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I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyDim 30 Oct - 20:00

Graeme ! Pas de réponse, pas de mouvement en direction de la jeune femme, ni l’envie de s’arrêter et d’entendre ce qu’elle avait à dire. tête de mule, pire qu’un hippogriffe malade lunatique. Oui, vous savez un hippogriffe malade c’est de très très très très mauvaise humeur, c’est même violent, et entêté. Il était pire que ça, lui ne daignait même pas s’arrêter et lui adresser la parole ! Cela avait commencé après leur entrevue dans un couloir avec Ombrage. Ombrage avait été infecte avec Graeme, a cause de son action, de son apparence, etc. mais, avec Ysolde, elle avait été adorable, alors qu’ils étaient aussi sale l’un que l’autre. tout avait commencé. Le « tout » signifie ce froid intersidéral entre les deux blonds, entre le beau blond Graeme Reinhaart – le griffondor – et la belle blonde veneneuse Ysolde Fayburn-Wilkes – le vipère. Ils ne s’étaient pas reparlé depuis. Entre eux rien n’était clair. Ils étaient ensemble, ou pas ? Ysolde était incapable de répondre à cette fichue question, incapable. Oui, ils n’avaient jamais évoqué le fait d’être ensemble, ils s’embrassaient mais… étaient-ils ensemble ? Cette question taraudait la jeune femme, mais le fait de ne pas lui parler ne facilitait pas le dialogue, du tout. en fait, ce n’était pas la sorcière qui l’évitait, c’était lui qui l’évitait. Oui, il l’évitait, il n’avait pas digéré le fait qu’Ombrage soit adorable avec ysolde à cause de son sang, et le fait qu’Ysolde n’ai rien dit pour « prouver le contraire », mais ysolde avait dû faire un choix : faire de sa vie un enfer, ou faire en sorte que sa vie à Poudlard ne soit pas pire qu’elle l’était déjà, mais visiblement, c’était passé au dessus de la tête de graeme, monsieur avait pris la mouche.
Graeme ! reprit-elle plus sèchement. Toujours rien. pas un mouvement, mais cette fois s’en était trop, il ne fallait pas s’amuser avec les nerfs d’Ysolde Wilkes trop longtemps. Ces fichus serpentard lui rendaient déjà la vie impossible, alors là, il en rajoutait un sacré couche, la jeune femme n’irait pas avec le dos de la petite cuillère. La jeune femme respira lentement, et attrapa son sac, et pressa le pas, poussant au passage la seule personne présente dans le couloir à part elle et Graeme, et pressa le pas pour arriver à la hauteur du jeune homme. A l’aide de sa main, elle attrapa sèchement son épaule, pour le faire s’arrêter et se mit alors, face à lui. L’heure de la confrontation avait sonnée. Elle le fixa alors et dit sèchement : Ca y est, j’ai toute ton attention ?! Okay, trêve de plaisanterie. Maintenant tu vas arrêter de faire le tour de château pour m’éviter. Mais bordel qu’est ce qui va pas avec toi ?! La question était purement rhétorique, elle ne lui laissait pas d’ailleurs le temps de répondre, elle se fichait bien de sa réponse, et poursuivit son « sermon », ou son pètage de cable. C’est ma faute hein ? Tu me fais la gueule parce que cette vieille garce vêtue de rose m’a jugé par mon sang et par mon nom, hein ? elle laissa échapper un rire à la fois nerveux et désabusé. Mais le vrai problème c’est que j’ai rien dit pour aller à l’encontre de son idée, parce que j’ai rien fait pour qu’elle ne m’aime pas. Ca te fait bien chier ça ! Mais t’es tu seulement demander une seule seconde pourquoi j’ai fait en sorte de ne pas être collée, hein ? MAIS NON ! Tu n’as pensé qu’à toi ! j’ai pas besoin d’heures de colles en plus, et d’avoir la vieille bique en ennemi, j’en ai assez à poudlard qui veulent ma peau, mais bien sûr ça te passe au dessus ! C’était dit. Ysolde fulminait, elle était hors d’elle, la dernière fois qu’elle s’était énervée comme ça, ça remontait à longtemps, le temps où elle était encore « Ysolde la magnifique », soit contre Ulysse, c’était dire.

Dernière édition par Ysölde Fayburn-Wilkes le Lun 31 Oct - 21:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyLun 31 Oct - 9:59

Depuis la dernière fois, le jeune Reinhaart n’avait pas adresser un seul mot à Ysolde, au contraire il l’évitait. Il avait passé sa retenue avec Ombrage et n’avait donner aucune nouvelle depuis. Il aurait été mort personne n’aurait été au courant. A présent, il détestait les cours car il avait l’impression que tout son travail qu’il fournissait depuis toutes ses années était bâclé. C’est en évitant la blonde dans un couloir, ne faisant pas attention à qui pourrait se trouver derrière lui qu’il entendit : Graeme ! Il ne détourna pas la tête et n’adressa pas un seul signe pour dire qu’il l’entendait. Graeme faisait son sourd, ne voulant pas lui adresser un seul et unique mot même si l’envie était présente depuis de nombreux jours. Il continua son chemin, il savait qu’elle n’appréciait pas à ce qu’on ne lui réponde pas, il savait qu’elle détestait sa et pourtant, il le faisait, avec un certain mal mais il le faisait. Graeme ! Il remarqua alors que la voix de la serpentarde était sèche et qu’il en prendrait pour son grade quand elle réussirait à l’avoir. Il entendit alors des pas derrière lui qui accélérait, c’était mauvais signe pour lui et le pire dans tout sa, c’est que les pas se rapprochait de plus en plus. Soudain, il sentit une main le prendre par l’épaule afin de le faire arrêter de marcher, quand il vit en face de lui, la blonde, sa blonde. D’ailleurs, il remarqua facilement que son regard était noir, elle commença alors à prendre la parole : Ca y est, j’ai toute ton attention ?! Okay, trêve de plaisanterie. Maintenant tu vas arrêter de faire le tour de château pour m’éviter. Mais bordel qu’est ce qui va pas avec toi ?! Le jeune Reinhaart n’eu même pas le temps de dire quoi que ce soit que la blonde reprit la parole. Elle se vidait. Tout ce qu’elle ressentait au fond d’elle, elle était entrain de le vider. C’est ma faute hein ? Tu me fais la gueule parce que cette vieille garce vêtue de rose m’a jugé par mon sang et par mon nom, hein ? Graeme la regardait, l’écoutait, il avait envie de la faire taire, il avait envie de lui dire qu’il sans fichait bien de son sang, de son nom, que tout ce qu’il voulait c’était qu’elle soit en sécurité car c’était tout ce qu’il comptait pour lui. Il laissa la blonde reprendre la parole qui après un rire assez… Nerveux s’exprima : Mais le vrai problème c’est que j’ai rien dit pour aller à l’encontre de son idée, parce que j’ai rien fait pour qu’elle ne m’aime pas. Ca te fait bien chier ça ! Mais t’es tu seulement demander une seule seconde pourquoi j’ai fait en sorte de ne pas être collée, hein ? MAIS NON ! Tu n’as pensé qu’à toi ! j’ai pas besoin d’heures de colles en plus, et d’avoir la vieille bique en ennemi, j’en ai assez à poudlard qui veulent ma peau, mais bien sûr ça te passe au dessus ! Si Graeme n’avait pensé cas lui alors il aurait été avec elle des la retenue. Seulement, il avait reçut plutôt une menace disant que si il traînait de nouveau avec elle, cela finirait mal et pas que pour lui. Le jeune Reinhaart ne voulait pas qu’il arrive un truc à Ysolde mais également à sa famille. C’est alors que le jeune Reinhaart s’exprima en ne la lâchant pas des yeux : La vieille ma menacé disant que si je t’approchais de nouveau cela irait mal. Je n’avais simplement pas l’envie qu’il t’arrive quelque chose ou qu’il arrive quelque chose à ma famille ! C’est compréhensible ! Premièrement si je pensais à moi je serais venu te parler ! Hors je n’ai pensé qu’au mal que vous pourriez avoir ! Deuxièmement ton sang, ton nom, je n’en ai rien à battre Ysolde ! Tu devrais le savoir ! Troisièmement si tu te confiais à moi comme tu l’avais fais l’année dernière, j’en serais un peu plus de ce qui se passe envers toi à Poudlard ! Je sais que tu as pleins d’ennuis et ce n’est pas d’aujourd’hui à ce que je sache ! Et tu sais que si tu as besoin je suis présent ! Et quatrièmement arrête de gueuler comme sa parce que sa me plait ! Graeme essayait de calmé les choses, il savait qu’avec elle ce n’était pas spécialement facile, mais il avait bien ses ressources, il savait bien quoi faire. Il devait seulement rester lui-même, ne pas lui mentir même si il avait évité la belle blond pendant des jours. Le jeune homme tourna la tête afin de voir si Ombrage n’était pas dans les parages puis il tourna de nouveau la tête vers la blonde. Je m’en fou de la fille de qui tu es, haut placer ou pas, j’en ai rien à faire. Je sais que tu as une facette que tu caches et celle-là commence à m’intrigué. Tu m’intéresse pour ce que tu es, pas pour ton nom, ni pour ton sang. Le jeune Reinhaart essayait d’apaisé les choses même s’il appréhendait ce qu’elle pourrait bien lui dire. Peut être qu’elle essayerai de lui brouiller l’épaule de nouveau. Il n’en savait rien, il voulait juste voir, attendre pour voir.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyLun 31 Oct - 20:25

Ysolde était une fille assez suceptible, et elle détestait qu’on la surprotège. Le fait d’être trop protèger énervait Ysolde au plus haut point. Quand Ramsey – son défunt frère – était encore en vie, il passait son temps a assurer les arrières de la jeune femme. Cela avait de nombreuse fois été un sujet de discorde, jusqu’au bout Ysolde lui avait reproché d’être trop protéger, et il était mort en pensant qu’elle lui en voulait. Ysolde n’était pas le genre de fille à ménager, elle savait encaisser les coups, les emmerdes, elle savait subir, elle savait encaisser, elle n’était pas fragile, au contraire, elle était peut être une des filles les plus fortes que vous puissiez rencontrer. Alors, elle n’allait certainement pas ménager Graeme, c’était un mec, il était sensé être plus fort qu’elle.

Elle était franchement énervée par se comportement. Elle le fixait, incapable de le lâcher des yeux, il la fixait également. Il répondit alors : La vieille ma menacé disant que si je t’approchais de nouveau cela irait mal. Je n’avais simplement pas l’envie qu’il t’arrive quelque chose ou qu’il arrive quelque chose à ma famille ! C’est compréhensible ! Premièrement si je pensais à moi je serais venu te parler ! Hors je n’ai pensé qu’au mal que vous pourriez avoir ! Deuxièmement ton sang, ton nom, je n’en ai rien à battre Ysolde ! Tu devrais le savoir ! Troisièmement si tu te confiais à moi comme tu l’avais fais l’année dernière, j’en serais un peu plus de ce qui se passe envers toi à Poudlard ! Je sais que tu as pleins d’ennuis et ce n’est pas d’aujourd’hui à ce que je sache ! Et tu sais que si tu as besoin je suis présent ! Et quatrièmement arrête de gueuler comme sa parce que sa me plait ! C’était la première fois depuis l’autre jour qu’elle entendait le son de sa voix, cela avait été le silence radio pendant tout ce temps. Il se fichait de son sang : tant mieux, mais cela avait quand même du lui faire quelque chose que lui soit rejeter par la nature de son sang et de sa personne, il ne pouvait pas nier. Ensuite, il se souciait de sa sécurité , pitié, la vieille excuse bidon. La jeune femme le fixait, et il poursuivit alors en disant que c’était de sa faute à elle, elle ne se confiait plus à lui comme l’année dernière. Oui, mais l’année dernière ils n’étaient pas plus ou moins ensemble, tout était tellement compliqué entre eux qu’elle ne savait pas où donner de la tête, quoi dire, quoi faire. Et quatrièmement… quoi ? Ca lui plaisait qu’elle lui hurle dessus ? par merlin, ça s’était étrange comme répartie. Il continua donc par dire, après avoir vérifié qu’ils étaient « seul » dans le couloir : Je m’en fou de la fille de qui tu es, haut placer ou pas, j’en ai rien à faire. Je sais que tu as une facette que tu caches et celle-là commence à m’intrigué. Tu m’intéresse pour ce que tu es, pas pour ton nom, ni pour ton sang. Il se fichait de son rang ? Encore heureux ! il ne manquerait plus qu’il lui dise qu’elle l’intéressait uniquement parce qu’elle était la fille d’angus wilkes, ou je ne sais quoi. Quand il évoqua la facette qu’elle cachait, Ysolde détourna le regard une seconde. Elle avait cette facette presque violente en elle, elle était tout le temps en colère, elle était furieuse à longueur et journée, et quand elle regardait sa vie… cela l’énervait d’avantage, cela la mettait hors d’elle. Elle avait de quoi se plaindre.

Je ne suis pas une poupée fragile ! articula alors ysolde, un peu exaspérée. cela faisait directement référence au moment où il avait dit qu'il n'était pas venu la voir suite aux menace d'Ombrage, soit disant pour la protéger. Elle savait se défendre, elle n'avait rien d'une poupée de porcelaine qui se brise facilement, elle savait se battre, et résister, alors quelle détestait qu'on la surprotège trop. Tu n’as pas besoin de me protéger tout le temps. Okay ? Elle poussa un léger soupire, et poursuivit alors : C’est ma faute maintenant, hein ? Je ne me confie pas à toi. Je devrais peut être tout te dire du désastre qu’est ma vie ?! C’est exactement ça qui m’énerve ! Ca ! tu m’énerve ! Tu crois que parler peut tout solutionner, mais non. Je ne peux pas tout te dire, parce que tout est différent de l’année dernière entre nous ! Ca c’était sûr, rien n’était plus comme avant. Avant elle se confiait facilement parce qu’ils n’étaient qu’amis, parce qu’ils étaient camarades de classe, donc… pas de contrainte personnelle, ni sentimental, mais là, c’était pire, pire, et repire. Qu’est ce que tu veux que je te dise ? Que je ne reste jamais dans la salle commune de ma propre maison ? Que je mange seule au bout de la table ? Que Black veut ma peau ? Que j’ai envie de me barre d’ici ? Qu’est ce que tu veux savoir d’autre ? Que mes visions me donnent mal au crâne ? Que ma vie est un enfer ? Que mon père est complètement cinglé ? Que ma mère me manque ? Tu veux savoir quoi d’autre, hein ?! Ysolde avait haussé le ton, entre énervement, exaspération, et le fait d’en avoir marre de tout.
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyLun 31 Oct - 21:18

Cela faisait tout de même bizarre l’énervement entre eux, Graeme n’était pas du genre à se laissé faire et surtout pas par une fille même si celle-ci était bien différente des autres, d’ailleurs c’était sa qui avait collé directement, qui l’avait intrigué à s’approcher d’elle l’année dernière. Il la fixait dans les yeux après avoir parler, aucun des deux ne changeait le regard de direction, c’était un face à face comme il n’y en avait jamais eu auparavant. Et tout sa pourquoi ? Pour une grosse dame qui n’en valait même pas la peine. Le jeune Reinhaart n’aimait pas vraiment cette situation, ça lui rappelait la dernière fois ou ils s’étaient revus aux puits des vœux pour échanger leur premier baiser, enfin elle s’était tout de même enfuit en laissant le Reinhaart seul dans le noir. Je ne suis pas une poupée fragile ! Voilà ce qu’elle prononcea au blond qui n’avait pas détourner le regard en ayant fini de parler, bien au contraire, il profitait qu’elle parla afin de la regarder, l’admiré comme il aimait tant faire. Il savait très bien que s’était une battante, il le savait très bien, mais il n’avait pas envie qui lui arrive quelque chose. C’était son coter protecteur qui ressortait même s’il n’avait pas vraiment cette habitude là. Tu n’as pas besoin de me protéger tout le temps. Okay ? Graeme lui fit un signe de tête, ne voulant pas parler pour le moment. C’était un signe de tête qui voulait dire qu’il savait, qu’il savait qu’elle n’était pas le genre de demoiselle à se laisser faire et ne pas se battre, elle, elle était tout le contraire de toutes les autres filles du château et cela plaisait au Reinhaart. Il regarda alors la blonde soupiré pour ensuite de continuer de parler : C’est ma faute maintenant, hein ? Je ne me confie pas à toi. Je devrais peut être tout te dire du désastre qu’est ma vie ?! C’est exactement ça qui m’énerve ! Ca ! tu m’énerve ! Tu crois que parler peut tout solutionner, mais non. Je ne peux pas tout te dire, parce que tout est différent de l’année dernière entre nous ! Tout avait changer entre eux, il le savait très bien, il savait très bien qu’il n’était plus un simple binôme même camarade pour elle, il le savait très bien, il avait toujours voulut plus, plus quand il la voyait au bras du Lestrange, plus quand tout le monde parlait d’elle en mal parce qu’elle était la princesse de la maison de salazard serpentard, même aujourd’hui il voulait plus car il ne savait pas exactement ou ils en étaient tous les deux. Evidement que Graeme ressentait des tas de sentiment pour elle, il le savait, il en était amoureux et depuis le début, il y avait tout de même beaucoup d’effort fournit de la blonde. Lui n’avait jamais osé quoi que se soit avec elle, pas de baiser, rien car il savait qu’elle n’appréciait pas vraiment le contact, d’ailleurs il avait toujours accepter cela même si la blonde essayait, il le voyait d’ailleurs. La belle blonde reprit alors la parole en haussant le ton de sa voix en ne lâchant pas du regard le gryffondor qui n’attendait qu’une chose, qu’elle se taise afin qu’il puisse lui faire comprendre un tas de chose en faisant qu’une seule et unique chose. Qu’est ce que tu veux que je te dise ? Que je ne reste jamais dans la salle commune de ma propre maison ? Que je mange seule au bout de la table ? Que Black veut ma peau ? Que j’ai envie de me barre d’ici ? Qu’est ce que tu veux savoir d’autre ? Que mes visions me donnent mal au crâne ? Que ma vie est un enfer ? Que mon père est complètement cinglé ? Que ma mère me manque ? Tu veux savoir quoi d’autre, hein ?! Graeme avait bien vu qu’elle mangeait seul au bout de la table des vert et argent, le jeune homme était très observateur, c’était une qualité chez lui. Mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’elle ne restait jamais dans sa salle commune, que Black, un serpentard plutôt rusé et malin d’après des connaissances mais surtout des rumeurs lui voulait la peau. Il ne savait pas également qu’elle voulait partir d’ici, ce qui était impossible à imaginer. Il savait également qu’elle avait des visions mais pas au point dans avoir mal. Il redoutait à chaque fois le pire, mais le pire, c’était sa famille, la famille de la blonde qui lui avait mentit pendant toute son enfance. Il savait que le manque parental était dur, enfin il essayait de comprendre naturellement étant donner qu’il avait ses deux parents. Mais le manque de sa mère, il le savait, il le voyait quand elle en parlait, quand il avait remarquer les larmes qui se formait dans les yeux de celle-ci à la bibliothèque et il savait également que son père était un cinglé, mentir sur l’enfance de sa propre fille c’était… Inimaginable. Quand la blonde eut finie de parler, le jeune homme se rapprocha d’elle doucement afin de soulever doucement le menton de celle-ci, afin de remettre en place une mèche des cheveux de la blonde. C’est à cet instant présent qu’il se rendit compte que la blonde lui avait manqué et que de s’énerver ne servait à rien. Il lui caressa doucement la joue en ne lâchant pas le regard de celle-ci puis approcha doucement mais hésitant tout de même ses lèvres à celle de la blonde. Graeme ne savait pas réellement comme si prendre car il savait que la blonde n’aimait pas avoir de contact comme celui-ci, il le savait mais il osait tout de même. Le jeune Reinhaart savait qu’elle avait besoin de quelqu’un sur qui compter quand elle aurait besoin, de ne pas être trahit de nouveau. Le jeune Reinhaart prit alors le dessus en se fichant complètement de qui pourrait se passé dans le couloir. Il sans fichait bien et arrêta doucement le baiser. Afin de regarder sa blonde dans les yeux pour pouvoir s’exprimer : Je sais que tu es capable de grande choses, tu es une sorcière intelligente vraiment. Je sais qu’avec la force que tu as à l’intérieur de toi, tu es capable de beaucoup même de battre moralement ce Black qui d’ailleurs n’en vaut pas la peine. Tu es maline et rusée, tu sais ce qu’il faut faire pour gagner, il n’y a cas voir l’autre jour. Ta force, c’est ce qu’il y a à l’intérieur de toi. Je ne sais pas ce qu’est le manque parental donc je ne peu pas vraiment ressentir ce que tu ressens mais j’essais afin de te comprendre. Le jeune homme prit alors sa respiration afin de la regarder dans les yeux, mais son regard se posa alors sur les lèvres de la blonde. Il posa alors doucement son pouce sur celles-ci afin de les caresser doucement. J’ai pas envie que tu partes… Poudlard ne serait plus Poudlard sans toi… Bat toi… Je sais que tu as la force de te battre… Je sais que tu es capable de beaucoup de choses… Le blond ne lâcha pas le regard de la blonde tout en continuant de caresser les lèvres de celle-ci afin de la calmé. Du moins essayé.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyLun 31 Oct - 22:00

La jeune femme avait tendance à s’emporter assez rapidement. Oui, elle était un peu « impulsive », et fougueuse. Enfin, « un peu », je dirais que l’expression n’est pas correction, elle était totalement impulsive. Totalement, oui. Alors, avec Graeme, elle avait eut tendance à lever la voix, très rapidement. Tout de même, elle avait tenue une semaine entière sans lui adresser la parole, ce n’était pas faute d’avoir essayé de lui parler, mais Mr avait préféré la fuir toute la semaine, et pour quelles raisons ? Pour la protéger. Pitoyable. D’un côté c’était flatteur, et adorable d’être protéger, mais des fois, c’était… Ysolde détestait cela. Elle était assez forte, mais en même temps elle était une fille assez vulnérable, même très vulnérable, tantôt forte, elle était si faible parfois, à deux doigts de craquer, tout le temps.

Sitôt qu’elle eut fini de parler, le jeune homme se rapprocha d’elle. Il lui souleva délicatement le menton et remit tendrement une mèche blonde la jeune femme en place. elle n’avait pas été proche de lui depuis pas mal de temps, ce contact qu’elle craignait tant lui avait manqué en fait. elle avait hésiter à s’extirper de son étreinte – elle avait du caractère. Mais elle ne fit rien. Être avec lui, cela lui avait terriblement manqué, en fait, elle aurait été incapable de l’admettre, mais rien que ce geste affectueux l’avait un peu calmé. Il l’embrassa alors. Un baiser auquel la jeune femme ne disait pas non, il était apaisant pour elle. Elle avait besoin d’être calmé, sinon, dieu seul sait jusqu’à où elle serait capable de s’énerver. Avec douceur, il arrêta le baiser. Il ne la quittait pas des yeux, quand il dit alors : Je sais que tu es capable de grande choses, tu es une sorcière intelligente vraiment. Je sais qu’avec la force que tu as à l’intérieur de toi, tu es capable de beaucoup même de battre moralement ce Black qui d’ailleurs n’en vaut pas la peine. Tu es maline et rusée, tu sais ce qu’il faut faire pour gagner, il n’y a cas voir l’autre jour. Ta force, c’est ce qu’il y a à l’intérieur de toi. Je ne sais pas ce qu’est le manque parental donc je ne peu pas vraiment ressentir ce que tu ressens mais j’essais afin de te comprendre. Elle n’était pas persuadé d’être capable de grande chose, elle savait qu’elle était brillante, ce n’était pas du narcissisme, mais une réalité. La jeune femme avait des notes particulièrement excellente, c’était ce que tous les profs lui disaient. Elle se savait brillante, mais de là à être capable de faire de grande choses, elle n’y croyait pas vraiment, il lui manquait de la force, et du courage. Enfin, elle n’était pas consciente de sa force, de sa résistance, et de son courage. Elle n’était pas capable de battre Black, il était vil, cruel, et aussi rusée et intelligente soit-elle face à la violence et à la brutalité, elle ne pouvait rien y faire, elle était une fille, elle n’avait pas de force dans les bras. Elle avait l’impression de ne pas avoir de force, chez elle on ne lui avait jamais dit « bravo Ysolde, je suis fier de toi », jamais. Seule sa mère aurait pu lui dire ses mots, et ils lui manquaient terriblement.
Le jeune homme la regarda dans les yeux avant de poser doucement son pouce sur ses lèvres, les caressant doucement, et ajoutant ensuite : J’ai pas envie que tu partes… Poudlard ne serait plus Poudlard sans toi… Bat toi… Je sais que tu as la force de te battre… Je sais que tu es capable de beaucoup de choses… Ysolde s’était calmé, un peu, à l’intérieur elle était toujours furieuse, pas forcément contre lui, mais un peu contre tout le monde. Elle avait voulu s’enfuir avant le début de l’année, oui, elle aurait tant aimé suivre les traces de sa mère, s’éloigner de Poudlard aurait pu lui faire un bien fou. Changer d’air, de tête, mais… des personnes comme Graeme lui aurait manqué, sans jamais oser vraiment l’admettre. Ysolde la fixait, laissant la colère s’échapper un peu. Elle respira doucement, et dit alors la gorge un peu serrée : Je ne suis pas certaine d’être aussi forte que tu le dis. Je fuis tout le temps, je ne suis pas capable d’affronter ce qui me met hors de moi. J’aimerais pouvoir botter le cul à ce cinglé de Black, j’aimerais que mon cinglé de père paye pour ce qu’il a fait… j’aimerais que… La voix de la jeune femme s’évanouie alors. Elle leva doucement les yeux au ciel, et passa une main sur sa joue, sous son œil, persuadé qu’elle avait déjà versé une larme. Ses yeux étaient à deux doigts d’être brumeux. Elle avait une boule dans la gorge, quand elle reprit alors : Je… j’ai voulu ne pas revenir à Poudlard cette année, je croyais que c’était la meilleure chose à faire. Mais… certaines choses m’auraient manquées, certaines personnes m’auraient manquées. Elle laissa sa voix s’atténuer à la fin de sa phrase. Ysolde savait que partir aurait solutionné des problèmes mais les visions ne se sauraient pas envolé de sitôt, il fallait qu’elle vive avec, mais elles avaient tendance à lui faire faire des cauchemars et à lui donner des mal de crâne affreux.
Ysolde était calmé, la jeune femme était tout à coup bien différente, mélancolique, presque les larmes aux yeux. C’était elle fragile, vulnérable à l’instant, et tantôt forte et énervée. Elle s’approcha alors de Graeme, se blottissant elle-même contre lui – chose rare elle qui n’aimait pas les contacts physique – elle posa sa tête sur son épaule. Graeme lui aurait terriblement manqué si elle était partie, terriblement.
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyLun 31 Oct - 23:00

Je ne suis pas certaine d’être aussi forte que tu le dis. Je fuis tout le temps, je ne suis pas capable d’affronter ce qui me met hors de moi. J’aimerais pouvoir botter le cul à ce cinglé de Black, j’aimerais que mon cinglé de père paye pour ce qu’il a fait… j’aimerais que… Il y avait tant de chose qu’elle voulait, tant de chose qu’elle aimerait réparé, comme les erreurs de son passé et Graeme le savait, il savait également que cela lui rongeait et il n’aimait pas beaucoup sa. Le son de la voix de la blonde avait changer, celui-ci était comme faible, comme si elle commençait un peu à se calmer, à s’apaiser, c’est ce que voulait Graeme, qui d’ailleurs avait tout fait pour. Le jeune Reinhaart regarda alors la blonde qui passa sa main sur sa joue afin de vérifier sans doute si elle ne laissait pas tomber de larme puis elle continua également sous son œil. Il n’aimait pas vraiment la voir comme ça même si cela montrait qu’elle n’en pouvait plus. Il y a des jours comme sa, ou rien ne va ou l’on laisse tout tomber, le jeune Reinhaart avait également eu des jours comme celui que traversait sa serpentarde. D’ailleurs celle-ci se remise à parler au gryffondor qui lui l’écoutait attentivement : Je… j’ai voulu ne pas revenir à Poudlard cette année, je croyais que c’était la meilleure chose à faire. Mais… certaines choses m’auraient manquées, certaines personnes m’auraient manquées. Poudlard, Poudlard, c’était la maison à tous, c’était ici que nous passions les plus belles années de notre vie, mais également de notre enfance. Ici, la plupart des personnes pouvait nous connaitre du bout des doigts même si en grandissant, soit on devenait de plus en plus sombre, soit on devenait de plus en plus sur de nous et dans les temps qui court en ce moment même à Poudlard, il fallait mieux être sur de chaque fait et gestes que nous faisions. Il n’avait pas envie qu’Ysolde quitte le château, en faite, sans elle, Poudlard ne serait plus Poudlard, il s’était habitué à la voir chaque jours, ce qui d’ailleurs rendait ses journées bien plus court cas la normal, elle rendait ses journées plus belle, c’était le cas de le dire. D’ailleurs, même s’il restait des années encore à passé au château, le jeune Reinhaart n’aimait pas pensé à sa dernière année, il lui restait encore du bon temps ici, mais rien que le fait dit pensé, lui donnait la peur. Il n’aimait pas pensé à l’avenir, il détestait sa même. Il se demandait comment pourrait être Poudlard sans sa serpentarde, c’était vraiment impossible. C’était comme si son sourire qu’il appréciait, hanterait les couloirs du château, ça ne serait jamais un adieu, ni même un au revoir. Ysolde avait sa place au château, c’était sur même. Soudain, la blonde se rapprocha du blond afin de se blottir contre lui. Ce qui premièrement étonna le blond mais deuxièmement il apprécia. Il voyait bien que sa n’allait pas vraiment, il le voyait et cela le dérangeait. En faite, il n’aimait pas qu’on lui fasse du mal, il détestait sa, voilà pourquoi il était autant protecteur envers elle. Il tenait à elle, voilà ce qui expliquait son comportement violent envers les autres. Le jeune homme en profita alors pour tourner la tête afin de déposer un baiser sur les cheveux de la blonde puis il prit ensuite la parole : Déjà que je n’arrête pas de pensé à toi, alors t’imaginer loin de Poudlard, loin de ta tenue aux couleurs de ta maison, t’imaginer loin de sans doute les plus belles années de nos vies, cela deviendrait pire dans mes pensées. Voilà qui était dit. Il ne savait pas vraiment comment cela aurait été sans elle, en faite, c’était tout bonnement impossible dit pensé car cela n’aurait pas lieu d’être. Mais il savait qu’il fallait profité de Poudlard et des années à venir car peut être que cela deviendrait pire à l’extérieur. A cet instant, il se fichait pas mal du monde qui passait à coter d’eux, il y en avait très peu mais c’était suffisant pour avoir encore des étudiants qui chercherait l’embrouille à nouveau. Chose que n’hésiterait pas le jeune Reinhaart qui en ce moment même profitait de l’instant présent qu’il vivait avec sa blonde. D’ailleurs celui-ci n’hésita pas à passé sa main doucement dans les cheveux de la serpentarde. Tu n’as pas à changer pour moi, je t’ai toujours accepté comme tu étais, je n’ai jamais douté une seule seconde toi. Et plus tard, ton père sans mordra les doigts. Quand il verra que sa propre fille est une sorcière bien plus intélligente que lui et plus maline. Tu peux me croire. Le jeune homme se mit alors à sourire en regardant la blonde. Pourquoi sourire quand on parle de vengeance ? Simplement parce que le père d’Ysolde méritait tout malheur pour avoir donner une enfance terrible à sa propre fille.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyLun 31 Oct - 23:50

Vous savez Ysolde n’était pas une grande partisane des embrassades langoureuses dans un couloir, des pelotages outranciers dans le parc. Ysolde détestait les contacts physiques en public, oui, elle n’aimait pas ça du tout. alors, c’était une attitude qui avait été la cause de nombreux désaccord avec son ex qui tenait absolument à montrer à tout le monde qu’Ysolde était bien à lui, et rien qu’à lui. Etre une femme objet, c’était ce que son ex avait voulu faire d’elle, et suite à la fin de leur couple, elle tolérait très mal les contacts, sauf quand elle le voulait bien, mais restait assez fébrile quand même. Oui, la fin de sa précédente relation avait été… brutale pour la jeune femme, voir même violente. Il était donc facile de comprendre ses réticences.
Mais cette fois, c’était elle qui s’était rapproché de Graeme, et quand elle le voulait bien, on était à deux doigts de bien vouloir sortir de champagne. La jeune femme s’était blottie contre lui, montrant sa vulnérabilité. Elle cherchait le réconfort que Graeme voudrait bien lui donner, elle pouvait sincèrement compter sur lui, du moins elle espérait. Tout à coup, c’était comme si elle avait oublié qu’elle lui en avait voulu une partie de la semaine pour l’avoir ignoré. La jeune femme avait la tête posée sur son épaule, visiblement bien calmée. Déjà que je n’arrête pas de pensé à toi, alors t’imaginer loin de Poudlard, loin de ta tenue aux couleurs de ta maison, t’imaginer loin de sans doute les plus belles années de nos vies, cela deviendrait pire dans mes pensées. Le jeune homme déposa un doux baiser dans les cheveux blonds de la sorcière. Elle aussi ne faisait que penser à lui, enfin, il occupait une grande partie de ses pensées. Etre loin de lui aurait été étrange, mais si elle était partie avant la rentrée alors… leur relation aurait été tout à fait différente, avant la rentré ils ne s’étaient pas embrassés. Si elle était partie avant, les choses auraient été totalement changée, elle n’aurait peut être même pas eut de suite. L’idée de ne pas avoir Graeme dans sa vie lui faisait réaliser qu’en partant elle aurait gagné en tranquillité, mais elle aurait perdu beaucoup. Poudlard étaient d’après Graeme les plus belles années de sa vie, elle avait un peu du mal à y croire, pour l’instant sa vie était un cauchemar, elle était la tête de turque de sa maison alors, si c’était ça les plus belles années de sa vie… mais il y avait Graeme, et quelques amis, alors… les choses n’étaient pas si noire. Il passa un main dans ses cheveux avant de poursuivre : Tu n’as pas à changer pour moi, je t’ai toujours accepté comme tu étais, je n’ai jamais douté une seule seconde toi. Et plus tard, ton père sans mordra les doigts. Quand il verra que sa propre fille est une sorcière bien plus intélligente que lui et plus maline. Tu peux me croire. Un jour le père de la sorcière payerai, Ysolde en faisait le serment. Elle n’était pas pressée de se retrouver confronter à lui mais, elle savait que lorsque ce jour arriverait, elle serait prête. Ysolde était plus futée que son père, elle avait l’intelligence des Fayburn lui avait dit sa mère enfant, les Wilkes n’étaient pas vraiment intelligent, elle le savait, ils étaient cinglé, on ne peut pas tout avoir.
Elle se décolla un peu de lui – juste un peu – et leva les yeux vers lui, elle aimait voir son visage, cela lui rappelait d’une certaine manière pourquoi elle était restée ici. Elle était toujours plus ou moins blottie contre lui. Ses yeux étaient rougis, même si les larmes n’avaient pas coulées, elle n’était jamais bien loin. Quand on la voyait, il y avait cette force qui la caractérisait, et cette vulnérabilité qu’elle s’efforçait de cacher. Elle dit alors, après s’être mordue la lèvre : Un jour mon père regretta d’avoir fait ce qu’il m’a fait, à moi et à ma mère. Il l’avait maintenu dans l’ignorance toute sa vie, et d’après Ysolde, il était sans doute l’auteur de l’accident qui avait couté la vie à sa mère, elle se souvenait de la façon dont il l’avait menacé. Ysolde était une femme rancunière, très rancunière. Je suis bien heureuse de ne pas être partie, je veux dire qu’on ne serait pas là, tous les deux. Bon, certes, ils n’étaient encore pas parti sur de bonne base pour cette entrevue, mais, ils étaient là ensemble. La jeune femme se rapprocha d’avantage du jeune homme, et pressa tendrement ses lèvres contre les siennes. Elle ne comprenait pas comment elle pouvait presque devenir dépendante en si peu de temps. Leur relation n’était toujours pas claire, c’était ça qui freinait aussi la jeune femme dans les élans d’affections. Oui, peut être que si les choses étaient aussi claire que de l’eau de roche alors elle agirait différemment. Le baiser de la sorcière, était tendre, presque du bout des lèvres. Mais elle se blottie de nouveau contre lui.
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMar 1 Nov - 10:56

Un jour mon père regretta d’avoir fait ce qu’il m’a fait, à moi et à ma mère. C’était ce que la blonde avait prononcer en levant la tête vers le rouge et or. Il comprenait l’envie de se venger, il comprenait qu’un jour ou l’autre le père de celle-ci payerai. C’était logique et si lui ne l’avait pas comprit, Graeme l’avait bien comprit depuis un bon bout de temps. Si Graeme aurait été à la place du père de la blonde, il aurait fuit, fuit l’Angleterre afin d’aller en Russie, simplement pour ne pas perdre vie ou bien pour ne pas avoir autant de remord car dans une situation comme celle-ci, c’était obliger qu’il y ait des remords. Perdre une femme, mentir à sa propre fille, faire mentir aux autres membres de sa famille, cela ne devait pas être facile et pourquoi ? Pour la simple raison qu’il ne fallait pas qu’Ysolde, maline et rusée sache la vérité. Ce qui lui avait fallut des années et des années entières. Mais en plus d’avoir perdu sa mère, que son père lui ait mentit, il avait fallut à la serpentarde qu’elle sache réellement qui elle était, ce qui naturellement bien plus difficile à faire. Le jeune Reinhaart appréciait pouvoir regarder la blonde dans les yeux, c’était toujours comme une sorte d’apaisement même si ce n’était pas lui en ce moment même qui était énerver mais plutôt elle. Il y avait de quoi, Graeme l’avait laissé à par, l’avait fuit pensant qu’il ne lui arriverait rien mais il se rendait compte que celle-ci l’avait manqué, bien plus qu’il ne le pensait. Je suis bien heureuse de ne pas être partie, je veux dire qu’on ne serait pas là, tous les deux. Lui également était bien heureux qu’elle ne soit pas partie, pour la simple et bonne raison qu’il ne savait pas même si elle aurait garder contact avec lui. D’un coter si la situation aurait été la même quand ce moment, du moins vis-à-vis de Poudlard mais il n’y aurait eu aucune relation sentimental envers elle. Il aurait juste été un camarade plus pour la blonde. Même si lui avait toujours voulut plus avec elle quand il l’avait vu au coter du serpentard. Qui se disait prince. Prince des imbéciles. La plupart des serpentards l’était, ne voulant que la pureté du sang, ne voulant que viré les nés moldus du château et depuis que la grosse dame était à Poudlard, s’était les sangs mêlés qui prenait à présent. Soudain, la blonde se rapprocha du rouge et or afin de venir déposé ses lèvres sur celles du jeune homme. Pendant que la blonde pressa ses lèvres à celles du gryffondor, celui-ci posa une main sur la taille de la serpentarde. Il profitait de l’instant, chaque moment avec elle n’était que magique. Il fallait bien qu’il se l’avou lui-même, Graeme ne pouvait plus se passé de la serpentarde, de sa serpentarde, c’était un fait. La blonde arrêta le baiser afin de venir se blottir contre le blond qui en profita afin de lui murmuré à l’oreille doucement : Le jour ou tu te vengeras de ton père, je serais fier de toi. Le jeune Reinhaart regarda de nouveau face à lui en voyant des étudiants qui les regardait. D’après ce qu’il avait entendu, il y avait une certaine règle disant que tout cela était interdit au château. Mais Graeme sans fichait, ce n’était pas Ombrage qui déciderait pour lui de quoi que ce soit, ni même sa fameuse brigade, ni même les autres étudiants. C’était lui qui déciderait de son avenir et de son présent. Le jeune Reinhaart se remémora de ce que la blonde avait dit par rapport à ce qu’elle ne soit pas partie du château. Et ta fait le bon choix en restant à Poudlard, tu verras. Le futur ne peu qu’être meilleur pour la suite. Tu n’as besoin que d’un peu de temps. Première étape, foutre une bonne raclée à ce Black, ça sera déjà fait. Le jeune Reinhaart se mit alors à sourire en regardant la blonde. Il fallait bien que ce serpentard ait la vengeance d’Ysolde et sa devait l’être d’ailleurs. Les sangs purs était tous, plus idiot les uns que les autres, enfin la plupart. Il avait bien envie qu’Ysolde se venge auprès du serpentard, il méritait bien sa. Même pire.
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMar 1 Nov - 22:05

Les élans d’affections n’étaient pas forcément bien vu dans les couloirs de Poudlard, en fait, ce n’était pas bien vu du tout. avec Ombrage dans les parages, on prônait la décence, et le respect des autres, alors il paraissait que serrer quelqu’un dans ses bras étaient presque interdit, je dis bien presque car tant qu’un décret de la vieille bique n’était pas passé, alors, il n’y avait pas de « loi officielle ». Ysolde s’en fichait, en temps normal, une telle loi ou une telle façon de penser lui aurait totalement été égale, car, elle n’aimait pas être dans les bras de quelqu’un, sauf que depuis quelques temps la forte et fière Ysolde Claudia Fayburn-Wilkes avait besoin de réconfort, pour ne pas dire d’affection. La jeune femme n’avait pas eut beaucoup d’affection dans sa vie, du moins depuis la mort de sa mère. Heureusement qu’elle avait eut la chance d’avoir des amies comme Alecto, et Morgana, la première était sa meilleure amie, et la seconde était plus une vraie sœur qu’autre chose. Alors aujourd’hui elle se fichait bien d’être en règle ou pas. Elle était blottie contre lui, se sentant un peu plus en sécurité.
Le jour ou tu te vengeras de ton père, je serais fier de toi. Lui avait alors murmuré le jeune blond au creux de l’oreille de la jeune femme. Oui, elle le savait très bien : un jour elle lui ferait payer cher. Elle souhaitait l’humilier en bonne et dû forme. Elle avait cruellement envie de lui faire honte, de lui rendre la monnaie de sa pièce. Ysolde était une fille plus que rancunière, même très rancunière. La vengeance était d’après Ysolde un plat très amer qui se mangeait très froid. Ysolde aurait le temps d’élaborer son plan de vengeance, alors quand Graeme disait qu’il serait fier d’elle, elle n’en était pas réellement convaincue. En effet, le jour où elle allait se venger, la vengeance serait tout sauf douce, Ysolde pourrait même être affreusement méchante, si vous voyez ce que je veux dire. Alors, être fier d’elle ne serait certainement pas une bonne chose, car la vengeance ne mène pas souvent à grand-chose, on croit qu’à la fin on va y trouver une certaine jouissance, et la victoire à des fois un goût d’amertume. Et ta fait le bon choix en restant à Poudlard, tu verras. Le futur ne peu qu’être meilleur pour la suite. Tu n’as besoin que d’un peu de temps. Première étape, foutre une bonne raclée à ce Black, ça sera déjà fait. Elle avait fait un choix, elle ne savait si c’était le bon choix, mais au moins elle avait choisi de choisir de rester à Poudlard. Elle ne savait pas si le futur serait meilleur, elle avait un drôle de rapport au futur, elle ne savait pas s’il était bon ou mauvais, simplement parce que son avenir était en jeu, les choses changeaient à vitesse grand V, si bien que ses visions étaient floue. Elle voyait à court terme, pas à long termes. Elle espérait bien voir l’avenir de Black et lui prédire une morte lente, mais rapide dans le temps, oui, Ysolde était méchante, mais ce n’était pas une nouveauté.
Elle dit alors à Graeme : La réclée à Black... euh, je crois que j'aurais du mal à lui mettre une raclée, au cas où tu ne le saurais pas, j'ai une force dans mes petits bras sensiblement égale à celle d'un elfe de maison ! La jeune femme leva la tête vers lui, et fit une pauvre mine désolée, oui, elle n’était pas franchement capable de se défendre physiquement, en revanche, elle avait du répondant et de la répartie, elle savait très bien se servir de sa baguette mais avec les brutes… hum, c’était une histoire de robustesse.
Mais c’est nos deux tourtereaux. Une bâtarde et un simple d’esprit un peu trop sûr de lui, bel assortiment. Cette voix, cette phrase cinglante fit changer le regard de la jeune femme de direction. Et merde, il ne s’agissait pas d’une seule personne mais bien de cinq personnes, les quatre de la bibliothèque et la gars qui était avec Ombrage. Ysolde se décolla doucement de Graeme et les fixa alors, les toisant presque, son petit doigts lui disait qu’ils n’étaient pas là pour papoter. La raison voulait que la meilleure des idées était de se barrer en courant, c’est ce qu’Ysolde aurait fait, sauf que connaissant Graeme, ce n’était pas ce qu’il avait envie de faire (sans doute.) la jeune femme attrapa la main de Graeme et lui murmura presque : On devrait... courir. Elle n’eut pas le temps de prendre sa main pour le forcer à s’en aller, que deux des types s’approchèrent d’elle, l’un poussa Graeme. Le second aussi, et un troisième arriva pour venir en renfort. Ysolde s’apprêtait à venir en aide à graeme, quand un autre lui attrapa le bras, et la tira violemment. Elle dit alors : Lâche-moi putain ! Elle se débâtie comme elle le pu, et tentant de gifler son assaillant. Elle s’échappa de son étreinte, quand le cinquième et dernier type l’attrapa par la taille, le bloquant les bras, et la tira alors en arrière, elle se débâtait, certes, mais ce n’était pas suffisant. Il la tenait toujours, il était dans son dos, et lui tenait les bras, collé à elle et lui murmura à l’oreille : Calme toi Wilkes... Il serra son étreinte et la sorcière grogna presque, quand il poursuivit : On s'est mit d'accord, aujourd'hui, on ne frappe les les jolies filles, alors tiens-toi tranquille. Elle détestait les contacts physique alors être contre un gars comme ça, par Merlin… elle avait envie de vomir. Sauf que « se tenir tranquille » ne faisait pas partie de ses priorités, elle se débâtie et lui écrasa le pied, elle n’avait pas assez de force, et Graeme… elle se faisait du souci pour lui, elle ne voulait pas qu’il lui arrive quelques chose.
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMer 2 Nov - 7:10

La réclée à Black... euh, je crois que j'aurais du mal à lui mettre une raclée, au cas où tu ne le saurais pas, j'ai une force dans mes petits bras sensiblement égale à celle d'un elfe de maison ! D’un coter la blonde n’avait pas tord, face à un homme, un seul et unique, elle n’aurait pas la force de le battre par la force, mais la violence n’était rien comparé à la baguette. Etre sorcier n’était pas simplement fait pour tourner la baguette et apprendre des sorts château qui sans doute ne servirons pas dans le futur. Etre sorcier, c’était savoir de se protéger mais également de protéger ses proches car le monde des sorciers est bien plus dangereux que le monde moldu à l’heure actuel. Evidement pour Graeme, il y avait la baguette mais également la violence même si pour lui frapper et donner des coups n’étaient rien étant donner qu’il pratiquait un sport moldu appelé boxe. Il savait qu’il pouvait vraiment faire mal mais c’était au risque des autres. D’ailleurs en parlant de violence, voyons plutôt le coter arrogant d’un des jeunes étudiants qui vient à nouveau arrêter leur moment. Mais c’est nos deux tourtereaux. Une bâtarde et un simple d’esprit un peu trop sûr de lui, bel assortiment. Quand le jeune Reinhaart tourna la tête en reconnaissant la voix, il sut alors que la bande d’étudiant de Salazard Serpentard était venu pour lui. Quel honneur ! Depuis quelque temps, on peu dire que Graeme n’avait que de la violence à faire ou bien de parler assez sèchement afin de défendre sa blonde mais également afin de voir qu’il était là et qu’il pouvait très bien devenir l’ennemi numéro un de n’importe qui. Il pouvait être dangereux mais également provocateur, c’était un tout nouveau Graeme cette année qui promet d’ailleurs par la suite de bien évoluer mais surtout grandir. Le rouge et or regarda alors sa blonde se décoller de lui doucement afin de les regards. Quand a Graeme, il se disait probablement que ce n’était pas vraiment la meilleure solution de se battre contre toute une bande bien plus nombreuse que celle de la dernière fois à la bibliothèque. Comme quoi, les mauvais esprits se rencontrent toujours à nouveau. La blonde se retourna alors vers le Reinhaart afin de murmurer doucement : On devrait... courir. La serpentarde allait prendre la main du gryffondor quand elle fut prise par deux étudiants pendant que Graeme se fit poussé par un autre. Deux autres étudiants aux couleur vert et argent se mit alors à rejoindre le gryffondor afin de commencer à le poussé un peu plus violament quand il pu voir un autre étudiant tiré violament sur le bras de sa blonde, d’ailleurs, celle-ci essayait de se débattre et d’enlever les sales pattes des étudiants : Lâche-moi putain ! Le jeune Reinhaart était bien de trop occuper à essayé de repoussé les autres étudiants. Ce qu’il voulait également, c’était qu’Ysolde parte, elle n’était pas concernée dans l’histoire. C’était Graeme qui était la cause de toute cette violence, pas Ysolde, ni quelqu’un d’autre, seulement lui. C’est en se prenant deux coups dans l’adomen que le Reinhaart s’exprima : Relâche Ysolde ! Elle n’y est pour rien dans l’histoire ! Quand la blonde eut pratiquement la possibiliter de s’échapper , deux étudiants l’attrapa par la taille, chose que le jeune Reinhaart détestait voir. Mais l’action n’était pas prête d’être finie. L’étudiant lui bloqua alors les bras afin qu’elle ne puisse pu s’échapper et la serra contre lui. Ce qui augmentait la rage mais surtout la colère du rouge et or qui était entrain de recevoir des coups de pied étant donner qu’il était à terre après avoir été poussé pendant des minutes. D’ailleurs le blond se releva en ayant la lèvre et le dessus de l’œil en sang. Sans doute du au coup de pieds qu’il avait reçut. Il eu juste le temps de voir qu’un étudiant murmurait quelque chose à l’oreille de sa blonde, il ne savait pas exactement quoi, mais il détestait la voir dans les bras d’un autre étudiant que lui d’ailleurs l’étudiant en personne se mit alors à parler en s’adressant au rouge et or : Ta jouer trop longtemps Reinhaart, on va t’apprendre ce qu’est de se frotter à nous. Un étudiant se mit alors à prendre le jeune Reinhaart dans le dos afin de lui faire le même geste qu’il avait fait la dernière fois avant qu’il soit enfermer dans le placard a balais. D’ailleurs cela fit sourire le jeune Reinhaart, ce qui ne se fit pas louper par l’étudiant : Pourquoi il sourit ?! Le son de sa voix était comme en mode alerte, il n’avait pas autant de force que le jeune Reinhaart qui premièrement était musclé grâce au quidditch mais également grâce à la boxe mais deuxièmement, il n’avait pas autant de capacité pour faire mal, ce qui soit disant était nouveau chez Graeme. Le jeune Reinhaart se fit alors relever quand un étudiant lui donna deux coups à nouveau dans l’abdomen. Le jeune Reinhaart essaya de contracter celui-ci le plus vite possible à chaque fois qu’il allait recevoir un coup. Essayant de ne pas voir l’étudiant qui profitait d’être derrière Ysolde. Il voyait bien le sourire de vainqueur sur le visage de celui-ci. Ce qui l’énervait au plus au point. Le jeune Reinhaart profita alors de faire un croche patte à un étudiant afin qu’il tombe. Mais sans succès car les prochains n’hésita pas à donner des coups ce qui fit de nouveau mettre à terre Graeme.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMer 2 Nov - 14:42

La rancune ; c’était une chose que la jeune blonde de serpentard connaissait bien, même très bien. Toute sa scolarité, toute sa vie, elle avait vécu dans l’amertume de la rancœur. Elle comprenait l’esprit de vengeance, elle savait même combien il était dur de ne pas se venger alors qu’on en avait l’occasion. Alors, quand cette bande de serpentard avait décidé de se venger, elle le comprenait très bien. Comprendre, cela ne veut pas dire approuver, loin de là. Non, elle n’approuvait pas cette action, elle ne voulait pas qu’ils s’en prennent à Graeme, elle ne voulait pas qu’il lui arrive quelques chose de mal ! Bon, certes, Graeme les avait franchement poussé à bout, deux fois, et maintenant, c’était un « juste » retour de manivelle. Mais bon, de là à ce qu’il arrive quelques choses à Graeme, cela faisait mal à Ysolde pour lui.
Ysolde se débâtait comme une folle, en fait, elle avait beau ne pas avoir beaucoup de force elle avait de la niaque, oui, elle était un peu énergique, et quand elle se débâtait, alors il fallait un peu de force pour la tenir, un peu voir beaucoup. Pour la tenir, le gars qui « s’occupait » d’elle, devait le serrer fort, assez fort pour qu’elle pousse une sorte de grognement – oui, elle avait tendance à vouloir mordre, oui, elle savait mordre. Mais, elle était plus préoccupée par Graeme que par elle, parce qu’aujourd’hui, à elle, ils avaient apparemment décidé de la laissé tranquille, mais c’était on beau blond qui allait en prendre pour son grade, hélas. Elle les voyait donner des coups à Graeme, qui sous le poids des coups, tomba à terre. Ysolde poussa un cri de stupeur. Bordel, mais qu’ils arrêtent de lui taper dessus, qu’ils arrêtent ! s’il avait fait ce qu’il avait fait – c'est-à-dire s’énerver – c’était à cause de la jeune femme, ils avaient insulté Ysolde, et Graeme avait démarré au quart de tour, c’était la faute de Ysolde, elle s’en rendait bien compte. Tout à coup, et leur cri : LACHEZ-LE ! Elle cessa de se débattre un peu résignée, elle avait mal pour Graeme, vraiment, et elle était fichtrement inquiète. Les gars cessèrent de frapper le jeune homme qui était déjà bien mal en point, le type de brigade inquisitorial s’accroupie à côté de Graeme – décidément quasi immobilisé par la douleur – et lui dit alors : La prochaine fois tu réfléchira à deux fois avant de t'en prendre à plus fort que toi Reinhaart; La prochaine fois, on pourrait s'en prendre à ta jolie blonde. il lui donna un dernier coup de pied, et fit signe aux autres de partir.
Le type qui la tenait la lâcha enfin, et Ysolde eut envie de se retourner pour le gifler, mais elle se contenta de lui marcher sur les pieds, cela lui fit mine de rien mal. Les cinq disparurent à l’angle du couloir, mais elle se fichait bien d’où ils pouvaient aller, elle était inquiète pour Graeme. La jeune femme se précipita vers lui, et s’agenouilla à côté de lui, la jeune femme était terriblement inquiète, il n’avait pas l’air très bien du tout. Elle ne savait pas par ou commencer. Elle caressa le visage de Graeme avec sa main, et s’enquit de lui demander : Tu... Comment tu te sens ? Question stupide, il avait l’air terriblement mal. terriblement, il avait l’air d’avoir mal, même mal, il avait le nez en sang, d’un coup de baguette, la jeune femme utilisa le sortilège d’attraction pour avoir un chiffon, et elle sorti de son sac une bouteille d’eau, et humidifia alors le chiffon, et quand elle l’appliqua sur le nez de Graeme, elle prévint alors : Ca risque de piquer... Mais, le nez avait l’air d’être cassé, parce qu’elle avait lu que quand après un coup, on saignait du nez comme ça alors, il était cassé. Elle était vraiment inquiète, et il devait bien le lire sur son visage. Par Merlin, ton nez !
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMer 2 Nov - 18:16

D’après son grand père, c’était en prenant des coups qu’on devenait plus fort. FAUX ! Le jeune Reinhaart était toujours à terre, toujours par la même occasion entrain de se prendre des coups de droit à gauche. Il ne savait même plus ou donner de la tête tellement les coups arrivait de partout. Il fallait bien l’avoué, le jeune Reinhaart sentait bien les coups qu’il recevait mais il ne laissa échapper aucun son de sa bouche, il préférait recevoir et ne rien donner même si à force, il devenait faible car ils étaient plusieurs. Il sans fichait bien de recevoir des coups, ce qui le préoccupait plus était bien sa serpentarde, il recevait tellement qu’il ne voyait même plus pendant quelque secondes. Soudain une voix se mise alors à crier, il reconnut la voix automatiquement, c’était impossible qu’il ne la reconnaisse pas : LACHEZ-LE ! Cela donna le temps à Graeme de reprendre sa respiration qui avait été bien coupé pendant quelque secondes. Les étudiants appartenant à la maison de Salazard Serpentard cessa alors tout coup sur le rouge et or qui était à terre entrain d’essuyer avec le dos de sa main ses lèvres. Le type du placard au balais s’accroupit alors aux cotés de Graeme afin de lui adresser une parle plutôt menaçante : La prochaine fois tu réfléchira à deux fois avant de t'en prendre à plus fort que toi Reinhaart; La prochaine fois, on pourrait s'en prendre à ta jolie blonde Le serpentard donna à nouveau un coup de pied dans le blond qui lui regardait les étudiants partirent au bout du couloir comme si rien ne s’était passé. Le soit disant chef de la bande fit un signe avant afin que l’étudiant qui tenait Ysolde puisse la lâcher car ils avaient fait ce dont ils avaient à faire. C'est-à-dire mettre une bonne raclée à Graeme. Le rouge et or ne regarda même pas sa blonde marcher sur le pied de l’étudiant tellement il était bien de trop préoccupé par essuyé le sang qu’il avait sur lui. Graeme avait du mal à rester les yeux ouverts, il était comme faible et c’était bien la première fois qu’il était faible autant. Pas faible comme quand il courrait pendant des heures et des heures, non c’était bien pire que sa, c’était incroyable. Il était pâle, comme si l’envie de vomir lui prenait. Il était recouvert de sang, que ce soit au niveau des yeux qu’au niveau du nez et des lèvres. La serpentarde se précipita vers lui en s’accroupissant au niveau du Reinhaart qui essayait de voir quelque chose. Tu... Comment tu te sens ? Le jeune Reinhaart mit alors sa main sur son abdomen qui serait dans les jours à venir de couleur bleu après les coups qu’il avait prit. Mais c’est avec le sourire et la voix faible qu’il prononça : Comme quelqu’un qui… Vient de se prendre une raclée. Chose qui était vrai naturellement. Le rouge et or secoua alors la tête doucement, se croyant fou au départ car il ne voyait plus que des points noirs et du flou dans son champs de vision, il entendait simplement la voix de sa blonde qui le rassure : Ca risque de piquer... Il se demandait bien ce qui pouvait risquer de le piquer à part du désinfectant ou bien de l’alcool à 90 ce qui lui arracherait la tête. Quand il sentit alors le produit sur le chiffon la seule chose qu’il est fait est : AIE !!. Soudain, sa vue reprit alors de bon sens en ayant tout de même un peu de mal à reprendre sa place mais elle revenait. Le jeune Reinhaart pu alors regarder la blonde qui le regardait inquiète. Quoi il était si affreux que sa le Reinhaart ? Le rouge et or se disait que cela pouvait être bien pire mais en regardant la blonde, il se disait que peut être le pire était arriver. D’ailleurs celle-ci était inquiète d’après l’émotion que dégageait son visage : Par Merlin, ton nez ! Quoi son nez ? Graeme passa alors sa main doucement sur son nez en retenant la douleur quand celle-ci fut sur le nez. Pouah ! Ce n’était même plus un nez qu’il avait ! C’était… Un ancien nez ! Qui ressemblait à une fraise avec un coulis de… Framboise ! Graeme n’avait jamais été défiguré autant ! C’était incroyable ! Il se mit alors à tenir sa tête d’un coup, ne voyant que des points noir à nouveau et un flou total au fur et à mesure. Le jeune Reinhaart essaya alors de trouver appui sur quelque chose, un mur ou un truc de ce genre. Il se sentait mal, trop mal, d’ailleurs celui-ci n’hésita pas à le dire à sa blonde : Ysolde… Je vois que des points noirs… Tout est flou ! La respiration du jeune homme était accélérer, forte car il paniquait pour la première fois. Cela lui avait déjà été arriver mais pendant un match de quidditch ou il s’était prit un cognard. Soudain, le noir complet, le blond s’évanouissait par terre sans rien dire, sans un son. Plus aucun contact.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMer 2 Nov - 19:53

Ysolde savait ce que c’était de prendre des coups, elle en avait elle-même prit. Elle n’en avait pris qu’une seule fois, mais c’était déjà nettement suffisant. La seule fois où elle s’était prise des coups, elle avait eut le nez en sang, et le pire dans tout ça, c’était qu’elle avait été blessée de la main de son ex fiancée, c’était dire. elle avait eut mal, elle savait ce que c’était la douleur, c’était une chose totalement désagréable, totalement. La jeune femme se souvenait avoir vu du sang sur son visage et des bleus sur le corps, elle savait que c’était ce qui attendait Graeme, elle espérait sincèrement qu’il irait bien, il avait l’air tellement plus mal au point qu’elle l’autre fois. Elle était inquiète – venant de la jeune femme c’était rare – et cela ne lui ressemblait pas du tout, pour qu’elle soit inquiète à ce point, il fallait vraiment qu’elle tienne à la personne, or… elle tournait énormément à Graeme, en fait, elle aimait Graeme, et ça changeait tout, la jeune femme indépendante et égoïste pensait à lui, c’était un beau progrès.
Elle avait bien vu que le nez du jeune homme étaient cassé, il avait une « lègère » déviation de la cloison nasal. Ysolde était brillante, mais… sous le coup du stress, de l’angoisse, elle perdait tout ses capacité intellectuelle, oui, elle était brillante et était sensé connaitre un sort pour réparer les nez cassé, PAR MERLIN ! le jeune homme eut mal quand elle le prévint que ça allait piquer, puis à la question idiote « comment tu te sens », il lui répondit alors qu’il se sentait comme quelqu’un qui vient de se prendre un coup. Mon dieu, Ysolde s’en voulait tellement, c’était de sa faute s’il était là, il avait voulu la défendre face à ses brutes, et il en récoltait les coups, ysolde se sentait mal, mal pour lui, et mal parce qu’elle se sentait coupable, et terriblement inquiète. Elle s’inquiétait pour son nez, cherchant en vaint le sortilège pour réparer son nez, quand elle vit le jeune homme se tenir la tête et dire alors, tandis qu’il semblait chercher un appui. Ysolde… Je vois que des points noirs… Tout est flou ! Elle n’eut que le temps de dire : Ne bouge pas, tu vas… Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, que déjà le jeune homme semblait être tombé dans les pommes. Merde, il s’était évanouie. Cette fois, la jeune femme avait réellement de quoi paniqué, et en plus ils étaient dans un couloir, il ne manquerait plus qu’Ombrage passe, et ça serait la fin des haricots ! Elle poussa un soupire, sa respiration était rapide, et saccadée. La jeune femme toucha le front de Graeme, puis son coup (ouf, il respirait encore.) elle sorti alors sa baguette et murmura : Episkey ! Le nez du jeune homme se remit en place suite à un craquement fort désagréable à l’oreille. Bon, le nez, c’était fait. la jeune femme regarda autours d’elle, et vit que… le couloir était vide, mais que ce n’était pas une bonne idée de rester là. La jeune femme laissa Graeme une demi seconde pour aller ouvrir la porte d’un local de l’étage, et revint vers Graeme pour le tirer dans la salle, et fermer, au moins ils étaient tranquilles. La jeune femme l’appuya dos au mur, de façon à ce qu’il soit « assis », elle sorti de nouveau sa bouteille d’eau, et cette fois décida d’en mettre dans le bouche de graeme, essayant de le faire boire, des fois que cela le réveille. Avec la douleur au nez en moins, elle espérait qu’il se réveillerait. Elle caressa doucement la joue de Graeme, et dit alors à mi-voix : Réveille-toi s’il te plait, Graeme, réveille toi. Elle avait sincèrement l’air paniquée, elle voulait juste qu’il se réveille.
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMer 2 Nov - 20:52

Respiré, la respiration quand nous tombions était la meilleure solution. D’après le père Reinhaart, la meilleure chose à prendre en tant que remède était du sucre fondu au fond d’un bon verre d’eau froide. Le jeune Reinhaart supportait les coups mais pas au point dans recevoir autant d’un coup. Evidement il faisait moins de sport, à part courir pendant ses temps libres et le quidditch, il ne faisait rien d’autre, pas de boxe comme il en faisait chez lui et puis il fallait bien l’avoué, il étudiait également ce qui prenait beaucoup son temps. Graeme voyait flou bien après qu’il voyait des points noirs, qui devait certainement représenter les étudiants, ce qui était vraiment flippant à voir. Il était là, inconscient de ce qui pouvait se passé dans l’environnement, dans les alentours. Il laissait seul Ysolde sans le vouloir. Les minutes passèrent pendant que le jeune homme était encore dans le noir complet, la jeune femme en profita pour réparé le nez du blond, qui certainement aurait souffert si il n’était pas dans un flou absolu. D’un coter, si le jeune homme n’entendait rien c’était simplement du au fait que plus personne ne trainais dans les couloirs après avoir vu la violence faite. Bande de lâche aurait-il pensé si il n’était pas aussi inconscient. Soudain, il sentit quelqu’un le prendre et le trainer jusqu’à je ne sais ou. Cela ne pouvait pas être la blonde qui avait une force de plume. Si ?! Il n’y avait que le calme qui faisait son apparition aux oreilles du blond qui soudain sentit une main sur sa joue. Bordel, il aurait bien voulut dire quoi que ce soit, déjà avoir la force d’ouvrir les yeux pour montrer qu’il était bien là. Mais il n’avait plus cette force, c’était dingue. Les étudiants de la maison Salazard Serpentard l’avait complètement mit achesse. Il n’avait plus la force et l’étudiant qu’il avait mit l’autre jour dans le placard à balais avait bien comprit que sa seule faiblesse était la blonde. Il fallait sans doute que le jeune Reinhaart mette un terme à toute cette violence, même si c’était impossible. Du moins c’est ce qu’il pensait. Soudain, il sentit quelque chose dans sa bouche, un liquide, ce qui le fit doucement revenir à lui tout en appréciant la main tiède de la blonde sur sa joue. Du moins il espérait que ce soit la sienne mais il en eu la preuve en entendant la voix de celle-ci : Réveille-toi s’il te plait, Graeme, réveille toi. C’était bien sa voix et cela rassurait le blond qui ouvrit doucement les yeux au fur et à mesure des secondes qui s’écroulèrent. Sa voix n’était plus aussi calme que d’habitude, elle était… inquiète. Oui c’est sa, il voyait que la jeune femme de ses rêves était bel et bien inquiète. Une fois les yeux ouverts, il apprécia la vue qu’il avait. C'est-à-dire la blonde en face de lui. D’ailleurs il n’hésita pas à prendre doucement la main de la blonde en parlant doucement : Calme... Tout va bien… Tout va bien euh… Il avait quand même perdu connaissance pendant un petit bout de temps dans un couloir. D’ailleurs il tourna les yeux afin de voir ou ils étaient tous les deux. Une sorte de classe vide. Cette classe était calme et cela donnait le temps au rouge et or de se remettre un peu des actions qu’il avait subit. Après avoir fait le tour de la pièce avec les yeux, il posa son regard dans celui de la blonde afin de la rassuré. Chose qui n’était pas spécialement facile. Il regarda la porte puis il regarda la serpentarde. Il pu voir qu’elle n’avait pas de trâce de violence ou une quelqu’onc blessure mais il préférait mieux demander plutôt que de ne pas être sur. Tu n’as rien… ? Il en a bien profiter l’autre idiot de serpentard... Calme, il fallait qu’il reste calme, ce n’était pas le moment de retomber dans les pommes dans une salle vide auprès de la blonde, qui d’ailleurs l’avait ramené ici, dans une pièce, bien a part du couloir. Il caressa doucement la main de la blonde qu’il avait prit quelque secondes avant, à l’aide de son pouce. Merci… Pour la salle… Je me suis déjà bien affiché devant les autres… Un petit sourire s’afficha aux lèvres du Reinhaart qui regardait sa blonde ou plutôt admirait serait le mot.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyMer 2 Nov - 21:31

Tout à coup le jeune homme prit la main de la jeune femme. Un soulagement pour la jolie blonde : il était vivant, et… il bougeait, dieu merci. Tout à coup, le cœur de la sorcière fit un bond quand il dit alors : Calme... Tout va bien… Tout va bien… enfin tout est relatif, tout est relatif. C’était d’avantage une formule pré-conçue destinée à rassurer la jeune femme qui avait le don de s’inquiète assez vite. Elle était morte d’inquiétude pour lui, oui, elle la fille indépendante. Ysolde avait déjà été inquiète pour Ulysse par exemple, mais… mais Ulysse était un mauvais exemple, une erreur dans sa vie, une monstrueuse erreur qu’elle avait commise. Alors, si elle s’inquiètait pour Grae, elle s’inquiètait vraiment. Sa relation avec lui n’avait rien à voir avec celle qu’elle avait eut avec Ulysse. Avec Lestrange cela avait été arrangé, avec Grae, tout était si naturel, tout, leur rencontre, son évolution.
Il ouvrit doucement les yeux, elle le vit observer autours de lui. Ah, oui elle l’avait changé de place, donc il pouvait à avoir l’air totalement perdu. Puis finalement, il posa son regard sur elle. Elle le fixait, essayant de comprendre comment il allait, elle scrutait le moindre signe du jeune homme, lui aussi avait l’air de l’observer, cherchant sans doute à savoir si elle allait bien. Mais, elle n’avait rien, pas l’ombre d’une égratignure. Il dit alors : Tu n’as rien… ? Il en a bien profiter l’autre idiot de serpentard... Elle n’avait rien du tout, rien du tout. Ce sale crétin avait sans doute plus mal qu’elle, elle lui avait écraser le pied à plusieurs reprises, et elle en était assez fière, faire chier le monde lui plaisait. Mais elle était saine et sauf, Grae n’avait pas de soucis à se faire de ce côté-là, quant au fait que l’autre en ai profiter, Ysolde ne pouvait pas nier, il s’était collé à elle – d’ailleurs cela lui avait donné envie de vomir elle qui ne supportait pas les contacts physiques avait été servie – elle avait détesté ce moment. Il caressa doucement avec son pouce la main de la jeune femme et dit alors : Merci… Pour la salle… Je me suis déjà bien affiché devant les autres… Oui, elle avait bien pensée, elle voulait juste que Grae soit tranquille, et que… qu’Ombrage ne le voit pas, elle pourrait s’en prendre à lui encore une fois, encore une fois. Elle ne voulait pas donner à Ombrage en raison de lui faire du « mal », de lui causer des tords, alors elle faisait ce qu’elle voulait pour aider Grae.
La jeune femme esquissa un sourire qui se voulait calme – au fond elle était encore dans un profond stress. Elle serra fort la main de Graeme, fort. La jeune femme était douce avec lui – alors que tout le monde la traitait parfois de fille insensible. Elle lui dit alors : Je vais bien, ne t’inquiète pas. Et pour… l’autre vicieux, ne t’en fait, j’ai vu pire que ça. Elle laissa échapper un petit rire, et regarda Graeme. Oui, ce gars était vicieux, mais elle avait connu plus vicieux comme type, des gars plus instant, plus lourd, plus chiant. Elle se fichait bien de lui, elle ne pensait qu’à Graeme, ce n’était pas un gars comme ça qui pourrait la faire dévié de Graeme, le type qu’elle aimait. Je voulais que tu sois dans un endroit tranquille… loin d’Ombrage et des gens. La jeune femme le scruta alors, et ajouta : Ton nez te fait encore mal ? je pense que je l'ai réparer, donc ça devrait aller mieux. Elle s’approcha de lui, et posa une douce main sur sa joue avant de dire : Tu as mal où... je veux dire... qu'est ce que je peux faire ? faut que je t’emmène à l'infirmerie, ou ça ira, tu veux peut être rester là, voir si ça va mieux ? Dis moi. Ysolde stressée et mise à rude épreuve donnait une Ysolde bavarde qui posait une dizaine de questions à la minutes, c’était un synonyme d’inquiétude chez elle, il avait beau lui avoir dit de se calmer, elle n’y arrivait pas du tout !
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyJeu 3 Nov - 7:28

La situation précédente aurait bien pu être pire, le jeune Reinhaart aurait pu avoir bien plus que le nez cassé ou bien les lèvres coupés ou l’œil au dessus coupé. Il aurai très bien pu avoir les côtes brisées par les coups de pieds qu’il s’était prit. D’ailleurs, celui-ci essayait de caché la douleur qu’il avait à l’abdomen, il savait quand dans les heures à venir voir même les jours, il aurait des tas de bleu. Mais bon, il l’avait tout de même bien mériter, depuis quelque jours il n’arrêtait pas. Il n’arrêtait pas parce que tout le monde sans prenait à Ysolde et que tout sa lui passait au dessus de la tête. Il y avait bien des paroles qu’il n’avait pas oublier comme l’étudiant qui avait parler de la mère à Ysolde ou bien encore l’étudiant du placard à balais, qui avait bien pu prendre sa revanche aujourd’hui. Graeme quand à lui, n’avait pas eu la force de se remettre sur pieds afin de se battre, nan et puis, tout le monde savait qu’il n’avait aucune chance étant donner qu’être une bande contre un seul étudiant était de l’injustice. M’enfin, ça ne changeait pas beaucoup du temps à présent qu’il y avait à Poudlard. Le jeune Reinhaart avait prit la main de la blonde afin de la rassuré des qu’il avait les yeux ouverts. Il savait bien que cela ne changerait pas grand-chose, il le voyait dans son regard, son regard était plein d’inquiétude. D’ailleurs celle-ci serra la main du blond, sans doute pas montrer qu’elle était là ou plutôt pour se calmer elle-même. Ce qu’apprécia le jeune homme. La blonde se mise alors à regarder le gryffondor afin de prendre la parole : Je vais bien, ne t’inquiète pas. Et pour… l’autre vicieux, ne t’en fait, j’ai vu pire que ça. A Poudlard il était vrai que personne ne savait sur qu’elle genre de personne on tombait mais parfois c’était grave de voir l’attitude des gens. Surtout si l’on croyait connaitre cette personne du tac au tac et que finalement, nous étions déçu de les avoirs eux dans notre courte vie d’étudiant. La blonde laissa échapper son rire, ce qui fit sourire le blond qui n’avait besoin que de sa. Il n’avait besoin de que la voir sourire et rire pour aller mieux. Elle était son propre remède et elle avait vraiment pensé à tout, comme le fait de ne pas laisser le rouge et or dans le couloir. Ne sait-on jamais si la grosse dame serait de nouveau dans les parages comme la dernière fois. Je voulais que tu sois dans un endroit tranquille… loin d’Ombrage et des gens. Il s’était déjà bien affiché en se prenant une raclée par une bande d’étudiant qui soit disant jouait dans la cour des grands. Finalement, Graeme pensait qu’ils étaient faibles, se battre en étant toute une bande contre lui, c’était lâche, c’était gamin. Mais il savait qu’il devait calmé les choses pendant quelque jours au moins, ne voulant pas qu’ils sans prennent à Ysolde. La seule chose qu’ai pu répondre Graeme fut : Ta vraiment pensé à tout, même dans ses moments. La serpentarde regarda le blond, il se demandait bien ce qu’il pouvait avoir sur le visage à part une bouche, des yeux, un nez… Son nez ! Le gryffondor posa alors sa main sur son nez doucement contre les minutes d’avant. Il ne sentait rien, pas le moindre piquement. Ce qui changeait déjà beaucoup des minutes auparavant. La blonde ajouta alors en le regardant : Ton nez te fait encore mal ? je pense que je l'ai réparer, donc ça devrait aller mieux. Le blond avait été bien défiguré dans le couloir, les étudiants en avaient bien profiter mais les étudiants passant eux n’avait même pas bouger un seul doigt, ni même avoir le réflexe d’appeler un professeur, enfin dans les temps comme celui-ci même les professeurs étaient en danger. La main de la blonde alla sur la joue du rouge et or qui n’avait pas détourner le regard de ses yeux, profitant du moment au mieux. Tu as mal où... je veux dire... qu'est ce que je peux faire ? faut que je t’emmène à l'infirmerie, ou ça ira, tu veux peut être rester là, voir si ça va mieux ? Dis moi. Ce n’était pas vraiment le bon moment d’emmener quelqu’un à l’infirmerie, la blessure la plus grave avait été guérie grâce à la magie d’Ysolde, le reste, il n’y avait cas désinfecté et pour ce qui est des coups dans l’abdomen, il n’y avait cas attendre demain pour voir le résultat des coups. C’est avec le sourire alors que le jeune rouge et or prit la parole : Merci pour ne le nez, heureusement que j’étais dans le flou total parce que je pense que j’aurais sentis quand tu la remis. Et puis l’infirmerie ne servirait à rien. Les douleurs à l’abdomen iront mieux demain, je pense que j’aurais de bon bleu. Graeme était toujours souriant, ce qui cachait bien la douleur des coups mais il ne pu s’empêcher de posé sa main là ou les douleurs le prenait. Il se disait que dans quelques jours tout irait mieux, ce n’était qu’une passe faite par les idiots étudiants de serpentard. Comme quoi, personne n’était sauver de la nature.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyJeu 3 Nov - 21:39

S’il y avait une personne organisée et préventive dans le monde, c’était Ysolde. Chez elle tout était cadré, et bien à sa place. il n’y avait qu’à en juger par l’organisation quasi militaire de ses cours. Dans son dortoir, tout était parfaitement ordonnée, elle n’avait jamais des choses en trop dans son sac, elle avait les affaires dont elle avait besoin et rangeait le superflu tout de suite. Miss Wilkes était intelligente, pratique, et organisée, mais parfois un peu directive. Dans une équipe, elle aimait être celle qui donnait les tâches à effectuer. Ysolde avait toujours eut l’âme d’une leader, elle avait toujours voulu tout diriger – et cela n’est pas forcément négatif – elle avait même faillit être capitaine de serpentarde en sixième année, mais avait choisie d’être prefète avant tout. aujourd’hui, elle avait perdu son insigne de préfet, et celle qui lui manquait franchement. Ce qui lui manquait, c’était le ronde à la tombé de la nuit, qu’est ce qu’elle avait pu rire avec l’autre prefet, et qu’est ce qu’elle avait pu donner comme heure de colle. Ysolde avait parfois abusé de son pouvoir, mais elle restait une des filles les plus organisé que vous puissiez rencontrer. Sa vie avait toujours été millimétrée à l’évènement près, l’année dernière elle avait prévu d’épouser Ulysse au mois d’Août, c’était prévu qu’ils s’installent ensemble, elle avait tout prévu – un peu à contre cœur – mais dans sa tête tout avait été prévu, leur avenir, tout, hélas rien ne s’était passé comme prévu, mais c’était un échec cuisant. Depuis la vie d’Ysolde était un tel bordel qu’elle n’arrivait plus rien à planifier. Elle qui autrefois se voyait dans des années avec une place importante au ministère ne voyait plus rien. mais, elle restait organisé, et logique, si bien que même dans un moment de stress, elle avait pensé à graeme,et a ses soucis avec Ombrage. Ta vraiment pensé à tout, même dans ses moments. Elle esquissa un sourire. Oui, c’était vrai, mais là, elle avait surtout pensé à lui. Elle ne voulait pas que son sac s’aggrave vis-à-vis de Ombrage, elle n’y tenait pas du tout. elle voulait que la vieille en rose les laisse tranquilles et cesse de pourrir leur vie. Cette femme était une vraie menace, et Ysolde ne l’aimait pas du tout, même si l’autre jour elle n’avait rien dit quand celle-ci l’avait « gentiment » abordée en lui parlant de son père. Elle ne l’appréciait pas, pas du tout. elle lui adressa un doux sourire et dit alors : Je ne voulais pas tu tu t’attire une fois encore des ennuis. Sa voix était doucement ironique. Oui, il avait tendance à s’attirer des ennuis en ce moment, même plus qu’elle… quoi que. Elle était franchement dur à égaliser niveau emmerdes mais, il en avait pas mal aussi. lui qui n’avait jamais été collé c’était retrouvé collé à cause de cette vieille, et il avait été recalé à son test de merde. Elle comprenait qu’il puisse être énervée, elle comprenait.
Ysolde était inquiète pour lui. Comment ne pas l’être ? il venait de se faire taper dessus avec une certaine violence, alors oui, elle était inquiète et ne s’en cachait pas vraiment, elle s’en fichait de passer pour une fille trop inquiète, c’était dans sa nature, elle s’inquiétait facilement pour les gens qu’elle aimait mais pour les autres… aucune pitié. Elle l’avait donc assommé de question pour le sonder, savoir comment il allait vraiment. Il avait quelques égratignure sur le visage, mais… elle espérait que ça irait, vraiment. Aller a l’infirmerie ne serait peut être pas une bonne idée, Ombrage y faisait souvent des visites, et si elle y voyait grae couvert de bleus… ça ne serait pas bon pour lui. Il dit alors : Merci pour ne le nez, heureusement que j’étais dans le flou total parce que je pense que j’aurais sentis quand tu la remis. Et puis l’infirmerie ne servirait à rien. Les douleurs à l’abdomen iront mieux demain, je pense que j’aurais de bon bleu. Elle le vit montrer où ça lui faisait mal, elle avait mal pour lui. Elle avait une certaine empathie vis-à-vis des personnes qu’elle aimait. Dis que je suis une mauvaise sorcière, pendant que t’y es ! Dit-elle en le taquinant un peu, car il avait bien dit qu’il avait été content de ne pas être éveillé quand elle avait remis son nez en place, bien sûr, elle ne le prenait pas mal du tout, mais, elle le charriait un peu, dans ces moments là, ça ne faisait pas de mal, n’est ce pas ? Elle rit, oui, elle esquissa un vrai rire, et elle s’assit alors, dos au mur à côté de lui, hésitant à se blottir contre lui, elle pourrait lui faire plus de mal que de bien. Elle tourna alors la tête vers lui, et dit alors, avant de lui reprendre la main : Aller à l'infirmerie ne serait pas une bonne idée, Ombrage aurait pu te voir dans un sale état, ça lui aurait donner une bonne raison de te coller, encore. Elle lui sourit de nouveau, et ajouta alors : Et je n'aie pas envie qu'elle te colle, encore, je veux passer du temps avec toi. Elle s’approcha doucement de lui et l’embrassa tendrement, pas trop passionnément, elle ne voulait pas lui faire de mal, on est jamais trop prudent. Elle interrompit finalement le baiser, et dit alors : Faudrait quand même désinfecter tout ça, au cas où. Une infirmière comme Ysolde, ça fait un peu rêver, non ? La jeune femme ne savait pas où ils allaient pouvoir désinfecter tout ça, elle songea soudain qu’ils pourraient peut être essayé de trouver la salle sur demande, avec du désinfectant à l’intérieur, et le nécessaire pour guérir Graeme.
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MessageSujet: Re: I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.)   I LOVE THE WAY IT HURTS. (graeme r.) EmptyVen 4 Nov - 7:11

Je ne voulais pas tu tu t’attire une fois encore des ennuis. La voix de la jeune femme laissa pensé qu’elle le taquinait un peu sur ses ennuis du moment. C’est vrai que la semaine du blond avait été forte en émotion, premièrement il avait eu des problèmes avec Ombrage, un tête à tête en retenue dans son bureau ou le rose avait fait mauvais usage. Deuxièmement il avait évité Ysolde pour ne pas qui lui arrive quelque chose, à marquer que c’était tout de même difficile de l’évité étant donner que le cœur du blond réclamait la blonde. Troisièmement il venait de se faire prendre une raclée par toute une bande de serpentard qui était venu se regrouper afin de lui faire mordre les coups. Chose qui avait absolument réussis étant donner qu’il avait eu le nez cassé et qu’il était tomber à cause de la faiblesse qu’il avait eu à cause des coups. La semaine avait été tout de même assez dur à supporter mais après une bonne nuit de sommeil et de bon soins qui seront réaliser par la serpentarde, tout irait bien mieux. Je dirais que la semaine a été assez… Importante dans des situations totalement différentes. Je suis aimé que veux tu, j’ai même eu droit a un tête à tête avec Ombrage, si ça ce n’est pas de l’amour. Et oui, le jeune Reinhaart était bien à son tour entrain d’embêter la blonde à son tour, ce qui le fit sourire d’ailleurs, il savait très bien la taquiner un peu, être joueur. C’était un don chez lui. La belle blonde lui avait alors demander ou il avait mal, si son nez allait mieux car celle-ci avait remit son nez en place. Disons nous qu’il était plutôt heureux de ne pas avoir été réveiller à cet instant car il aurait sans doute eu un mal de chien. D’après un docteur à St Mangouste, le nez était quelque chose qui ne se cassait pas beaucoup comme d’autre os mais quand il cassait cela faisait bien plus mal que les autres. La douleur était atroce. Sauf pour Graeme qui n’avait pas sentit que son nez était bien de travers avant de tomber dans le noir complet. Dis que je suis une mauvaise sorcière, pendant que t’y es ! Le rouge et or regarda alors sa blonde rire, ce qui le fit sourire à nouveau. Il aimait la voir rayonnante comme ça, c’était toujours bon à voir. Mais il ne disait rien car il savait que ce n’était pas ce qu’il pensait et la blonde le savait également car dans le couloir précédent, il avait bien dit que c’était une sorcière maline, intelligente, rusée … Il regarda alors la blonde s’assoir dos au mur comme lui et dit alors avant de prendre la main à nouveau du blond : Aller à l'infirmerie ne serait pas une bonne idée, Ombrage aurait pu te voir dans un sale état, ça lui aurait donner une bonne raison de te coller, encore. Ce geste là ne pouvait qu’être rassurant et dans ses moments, c’était bon de savoir que personne ne pouvait arriver dans la pièce car en ce moment, c’était bien difficile de ne pas être suivit ou regarder voir même d’être seul pendant trop longtemps. Pour ce qui était des retenues, c’est vrai que Graeme n’en voulait plus, surtout que c’était la première retenue rouge et or alors imaginer une première heure de colle avec Ombrage qui tourne son thé en faisant du bruit à cause de sa cuillère. Non c’était fini sa. La blonde reprit alors la parole : Et je n'aie pas envie qu'elle te colle, encore, je veux passer du temps avec toi. Alors ils étaient deux à vouloir passé du temps ensembles. La blonde se rapprocha doucement du blond afin de venir l’embrasser, le blond posa alors sa main libre sur la joue de la serpentarde afin de prolonger doucement le baiser à son tour. Soudain la blonde cessa le baiser afin de prendre la parole : Faudrait quand même désinfecter tout ça, au cas où. C’était une bonne chose de pensé à sa mais il fallait tout de même pensé à ou trouver les soins pour le faire. L’infirmerie c’était clair et net, c’était refusable, d’après Ysolde, la grosse dame passe souvent par ici, afin de voir les blessés sans doute pour prendre un malin plaisir à les collés. Le jeune homme réfléchissait un instant afin de trouver un lieu qui pourrait pouvoir donner des soins ou du moins en trouver. Soudain, il fit face à une de ses pensées à un lieu qu’il avait entendu dans une discussion. J’ai entendu une discussion sur un lieu au septième étage. D’après eux c’est une salle à bon usage. Autant en profiter. Non ? Il fallait qu’il désinfecte ses blessures, c’était toujours le nécessaire à faire quand on était ouvert ou coupé quelque part. Mais en ce moment même sa propre survis était difficile, Ombrage était toujours là ou on s’attendait le moins. Même se soigner était devenu assez difficile, aller àl’infirmerie c’était même jouer avec le feu. Mais d’après l’étudiant qui avait parler de cette salle, Ombrage n’en savait rien. Alors pourquoi pas tenté.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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