-20%
Le deal à ne pas rater :
-200€ Smart TV LG 65″ 4K QNED MiniLED
799 € 999 €
Voir le deal

Partagez | 
 

It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité





It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters Vide
MessageSujet: It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters   It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters EmptySam 21 Jan - 18:21



“ Sometimes life it takes you by the hair.
It pulls you down before you know it. ”

Merveille se prélassait dans la salle commune comme à son habitude, le soir, juste avant d'aller dormir. Elle appréciait le calme qui régnait alors dans la pièce où seul le feu crépitant venait la déranger. Elle appréciait ce calme légendaire où personne ne venait la déranger. Merveille n'avait pas beaucoup d'amis de sa maison... Merveille n'avait tout simplement pas beaucoup d'amis et ça lui plaisait ainsi. Personne ne venait donc la déranger pour une causette nocturne alors qu'elle était étendue telle une sirène sur la canapé vert. Ce n'était pas de sa faute si elle n'avait pas d'amis, c'était de leur faute à eux. Ils étaient susceptible et impolis, pas dignes de fréquenter cette Merveille. Elle ne savait pas quel heure il était, mais il y avait un bon moment déjà qu'elle était installée et que personne n'était entré ou sortit. Tous devaient dormir ou du moins, respecter le couvre-feu. Merveille s'en fichait, elle détestait qu'on lui dise quoi faire. Si un préfet se pointait en lui disant de regagner son dortoir, elle arriverait probablement à l'embobiner dans une mascarade pour pouvoir rester et faire fuir ce représentant de l'autorité. Ce n'était pas de tout repos depuis que Ombrage avait prit possession des lieux. Elle était tyrannique et hideuse, qui plus est. Lorsqu'un leader est cruel, mais magnifique, on a moins de difficulté à l'aimer. C'est pourquoi Merveille était convaincue qu'elle serait la ministre de la magie parfaite. Qui pourrait dire non à ses magnifiques yeux turquoises ? Effectivement, la jeune femme était jolie et en était franchement consciente. Pire, elle se trouvait merveilleuse. Affreusement narcissique et superficielle, même lorsqu'elle se prélassait dans la tanière des serpents, ses cheveux, son maquillage et ses vêtements étaient sans défauts. Elle devait être prête à tout, n'importe qui pouvait franchir le pas de cette porte. Peut-être le beau Reaver qui lui lancerait des vannes avant de monter dormir sur ses méchancetés minables de la journée. Peut-être le charmant monsieur Harlington qui viendrait dans leur salle commune par hasard et qui lui ferait la morale. Ou peut-être pire. Merveille ne cherchait pas particulièrement à le savoir, ni à le vivre et pourtant.

La porte de leur caverne s'ouvrir dans un bruit familier. Après tant d'années passé ses soirées dans la même pièce, on s'habituait et reconnaissait certains bruits. Les pas dans la pièce se rapprochait d'elle alors que la jeune femme posait un long soupir d'agacement. Elle leva les yeux vers la dite personne qui venait de faire irruption et perturber son calme. La haine s'empara d'elle alors qu'elle vit ses chutes de cheveux blonds pendre au dessus d'elle. Merveille rigola doucement alors qu'elle se tourna sur le dos en posant une main sur son ventre pour regarder sa sœur. Elle avait un espèce de sourire d'idiote aux lèvres et Merveille se doutait fortement de la raison pour laquelle elle avait cet air stupide au visage.

« Le connard à décider de te reprendre à en voir cet air d'idiote que tu as. Je lui donne une semaine et il te plaque. »

Elle la gratifia de l'un de ses plus beaux sourires de garce pour ensuite se remettre comme elle était avant qu'elle arrive. Sur le côté, sa main sur sa hanche. Avec un peu de chance, elle ne dirait rien et partirait pour la laisser tranquille. Elle ne pourrait certainement pas lui faire un commentaire de la sorte sur un mec. Elle était très discrète dans ses histoires et surtout pas sérieuse. Elle aimait les relations un peu tordues et ainsi restait très secrète. Elle s'était d'ailleurs promise de ne jamais tomber amoureuse pour laisser la chance à quelqu'un de lui briser le cœur aussi lamentablement que Salvador l'avait fait avec sa sœur.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters Vide
MessageSujet: Re: It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters   It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters EmptyDim 22 Jan - 1:06



Avalon avait pour habitude de trainer dans le parc de l’école, ou alors dans le hall. De manière discrète évidemment, parce que depuis qu’Ombrage était là, l’école s’était plus ou moins transformée en prison. Plus le droit de rien, peu importe, Avalon prenait ce droit comme d’autres elle le savait.
Quelque peu refroidie par le temps qu’il faisait dehors, Avalon avait des frissons, elle avait finalement hâte de se retrouver devant le feu de cheminée de la Salle Commune. Après cinq minutes de marche dans le château, la jeune Serpentarde arriva dans les cachots et passa par la porte pour atterrir dans leur antre. Elle pensait n’y trouver personnes, pensant que tout le monde serait endormie à cette heure là. Et pourtant elle fut surprise d’entendre quelqu’un bouger dans le canapé. Elle soupira en voyant que cette mystérieuse personne n’était autre que sa merveilleuse sœur… « Le connard à décider de te reprendre à en voir cet air d'idiote que tu as. Je lui donne une semaine et il te plaque. » Merveille gratifia sa sœur d’un de ses sourires habituelles. Un sourire de garce qui se croyait mieux que tout le monde. Avalon haussa un sourcil. « Qu’est ce que ça peut bien te faire… C’est pas comme si ça t’intéressait. Oh si… En fait tu serais presque ravie qu’il le fasse. » La relation entre les deux sœurs étaient pour le moins… catastrophique. Leur relation était basée sur la jalousie, l’envie, mais surtout sur la compétition. L’une tentait de toujours faire mieux que l’autre, et inversement, même si au final, elles touchaient toutes deux à des domaines bien différents. Les sœurs Parkinson… si différentes et pourtant si semblables. Toutes deux un visage angélique auxquels il ne fallait définitivement pas se fier, mais l’une avait les cheveux d’un noir de jais, tandis que l’autre avait les cheveux de la couleur du blé. Elles avaient toutes deux un regard perçant qu’il était difficile de soutenir et qui pouvait vous plier en un temps records. Elles étaient toutes deux pourvues d’un corps minces, avec des formes bien placées, et décrites comme magnifiques selon les critères de beauté actuels. Avalon était plus entourée que sa sœur, et pourtant elle ne s’en sentait pas moins seule. Elle était peut-être plus expressive, sans doute plus attachante, et pourtant, lorsqu’elle l’avait décidé elle était aussi cruelle. Merveille était relativement constante, les gens savaient à quoi s’attendre. Il ne fallait pas l’emmerder, point. Avec Avalon, c’était différent. On se posait des questions, on se méfiait, on ne savait pas sur quel pied danser. C’était la loterie, ça dépendait vraiment de son humeur. Elle était capable du meilleure comme du pire…Mais malheureusement pour les gens qui l’entouraient, elle était meilleure dans le pire. Et c’est sans doute ce qui l’amusait le plus. « Mais si t’y tiens vraiment, je tiens le pari. Qu’il me garde… comme tu dis, plus d’une semaine. » La jeune Parkinson n’était sure de rien avec Salvador. Elle tentait encore de comprendre ce qui l’avait fait revenir. Elle n’arrivait pas à le croire, pas totalement, sur ses réelles motivations et sur le fait qu’il regrettait de l’avoir lâché. Il y avait forcément autre chose. Malgré ce qu’il disait, elle le connaissait. Elle savait qui il était et qu’il n’agissait pas sans réfléchir, or il savait que revenir vers elle, juste comme ça pouvait s’avérer dangereux. Mais une semaine, il tiendrait surement. Peu importe ce qu’il voulait, il savait qu’il ne l’obtiendrait pas d’elle en si peu de temps, qu’elle restait méfiante quant à son retour. Et puis que s’il se foutait vraiment d’elle, elle ne le laisserait pas revenir une autre fois. Avant Salvador, ou même entre à vrai dire, Avalon n’avait fait que collectionner les histoires. Elle prenait et elle jetait. C’était aussi simple que ça. Du moins jusqu’à ce qu’elle tombe sur le né-moldu.

Revenir en haut Aller en bas
 

It pulls you down before you know it - Parkinson Sisters

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 2 - Archivage-