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I am you, I listen to you ft Ys

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I am you, I listen to you ft Ys Vide
MessageSujet: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMar 30 Aoû - 19:51



“ I AM YOU, I LISTEN TO YOU “

Les jours était redevenu à leurs normaliter, Ysolde et moi, nous nous reparlions comme ci il n’y avait eu aucun froid, aucune distance entre nous, elle était redevenue mon binôme et nous passions beaucoup de temps à travailler nos devoirs mais parfois, il y avait des regards, des regards qui durait de longues secondes, bien différent de ceux qui était habituel. C’était des regards et des sourires de ce genre qui pouvait nous tromper. Les jours était devenu bien mieux et c’était à présent bien merveilleux d’être pris tout les jours par les heures de cours et de travailler le soir très tard à réviser et faire mes devoirs. Tout ça pourquoi ? Parce que la relation que j’entretenais avec Ysolde avait bien reprise la route et que tout ce passait à merveille pour le moment. Mais il y avait un mot qui me revenait sans arrêt en tête, c’était un mot qu’elle m’avait sortit à l’infirmerie, pendant qu’elle essayait de parler, le temps qu’elle pouvait car elle avait été très faible après s’être évanouît sur l’herbe près de lac, peu de temps après avoir trouver la plante que le professeur de botanique nous avait demander de chercher. Je m’étais inquiéter pour elle, c’était dingue, auparavant, aucune personne ne m’aurait autant intriguer et inquiéter qu’elle, c’était nouveau et j’aimais beaucoup cela. Ce matin, je m’étais réveillé de bonne humeur comme depuis deux voir trois jours, j’avais ouvert les yeux en pensant à la journée qui allait passer. Cette après midi, j’avais des heures libres, je m’en irais donc faire un tour à la bibliothèque, j’étais un fasciné de bouquin différent et la bibliothèque était le lieu primordial pour s’instruire. Je m’étais levé du lit afin de prendre ma chemise blanche, mon pantalon noir et ma cravate aux couleurs bleu et argent et partis en direction des douches. Il y avait un monde fou et pour une fois, je faisais la queue, même si l’attente était longue, je restais de bonne humeur, aller savoir pourquoi, je pensais sans doute que la journée serait différente des autres et pourtant, je faisais les mêmes choses chaque matin. L’heure de la douche était enfin arriver et j’y allais à toute vitesse afin d’être le premier servis et avoir l’eau chaude. J’y restai environs dix minutes pour profiter de l’eau chaude car dehors il faisait froid. Après être sortis de l’eau, je m’habillai en prenant soin de laisser mes cheveux en bataille. J’avais quelque minutes pour déjeuner, je descendis donc avec les autres étudiants de la maison de Serdaigle pour aller prendre mon petit déjeuner. Il y avait déjà un bon nombre d’étudiant à déjeuner et j’aperçu au loin Ysolde, à un bout de table, je lui fis signe de tête pour la saluer et alla me trouver une place à la table des Serdaigles. Le déjeuner était rapide, un bout de pain avec la confiture de rhubarbe et un bon café au lait chaud comme j’aimais. Je remontai vite fait dans les dortoirs de Serdaigle afin de prendre ce dont j’avais besoin pour les premières heures de cours. La première heure de cours était les potions, j’étais très bon en potion, cela pouvait être utile avec la botanique, les plantes pouvait toujours être transformer en antidote ou en médicament pour les fous à St Mangouste. Après mon heure de potion, c’était l’heure de la botanique, deux matières que j’appréciais, tout ce passa extrément vite, malheureusement car j’appréciais écouter et être attentif à ses heures-ci. Après, ce fut au tour de la divination, la matière que je détestais avant tout, je ne comprenais rien mais vraiment rien à tout ça et pendant toute l’heure du cours, je regardais Ysolde, simplement pour le mot vision qui me revenais sans cesse en tête, d’ailleurs le professeur avait du le remarquer ça remarque. Mr Reinhaart, sortez de vos rêves. De mes rêves ? C’était un grand mot, j’étais plutôt curieux de voir les réactions d’Ysolde dans cette matière, elle était attentive comme moi je l’étais dans les potions ou la botanique. L’heure du repas du midi arriva, il était temps car mon ventre n’avait pas arrêter de faire le vivant pendant l’heure de divination. Le repas du midi était constituer de petit pois avec du poulet et comme désert une tarte au citron, du moins c’est ce que je mangeais. Cette après midi, j’étais libre, je pourrais passé du temps à la bibliothèque. Comme à mon habitude, j’avais défais deux boutons de ma chemise quand je n’avais pas cours et dé-serrer ma cravate, au moins, personne ne me ferait de réflexion sur ma tenue car je n’avais pas cours. Je montai les escaliers afin d’aller en direction de la bibliothèque, tout ceux qui n’avait pas cours allait droit vers le parc ou le lac, moi je n’avais pas très envie de prendre du temps dehors même si parfois, respirer ne faisait qu’un bien être incroyable. En passant dans le couloir de la bibliothèque, j’aperçu des étudiants entrer dans la bibliothèque, je les suivis en essayant de trouver un rayon qui me plairais, mais j’aperçu au loin la belle blonde qui lisait un bouquin, elle était bien de trop concenter debout à lire ses pages. J’allai doucement vers elle, sans faire de bruit, les autres étudiants devaient certainement me prendre pour un fou. Arriver derrière Ysolde, je posai doucement mes deux mains sur ses yeux, avec le sourire aux lèvres. C’est bizard, je ne suis même pas étonné de te voir ici ! J’enlevai doucement mes mains de ses yeux en apercevant que les étudiants me regardaient. Quoi ! J’avais fais quelque chose de mal ou quoi !
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMar 30 Aoû - 21:10




Elle était finalement sortie de l’infirmerie le lendemain. Elle avait eut un mal de chien a s’endormir cette nuit là, cette nuit qu’elle avait passé à l’infirmerie. Elle avait pris une sorte de somnifère qui lui avait administré l’infirmière, mais cela avait contribué à lui faire faire d’étrange rêve, des sortes de visions où elle se retrouvait actrice, mais au réveil, plus rien, elle n’en gardait aucun souvenir, aucun, absolument aucun, si ce n’est qu’un étrange sentiment. Elle en était sorti le lendemain et sa blessure à la jambe avait totalement cicatrisé. Elle était contente, Ysolde n’aimait pas les cicatrices, elle en avait presque pas, et ne tenait pas à en avoir, pas du tout. Ysolde prenait soin d’elle, et grâce à la magie elle s’en sortait sans une égratignure, pas la moindre. Elle n’arrivait pas à se souvenir de cette fichue vision qui avait causé tout ça mais… au moins, elle et Rys se parlaient de nouveau, tout était comme avant, ils discutaient, travaillaient ensemble, à l’exception près de quelques regards, tout était comme avant. Ysolde n’avait pas manqué de cours et était arrivée toute catastrophée devant le professeur de botanique, lui disant qu’elle n’avait pu faire son devoir parce qu’elle était à l’infirmerie, ne pas faire un devoir était pour une catastrophe, vraiment. En tout Ysolde était la fille la plus sérieuse qui soit en cours, il lui arrivait d se laisser aller à discuter quand elle était particulièrement de bonne humeur, mais en soit, c’était très très très très très très rare. Le cours qu’elle préférait était le cours de divination, elle s’asseyait tout devant et n’en perdait jamais une seule miette. Elle était peut être la seule personne à s’asseoir volontairement devant, elle était la chouchoute de la professeur de divination. Ysolde avait passé l’heure très attentive, très très très très attentive, comme toujours. Tout les sujets l’intéressaient, mais ils n’évoquaient jamais les voyants et les gens avec le don de double vue… et… Ysolde aurait tellement aimé en savoir plus sur la question, mais elle en voulait pas aller voir le professeur, ça non. elle fut tiré de ses pensées quand le professeur dit alors : Mr Reinhaart, sortez de vos rêves. Sans réfléchir elle se tourna vers lui, Rys. Elle retourna ensuite la tête vers le tableau, elle aurait juré avoir rougi.

Vint ensuite le temps du repas, Ysolde y avait fait une brève apparition à la table de serpentard, où elle s’était vite éclipsée avant même que quelqu’un puisse lui dire quelque chose. Elle avait mangé à vitesse grand V, elle n’aimait pas rester longtemps en « terrain ennemi », si vous voyez ce qu’elle voulait dire. Ensuite, elle s’en alla à la bibliothèque, pour changer. Elle posa son sac sur l’une des tables et parti à la découverte des rayons que finalement elle connaissait par cœur. Elle laissa courir ses doigts sur les livres, et s’arrêta soudain sur un titre accrocheur. Elle était dans le rayon roman, pour une fois elle n’avait pas de devoir, rien à faire. Elle attrapa le livre au titre accrocheur : Le Portrait de Dorian Gray, d’Oscar Wilde, hum, il s’agissait d’un livre moldu qu’elle ne connaissait pas, elle le reposa soigneusement, à la recherche d’un autre livre. Elle attrapa Tristant et Iseult, sans doute parce qu’en anglais le nom de la fille était Ysolde, juste par pure vanité, ou simplement par curiosité. Elle était debout, tournant le dos aux gens, et commençant à feuilleté les pages de ce livres, ça n’avait pas l’air mal du tout. Elle était totalement absorbée quand elle fut tirée de sa lecture d’une façon… étrange. Quelqu’un s’était glissé derrière elle, et avait posé ses mains sur ses yeux, la rendant momentanément aveugle. Elle sursauta, manquant presque de lâcher son livre. Pourtant, au touché, à ce contact, elle frémi, et une vois familière, douce et agréable dit alors : C’est bizarre, je ne suis même pas étonné de te voir ici ! Rys, Emrys, Rys… ah Rys. Le cœur d’Ysolde fit un bond, et dire qu’elle avait failli se retourner pour le frapper, juste par prévention. Emrys était le camarade de classe, son binôme, mais aussi quelqu’un qu’elle appréciait réellement, quelqu’un qui la troublait, tellement. Il retira ses mains de ses yeux, et Ysolde souffla comme pour se dire « détends-toi », et se retourna vers Rys, un sourire aux lèvres. Un vrai sourire, elle esquissa une fausse mine énervée et dit alors, en le frappant – c’est un grand mot – en lui tapotant le bras avec son livre : Tu – es – fou, articula-t-elle en prenant une fausse mine méchante. Bien sûr, elle n’était pas sérieuse, cela se voyait, elle avait envie de sourire, ce qu’elle fit d’ailleurs moins d’une seconde après. Rys lui donnait envie de sourire tout simplement, ce contact avec lui, ses mains sur ses yeux l’avait un peu chamboulé, mais elle avait réussi à garder un teint naturelle, cette fois elle n’avait pas viré couleur tomate, elle faisait des efforts. Elle ajouta alors au sujet de sa réplique : Suis-je si prévisible ? Ysolde lui sourit, puis se mordit doucement, et discrètement. Elle aimait sa présence, et dire que pendant un temps elle l’avait fuit, par peur, forcément, mais elle savait qu’il était différent des autres, différent de Duncan son ex qui a fini en prison, et différent d’Ulysse son ex qui avait presque eut envie de la tuer de colère.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMer 31 Aoû - 11:17

La bibliothèque était sans doute l’un de mes endroits préféré du château, je trouvais l’endroit très calme par rapport aux autres et c’était l’endroit le plus instruisant qu’il pouvait y avoir. Evidement, les couloirs et les murs de Poudlard cachait bien des secrets les plus mystérieux qui puisse exister. Poudlard était l’endroit le plus mystérieux qui puisse exister, même ses alentours regorgeait de découverte chaque jours. Je savais une seule et unique chose aujourd’hui, si Ysolde ne courait pas dans le parc, elle était surement à la bibliothèque et d’ailleurs j’estimai la deuxième proposition. Ysolde n’aurait surement pas envie de devoir encore se mouiller les pieds et la tête pour avoir de nouveau un rhume, déjà que la dernière fois qu’elle avait courut sous la pluie, elle avait eu un rhume pendant plusieurs jours alors de nouveau courir sous ce temps, même s’il ne pleuvait pas beaucoup, il y avait tout de même une température assez froide, évidement car nous approchions un peu plus chaque jours de la saison de l’automne. En me rendant à la bibliothèque, je voyais bien les étudiants lancer de drôle de regards en direction d’Ysolde, c’était donc ça qu’elle fuyait ? Les regards des autres ? Evidement, cela ne plaisait à personne d’être scruter, d’être regarder de haut en bas avec un peu de dégout, du moins c’est l’impression que j’avais en les regardants. Ysolde ne pouvait pas avoir pire, du moins, c’est que je pensais car il y avait toujours des situations bien pire que celle-ci, mais je savais que je l’aiderais même si les étudiants n’étaient pas dans leurs bouquins à cet instant. D’ailleurs je me surpris moi-même à vouloir me jeter sur la bande d’étudiant de poufsouffle qui ne s’isolait pas pour regarder Ysolde de haut en bas. Je m’étais glissé délicatement derrière Ysolde afin de posé mes mains sur ses yeux, d’ailleurs je remarquai qu’elle faillit faire tomber son livre de ses mains. Lui avais-je vraiment fait peur ? Je devais certainement faire peur dans le noir. La bande d’étudiant de poufsouffle se mit en direction de la porte d’entrée de la bibliothèque, ça c’était déjà fait ! Ils devaient tous être un peu plus âgés, d’un an voir deux ans que moi, mais ce n’était pas eux qui m’impressionnerait. J’avais enlevé mes mains des yeux d’Ysolde et sans avoir le temps d’éviter ses gestes avec son bouquin, je me mis à sourire. Un sourire sur ses lèvres apparut quand elle se tourna vers moi, enfin le sourire que j’attendais depuis la première heure de cours. Elle commença à me frapper avec son bouquin au bras. Tu – es – fou, Fou, oui je l’étais sans doute, je lui avais fais peur, du moins c’était mon impression. J’avais bien envie de la provoquer cette après midi, à vrai dire, il fallait bien avoir un peu d’humour en dehors des cours et de décompresser surtout car plus les jours passait, plus nous avions de devoir mais aujourd’hui, aucun. Heureusement d’ailleurs. Attend, c’est avec ce libre que tu vas croire m’atteindre ? J’aurais bien eu l’envie de lui dire, « fou de toi » mais ça faisait bien de trop le cliché des autres étudiants plus jeunes et même plus vieux que moi. Peu de temps après lui avoir répondu, Ysolde prit la parole avec le sourire et bien, j’étais gâté aujourd’hui, deux sourires en même pas trois secondes ! Suis-je si prévisible ? Sa phrase interrogatoire me fit sourire et vous savez pourquoi ? Simplement parce que je commençais à en savoir plus sur elle et des quand j’en savais un peu plus, je n’étais pas déçu. Je tournais la tête afin de regarder les autres étudiants, d’un coup, ils étaient tous dans leurs bouquins, bizard. Je retournai donc la tête vers Ysolde pour qu’elle est mon intention. Disons que je commence à te connaitre, si tu n’es pas entrain de courir, c’est ce que tu es ici à t’instruire même si tu es déjà une sorcière brillante. Enfin étudiante brillante. Le sourire aux lèvres, je l’avais toujours avec Ysolde et je venais tout juste de lui faire un compliment sans vraiment le vouloir, d’ailleurs j’y passai ma main à ma nuque, gêné d’un tel compliment que je venais de lui faire. Je baissai mon regard vers le bouquin qu’elle avait dans ses mains, j’aurais bien cru que c’était un livre sur les visions mais je m’en aperçu que non rien quand lisant le titre de celui-ci. Je pensais que je te verrais avec un bouquin, un peu plus… Personnel. Je remontai mon regard vers elle avec un petit sourire. En faite, je pensais la voir avec un livre sur les visions car elle m’en avait vaguement parler, en faite, elle avait simplement dit ce mot, mais sachant qu’elle avait été sincère dans ses paroles et ça je m’en étais aperçu en la regardant dans les yeux, je pensais qu’elle aurait profiter de son temps libre pour ce genre de bouquin. Il y a un mot qui me… m’intrigue chez toi et qui te rend encore plus mystérieuse qu’avant… Je m’approchai doucement d’elle afin de venir lui murmuré ce mot à son oreille. Vision... Je me redressai et tourna la tête derrière moi pour espérer que personne n’avait entendu quoi que ce soit. La bibliothèque était un lieu calme mais bien de trop calme pour que tout le monde puisse entendre ce que nous pouvions dire.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMer 31 Aoû - 16:34

Il lui en fallait plus que cela pour être morte de trouille, mais cela l’avait tout de même surprise. Et, oui, en effet ce n’était pas courant qu’on vienne lui cacher les yeux au beau milieu de la bibliothèque, au beau milieu de la journée. Ysolde en bavait en ce moment, ça aurait pu être une mauvaise blague de la part de ses anciens copains de serpentard, mais fort heureusement, c’était Emrys. Le bel Emrys, blond, serdaigle, intelligent, gentil, bien foutu. Elle le frappa, doucement avec son livre d’un air de dire « mais arrête », ou était-ce une façon de protester, que sais-je. Attend, c’est avec ce libre que tu vas croire m’atteindre ? Elle grimaça, et dit alors d’une voix fière : Ne sous estime pas mon livre, c’est un livre d’attaque. Dit-elle en essayant de prendre un air menaçant, mais ça ne lui allait pas, et elle n’arrivait pas à le garder plus de quelques secondes. Pourtant, dans sa nature, Ysolde savait être très menaçante, même odieuse aussi, et surtout méchante, bien qu’elle ait changé depuis l’année dernière, elle était toujours capable de l’être avec les gens qu’elle ne portait pas dans son cœur, elle était capable de l’être avec sa demie-sœur par exemple, sa chère et tendre Bellatrix. Mais, avec lui, elle ne savait pas être comme ça, parce qu’il était quelqu’un de bien, il méritait qu’Ysolde essaye d’être une fille bien avec lui. Disons que je commence à te connaitre, si tu n’es pas entrain de courir, c’est ce que tu es ici à t’instruire même si tu es déjà une sorcière brillante. Enfin étudiante brillante. Rys venait de lui faire un beau compliment, il la trouvait brillante. Ysolde le regarda, et sourit alors. Elle ne rougit pas, c’était comme si elle commençait à s’habituer à être proche de lui de la sorte, sa lui fit un petit quelques choses au cœur, mais pas de couleur pivoine sur les joues, dieu merci, elle détestait rougir. C’était vrai, Emrys commençait à la connaitre, un peu plus que les autres, moins qu’Alecto certes, mais il commençait à en savoir beaucoup sur elle. Il passa alors la main dans sa nuque, comme s’il était gêné, mal à l’aise. Ysolde répondit alors avec un sourire : Etudiante brillante ? Humm. Oui, je crois que tu dis vrai. Elle prit une espèce de voix vantarde, celle d’une blonde écervelé, mais elle le faisait exprès et ajouta rapidement : Je peux te retourner la chose, tu es brillant aussi, moins que moi mais… cette fois elle laissa échapper un rire, bien sur ce n’était pas à prendre au premier degrés, bien sûr, mais c’était peut être vrai, elle était peut être plus brillante que lui.


Je pensais que je te verrais avec un bouquin, un peu plus… Personnel. Il la regarda. Un livre plus personnel ? Comment ne pas tomber amoureuse d’un beau blond en dix minutes ? Comment se débarrasser d’une bande de serpentard hystérique qui en a après vous ? La famille pour les Nuls ? Comment renouer avec un père psychopathe ? Qu’espérait-il comme livre, plus personnel ? Elle le coupa alors avant qu’il n’ait pu continuer et dit joyeusement : Plus personnel que Tristant et Iseult, je te rappelle quand même que mon nom est sur le livre, dans sa version anglaise. Plus personnel, tu meurs. Dit-elle avec un grand sourire aux lèvres, Ysolde était d’une très très très très bonne humeur, c’était peut être dû au fait que Rys soit présent, ici dans la bibliothèque, la sortant de son train train habituel, l’empêchant d’aller s’isoler comme tous les jours au fond de la bibliothèque dans un coin qu’elle avait marqué de son emprunte pendant des années. Il y a un mot qui me… m’intrigue chez toi et qui te rend encore plus mystérieuse qu’avant… Un mot, quel mot ? Là, elle ne comprenait pas, pas du tout. Elle l’intriguait, ah oui ? Il la trouvait mystérieuse ? Très intéressant. Quand il y a du mystère, c’est plus… mystique, non ? Elle le regarda alors, dans les yeux quand il s’approcha d’elle, pour murmurer à son oreille un seul mot : Vision... Elle reste interdite, une seconde, peut être deux, le temps de réagir. Comment pouvait-il savoir ? Elle creusa… ah, oui, à l’infirmerie, quand elle avait listé ce qui lui faisait peur, le mot vision lui avait échappé. Elle fit un petit pas en arrière, et le regarda, se mordant la lèvre inférieure. C’était donc cela qui l’intriguait, mais en soit, cela expliquait la fascination de la jeune femme pour la divination. Elle ne savait pas quoi répondre, elle dit alors d’une voix calme, et posée : il n'y a plus aucun livre concernant les visions dans cette bibliothèque que je n'ai pas lu. Hélas. Elle lisait depuis des années, et cela faisait bien trois années qu’elle avait des visions, d’abord des rêves, puis des visions, elle avait eut le temps d’étudier la question. Enfin voilà. J’ai des visions, le don de double vue, appelle ça comme tu veux, dit-elle en se mordant la lèvre, et ça me fait peur des fois. Elle le regarda et dit alors d’une voix faible, s’il te plait ne le dit à personne.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMer 31 Aoû - 19:24

Ne sous estime pas mon livre, c’est un livre d’attaque. Un livre d’attaque, si tout les livres pouvait être d’attaque, ça m’aurais certainement aider quand j’avais besoin pour terminer mon devoir de divination dont je n’avais rien compris, c’était sans doute le devoir et la matière ou je perdrais le plus de point. J’étais mauvais, voir même très mauvais en divination, je ne comprenais vraiment rien mais quand je voyais qu’Ysolde était concentrer dans cette matière et qu’elle avait sans doute les meilleures notes de la classe, ça me faisait sourire. Je venais de faire un compliment à Ysolde, d’ailleurs c’était très rare venant de moi, je ne savais pas vraiment comme mis prendre pour faire passer un message à qui que ce soit, mais je pense que de cette manière, c’était la meilleure vis-à-vis d’Ysolde. Je savais quand ce moment, elle ne vivait pas la meilleure passe de sa vie, elle me l’avait dit et même en voyant les regards des autres sur elle, je pouvais apercevoir le dégout des étudiants. Pourquoi la regarder comme ça ? A quoi ça leurs servaient ? En aucun cas ils étaient plus forts, en aucun cas ils gagnaient quelque chose. En tout cas ça ne serais pas d’Ysolde qu’ils auraient quelque chose, ça c’était clair et net. Etudiante brillante ? Humm. Oui, je crois que tu dis vrai. Sa voix avait prit un ton à laquelle j’avais envie de rire, elle était vantarde, la belle blonde était vantarde et à chaque fois j’avais envie de rire quand elle essayait de l’être. Sans avoir le temps de dire quoi que ce soit, elle ajouta en parlant de moi. Je peux te retourner la chose, tu es brillant aussi, moins que moi mais… Brillant, j’étais sois disant brillant, m’ouais, c’était vite dit. Je faisais de mon mieux pour être un élève brillant ça c’était sur mais au point de l’être, je ne pense pas. La fin de sa phrase me fit sourire, à nouveau, elle se mettait en valeur, peu être que finalement elle avait raison, peu être que j’étais moins brillant qu’elle mais je savais qu’un jour, j’arriverais à la hauteur de mes espérances. C’est avec le sourire que je lui répondis. Tu as sans doute raison, mais je ne suis pas le genre de garçon à mettre mes compétences de coter, je suis plutôt à les mètres en valeurs.[ /b]Le sourire aux lèvres malgré que je savais que les autres étudiants de la bibliothèque nous regardaient. C’était désagréable de se savoir observer, par les moindres faits et gestes. Je venais d’observer son bouquin, je pensais la voir avec un libre sur ses visions mais non, ce n’était qu’un bouquin d’histoire. [b] Plus personnel que Tristant et Iseult, je te rappelle quand même que mon nom est sur le livre, dans sa version anglaise. Plus personnel, tu meurs. Je ne connaissais pas particulièrement ce libre, voir pas du tout, mais au moins j’étais au courant que son nom faisait partit de celui-ci. Peut être que je devrais commencer à m’instruire un peu plus. En faite, j’avais mes raisons de ne pas connaitre celui-ci, j’étais bien plus occuper à lire des livres qui pourrait me servir pour mes études et pour mes connaissances afin de rapporter le plus de point à la maison de Serdaigle, je savais que les comptes ou les histoires de ce genre, ne m’aiderait pas spécialement mais parfois, il se peut qu’un héro d’une histoire peu vous ressemblez caractèrement et que vous vous retrouvez dans la peau de celui-ci alors peu être quand lisant un peu plus ce genre de chose m’aiderais. Pas à me sentir bien dans ma peau car je me sentais très bien mais plutôt à essayer d’approcher un peu plus d’Ysolde, lui faire comprendre que je ne lui voulais que du bien et non du mal comme l’avait fait son ex mais elle savait que je n’étais pas le genre de type à faire du mal, du moins j’espérais. A vrai dire… Je ne connais pas ce bouquin… Je suis plutôt du genre à m’instruire mes pour les études… et pour mes connaissances non pour… Se laisser aller si puis-je dire. Première révélation, au moins je ne lui mentais pas, c’était déjà ça que j’appréciais chez moi, ma sincérité, avec Ysolde, je pouvais tout lui dire, je pouvais être sincère avec elle, je pouvais être moi-même, c’était très important pour moi, pour qu’elle voit le genre de type que j’étais. Suite à cette révélation, je m’étais approcher d’elle afin de lui dire un mot à son oreille afin qu’aucun étudiant puisse entendre. Vision, voici le mot que je venais de lui murmurer à l’oreille, d’ailleurs je profitais pour respirer son odeur, j’appréciais son odeur, c’était quelque chose de dingue chez elle. C’était dingue à quel point cette fille me rendait fou. Elle me regarda tout en faisant un pas en arrière. Merde ! J’aurais sans doute mieux fait de taire ! Elle commença à prendre la parole, dans une voix calme, surement à fin que personne ne puisse l’entendre. il n'y a plus aucun livre concernant les visions dans cette bibliothèque que je n'ai pas lu. Hélas. Sans avoir le temps de dire quoi que ce soit elle continua de prendre la parole afin de me faire une révélation à son tour. Enfin voilà. J’ai des visions, le don de double vue, appelle ça comme tu veux, Des visions, à présent j’en étais sur, mais j’aurais voulu savoir qu’elle genre de visions elle voyait. Peu être le futur, le présent ou un truc de ce genre ? Je ne mis connaissais vraiment pas dans ses trucs là mais Ysolde était bonne en divination, cela allait sans doute avec ses visions, voilà pourquoi elle était sans doute aussi… Brillante. Saviez-vous ce qui me rendait le plus fou chez elle ? C’était quand elle avait ce geste de mordre sa lèvre inférieur, elle me rendait totalement dingue et parfois, c’était gênant, vraiment gênant. Sans dire quoi que ce soit, elle continua à prendre la parole. s’il te plait ne le dit à personne. Le dire à personne ? Ne me faisait-elle pas encore confiance ? C’était un peu décevant de s’imaginer ça. Je la regardai un peu déçu, mais j’essayais de ne rien laisser paraitre, comme toujours. Tu n’as pas encore confiance en moi… Dommage. Mais tu as ma parole, je ne dirais rien. A personne. Je tournai la tête derrière moi, afin de voir si personne ne nous écoutait, on sait jamais, à Poudlard les étudiants étaient tous très futés quand ils le voulaient. Même les plus… Bizards pouvait être dangereux dans ce genre de révélation, la plupart du temps, il faudrait utiliser le sortilège de bloclangue pour qu’aucun secret ne soit révéler.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


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first Log-in : 29/06/2010
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMer 31 Aoû - 21:59

dis. Tu as sans doute raison, mais je ne suis pas le genre de garçon à mettre mes compétences de coter, je suis plutôt à les mètres en valeurs. Elle lui adressa un grand sourire à Rys, elle aimait tellement être avec lui, vraiment. Oui, elle aimait sa compagnie, elle se sentait très bien avec lui, avec lui, il lui suffisait d’être elle-même, juste elle. Elle n’avait aucun rôle à jouer, aucun. Strictement aucun, elle avait juste à être elle-même, et il devait bien être la seule personne du château à ne pas vouloir lui jeter des pierres. Ysolde aimait être avec lui, elle se sentait bien. Il y avait du monde qui voulait faire du mal à Ysolde, même à la bibliothèque, elle ne se sentait pas forcément en sécurité, il y avait toujours des regards en travers, des gens qui murmuraient, avec Rys, elle arrivait à oublier tout ça. A vrai dire… Je ne connais pas ce bouquin… Je suis plutôt du genre à m’instruire mes pour les études… et pour mes connaissances non pour… Se laisser aller si puis-je dire. Ca n’a jamais fait de mal à personne de se laisser aller. Dit-elle avec un sourire aux lèvres. Ysolde avait du mal à se laisser aller, elle ne faisait pas souvent la fête, et on l’avait souvent dite Frigide, ou coincée, ce qui en soit n’était pas totalement faux. Mais, depuis qu’elle avait retrouvé la mémoire elle avait l’impression d’être enfin capable de se laisser aller, et de laisser une pression s’échapper. Mais, elle n’avait pas franchement eut beaucoup d’occasion de faire baisser la pression, elle n’avait eut aucune occasion de faire la fête, de sortir avec des amis, de boire un coup histoire d’oublier, même si c’était ce dont elle avait bien besoin. Mais avec Rys, elle se sentait bien, jusqu’à ce que le mot vision vienne sur le tapis.

Elle lui avait parlé de ses visions, elle lui en avait parlé alors que… personne n’était au courant, strictement personne, personne, pas même Alec, Ysolde n’avait pas eut le courage de lui en parler, c’était… elle se sentait comme un monstre, tellement différente à cause de cela. Ysolde n’était pas facilement en confiance avec les gens, mais avec Rys, elle l’était totalement, cependant elle lui demanda de ne rien dire aux autres. Elle était terrifiée à l’idée que quelqu’un puisse le savoir, et qu’on puisse la traiter de folle, ou de menteuse, ou de quoi que coi soit qui viendrait s’ajouter au qualificatif de « bâtarde ». elle n’avait pas besoin de cela. Tu n’as pas encore confiance en moi… Dommage. Mais tu as ma parole, je ne dirais rien. A personne. Elle s’en voulait, en gros, elle venait de lui dire qu’elle n’avait pas confiance en lui, et enfin, c’est ce que lui avait compris. Elle le regardait, par merlin, comme elle s’en voulait. Elle avait confiance en lui, totalement confiance, c’était ça qui était nouveau, elle lui faisait confiance, elle qui avait été blessée, très blessé. Elle ne voulait pas qu’il croit qu’elle n’avait pas confiance en lui… c’était totalement faux, avant qu’elle eut le temps de répondre, il tourna la tête pour regarder s’il y avait quelqu’un. Il ne voulait pas qu’on les écoute. Elle le fixa, avançant d’u micro pas, et se mordant timidement la lèvre inférieure. Emrys, tu es sans doute la personne en qui j’ai le plus confiance, c’est… j’ai confiance en toi, c’est… elle poussa un petit soupire, et passa nerveusement une main dans sa chevelure blonde, tortillant nerveusement une mèche, toujours la même. Elle finit par dire : Je veux pas que ça se sache, Rys, j’ai… je n’ai pas besoin de ça pour qu’on me jette des pierres. Sa voix était sincère, et frêle aussi. Qui l’eut cru, Ysolde Wilkes n’était pas une fille aussi sûre d’elle qu’elle y prétendait, elle était faible, enfin… frêle et fragile. Elle avait baissé les yeux, et leva les yeux vers Rys. Quand elle croisait son regard tout devenait… différent, elle se sentait bien, mieux du moins. Elle se mordit de nouveau la lèvre et dit : Tu es la seule personne à qui je l’ai dit, je te… je te fais confiance Rys, tu devrais le savoir. Elle tourna les yeux, passant à nouveau nerveusement sa main dans ses cheveux, furtivement, mais attrapant au passage une mèche à tortiller, dans son autre main, elle tenait nerveusement le livre, et reporta son regard sur Rys après avoir jeté un regard à un groupe de personnes non loin de là. Je... tiens à toi. Dit-elle a mi-voix, elle ne voulait pas qu’il croit qu’il ne lui faisait pas confiance. Parce qu’elle tenait énormément à lui, énormément, plus qu’elle ne l’aurait jamais imaginé. Plus qu’elle n’aurait bien voulu l’admettre.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyJeu 1 Sep - 13:30

Emrys, tu es sans doute la personne en qui j’ai le plus confiance, c’est… j’ai confiance en toi, c’est… Elle me fixait, son regard était totalement plonger sur moi, je n’avais pas comment réagir face à ça, ses paroles avait l’air tellement vrai, que n’importe qui d’autre aurait pu la croire, d’ailleurs moi-même je la croyais mais je voulais qu’elle est confiance en moi, c’était sans doute la seule personne qui me connaissait bien, voir même très bien. En faite, si je mettais de côter Atlance, Nemeroff et Elias, il n’y avait qu’Ysolde et c’était sans doute mieux. Elle, elle ne m’avait jamais déçu, bien au contraire, j’avais toujours épanouis de ce qu’elle faisait, elle était brillante et parfois elle parfois être flippante, la voir énerver par exemple, au tout début de notre relation de binôme, elle était énerver quand je prenais du retard et que je préférais m’amuser, elle m’avait mis comme sur le droit chemin et c’était ça que j’aimais chez elle. J’avais tourner la tête afin de regarder Ysolde, c’était quelque chose de dingue, à chaque fois que je la regardais c’était un bien fou que je ressentais. J’aperçu alors, qu’elle se trippotait les cheveux, je ne connaissais pas vraiment les signes des demoiselles mais d’après des livres, c’était signe d’être… Nerveuse ? Je veux pas que ça se sache, Rys, j’ai… je n’ai pas besoin de ça pour qu’on me jette des pierres. Qu’on lui jette des pierres, voilà ce dont elle avait peur mais je crois que c’était bien partit pour. Les autres étudiants, ne ressentaient que de la haine et du dégout pour cette … Sublime demoiselle blonde ? D’ailleurs, moi-même je ne les comprenais pas, c’est vrai, Ysolde avait vécue longtemps dans le mensonge et sans savoir pourquoi, elle avait simplement réagie de la façon dont tout les membres de sa famille réagissait. Evidement, des fois j’aurais cru qu’elle m’aurait à mon tour, clacher, comme je suis un type de sang mêler, c’était comme ci mon sang avait été salit. Mais non, Ysolde était rester elle-même, j’avais chaque jours vu, la vrai Ysolde à mes côtés et c’était pour ça, que je la défendais quoi qu’il arrive car Ysolde avait toujours eu deux faces, différentes, très différentes, mais Ysolde était Ysolde, elle était… ma blonde. Je n’avais toujours pas décrocher un mot, à vrai dire, je ne savais que dire, elle me rendait totalement… Perturber… C’était une sorte de frisson au ventre quand elle faisait ce genre de chose, c’était des sourires que je lui rendais sans vraiment m’en apercevoir, c’était des regards qui me pouvait la plupart du temps me tromper vis-à-vis des sentiments que je ressentais pour elle. Tu es la seule personne à qui je l’ai dit, je te… je te fais confiance Rys, tu devrais le savoir. Elle me regardait dans les yeux, tandis que moi je faisais de même mais c’est en entendant un livre sur le sol que je tournais brusquement la tête afin de regarder ce qu’il se passait autour de nous. Je pensais qu’elle n’avait pas confiance en moi, après ce qu’elle m’avait dit mais visiblement je me trompais, elle avait confiance en moi, le truc, c’est qu’elle avait peur, peur de ce qui pourrait arriver si les gens savaient, peur d’avoir encore plus de regards sur elle et d’avoir encore plus de rumeur sur elle. Mais elle sortit une phrase, une phrase à laquelle je ne m’attendais pas du tout, une phrase que je n’avais jamais entendu avant elle. Je... tiens à toi. Je ne savais pas si je devais avoir peur ou si je devais respiré, car je n’arrivais plus, c’était comme si elle m’avait bloquer, je ne mis attendais vraiment pas. La seule chose que je pu faire face à elle, c’était de reprendre mon souffle d’un coup, j’étais tout pâle, on aurait dit que j’aurais vu un fantôme, alors que non, c’était simplement la phrase que venait de dire Ysolde, qui m’avait… Perturber… Bloquer… Et j’en passe des belles. Sans trop savoir pourquoi, je tournais la tête derrière moi, je n’avais pas vraiment envie que quelqu’un entende ça, c’était… sans doute ce que les gens aimaient pour fabriquer des rumeurs. Des rumeurs, mais des rumeurs vraies, j’étais sous le charme d’Ysolde et je ressentais bien plus que de l’amitié pour elle, elle le savait et je ne voulais rien brusquer, parce que, je ne voulais pas la perdre même en tant qu’amis. Je retournais la tête vers Ysolde, pour la regarder à nouveau. Je n’avais toujours pas décroché un mot. Est-ce mal ? Après ce qu’elle m’avait dit, c’était sans doute mal polit de ne rien répondre et sachant que tout ce qu’elle m’avait dit, c’était réciproque, je voulais qu’elle le sache également. Je m’approchais donc d’elle, afin de lui murmurer quelque chose à l’oreille. Je tiens à toi aussi… Je me redressais afin de regarder aux alentours pour reporter mon intention sur elle . Ce que j’aimais entre nous, c’était que les regards étaient trompeurs, trompeur pour nous mais aussi pour les autres, c’est d’ailleurs pour ça, que je me mis à regarder les livres alors qu’aujourd’hui, ce n’était pas les bouquins que je voulais regarder mais Ysolde. Et c’est bien, ce truc ? Question idiote et réponse bête peu être mais c’était rare que les gens est des dons à cet âge, comme quoi, en disant qu’Ysolde était brillante, je n’avais pas faux. Je reportais mon intention sur Ysolde, afin de lui adresser un petit sourire venant du coin de mes lèvres. Pour la rassurer.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyJeu 1 Sep - 18:22

Sans réfléchir, Ysolde lui avait dit qu’elle tenait à lui ce n’était pas la première fois qu’elle lui disait, mais elle avait eut besoin de lui dire, comme pour lui prouver qu’elle lui faisait confiance, comme si tenir à quelqu’un était forcément lui faire confiance. Ysolde n’était pas du genre à faire une démonstration de sentiment, elle n’avait pas été élevée comme ça, loin de là. Mais, elle avait besoin de lui dire. elle cru avoir fait une nouvelle erreur puisque Rys regarda derrière lui, comme s’il aurait été gêné que quelqu’un puisse entendre cela, puis après un silence il posa de nouveau son regard sur elle, puis s’approcha d’elle, elle était prête à réagir, à la gifler si nécessaire, enfin.. elle n’aurait pas envie de le gifler mais ça aurait été un reflexe humain. Elle restait droite tandis qu’il se penchait pour murmurer à son oreille : Je tiens à toi aussi…Elle le fixa, la respiration calme, comme souvent, Ysolde n’était pas facilement en « stress », mais en ce moment c’était à chaque fois en présence de Rys, tout d’abord quand ils s’étaient embrassé, et enfin quand elle avait manqué de couler au fond du lac. Elle n’aimait pas être en stress, mais c’était à croire que c’était toujours à cause de lui, il dit alors s’intéressant à son livre : Et c’est bien, ce truc ? Ce truc ? Elle n’aurait pas trouvé un substantif plus approprié pour parler de ce livre, elle avait lu deux chapitres, et l’histoire lui paraissait claire comme de l’eau de roche, et terriblement chiante aussi, il fallait croire qu’elle était insensible. Elle fit une moue boudeuse en fixant son livre, et leva les yeux vers Rys esquissa un sourire : Et fait… non, ça n’a pas l’air très bien, j’ai à peine commencé à lire et ça sent l’histoire d’amour avec des tas d’idées d’honneurs, des dilemmes cornéliens digne d’une très grande tragédie grecque, et qui va finir dans un bain de sang. Je déteste lire un livre quand je connais la fin dés les premières pages, c’est ça qui est bien avec les livres de cours, ça maintient le suspens jusqu’au bout. Dit-elle avec un sourire aux lèvres, normalement quand on étudiait un livre de cours c’était pour découvrir des choses à mesure que l’on tourne les pages, alors Ysolde avait toujours le loisir de ne pas savoir ce qui suivait, dieu merci, elle n’avait pas encore vu la suite d’un livre. Elle ajouta : Tu imagine avec mes visions je serais capable de connaitre la fin du pire des livres à suspense comme ça. Flippant. Elle n’aimait pas vivre avec l’idée qu’elle pouvait voir le futur, elle n’aimait pas cela du tout, pas du tout, elle s’était laissé influencé par ses visions une seule fois, et elle le regrettait. Mais elle avait également découvert que le temps pouvait être réécrit, que rien n’était figer dans la pierre. Oui, l’année dernière elle s’était vu mariée à Ulysse, accompagné de trois petites têtes blondes, mais cela n’arriverait jamais, quand elle essayait de se concentrer pour voir son avenir, elle ne voit rien, enfin… elle ouvrait immédiatement les yeux, comme si elle avait peur de voir ce qui l’y attendait, mais une chose est sûre elle n’épouserait jamais Ulysse Lestrange et ne serait certainement pas la mère de ses enfants, jamais, plutôt crever que de coucher une nouvelle fois avec ce crétin de sang pur à la noix, avait-elle pensée. Et puis, elle savait qu’il allait mourir, elle l’avait vu, elle ne savait pas quand, ni comment mais il allait mourir. Mais, la page Ulysse était tourné, elle laissait sur elle une certaine empreinte, pas forcément bénéfique, à cause de lui elle était sans cesse sur la défensive. Elle posa alors son regard sur Rys, elle l’appréciait, elle n’avait jamais eut de vision le concernant, elle ne savait pas pourquoi, mais ses visions devenaient de plus en plus fréquentes, et ça lui faisait peur, elle avait peur de voir les mauvaises choses, des choses comme la mort des gens. Elle regarda Emrys, et ferma alors soigneusement son livre. Elle allait le ranger, il ne l’intéressait pas, mais alors pas du tout. Elle se tourna vers le rayon, et chercha rapidement l’endroit où elle l’avait trouvé, et se hissa sur la pointe des pieds pour le range, avait-elle déjà précisé qu’elle n’était pas très grande ? Une fois rangé, elle se retourna s’appuyant légèrement contre le rayon, et dit alors : Faudrait que j’essaie d’avoir les sujets de devoirs maisons à l’avance, tu ne crois pas ?
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyJeu 1 Sep - 20:02

Ysolde avait le don d’être voyante, en faite, je ne savais pas exactement comme cela s’appelait, je n’avais jamais eu de personne ayant un don comme celui-ci voir aucun don mais c’était toujours impressionnant de savoir que l’une des personnes que vous côtoyez le plus est ce genre de chose. Je n’étais pas le genre de garçon à venir à la bibliothèque lire un bouquin sur les histoires de rose ou bien les histoires qui finissent mal, j’étais plus du genre à m’instruire sur les plantes et tout ce qui concerne la nature, l’eau, la végétation, les insectes, pourquoi beaucoup je serais un fou, un dingue qui ne vit que pour ça, mais pour moi, je vivais juste pour avoir un bon métier plus tard. En faite, j’étais le genre de garçon à vivre au jour le jour, sans trop penser au futur et à l’après Poudlard, je ne voulais pas voir venir celle-ci, j’étais trop bien à Poudlard, c’était chez moi et c’était chez elle, sauf que je savais qu’Ysolde, n’aimait pas trainer de trop au même endroit depuis les événements, d’ailleurs, j’avais mal pour elle. Je me souviens d’une phrase qu’elle m’avait dit, au début des cours, tout juste le jour de la rentrée. Je m’en rappelais comme si c’était hier, nous discutions de nos vacances, elle n’avait pas pue voyager et moi, je n’avais pas pu aller en Grèce, le pays que j’appréciais, que j’aimais et tout ça pour cause d’avion. C’était en regardant le château qu’elle m’avait dit : “ C'est tellement bon de rentrer chez soi. „ Chez soi, elle était chez elle, j’étais chez moi et les autres étudiants étaient chez eux, alors pourquoi avoir une querelle comme celle-ci face à Ysolde ? Elle n’avait rien à se reprocher, elle avait été sous l’emprise de sa famille. Je ne regrettais rien d’elle-même pas d’avoir écouter rien que mes pensées objectives. Je venais de lui demander si son livre était bien, je n’aimais pas vraiment les histoires que pouvait être ce livre, encore les histoires des moldus telle que Peter Pan ou Tarzan ce n’était pas trop mal. Elle regarda le livre en faisant une mine bizarre puis me regarda pour prendre la parole. Et fait… non, ça n’a pas l’air très bien, j’ai à peine commencé à lire et ça sent l’histoire d’amour avec des tas d’idées d’honneurs, des dilemmes cornéliens digne d’une très grande tragédie grecque, et qui va finir dans un bain de sang. Je déteste lire un livre quand je connais la fin dés les premières pages, c’est ça qui est bien avec les livres de cours, ça maintient le suspens jusqu’au bout. Savoir la fin de l’histoire sans avoir le besoin de le lire en entier, à qui cela plairait réellement ? Moi-même je préféré lire un livre de jour comme de nuit cela pendant quatre jours plutôt que de lire les trois premières pages et de tout savoir. Ysolde me ressemblait bien plus de ce coter là, voilà pourquoi je la considérais brillante. Elle avait se sourire, qui pouvait en faire tomber plus d’un et moi-même avec. Tu imagine avec mes visions je serais capable de connaitre la fin du pire des livres à suspense comme ça. Flippant. Flippant, c’était le cas de le dire, je préférais lire un livre même si la fin était sanglante ou bien étouffante. En faite, la question que je me demandais était, comment pouvait-elle supporter de genre de vision, moi à sa place, ça m’aurait rendu fou, mais à un point… Assez haut, je me serais rendu dingue à cause de ça. Dit moi… Tu supportes ce genre de … Vision…? Je sais cas ta place… Je n’aurais pas tenu… Et je me serais rendu dingue… Dingue, je m’en serais rendu malade même, c’était dingue rien que le fait dit penser, même étouffant déjà. Je savais Ysolde forte, mais forte à ce point, je ne m’en étais jamais rendu compte, je la savais à fort caractère, mais de là à supporter ce genre de chose, non. Tout en me regardant, elle ferma le livre afin de le remettre à sa place, tout en levant les pieds. Elle était petite. Cela me fit sourire encore plus, elle ne m’aurait sans doute pas voulu de constater la légèreté qu’elle avait pour se mettre sur la pointe des pieds. Je lui aurais bien proposer mon aide mais je savais qu’Ysolde n’aimait pas qu’on soit toujours sur son dos, à lui dire quoi faire, d’ailleurs pour ça également elle me ressemblait beaucoup. J’aimais la liberté, que ce soit des mes pas ou de mes expressions. Une fois qu’elle est mit le livre en place, elle se retourna face à moi, se mettant légèrement contre le rayon, tout en parlant : Faudrait que j’essaie d’avoir les sujets de devoirs maisons à l’avance, tu ne crois pas ? Vous avais-je dis à quel point Ysolde me troublait ? En ce moment, j’étais troublé, de la voir contre le rayon, tout en se regardant. D’ailleurs, il ma fallut plusieurs minutes pour répondre à la question qu’elle m’avait posé. Ca pourrait bien nous aider voir même nous avancer. Je pris le temps de sourire à nouveau, j’étais enfin redevenu dans mon état normal, enfin j’avais été tellement troublé qu’il m’avait fallut plusieurs minutes pour me remettre dans la réalité. Tout près de nous, j’entendis des murmures, des étudiants qui parlaient sur Ysolde, cela me mettait en énervement, d’ailleurs je serrai mes poings pour ne rien dire, respirant un peu plus fort que d’habitude. Tout en regardant Ysolde, j’essayais de calmer mes nerfs, je savais que j’étais impulsif, bien de trop d’ailleurs, qu’il ne fallait pas que je craque face aux insultes dites derrière nous. T’arrive à tenir avec ce genre d’idiots qui n’a comme parfum que l’odeur de gnome ? Enerver, je l’étais mais je devais me calmer ou alors, cela finirait très mal.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyJeu 1 Sep - 20:48

Dit moi… Tu supportes ce genre de … Vision…? Je sais cas ta place… Je n’aurais pas tenu… Et je me serais rendu dingue… Ce n’était pas simple de voir l’avenir, pas simple de voir les choses. Ca ne faisait pas très longtemps qu’Ysolde faisait des visions conscientes et éveillée, c’était plutôt des visions cachées dans ses rêves pas des crises de visions. La première vraie vision qu’elle avait eut de façon violente et consciente était celle de son futur avorté avec Ulysse, la vision l’avait barbouillé et lui avait limite donnée envie de vomir. Elle en avait eut beaucoup depuis ce jour, des visions mineures concernant des chutes dans l’esaclier, mais rien de grave, elle n’avait pas vu le drame de noel arrivé, ni même les attentas, mais lors des attentas elle avait eut une sorte d’intuition, celle qu’en se jetant par la fenêtre tout irait mieux et elle s’en sortirait ; elle regarda alors Rys et dit : C’est troublant de voir l’avenir… et le passé aussi. Certaines visions me font peur d’autres sont plus… joyeuses. J’ai vu des horreurs dans ma vie, j’ai vu des gens mourir, en vrai, dans mes visions… c’est… horrible parfois. Je n’ai que rarement la vision de choses joyeuses, c’est rare. La dernière vision joyeuse que j’ai eut à transformé ma vie en cauchemar parce que je l’ai écouté. Ca ne me rend pas dingue, je prends sur moi. Elle poussa un soupire léger, et esquissa un rire nerveux en disant : c’est la première fois que j’en parle, j’ai l’impression d’être dingue en parlant à haute voix. Elle passa alors subitement une main dans ses cheveux, et se frotta doucement un œil, soufflant fort, comme pour se calmer. Ensuite, elle évoqua l’idée de prendre les idées de devoirs à l’avance. Elle n’était pas capable de commander ses visions, mais elle avait vu qu’en se concentrant très fort c’était possible de pouvoir se concentrer sur une chose au point de voir l’avenir, quand elle y pensait la plupart de ses visions survenaient quand elle était en contact avec le sujet de ses visions, d’un côté c’était peut être elle qui influençait les visions qu’elle avait. Si elle pensait très fort aux devoirs peut être qu’elle en aurait les solutions ! Ca pourrait bien nous aider voir même nous avancer. De nouveau, Rys lui adressa un sourire, qui fit naturellement sourire Ysolde, c’était une sorte de cercle vertueux entre eux, l’un souriait, l’autre faisait de même, s’est était totalement chou. Elle était bien avec lui, et vous savez pourquoi ? Parce qu’il n’avait jamais porté de jugement sur elle, l’année dernière il lui avait parlé sans tenir compte de sa maison ou de ce qu’on disait sur elle, et aujourd’hui encore, il ne la jugeait pas, et c’était rare par les temps qui courent. Elle dit alors l’air malicieux :Si je fais ça je les revends, et je fais un commerce de cours, illégale certes, mais qui n’a jamais rêver de vivre dans le pêché ! dit-elle en riant. Ysolde restait une serpentarde, rusée, futée et pas forcément fourré dans les coups honnêtes, bien sûr elle disait cela pour rire alors que l’année dernière elle aurait été capable de monter un commerce clandestin, aujourd’hui, elle n’avait pas la tête à cela, du tout. elle vit soudain Rys serrer ses poings. Ysolde était d’un naturel observateur, elle savait voir ce genre de détail, ça l’avait bien aidé dans certaines de ses relations avec des gars impulsif, ça l’aidait à anticiper. Il dit alors, visiblement énervé : T’arrive à tenir avec ce genre d’idiots qui n’a comme parfum que l’odeur de gnome ? Ysolde tourna le regard qui se détacha du jeune homme pour se poser sur le groupe d’élèves, il parlait donc de cela. Ysolde laissa son sourire s’estomper, et dit alors avant de se mordre la lèvre : Laisse tomber, ils finiront par se lasser, il ne faut pas les regarder, continuer de marcher aussi droit que possible, la tête haute, ne pas réagir à leur insultes, ça n’est pas tout les jours facile, mais je me dit qu’avec le temps, ils m’oublieront peut être. Elle était réaliste, elle savait que ça ne leur passerait pas de sitôt, elle savait même que certains se vengeaient de l’attitude qu’elle avait eut à leur égard pendant des années. Elle savait tout cela, elle était loin d’être stupide comme jeune femme, loin de là. Ysolde se mordit encore une foi la lèvre inférieur, ce qui est synonyme de grand stresse, et ajouta ensuite : Des fois j’ai envie de me lever, d’aller leur dire qu’ils peuvent tous aller se faire voir, que ça ne m’atteint pas mais… quand je suis là, je n’ai pas envie de les affronter, je suis petite, seule, ils sont trois et grands, qu’est ce que tu veux que je fasse contre ça ? Dit-elle comme fataliste, avec un petit sourire aux lèvres avant d’ajouter : mais je me dis que la chance tourne et qu’un jour, ils seront à ma place, et moi à la leur, et je les trairaient fièrement de cancrelat trisomique attardé et cosanguin. Elle savait rester pragmatique, et fière, elle se laissait marcher dessus, parce qu’elle savait pertinemment que c’était se battre sans obtenir de résultat. Elle était « soulagé », c’était la seconde fois qu’elle évoquait ses soucis, et à Rys en plus, elle l’aimait beaucoup, qui sait elle l’aimait même eut être tout court.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyVen 2 Sep - 10:36

C’est troublant de voir l’avenir… et le passé aussi. Certaines visions me font peur d’autres sont plus… joyeuses. J’ai vu des horreurs dans ma vie, j’ai vu des gens mourir, en vrai, dans mes visions… c’est… horrible parfois. Je n’ai que rarement la vision de choses joyeuses, c’est rare. La dernière vision joyeuse que j’ai eut à transformé ma vie en cauchemar parce que je l’ai écouté. Ca ne me rend pas dingue, je prends sur moi. Voir l’avenir, je savais que ça me ferais flipper, c’était quelque chose parfois qu’on ne voudrait pas voir, rien d’imaginer ce genre de chose, j’en aurais eu des frissons. Mais quelque chose me tapa encore plus à l’écoute, le fait qu’elle parle du passé. Elle pouvait donc voir le passé dans ses visions, cela ne pouvait qu’être flippant. Voir le futur était déjà quelque chose d’exceptionnel mais de voir alors le passé, ce ne pouvait qu’être un cauchemard, la plupart du temps, on aurait pu se servir de ce don pour voir ce qui n’allait pas les moments les plus durs, les choix qu’on aurait du faire plutôt que ceux qu’on avait fait ou bien encore voir ce qu’on avait louper quand on avait préféré de rester s’enfermer sur nous même. Le passé, c’était toujours quelque chose qu’on ne voulait pas revivre, même si parfois, il était le responsable de la personne que l’on était aujourd’hui, alors, était-ce bon pour moi d’un jour de revoir ce passé ? Je ne pense pas car j’avais fais des choix que je ne voulais pas revoir, comme le fait d’avoir préféré ne choisir aucun camp plutôt que de me « battre » avec mes sois disant amis depuis ma première année. Je me souviens de ma première année, je m’en souviens comme si c’était hier, je ne m’étais pas vraiment habituer et j’avais plutôt préféré rester près des arbres plutôt que de me joindre aux autres membres de ma maison. J’avais toujours préféré rester le nez dans mes bouquins, d’ailleurs c’était bien la raison du pourquoi je n’avais pas spécialement beaucoup d’amis à Poudlard et cela ne me dérangeait guère quand je vois à présent le résultat avec la bande de mec que nous étions. La belle blonde soupira puis eu un rire bizarre, nerveuse ? c’est la première fois que j’en parle, j’ai l’impression d’être dingue en parlant à haute voix. Elle n’était pas dingue et si ça se trouve celui lui faisait du bien dans parler comme ça, ce n’était pas un sujet à employer dans une discussion avec quelqu’un d’autre. Moi-même je n’aurais pas employer ce genre de conversation si je n’avais pas eu de la confiance envers la personne, ce n’était pas un sujet à prendre à légère je suppose. Elle passa sa main dans ses cheveux puis se frotta un œil. Bizarre comme réaction non ? Elle ne devait pas spécialement aimer ce sujet et je la comprenais. J’avais envie de lui dire qu’elle n’était pas une dingue, que les dingues étaient tous regrouper à St Mangouste mais je ne décrochai pas un seul mot mais elle devait bien sans douter en regardant ma tête qu’elle n’était pas dingue. Elle avait commencer à parler d’avoir les sujets maison à l’avance, à vrai dire, ses visions aurait eu une bonne initiative et aurait servis. Tout en riant, elle parla : Si je fais ça je les revends, et je fais un commerce de cours, illégale certes, mais qui n’a jamais rêver de vivre dans le pêché ! Les revendres, elle aurait pu se faire une grande poignée de galions, voir même deux bonnes poignées de galions, à Poudlard les étudiants étaient fou et ils étaient prêts à tout pour avoir les meilleures notes, en tout cas, tout ceux qui étaient intelligents, d’ailleurs pendant quelque minutes, je me dis que c’était dommage qu’Ysolde ne soit pas dans la maison des aigles mais d’un coter, sa phrase était assez pour les Serpentards, elle avait de l’ambition, c’était bien elle, mais son intelligence aurait pu être bien pour elle d’être à Serdaigle, d’ailleurs je le lui fis comprendre : C’est bien dommage que tu ne sois pas à Serdaigle, tu as l’intelligence de cette maison, mais l’ambition et la ruse de la maison de Serpentard mais tu aurais bien eu ta place dans la maison des aigles et on aurait sans douter gagner la coupe des quatre maisons. Il y avait une bande d’étudiant derrière nous, qui murmurait des tas de choses, d’insultes et j’en passe, Ysolde n’aurait pas été là, j’aurais réagis, j’aurais sortis ma baguette, je leurs auraient lancer un bloclangue ou un truc de ce genre, mais Ysolde était là et je n’allais rien faire… Sauf si… Ca me prenait la tête. Laisse tomber, ils finiront par se lasser, il ne faut pas les regarder, continuer de marcher aussi droit que possible, la tête haute, ne pas réagir à leur insultes, ça n’est pas tout les jours facile, mais je me dit qu’avec le temps, ils m’oublieront peut être. L’oublier ? Ysolde avait une des plus hautes mauvaises réputations, qui aurait pu l’oublier du jour au lendemain comme s’il ne s’était rien passé et elle le savait également. Heureusement, je n’avais jamais écouter les autres étudiants, sinon aujourd’hui je ne serais pas encore avec Ysolde et j’aurais demander des l’année dernière un nouveau binôme mais non, j’avais préféré en faire cas ma tête comme dirait ma mère et j’avais d’ailleurs eu raison car je ne regrettais rien. Des fois j’ai envie de me lever, d’aller leur dire qu’ils peuvent tous aller se faire voir, que ça ne m’atteint pas mais… quand je suis là, je n’ai pas envie de les affronter, je suis petite, seule, ils sont trois et grands, qu’est ce que tu veux que je fasse contre ça ? Ce qu’elle pouvait ? Et bien… Elle pouvait faire comme tout le monde, aller demander ce qu’était leur problème car de là, à la regarder sans cesse tout en murmurant des tas de saloperie, ça allait deux secondes mais pas plus. Elle était sans doute une demoiselle, mais eux ce n’était que des idiots, elle était sans doute petite, mais leurs à tailles à eux ne disait pas qu’ils étaient intelligents et brillants comme elle, elle l’était et elle n’était pas seule, j’étais là moi. Tout en la regardant les yeux, je lui donna un conseil : Ysolde, tu es brillante, tu es intelligentes, tu es sans doute plus maline que ses trois-là. J’en suis d’ailleurs sur, il n’y a aucun signe chez eux qui montre que face à toi, ils seront plus fort. Puis tu n’es pas seule, tu ne seras jamais seule, puis ce que je suis là. Mon père m’avait toujours apprit à réconforter les femmes avec des paroles sincères, d’après mon père cela ne pouvait faire que du bien à leurs égaux, ça pouvait motiver la personne à affronter ses peurs. Tout en ayant le sourire aux lèvres, elle continua de parler : mais je me dis que la chance tourne et qu’un jour, ils seront à ma place, et moi à la leur, et je les trairaient fièrement de cancrelat trisomique attardé et cosanguin. Je m’étais toujours dis que la vengeance ne servait à rien, avais-je raison aujourd’hui ? Devais-je laissé ses trois idiots murmurés des choses les plus idiotes qui puissent existées dans le monde de la magie. J’étais énervé, j’essayais pourtant de me calmer mais rien ni faisait. J’avais toujours les points serrés, j’essayais de garder mon souffle à la normal mais rien ne fonctionnait, c’était soit je m’énervais et j’allais les voir, soit… Soit je restais là à me calmer tout en sachant qu’ils continueraient à lancer des injures sur Ysolde. La vengeance ne mène à rien de toute évidence. Mais là… Ils vont bien de trop loin dans les injures. Si tu ne fais rien, je te préviens, j’y vais et je règle le problème. J’étais sincère, je ne voulais pas qu’Ysolde vive ça dans les jours et les heures à venir. Tout en étant sincère, je voulais la poussée à affronter ce cauchemar qu’elle vivait chaque jour. Te voir au bout de la table pendant les repas, te voir tout aussi … Triste alors que habitude tu souries sans cesse, voir les gens te regarder comme je ne sais quoi… Ca me fou en l’air ! Tu vaux bien mieux que tout le monde ici à Poudlard ! Et ce n’est pas des paroles en l’air que tout le monde peu croire ! J’ai toujours été sincère avec toi Ysolde, mais ce que tu vies, est invivable, pour toi, comme pour moi car je sais que ça te fou mal. Je me retournai en colère face à la bande d’étudiant afin de leurs adressés la parole. Y’a un problème ? Je peu faire quelque chose pour vous ? A par vous conseillez une douche. Ce qu’est le minimum ici. J’étais près à affronter la bande de trois ringards qui me rappelait Elias, Atlance et Nemeroff, mais surtout les deux premiers quand ils m’avaient attraper dans les toilettes des hommes.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyVen 2 Sep - 16:32

C’est bien dommage que tu ne sois pas à Serdaigle, tu as l’intelligence de cette maison, mais l’ambition et la ruse de la maison de Serpentard mais tu aurais bien eu ta place dans la maison des aigles et on aurait sans douter gagner la coupe des quatre maisons. Hum, oui elle avait sans l’ombre d’un doute l’intelligence de Serdaigle, Ysolde en avait dans la tête sous cette chevelure blonde parfois bouclée. Oui, elle était très intelligente, ce n’était pas pour rien que certaines serdaigles au cours de sa scolarité ne l’aimait pas, parce que des fois, elle était meilleure qu’elle. Ysolde était bien la seule serpentarde a avoir passé plus de cinquante pourcent de son temps libre depuis sa première année sur les bancs de la bibliothèque, un vrai rat de bibliothèque, d’ailleurs quand elle sortait avec Ulysse – ce connard – il avait osé lui dire qu’elle travaillait trop, quel crétin celui là, on ne travaille jamais trop, on a juste la flemme de bosser, nuance. Elle regarda Rys et avoua : Quand je suis rentrée à Poudlard je me souviens aoir dit au choixpeau que je voulais tous sauf griffondor, sinon mon père ne me l’aurait jamais pardonné, il m’a dit que j’avais les qualités de serdaigle, et de serpentard, j’ai pensé serpentard de toute mes forces pour être la fièrté de mon père, pour faire comme ma sœur qui a cette époque était mon modèle, mais il m’avait dit que serdaigle m’aurait sans doute rendu plus heureuse, je crois que j’aurais dû l’écouter lui, plutôt que ma famille de demeuré consanguins. Si j’avais été à serdaigle, j’aurais peut être été différente, qui sait. Elle aurait bien voulu ajouter, si j’avais été à serdaigle, on se serait vu tout les jours pendant neuf années, les choses auraient sans doutes été très différentes. Oui, s’il l’avait cotoyé les huit dernière années dans son quotidien, il aurait vu qu’elle était assez vil, mesquine et manipulatrice, aujourd’hui elle ne pouvait se défaire de cette partie, même si elle essayait de s’en servir le moins possible, bien sûr. Ysolde, tu es brillante, tu es intelligentes, tu es sans doute plus maline que ses trois-là. J’en suis d’ailleurs sur, il n’y a aucun signe chez eux qui montre que face à toi, ils seront plus fort. Puis tu n’es pas seule, tu ne seras jamais seule, puis ce que je suis là. Plus maligne ? Certainement, Ysolde était une vraie stratgème dans son esprit, une sorte de Napoléon version sorcier, toute sa vie, elle avait tout calculer, tout, ses fréquentations, ses petits amis, de sorte à ce que cela la serve, elle avait eut beaucoup d’amitié arrangé pour servir ses interet, si bien qu’aujourd’hui elle se retrouvait presque sans amis, c’était la seule chose qu’elle avait gagné. Mais, ce qui faisait peur à Ysolde était la réaction de ces gars, ils étaient plus fort sur le plan physique, c’était ce qui effrayait Ysolde, depuis qu’Ulysse avait levé la main sur elle, elle s’abstenait de provoquer des gens qui lui étaient supérieur en force physique, elle ne retomberait pas dans le panneau. Ysolde savait qu’un jour, elle se vengerait, elle le savait, elle était assez mesquine pour prévoir une vengeance, longue, douloureuse, et pire que ce qu’ils lui avaient fait subir, Rys dit alors, au sujet de la vengeance : La vengeance ne mène à rien de toute évidence. Mais là… Ils vont bien de trop loin dans les injures. Si tu ne fais rien, je te préviens, j’y vais et je règle le problème. Elle n’était pas d’accord avec lui, Ysolde était tellement en colère contre tout le monde que la vengeance était pour elle la seule solution imaginable face à tout cela, elle ne voyait que la vengeance pour parvenir à ses fins. Mais, il avait raison, les injures allaient trop loin, « Ysolde la bâtarde », « Ysolde la menteuse », « la sale garce », « l’infâme sang mêlé », « la fille d’une trainée », ça allait beaucoup trop loin, mais elle n’avait pas la force de faire face, marcher la tête haute lui demandait déjà trop d’effort. Elle fixa Rys quand il lui dit que si elle ne faisait rien c’était lui qui y allait, elle restait muette, lui ? Il tenait à elle, elle le savait, mais elle avait juste du mal à l’accepter, qu’on tienne réellement à elle, ça ne lui était pas arrivé, pas souvent du moins. Te voir au bout de la table pendant les repas, te voir tout aussi … Triste alors que habitude tu souries sans cesse, voir les gens te regarder comme je ne sais quoi… Ca me fou en l’air ! Tu vaux bien mieux que tout le monde ici à Poudlard ! Et ce n’est pas des paroles en l’air que tout le monde peu croire ! J’ai toujours été sincère avec toi Ysolde, mais ce que tu vies, est invivable, pour toi, comme pour moi car je sais que ça te fou mal.Elle n’était pas convaincue de valoir plus que les autres personnes de Poudlard, pendant huit ans elle avait rabaissé les gens sans réfléchir, juste parce que ça « faisait bien de le faire », elle s’en voulait aujourd’hui, mais elle se trouvait réellement méchante d’avoir fait tout ça. Oui, c’était invivable pour elle, mais elle le vivait, mal, certes, mais elle preférait vivre cela à Poudlard plutôt que dehors, à Poudlard c’était méchant, mais ce n’était pas dangereux, elle redoutait déjà de mettre un pied en dehors de Poudlard, à pré au lard par exemple, elle savait que son père finirait par la trouver un jour, et que ce moment ne serait pas agréable du tout. Elle le regarda, et s’apprêta à lui répondre quand il lui dit qu’il trouvait cela invivable, pour elle comme pour lui. Elle réalisa soudain ô combien il tenait à elle, ça lui fit peur, et en même temps, c’était rassurant, elle n’avait jamais pu compter sur quelqu’un, jamais. Tout à coup, il se retourna et dit à l’attention des étudiants, visiblement énervé : Y’a un problème ? Je peu faire quelque chose pour vous ? A par vous conseillez une douche. Ce qu’est le minimum ici. Ysolde se mit derrière Rys et lui dit à l’oreille : Je suis pas sûre que ça soit une bonne idée… Un des garçons du groupe s’avança d’un pas, et dit alors : Bah alors, Wilkes on s’est trouvé un chien de garde… enfin, un piaf de garde. Ysolde serra ses poings, elle avait l’envie de fuir, et de fondre en larme aussi, un rien la faisait fondre en larme en ce moment. Qu’est ce que t’as Wilkes, tu vas chialer ? Dans les jupes de ta bâtarde de mère ? Il rit alors, et le seconde ajouta : Non mais sa bâtarde de mère elle est morte. Sa mère : le sujet qu’il ne fallait pas aborder avec Ysolde, rien de tel pour la faire sortir de ses gonds, ou pour la faire fondre en larme, immédiatement, sans préavis. Elle souffla en silence, et serra sa mâchoire, elle essayait de se calmer, elle n’était pas capable de leur répondre, non. elle eut réellement envie de pleurer, mais elle se contenta de rétorquer d’une voix à la Ysolde Wilkes, froide cassante, et assez effrayante, comme une bonne Ysolde Wilkes de serpentard, vil et cruelle : C’est quoi ton problème ? T’as petite vie de petit conservateur de merde, toutou du ministère et du cinglé avec sa bande de serviteur fou, n’est pas assez intéressante, faut que tu viennes voir la mienne qui est riche en émotion. Trahison, mensonge, amour, violence, intelligence, manipulation, magie, encore trahison, un vrai roman, hein ? Ca vous rêver les gars hein ? Parler de la sorte avait fait un bien fou à Ysolde, elle n’avait pas parler comme ça depuis plus de quatre mois, elle avait ressorti cynisme et ironie, sans oublier en pointe de méchanceté, sauf qu’elle était de l’autre côté, quatre mois auparavant, elle aurait été à leur place, mais là… ils avaient visiblement l’air très énervé, quand une fille de serpentarde assise dans la bibliothèque lui fit signe de se taire elle lâcha un : Oh ta gueule toi. Ysolde Wilkes était de retour, même si elle maintenait ne pas être capable de faire le poids face à ces brutes, c’était le moment ou jamais pour Rys de lui montrer qu’il tenait à elle, elle avait confiance en lui, totalement confiance.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyVen 2 Sep - 20:52

Quand je suis rentrée à Poudlard je me souviens avoir dit au choixpeau que je voulais tous sauf griffondor, sinon mon père ne me l’aurait jamais pardonné, il m’a dit que j’avais les qualités de serdaigle, et de serpentard, j’ai pensé serpentard de toute mes forces pour être la fierté de mon père, pour faire comme ma sœur qui a cette époque était mon modèle, mais il m’avait dit que serdaigle m’aurait sans doute rendu plus heureuse, je crois que j’aurais dû l’écouter lui, plutôt que ma famille de demeuré consanguins. Si j’avais été à serdaigle, j’aurais peut être été différente, qui sait. Gryffondor, la maison des rouges et or, dite faite pour les courageux et courageuses qui se trouvaient à Poudlard. Contrairement à Gryffondor, la maison de serdaigle était réputée pour avoir les élèves intelligents et les plus studieux surtout, quand à Serpentard, cette maison regroupait les étudiants qui étaient rusés, malin avec un taux d’ambition surélever. Il y avait bien sur la maison de Poufsouffle, qui regroupait quand elle, tous les étudiants qui était loyaux. Ecouter le chapeau, cela était toujours redevable un jour ou l’autre ; parfois, nos choix n’étaient pas simples, ni faciles, il fallait parfois s’écouter plutôt que d’écouter les autres. Ysolde avait demander au château de ne pas appartenir à la maison des rouges et or, mais qu’elle avait également pensée à appartenir à la maison de Salazard Serpentard, le pire ennemi de Godryc Gryffondor. En quelque secondes, j’imaginais la belle blonde avec la tenue de Poudlard obligatoire aux couleurs de la maison de Serdaigle, cela n’aurait pu qu’être grandiose pour elle, tout aurait été bien mieux sans doute, je l’aurais sans doute accompagner à la porte des dortoirs des filles le soir, quand elle aurait voulue aller se coucher pour ne pas être fatiguer pour le lendemain, on aurait pu passés des soirées devant le feu de cheminée, en faite, on aurait pu faire tout ce qu’on ne faisait pas la nuit. Mais non, elle était à Serpentard et moi à Serdaigle, quand on se quittait après nos journées de cours, elle devait certainement après le repas du soir à la grande salle, rentrée ou bien sortir un peu afin de ne pas avoir le regard des autres sur elle, pendant que moi, je révisais mes devoirs sur le canapé de la salle commune des Serdaigles, près du feu, à réfléchir, à pensé, mais parfois, mes pensées étaient pour elle, à la fin de mes devoirs, c’était devenu naturel de pensé à elle et parfois, je me demandais si c’était bien ou mal. Je venais de parler en étant énerver à la bande d’étudiants qui parlaient sur Ysolde, des injures de partout tout en ne la lâchant pas du regard. Ysolde se mit alors derrière moi, alors qu’elle était très… Bien contre un des rayons de livre de la bibliothèque. Elle me murmura quelque chose à l’oreille : Je suis pas sûre que ça soit une bonne idée… Etant énerver je m’en fichais bien, je voulais juste qu’elle soit en sécurité ou que tout aille mieux pour elle car au fond, c’est ce que je voulais, je la savais pas bien et de savoir qu’elle fuyait alors que le jour de la rentrée, elle s’était sentie chez elle, ça me foutait ma pour elle. Un des garçon de la bande d’étudiant avança vers nous afin de prendre la parole, j’avais mon regard noir, celui que personne n’avait vu encore car au fond, le peu de fois ou je m’étais énerver c’était contre Elias et Atlance dans les toilettes, d’ailleurs j’avais pu remarquer que j’avais un bon poing droit, grâce au sport de moldu appeler boxe. Bah alors, Wilkes on s’est trouvé un chien de garde… enfin, un piaf de garde. Un chien de garde puis un piaf de garder, il n’avait pas pu trouver mieux pour me toucher un peu ? Derrière mon dos je sentis un mouvement, Ysolde certainement qui devait essayer de ce calmer, seulement, la suite ne promettait pas d’être bonne pour elle quand il continua de parler pour rien dire. Qu’est ce que t’as Wilkes, tu vas chialer ? Dans les jupes de ta bâtarde de mère ? C’est alors que le type se mit à rire avec toute la bande d’étudiant, qu’est ce qu’il y avait de drôle franchement ? Mais la suite n’était pas prometteuse, d’ailleurs Ysolde allait en faire les frais quand un autre garçon se mit à parler. Non mais sa bâtarde de mère elle est morte. C’était le mot de trop, parler comme ça de la mère d’Ysolde c’était anormal, ou était la justice dans les paroles de ce gamin qui se croyait plus fort qu’elle aujourd’hui alors que longtemps ce gamin n’était qu’un simple étudiant, qui se laissait marcher sur les pattes par Ysolde et les autres. Aujourd’hui il faisait le fier, mais demain ? Il serait noyé. Je voulu prendre la parole à mon tour mais Ysolde me devança et d’ailleurs, j’étais étonné de sa colère qu’elle rejetait face à lui. C’est quoi ton problème ? T’as petite vie de petit conservateur de merde, toutou du ministère et du cinglé avec sa bande de serviteur fou, n’est pas assez intéressante, faut que tu viennes voir la mienne qui est riche en émotion. Trahison, mensonge, amour, violence, intelligence, manipulation, magie, encore trahison, un vrai roman, hein ? Ca vous rêver les gars hein ? D’ailleurs au moment ou elle commença à parler, je me tourna vers elle. Elle avait une voix tellement… Tellement prometteuse qui me faisait des frissons, à vrai dire, sa voix me faisait peur, elle était totalement différente de quelque secondes avant. En la regardant, je pu constater que son regard était noir, froid, ses lèvres, ses belles lèvres étaient serrés et elle aurait pu faire peur à plus d’un, y compris moi à présent. La bande d’étudiant aurait pu partirent et faire comme si rien ne c’était passé, mais non, ils avanceaient tous un peu plus. Une fille qui sortait de je ne sais ou fit un signe à Ysolde pour qu’elle se taise, surement pour avoir le silence mais Ysolde répliqua : Oh ta gueule toi. Etonné, j’étais étonné, étonné de voir Ysolde parler comme ça, étonné de la voir autant répliquer. Le type en face de nous avait toucher le point sensible d’Ysolde, de ma blonde… Enfin ma blonde… De la blonde… La bande d’étudiant nous entoura afin d’être bloquer par le mur qui était derrière nous. Je n’allais pas les laissés nous avoir comme ça, je voulais qu’Ysolde soit en sécurité et je n’avais pas ma baguette, seul la violence, la violence, c’était ça la seule force des moldus et je m’en savais capable mais face à des brutes qui avait encore plus de muscles que moi. D’ailleurs c’est en regardant le type dans les yeux qui avait parler de la mère d’Ysolde, que je pris la parole : Tu va payer cher de lui avoir dit ça. Pas de baguette, je ne l’avais jamais quand il le fallait et aujourd’hui j’en avais besoin pour défendre Ysolde, la protéger si besoin. Je posa ma main sur le ventre d’Ysolde sans le vouloir afin de la mettre un peu plus à l’arrière puis m’avança afin de pousser le type qui avait mal parler de la mère d’Ysolde. Evidement, les deux autres types, ne me laissa pas faire et ça commença à se taper dessus, d’ailleurs c’est en me prenant un coup dans l’abdominal qu’un des types parla fièrement :On fait moins le malin maintenant ! Fièrement, il donna un autre coup et je tapa dans son genoux avec mon pied pour pousser en arrière celui qui me tenais. Je ne savais pas ou était Ysolde mais ce que j’espérais, c’est qu’elle était en sécurité. Les autres étudiants qui étaient dans la bibliothèque ne bougeaient pas d’un pousse et nous regardaient se battre. Je m’étais toujours promis de protéger Ysolde sans qu’elle le sache car à vrai dire, je tenais beaucoup à elle sans qu’elle le sache également mais ça, c’était une autre histoire, appeler l’amour sois disant.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyVen 2 Sep - 21:53

Ysolde savait être méchante quand elle le voulait, une vraie furie. Elle ferait peut être peur à Rys, mais s’il tenait vraiment à elle, il fallait qu’il connaisse cette facette de la jeune blonde, s’il tenait tant à elle que cela. Elle était assez froide dés qu’on s’en prenait à elle, elle avait tellement l’air faible en ce moment, qu’elle en avait oublié qu’elle était forte, moralement, intérieurement, elle était forte, elle l’avait toujours été, oui, elle était forte. Elle ne s’était jamais laissé marcher dessus avant, depuis qu’elle avait retrouvé la mémoire, elle se laissait abattre mais, elle n’était pas faible, loin de là, il était temps qu’elle s’affirme. Tu va payer cher de lui avoir dit ça. C’était Rys qui avait dit cela ? Ysolde le fixa une demi-seconde, surprise d’une telle réaction, elle non plus elle ne connaissait pas cette facette de lui, elle ne savait pas qu’il pouvait être aussi impulsif, elle ne savait pas qu’il pouvait être aussi menaçant, juste pour la protéger, elle. Ysolde aurait voulu lui dire une nouvelle fois que ça n’en valait pas le coup, même si elle fulminait. Elle essaya de faire un pas en avant quand il posa sa main sur le ventre de la sorcière, lui disant de rester en dehors de cela, qu’elle recule. Puis, le temps qu’elle réagisse, il avait déjà fait un pas ou deux en avatar pour pousser le gars qui avait mal parlé de la mère d’Ysolde. Les garçons : Ysolde n’avait jamais compris l’envie qu’ils avaient de se taper dessus, jamais. Le souci c’est que Rys était seul face à trois gars. Un lui lança alors, le frappant dans les abdominaux. On fait moins le malin maintenant ! Ils étaient entrain de se battre, que pouvait bien faire Ysolde face à cela, entrer dans le mêlé ? Mauvaise idée, elle était aussi solide que de la porcelaine. En tout cas autours d’eux des élèves pestaient, ils détestaient les perturbations à la bibliothèque. Ysolde ne savait pas quoi faire, elle… elle ne voulait pas qu’il arrive quelques choses à Rys, elle s’avança vers eux et tira le bras de l’un des gars qui le regarda, et pointa sa baguette sur lui, et elle articula froidement : Arrête ça tout de suite. Elle savait faire froid dans le dos, une vois froide, et sans appel. Elle lâcha le bras de la brute quand la voix du bibliothécaire de fit entendre : Ca suffit ! Arrêter ça tout de suite ! Wilkes ranger votre baguette, séparez vous, Mr Bates, Mr Jones et Mr Walker, dehors, et Mr Reinhaart aussi. Tout le monde dehors ! Ysolde rangea alors sa baguette dans sa poche, et poussa un des trois élèves pour prendre la main à Rys et pour le trainer hors de là. Ysolde jeta un regard noir aux autres élèves, et tira Rys hors de là, rapidement. Une fois sortie de la bibliothèque, elle le regarda, et lui lâcha la main, elle ne savait pas ce qui lui avait pris de lui prendre la main… soit. Elle le regarda inquiète, et dit alors : Tu… tu n’as rien ? Elle fit un pas vers lui et souleva une des mèches blondes du jeune homme elle vit qu’il était blessé à l’arcade sourcilière. En levant une mèche, elle lui effleura la peau, elle… était toujours troublée par sa présence, par le fait d’être près de lui. Elle… elle était troublée par le fait qu’il se soit battu pour elle, il avait poussé ce gars sans vraiment réfléchir, et c’était… déstabilisant. J’ai eut peur pour toi. Dit-elle réellement sincère. Elle lâcha la mèche du jeune homme, elle fit un pas en arrière. Il faudrait qu’on aille… guérir tout ça. Elle lui adressa un sourire rassurant, sincère, honnête, elle était heureuse d’être là, avec lui. Quand elle disait qu’elle avait eut peur pour lui, c’était réellement sincère, réellement. Elle avait eut peur pour lui, vraiment, elle n’avait pas su quoi faire et au moment même ou elle avait réagit, il y avait eut le bibliothécaire qui était intervenu, et heureusement, elle n’aurait peut être pas été capable se débarrasser des trois autres toutes seules.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptySam 3 Sep - 22:53

Me battre, je n'aimais pas spécialement ça ou du moins ce n'était pas vraiment une grande passion pour moi. Evidement, je pratiquais ce genre de sport moldu, mais simplement pour avoir un sport que j'appréciais et la boxe était ce sport qui me permettait de me défoulé. Pour mon père, c'était un sport violent, qui finissait parfois mal sur le ring mais je préférais frapper, taper dans mon propre pouching boll simplement pour améliorer mes compétences physiques. Autrement, il y avait bien sûr le bascket ball comme sport moldu, d'ailleurs quand j'étais dans une école primaire moldu, c'était mon sport préféré et c'était celui que je pratiquais jusqu'à ne plus en pouvoir bouger et respirer mais en grandissant, j'ai eu mon coup de favoris, le sport qui me permettait de grandir en me sentant comme fort, la boxe. Evidement à Poudlard aucune violence n'était accepter même si c'était fait par la baguette, les salles de duels existaient pour ça. Je n'avais pas spécialement réfléchis en me jetant sur le type en face de moi, je n'avais pas accepter la façon dont il avait parler de la mère d'Ysolde qui méritait respect. Ysolde avait toujours eu du mal de parler de sa mère, il n'y avait cas regarder le moment ou nous avions rechercher cette plante ou finalement Ysolde avait finie à l'eau du lac noir. Ysolde, elle était blesser au fond d'elle, elle n'était pas le genre de demoiselle à montrer ce qu'elle ressentait et je l'admirais beaucoup pour ça. En me battant dans la bibliothèque, évidement je m'étais attendu à avoir les trois brutes en face de moi, mais je ne m'étais pas attendu à être tenu par derrière afin de recevoir des coups à l'abdomène. A chaque coup que je recevais, ma respiration était comme couper, j'aurais très bien pu finir par terre, trois contre un, si Atlance et Elias m'avaient vu, ils auraient surement rigoler de moi. Quand je m'étais battu contre eux, j'avais demander ou était la justice, deux contre un c'était déjà beaucoup mais alors trois contre un, j'étais lamentable à me battre sans avoir quoi que ce soit à gagner, ou peut être que si, je voulais prouver à ces brûtes que parler de cette manière de la mère d'Ysolde était anormale, il fallait une bonne correction à c'est soit disant grands types. J'avais essayé de me débattre, en repoussant l'adversaire qui était derrière moi et qui me tenait, mais j'étais bien de trop... Faible? Face à eux trois, je ne faisais sans doute pas le poids, mais je savais qu'un jour, on se retrouverait tous, pour mettre les points au clair quand Ysolde irait mieux. En ce moment, ils étaient tous heureux de faire du tort et du mal à ma blonde mais un jour, ils auront du mal à revoir Ysolde revenir et ils seront tous surpris, d'ailleurs c'est ce que je voulais le plus au monde. J'étais entrain de recevoir des coups quand Ysolde parla froidement à l'un des types : Arrête ça tout de suite. Etait-elle folle de venir parler comme cela à un des types qui n'avait qu'une envie c'était de lui faire vivre un malheur dans tout le château mais également à me foutre des coups dans les abdominaux. Le type alla riposter en parlant à Ysolde mais la voix du bibliothècaire fit son apparition dans ce lieu mythique du château. Ca suffit ! Arrêter ça tout de suite ! Wilkes ranger votre baguette, séparez vous, Mr Bates, Mr Jones et Mr Walker, dehors, et Mr Reinhaart aussi. Tout le monde dehors ! Les trois types me relâcha, je me redressa avec du mal quand je sentis une main me tiré du groupe afin de partir d'ici. Ysolde, elle était venue parler froidement à un des types alors que tout cela aurait pu finir très mal, premièrement car les autres étudiants dans la bibliothèque voulait du calme pour lire et réviser et deuxièmement car elle aurait pu se faire prendre un coup par le plus costaud des trois. Une fois sortis de la bibliothèque, elle lâcha ma main afin de me regarder bizarrement. Elle s'approcha de moi afin de redresser une mèche de mes cheveux tout en parlant : Tu... tu n'as rien ? Je ne sentais pas exactement la blessure jusqu'à ressentir des picôtements quand Ysolde effleura ma peau doucement. Je repris mon souffle, depuis le temps que j'avais du mal à respirer pendant le baguarre qu'il y avait eu précédament. Elle me regardait, je la regardais, c'était quelque chose d'habituel entre nous, jusqu'à en avoir des sourires. Dans son regard, c'était dingue de voir son inquiétude, avait-elle eu peur de cette baguarre? Tout en la regardant dans les yeux, elle prit la parole : J'ai eut peur pour toi. Je me suis rendu compte que je ne lui avais même pas répondu à la précédente question, j'étais comme un peu perdu d'avoir défendu la mère d'Ysolde à ce point. D'habitude j'étais impulsif mais je m'étais jamais vu énerver comme cela, aujourd'hui, j'avais ressentis une telle haine envers les étudiants qui voulait ne faire que du mal à Ysolde. Elle avait eu de l'inquiétude pour moi et je n'avais toujours pas dit un mot, j'étais comme paralyser des lèvres, je ressentais une douleur à l'abdomène mais je ne disais rien, je ne voulais pas encore plus l'inquiéter. Il faudrait qu'on aille... guérir tout ça. Tout en parlant elle fit un pas en arrière. Tout en disant ça, je passais ma main sur la blessure, je saignais mais je m'en fichais, tout compte fait, ce que j'avais voulu avait été fait. Ysolde n'avait pas été blesser et elle n'avait reçue aucun coup, j'avais montrer à ses types ce qu'ils gagnaient en faisant ça. Elle souriait, ce qui avait le don de me faire sourire également. De vouloir protéger Ysolde, je l'avais fais sans avoir vraiment peur et sans avoir été conscient des choses et des conséquences. Je ne savais pas exactement ce qui se passerais après, dans les heures et les jours à venir mais j'espérais que cela aille mieux pour elle. Voir Ysolde mise de côter, cela ne m'avait fait que mal malheureusement, je trouvais ça tellement dégueulasse ce que les gens lui faisait vivre. Tout en gardant mon sourire je lui adressa enfin la parole, depuis le temps. Ce n'est qu'une égratignure, t'inquiète pas. Je n'aimais pas lui mentir, je trouvais ça vraiment dégueulasse d'ailleurs je n'avais pas besoin de lui mentir, j'étais sincère avec elle et je le resterais. J'ai juste une légère douleur à l'abdomène mais ça ira avec du repos je pense. Je gardais mon sourire aux lèvres tout en la regardant dans les yeux. Les étudiants qui étaient dans la bibliothèque devait certainement me prendre pour un fou, d'avoir pousser un des types qui n'attendait que provocation. J'avais aider Ysolde, comme toujours, c'est ce que j'aimais au fond, l'aider à vaincre ses peurs. Au fond, j'espérais qu'Ysolde n'est reçue aucun coup ou eu du mal car c'est ce que je ne voulais en aucun cas. Je l'avais protéger. Et toi, ça va?... Tu n'as reçue aucun coup j'espère... Sincère comme à mon habitude je l'avais été. Avec elle, j'étais toujours sincère et j'appréciais notre sincérité l'un envers l'autre, c'était important pour ce faire confiance dans les moments les plus difficiles.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyDim 4 Sep - 11:42

Ysolde était de nature indépendante, et individualiste, elle ne s’inquiétait que pour elle, et ne pensait qu’à elle. Sauf que là, tout était différent, tout était différent, elle avait été très inquiète pour Emrys, elle ne voulait pas qui lui arrive quoi que ce soit, pas à cause d’elle. D’habitude, elle ne s’inquiétait pas pour les autres, sauf pour Alec sa meilleure amie, et… mais là, elle s’inquiétait pour Emrys, vraiment. Si elle s’inquiétait pour lui, c’était parce qu’elle tenait énormément à lui, trop à lui-même, trop pour être son ami, trop pour être saine d’esprit. Ysolde avait même voulu venir à son aide, quitte à se faire mal elle-même. Elle l’avait vu prendre des coups, et elle avait eut mal pour lui. Elle avait vu ses blessures, et voulait d’aider, à son après ce qu’il venait de faire pour elle, c’était la moindre des choses. Quand elle lui demanda si ça allait, quand elle lui dit qu’elle avait eut peur pour lui, et qu’il fallait guérir tout ça, il lui répondit alors : Ce n'est qu'une égratignure, t'inquiète pas. Elle lui jeta un regard d’un air de dire « arrête de ta foutre de moi, tu saigne. » ysolde avait un regard qui voulait dire ça, un truc assez persuasif en fait, dont elle seule avait le secret. C’était un peu le regard d’une mère sur son enfant quand celui-ci cherche à caché une bêtise qu’il vient de faire. Il ajouta ensuite : J'ai juste une légère douleur à l'abdomène mais ça ira avec du repos je pense. Oui, elle l’avait vu se faire frappé, et franchement elle avait réellement eut peur pour lui. Elle s’était tellement inquiétée alors que ce n’était pas du tout son genre de s’inquiéter. Il avait toujours un petit sourire aux lèvres, tandis qu’Ysolde faisait sa « mine inquiète », rare comme moment. Il la regardait dans les yeux, il était sincère, il allait bien, même s’il avait un peu mal, Ysolde fut rassurée, un peu. Il dit alors, s’inquiétant à son tour pour elle : Et toi, ça va?... Tu n'as reçue aucun coup j'espère... Bien sûr qu’elle allait bien, et c’était grâce à lui, et grâce à lui seule. S’il n’avait pas été là, elle aurait continué d’ignorer ces trois là, et aurait écouté leurs insultes sans broncher parce que c’était la meilleure solution pour être tranquille, les provoquer soulageait de façon passagère, mais Ysolde n’était pas convaincu du bien fondé à long terme. Mais, elle le remerciait quand même, de s’inquiéter pour elle, de penser à elle, de tenir à elle. Elle dit alors : Moi ça va, grâce à toi. Elle lui adressa un sourire rassurant, elle allait bien, physiquement elle allait bien, comme toujours. Elle avait eut peur, pour lui, tellement. Elle avait toujours eut peur des affrontements physiques, c’est pour cela qu’elle avait été réticente à entrer dans la mêlé, elle ne voulait pas être blessée physiquement, elle était aussi fragile qu’une poupée de porcelaine. Elle se rapprocha de lui et dit alors avec un sourire : Faut désinfecter tout ça, au moins laver tout ce sang. Elle était sincère, et douce. Il y avait donc deux Ysolde Wilkes : la furie qui avait insulté ces gars avec un cynisme et une méchanceté tranchante, et enfin, il y avait Ysolde juste Ysolde, douce, adorable, inquiète et aimante. Ysolde était même prête à s’occuper de lui. Ysolde était à double faces, elle l’avait toujours été, mais c’était de plus en plus flagrant, c’était vraiment un lunatisme assez… étrange. Elle avait toujours été une fille méchante, prédestinée par son père à devenir mangemorte, pourtant, aujourd’hui, elle était à des lieues de cela, elle détestait les mangemorts, mais elle n’était pas forcément devenue gentille. Il n’y a pas de camp de gentil, ou de méchant, tout le monde à sa part d’ombre, et de lumière, et Ysolde avait une part d’ombre très importante, qu’elle le veuille ou non. Avec un peu d’eau, tu auras une meilleure tête, là on dirait un boxeur. Elle lui adressa un sourire rassurant, et ajouta alors : Si tu veux bien que je sois ton infirmière. Elle était souriante.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMer 7 Sep - 15:36

Me battre, je n'avais jamais eu l'intention de le faire, évidement depuis le début de l'année je m'étais déjà battu, mais c'était pas des coups aussi violent que ceux que j'avais reçu il y a quelque instant. A vrai dire, la seule fois ou je m'étais battu était contre des anciens camarades de classe mais également des anciens amis auquel j'avais eu une telle confiance immense que j'avais été aveugle de voir que simplement pour un choix, je les aurais perdus. En tant que grand sportif, je ne me laissais jamais aucun objectif passé sous mes yeux, c'était comme ça, je me donnais toujours à fond, au maximum pour réussir ce dont je voulais. Il y a quelque minutes auparavant, je m'étais battu contre trois types afin de voir qu'ils réagissaient tous comme des imbéciles avec Ysolde, c'était totalement énervant de les voir comme ça et surtout les paroles dont avait pu faire le type qui se croyais vraiment assez fort pour dire ce genre de choses qui était impardonnable et pour tous. Son sourire était toujours sur ses lèvres, mais bien après qu'elle me demandait si tout allait bien, évidemment je ne lui avais pas mentis sur le fait que j'avais des douleurs à mes abdominaux. Moi ça va, grâce à toi. Grâce à moi? Non je n'avais rien fais à part juste l'avoir défendu ou du moins défendu sa mère qui aurait été fière de voir la demoiselle qu'elle était aujourd'hui. Tout en se rapprochant de moi, elle avait son regard qui montrait qu'elle était inquiète alors que tout allait bien. Elle n'avait aucune blessure, elle n'était pas blessée, elle allait bien et c'est ce qui comptait pour moi au jour d'aujourd'hui. J'avais passé des jours à voir Ysolde au bout de table, bien séparer des autres qui ne méritait même pas respect vis à vis de leurs réactions. Ils avaient tous vécus ce qu'Ysolde vivait aujourd'hui, ils auraient tous du comprendre ce que ça faisait. Ysolde n'y était vraiment pour rien, si les autres étudiants le savaient, peutêtre qu'ils prendraient Ysolde sous leurs ails ou du moins qu'ils arrêteraient de réagir de cette façon. Tout en me regardant dans les yeux elle s'adressa doucement à moi : Faut désinfecter tout ça, au moins laver tout ce sang. Je ne savais pas vraiment à quel point je saignais mais ça ne devait pas être une ouverture aussi grande, du moins j'espérais. Je ne savais pas vraiment ce qui se passerais plus tard avec ces types, peut être qu'ils viendraient tous me coincé un beau jour mais je m'en fichais bien, aujourd'hui ce qui comptait réellement pour moi, c'était la sécuriter d'Ysolde, elle était devenue tellement important à mes yeux que ça en aurait rendu dingue plus d'un. Avec un peu d'eau, tu auras une meilleure tête, là on dirait un boxeur Une tête de boxeur, j'étais si horrible que ça à présent? Etais-je aussi abîmer à présent? L'oeil violet? L'oeil rouge? Je ne savais pas mais j'attendais vraiment de voir mon visage dans un des miroirs que pouvait avoir le château. Ysolde avait un sourire que ne pouvait que me faire du bien, un sourire rassurant comme tout ceux qu'elle pouvait me faire, c'était dingue les sensations de bien être que pouvait me transmettre ce petit bout de femme sans qu'elle ne puisse le savoir. Si tu veux bien que je sois ton infirmière Mon infirmière? Cela ne pouvait qu'être bien ! J'avais remarquer qu'Ysolde avait la peau blanche et douce à la fois, évidemment beaucoup me dirait que c'est tout à fait normal mais pas pour moi, je n'étais pas le genre de garçon à prendre la main d'une demoiselle, sauf que là, c'était Ysolde qui avait prise la mienne afin de me faire sortir de cette bibliothèque ou j'avais commencer une baguarre. Je m'en étais sortis avec quelque blessures mais c'était déjà ça et c'est en souriant que je lui adressais la parole : Je suis si abîmer que ça à présent?! Toujours avec le sourire aux lèvres, je continuai mes paroles : Et je te veux bien comme infirmière seulement si ! Tu ne m'enmènes pas à l'infirmerie ! Je crois qu'elle ma assez vu comme ça ! En regardant Ysolde, j'aperçu derrière elle, les trois types avec qui j'avais eu une bagarre à l'instant. Evidemment, je ne resta pas de marbre en lachant Ysolde de mon regard pour les regarders. Quand je vis l'un des types sortir une bombabouse de sa poche, je pris la main d'Ysolde doucement afin de la faire courir un peu pour ne pas recevoir de bombabouse sur nous. Nous étions arriver un peu plus loin que la bande de Serpentard, je ne les voyais plus, peut être que nous étions enfin libérer. Je sentis du sang couler du haut de mon oeil, d'ailleurs j'y posais ma main afin de l'enlever directement apercevant du sang sur mes doigts. Tout en regardant Ysolde dans les yeux, je lui parlais : Ils n'abandonnent jamais dit moi. Des étudiants passait devant nous tout en regardant Ysolde puis moi. La situation m'énervait mais je me devais d'être calme, d'ailleurs j'avais envie de soutenir la belle blonde, du moins la rassurer. D'ailleurs je baissais la tête quand je m'étais aperçu que je tenais toujours la main de la belle demoiselle. Je la relachais en remontant ma tête vers son visage. Je ne passais pas ma main à ma nuque comme d'habitude, je regardais simplement les yeux d'Ysolde, son regard était important pour moi, j'en avais besoin au moins une fois par jour, comme si cela m'étais vital. Alors tu es mon infirmière à présent si j'ai bien compris... Tu me dois des soins ! Le sourire aux lèvres, je n'abandonnais pas les bonnes choses entre nous.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMer 7 Sep - 20:06

Ysolde savait ce que voulait dire être blessé, physiquement aussi. Elle était fragile, et portant, elle jouait au quidditch, elle était une poursuiveuse, douée, rapide, et agile, elle s’en sortait souvent sans un égratignure, mais des fois, il lui était arrivé de se prendre un cognard dans l’épaule, et elle était tombée de son balais, se faisait un œil au beure noir, autrement dit, pendant une semaine elle avait eut l’air d’une boxeuse, mais comme c’était l’époque où tout le temps la respectait… personne ne lui disait rien. Ysolde s’était faite frapper au visage une fois, elle avait saigné du nez, ça faisait un mal de chien. Elle ne voulait pas qu’Emrys ait mal pour elle, ou surtout à cause d’elle. Elle tenait beaucoup à lui, comme elle n’avait jamais tenu à personne. Elle tenait plus à lui qu’elle avait tenu à Ulysse – oui, elle avait tenu à Ulysse -, plus qu’elle n’avait tenu et tenait à Duncan – son ex devenu taulard – plus qu’elle n’avait jamais tenu à quelqu’un, c’était bien vrai. Ysolde était froide, et monstrueuse parfois, quand elle était énervé, sur la défensive, ou quand elle cherchait sa revanche, mais… là, elle était différente, Ysolde savait être adorable, douce, drôle, et souriante. Durant l’été elle avait découvert cette facette de sa propre personnalité. Elle avait passé une semaine chez une de ses nouvelles amies née moldue – dahlia – et avait passé presque deux semaines au chaudron baveur avant d’aller s’exiler dans une auberge de sorcier à Paris, puis, son cousin Phineas avait fini par la retrouvé à l’avait accueillit chez lui. Ysolde était devenue plus sociale, avant l’été, avec Rys, elle aurait parlé, juste parlé, même s’il lui avait plu – il lui plaisait avant déjà, mais l’été avait eut un impact bénéfique sur elle, très bénéfique même. Elle ne remarqua pas que Rys tenait toujours sa main, ou qu’elle tenait toujours la sienne, enfin… Je suis si abîmer que ça à présent?! il marqua une pause, petite, pour ponctuer ses mots d'un sourire, un sourire qui faisait plaisir à Ysolde. Et je te veux bien comme infirmière seulement si ! Tu ne n’emmènes pas à l'infirmerie ! Je crois qu'elle ma assez vu comme ça ! Pourtant, l’emmener à l’infirmerie serait la meilleure solution, mais vu que cela n’avait pas l’air si grave que cela en avait l’air, elle accepterait son vœu. Elle pouvait être une très bonne infirmière, elle en était certaine, d’ailleurs, elle avait longuement hésité entre médicomagie, et les sciences occultes, elle avait eut du mal à faire son choix, elle avait toujours aimé les deux. Promis, je ne t’emmène pas voir l’abominable Miss Windsor, je crois qu’elle nous a assez vu cette semaine ! Oui, elle les avait assez vu… après tout, il l’avait amené inconsciente à l’infirmerie puis, Ysolde et Rys avait élevé la voix l’un contre l’autre, enfin surtout Rys, et L’infirmière avait interrompu un moment étrange… en mettant le sorcier à la porte. Elle lui répondit avec le sourire, quand elle vit qu’il ne la regardait plus, autre chose avait capté son attention. Elle se retourna –pour voir s’il ne regardait pas une autre fille par exemple, elle aurait pu être très jalouse- mais il s’agissait des trois serpentards qui les avaient embêtés à la bibliothèque, et qui c’étaient battu avec Rys. D’ailleurs, ce dernier réagit vite, et bien, il prit la main de Ys pour l’emmener loin. Ils coururent un petit moment, afin d’être tranquille. Ils s’arrêtèrent enfin, et elle le vit poser sa main sur la base de son front, juste au dessus de son œil, il saignait, puis, il dit alors en la regardant : Ils n'abandonnent jamais dit moi. Hélas, non. Ils n’abandonnaient jamais, tous autant qu’ils étaient. Ysolde le savait depuis la rentrée septembre, ils s’acharnaient sur elle, plus qu’ils ne se seraient jamais acharné sur un né moldus, ce genre de chose se faisait à la longue de temps en temps, de façon ponctué, mais avec Ysolde c’était continu, du réveil au coucher, dés qu’elle passait du temps dans la salle commune de serpentard, elle en prenait pour son grade. Ils n’abandonnent jamais, hélas. Dit-elle avec une voix un peu mélancolique. Dans ces moments là, ysolde paraissait assez vulnérable, et résigné aussi. Il la regarda puis quand soudain il baissa les yeux, C’est alors qu’Ysolde suivit son regard, et vit qu’il tenait toujours sa main, elle ne s’en était pas rendu compte, peut être parce que c’était agréable, mais surtout rassurant. Il la relâcha alors, et eut une sorte de geste gêné qu’Ysolde avait appris à identifié – la main dans sa nuque – quand il ajouta alors : Alors tu es mon infirmière à présent si j'ai bien compris... Tu me dois des soins ! Elle le regarda et sourit, elle avait vraiment envie de lui sourire, vraiment. Oui, elle était son infirmière personnelle, désormais, elle lui sourit et dit alors : Suis-moi cher patient !. Elle lui attrapa le bras, en souriant, et l’entraina loin des regards. En fait, elle l’attira dans les toilettes de l’étage, il y avait de l’eau et du papier, idéal pour la débarbouiller dans un premier temps. Il n’y avait jamais personne ici, pas souvent du moins, ils étaient au bout de l’étage, dans un endroit finalement peu fréquenté. Elle lui lâcha le bras, et d’un coup de baguette à l’aide d’un sortilège informulé, un linge propre et sec sans sa main. Elle s’approcha de l’évier et mouilla le linge, et laissa à Rys le temps de s’approcher, et elle s’approcha de lui, levant ses mèches bouclés et blondes, pour éponger le sang et nettoyer cette vilaine plaie. Elle dit alors doucement : Désolé si ça pique un peu. Elle esquissa une petite moue désolé, et même s’il lui en avait voulu… il n’aurait pas pu lui en vouloir avec la tête de petit chien abandonné qu’elle venait de lui faire. Après avoir épongé une bonne partie du sang, elle retira le linge et le passa sous l’eau. Elle avait retiré sa main de sa mèche de cheveux.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyMer 21 Sep - 17:35

Mettre battu n’avait pas vraiment arranger les choses pour Ysolde, du moins c’est ce que je pensais. Je pensais bien que leurs nerfs étaient bien plus élever à présent, qu’ils voudraient tous ma peau et même celle d’Ysolde s’ils pouvaient. A vrai dire, je savais déjà bien avant comment ce genre de situation partait en live et parfois, cette rancune pouvait durée des heures, des mois mais bien plus longtemps que ses minutes qui s’était écoulées dans la bibliothèque. J’étais blessé à l’œil, mais ce genre de blessure ne pouvait être qu’égratinure, en faite, de toute mes années à Poudlard, je n’avais jamais été blessé par un coup venant d’un autre, peu être simplement quand je faisais du quidditch qui d’ailleurs m’avais donné envie de me battre, de ne jamais avoir à baisser les bras et c’est ce dont mon père était fier, également ma mère car à mon âge c’était bon de vouloir chaque jours vouloir donner le meilleur de sois même et je pense que bien d’autre personne serait fier de moi aujourd’hui. A présent, au jour d’aujourd’hui, Ysolde était devenue bien plus qu’un simple binôme et c’était au début du mois de septembre que je m’en étais aperçu. Comme dirait ma mère, il vaut mieux voir tard plutôt que tôt et ne pas être sur de ce que l’on ressent. Pour beaucoup, à Poudlard, Ysolde n’était qu’une peste, une fille, une demoiselle, une femme qui fallait mieux se méfier car jamais nous ne pouvions être sur de ce qu’elle était réellement. Du moins c’était le point de vu des autres étudiants car le mien était bien loin d’être celui-ci. Le mien c’était de voir Ysolde comme quelqu’un de mystérieuse, comme une personne bien loin de ce que l’on pourrait voir, apercevoir dans les recoins du château, elle était en faite, bien plus sympathique et bien plus souriante que ce que beaucoup pouvait pensés. Ysolde, était quelqu’un de charmante, quelqu’un qui pouvait parler et de suite vous apprécierez de l’écouter car seul le son de sa voix n’est qu’une mélodie les plus reposante. Promis, je ne t’emmène pas voir l’abominable Miss Windsor, je crois qu’elle nous a assez vu cette semaine ! D’ailleurs même à cet instant, je ne me lassais pas de sa voix car elle me procurait quelque chose dont moi-même je ne pouvais pas porter de mot à cela. D’ailleurs j’acquêta ce qu’elle venait de dire. Voir de nouveau l’infirmière ne serait sans doute pas une bonne idée, elle nous avait surement vu bien de trop dans les jours précédents et d’ailleurs, des l’instant ou je la croisais, je prenais jamais le risque de lui sourire car la dernière voir, j’avais tout de même hurler dans son infirmerie pour lui prévenir qu’Ysolde n’était pas dans son état. C’est en voyant que les étudiants de la bibliothèque revenir que je pris la main d’Ysolde afin de la faire courir un peu avec moi pour ne pas avoir affaire quoi que ce soit avec eux. C’était dingue de voir la façon dont jamais, une bande ne pouvait abandonner alors que seul, aucun ne pourrait se mesurer de cet instant. C’était du beau, de faire son malin devant les filles, tout le monde connait ce genre de chose, je l’avais fais surement une fois, avec mon ancienne bande de camarade, qui d’ailleurs aujourd’hui n’était que de simple rencontre. Ils n’abandonnent jamais, hélas. Je l’avais bien remarquer, c’était un jeu pour eux, mais pour nous, c’était un calvaire enfin surtout pour elle, ça ne devait pas être facile tout les jours, de voir tout le monde, repousser la personne qu’on prétend être, d’ailleurs plusieurs fois, j’aurais voulu qu’Ysolde montre réellement la personne, la demoiselle qu’elle était seulement, ça aurait été son point faible et les gens en aurait profiter. C’était bien connu. Suis-moi cher patient !. C’est ce que je fis des les premières secondes ou elle avait prononcer cette phrase. A vrai dire, si elle m’avait proposer autre chose, je crois que j’aurais fini à l’infirmerie et je voulais bien loin avoir cette idée. Je détestais l’infirmerie et je crois que beaucoup de monde détestait cela, ce n’était pas mon endroit préféré, ni celui au un jour j’aurais affaire, sauf si, je devais ramener Ysolde dans cet endroit. Elle m’emmena dans un endroit ou il y avait peu de monde, je parle bien sur des toilettes. Elle prit du bout de papier et le mouilla, pendant ce temps, je m’approchai d’elle, doucement mais surement. Sa main souleva mes cheveux, afin de pouvoir nettoyer la plaie correctement. Désolé si ça pique un peu. Je n’avais pas spécialement envie de lui montrer que cela piquait, à vrai dire, entre nous, qui aurait voulut dire que sa piquait ? Sa aurait été signe de faiblesse non ? Même si les gens pouvait mentir à Ysolde, de faire d’elle une simple marionnette, pour moi c’était malhonnête, d’ailleurs je ne voulais rien lui cacher et c’était cette confiance qui faisait marcher notre relation… Amical. Ca va, j’ai vu pire comme piquottement. C’est en souriant afin de ne pas la stressé que je lui sortis ça. Avec elle, je ne pouvais jamais m’empêcher de sourire, c’était comme naturel, simple et quand j’étais avec elle, je ne pensais pas vraiment à ce qui se passait autour de nous. C’était comme… Devenir égoïste et… Parfois j’aimais ça, d’avoir, de ressentir cette sensation de bien être et parfois… Je ne voulais Ysolde que pour moi et ça, c’était mal car je n’étais pas le genre de garçon à vouloir une personne que moi-même, c’était mal et je le savais. C’est au moment ou elle finissa de nettoyer, que je lui sortis : Merci… Cela pouvait paraitre idiot mais mon merci était sincère pas comme d’autre. Je n’étais qu’un simple étudiant, qui était tomber sous le charme d’une étudiant appartenant à la maison de Salazard Serpentard et tout ce que j’avais envie de lui dire, c’était de lui dire tout ce que j’avais sur le cœur seulement, je n’étais pas vraiment le genre de type à dire ce genre de… sentiment. En faite, Ysolde me rendait quelqu’un de meilleur, c’était dingue. En la regardant dans les yeux je lui posa cette question : Ta déjà eu l’impression… De pensé que quelqu’un te rend meilleur… Te rend plus fort et… bien mieux de ce que tu pouvais être auparavant… Mais de ne pas vouloir devenir égoïste parce que…T u sais que c’est mal… Et… Tu veux être différent de tout ceux qui t’entour… Etais-je perturbé ? Je ne savais pas réellement mais j’étais sincère.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyJeu 22 Sep - 19:17

Ysolde n’était pas une infirmière, pourtant elle avait hésité entre médicomagie et science occulte. Ysolde était suffisament brillante pour être médicomage, elle était nettement brillante, mais… ce n’était pas ce qui l’attirait le plus, en fait, si, elle était totalement attiré par la médicomagie mais le mystère autours de son pouvoir. Elle s’occupait de Rys comme infirmière, enfin, si on peut appeler ça s’occuper de lui, elle avait juste nettoyé de façon succincte. Elle s’était blessée plusieurs fois, et à chaque fois ça lui avait fait mal, ça avait piqué. Elle lui jeta un regard quand elle passa le linge sur la plaie, puis elle esquissa un sourire. Il n’avait pas l’air d’avoir mal, heureusement, elle s’en serait un peu voulu de lui faire « mal », même si entre nous un piquottement ça n’est pas grande chose, surtout en comparaison de ce qu’il venait de souffrir. Puis, il dit alors :Ca va, j’ai vu pire comme piquottement. Elle continua à nettoyer la plaie, elle espérait bien qu’il avait vu pire, elle n’était pas une sadique au point de lui faire plus mal. Elle le vit sourire. Ysolde s’occupait de lui, elle esquissa un mince sourire. Ysolde était une fille rigoureuse, sérieuse, et appliqué, elle était consciencieuse, et s’attelait à sa tâche. Elle finit alors de nettoyer la plaie, et détourna alors son regard du jeune homme, celui-ci lui répondit alors : Merci… Elle lui adressa un sourire, elle eut envie de dire « oh non mais c’est rien », mais, oui c’était rien, totalement rien. en fait, c’était plus que normal, totalement normal même. Rys venait tout de même de prendre sa défense, et de se prendre des coups, pour elle, elle devait le remercier, ce n’était pas à lui de la remercier. C’était à elle de le remercier de ce qu’il avait fait, c’était grâce à lui que ces petits cons l’avaient enfin laissé tranquille, enfin… pour combien de temps ! Elle s’en fichait, Ysolde avait appris à vivre l’instant présent et… elle comptait bien remercier rys, elle ne savait pas encore comment, mais elle sentait qu’elle lui devait une fière chandelle, et répondit alors : C’est moi qui doit te remercier, je fais juste ce que je dois faire, vu ce que tu as fait pour moi, c’est la moindre des choses ! Elle lui adressa un grand sourire, radieux, et plein de reconnaissance. C’était bien elle qui devait le remercier, et pas le contraire. Elle aurait du le remercier encore pour l’avoir amené à l’infirmerie aussi. Ysolde était… faible ? Sans doute, plus faible qu’avant, plus vulnérable diront-nous. Ysolde avait changé, elle était comme sonnée par ce changement, comme si ça avait été un coup sur sa tête et qu’elle n’arrivait pas encore à mettre les choses au point, comme si elle avait perdu l’aptitude de se défendre, son aptitude à cracher son venin, cette aptitude à cracher sur les autres avant même qu’ils n’aient pu vous atteindre. Elle était vulnérable, tout le temps, et en ce moment c’était Rys qui la sauvait de sa vulnérabilité. Ysolde essora au maximum le chiffon, et fit un pas en arrière avant de le jeter habilement dans la poubelle. Puis, elle reposa son regard sur Rys. Il dit alors en la regardant dans les yeux : Ta déjà eu l’impression… De pensé que quelqu’un te rend meilleur… Te rend plus fort et… bien mieux de ce que tu pouvais être auparavant… Mais de ne pas vouloir devenir égoïste parce que…T u sais que c’est mal… Et… Tu veux être différent de tout ceux qui t’entour… Oui, elle avait cette impression. Elle l’avait tout le temps depuis qu’elle passait du temps avec lui. Beaucoup de choses avaient tendance à la rendre meilleure aujourd’hui, elle avait retrouvé la mémoire, et Rys n’y était pas pour rien dans le fait qu’elle soit « meilleur », avec lui elle ne ressentait pas le besoin d’être vénéneuse, avec lui, elle se sentait elle-même. Elle comprenait ce que disait Rys, et elle avait du mal à admettre qu’il pouvait parler d’elle. Oui, cette impression, étrange. Je ne pense pas que ça soit « mal », je veux dire, si on ne peut pas être égoïste… ce n’est pas bien d’être égoïste mais tout le monde à le droit de l’être, même un peu, si on ne pense pas un peu à nous alors à quoi bon… vivre ? Elle marqua alors une petite, et courte pause. Elle lui adressa un regard et un sourire, puis elle ajouta : Toute ma vie, j’ai voulu ressembler à ma… « Sœur », et on existe en tant que soi uniquement si l’on ne s’occupe que de nous, si l’on vit sa vie. Ce n’est pas facile d’être… soi-même mais, on ne doit pas la personne que l’on est uniquement à nous, mais… aux gens qui nous entourent, ceux qui nous aiment, nous aident, ceux qui sont là pour nous. Cette personne me rend… plus humaine, moins grincheuse, et moins stupide. Elle détourna alors le regard, puis esquissa un petit rire nerveux. Elle releva les yeux vers Rys, et se mordit discrètement la lèvre inférieure.
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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptyVen 23 Sep - 20:15

C’est moi qui doit te remercier, je fais juste ce que je dois faire, vu ce que tu as fait pour moi, c’est la moindre des choses ! Ce que j’avais fais pour elle ? Je n’avais rien fais, j’avais simplement suivis mon instinct comme chaque jours que je passais au château. Le problème sans doute que j’avais, un défaut, mon défaut, était que personne ne devait et pouvait me donner d’ordre car j’étais de loin même très loin le genre de garçon à écouter les ordres des autres. En aucun cas Ysolde me devait quelque chose, je n’avais simplement qu’écouter ce dont je voulais faire, ce dont je pensais que c’était le mieux à faire. A présent, la bande de trois serpentard savait qu’Ysolde n’était point toute seule, qu’elle m’avait moi et que même si tout le monde la détestait, elle pouvait trouver une épaule sur qui compter, quelqu’un sur qui elle pouvait se reposer à parler de tout et de rien en maintenant. Tu ne me dois vraiment rien, j’ai simplement suivis ce qui était bon pour toi. Bon pour elle mais est ce que cela était vraiment bon pour moi de mettre mis dans une bagarre contre trois gros bras. Je ne savais pas comment se passerait les autres jours suivant mais ce que je savais, c’est que je ne ressentais aucune peur, comme si cela m’avait renforcer. Le fait de savoir que je pouvais m’ouvrir à Ysolde ou du moins parler pour ne pas avoir à le faire tard le soir à ma simple chouette qui ne pouvait ni me comprendre ni me répondre. C’était parfois frustrant de savoir que j’avais peu de camarades à Poudlard et c’était encore plus frustrant en sachant que les seuls camarades que j’avais était les insectes, les plantes et… Ysolde. La belle blonde jeta le bout de chiffon dans la poubelle quand je lui adressai la parole afin de … M’ouvrir à elle ? C’était assez vite dit mais j’avais du moins essayé de faire de mon mieux pour qu’elle comprenne tout mon charabia. En faite, je ne savais même pas si tout ce que je disais était vraiment bien construit et c’était bien la première fois que je me demandais si ce que je disais pouvait être bien vrai. Avec Ysolde, je ne ressentais pas le besoin de me cacher à ses yeux car si aujourd’hui elle était encore-là, c’était la simple et bonne raison que je ne lui avais rien cacher, à par peut être mes sentiments vis-à-vis d’elle et encore, je ne lui avais rien dit à ce sujet, il y avait simplement eu un simple baiser… Mais qui voulait tout dire non ? C’est en me regardant qu’elle parla à son tour. Oui, cette impression, étrange. Je ne pense pas que ça soit « mal », je veux dire, si on ne peut pas être égoïste… ce n’est pas bien d’être égoïste mais tout le monde à le droit de l’être, même un peu, si on ne pense pas un peu à nous alors à quoi bon… Elle marqua une pause afin de reprendre ses paroles tout en m’adressant un sourire, ce sourire qui venant d’elle ne pouvait qu’être bon et formidable à la fois. Toute ma vie, j’ai voulu ressembler à ma… « Sœur », et on existe en tant que soi uniquement si l’on ne s’occupe que de nous, si l’on vit sa vie. Ce n’est pas facile d’être… soi-même mais, on ne doit pas la personne que l’on est uniquement à nous, mais… aux gens qui nous entourent, ceux qui nous aiment, nous aident, ceux qui sont là pour nous. Cette personne me rend… plus humaine, moins grincheuse, et moins stupide. Cette sensation étrange, parfois cela pouvait se transformer en en passion étrange car la plupart du temps, je la cherchais du regard quand nous étions chacun à notre table respective pour manger. Le truc, c’est que j’avais l’impression d’être seul sans elle, comme si plus rien ne m’étais accorder, que ce soit l’amitié ou bien l’amour, je n’avais simplement que la passion que je dégageais du regard pour elle, un regard et des paroles bien plus que sincère. La plupart du temps à Poudlard, les couples ne se cachaient pas et la plupart en profitait pour avoir des mains assez… Mal placer si j’écoutais ma mère. En contre partit, j’étais tombé … Amoureux secrètement d’Ysolde et ça, je m’en étais aperçu cette année seulement. Etait-ce un mal pour un bien ? C’est ce que je pensais jusqu’à présent et parfois, seul mon regard et mes paroles me trompaient vis-à-vis d’elle. D’ailleurs en cours, cela devait être certainement mes regards vis-à-vis d’elle qui pouvait me trahir auprès des autres, d’ailleurs la plupart du temps j’essayais de calmé mes regards, d’essayer d’éviter de la regarder mais c’était sans doute la chose dont je n’étais pas capable de faire. Elle avait voulue ressembler à sa sœur, mais sa sœur était bien là d’arriver aux chevilles d’Ysolde, en faite, aucune demoiselle ne pouvait être à la hauteur d’Ysolde , elle était plaisante, tellement plaisante, que rien que la façon dont elle parlait était une façon comme une autre de rêver en l’écoutant. Elle détourna son regard du mien en riant bizarrement puis son regard retrouva le mien. C’était cette sensation que j’appréciais, celle dont je profitais à chaque secondes qui s’écoulait. J’étais un peu plus grand qu’elle, d’ailleurs j’aimais bien cela et j’en profitais à chaque fois. Mes yeux étaient plonger dans les siens, seulement quelque secondes plus tard, mes yeux étaient absorber par ses lèvres… Celle dont j’avais eu l’occasion de toucher, cela me fit humecter ma lèvre inférieure avec ma langue. J’étais comme mal à l’aise, d’ailleurs cela me fit dire une phrase que je n’aurais jamais voulu dire. Je crois que je devrais… Y aller… En faite, à l’instant même ou j’avais regarder ses lèvres, j’avais eu comme l’envie de l’embrasser… Elle… Dans les toilettes du château… Pas vraiment le lieu idéal mais bon. D’ailleurs, ma respiration commençait à accélérer, encore une drôle de sensation qui faisait son apparition.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptySam 24 Sep - 16:48

Ysolde était normalement une fille tout à fait débrouillarde, le genre de fille qui se débrouille toute seule. Il fallait juste qu’elle se remette en jambe, il fallait avant tout qu’elle reprenne confiance en elle. Oui, car elle avait fini par perdre confiance en elle, totalement, après ce qu’elle traversait c’était totalement normal qu’elle perde confiance en elle. Elle avait des soucis de mémoire, et elle se souvenait maintenant de tout et essayait de revoir sa vie, elle jugeait ses choix, elle jugeait ses erreur. Elle passait son temps à juger ses erreurs avec l’éternelle phrase… « si j’avais su… » je n’aurais jamais fait ça et tout ça. Ysolde perdait confiance en elle, alors qu’elle avait toujours été une fille confiante et fonceuse, aujourd’hui elle se faisait marcher dessus et ne réagissait pas. C’était grâce à Emrys qu’elle ne s’était pas faite marché dessus aujourd’hui, grâce à lui et seulement grâce à lui. Ysolde se disait qu’il avait été blessé par sa faute, et elle détestait que les choses arrivent à cause d’elle. Oui, elle détestait que ça soit « à cause de Ysolde », elle détestait en être la cause, cela la faisait se sentir totalement coupable.Tu ne me dois vraiment rien, j’ai simplement suivis ce qui était bon pour toi. En fait non, aujourd’hui elle lui devait beaucoup, énormément même. Il avait sauté sur ces gars sans hésiter alors qu’elle lui avait dit que ça ne faisait rien, et qu’elle était habituée à ces conneries, et qu’elle vivait avec. Pourtant elle lui avait menti quand elle avait dit « cela ne fait rien, j’ai l’habitude » ou quelques choses du genre. En fait, cela lui faisait mal, très mal, très très mal de subir de tel humiliation, et le fait qu’il soit venu à son secours lui faisait non seulement plaisir, mais en plus il lui avait redonné confiance en elle… un peu certes, mais c’est mieux que rien. elle se disait que c’était possible, possible de faire face à ces petits cons. Il y eut alors un silence, léger, le temps pour la jeune sorcière blonde de lui adresser un sourire. Elle appréciait le regarder dans les yeux, totalement c’était étrange fascinant captivant et en même temps dérangeant. Rien n’était clair entre eux, absolument rien. oui, ils étaient soi disant amis, et tout était tellement compliqué entre eux, il n’y avait rien d’explicite entre eux, tout était « entre les lignes ».Je crois que je devrais… Y aller… Hum, cela paraissait être une « bonne idée », la meilleur en tout cas. Ysolde esquissa un petit sourire , quel chose d’acquiesçant comme on dit. L’idée de partir était bonne, car en effet ils étaient au bon milieu des toilettes et entre nous ce n’est pas le meilleur endroit à Poudlard, parce que c’était l’endroit le moins propre, parce qu’il ne sentait pas la meilleure odeur. Oui, j’ai… un tas de choses à faire ! dit-elle en s’éloignant des lavabos où elle était appuyée. « Des chose à faire », la plus stupide des justifications. Ce n’était pas faux, mais c’était une excuse passe partout, elle regarda alors Rys dans les yeux et dit alors en réponse à sa phrase d’avant la dernière qu’il venait de dire : Sérieusement, merci, tu as peut être l’impression de n’avoir rien fait mais pour moi… c’était beaucoup. Elle esquissa alors un grand sourire, sincère, chaleureux, et rayonnant. Merci, vraiment. Elle sourit et dit alors : on pourrait se voir, dans le soirée avant le couvre feu non ?

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MessageSujet: Re: I am you, I listen to you ft Ys   I am you, I listen to you ft Ys EmptySam 24 Sep - 19:44

Oui, j’ai… un tas de choses à faire ! Elle venait de dire ça tout en s’éloignant des lavabos d’où elle c’était appuyer. Un tas de chose à faire ? Même dans cette période scolaire je n’avais rien à faire, pas un seul devoir étant donner que je les avais tous fait à l’avance afin d’être libre et de pouvoir sortir quand il le fallait et quand je le désirais. La plupart du temps, je faisais mes devoirs au plus vite pour pouvoir passé du temps avec Ysolde étant donner qu’elle appartenait à la maison de Salazard Serpentard, cela voulait dire que je ne pouvais pas passé du temps avec elle autant que je le voulais ou plutôt souhaitais. Parfois, je me demandais comment cela aurait pu se passé si nous avions été tout les deux dans la même maison, appartenant aux bleu et argent, de lui souhaiter bonne nuit quand elle irait au dortoir des demoiselles ou bien faire nos devoirs devant un bon feu de cheminée. Parfois, je me demandais comment elle aurait pu être en portant nos couleurs ou bien encore comment elle aurait été caractèrement à Serdaigle, se serait-elle cacher aux yeux de tous ? Ou aurait-elle été comme elle était avec moi. Sérieusement, merci, tu as peut être l’impression de n’avoir rien fait mais pour moi… c’était beaucoup. Elle avait dit tout cela en me regardant dans les yeux, je savais que ses paroles étaient sincère, à présent je connaissais les moindres gestes d’Ysolde, de ma serpentarde. Je n’avais pas vraiment fais grand-chose, en faite, je n’avais suivis que mon instinct et heureusement mais je ne voulais pas qu’Ysolde ce soir, est des problèmes dans la salle commune des serpentards. Je ne voulais pas qu’elle soit blessée par les propos des autres étudiants de la maison des vipères. Je tenais beaucoup à Ysolde et sans doute bien de trop, d’ailleurs c’était l’une des raisons qui m’avait poussé à me jeté dans la bande des étudiants aujourd’hui. Après qu’elle eu parler, un sourire s’afficha sur ses belles lèvres… Ses lèvres, si je n’arrivais pas à arrêter la passion et l’envie d’aujourd’hui, je l’aurais sans doute embrasser dans les toilettes. Ce n’était pas vraiment le bon lieu mais j’arrivais à retenir toute mes envies. Merci, vraiment. Son sourire sur ses lèvres me fit sourire à mon tour. D’ailleurs je me sentais comme un gamin, un gamin heureux, je n’avais que dix neuf ans et j’étais tomber sous le charme de la belle blonde, de ma blonde, à vrai dire, j’étais plus que sous le charme, du moins c’était l’impression que j’avais dans ma tête. Quand elle était proche de moi, je sentais mon cœur qui partait en ébullition. [color=white]A ton service princesse.[ /color] Princesse ? Je l’avais appeler comme ça pour la première fois et sans m’en rendre compte, simplement après le lui avoir dit. D’ailleurs je passai ma main à ma nuque, c’était mon geste trompeur pour savoir que j’étais mal à l’aise. Je lui adressa un sourire tout en lui parlant : Enfin Ys je veux dire.. Sans m’attendre à ce qu’elle pouvait avoir comme réaction, elle enchaina elle par une proposition qui me fit encore plus sourire. on pourrait se voir, dans le soirée avant le couvre feu non ? Se voir ce soir avant le couvre feu ? C’était bien la première fois qu’il y avait une proposition de ce genre et mon sourire s’agrandissais justement. Une proposition comme celle-ci, c’était obliger que j’accepte, d’ailleurs je m’en réjouissais d’avance. Ouais bien sur… Ca serait avec plaisir même… Avec grand plaisir même voulu ajouter. Je me déplaça vers la porte d’entrée des toilettes et l’ouvrit afin de regarder si aucun des trois serpentards attendait Ysolde. On se retrouve après alors et merci pour les soins. En souriant, je partis des toilettes en direction de la salle commune des serdaigles tout en pensant à ce soir quand je reverrais Ysolde.

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