choses ou plutôt des personnes importantes. Si tu n’as toujours pas compris, que tu étais importante à mes yeux, c’est que tu es sans doute aveugle. Enfin non, tu n’es pas aveugle car tu as pris la fuite la dernière fois. Mais je ne tant veux pas et tu sais pourquoi ?! Parce que c’est toi ! Et parce que toi, je t’ai toujours trouver totalement différente de toute les autres demoiselles du château, tu n’es pas le genre de demoiselle à pleurer pour une simple blessure et j’en passe ! Non, tu es totalement différente et j’aime ça chez toi ! Seulement tu es aveugles de voir à quel point je tiens à toi ! Je repris mon souffle, malheureusement c’était trop tard, j’étais tomber dans le fin fond de mon énervement, mes nerfs était présent et je m’en voulais de lui avoir parler de cette façon. J’étais toujours bloquer sur son visage, c’était assez étrange de lui parler comme ça, mais j’en rajoutai une couche mais en lui parlant calmement. Tu n’as jamais vu que je n’avais de yeux que pour toi Ysolde… C’est dingue … Je regarda la porte d’entrée, j’étais près à partir sauf que l’infirmière sortit de son bureau afin de venir me passé un savon. Monsieur Reinhaart ! Que vous ai-je dis avant ! Pas besoin d’hurler pour vous exprimez ! Je regardai l’infirmière et fit un signe de tête, puis je regardai la belle blonde en face de moi tout en parlant à l’infirmière. J’allais partir de toute évidence, j’ai un devoir de botanique à finir.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyDim 28 Aoû - 22:15

Ysolde avait un sale caractère, mais vraiment un sale caractère. On ne dirait pas comme cela, mais derrière ces boucles blondes et ses pommettes rosée. Elle s’était forgée un sale caractère avec le temps, car quand elle était enfant, elle avait fait quelques caprices, mais rien de notable. Sauf le jour de la mort de sa mère où elle avait trainé les pieds, et lui avait lancé un « j’étais bien mieux avec tante Sofia ! » en larmes, pratiquement les derniers mots qu’elle avait dit à sa mère, quel gâchis, pensa alors Ys. Mais, oui, elle avait un sale caractère, vraiment, elle était têtue, oh oui, très très très très têtu, et elle tenait cela de sa mère, c’était de famille, elle ne lâchait rien, jamais. Ysolde était aussi une personne très jalouse, et possessive, en amour… oui, mais en amitié aussi. Elle n’avait qu’une seule meilleure amie, un lien exclusif qu’elle ne voulait partager pour rien au monde. Sa possession et sa jalousie en amour n’était rien en comparaison de la jalousie qu’avait eut son ex – Ulysse – à son égard, Ysolde avait l’air d’une fille adorable à côté. Bref, Ysolde avait un sale caractère, gentille la seconde d’avant, tranchante la seconde d’après. Totalement elle, d’ailleurs, c’est ce qui venait de se passer. Elle avait été chaleureuse et reconnaissante, et tout à coup, elle se braquait, pour mieux se protéger peut être. Rys la regarda, et dit alors, d’une voix qu’elle n’avait jamais entendue : Qu’est ce qui t’arrive ? Tu te comporte bizarrement Ysolde. Elle avait levé les yeux vers lui. Elle n’avait jamais entendu Rys lui parler aussi sèchement, mais, elle l’avait mérité. Il laissa planer un silence durant lequel elle ne répondit rien. qu’aurait-elle pu lui répondre ? « tu me plait, mais barre toi s’il te plait, j’ai de sproblèmes émotionnels grave » ? Non, ce n’est pas le genre de chose que l’on dit, pas du tout. Oui, Ysolde avait un sérieux problème émotionnel concernant les hommes. Deux de ses trois petits amis avaient mal fini, un à Azkaban, l’autre mangemorts, quel palmarès. Elle se contenta de la regarder, quand il dit : Il faut savoir mettre de côter un peu ses études, pas complétement mais un peu, c’est comme ça que j’ai appris qu’il y avait des choses ou plutôt des personnes importantes. Si tu n’as toujours pas compris, que tu étais importante à mes yeux, c’est que tu es sans doute aveugle. Enfin non, tu n’es pas aveugle car tu as pris la fuite la dernière fois. Mais je ne tant veux pas et tu sais pourquoi ?! Parce que c’est toi ! Et parce que toi, je t’ai toujours trouver totalement différente de toute les autres demoiselles du château, tu n’es pas le genre de demoiselle à pleurer pour une simple blessure et j’en passe ! Non, tu es totalement différente et j’aime ça chez toi ! Seulement tu es aveugles de voir à quel point je tiens à toi ! Aveugle ? Hélas, elle n’était pas aveugle, juste bornée, et bien décidée à ne pas ouvrir les yeux. Ainsi, elle était importante à ses yeux, c’était… étrange, cette idée surpris Ysolde dans un premier temps, et puis, elle réalisa qu’elle s’en était rendu compte depuis… depuis l’épisode du terrain de quidditch, mais, elle avait toujours refusé de l’admettre, et avait voulu s’en défaire au puits des vœux, où elle avait lâchement fuit, lâchement. Elle resta muette, l’écoutant, sans l’interrompre. Il la trouvait différente des autres filles ? il la surestimait beaucoup d’après elle, elle n’était pas si différentes des autres. Elle était une garce dès qu’elle le voulait, elle pouvait tirer les cheveux d’une fille sans scrupules, elle n’était pas si différentes des autres, il devrait le savoir. Certes, elle ne pleurnichait pas, parce qu’elle n’avait jamais eut le droit de pleurnicher. Jamais. Elle n’était pas aveugle, elle voulait ignorer la vérité, c’était différent. Elle n’avait jamais vu Rys comme ça, énervé, ou exaspéré, elle n’aurait su dire. il n’avait cessé de la regarder, et ajouta finalement : Tu n’as jamais vu que je n’avais de yeux que pour toi Ysolde… C’est dingue … « d’yeux que pour elle ? » elle devait avouer qu’elle avait compris qu’il tenait à elle, mais à ce point. Quand elle y pensait, elle n’avait jamais vu Rys avec une fille à part elle, une fille avec qui il aurait pu discuter, etc. jamais, elle allait répondre quelque chose quand l’infirmière sortie de son bureau visiblement énervée : Monsieur Reinhaart ! Que vous ai-je dis avant ! Pas besoin d’hurler pour vous exprimez ! Avant ? Quoi, il avait déjà hurlé ici ? Pas que Ysolde s’en souvienne du moins, Rys fit un signe de tête à l’infirmière, et fixa alors Ysolde, tout en parlant à l’infirmière : J’allais partir de toute évidence, j’ai un devoir de botanique à finir. Oui, c’était une évidence, il allait partir, vu qu’Ysolde restait muette face à lui, une vraie serpentarde, tellement lâche. Il évoqua le devoir de botanique en la fixant, une insinuation profonde à la réplique de la jeune femme, il avait raison d’employer ce ton, de lui répondre ainsi, raison de s’énerver.

Ysolde était scindée en deux : le laisser partir, et laisser tout ça s’effacer avec le temps, trouver un autre collègue de travail, ou bien le retenir pour lui parler. Elle était assise dans son lit, avec une décision pareil à prendre en une fraction de seconde. La serpentarde en elle, la Wilkes lui disait de le laisser partir que quelqu’un d’autre s’occuperait d’elle un jour, et la Fayburn en elle lui disait de lui courir après, car après tout, il était une des seules personnes avec qui elle se sentait bien, elle ne voulait pas le perdre. Rys, attends. Dit-elle d’une voix faible, elle jeta un regard à l’infirmière, toujours plantée là. Ysolde aurait voulu se lever, sauf que se hisser jusqu’ici pour s’asseoir avait déjà été une épreuve, elle ne pensait pas que ses jambes pourraient supporter son poids, elle était certaine qu’à la seconde où elle se lèverait, elle s’effondrerait, comme un château de carte. Attends, s’il te plait, je… je suis désolée Rys. Je… je ne suis pas aveugle Rys, j’avais remarqué, et.. elle marqua une pause, cherchant ses mots, la présence de l’infirmière ne l’aidait pas du tout. Ysolde posa son regard sur elle, et dit alors : Est-ce que par hasard vous pourriez… m’amener un médicament pour le mal de tête, depuis tout à l’heure j’aime l’impression que ma tête va exploser s’il vous plait ? hum, et en plus, c’était vrai, l’infirmière regarda la jeune femme, elle poussa un soupire et tourna alors les talons. Ysolde aurait cru qu’une fois l’infirmière loin, elle aurait mieux réussi à trouver ses mots, mais, non. J’avais vu Rys, je… j’ai. Elle ferma les yeux une seconde, par Merlin qu’est ce qu’elle détestait bafouiller et chercher ses mots. Ecoute, je ne pensais pas être importante à tes yeux, pas dans ce sens du moins, c’est… en fait je crois que je n’ai pas pas voulu le voir. Je suis terrifiée Rys, je suis tout le temps terrifiée, je redoute le prochain weekend où nous seront autorisé à aller à Londres, je redoute de sortir de Poudlard, parce qu’ici c’est l’enfer pour moi, et dehors c’est dix fois pire. Je… je suis terrifiée à cause de ce que j’ai vécu, je… elle se mordit la lèvre inférieure et ajouta : je sais que le fait d’être terrifié par le monde n’excuse en rien ma conduite mais, elle marqua une pause, j’ai peur, de tout, des gens, de l’extérieur, de mes rêves, de mes visions, de tout. vision, merde, elle avait lâché ça, comme ça, comme si ça coulait de source. Elle le fixa alors ajouta alors : je tiens beaucoup à toi Rys, je tiens énormément à toi, je... c’est ça qui me fait peur. Il était probablement la première personne a entendre ce son de la voix d’Ysolde, elle était perdu, terrifié était le mot. elle subissait l’enfer de l’humiliation dés qu’elle passait la porte de la salle commune de serpentard, si bien qu’elle n’y rentrait parfois que très tard le soir, prenant le risque d’être renvoyée plutôt que d’être humilié. Ysolde n’avait jamais été aussi vulnérable, elle n’avait jamais montré tant de vulnérabilité à Rys, jamais. Le fait d’être terrifié n’excusait rien, mais elle avait peur, peur de s’attacher à lui, peur de l’aimer, même si au fond, c’était déjà trop tard. Hélas.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyLun 29 Aoû - 12:32

Rys, attends. Des cet instant, je doutais de moi, je ne savais pas si je devais partir ou bien rester auprès d’elle, sa voix était faible, elle avait surement besoin de sommeil. Ysolde était d’habitude une demoiselle qui avait le sourire aux lèvres, la plupart du temps, en tout cas avec moi, elle était vivante d’habitude, forte, aujourd’hui elle était faible, mais d’un faible que je n’avais jamais vu auparavant. Je restai donc près de la porte d’entrée de l’infirmerie, après tout, je pouvais toujours l’écouter, je n’avais rien à perdre mais tout à gagner. Je regardai la porte pendant de longues secondes puis me retourna vers elle, j’aimais parler aux gens tout en les regardants dans les yeux, c’était toujours mieux par respect et puis la plupart du temps quand les gens parlait à leurs tours, c’était simple de trouver la vérité dans un regard. Attends, s’il te plait, je… je suis désolée Rys. Je… je ne suis pas aveugle Rys, j’avais remarqué, et.. Attendre ? Elle me demandait d’attendre alors que je faisais que ça, que j’avais passé des minutes, des heures à attendre qu’elle se réveille et résultat, j’avais eu comme récompense d’aller faire mon devoir de botanique. Génial ! Ysolde s’excuser, ce n’était pas souvent, du moins c’est que penserait les gens d’aujourd’hui qui voyait totalement une nouvelle Ysolde même si avec moi, elle n’avait pas changer et heureusement. Je savais que depuis l’année dernière elle souffrait, elle avait souffert de ses cauchemars, dont je parlais avec elle, notre relation avait commencer par cela après les devoirs à deux. D’après elle, elle n’était pas aveugle, elle l’avait remarquer mais comment pouvait-elle remarquer ce genre de chose alors qu’elle avait fuit le soir ou nous avions échanger un baiser. A vrai dire, Ysolde était une femme, une humaine avant tout, auparavant, les gens aurait pu dire qu’elle ne ressentait rien mais aujourd’hui, elle ressentait tout. Tout et ce changement était bien plus que meilleur pour elle. Je restais à ma place, au pire des cas, je n’aurais cas franchir ses portes et dire au revoir à Ysolde. Ce n’était pas mon but, ni même mon intention car Ysolde était importante pour moi, seulement, lui avoir parler sur ce ton était anormal pour moi. L’infirmière était toujours présente avec nous, je me demandais bien ce qu’elle pouvait attendre sur place comme un poteau de quidditch. Peut être qu’elle allait m’exclure de l’infirmerie pour laisser Ysolde se reposer, d’un côter, Ysolde avait les yeux fatiguer, la belle blonde était faible et je n’aimais pas beaucoup ça. Est-ce que par hasard vous pourriez… m’amener un médicament pour le mal de tête, depuis tout à l’heure j’aime l’impression que ma tête va exploser s’il vous plait ? L’infirmière poussa un soupire et aller chercher ce dont Ysolde avait besoin pour sa tête. Décidément, si ce n’était pas Ysolde qui tirait une sale tête c’était l’infirmière. Alors comme ça, j’étais bien entouré. Je n’avais toujours pas dit un mot, pas un seul son de ma bouche y sortit, de toute évidence, Ysolde reprit la parole en … Bafouillant, oui c’est ça, elle cherchait ses mots, elle cherchait quoi me dire, entre nous, c’était une relation assez bizard à présent, nous avions dépasser le stade de la relation binôme. J’avais vu Rys, je… j’ai. Elle avait vu… Mais alors pourquoi ne m’avoir rien dit ? Je ne devais pas être si important que ça à ses yeux peu être, c’était sans doute plus facile pour elle que pour moi, malheureusement. Sans avoir le temps de dire quoi que ce soit, Ysolde reprit la parole, sa voix, était plus que sincère, je le sentais d’ici, près de la porte et ses yeux qui appelait à l’aide. Ses yeux se ferma quelque secondes puis elle reprit alors la parole. Ecoute, je ne pensais pas être importante à tes yeux, pas dans ce sens du moins, c’est… en fait je crois que je n’ai pas pas voulu le voir. Je suis terrifiée Rys, je suis tout le temps terrifiée, je redoute le prochain weekend où nous seront autorisé à aller à Londres, je redoute de sortir de Poudlard, parce qu’ici c’est l’enfer pour moi, et dehors c’est dix fois pire. Je… je suis terrifiée à cause de ce que j’ai vécu, je… Ysolde avait peur, sa voix était toujours aussi mélodieuse que d’habitude, mais sa voix était pleine de peur, c’était comme si elle criait à l’aide et cela me fis marcher vers elle. Je n’avais jamais vu autant Ysolde avoir peur comme ça, c’était dingue de la voir dans cet état. Elle reprit la parole en me regardant dans les yeux, c’est paroles était bien plus que sincère, je devais l’aider, je me sentais comme couple de sa souffrance mais pourquoi ? Je n’avais rien fait à part le fait de ressentir des sentiments différents des siens. je sais que le fait d’être terrifié par le monde n’excuse en rien ma conduite mais, j’ai peur, de tout, des gens, de l’extérieur, de mes rêves, de mes visions, de tout. Quelque chose me fis la regarder avec un air interrogateur, elle venait de parler de vision, vision, ceci allait peu être avec divination. Mais ce n’était snas doute pas le plus important, ou peu être que ça en faisait partit en faite. Sans m’en apercevoir réellement, j’avais marcher jusqu’au bord du lit de l’infirmerie, afin de la regarder dans les yeux. L’infirmière n’était toujours pas revenu et heureusement car Ysolde parlait de ce qui ne regardait qu’elle. je tiens beaucoup à toi Rys, je tiens énormément à toi, je... c’est ça qui me fait peur. Elle tenait à moi ? Ouah… Dire que je pensais le contraire y’a quelque instant. Le fait d’être auprès d’elle à cet instant, me fis revenir à la réalité. Ysolde avait besoin d’aide, bien plus que tout le monde. Sans savoir pourquoi et ni comprendre mon geste, je m’asseyais sur le bord du lit au drap blanc en regardant Ysolde dans les yeux. Si je peu faire quoi que ce soit pour toi Ys, je le ferais, vraiment. L’infirmière revint alors avec un verre d’eau je suppose et le médicament infiltrer dedans pour la belle blonde. C’est en regardant Ysolde dans les yeux, que je compris quelque chose. Je compris qu’en faite, Ysolde, serait toujours à mes yeux, la même personne, qu’elle l’avait été avec moi.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde      OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde  EmptyLun 29 Aoû - 21:10

Ysolde se sentait mieux, mais il y avait comme un nargole qui s’amusait à lui embrouiller l’esprit et à jouer du tamtam dans sa tête. Elle avait un mal de tête, qui allait se doute se transformer en une horrible migraine si l’infirmière ne lui apportait pas tout de suite un médicamment. Ysolde avait tendance à avoir souvent mal à la tête, et elle avait lu dans un livre sur les voyants que c’était souvent une conséquence de leur don. Décidément, elle n’arrivait pas à tirer de ce don un côté positif, rien de tout cela ne lui paraissait positif. Ni le mal de tête, ni la perte de connaissance, ni les cauchemars, ni les visions troublantes et parfois effrayante. Elle avait été.. franche, elle avait tout déballé à Rys, et avait même lâché le mot « vision », chose qu’elle n’avait jamais évoqué avec personne, même avec Alecto, ça lui faisait trop peur d’en parler, trop peur d’être différente. elle ne voulait pas impliquer Alec dans tout ça, non. Elle venait de dire à un garçon qu’elle connaissait quand même moins bien que sa meilleure amie – depuis moins longtemps, et puis ils ne partageaient pas le lien ysolde/alec – qu’elle avait des visions, chose qui était totalement, totalement top secret. Décidément, Emrys Reinhaart la mettait dans un état… lui avait toutes les raisons de lui en vouloir : tantôt amicale l’instant d’après froide, elle l’embrassait pour finalement le repousser, elle ne savait pas où elle en était, il avait donc toutes les raisons de s’en aller, tranquillement, même si elle venait de lui dire qu’elle tenait à lui, pire, qu’elle tenait énormément à lui, pire que ça lui faisait peur. Elle s’en voulait à mort, mais au moins s’il partait, c’était fini réglé, fin de l’histoire et elle trouverait un autre binôme, même si elle appréciait plus que de façon raisonnable ce binôme là. Ysolde était vulnérable, et ne l’avait pas cachée, ça aussi, c’était nouveau, il était l’un des premiers à la voir sous ce jour, c’était troublant. Il n’avait qu’à partir, et tout serait plus simple.

Hélas, ou fort heureusement, rien ne semblait être simple dans sa vie, rien du tout même. Il la fixait, et sans crier gare, il vint s’asseoir sur bord de son lit, sur les draps d’un blanc immaculé de l’infirmerie. Un échange, les yeux dans les yeux. Elle réalisait qu’il avait un regard bleu incroyable, elle se contentait d’avoir des yeux verts dont la couleur était finalement presque marron suivant l’éclairage. Elle cru qu’il n’allait jamais parler, tant elle était absorbé par son regard, mais il dit finalement : Si je peu faire quoi que ce soit pour toi Ys, je le ferais, vraiment. Il ne l’avait pas quitté des yeux, et elle non plus. Elle appréciait le geste, mais Ysolde n’était pas certaine que quelques choses puisse être fait pour elle, elle avait tellement de choses complexes à résoudre dans sa vie que… elle ne savait pas où donner de la tête. Elle avait finalement réussi à s’asseoir dans son lit, Rys n’était plus si loin, assit sur le bord. Elle le fixa et esquissa alors un sourire, faible, mais sincère. Elle ne lui avait pas fait de sourire sincère depuis quelques temps, tout d’abord méfiante, puis honteuse, mais après tout il restait Rys, son binôme, son Rys, et il méritait un sourire comme cela. Elle dit alors : Merci, je… elle n’eut pas le temps de finir sa phrase quand l’infirmière toussota alors Ysolde quitta précipitamment Rys des yeux, et fixant l’infirmière, qui s’approcha soudainement lui tendant le verre contenant le supposé médicament. Les joues d’Ysolde prirent une teinte rosée, et l’infirmière posa sa main sur l’épaule de Rys, en disant : Je vous croyais sur le départ Mr Reinhaart, car au cas où cela vous aurait échappé, Miss Wilkes a besoin de repos, alors je vous prie de me suivre jusqu’à la sortie. Ysolde s’enfonça dans les coussins qui lui servaient de dossier, et tint son verre avec les deux mains, le portant à ses lèvres, tandis que l’infirmière tira Rys du lit, l’obligeant à se lever et à le suivre. Quand elle posa ses lèvres sur le bord du verre et en bu une gorgée, elle toussa, esquissant une belle grimace, c’était dégueulasse. L’infimière se retourna alors et dit : Vous pensiez peut être qu’il s’agissait de jus de citrouille Miss Wilkes ? Ysolde hocha la tête de gauche à droite, et adressa un regard à Rys, puis un sourire, tandis que l’infirmière le conduisait vers la sortie. Elle aurait aimé lui dire qu’elle avait envie qu’ils discutent de tout ça, qu’ils se voient, mais hélas, elle n’en avait pas eut le temps. Ysolde bu non sans grimacer cette infâme potion et subi ensuite un interrogatoire de l’infirmière sur la cause de son malaise, elle prétendit avoir tourné de l’œil à cause de sa blessure, cela laissa l’infirmière perplexe, mais elle était la dernière personne à qui elle parlerait de ses visions. Puis, elle lui dit de se reposer, ysolde mis un certain temps avant de fermer l’œil, pensant continuellement à Rys, elle le maudissait pour être présent dans chacune de ses pensées.

SUJET TERMINE.
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